[BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1

PETIT LAMBERT.O protected at yahoo.fr
Jeu 18 Sep 14:08:31 EDT 2008


Christian,

Je n'ai pas de  temps pour déguster  ta prose, je te prie de relire mon conseil que je renouvelle par ailleurs.

Patriotiquement.



Mr PETIT LAMBERT
  :

    De: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
    Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
    À: bdpalabres at bdpgabon.org
    Date: Jeudi 18 Septembre 2008, 16h41

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    Bonjour Petit Lambert,
     
    Entre nous, tu n'as pas besoin de passer par un forum pour m'inviter
    danser et manger. De tous les gabonais que j'ai croisés depuis mon arrivée
    en France (1990), tu est l'un de mes voisins
     les plus proches. Avec ton
    véhicule, tu es à moins de quinze minutes de ma résidence et tu disposes de
    mes coordonnées téléphoniques. Il t'appartient de me dire où est ce que
    tu souhaites que nous nous rencontrions avec nos amis communs pour danser et
    manger - notamment discuter - toute la nuit, surtout pendant les week end. Je ne
    crois pas que le problème puisse se poser dans la mesure ou les ressources nous
    appartiennent légitimement et légalement. Pour ce qui me concerne, c'est
    avec un réel plaisir je renouvelerai cette expérience.
    Par contre si tu penses que je pourrai procéder de la même manière que toi
    au lendemain des présidentielles de 1993 - interview fracassante en tant SG de
    la section RNB France au près des médias français pour dénoncer les
    irrégularités des élections présidentielles devant l'ambassade du Gabon
    pendant nous nous expliquions avec nos représentants diplomatiques,
     puis
    ralliemment aussi fracassant à la majorité présidentielle dans les semaines
    qui suivaient pour les raisons qui t'appartiennent et que tu nous a
    exposées beaucoup plus tard - il m'est difficile de franchir ce pas car je
    n'aime pas ajouter de l'inconhérence à l'incohérence ambiante. De
    plus, cela est contraire à ma foi en Christ.
     
    Même si ce n'était pas le cas, mon père se retournerait dans sa tombe si
    jamais un tel acte se produisait. J'accorde une certaine importance à la
    mémoire de mon père : dans certains domaines, il a été un exemple
    d'intégrité et je ne peux pas renier le temoignage que je lui ai rendu le
    jour de son enterrement. En outre, il y trop de personnes qui ne comprendraient
    pas qu'il puisse en être ainsi en ce qui me concerne. J'ai traversé
    des situations assez difficiles et j'ai reçu des invitations plus
    directement conséquentes sans y donner suite. Tu sais que chaque
     gabonais à
    ses entrées directes ou indirectes au près du gouvernement et même de la
    Présidence. Certainement autant que toi et d'autres gabonais, je compte des
    parents, condisciples et relations à différents niveaux des cercles de
    décision politique. il appartient de faire ses choix conscients et de rester
    cohérent. Je ne dis pas que je suis insensible à l'utilité des espèces
    sonnates et trébuchantes, mais j'aime en user uniquement lorsque je peux en
    disposer légalement et légitimement. Je veux bien utiliser l'argent de la
    République lorsque cela me revient légalement, notamment en contrepartie
    d'une prestation. Je ne supporte pas de me sentir artificiellement redevable
    en quoi que ce soit de qui que ce soit.
    Je donne un exemple : Il y a une époque où - au collège - la bourse
    n'était reservée qu'à ceux qui satisfaisaient aux critères de
    réussite et dont les parents avaient des revenus
     relativement bas, compte tenu
    du contexte gabonais. Ces conditions ne prennaient pas en compte la situation
    particulière des parents séparés. Je me trouvais exclu du fait de la
    situation socio-professionnelle de mes parents. Je crois que j'aurai
    arrêté prématuremment mes études si les autorités politiques n'avaient
    pas décidé d'étendre le bénéfice de la bourse d'études à tous les
    élèves satisfaisant aux conditions de réussite. C'est grâce à cette
    mesure que, malgré des apparences familiales plutôt favorables, j'ai pu
    financer mes études secondaires et universitaires. Cette mesure a été
    incohérente, mais combien d'élèves et étudiants ont pu accéder à des
    études autrement inaccessibles. J'ai simplement regretter que certaines
    filières de formation n'aient pas été mises en place du premier au
    troisième cycle universitaire au Gabon. Je crois que je ne me serais pas
    trouvé exposé à
     des questions de logistiques qui ont pu entamer la
    concentration et détermination d'une personne comme moi. Cependant, je ne
    peux que remercier ces autorités politiques qui m'ont fait bénéficier des
    ressources de la République. Mais je me sens redevable qu'à la République
    et non pas à une personne particulère comme un sujet pourrait se sentir soumis
    à la volonté de son seigneur/souverain, un client vis à vis de son parrain
    politique. Malgré une rancoeur humaine mais contenue, je ne ressens pas le
    désirs d'aller me ranger sous la bannière de qui que ce soit sous pretexte
    d'être en situation de précarité. Je crois que la République m'a
    permis de bien "manger" et même de "danser" dans ce
    contexte.
     
    Il faut désormais penser que la République a tiré ces ressources de quelque
    part. Il faut essayer de comprendre de quelle façon nos ainés-serviteurs de la
    République se sont organisé pour que
     cette République puisse produire ces
    ressources. Lorsque nous avons compris le modèle économique qu'ils ont
    construit pour créer de la richesse ou en canaliser une partie à notre profit,
    nous devons - à notre tour - faire fonctionner ces mécanismes, les améliorer
    ou les renouveller pour optimiser les performances économiques. Je reproche aux
    aspirants - opposants ou partisans du pouvoir - à la vie politique le fait de
    penser uniquement à la manière dont ils vont "manger". Dans un cas
    comme dans l'autre, ils essaient de soulager leurs conscience, en essayant
    d'expliquer "au peuple" - et surtout à leurs potentiels
    supporters comment ils vont distribuer quelques bouts de gateaux qu'ils
    espèrent "manger". Seulement, ils n'ont pas reçu le moindre
    mandat pour parler au nom de ce "peuple". Celui-ci s'est
    débrouillé sans eux pour faire construire quelques routes à Libreville et sur
    la route nationale. Le
     "peuple" se débrouille égalemtn sans eux
    quand il s'agit de s'organiser pour faire face aux problèmes de santé.
    Ils vont acheter des médiacaments non homologués qui pillulent désormais à
    tous les coins de rue. Ils savent bien que leurs parents de la diaspora peuvent
    agir en organisant des convois pour suplléer à la défaillance des pouvoirs
    publics. Ces derniers sont trop occupés à se battre entre eux.
     
