[BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1

Christian MAYANDJI protected at yahoo.fr
Ven 19 Sep 10:56:37 EDT 2008


Je t'en remercie..

MANGASS TTC
Christian MAYANDJI
Démarches-Gestion
FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES 
ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
 CONVOYAGE EXPLOITATION
VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
EUROPE - AFRIQUE
 


--- En date de : Jeu 18.9.08, PETIT LAMBERT.O <protected at yahoo.fr> a écrit :

    De: PETIT LAMBERT.O <protected at yahoo.fr>
    Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
    À: bdpalabres at bdpgabon.org
    Date: Jeudi 18 Septembre 2008, 20h08

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    Christian,

    Je n'ai pas de  temps pour déguster  ta prose, je te prie de relire mon
    conseil que je renouvelle par ailleurs.

    Patriotiquement.



    Mr PETIT LAMBERT
      :

        De: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
        Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
        À: bdpalabres at bdpgabon.org
        Date: Jeudi 18 Septembre 2008, 16h41

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        Bonjour Petit Lambert,
         
        Entre nous, tu n'as pas besoin de passer par un forum pour
    m'inviter
        danser et manger. De tous les gabonais que j'ai croisés depuis mon
    arrivée
        en France (1990), tu est l'un de mes voisins
         les plus proches. Avec ton
        véhicule, tu es à moins de quinze minutes de ma résidence et tu disposes
    de
        mes coordonnées téléphoniques. Il t'appartient de me dire où est ce
    que
        tu souhaites que nous nous rencontrions avec nos amis communs pour danser
    et
        manger - notamment discuter - toute la nuit, surtout pendant les week end.
    Je ne
        crois pas que le problème puisse se poser dans la mesure ou les ressources
    nous
        appartiennent légitimement et légalement. Pour ce qui me concerne,
    c'est
        avec un réel plaisir je renouvelerai cette expérience.
        Par contre si tu penses que je pourrai procéder de la même manière que
    toi
        au lendemain des présidentielles de 1993 - interview fracassante en tant
    SG de
        la section RNB France au près des médias français pour dénoncer les
        irrégularités des élections présidentielles devant l'ambassade du
    Gabon
        pendant nous nous expliquions avec nos représentants diplomatiques,
         puis
        ralliemment aussi fracassant à la majorité présidentielle dans les
    semaines
        qui suivaient pour les raisons qui t'appartiennent et que tu nous a
        exposées beaucoup plus tard - il m'est difficile de franchir ce pas
    car je
        n'aime pas ajouter de l'inconhérence à l'incohérence
    ambiante. De
        plus, cela est contraire à ma foi en Christ.
         
        Même si ce n'était pas le cas, mon père se retournerait dans sa
    tombe si
        jamais un tel acte se produisait. J'accorde une certaine importance à
    la
        mémoire de mon père : dans certains domaines, il a été un exemple
        d'intégrité et je ne peux pas renier le temoignage que je lui ai
    rendu le
        jour de son enterrement. En outre, il y trop de personnes qui ne
    comprendraient
        pas qu'il puisse en être ainsi en ce qui me concerne. J'ai
    traversé
        des situations assez difficiles et j'ai reçu des invitations plus
        directement conséquentes sans y donner suite. Tu sais que chaque
         gabonais à
        ses entrées directes ou indirectes au près du gouvernement et même de la
        Présidence. Certainement autant que toi et d'autres gabonais, je
    compte des
        parents, condisciples et relations à différents niveaux des cercles de
        décision politique. il appartient de faire ses choix conscients et de
    rester
        cohérent. Je ne dis pas que je suis insensible à l'utilité des
    espèces
        sonnates et trébuchantes, mais j'aime en user uniquement lorsque je
    peux en
        disposer légalement et légitimement. Je veux bien utiliser l'argent
    de la
        République lorsque cela me revient légalement, notamment en contrepartie
        d'une prestation. Je ne supporte pas de me sentir artificiellement
    redevable
        en quoi que ce soit de qui que ce soit.
        Je donne un exemple : Il y a une époque où - au collège - la bourse
        n'était reservée qu'à ceux qui satisfaisaient aux critères de
        réussite et dont les parents avaient des revenus
         relativement bas, compte tenu
        du contexte gabonais. Ces conditions ne prennaient pas en compte la
    situation
        particulière des parents séparés. Je me trouvais exclu du fait de la
        situation socio-professionnelle de mes parents. Je crois que j'aurai
        arrêté prématuremment mes études si les autorités politiques
    n'avaient
        pas décidé d'étendre le bénéfice de la bourse d'études à
    tous les
        élèves satisfaisant aux conditions de réussite. C'est grâce à
    cette
        mesure que, malgré des apparences familiales plutôt favorables, j'ai
    pu
        financer mes études secondaires et universitaires. Cette mesure a été
        incohérente, mais combien d'élèves et étudiants ont pu accéder à
    des
        études autrement inaccessibles. J'ai simplement regretter que
    certaines
        filières de formation n'aient pas été mises en place du premier au
        troisième cycle universitaire au Gabon. Je crois que je ne me serais pas
        trouvé exposé à
         des questions de logistiques qui ont pu entamer la
        concentration et détermination d'une personne comme moi. Cependant, je
    ne
        peux que remercier ces autorités politiques qui m'ont fait
    bénéficier des
        ressources de la République. Mais je me sens redevable qu'à la
    République
        et non pas à une personne particulère comme un sujet pourrait se sentir
    soumis
        à la volonté de son seigneur/souverain, un client vis à vis de son
    parrain
        politique. Malgré une rancoeur humaine mais contenue, je ne ressens pas le
        désirs d'aller me ranger sous la bannière de qui que ce soit sous
    pretexte
        d'être en situation de précarité. Je crois que la République
    m'a
        permis de bien "manger" et même de "danser" dans ce
        contexte.
         
        Il faut désormais penser que la République a tiré ces ressources de
    quelque
        part. Il faut essayer de comprendre de quelle façon nos ainés-serviteurs
    de la
        République se sont organisé pour que
         cette République puisse produire ces
        ressources. Lorsque nous avons compris le modèle économique qu'ils
    ont
        construit pour créer de la richesse ou en canaliser une partie à notre
    profit,
        nous devons - à notre tour - faire fonctionner ces mécanismes, les
    améliorer
        ou les renouveller pour optimiser les performances économiques. Je
    reproche aux
        aspirants - opposants ou partisans du pouvoir - à la vie politique le fait
    de
        penser uniquement à la manière dont ils vont "manger". Dans un
    cas
        comme dans l'autre, ils essaient de soulager leurs conscience, en
    essayant
        d'expliquer "au peuple" - et surtout à leurs potentiels
        supporters comment ils vont distribuer quelques bouts de gateaux qu'ils
        espèrent "manger". Seulement, ils n'ont pas reçu le moindre
        mandat pour parler au nom de ce "peuple". Celui-ci s'est
        débrouillé sans eux pour faire construire quelques routes à Libreville
    et sur
        la route nationale. Le
         "peuple" se débrouille égalemtn sans eux
        quand il s'agit de s'organiser pour faire face aux problèmes de
    santé.
        Ils vont acheter des médiacaments non homologués qui pillulent désormais
    à
        tous les coins de rue. Ils savent bien que leurs parents de la diaspora
    peuvent
        agir en organisant des convois pour suplléer à la défaillance des
    pouvoirs
        publics. Ces derniers sont trop occupés à se battre entre eux.
         
        Au fond, la question qui doit nous préoccuper n'est pas celle de
    savoir
        quand et comment "manger". Il faut aussi permettre à la bête
    que
        nous voulons manger de "se nourrir et de se reproduire".
    C'est la
        raison pour laquelle il n'es pas nécessaire de multiplier le nombre de
        partis politiques. Nous avons plutot intérêt à créer et à développer
    de
        nombreux centre privés d'études et de projets, des centres de
    gestion, de
        profit et/ou de coûts associés à nos différents départements, nos
         provinces
        ou d'autres formes de collectivités territoriales.  Ces centres de
    gestion
        - regroupés en Groupements d'Intérêts Economiques - peuvent prendre
    la
        forme d'ONGs ou associations de développement internationale,  de
    Cabinets
        de Consultants, d'entreprises de BTP ou d'agro-alimentaire ou de
        différents secteurs économiques du Gabon.
        Nos ressources humaines ont besoin d'être regroupées et motivées au
    sein
        de structures productives plutôt que d'être dispersées dans des
    partis
        "politiques" - opposants ou partisant du pouvoir - sans
    propositions
        tangibles.
         
        Je crois que le clivage qui se dessine progressivement n'est pas entre
    les
        "pro et les anti pouvoirs", plutôt entre ceux qui restent dans
    une
        logique unique de consommation et ceux qui veulent développer une logique
    de
        maîtrise de la production ou création de richesses avant de procéder à
    sa
        repartition selon les règles du système
         capitaliste : à savoir, à chacun
        selon sa participation dans le processus de création de richesses.
         
        Je pourrais développer prochainement. Pour l'instant, je t'adresse
    mes
        salutations cordiales.
         
        MANGASS TTC
        Christian MAYANDJI
        Démarches-Gestion
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        ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
         CONVOYAGE EXPLOITATION
        VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
        EUROPE - AFRIQUE
         


        --- En date de : Jeu 18.9.08, PETIT LAMBERT.O <protected at yahoo.fr> a
        écrit :

            De: PETIT LAMBERT.O <protected at yahoo.fr>
            Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
            À: bdpalabres at bdpgabon.org
            Date: Jeudi 18 Septembre 2008, 1h11

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            Tu nous fatigues avec tes théories des années 30.
            Rentre dans la danse et viens manger.

