[BDPalabres] Les reglements de comptes dans la diaspora gabonaise sur le net ne nous honorent pas

[Christian MAYANDJI]

Dr MENGARA,
 
Les mêmes messages nous sont diffusés durant tout le week-end et concerne une dénonciation de l'un des "opposants" politique déclarés par ses anciens alliés. Je m'attendais à cette évolution car cela correspond à une sorte de retour de boomerang. Je crois que beaucoup de choses ont été dites et se repètent. Ne pensez vous pas qu'il serait temps de siffler la fin de la recréation. Ces échanges commencent à ressembler à une foire d'empoigne digne des sorties de "ngandas" parisiens.
Cela n'honore pas la communauté gabonaise. N'y a t-il pas parmis nos responsables politiques des humanistes, des juristes, économistes ou scientifiques? ou simplement des hommes capables de prendre du recul ? Il est important de dénoncer les comportements d'un compatriote lorsque cela nuit à la communauté.
Quelques gabonais ont quitté le site Agora pour rejoindre en espérant que la qualité de votre personne soit un argument qui contribue à garantir la qualité des débats. Je vous suggère de canaliser les interventions sur les projets de société de notre pays.
Après tout ce chacun dénonce à propos du comportement des dérives du pouvoir, l'image que donnent actuellement nos opposants n'est pas faite pour rassurer vos sympatisants quant à la capacité de ces intervenants à assumer un leadership politique. La prise de décision qui concerne quelques milliers de personnes nécessite une certaine sérénité et beaucoup de discernement.
Il vous appartient de recadrer et d'orienter : votre exigence de démocratie l'impose!!!
Vous avez bien fait de ne pas y ajouter votre commentaire et j'espère que vous aller vous en preserver.
Je vous remercie pour l'attention que vous voudrez bien porter à cet appel.
Salutations cordiale!!!


 
MANGASS TTC
Christian MAYANDJI
Démarches-Gestion
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--- En date de : Dim 21.9.08, Sylvain Ndong <protected at gmail.com> a écrit :

    De: Sylvain Ndong <protected at gmail.com>
    Objet: [BDPalabres] Siméon Ekoga serait-il une barbouze française de la Françafrique ???
    À: bdpalabres at bdpgabon.org
    Date: Dimanche 21 Septembre 2008, 17h41

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    Dans son adresse à la nation gabonaise (sa nation d'emprunt, en tant que
    citoyen français), publiée le 15/09/2008 à 8H31 et intitulée "17 août
    1960 - 17 août 2008 : Bientôt un demi siècle de liberté supposée",
    Jean Siméon Jean Francis Ekoga a traité l'opposition gabonaise (UPG, UGDD,
    FAR, PGP, etc.) de "pseudo opposition, une opposition de façade fabriquée
    de toute pièce par le pouvoir de Libreville".

     

    Après avoir relayé sur son forum et son site Internet, les allégations
    mensongères sur l'UPG et son président Pierre Mamboundou, à propos des 11
    milliards que le RDPG accuse l'UPG d'avoir empoché, Siméon Jean
    Francis Ekoga se voulait enfoncer davantage le clou, en cette date du 15
    septembre 2008, en traitant notre parti de formation de façade, fabriquée de
    toute pièce par Omar Bongo.

     

    Que les esprits lucides mettent leurs neurones à contribution, en tentant de
    comprendre les motivations profondes, qui peuvent emmener un citoyen français
    (dont la preuve vous sera apportée sous peu), à saper de cette façon la
    réputation d'un parti politique et de son président. Ne serait-ce pas là
    une manifestation d'un plan parfaitement contrôlé par ceux qui commandent
    les actes de ce monsieur, et dont les origines remontent de Libreville et
    s'étalent jusqu'en France, la mère patrie de toutes les barbouzes hors
    cadre de la Françafrique, en postes dans tous les points névralgiques de leur
    pouvoir, et en guerre larvée avec ceux qui, comme l'UPG et Pierre
    Mamboundou, en sont les dénonceurs attitrés et reconnus ?

     

    Depuis plusieurs années, monsieur Jean Ekoga nous bassine les oreilles avec la
    fabuleuse "grande escroquerie politique de la diaspora", en accusant
    ses anciens amis du BDP, et en utilisant par dessus tout l'espace Internet
    de notre parti ; mais nous sommes-nous véritablement demandé qui symbolisait
    profondément cette "grande escroquerie politique", et à qui, de
    l'accusant ou de l'accusé, revenait réellement la responsabilité.

     

    Ouvrons les yeux.

     

    Siméon Jean Francis Ekoga est de nationalité française, comme beaucoup de
    chefs d'Etat africains de la nébuleuse françafricaine. Qu'est-ce
    qu'un ressortissant français peut-il faire dans la politique africaine et
    gabonaise, si ne ce n'est de protéger les intérêts de ceux pour qui il
    travaille, en sabotant et en calomniant sur tous ceux qui tentent de mettre en
    conjugaison la problématique de nos pays.

     

    Nous travaillons dès aujourd'hui à votre définitive dénonciation et à
    votre totale éradication, chère barbouze française.

     

    Sylvain NDONG