    Au fond, la question qui doit nous préoccuper n'est pas celle de savoir
    quand et comment "manger". Il faut aussi permettre à la bête que
    nous voulons manger de "se nourrir et de se reproduire". C'est la
    raison pour laquelle il n'es pas nécessaire de multiplier le nombre de
    partis politiques. Nous avons plutot intérêt à créer et à développer de
    nombreux centre privés d'études et de projets, des centres de gestion, de
    profit et/ou de coûts associés à nos différents départements, nos
     provinces
    ou d'autres formes de collectivités territoriales.  Ces centres de gestion
    - regroupés en Groupements d'Intérêts Economiques - peuvent prendre la
    forme d'ONGs ou associations de développement internationale,  de Cabinets
    de Consultants, d'entreprises de BTP ou d'agro-alimentaire ou de
    différents secteurs économiques du Gabon.
    Nos ressources humaines ont besoin d'être regroupées et motivées au sein
    de structures productives plutôt que d'être dispersées dans des partis
    "politiques" - opposants ou partisant du pouvoir - sans propositions
    tangibles.
     
    Je crois que le clivage qui se dessine progressivement n'est pas entre les
    "pro et les anti pouvoirs", plutôt entre ceux qui restent dans une
    logique unique de consommation et ceux qui veulent développer une logique de
    maîtrise de la production ou création de richesses avant de procéder à sa
    repartition selon les règles du système
     capitaliste : à savoir, à chacun
    selon sa participation dans le processus de création de richesses.
     
    Je pourrais développer prochainement. Pour l'instant, je t'adresse mes
    salutations cordiales.
     
    MANGASS TTC
    Christian MAYANDJI
    Démarches-Gestion
    FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES 
    ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
     CONVOYAGE EXPLOITATION
    VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
    EUROPE - AFRIQUE
     


    --- En date de : Jeu 18.9.08, PETIT LAMBERT.O <protected at yahoo.fr> a
    écrit :

        De: PETIT LAMBERT.O <protected at yahoo.fr>
        Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
        À: bdpalabres at bdpgabon.org
        Date: Jeudi 18 Septembre 2008, 1h11

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        Tu nous fatigues avec tes théories des années 30.
        Rentre dans la danse et viens manger.

        SINCERES SALUTATIONS


        -- En date de : Mer 17.9.08, Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
    a
        écrit :

            De: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
            Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
            À: bdpalabres at bdpgabon.org
            Date: Mercredi 17 Septembre 2008, 1h40

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            Cher Félicité, chers compatriotes,
             
            Vous avez raison. Il n'y a pas de sots métiers et je ne vous
    cacherais
        pas
            mon admiration
             pour cette capacité d'adaptation. J'ai un peu fait la
            meme expérience que vous - même et je suis parti du batiment à la
            comptabilité-finance en passant par la logistique.
            Vous n'avez pas besoin de dire grand chose mais votre expérience
    est
            dense. Je pense que s'il m'étais donné de construire à
    nouveau
        des
            groupes de travail pour préparer et réaliser des projets pour le
    Gabon,
        je
            serais heureux de vous compter soit dans le service à la personne,
    soit
        dans la
       
         mise en oeuvre des projets agricoles.
            Je voudrais juste vous signaler que l'agriculture gabonaise est
    entrain
            d'évoluer, du moins au niveau des pays. Les paysans gabonais ne
        cultivent
            plus uniquement pour l'autoconsommation, la subsistance. Ils
    cultivent
        de
            plus en plus en tenant compte des débouchés vers les marchés. Par
    contre
        et
            contrairement aux secteurs d'extraction, le secteur agricole du
    gabon
        manque
            de cadres pour résoudre les problèmes
             de cultures, de financement, de
            logistique, de débouchés commerciaux. Les gabonais n'ont pas
    encore
            compris - ou refusent de comprendre - que les filières du secteur
    agricole
            peuvent fonctionner comme celles du secteur pétrolier ou minier.
            En fait, ce secteur a fonctionné ainsi jusqu' à la fin des
    années
        1960.
           
     Bien plus que l'argent, ce secteur a besoin qu'on construise
    des
            entrepots pour stoquer et conditionner les produits ainsi que des
        véhicules de
            transport pour acheminer les produits vers les marchés domestiques ou
            extérieurs. Je dois signaler que pendant que nos paysans ne peuvent
    pas se
            permettre des efforts de production, nous avons des gabonais qui se
    sont
        lancé
            dans la gestion des centrales d'achats et qui - pour
        s'approvisionner -
            sont obligés de travailler avec d'autres pays. N'est-il pas
    temps
        de
            combler ce fossé?
             
            Où est passé l'argent ?
            Je crois que le privé doit être capable
             de remplacer le public lorsque celui
            - ci échoue dans un secteur. De quelle somme d'argent  a t-on
    besoin
        pour
            construire des entrepôts? acheter des tracteurs
     d'occasion dans
    les
            campagnes françaises et les expédier au Gabon ? des camions de
    transport
            d'occasion ? des pondeuses à parpaing ? des bétonneuses ? et
    même
        des
            camions citernes d'occasion ? des scies mécaniques ? des treuils ?
    des
            remoqueurs ? des canots ? des plants ou des semences ? et tant
    d'autres
            choses ?
             