            SINCERES SALUTATIONS


            -- En date de : Mer 17.9.08, Christian MAYANDJI
    <protected at yahoo.fr>
        a
            écrit :

                De: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
                Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
                À: bdpalabres at bdpgabon.org
                Date: Mercredi 17 Septembre 2008, 1h40

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                Cher Félicité, chers compatriotes,
                 
                Vous avez raison. Il n'y a pas de sots métiers et je ne vous
        cacherais
            pas
                mon admiration
                 pour cette capacité d'adaptation. J'ai un peu fait la
                meme expérience que vous - même et je suis parti du batiment à
    la
                comptabilité-finance en passant par la logistique.
                Vous n'avez pas besoin de dire grand chose mais votre
    expérience
        est
                dense. Je pense que s'il m'étais donné de construire à
        nouveau
            des
                groupes de travail pour préparer et réaliser des projets pour le
        Gabon,
            je
                serais heureux de vous compter soit dans le service à la personne,
        soit
            dans la
           
             mise en oeuvre des projets agricoles.
                Je voudrais juste vous signaler que l'agriculture gabonaise est
        entrain
                d'évoluer, du moins au niveau des pays. Les paysans gabonais
    ne
            cultivent
                plus uniquement pour l'autoconsommation, la subsistance. Ils
        cultivent
            de
                plus en plus en tenant compte des débouchés vers les marchés.
    Par
        contre
            et
                contrairement aux secteurs d'extraction, le secteur agricole du
        gabon
            manque
                de cadres pour résoudre les problèmes
                 de cultures, de financement, de
                logistique, de débouchés commerciaux. Les gabonais n'ont pas
        encore
                compris - ou refusent de comprendre - que les filières du secteur
        agricole
                peuvent fonctionner comme celles du secteur pétrolier ou minier.
                En fait, ce secteur a fonctionné ainsi jusqu' à la fin des
        années
            1960.
               
         Bien plus que l'argent, ce secteur a besoin qu'on construise
        des
                entrepots pour stoquer et conditionner les produits ainsi que des
            véhicules de
                transport pour acheminer les produits vers les marchés domestiques
    ou
                extérieurs. Je dois signaler que pendant que nos paysans ne
    peuvent
        pas se
                permettre des efforts de production, nous avons des gabonais qui se
        sont
            lancé
                dans la gestion des centrales d'achats et qui - pour
            s'approvisionner -
                sont obligés de travailler avec d'autres pays. N'est-il
    pas
        temps
            de
                combler ce fossé?
                 
                Où est passé l'argent ?
                Je crois que le privé doit être capable
                 de remplacer le public lorsque celui
                - ci échoue dans un secteur. De quelle somme d'argent  a t-on
        besoin
            pour
                construire des entrepôts? acheter des tracteurs
         d'occasion dans
        les
                campagnes françaises et les expédier au Gabon ? des camions de
        transport
                d'occasion ? des pondeuses à parpaing ? des bétonneuses ? et
        même
            des
                camions citernes d'occasion ? des scies mécaniques ? des
    treuils ?
        des
                remoqueurs ? des canots ? des plants ou des semences ? et tant
        d'autres
                choses ?
                 
                Aller vérifier sur internet et vous vous rendrez compte que tout
    cela
        est
            à
                notre portée. Je pense que si chaque ressortissant gabonais de la
        diaspora
                pouvait - individuellement ou collectivement - consacrer 3000 à
    15000
        €
                d'investissements par an rendu port de Libreville en
    équipements,
        nous
                pourrions transformer un certain nombre de secteurs économiques
        laissé en
                désuétude par l'Etat. Je crois que cela serait plus
                 convaincant au yeux
          
              des nos populations, de nos parents que nos explications, nos
    discours
        ou
            même
                même nos comportements de courtisans du pouvoir. Nous peserions
        d'un
            autre
                poids politique et économique. Ce sont des choses que nous pouvons
        faire 
            tous
                les " 17 Août " pour équiper chaque département du
    Gabon
        un
            minimum
                d'infrastructures de production. Pour ceux qui ne sont pas
    capable
                d'épargner, il y a de nombreuses sociétés financières
    (CETELEM,
            ...) qui
                ne demandent qu' à offrir des crédits en contrepartie de
    quelques
                garanties.
                La diaspora a un rôle à jouer. Il ne faut pas qu'elle rate le
        train
            comme
                nos ainés : opposants ou partisans du pouvoir, ils ont été
        contraints à
                l'entrisme politique parce que - munis uniquement de leurs
        dîplomes -
            ils
                ne pouvaient
         subvenir à leurs besoins autrement qu'en entrant à
        la
                "haute"  fonction publique. Nous devons être en mesure
    de
        créer
            une
                autre
                 classe sociale qui soit une pépinière des nouveaux capitaines
                d'industries du Gabon.
                Il faut que nous arrivions à nous montrer aussi responsables que
    les
            diasporas
                des autres pays africains. Nous serons davantage respectés.
                 
                J'en appelle à notre conscience.
                Salutations cordiales.

                 
                MANGASS TTC
                Christian MAYANDJI
                Démarches-Gestion
                FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES 
                ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                 CONVOYAGE EXPLOITATION
                VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                EUROPE - AFRIQUE
                 


                --- En date de : Mar 16.9.08, Alice Vincent
    <protected at yahoo.fr>
        a
            écrit
               
         :

                    De: Alice Vincent <protected at yahoo.fr>
                    Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
                    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                    Date: Mardi 16 Septembre 2008, 20h18

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                    Mon cher Christian, pour notre entretien
                     
                    Lorsque les Etrangers ne sont pas affectés aux activités de
        services
            à
                la
                    personne ou
         ux tâches insalubres, ils sont perçus comme des
        individus
            qui
                    viennent manger le pain des nationaux.
                     
                    Il n'y a pas de sot métiers, il n'y a que de sorte
    gens !
                    Les services à la personne pèsent 8 milliard d'Euros,
    nous
            travillons
                à
                    la professionnalisation, selon la loi 2002.

                    Il y a aujourd'hui des lois qui contingentent non seulement
                l'accès au
                    territoire, mais également l'accès à l'emploi en
        commençant
            par
                les
                   
                 différentes cartes de résidence. En pratique, nous pouvons
    prendre
        votre
                    exemple : diplomé en agronomie tropicale (acitivité plutôt
            innovante),
                mais
                    obligé d'évoluer dans un autre secteur d'activité.
    Ce
            n'est
                pas
                    du racisme, mais c'est du gachis! je
         suis certain qu'au
        Gabon
            ou en
                    France, vous auriez pu apporter une très grande valeur
    ajoutée
        dans
            le
                    développement des cultures tropicales.
                     
                    Le pojet CIAM au Gabon, avec mon professeur de mémoire,
    Monsieur
        Guy
                Rouanet,
                    nous avons travaillé à la mise en place de ce projet au
    Gabon. le
                    fonctionnement et les moyens finaniers, étaient aux mains de
    nos
                compatriotes.
                    Ceci après le départ des blancs. L'argent est parti où ?
    Je
        vous
                laisse
                    déviner !
                    La Gabegie pour mon peuple !
                     
                    En tant scientifique, j'ai choisie toute seule mon
    orientation
                    universitaire. Ma peau d'âne en
                 poche, je n'ai pas chômée,
                j'ai
                    travaillé à l'assistance publique. J'ai appris
    beaucoup
        de
           
         chose
                au
                    niveau professionnel,  la gestion financière d'un
    hôpital,
            d'un
                Centre
                    de santé, mes chefs m'aimaient pour ma rigueur allié à
    mon
                efficacité
                    profesionnelle. C'est moi-même qui avait démissionné
    pour
        être
                    indépendante !
                     
                     
                    Après tout, il y a tellement de laboratoires en
            recherche-développement
                qui
                    ont des programmes, tellement de projets pour lesquels les ONGs
                occidentales
                    collectent des fonds aussi bien au près du grand public
    qu'à
            celui
                des
                    organisations internationales pour vaincre la faim et la
        malnutrition
            dans
                tant
                    de pays du Tiers-mondes que je ne comprends pas autrement
        qu'ils ne
            ne
                    soient pas donné l'opportunité de vous
         soutenir dans ce qui
            était
                votre
                    projet initial. Serait-ce vous même qui y avez
                 renoncé ?

                    Ce n'est pas du racisme, c'est du gachis. Le mur de
    verre
        est
            cela
                : le
                    fait de gacher des talents au nom du protectionisme, du
        corporatisme et
            du
                    contingentement économique.
                     
                    Nous devrons apprendre à gérer, confondre le prix d'achat
    et
        de
                revient,
                    il y a un ''blème'' ! Gérer une exploitation
        agricole
            ça
                    s'apprend, notre agriculture est une agriculture de
        subsistance. Je
                suis
                    partisan d'une agriculture raissonnée, extensive et non
        intensive,
                pour
                    éviter l'érosion des sols, vue les averses au Gabon.
                     
                    Serait-ce vous même qui y avez renoncé ?
                    
         
                    J'adore ce métier, je vais vous dire une chose,
        j'élèvait
            les
                    poules, les lapins, les canards. Nous n'arrivions pas à
    les
            manger,
                    c'était comme mes enfants !
                     
                    je cultuvais le maïs, les pommes de terre, les tomates, les
        aromates.
                J'ai
                    tout
                 arrêté ! Mon travail est trop prenant !
                     
                    J'ai planté les pommiers, poiriers, cerisiers, noisetiers.
                     
                    Cordialement vôtre
                     
                    Félicité Vincent
                     



                     

                    ----- Message d'origine ----
                    De : Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
                    À : bdpalabres at bdpgabon.org
                    Envoyé le : Mardi, 16 Septembre 2008, 1h55mn 48s
                    Objet : [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution
         1

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                    Cher Félicité,