            Aller vérifier sur internet et vous vous rendrez compte que tout cela
    est
        à
            notre portée. Je pense que si chaque ressortissant gabonais de la
    diaspora
            pouvait - individuellement ou collectivement - consacrer 3000 à 15000
    €
            d'investissements par an rendu port de Libreville en équipements,
    nous
            pourrions transformer un certain nombre de secteurs économiques
    laissé en
            désuétude par l'Etat. Je crois que cela serait plus
             convaincant au yeux
      
          des nos populations, de nos parents que nos explications, nos discours
    ou
        même
            même nos comportements de courtisans du pouvoir. Nous peserions
    d'un
        autre
            poids politique et économique. Ce sont des choses que nous pouvons
    faire 
        tous
            les " 17 Août " pour équiper chaque département du Gabon
    un
        minimum
            d'infrastructures de production. Pour ceux qui ne sont pas capable
            d'épargner, il y a de nombreuses sociétés financières (CETELEM,
        ...) qui
            ne demandent qu' à offrir des crédits en contrepartie de quelques
            garanties.
            La diaspora a un rôle à jouer. Il ne faut pas qu'elle rate le
    train
        comme
            nos ainés : opposants ou partisans du pouvoir, ils ont été
    contraints à
            l'entrisme politique parce que - munis uniquement de leurs
    dîplomes -
        ils
            ne pouvaient
     subvenir à leurs besoins autrement qu'en entrant à
    la
            "haute"  fonction publique. Nous devons être en mesure de
    créer
        une
            autre
             classe sociale qui soit une pépinière des nouveaux capitaines
            d'industries du Gabon.
            Il faut que nous arrivions à nous montrer aussi responsables que les
        diasporas
            des autres pays africains. Nous serons davantage respectés.
             
            J'en appelle à notre conscience.
            Salutations cordiales.

             
            MANGASS TTC
            Christian MAYANDJI
            Démarches-Gestion
            FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES 
            ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
             CONVOYAGE EXPLOITATION
            VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
            EUROPE - AFRIQUE
             


            --- En date de : Mar 16.9.08, Alice Vincent <protected at yahoo.fr>
    a
        écrit
           
     :

                De: Alice Vincent <protected at yahoo.fr>
                Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
                À: bdpalabres at bdpgabon.org
                Date: Mardi 16 Septembre 2008, 20h18

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                Mon cher Christian, pour notre entretien
                 
                Lorsque les Etrangers ne sont pas affectés aux activités de
    services
        à
            la
                personne ou
     ux tâches insalubres, ils sont perçus comme des
    individus
        qui
                viennent manger le pain des nationaux.
                 
                Il n'y a pas de sot métiers, il n'y a que de sorte gens !
                Les services à la personne pèsent 8 milliard d'Euros, nous
        travillons
            à
                la professionnalisation, selon la loi 2002.

                Il y a aujourd'hui des lois qui contingentent non seulement
            l'accès au
                territoire, mais également l'accès à l'emploi en
    commençant
        par
            les
               
             différentes cartes de résidence. En pratique, nous pouvons prendre
    votre
                exemple : diplomé en agronomie tropicale (acitivité plutôt
        innovante),
            mais
                obligé d'évoluer dans un autre secteur d'activité. Ce
        n'est
            pas
                du racisme, mais c'est du gachis! je
     suis certain qu'au
    Gabon
        ou en
                France, vous auriez pu apporter une très grande valeur ajoutée
    dans
        le
                développement des cultures tropicales.
                 
                Le pojet CIAM au Gabon, avec mon professeur de mémoire, Monsieur
    Guy
            Rouanet,
                nous avons travaillé à la mise en place de ce projet au Gabon. le
                fonctionnement et les moyens finaniers, étaient aux mains de nos
            compatriotes.
                Ceci après le départ des blancs. L'argent est parti où ? Je
    vous
            laisse
                déviner !
                La Gabegie pour mon peuple !
                 
                En tant scientifique, j'ai choisie toute seule mon orientation
                universitaire. Ma peau d'âne en
             poche, je n'ai pas chômée,
            j'ai
                travaillé à l'assistance publique. J'ai appris beaucoup
    de
       
     chose
            au
                niveau professionnel,  la gestion financière d'un hôpital,
        d'un
            Centre
                de santé, mes chefs m'aimaient pour ma rigueur allié à mon
            efficacité
                profesionnelle. C'est moi-même qui avait démissionné pour
    être
                indépendante !
                 
                 
                Après tout, il y a tellement de laboratoires en
        recherche-développement
            qui
                ont des programmes, tellement de projets pour lesquels les ONGs
            occidentales
                collectent des fonds aussi bien au près du grand public qu'à
        celui
            des
                organisations internationales pour vaincre la faim et la
    malnutrition
        dans
            tant
                de pays du Tiers-mondes que je ne comprends pas autrement
    qu'ils ne
        ne
                soient pas donné l'opportunité de vous
     soutenir dans ce qui
        était
            votre
                projet initial. Serait-ce vous même qui y avez
             renoncé ?

                Ce n'est pas du racisme, c'est du gachis. Le mur de verre
    est
        cela
            : le
                fait de gacher des talents au nom du protectionisme, du
    corporatisme et
        du
                contingentement économique.
                 
                Nous devrons apprendre à gérer, confondre le prix d'achat et
    de
            revient,
                il y a un ''blème'' ! Gérer une exploitation
    agricole
        ça
                s'apprend, notre agriculture est une agriculture de
    subsistance. Je
            suis
                partisan d'une agriculture raissonnée, extensive et non
    intensive,
            pour
                éviter l'érosion des sols, vue les averses au Gabon.
                 
                Serait-ce vous même qui y avez renoncé ?
                
     
                J'adore ce métier, je vais vous dire une chose,
    j'élèvait
        les
                poules, les lapins, les canards. Nous n'arrivions pas à les
        manger,
                c'était comme mes enfants !
                 
                je cultuvais le maïs, les pommes de terre, les tomates, les
    aromates.
            J'ai
                tout
             arrêté ! Mon travail est trop prenant !
                 
                J'ai planté les pommiers, poiriers, cerisiers, noisetiers.
                 
                Cordialement vôtre
                 
                Félicité Vincent
                 



                 

                ----- Message d'origine ----
                De : Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
                À : bdpalabres at bdpgabon.org
                Envoyé le : Mardi, 16 Septembre 2008, 1h55mn 48s
                Objet : [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution
     1

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                Cher Félicité,

                Lorsque je parle
             de mur de verre, je ne fais pas référence au racisme. La
                France a aboli l'esclavage ainsi que le code de
    l'indigénat -
                traduction économique du racisme - depuis bien longtemps. En
            m'exprimant
                sur ces points, j'ai utilisé un style plutôt parabolique
        emprunté à
                l'écriture évangélique.
     L'interprétation que certains
            d'entre
                vous en ont faite n'est pas celle que je souhaite.
                Le mur de verre fait référence au protectionnisme et au
    corporatisme
        qui
            ont
                caractérisé l'économie mercantiliste en France ainsi que des
            nombreux
                pays du Sud du XVIe siècle européen. Cette forme d'économie
                pré-capitaliste préconisait que la richesse d'un pays à la
        quantité
            des
                métaux précieux - et des marchandises de meilleures qualité -
        qu'il
                pouvait accumuler. Elle a amené la France à pratiquer une
    économie
        quasi
                autarcique consistant à
                - vendre du
             toc, piller les gisements de minerais, exploiter de la main
                d'oeuvre bon marché à l'etranger
                - créer des manufactures controlées par la
     puissance publique
    pour
            fabriquer
                et distribuer des biens de prestige ou de qualité sur le
    territoire
            national.
                Le critère dominant de repartition n'était alors pas
        l'échange
                (valorisé par une monnaie) entre la quantité ou la qualité de
        travail
            reconnu
                contre le bien recherché, mais simplement le fait de la
    reconnaissance
        du
                Prince envers ses sujets par ordre de préférence royale (et non
    pas
            encore
                nationale).
                De nos jours, la France a connu l'émergence et le
    développement
                capitaliste : outre les métaux précieux, elle accumule
    l'argent
        et
            une
                certaine forme de puissance. Les sujets - transformés en citoyens
    -
        forme
            le
                corps politique et sont désormais dépositaires de
     la
             souveraineté
            nationale.
                Il reste malgré tout un certain héritage de cette époque
        économique.
                Les barrières douanières ne sont plus aussi forte pour empecher
    les
            produits
                étrangers  d'entrer sur son territoire. Entre-temps, la
    population
        est
                passé de l'économie de production à la société de
    consommation
        :
            les
                individus et l'Etat ont compris que la présence des produits
            étrangers et
                le développement des échanges économiques pouvaient contribuer
    au
            bien-être
                des populations.
                Seulement, Cet environnement économique conservent des rigidités
    et
                génèrent des comportements si obselètes que la performance
        économiques
            en en
                a patit. La France est passé du 4ème au
     10ème rang des puissance
                économiques. Comme au Gabon, les populations - les catégories
                socio-économiques - se battent pour avoir la plus grosse part
    d'un
            gateau
               
             dont la dimension se réduit. Ils ne combattent plus pour créer la
            richesse qui
                se présente désormais sous la forme de l'accumulation de la
            connaissance
                scientifique et technologique, l'accroissement des équipements
    et
                différents moyens de production, la multiplication des produits
        culturels
            et de
                consommation.
                Lorsque les Etrangers ne sont pas affectés aux activités de
    services
        à
            la
                personne ou ux tâches insalubres, ils sont perçus comme des
    individus
        qui
                viennent manger le pain des nationaux.
                Il y a aujourd'hui des lois
     qui contingentent non seulement
            l'accès au
                territoire, mais également l'accès à l'emploi en
    commençant
        par
            les
                différentes cartes de résidence. En pratique, nous pouvons
    prendre
        votre
                exemple : diplomé en agronomie tropicale (acitivité plutôt
        innovante),
            mais
                obligé d'évoluer dans un autre secteur d'activité.
             Ce n'est
            pas
                du racisme, mais c'est du gachis! je suis certain qu'au
    Gabon
        ou en
                France, vous auriez pu apporter une très grande valeur ajoutée
    dans
        le
                développement des cultures tropicales. Après tout, il y a
    tellement
        de
                laboratoires en recherche-développement qui ont des programmes,
        tellement
            de
                projets pour lesquels les ONGs occidentales collectent des
     fonds
    aussi
        bien
            au
                près du grand public qu'à celui des organisations
    internationales
            pour
                vaincre la faim et la malnutrition dans tant de pays du
    Tiers-mondes
        que je
            ne
                comprends pas autrement qu'ils ne ne soient pas donné
            l'opportunité de
                vous soutenir dans ce qui était votre projet initial. Serait-ce
    vous
        même
            qui
                y avez renoncé ?
                Ce n'est pas du racisme, c'est du gachis. Le mur de verre
    est
        cela
            : le
                fait de gacher des talents au nom du protectionisme, du
    corporatisme et
        du
              
              contingentement économique.

                La fait est que, dans le cadre de l'expansion capitaliste de
    cette
                puissance économique en Afrique, notamment au Gabon, nous avons
        hérité
           
     de ce
                mode de fonctionnement économique : l'importance de la
        participation
            de
                chacun à la création de la richesse n'est pas apprécié à
    sa
        juste
                valeur, la repartition de la richesse se fait en fonction de la
        puissance
            du
                lobbying et de la preférence présidentielle. Les effets
    désastreux
        de ce
            type
                de comportement économique sont accentués par l'obscurantisme
    qui
            anihile
                le désir de produire des efforts.
                MANGASS TTC
                Christian MAYANDJI
                Démarches-Gestion
                FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                CONVOYAGE EXPLOITATION
                VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                EUROPE - AFRIQUE



                --- En date de : Lun 15.9.08, felicite

             vincent <protected at yahoo.fr> a
                écrit :

                    De: felicite vincent <protected at yahoo.fr>
                    Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
                    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                    Date: Lundi 15 Septembre 2008, 0h08

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                    Mes chers compatriotes,
                   
                    La timidité
     des africains, et des gabonais en particulier.
                    Le français n'est pas raciste ! Quelques conseils pour
    casser
        le
            mur
                de
                 
               verre.
                   