                    Lorsque je parle
                 de mur de verre, je ne fais pas référence au racisme. La
                    France a aboli l'esclavage ainsi que le code de
        l'indigénat -
                    traduction économique du racisme - depuis bien longtemps. En
                m'exprimant
                    sur ces points, j'ai utilisé un style plutôt parabolique
            emprunté à
                    l'écriture évangélique.
         L'interprétation que certains
                d'entre
                    vous en ont faite n'est pas celle que je souhaite.
                    Le mur de verre fait référence au protectionnisme et au
        corporatisme
            qui
                ont
                    caractérisé l'économie mercantiliste en France ainsi que
    des
                nombreux
                    pays du Sud du XVIe siècle européen. Cette forme
    d'économie
                    pré-capitaliste préconisait que la richesse d'un pays à
    la
            quantité
                des
                    métaux précieux - et des marchandises de meilleures qualité
    -
            qu'il
                    pouvait accumuler. Elle a amené la France à pratiquer une
        économie
            quasi
                    autarcique consistant à
                    - vendre du
                 toc, piller les gisements de minerais, exploiter de la main
                    d'oeuvre bon marché à l'etranger
                    - créer des manufactures controlées par la
         puissance publique
        pour
                fabriquer
                    et distribuer des biens de prestige ou de qualité sur le
        territoire
                national.
                    Le critère dominant de repartition n'était alors pas
            l'échange
                    (valorisé par une monnaie) entre la quantité ou la qualité
    de
            travail
                reconnu
                    contre le bien recherché, mais simplement le fait de la
        reconnaissance
            du
                    Prince envers ses sujets par ordre de préférence royale (et
    non
        pas
                encore
                    nationale).
                    De nos jours, la France a connu l'émergence et le
        développement
                    capitaliste : outre les métaux précieux, elle accumule
        l'argent
            et
                une
                    certaine forme de puissance. Les sujets - transformés en
    citoyens
        -
            forme
                le
                    corps politique et sont désormais dépositaires de
         la
                 souveraineté
                nationale.
                    Il reste malgré tout un certain héritage de cette époque
            économique.
                    Les barrières douanières ne sont plus aussi forte pour
    empecher
        les
                produits
                    étrangers  d'entrer sur son territoire. Entre-temps, la
        population
            est
                    passé de l'économie de production à la société de
        consommation
            :
                les
                    individus et l'Etat ont compris que la présence des
    produits
                étrangers et
                    le développement des échanges économiques pouvaient
    contribuer
        au
                bien-être
                    des populations.
                    Seulement, Cet environnement économique conservent des
    rigidités
        et
                    génèrent des comportements si obselètes que la performance
            économiques
                en en
                    a patit. La France est passé du 4ème au
         10ème rang des puissance
                    économiques. Comme au Gabon, les populations - les catégories
                    socio-économiques - se battent pour avoir la plus grosse part
        d'un
                gateau
                   
                 dont la dimension se réduit. Ils ne combattent plus pour créer
    la
                richesse qui
                    se présente désormais sous la forme de l'accumulation de
    la
                connaissance
                    scientifique et technologique, l'accroissement des
    équipements
        et
                    différents moyens de production, la multiplication des
    produits
            culturels
                et de
                    consommation.
                    Lorsque les Etrangers ne sont pas affectés aux activités de
        services
            à
                la
                    personne ou ux tâches insalubres, ils sont perçus comme des
        individus
            qui
                    viennent manger le pain des nationaux.
                    Il y a aujourd'hui des lois
         qui contingentent non seulement
                l'accès au
                    territoire, mais également l'accès à l'emploi en
        commençant
            par
                les
                    différentes cartes de résidence. En pratique, nous pouvons
        prendre
            votre
                    exemple : diplomé en agronomie tropicale (acitivité plutôt
            innovante),
                mais
                    obligé d'évoluer dans un autre secteur d'activité.
                 Ce n'est
                pas
                    du racisme, mais c'est du gachis! je suis certain qu'au
        Gabon
            ou en
                    France, vous auriez pu apporter une très grande valeur
    ajoutée
        dans
            le
                    développement des cultures tropicales. Après tout, il y a
        tellement
            de
                    laboratoires en recherche-développement qui ont des
    programmes,
            tellement
                de
                    projets pour lesquels les ONGs occidentales collectent des
         fonds
        aussi
            bien
                au
                    près du grand public qu'à celui des organisations
        internationales
                pour
                    vaincre la faim et la malnutrition dans tant de pays du
        Tiers-mondes
            que je
                ne
                    comprends pas autrement qu'ils ne ne soient pas donné
                l'opportunité de
                    vous soutenir dans ce qui était votre projet initial.
    Serait-ce
        vous
            même
                qui
                    y avez renoncé ?
                    Ce n'est pas du racisme, c'est du gachis. Le mur de
    verre
        est
            cela
                : le
                    fait de gacher des talents au nom du protectionisme, du
        corporatisme et
            du
                  
                  contingentement économique.

                    La fait est que, dans le cadre de l'expansion capitaliste
    de
        cette
                    puissance économique en Afrique, notamment au Gabon, nous
    avons
            hérité
               
         de ce
                    mode de fonctionnement économique : l'importance de la
            participation
                de
                    chacun à la création de la richesse n'est pas apprécié
    à
        sa
            juste
                    valeur, la repartition de la richesse se fait en fonction de la
            puissance
                du
                    lobbying et de la preférence présidentielle. Les effets
        désastreux
            de ce
                type
                    de comportement économique sont accentués par
    l'obscurantisme
        qui
                anihile
                    le désir de produire des efforts.
                    MANGASS TTC
                    Christian MAYANDJI
                    Démarches-Gestion
                    FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                    ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                    CONVOYAGE EXPLOITATION
                    VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                    EUROPE - AFRIQUE



                    --- En date de : Lun 15.9.08, felicite

                 vincent <protected at yahoo.fr> a
                    écrit :

                        De: felicite vincent <protected at yahoo.fr>
                        Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
                        À: bdpalabres at bdpgabon.org
                        Date: Lundi 15 Septembre 2008, 0h08

                        ___________________________________________________________
                        Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau.
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                        Mes chers compatriotes,
                       
                        La timidité
         des africains, et des gabonais en particulier.
                        Le français n'est pas raciste ! Quelques conseils pour
        casser
            le
                mur
                    de
                     
                   verre.
                       
                        Manquer d'assurance, de confiance en soi, être
            "timide",
                        est un handicap considérable pour réussir sa vie.
                        ** Les points caractéristiques des timides sont :**
                        Le point le plus important est l'analyse excessive de
                        ses propres réactions, la préoccupation de soi. Cette
                        autocritique permanente provoque l'inhibition, le
                        freinage des facultés mentales et créatrices, surtout
                        en groupe.
                        Cela vous empêche de communiquer efficacement, donc
                        cela fausse l'impression qu'ont les autres de vous.
                        Cela vous empêche de
         défendre vos droits et d'exprimer
                        votre opinion et votre personnalité.
                        Toutes ces difficultés vous empêchent d'apprécier
    des
                        moments qui auraient dû être des moments agréables, et
                        il en résulte la peur de rencontrer de nouvelles
                        personnes, de se
                 faire des amis.
                        Une enquête, menée par le Standford Research Institute
                        (EU) auprès de 5.000 personnes, a montré que 80 % des
                        gens ont été ou sont timides, et que 40 % de la
                        population se considère comme actuellement timide.
                        Vous le voyez, vous n'êtes pas seul.
                        ** Le mythe de la personnalité immuable **
                        Pour ne plus être timide, le premier pas consiste à
                        vaincre le "mythe de la personnalité immuable".
    Ce
                        mythe,
         profondément ancré dans notre culture, veut que
                        nous ayons une personnalité immuable, soi-disant
                        "naturelle", acquise dès notre naissance, ou
    dans la
                        petite enfance, et qui constitue notre essence même.
                        Les dictons regorgent de phrases telles que "Chassez
                        le naturel, il revient au galop".
                        Or, les travaux de la psychologie moderne nous
                        montrent que tout cela
                 est un mythe. Les cas célèbres
                        de multiples personnalités nous démontrent, si c'est
                        nécessaire, qu'en chacun de nous le potentiel de
                        changement existe.
                        Le mot "personnalité" vient de
    "persona",
            masque.
                La
                        personnalité n'est qu'un masque, un rôle, et nous
                        pouvons en changer à volonté. Nous avons bien une
               
                 nature profonde, un potentiel, un acquis génétique,
                        mais celui-ci est beaucoup plus vaste que la
                        personnalité que nous exprimons. Les mêmes mécanismes
                        d'influence parentale, de suggestion,
                        d'autosuggestion, d'habitudes qui ont créé notre
                        personnalité, peuvent être utilisés pour la modifier.
                        Le plus important est d'admettre cette possibilité de
                        changement. Sans changement, il n'est pas de progrès
                        possible.
                        ** Agissez! **
                        La deuxième étape que
                 vous devez franchir pour
                        atteindre l'assurance et la confiance en soi, est
                        d'agir. Lire cette lettre est bien, mais si vous
                        ne faites que cela, cela ne servira pas à grand chose.
                        Prenez l'engagement vis-à-vis de
         vous-même d'agir,
                        sinon votre effort ne servira à rien.
                        ** Changez votre Image de vous **
                        Avoir confiance en quelqu'un, c'est le connaître,
                        l'apprécier, voir ses qualités, ses côtés positifs,
    se
                        fier à lui. Mais pourriez-vous avoir confiance en
                        quelqu'un que vous critiquez tout le temps, dont vous
                        ne voyez que les aspects négatifs, les défauts ?
                        Certes pas.
                        Cette personne c'est vous. Par votre dialogue
                        intérieur, vous remplacez les injonctions de vos
                        parents : "Ne fais pas ci, ne fais pas ça" -
        "Tu
                        aurais dû..." - "Que vont-ils penser de toi
    ?".
            Vous
                    
                    avez un gendarme et un critique dans votre tête. Le
                        rôle de gendarme est la répression, le rôle de la

                        personnalité est juste le contraire : l'expression. La
                        répression empêche vos possibilités latentes de
                        s'exprimer.
                       
                        --------------------
                        Apprenez à dire NON
                        --------------------
                        Dire NON, cela n'est pas toujours facile, mais cela
                        s'apprend.
                        Si vous voulez bien gérer votre temps, établir un
                        véritable climat de communication entre vous et les
                        autres, vous devez vous y entraîner.
                        Les psychologues nous disent que ne pas savoir ou oser
                        dire "non" est lié à une peur profondément
    ancrée
        en
                        nous depuis notre enfance :
                        "Si je dis non, on va moins m'aimer !".
                        La conséquence directe de refuser quelque chose à
                       
         quelqu'un serait de perdre
                 son affection, son amitié.
                        Donc, pour "faire plaisir", je dis
    "oui".
        Et
                c'est
                    là
                        où tout se gâte: le résultat de mon acceptation
                        malgré moi sera du ressentiment. Le climat de
                        communication sera troublé.
                        ** Voici 5 conseils pour apprendre à dire NON : **
                        1. Écoutez attentivement la requête de l'autre,
                        et prenez votre temps avant de donner votre
                        réponse.
                        Si quelqu'un, par exemple, vous téléphone pour
                        vous demander de l'accompagner à un rendez-vous,
                        et que vous n'êtes pas certain d'avoir envie
    d'y
                        aller, répondez simplement:
                        "Il faut que je réfléchisse, je te rappelle dans
                        quelques minutes".
                       
         Ne décidez qu'après avoir réfléchi.
                        2.. Dites la vérité.
                        Ne vous empêtrez pas dans des excuses vaseuses,
                        inventées à la seconde et
                 oubliées aussitôt. Un
                        mensonge peut avoir des conséquences bien pires
                        sur les relations qu'un NON franc.
                        3. Dites "non" avec tact et ne blessez jamais.
                        Refuser, dire "non", n'est pas synonyme
                        d'assommer, de faire mal. Si quelqu'un vous
                        invite à assister à une réunion qu'il organise et
                        que vous n'avez pas envie d'y aller, dites :
                        "Merci d'avoir pensé à moi, mais je n'ai
        vraiment
                        pas le temps!".
                        Plutôt que :
                        "Tes réunions me font toujours perdre du temps.
                        Je n'y vais pas!".
                        4. Ne vous laissez
         pas embarquer dans une
                        argumentation.
                        Si quelqu'un est surpris par votre refus et
                        essaie de vous faire changer d'avis, évitez de
                        vous lancer dans une explication compliquée du
                        pourquoi de votre refus.
                        Regardez la personne gentiment, souriez et
                   
                     redites-lui : "NON".
                        Sinon, vous risquez de partir dans une discussion
                        interminable qui risque de mal tourner.
                        5. Ne vous excusez pas.
                        Rien ni personne ne vous oblige à vous excuser
                        parce que vous avez dit "non". Dire
    "non"
        est
                        votre droit le plus absolu. Tout ce que faites en
                        vous excusant, c'est de vous placer en situation
                        d'infériorité.
                       
                        Félicité Vincent


                
                --- En date de : Dim 14.9.08, bdpalabres-request at bdpgabon.org
                        <bdpalabres-request at bdpgabon.org> a écrit :

                            De: bdpalabres-request at bdpgabon.org
                    <bdpalabres-request at bdpgabon.org>
                            Objet: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
                            À: bdpalabres at bdpgabon.org
                            Date: Dimanche 14 Septembre 2008, 18h00

                            Envoyez vos messages pour la liste BDPalabres à
                               
                 bdpalabres at bdpgabon.org

                            Pour vous (dés)abonner par le web, consultez
                               
            http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org

                            ou, par email, envoyez un message avec 'help'
    dans
        le
            corps
                ou
                    dans
                        le
                            sujet à
                               
         bdpalabres-request at bdpgabon.org

                            Vous pouvez contacter l'administrateur de la liste
    à
                l'adresse
                                bdpalabres-owner at bdpgabon..org

                            Si vous répondez, n'oubliez pas de changer
    l'objet
        du
                message
                    afin
                            qu'il soit plus spécifique que "Re: Contenu
    du
        digest
            de
                            BDPalabres..."


                           
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                            Resumé des messages - Liste BDPalabres - BDP-Gabon
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                            Thèmes du jour :

                              1. Re: Je suis dans la précarité mais je ne me sens
    pas
                                  affamé,... (Christian MAYANDJI)
                              2. Re: Communiqué: Clarifications sur la phase
            insurrectionnelle
                                  et les Représentations nationales et
    internationales
        du
                    BDP-Gabon
                                  Nouveau (Christian MAYANDJI)
                              3.  Les 10 Gabonais Qui Comptent Dans La Diaspora
        (Gabonais
                Diaspora)
                              4. Les 10 Gabonais Qui COMPTENT Dans La Diaspora   
            Gabonaise.
                                  (Sylvain Ndong)
                              5.  Le silence tue... (Gabonais Diaspora)
                              6.  Re: 10 gabonais
                 de quoi ? (Sylvain
         Ndong)
                              7.  Re: Les 10 Gabonais Qui Comptent Dans La Diaspora
        (Ange
                LESCO)


                           
               
    ----------------------------------------------------------------------

                            Message: 1
                            Date: Sun, 14 Sep 2008 04:54:16 -0400
                            From: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
                            Subject: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité
    mais
        je
            ne me
                    sens
                                pas affamé,...
                            To: bdpalabres at bdpgabon.org
                            Message-ID:
            <E1KenN2-00033C-LU at dchost.globalwebcompany.net>

                            Marcel,
                           
                            Au démarrage d'un projet, la probabilité que
    l'on
        a
                        d'atteindre
                            les objectifs fixés est de moins de 50 %.
         Lorsqu'on
        entre
            dans
                la
                        phase
                            d'étude préliminaire et d'analyse
    fonctionnelle
        du
                projet, on
                        peut
                           
                 faire baisser le niveau de risques à 20-25 %. Lorsqu'après
                avoir
                    fait
                        la
                            selection des ses partenaires et définit avec eux les
        cahiers
            de
                    charges
                        de
                            leurs interventions, chacun passe à une phase
    d'étude
                technique
                    de
                        son lot
                            de travail, on arrive à un niveau de risques de 5 %.
    Ce
        niveau
            se
                    réduit
                        au
                            fur et à mesure qu'on progresse car on bénéficie
    de
                l'effet
                            d'apprentissage et du retour sur expérience.
    C'est
        la
          
              raison
                    pour
                            laquelle il faut acquérir un minimum d'outils
    avant de
        se
                lancer
                    dans
                        quoi
                            que ce soit.
                            Je n'ai pas choisi de quitter mon pays pour fuir
                l'oppression.
                            Autrement, je n'y reviendrais pas tous les ans et
    je
            n'y
                    passerais
                        pas
                            le tiers ou la moitié
                 de l'année. Mon père était militaire.
                A
                    son
                            contact, j'ai appris à anticiper ou à réagir
    dans
        les
                conditions
                            extrêmes. Je crois que je me sens plus efficace en
        situation
            de
                crise.
                    En
                            quittant l'aéroport Léon Mba, je savais que je ne
        pouvais
            pas
                me
                        contenter
               
                     de ramener uniquement un diplome dans mon pays. Je savais
        aussi
            que
                            lorsqu'on veut progresser, il faut aller chercher
    la
                connaissance
                    et
                            l'expérience ainsi que les moyens chez ceux qui
            constituent le
                    modèle
                        de
                            réussite et de puissance. C'est ce qu'ont fait
    les
                    ressortissants
                        des
                            pays que vous avez cités. Je suis le même exemple.
    Vous
            pouvez en
                    faire
                            autant. Ensuite, il faut diffuser les fruits de notre
            expérience
                dans
                    la
                            société. C'est
                 comme cela que les personnes s'impregnent
                des
                            technologies diffusées ailleurs, apprenent à
    travailler
            ensemble
                dans
                   
         des
                            ateliers, puis dans des usines.
                            J'aurai souhaité construire des usines dans mon
    pays,
        les
                mettre
                    en
                            exploitation en recrutant autant de ressortissants
    gabonais
        que
                    possible.
                            J'aurai souhaité faire la même chose avec des
            exploitations
                        agricoles.
                            Tout cela m'est techniquement possible. Pourtant je
    me
            rends
                compte
                    que
                        mes
                            compatriotes - en commençant par vous - ne sont pas
    encore
            prêts
                à
                        optimiser
                            l'exploitation des investissements d'un niveau
            industriel.
                        L'échec
                            des projets ou de certaines réalisations industrielles
                    s'expliquent
                        soit
                
                    par des choix d'investissements
                 inappropriés, soit par des
                fautes
                    de
                            gestion (détournements de fonds), soit par des
    évolutions
                    défavorables
                        des
                            marchés cibles, mais aussi par les contre-performances
    des
                ressources
                        humaines.
                            Elles ne sont pas prête à travailler efficacement
    dans
        des
            grands
                        ensembles
                            industriels. Allez rencontrer indiféremment des
        responsables
                gabonais
                    ou
                            expatriés d'entreprises comme je l'ai
    moi-même
        fait
            avant
                de
                            l'expérimenter : ils vous diront que la même
        d'oeuvre
                    gabonaise
                            n'est pas compétitive, ni suffisamment réactive.
    Ils
        ne
                       
         l'emploient
                            que pour les travaux s'inscrivant dans le cadre des
        cahiers
            de
                    charges
                            fixés par l'Etat gabonais. Autrement, ils
    pourraient
            s'en
                    passer
                        comme
                            les chinois l'ont
                 fait en construisant nos batiments publics.
                            Vous vous sentez obligé de vous reconnaître des
    tares.
        Vous
            avez
                    raison.
                        Vous
                            en avez de bien grandes, et moi aussi. S'il vous
        plaît,
            aidez
                moi
                    à
                            transformer ces tares en qualités humaines et
    techniques,
        sans
                nous
                    tirer
                        dans
                            les pattes. Nous en sortirons mutuellement gagnants.
    Vous
            voulez
                que je
                    me
                            concentre sur la
         président de la République. Le docteur
            MENGARA
                et
                            d'autres le font déjà bien pour nous tous.
    Pourquoi
            perdre de
                            l'énergie ? Dans une organisation efficiente
    chacun
        peut
            se
                    concentrer
                        sur
                            ce qu'il sait faire au mieux. Je crois que je peux
    vous
            être
                utile
                    en
                        vous
                            envoyant des ciseaux. J'essaie de le faire au
    mieux.
                J'espère
                    que
                        vous
                 
                           en êtes satisfait.
                            Vous parlez de respect. Croyez bien que chaque fois que
    je
        me
            suis
                    trouvé
                            "un petit boulot", je n'ai pas eu le
        sentiment
                    d'être
                            humilié. Je me suis mis en situation
    d'apprentissage
        et je
           
         me
                suis
                        sentis
                            épanouie. J'ai tiré le maximum de connaissances
            techniques
                    possibles
                        dans
                            l'espoir de les partager, un jour, avec vous et
            d'autres
                        compatriotes.
                            Je désespère car je crois que vous dû vous offrir
    encore
                quelques
                        régabs
                            avant de prendre le temps de me repondre. Alors, vous
    ne
        prenez
            pas
                la
                        peine
                            d'analyser ce que je dis et vous cherchez à me
    coller
        une
                image
                    dans
                            laquelle je ne me reconnais pas.. Heureusement
    qu'il y
        a
                    d'autres
                            personnes qui me lisent et qui ont compris,
                 mieux que vous, ce que
                        j'essaie
                            de
         communiquer. Cela me permet de comprendre qu'en ce
        qui
                concerne
                            l'état mental des populations gabonaises, je ne
    dois
            surtout
                pas
                            généraliser. Je dois continuer à observer, trier et
            commencer à
                        travailler
                            avec ceux qui commencent à comprendre. Les autres,
    comme
        vous,
                    prendront
                        le
                            train en marche.
                            En attendant, salutations cordiales.
                           