                    Manquer d'assurance, de confiance en soi, être
        "timide",
                    est un handicap considérable pour réussir sa vie.
                    ** Les points caractéristiques des timides sont :**
                    Le point le plus important est l'analyse excessive de
                    ses propres réactions, la préoccupation de soi. Cette
                    autocritique permanente provoque l'inhibition, le
                    freinage des facultés mentales et créatrices, surtout
                    en groupe.
                    Cela vous empêche de communiquer efficacement, donc
                    cela fausse l'impression qu'ont les autres de vous.
                    Cela vous empêche de
     défendre vos droits et d'exprimer
                    votre opinion et votre personnalité.
                    Toutes ces difficultés vous empêchent d'apprécier des
                    moments qui auraient dû être des moments agréables, et
                    il en résulte la peur de rencontrer de nouvelles
                    personnes, de se
             faire des amis.
                    Une enquête, menée par le Standford Research Institute
                    (EU) auprès de 5.000 personnes, a montré que 80 % des
                    gens ont été ou sont timides, et que 40 % de la
                    population se considère comme actuellement timide.
                    Vous le voyez, vous n'êtes pas seul.
                    ** Le mythe de la personnalité immuable **
                    Pour ne plus être timide, le premier pas consiste à
                    vaincre le "mythe de la personnalité immuable". Ce
                    mythe,
     profondément ancré dans notre culture, veut que
                    nous ayons une personnalité immuable, soi-disant
                    "naturelle", acquise dès notre naissance, ou dans la
                    petite enfance, et qui constitue notre essence même.
                    Les dictons regorgent de phrases telles que "Chassez
                    le naturel, il revient au galop".
                    Or, les travaux de la psychologie moderne nous
                    montrent que tout cela
             est un mythe. Les cas célèbres
                    de multiples personnalités nous démontrent, si c'est
                    nécessaire, qu'en chacun de nous le potentiel de
                    changement existe.
                    Le mot "personnalité" vient de "persona",
        masque.
            La
                    personnalité n'est qu'un masque, un rôle, et nous
                    pouvons en changer à volonté. Nous avons bien une
           
             nature profonde, un potentiel, un acquis génétique,
                    mais celui-ci est beaucoup plus vaste que la
                    personnalité que nous exprimons. Les mêmes mécanismes
                    d'influence parentale, de suggestion,
                    d'autosuggestion, d'habitudes qui ont créé notre
                    personnalité, peuvent être utilisés pour la modifier.
                    Le plus important est d'admettre cette possibilité de
                    changement. Sans changement, il n'est pas de progrès
                    possible.
                    ** Agissez! **
                    La deuxième étape que
             vous devez franchir pour
                    atteindre l'assurance et la confiance en soi, est
                    d'agir. Lire cette lettre est bien, mais si vous
                    ne faites que cela, cela ne servira pas à grand chose.
                    Prenez l'engagement vis-à-vis de
     vous-même d'agir,
                    sinon votre effort ne servira à rien.
                    ** Changez votre Image de vous **
                    Avoir confiance en quelqu'un, c'est le connaître,
                    l'apprécier, voir ses qualités, ses côtés positifs, se
                    fier à lui. Mais pourriez-vous avoir confiance en
                    quelqu'un que vous critiquez tout le temps, dont vous
                    ne voyez que les aspects négatifs, les défauts ?
                    Certes pas.
                    Cette personne c'est vous. Par votre dialogue
                    intérieur, vous remplacez les injonctions de vos
                    parents : "Ne fais pas ci, ne fais pas ça" -
    "Tu
                    aurais dû..." - "Que vont-ils penser de toi ?".
        Vous
                
                avez un gendarme et un critique dans votre tête. Le
                    rôle de gendarme est la répression, le rôle de la

                    personnalité est juste le contraire : l'expression. La
                    répression empêche vos possibilités latentes de
                    s'exprimer.
                   
                    --------------------
                    Apprenez à dire NON
                    --------------------
                    Dire NON, cela n'est pas toujours facile, mais cela
                    s'apprend.
                    Si vous voulez bien gérer votre temps, établir un
                    véritable climat de communication entre vous et les
                    autres, vous devez vous y entraîner.
                    Les psychologues nous disent que ne pas savoir ou oser
                    dire "non" est lié à une peur profondément ancrée
    en
                    nous depuis notre enfance :
                    "Si je dis non, on va moins m'aimer !".
                    La conséquence directe de refuser quelque chose à
                   
     quelqu'un serait de perdre
             son affection, son amitié.
                    Donc, pour "faire plaisir", je dis "oui".
    Et
            c'est
                là
                    où tout se gâte: le résultat de mon acceptation
                    malgré moi sera du ressentiment. Le climat de
                    communication sera troublé.
                    ** Voici 5 conseils pour apprendre à dire NON : **
                    1. Écoutez attentivement la requête de l'autre,
                    et prenez votre temps avant de donner votre
                    réponse.
                    Si quelqu'un, par exemple, vous téléphone pour
                    vous demander de l'accompagner à un rendez-vous,
                    et que vous n'êtes pas certain d'avoir envie d'y
                    aller, répondez simplement:
                    "Il faut que je réfléchisse, je te rappelle dans
                    quelques minutes".
                   
     Ne décidez qu'après avoir réfléchi.
                    2.. Dites la vérité.
                    Ne vous empêtrez pas dans des excuses vaseuses,
                    inventées à la seconde et
             oubliées aussitôt. Un
                    mensonge peut avoir des conséquences bien pires
                    sur les relations qu'un NON franc.
                    3. Dites "non" avec tact et ne blessez jamais.
                    Refuser, dire "non", n'est pas synonyme
                    d'assommer, de faire mal. Si quelqu'un vous
                    invite à assister à une réunion qu'il organise et
                    que vous n'avez pas envie d'y aller, dites :
                    "Merci d'avoir pensé à moi, mais je n'ai
    vraiment
                    pas le temps!".
                    Plutôt que :
                    "Tes réunions me font toujours perdre du temps.
                    Je n'y vais pas!".
                    4. Ne vous laissez
     pas embarquer dans une
                    argumentation.
                    Si quelqu'un est surpris par votre refus et
                    essaie de vous faire changer d'avis, évitez de
                    vous lancer dans une explication compliquée du
                    pourquoi de votre refus.
                    Regardez la personne gentiment, souriez et
               
                 redites-lui : "NON".
                    Sinon, vous risquez de partir dans une discussion
                    interminable qui risque de mal tourner.
                    5. Ne vous excusez pas.
                    Rien ni personne ne vous oblige à vous excuser
                    parce que vous avez dit "non". Dire "non"
    est
                    votre droit le plus absolu. Tout ce que faites en
                    vous excusant, c'est de vous placer en situation
                    d'infériorité.
                   
                    Félicité Vincent


            
            --- En date de : Dim 14.9.08, bdpalabres-request at bdpgabon.org
                    <bdpalabres-request at bdpgabon.org> a écrit :

                        De: bdpalabres-request at bdpgabon.org
                <bdpalabres-request at bdpgabon.org>
                        Objet: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
                        À: bdpalabres at bdpgabon.org
                        Date: Dimanche 14 Septembre 2008, 18h00

                        Envoyez vos messages pour la liste BDPalabres à
                           
             bdpalabres at bdpgabon.org

                        Pour vous (dés)abonner par le web, consultez
                           
        http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org

                        ou, par email, envoyez un message avec 'help' dans
    le
        corps
            ou
                dans
                    le
                        sujet à
                           
     bdpalabres-request at bdpgabon.org

                        Vous pouvez contacter l'administrateur de la liste à
            l'adresse
                            bdpalabres-owner at bdpgabon..org

                        Si vous répondez, n'oubliez pas de changer l'objet
    du
            message
                afin
                        qu'il soit plus spécifique que "Re: Contenu du
    digest
        de
                        BDPalabres..."


                        ___________________________________________________________
                        Resumé des messages - Liste BDPalabres - BDP-Gabon Nouveau
                        ___________________________________________________________
                        Forum BDPalabres par email:
             POUR DIALOGUER avec les autres abonnés
            par
                    email,
                        répondez tout simplement aux messages.
                        POUR QUITTER la Liste, voir
     procédure en bas de page.
                        ___________________________________________________________

                        Thèmes du jour :

                          1. Re: Je suis dans la précarité mais je ne me sens pas
                              affamé,... (Christian MAYANDJI)
                          2. Re: Communiqué: Clarifications sur la phase
        insurrectionnelle
                              et les Représentations nationales et internationales
    du
                BDP-Gabon
                              Nouveau (Christian MAYANDJI)
                          3.  Les 10 Gabonais Qui Comptent Dans La Diaspora
    (Gabonais
            Diaspora)
                          4. Les 10 Gabonais Qui COMPTENT Dans La Diaspora   
        Gabonaise.
                              (Sylvain Ndong)
                          5.  Le silence tue... (Gabonais Diaspora)
                          6.  Re: 10 gabonais
             de quoi ? (Sylvain
     Ndong)
                          7.  Re: Les 10 Gabonais Qui Comptent Dans La Diaspora
    (Ange
            LESCO)


                       
            ----------------------------------------------------------------------

                        Message: 1
                        Date: Sun, 14 Sep 2008 04:54:16 -0400
                        From: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
                        Subject: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité mais
    je
        ne me
                sens
                            pas affamé,...
                        To: bdpalabres at bdpgabon.org
                        Message-ID:
        <E1KenN2-00033C-LU at dchost.globalwebcompany.net>

                        Marcel,
                       
                        Au démarrage d'un projet, la probabilité que l'on
    a
                    d'atteindre
                        les objectifs fixés est de moins de 50 %.
     Lorsqu'on
    entre
        dans
            la
                    phase
                        d'étude préliminaire et d'analyse fonctionnelle
    du
            projet, on
                    peut
                       
             faire baisser le niveau de risques à 20-25 %. Lorsqu'après
            avoir
                fait
                    la
                        selection des ses partenaires et définit avec eux les
    cahiers
        de
                charges
                    de
                        leurs interventions, chacun passe à une phase d'étude
            technique
                de
                    son lot
                        de travail, on arrive à un niveau de risques de 5 %. Ce
    niveau
        se
                réduit
                    au
                        fur et à mesure qu'on progresse car on bénéficie de
            l'effet
                        d'apprentissage et du retour sur expérience. C'est
    la
      
          raison
                pour
                        laquelle il faut acquérir un minimum d'outils avant de
    se
            lancer
                dans
                    quoi
                        que ce soit.
                        Je n'ai pas choisi de quitter mon pays pour fuir
            l'oppression.
                        Autrement, je n'y reviendrais pas tous les ans et je
        n'y
                passerais
                    pas
                        le tiers ou la moitié
             de l'année. Mon père était militaire.
            A
                son
                        contact, j'ai appris à anticiper ou à réagir dans
    les
            conditions
                        extrêmes. Je crois que je me sens plus efficace en
    situation
        de
            crise.
                En
                        quittant l'aéroport Léon Mba, je savais que je ne
    pouvais
        pas
            me
                    contenter
           
                 de ramener uniquement un diplome dans mon pays. Je savais
    aussi
        que
                        lorsqu'on veut progresser, il faut aller chercher la
            connaissance
                et
                        l'expérience ainsi que les moyens chez ceux qui
        constituent le
                modèle
                    de
                        réussite et de puissance. C'est ce qu'ont fait les
                ressortissants
                    des
                        pays que vous avez cités. Je suis le même exemple. Vous
        pouvez en
                faire
                        autant. Ensuite, il faut diffuser les fruits de notre
        expérience
            dans
                la
                        société. C'est
             comme cela que les personnes s'impregnent
            des
                        technologies diffusées ailleurs, apprenent à travailler
        ensemble
            dans
               