                            MANGASS TTC
                            Christian MAYANDJI
                            Démarches-Gestion
                            FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                            ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                            CONVOYAGE EXPLOITATION
                            VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                            EUROPE - AFRIQUE
                          
         


                            --- En date de : Sam 13.9.08, Marcel Mabongo
                    <protected at yahoo.com> a
                          
                  écrit :

                                De: Marcel Mabongo <protected at yahoo.com>
                                Objet: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité
        mais je
            ne
                me
                    sens
                        pas
                            affamé,...
                                À: bdpalabres at bdpgabon.org
                                Date: Samedi 13 Septembre 2008, 3h29

                               
        ___________________________________________________________
                                Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon
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        page.
                               
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                                Monsieur Mayandji, vous continuez à tourner en
    rond.
                               
                 Manifestement, vous n'avez encore pas dépassé le state de
                la
                                superficialité. Tout votre propos est la
    manifestation
        de
            la
                        mentalité
                                d'esclave dans laquelle les Africains baignent.
                                Votre seule explication aux problèmes des
    Africains en
            France
                    reste
                            limitée
                                à ce que les autres vous font. Tout cet étalage
    se
            résume à
                    cette
                            bizarre
                              
          conclusion que vous semblez avoir trouvée,
            c'est-à-dire
                que
                    tout
                        ce
                            qui
                                arrive au Africains en France, c'est la faute
    des
                Français.
                                Est-ce que vous vous êtes un peu demandé si le
        problème
            qui
                fait
                    que
                        les
                                Africains soeint au bas de l'échelle me vient
    pas
        de
            nos
                    propres
                        tares
                            et
                                non des autres?
                 Vous attendez qu'on vous serve le respect
                sur
                    un
                        plat
                                d'argent. Mais non Monsieur Mayandji, le
    respect ne
        se
                donne
                    pas,
                        le
                            respect
                                se gagne. En tant qu'historien,
         vous devriez
        pourtant
                savoir
                    que
                                l'histoire n'est jamais un accident.
    Regardez
            comment
                tous
                    les
                            peuples
                                jadis traités comme des animaux par les
    occidentaux
        sont
                        aujourd'hui
                                respectés et même craints par les occidentaux
    (Chine,
            Inde,
                        Indonésie,
                            etc.).
                                ces pays, il ya 40 ans, étaient plus pauvres que
    les
        pays
                    Africains.
                                Aujourd'hi, ce sont des puissances
    économiques.
        VOus
            qui
                êtes
                            historien,
                                pourquoi ne vous demandez-vous pas pourquoi le noir
        vient
            en
                    dernier
                           
                 derrière
                                les Français. les
         Chinois, les indiens, les portugais
        et
            les
                    Arabes?
                            C'est
                                pourtant dans l'histoire, non pas de la
        victimisation
            des
                        Africains,
                            mais
                                plutôt des incapacités des Africains, que se
    trouve
                        l'explication. On
                            en a
                                marre de cette mentalité qui ne nous fera jamsi
        évoluer.
                Voilà
                        pourquoi
                            les
                                blancs nous considèrent comme des enfants.
                                VOus restez attaché par le cou à la prison des
            incohérences
                        africaines
                            qui
                                nous retardent alors que les autres avancent. Au
    moment
        où
            les
                    autres
                        ont
                           
         fini
                                par conquérir leur respect par des
    ACCOMPLISSEMENTS
        qui
            les
                ont
                        élevés
                            au
                                statut
                 d'HOMMES, nous africains, nous attendons que les
                autres
                    nous
                            offrent
                                le respect comme on donne un os à un chien. Vous
    allez
            vivre
                dans
                    le
                        pays
                            de
                                quelqu'un à cause des animalités de votre
    propre
                président,
                    et
                            c'est
                                la faute des Français? Au lieu de demander de
    scomptes
        à
                BONGO,
                    lui
                        qui
                            vous a
                                appauvri au point de causer vos émigrations, vous
    ne
            trouvez
                rien
                 
           à
                            redire.
                                Pendant que BOngo nous b... par le trou du c....,
    on
            préfère
                    s'en
                            prendre
                                aux français.. INCROYABLE!
                                Pourquoi ne pas retourner en Afrique si vous ne
    voulez
        pas
                subir
                    les
                                humiliations? Au moment où les autres ont conquis
    le
            respect
                par
                    de
                   
                     vrais
                                actes, nous, nous continuons les sempiternels
            pleurnichements..
                Oh,
                        racisme
                            ceci,
                                les Franças cela, oh mur de verre ici, oh
    injustice
        par
            là.
                Mais
                    que
                            dites
                                vous de l'injustice PRIMAIRE, celle faite aux
        Gabonais
            par
              
          Omar
                        Bongo?
                            Que
                                dites vous qui puisse faire réparer cette
    injustice de
            BONGO
                pour
                            qu'on ait
                                plus à aller se faire humiler chez les blancs.
        regardez
            les
                    grandes
                        places
                                immobilières et financières que deviennet des
    pays
        arabes
                comme
                    les
                            Emirats
                                Arabes, le Kowet, etc. Regardez l'indolence des
            Africains
                et
                    les
                                incapacités de rois nègres comme Bongo. Et pour
    vous,
                c'est
                    au
                            Français
                               
                 qui acceuillent les msières causées par BONGO, de nous
                montrer le
                            respect?
                                Si
         vous voulez mon opinion, les Français peuvent nous
            traiter
                    comme
                        des
                                chiens, nous n'avons pas le droit de nous
    plaindre.
        Car
            ils
                    n'y
                        a
                            que
                                des chiens qui fuient leur pays parce qu'ils
    sont
                incapables de
                    se
                                débarasser de leur dictateur, et vont en France
        reprocher
            aux
                        Français
                            leur
                                racisme. NOus méritons ce racisme car nous ne
    sonnes
        pas
            des
                    hommes.
                                Croyez vous que c'est la France qui nous a
    appelés
            vivre
                chez
                    eux?
                        Si
                            nous
                                y sommes, c'est à cause de Bongo. Un vrai
    homme,
        au
            lieu
                de
           
                         s'attaquer
                                aux Français, devrait plutôt se poser la question
    de
                 savoir
                ce
                        qu'il
                            doit
                                faire pour créer les conditions qui feraient que
        lui-même
            et
                ses
                        enfants
                                n'aient plus besoin d'aller se faire
    humulier
        en
                France. La
                            réponse à
                                cette question, c'est en finir avec la personne
    qui
            nous
                force
                    à
                            quitter le
                                pays à la recherche de cieux meilleurs,
        c'est-à-dire
            Omar
                    Bongo.
                                Et si la FRance soutient Bongo contre le peuple
        gabonais,
            alors
                les
                            Gabonais
                                doivent se montrer capable de mourir
         pour leur
        dignité.
            Tous
                les
                        peuples
                            qui
                                aujourd'hui sont dignes et puissants ont
    commencé
        par
            le
                    sacrifice
                                national. Ils se sont refusés à la domination des
        autres
            et
                par
                    cette
                            fierté,
                                ils se
                 sont construits de vraies nations. BONgo n'a jamais
                eu
                    de
                            fierté
                                nationale, alors ils traite ses concitoyens pire
    que
        les
                Français.
                        Mais
                            des
                                gens comme vous, MOnsieur Mayandji, vous attendez
    non
            seulement
                que
                    ce
                        soit
                            la
                                France qui vous donne le respect. Vous attendez
         aussi
        que
            ce
                soit
                    la
                        France
                            qui
                                viennne vous libérer de Bongo.
                                je ne vois pas dans vos écrits le raisonnement de
                quelqu'un
                    ayant
                                dépassé le stade des primaires. VOus êtes de la
            philosophie
                qui
                    dit
                        que
                                l'enfer c'est les autres, alors que notre
        enfer, en
                tant
                                qu'africains, c'est nous mêmes. Au Gabon,
        notre
            enfer,
                        c'est
                            Bongo
                                et toute
                 la clique de voyous dont il s'est entouré.
                C'est
                    à
                        eux
                            la
                                faute de nos humiliations en France, pas les
    françsis.
                         
               Commencez par vous libérer du bongoïsme et vous
        verrez
            que
                    peut-être
                        que
                                vous pourrez éviter à vos enfants
    l'humiliation
                d'aller
                    en
                        France
                                balayer les rues avec un doctorat en poche qui
    aurait
        pu
            aider
                le
                        Gabon.
                                je sais, dans votre dernier message, vous
    m'avez
        dit de
            me
                la
                    fermr
                        car
                                vous avez dit que je ne maîtrise rien et que je ne
        vaut
            rien
                    devant
                        votre
                                quintescence. Mais comme vous parlez trop en termes
    de
        MOI,
                MOI,
                    MOI,
                        et
                            que
                                vous n'arrivez pas à lier votre humiliation
         en
        France
            avec
                les
                            malheurs
                 que
                                notre despote au Gabon génère, c'est que vous
            n'avez
                    guère
                        plus
                                évolué que les paysans et les jeunes à qui vous
        envoyez
            des
                    ciseaux
                        au
                            Gabon.
                                Attention à vos émotions, car vous m'avez
    déjà
            traité
                de
                    moins
                            armé
                                intellectuellement que vous. Si l'émotion
            l'emporte
                encore
                        cette
                            fois,
                                vous risquerez de continuer à tourner en rond avec
    une
                réflexion
                            embrumée par
                                l'énervement. J'essaie juste de vous aider
    à
            mieux y
                voir
           
                     clair
                            car je
                                pense que vous n'avez pas encore réalisé le
    saut
            mental
                comme
                                quelqu'un aime à le dire ici.
                                Mais surtout, attendion à la grosse tête car
        c'est
            ça
                qui
                    créé
                             
                   l'intolérence chez les hommes qui pensent que être dans
                un
                        débat,
                                c'est s'admirer devant les autres et quand
    on
        ose
            dire
                    quelque
                            chose de
                                contradictoire, l'émotion l'emporte.
    Maitrisez
        vos
                    émotions
                        si
                            vous
                                voulez débattre avec les idées claires. Pour le
        moment,
            vous
                        n'avez
                            pas
                               
         plus évolué que les pauvres auxquels vous envoyez des
                voitures.
                        Voilà
                                pourquoi vous êtes capables de me sortir quelque
    chose
            comme
                            "vérifier
                                que je maîtrise quelques outils de base lorsque je
            souhaite
                        m'engager
                            sur
                                certains sujets". Je suppose que vous
    maitrisez
            tellement
                tous
                    les
                            sujets
                                que plus personne ne peut plus trouver à redire à
                 vos
                brillances.
                        Soit!

                                Marcel

                                Christian MAYANDJI wrote:
                                >
                ___________________________________________________________
                                > Forum (Modéré) BDPalabres par email du
         BDP-Gabon
                Nouveau.
                    Vos
                            messages
                                apparaîtront une fois modérés.
                                > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par
        email,
                répondez
                        tout
                                simplement aux messages.
                                > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en
    bas de
            page.
                                >
                ___________________________________________________________
                                >
                                >
                                >
                                > M. DEGAOUENE,
                                > 
                                > Je vous demande pardon pour avoir blessé car
    ce
                n'était
                    pas
                            notre
                               
                 intention, ni de juger la politique de votre pays. En fait, le
                   
         racisme
                            n'est
                                pas le sujet de notre discussion. Même si cela
    avait
        été
            le
                cas,
                        nous
                            nous
                                battons pour l'extirper avec la même vigueur
    aussi
            bien au
                    Gabon
                                qu'ailleurs. A vrai dire, il ne me vient pas à
            l'idée
                            d'évoquer
                                les situations de discrimination dans le cadre du
        racisme.
            Je
                suis
                            historien de
                                formation et on nous as enseigné qu'on ne peut
    pas
                considérer
                                l'appartenance de catégories d'invidus à
    une
                communauté
                    par
                        la
                                caractéristique - la couleur - de leur peau. Il y
    a
        bien
                    d'autres
                         
           critères
                                qui permettent de nuancer ces distinctions. De plus
                l'humanité
                    a
                        fait
                        
                    des
                                progrès depuis l'abolition de l'esclave :
    si
        la
                    candidature
                            d'un
                                afor-américain à la présidence des Etats - Unis
            constitue un
                        évenement,
                            qui
                                peut oublier que la France a eu un président du
    Sénat
                également
                    issu
                        des
                                descendants d'esclaves d'origine négro -
            africaine.
                Qui
                            s'étonnera
                                du fait que malgré les scores de M. LEPEN au
            présidentielles,
                il
                    y
                        ait
                            très
                      
                  bientôt un président de la République Française
        issu de
                            l'immigration
                                récente? Pourquoi pas de l'Afrique
    Subsaharienne.
        Il y
            a
                    après
                        tout
                            une
                                telle proximité.
                                > Pour l'instant dans le batiment en france,
    les
            négro
                -
                       
                 africains
                            sont
                                nécessairement des manoeuvres quel que soit le
    niveau
        de
            leur
                        formation
                                initiale. Ils sont surveillés par les arabes du
        Maghreb. A
                leur
                    tour,
                        ces
                                derniers obeissent aux Portugais et aux Espagnols.
    Puis
                viennent
                    les
                            Français.
                                On peut
         retrouver cette organisation pyramidale dans
                d'autres
                        secteurs
                                professionnels. Mais ce n'est pas moi qui le
        constate,
            ce
                sont
                    les
                            fruits
                                des recherches menées par un Français "de
            souche"
                dans
                    le
                            milieu du
                                batîment. Même là aussi, il y a des progrès.
    les
            africains
                        méritants
                                peuvent créer des entreprises sous-traitantes et
    les
            mettre à
                la
                            disposition
                                des donneurs
                 d'ordres. Combien de Français acceptent de se
                    faire
                            embaucher
                                dans ces entreprises et de se mettre sous les
    ordres et
        à
            la
                        disposition
         
                               d'un patron négro africain? Cela n'est-il
    pas
                également
                    vrai
                        au
                            Gabon?
                                Là-bas, les français sont des consultants ou
        directeurs,
                cadres.
                    Je
                            n'en
                                connais pas beaucoup qui soient agents de maitrise,
        encore
                moins
                        manoeuvre,
                                caissières de supermarché à moins d'être
        mariée au
                patron.
                                > Pour ma part, quand je parle de mur de verre,
                j'évoque du
                        vécu.
                                Combien d'Africains majors de promotion se sont
    vu
            refuser
                des
                        stages
                            en
                                entreprises alors que leurs collègues français
        étaient
                acceptés
                 
           en
                        
                    moins
                                d'une semaine après l'envoi de leur
        candidature.
            Quant
                aux
                        postes
                            en
                                entreprises, je suis étonné que meme des
    entreprises
            ayant
                des
                        filiales
                                exerçant au Gabon ne se privent pas de faire la
    fine
            bouche.
                Je ne
                            parlerai pas
                                des filières de formations dont on écarte les
        africains
                après un
                            entretien ou
                                des "tests psychologiques" lorsqu'on
        n'a
            pas
                pu
                    le
                        faire
                            à la
                                suite de tests de compétences.
                                > Non M. DEGOUAENE, tout cela n'est pas du
        racisme.
            la
            
                langue
                            française
                                est si riche qu'on peut trouver d'autres
    mots
        pour
            le
                        qualifier.
                            Sinon,
                                qu'allons nous dire? Lorsque le mots
    n'existe
        pas,
                peut-on
                       
                 croire
                            que le
                                fait existe?
                                > Nous cependant conscient de notre devoir de
        reserve en
                France
                        ainsi
                            que de
                                l'honneur que vous nous faites en nous
    accordons
        votre
                amitié.
                    Ce
                        qui
                            nous
                                gêne bien plus que cela nous blesse, c'est la
        qualité
            de
                    cette
                            amitié. Je
                                la compare à l'épaisseur du goudron
         étalé sur
        nos
                routes :
                        Chaque
                            fois -
                                depuis l'indépendance - que nous faison appel
    à
        une
                société
                            française,
                                nous constatons que la couche est relativement
    mince.
        Nous
            nous
                    voyons
                            obligé
                                de rappeller de la rappeller pour boucher les trous
    qui
                    apparaissent à
                        la
                                moindre déformation du sol.
                        
                        > A côté de cela, nous n'avons à faire appel
    àdes
                    sociétés
                                yougoslaves et philippines qu'à une seule
    occasion
        et
            il y
                a
                    bien
                                longtemps. Le goudron est bien plus épais et leurs
            ouvrages
                    restent
                     
               toujours
                                aussi solides que si elles en avaient achevé la
            construction
                la
                        veille.
                            Vous
                                comprendrez sans doute que le ressentiment
            qu'éprouvent
                    désormais
                            quelques
                                Gabonais envers quelques français n'a rien à
    voir
            avec le
                        racisme. Il
                                s'agit surtout de la manière dont s'est
        construite
            la
                    quelité
                        de
                            la
                                relation.
                                > Vous avez dit que vous n'êtes pas un
            intellectuel,
                    autrement
                        que
                                votre formation n'est pas universitaire.
                 peut-être êtes
                vous
                        plutôt
                            un
            
                            militaire. Si jamais l'envie vous vient de me punir
                    physiquement
                        pour
                            ce que
                                je dis, faites - le proprement en limitant autant
    que
            possible
                            l'intensité
                                et la durée de la douleur.
                                > Par contre, si vous avez quelques sentiments
    pour
        les
                    populations
                        de
                            notre
                                pays, n'hésitez pas à mobiliser vos
    compatriotes
        pour
            que
                    cesse
                                l'indiférence que vous affichez face à
            l'oppression
                        économique
                            et
                                juridique que nous subissons dans notre propre pays
        pour
            vous
                    offrir
                        cette
                                qualité de vie.
           
                             > Salutations cordiales.
                                > MANGASS TTC
                                > Christian MAYANDJI
                    
                            > Démarches-Gestion
                                > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                                > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                                >  CONVOYAGE EXPLOITATION
                                > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                                > EUROPE - AFRIQUE
                                > 
                                >
                                >
                                > --- En date de : Jeu 11.9.08, DEGAOUENE
                    <protected at aol.com>
                        a
                            écrit
                                :
                                >
                                >    De: DEGAOUENE <protected at aol.com>
                                >    Objet: [BDPalabres] Re: Je
         suis dans la
        précarité
                mais je
                    ne
                        me
                            sens
                                pas affamé,...
                                >    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                                >    Date: Jeudi 11 Septembre 2008, 22h06
                                >
                                >  
                 
                ___________________________________________________________
                                >    Forum (Modéré) BDPalabres par email du
        BDP-Gabon
                Nouveau.
                        Vos
                                messages
                                >    apparaîtront une fois modérés.
                                >    - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés
    par
            email,
                    répondez
                            tout
                                simplement
                                >    aux messages.
                                >    - POUR QUITTER la
         Liste, voir procédure en bas
        de
                page.
                                >   
                ___________________________________________________________
                                >
                                >
                                >    mes cher amis ,je lis avec beaucoup
        d'attention
            vos
                    propos
                        ,je
                            ne
                                suis pas
                                >    un intellectuel comme vous ,mais vous me
        blessé en
                disant
                    que
                            nous
                               
                 Français
                                >    nous sommes racistes!je suis aller au GABON
            plusieurs
                fois
                            ,j'ai
                                des amis
                                >    chez vous et j'ai remarquer que se sont
        souvent
                vous
                    qui
                        avez
                   
                 des
                                >    comportements racistes envers toutes sortes
                    d'étrangers
                        par
                                ailleurs.
                                >    La France reçois des étranger de tout
    pays
        qui
            sont
                        respecter et
                                protégés
                                >    ,je pense que nous sommes un des pays au
    monde
        ou
                        l'étranger
                            est
                                aussi si
                                >    bien respecter.Je ne nie pas qu'il y ai
    des
        cas
            de
                        racismes
                                (intolérable)de
                                >    descriminations envers les étranger,mais
        quelle
                socièté
                    est
                                parfaite?
                       