     des
                        ateliers, puis dans des usines.
                        J'aurai souhaité construire des usines dans mon pays,
    les
            mettre
                en
                        exploitation en recrutant autant de ressortissants gabonais
    que
                possible.
                        J'aurai souhaité faire la même chose avec des
        exploitations
                    agricoles.
                        Tout cela m'est techniquement possible. Pourtant je me
        rends
            compte
                que
                    mes
                        compatriotes - en commençant par vous - ne sont pas encore
        prêts
            à
                    optimiser
                        l'exploitation des investissements d'un niveau
        industriel.
                    L'échec
                        des projets ou de certaines réalisations industrielles
                s'expliquent
                    soit
            
                par des choix d'investissements
             inappropriés, soit par des
            fautes
                de
                        gestion (détournements de fonds), soit par des évolutions
                défavorables
                    des
                        marchés cibles, mais aussi par les contre-performances des
            ressources
                    humaines.
                        Elles ne sont pas prête à travailler efficacement dans
    des
        grands
                    ensembles
                        industriels. Allez rencontrer indiféremment des
    responsables
            gabonais
                ou
                        expatriés d'entreprises comme je l'ai moi-même
    fait
        avant
            de
                        l'expérimenter : ils vous diront que la même
    d'oeuvre
                gabonaise
                        n'est pas compétitive, ni suffisamment réactive. Ils
    ne
                   
     l'emploient
                        que pour les travaux s'inscrivant dans le cadre des
    cahiers
        de
                charges
                        fixés par l'Etat gabonais. Autrement, ils pourraient
        s'en
                passer
                    comme
                        les chinois l'ont
             fait en construisant nos batiments publics.
                        Vous vous sentez obligé de vous reconnaître des tares.
    Vous
        avez
                raison.
                    Vous
                        en avez de bien grandes, et moi aussi. S'il vous
    plaît,
        aidez
            moi
                à
                        transformer ces tares en qualités humaines et techniques,
    sans
            nous
                tirer
                    dans
                        les pattes. Nous en sortirons mutuellement gagnants. Vous
        voulez
            que je
                me
                        concentre sur la
     président de la République. Le docteur
        MENGARA
            et
                        d'autres le font déjà bien pour nous tous. Pourquoi
        perdre de
                        l'énergie ? Dans une organisation efficiente chacun
    peut
        se
                concentrer
                    sur
                        ce qu'il sait faire au mieux. Je crois que je peux vous
        être
            utile
                en
                    vous
                        envoyant des ciseaux. J'essaie de le faire au mieux.
            J'espère
                que
                    vous
             
                       en êtes satisfait.
                        Vous parlez de respect. Croyez bien que chaque fois que je
    me
        suis
                trouvé
                        "un petit boulot", je n'ai pas eu le
    sentiment
                d'être
                        humilié. Je me suis mis en situation d'apprentissage
    et je
       
     me
            suis
                    sentis
                        épanouie. J'ai tiré le maximum de connaissances
        techniques
                possibles
                    dans
                        l'espoir de les partager, un jour, avec vous et
        d'autres
                    compatriotes.
                        Je désespère car je crois que vous dû vous offrir encore
            quelques
                    régabs
                        avant de prendre le temps de me repondre. Alors, vous ne
    prenez
        pas
            la
                    peine
                        d'analyser ce que je dis et vous cherchez à me coller
    une
            image
                dans
                        laquelle je ne me reconnais pas.. Heureusement qu'il y
    a
                d'autres
                        personnes qui me lisent et qui ont compris,
             mieux que vous, ce que
                    j'essaie
                        de
     communiquer. Cela me permet de comprendre qu'en ce
    qui
            concerne
                        l'état mental des populations gabonaises, je ne dois
        surtout
            pas
                        généraliser. Je dois continuer à observer, trier et
        commencer à
                    travailler
                        avec ceux qui commencent à comprendre. Les autres, comme
    vous,
                prendront
                    le
                        train en marche.
                        En attendant, salutations cordiales.
                       
                        MANGASS TTC
                        Christian MAYANDJI
                        Démarches-Gestion
                        FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                        ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                        CONVOYAGE EXPLOITATION
                        VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                        EUROPE - AFRIQUE
                      
     


                        --- En date de : Sam 13.9.08, Marcel Mabongo
                <protected at yahoo.com> a
                      
              écrit :

                            De: Marcel Mabongo <protected at yahoo.com>
                            Objet: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité
    mais je
        ne
            me
                sens
                    pas
                        affamé,...
                            À: bdpalabres at bdpgabon.org
                            Date: Samedi 13 Septembre 2008, 3h29

                           
    ___________________________________________________________
                            Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon
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        répondez
            tout
                
            simplement
                            aux messages.
                            - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de
    page.
                           
    ___________________________________________________________


                            Monsieur Mayandji, vous continuez à tourner en rond.
                           