                         >    A part cela j'aime bien lire vos messages qui
    sont
            
                très
                                intéressant! Mais
                                >    je me garderai bien de juger la politique
    de
        votre
                pays!
                                >    Amitiés a vous et a tout le peuple GABON
    AIS
                                >




                            ------------------------------

                            Message: 2
                            Date: Sun, 14 Sep 2008 04:56:14 -0400
                            From: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
                            Subject: [BDPalabres] Re: Communiqué: Clarifications
    sur
        la
            phase
                                insurrectionnelle et les Représentations
    nationales et
                    internationales
                                du BDP-Gabon Nouveau
                            To: bdpalabres at bdpgabon.org
                            Message-ID:
            <E1KenOw-00036w-KV at dchost.globalwebcompany.net>

                            M. Le
         Président,
                            Dr MENGARA,
                           
                            En parlant de
                 travail, il y a quelques points sur lesquels vous
                    n'avez
                        pas
                            apporter de clarifications. Je me demande comment dans
    le
        cadre
                    d'une
                            démarche insurectionnelle, vous pouvez faire en sorte
    que
        les
                Gabonais
                        fassent
                            l'économie des dérives à la congolaise. J'ai
            quelques
                photos
                    de
                        la
                            boucherie qui s'est produite à Brazzaville lors du
        conflit
                entre
                        Sassou et
                            Lissouba. Je garde également des photos des
    évènements
        des
                années
                    1990
                        à
                            Libreville. Il n'y a aucune mesure en matière
         de
        cruauté
                touchant
                    les
                            civils.
                            Vous savez que nous ne pouvez pas mener la moindre
    action
                    insurectionnelle
                        sans
                            toucher à l'infrastructure qui assure la
    protection de
            votre
                        adversaire.
                            Vous savez que
                 ceux qui maîtrisent cette infrastructure
                    n'hésiterons
                        pas
                            à réagir sans ménagement - et à toucher la
    population
            civile -
                    ainsi
                            qu'ils l'ont fait à Port-Gentil. Jusqu'à
            présent,
                les
                    hommes
                            politiques de l'opposition ont utilisé leurs
        sympatisants
                comme
                    armes
                        et
                            comme boucliers humains. Comptez vous utiliser la meme
           
         stratégie
                        suicidaire ?
                            Avez vous les moyens d'assurer la protection de la
            population
                    civile?
                            Autrement dit, avez vous envisagé de mettre davantage
            l'accent
                sur
                    des
                            actions économiques et juridiques ? Il me semble en
    effet
        que
            la
                    pression
                            exercée par votre adversaire sur la population
        s'appuie
                fortement
                    sur
                        ces
                            leviers ainsi que sur l'intimidation exercée par
    les
            services
                de
                      
                      renseignements. L'infrastructure militaire
    n'intervient
                souvent
                            qu'en dernier recours, une efficacité renforcée
    par
        la
                couverture
                    des
                            forces étrangères établies sur notre
         territoire?
                            Cordialement.
                           
                            MANGASS TTC
                            Christian MAYANDJI
                            Démarches-Gestion
                            FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                            ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                            CONVOYAGE EXPLOITATION
                            VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                            EUROPE - AFRIQUE
                           


                            --- En date de : Sam 13.9.08, Dr. Daniel Mengara
                        <protected at bdpgabon.org>
                            a écrit :

                                De: Dr. Daniel Mengara
    <protected at bdpgabon.org>
                                Objet: [BDPalabres] Re: Communiqué: Clarifications
    sur
        la
                phase
                            insurrectionnelle et les Représentations
                 nationales et
                internationales
                    du
              
                      BDP-Gabon Nouveau
                                À: bdpalabres at bdpgabon.org
                                Date: Samedi 13 Septembre 2008, 4h18

                               
        ___________________________________________________________
                                Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon
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        page.
                               
        ___________________________________________________________


                                Ne vous inquiétez point, ami Mayandji. Je ne
        pactiserai
                    qu'avec le
                            peuple
                      
                  gabonais. Au diable, donc, le diable.
                                J'ai une foi inébranlable en l'HOMME. En
                 faisant
                    l'homme
                        à
                            son
                                image, DIEU a voulu l'homme capable d'actes
        divins.
                    C'est
                        cette
                                capacité, que nous appelons conviction (pour le
    bien)
        et
            amour
                (de
                    son
                                prochain) qui fait de nous la projection même du
        dessein
            divin
                sur
                        terre,
                            et
                                nous arme contre les forces du mal. Libérer
        l'homme de
            ses
                        entraves
                                physiques et mentales, c'est en quelque sorte,
    et
        en
            fin de
                    compte,
                            faire la
                                volonté de
         DIEU.

                                Au travail, donc, cher ami.

                                Daniel Mengara

                                Christian MAYANDJI wrote:
                                >
                                >
                                > Monsieur le Président,
                                > Docteur MENGARA,
                                > 
                                > Vous
                 prennez un mauvais chemin si vous envisagez la
                moindre
                        hypothèse
                            de
                                pactiser avec le diable. Qu'est ce qui vous
    restera
            pour
                vous
                            distinguer du
                                pouvoir en place.? Votre victoire ne viendra que de
        votre
            foi
                en
                    DIEU.
                            Soyez en
                                convaincu quel que soit votre inspiration du
    moment.
                                >
         Salutations cordiales.
                                >
                                > MANGASS TTC
                                > Christian MAYANDJI
                                > Démarches-Gestion
                                > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                                > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                                >  CONVOYAGE EXPLOITATION
                                > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                                > EUROPE - AFRIQUE
                                > 
                                >
                                >
                                > --- En date
                 de : Ven 12.9.08, BDP-Gabon Nouveau
                                <protected at bdpgabon.org> a écrit :
                                >
                                >    De: BDP-Gabon Nouveau
            <protected at bdpgabon.org>
                                >    Objet: [BDPalabres] Communiqué:
         Clarifications
        sur
            la
                    phase
                                insurrectionnelle et les Représentations
    nationales et
                    internationales
                        du
                                BDP-Gabon Nouveau
                                >    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                                >    Date: Vendredi 12 Septembre 2008, 20h42
                                >
                                >   
                ___________________________________________________________
                                >    Forum (Modéré) BDPalabres par email du
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        de
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                                >   
                ___________________________________________________________
                                >
                                >
                                >    Communiqué: Clarifications sur la phase
                insurrectionnelle
                    et
                        les
                                >    Représentations nationales et
    internationales
        du
                BDP-Gabon
                            Nouveau
                                >
                                >    Lien sur le site:
                                >   
                             
                         
                       
                   
               
          
         
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2008/09/12/communique-clarifications-sur-la-phase-insurrectionnelle-et-les-representations-nationales-et-internationales-du-bdp-gabon-nouveau/
                                >
                                >    Le BDP-Gabon Nouveau tient à clarifier
                 un certain
                nombre
                    de
                                malentendus ayant
                                >    trait au statut actuel de ses
    représentations
                politiques
                    en
                            France et
                                dans le
                                >    monde.
                                >
                                >    Nous rappelons à tous et à toutes que
    toutes
        les
                            représentations
                                OFFICIELLES
                                >    du mouvement avaient été dissoutes et/ou
            suspendues
                en
                        décembre
          
                              2005 quand le
                                >    mouvement a redéfini son idéologie pour
            s'engager
                            ouvertement
                                dans la
                                >    préparation de la lutte insurrectionnelle.
                                >
                                >    A ce titre, les seules fonctions
    officielles
        (et
                visibles)
                    au
                        sein
                            du
                                mouvement
                               
                 >    demeurent, jusqu'à nouvel ordre, celles qui
                existent
                    au
                        sein
                            de
                                la
                                >    Coordination Nationale du BDP-Gabon Nouveau
    au
            Gabon
                même
                    (en
                            tant
                                que point
                                >   
         d'appui politique local non clandestin), le
            Mamba
                    (Branche
                            armée,
                                >    clandestine) et le Comité Directeur (point
            d'appui
                        externe,
                                clandestin). Il
                                >    y a aussi les deux porte-paroles du
    mouvement,
                notamment le
                        Dr.
                            Bruno
                                Ella
                                >    (Porte parole politique) et Curtis Bezauna
        (Porte
                parole
                            militaire).
                                >
                                >    RAPPEL HISTORIQUE: Suite à la réélection
            frauduleuse
                        d'Omar
                                Bongo en
                               
                 >    novembre 2005, le BDP-Gabon Nouveau avait, entre
                autres,
                        publié
                           
         les
                                >    communiqués suivants:
                                >
                                >    - 3 Décembre 2005: Création d'urgence
    du
            poste de
                        Président
                            du
                                BDP-Gabon
                                >    Nouveau, en remplacement de celui de
        Coordonnateur:
                                >   
                             
                         
                       
                   
               
           
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/05/resolutions-de-la-reunion-durgence-du-comite-directeur-bdp-gabon-nouveau/.
                                >
                                >    - 5 Décembre 2005: Dissolution des
    structures
                existantes
                    du
                            BDP-Gabon
                                Nouveau
                                >    par le Président du BDP-Gabon Nouveau, et
        annonce
            du
                   
         début
                        de la
                                phase de
                                >    préparation
                 insurrectionnelle du mouvement:
                                >   
                             
                         
                       
                   
               
           
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/05/message-a-la-nation-du-dr-daniel-mengara-fini-le-temps-de-limpunite/.
                                >
                                >    - 9 Décembre 2005: Ralliement du Mamba au
            BDP-Gabon
                    Nouveau
                        comme
                                branche
                                >    militaire du mouvement:
                                >   
                             
                         
                       
                   
               
           
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/09/le-mamba-se-rallie-devient-la-branche-armee-du-bdp-gabon-nouveau/
                                >
               
                         >    Tous ces textes se trouvent également dans
        notre
            vieux
                    site
                                désormais
                                >    archivé sur ce lien: 
                http://www.bdpgabon.org/archives/, y
                            compris le
                                message
                                >    audio enregistré par
                 le Dr. Daniel Mengara pour
                        l'occasion
                            (Dès
                                la
                                >    première page, regardez les articles
    publiés
        en
                décembre
                        2005
                            et
                                janvier
                                >    2006). Vous pouvez aussi, sur notre nouveau
        site
            (actif
                    depuis
                            avril
                                2008),
                                >    cliquer sur l'année 2005 pour
         voir
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                            nous
                                avons
                                >    recopiés de l'ancien site et, ainsi,
    vous
                concentrer
                    sur
                        les
                                articles
                                >    publiés en décembre 2005 et janvier 2006.
    Le
        site
            du
                    Mamba
                                >    (http://www.lemamba.org) contient
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                                >    Parce que les cellules et
                 représentations du BDP-Gabon
                        Nouveau
                            sont
                                dissoutes
                                >    depuis décembre 2005, toutes personnes
    autres
        que
            les
                        personnes
                                citées
         plus
                                >    haut qui parleraient, à titre officiel, au
    nom
        du
                    BDP-Gabon
                            Nouveau,
                                feraient
                                >    automatiquement preuve d'imposture. Par
            ailleurs,
                    toutes
                        les
                                personnes qui
                                >    parlent au nom du mouvement ne le font pas
    sur
        les
                forums,
                        mais au
                                travers de
                                >    communiqués de presse publiés sur notre
    site
                                (http://www.bdpgabon.org) à
                                >    titre OFFICIEL. Sur les forums et ailleurs,
    les
            membres
                    connus
                        du
                                BDP-Gabon
                                >    Nouveau expriment
                 leurs opinions personnelles en tant
               
         que
                            citoyens,
                                mais ces
                                >    opinions n'engagent aucunement le
        mouvement.
            Parce
                        qu'un
                                mouvement
                                >    n'est pas forcément monolithique dans
    sa
            pensée,
                    chacun
                        peut
                                être libre
                                >    de ses opinions sans toutefois remettre en
        cause
            les
                    grandes
                            lignes de
                                >    l'idéologie de libération nationale
    du
            BDP-Gabon
                        Nouveau,
                            qui
                                demeure le
                                >    socle qui unit tous les partisans du
    changement
                véritable,
                        sans
                                particularisme
                                >    ethnique,
         sans repli identitaire et sans 
            distinctions
                de
                        sexe, de
                                race ou
                                >    d'origine.
                                >
                 
                               >    La pensée officielle de notre mouvement
    reste
        donc
                    clairement
                                exprimée dans
                                >    les divers articles et documents publiés
    sur
        notre
                site
                    dans
                        la
                                rubrique ayant
                                >    trait aux activités du BDP-Gabon Nouveau
                                >   
        (http://www.bdpgabon.org/articles/category/bdp/;
            voir
                aussi
                            archives,
                                site 1:
                                >    http://www.bdpgabon.org/index1.shtml et
        archives
            site
                2:
                               
         >    http://www.bdpgabon.org/archives/). Notre
        devise
                demeure :
                        "
                                Bongo Doit
                                >    Partir, par tous les moyens possibles, pour
    la
                construction
                            d'un
                                Gabon
                                >    nouveau ". Ce combat de libération
        nationale
                    interpelle
                        tous
                            les

                                fils et
                                >    filles du Gabon et amis du Gabon qui
    pensent et
            disent
                que
                        "
                                Bongo Doit
                                >    Partir ", toutes ethnies et toutes
        tendances
                    confondues.
                                >
                                >    Ainsi :
                                >
                                >    -  que l'on soit Téké, Punu,
         Fang,
        Myéné ou
                autre,
                    si
                            l'on
                                pense
                                >    que " Bongo Doit Partir, par tous les
        moyens
                    possibles,
                        on
                            est
                                forcément
                                >    du BDP-Gabon Nouveau.
                                >    - Que l'on soit du BDP, de l'UPG,
    du
        PDG,
            du
                RDPG,
                    du
                        FUCR
                            ou
                                de tout
                                >    autre partie ou structure politique, si
        l'on
            pense
                que
                        "
                                Bongo Doit
                             
                   >    Partir, par tous les moyens possibles, on est
                forcément du
                            BDP-Gabon
                                Nouveau.
                               
         >    - Que l'on dirige une association, une
            entreprise,
                une
                        famille
                            ou
                                une
                                >    administration, si l'on pense que
    "
        Bongo
            Doit
                        Partir,
                            par
                                tous les
                                >    moyens possibles, on est forcément du
        BDP-Gabon
                Nouveau.
                                >
                                >    Telle est l'idéologie BDP,
        c'est-à-dire
            le
                point
                    de
                            pensée
                                et de
                                >    ralliement qui, s'étalant au-delà des
            personnes,
                des
                        partis
                            et
                                des
                                >    ethnies, affirme les principes rassembleurs
    du
            "
               
         Gabon
                                d'abord "
                                >    et les projette dans
                 un engagement politique qui, parce
                que
                            partagé
                                par la
                                >    majorité agissante ou silencieuse, pose
    comme
                condition
                            principale du
                                >    changement au Gabon le départ immédiat
        d'Omar
                Bongo
                    du
                            pouvoir.
                                >
                                >    A titre de résumé, donc, voici la
    structure
            actuelle
                du
                            mouvement:
                                >
                                >    - Président du BDP-Gabon Nouveau
                                >    > Dr. Daniel Mengara
                                >
                                >    - Comité Directeur
                            
            >    > (Clandestin, USA)
                                >
                                >    - Coordination Nationale
                                >    > (Représentation officielle, Gabon)
                                >
                                >    - Le Mamba
                                >    > (Branche
                 militaire, clandestin)
                                >
                                >    - Porte parole politique
                                >    > Dr. Bruno Ella Nguéma
                                >
                                >    - Porte parole militaire
                                >    > Mr. Curtis Bezauna
                                >
                                >    - Et un certain nombre de structures
        clandestines
                    impliquées
                        dans
                            la
                                >    préparation du combat insurrectionnel
    annoncé
        en
                
            décembre
                        2005.
                                >
                                >    Toutes les personnes ayant occupé des
        fonctions
                    officielles
                        au
                            sein
                                du
                                >    BDP-Gabon Nouveau restent, certes, membres
    de
        droit
            du
                        BDP-Gabon
                                Nouveau (sauf
                                >    si démissionnaires), mais leurs opinions,
    en
        tant
            que
                        citoyens
                    
                        libres
                                de leurs
                                >    opinions, n'appartiennent qu'à eux
    et
                    n'engagent
                                aucunement le
                                >    BDP-Gabon Nouveau.
                                >    Au moment opportun, le BDP-Gabon Nouveau
            réactivera
                ses
                           
             représentations de
                                >    par le monde. Pour le moment, notre
    stratégie
        vise
                        principalement
                            la
                                >    préparation et à la consolidation de
        l'action
                        clandestine
                            autour
                                de
                                >    l'idéologie du combat de libération
            nationale. Au
                    moment
                        qui
                                nous
                                >    paraîtra opportun, nous solliciterons de
    nos
            membres
                    (anciens
                        et
                                nouveaux) la
                                >    réactivation OFFICIELLE des cellules BDP
            (nouvelles ou
                          
                  anciennes),
                                soit sur la
                                >    base de leur importance stratégique, soit
         dans
        le
                cadre
                        global
                                d'une
                                >    politique de réofficialisation des
    cellules et
                        représentations
                                nationales et
                                >    internationales du BDP-Gabon Nouveau. Dans
    ce
            contexte,
                des
                                communiqués seront
                                >    faits pour officialiser ces activations ou
                réactivations.
                                >
                                >    Evidemment, les adhésions individuelles de
        membres
                    continuent
                                activement et
                                >    sans interruption (voir cette page :
                                http://www..bdpgabon.org/adhesion/). Les
                                >    personnes qui aujourd'hui adhèrent au
            BDP-Gabon
                    Nouveau
                 
               le
                            font
                                soit comme
                   
                             >    membres de la structure politique (clandestine
    ou
                    officielle),
                        ou
                                alors comme
                                >    combattants au sein du Mamba (structure
            clandestine).
                Etre
                        membre
                                combattant du
                                >    Mamba fait automatiquement du combattant un
        membre
            du
                        BDP-Gabon
                                Nouveau.
                                >
                                >    Chaque Gabonais ou chaque membre du
    BDP-Gabon
            Nouveau
                (au
                        Gabon ou
                                dans la
                                >    diaspora) est libre de créer une cellule
    de
            réflexion
                BDP
                        dans
                         
           son
                                quartier,
                                >    sa région, sa province, sa ville ou son
    pays
        de
                    résidence.
                        Le
                                responsable
                                >    d'une cellule ainsi créée se doit
        d'en
                informer
                    la
                           
                 direction
                                du
                                >    mouvement pour qu'elle prenne acte de
    son
                existence.
                        Toutes
                            les
                                cellules
                                >    actuelles ou nouvelles gardent, toutefois,
    un
                caractère
                            officieux. Le
                                BDP-Gabon
                                >    Nouveau décidera du moment où, pour
    raisons
                stratégiques
                    ou
                            autres,
                                il
            
                            >    procédera à l'officialisation des
        cellules à
                titre
                        spécial
                            ou
                                général.
                                >
                                >    Le combat insurrectionnel reste
        d'actualité et
            sa
                            préparation
                                continue.
                                >    Comme nous l'avions dit sur cette page
    du
        site
            du
                Mamba
                    en
                            2005
                                >   
                 (http://www.lemamba.org/content/view/46/67/), quand le
                    Mamba
                        sera
                                prêt à
                                >    commencer ses activités
    insurrectionnelles, un
                ultimatum
                    de
                        deux
                                semaines sera
                                >    lancé. Cet
         ultimatum aura pour but, d'une
            part, de
                        laisser le
                                temps aux
                                >    populations gabonaises de s'organiser
    en
            faisant
                des
                            provisions,
                                et
                                >    d'autre part, aux membres du régime
    Bongo
        qui
                veulent
                            rejoindre
                                le camp de
                                >    la réforme d'en faire la démarche.
    Une
        fois
            les
                deux
                            semaines
                                >    d'ultimatum passées, le Mamba pourra,
    dès
            lors,
                    lancer
                        le
                            début
                                de la
                                >    phase
                 insurrectionnelle, au moment de son choix.
                                >
                                >   
         Comme le BDP-Gabon Nouveau l'a toujours
        dit,
            rien
                de
                    bon
                        ne
                            peut
                                plus se
                                >    passer au Gabon tant qu'Omar Bongo sera
    au
            pouvoir.
                Le
                            changement,
                                >    contrairement à ce que disent les chantres
    de
        la
                        convivialité et
                            des
                                >    rapprochements avec Bongo, ne viendra pas
    au
        Gabon
            par
                les
                        urnes.
                                Seule une
                                >    stratégie insurrectionnelle viendra à
    bout du
                bongoïsme
                    au
                            Gabon.
                                >    L'insurrection, que l'on le veuille
    ou
        non,
            se
                fera
                    au
                            Gabon,
             
                           même si
                                >    pour cela le BDP-Gabon Nouveau doit
    pactiser
        avec
            le
                    diable.
                       
                 Ce
                                n'est donc
                                >    pas une question de "si", mais
        plutôt
            une
                    question
                        de








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