             Manifestement, vous n'avez encore pas dépassé le state de
            la
                            superficialité. Tout votre propos est la manifestation
    de
        la
                    mentalité
                            d'esclave dans laquelle les Africains baignent.
                            Votre seule explication aux problèmes des Africains en
        France
                reste
                        limitée
                            à ce que les autres vous font. Tout cet étalage se
        résume à
                cette
                        bizarre
                          
      conclusion que vous semblez avoir trouvée,
        c'est-à-dire
            que
                tout
                    ce
                        qui
                            arrive au Africains en France, c'est la faute des
            Français.
                            Est-ce que vous vous êtes un peu demandé si le
    problème
        qui
            fait
                que
                    les
                            Africains soeint au bas de l'échelle me vient pas
    de
        nos
                propres
                    tares
                        et
                            non des autres?
             Vous attendez qu'on vous serve le respect
            sur
                un
                    plat
                            d'argent. Mais non Monsieur Mayandji, le respect ne
    se
            donne
                pas,
                    le
                        respect
                            se gagne. En tant qu'historien,
     vous devriez
    pourtant
            savoir
                que
                            l'histoire n'est jamais un accident. Regardez
        comment
            tous
                les
                        peuples
                            jadis traités comme des animaux par les occidentaux
    sont
                    aujourd'hui
                            respectés et même craints par les occidentaux (Chine,
        Inde,
                    Indonésie,
                        etc.).
                            ces pays, il ya 40 ans, étaient plus pauvres que les
    pays
                Africains.
                            Aujourd'hi, ce sont des puissances économiques.
    VOus
        qui
            êtes
                        historien,
                            pourquoi ne vous demandez-vous pas pourquoi le noir
    vient
        en
                dernier
                       
             derrière
                            les Français. les
     Chinois, les indiens, les portugais
    et
        les
                Arabes?
                        C'est
                            pourtant dans l'histoire, non pas de la
    victimisation
        des
                    Africains,
                        mais
                            plutôt des incapacités des Africains, que se trouve
                    l'explication. On
                        en a
                            marre de cette mentalité qui ne nous fera jamsi
    évoluer.
            Voilà
                    pourquoi
                        les
                            blancs nous considèrent comme des enfants.
                            VOus restez attaché par le cou à la prison des
        incohérences
                    africaines
                        qui
                            nous retardent alors que les autres avancent. Au moment
    où
        les
                autres
                    ont
                       
     fini
                            par conquérir leur respect par des ACCOMPLISSEMENTS
    qui
        les
            ont
                    élevés
                        au
                            statut
             d'HOMMES, nous africains, nous attendons que les
            autres
                nous
                        offrent
                            le respect comme on donne un os à un chien. Vous allez
        vivre
            dans
                le
                    pays
                        de
                            quelqu'un à cause des animalités de votre propre
            président,
                et
                        c'est
                            la faute des Français? Au lieu de demander de scomptes
    à
            BONGO,
                lui
                    qui
                        vous a
                            appauvri au point de causer vos émigrations, vous ne
        trouvez
            rien
             
       à
                        redire.
                            Pendant que BOngo nous b... par le trou du c...., on
        préfère
                s'en
                        prendre
                            aux français.. INCROYABLE!
                            Pourquoi ne pas retourner en Afrique si vous ne voulez
    pas
            subir
                les
                            humiliations? Au moment où les autres ont conquis le
        respect
            par
                de
               
                 vrais
                            actes, nous, nous continuons les sempiternels
        pleurnichements..
            Oh,
                    racisme
                        ceci,
                            les Franças cela, oh mur de verre ici, oh injustice
    par
        là.
            Mais
                que
                        dites
                            vous de l'injustice PRIMAIRE, celle faite aux
    Gabonais
        par
          
      Omar
                    Bongo?
                        Que
                            dites vous qui puisse faire réparer cette injustice de
        BONGO
            pour
                        qu'on ait
                            plus à aller se faire humiler chez les blancs.
    regardez
        les
                grandes
                    places
                            immobilières et financières que deviennet des pays
    arabes
            comme
                les
                        Emirats
                            Arabes, le Kowet, etc. Regardez l'indolence des
        Africains
            et
                les
                            incapacités de rois nègres comme Bongo. Et pour vous,
            c'est
                au
                        Français
                           
             qui acceuillent les msières causées par BONGO, de nous
            montrer le
                        respect?
                            Si
     vous voulez mon opinion, les Français peuvent nous
        traiter
                comme
                    des
                            chiens, nous n'avons pas le droit de nous plaindre.
    Car
        ils
                n'y
                    a
                        que
                            des chiens qui fuient leur pays parce qu'ils sont
            incapables de
                se
                            débarasser de leur dictateur, et vont en France
    reprocher
        aux
                    Français
                        leur
                            racisme. NOus méritons ce racisme car nous ne sonnes
    pas
        des
                hommes.
                            Croyez vous que c'est la France qui nous a appelés
        vivre
            chez
                eux?
                    Si
                        nous
                            y sommes, c'est à cause de Bongo. Un vrai homme,
    au
        lieu
            de
       
                     s'attaquer
                            aux Français, devrait plutôt se poser la question de
             savoir
            ce
                    qu'il
                        doit
                            faire pour créer les conditions qui feraient que
    lui-même
        et
            ses
                    enfants
                            n'aient plus besoin d'aller se faire humulier
    en
            France. La
                        réponse à
                            cette question, c'est en finir avec la personne qui
        nous
            force
                à
                        quitter le
                            pays à la recherche de cieux meilleurs,
    c'est-à-dire
        Omar
                Bongo.
                            Et si la FRance soutient Bongo contre le peuple
    gabonais,
        alors
            les
                        Gabonais
                            doivent se montrer capable de mourir
     pour leur
    dignité.
        Tous
            les
                    peuples
                        qui
                            aujourd'hui sont dignes et puissants ont commencé
    par
        le
                sacrifice
                            national. Ils se sont refusés à la domination des
    autres
        et
            par
                cette
                        fierté,
                            ils se
             sont construits de vraies nations. BONgo n'a jamais
            eu
                de
                        fierté
                            nationale, alors ils traite ses concitoyens pire que
    les
            Français.
                    Mais
                        des
                            gens comme vous, MOnsieur Mayandji, vous attendez non
        seulement
            que
                ce
                    soit
                        la
                            France qui vous donne le respect. Vous attendez
     aussi
    que
        ce
            soit
                la
                    France
                        qui
                            viennne vous libérer de Bongo.
                            je ne vois pas dans vos écrits le raisonnement de
            quelqu'un
                ayant
                            dépassé le stade des primaires. VOus êtes de la
        philosophie
            qui
                dit
                    que
                            l'enfer c'est les autres, alors que notre
    enfer, en
            tant
                            qu'africains, c'est nous mêmes. Au Gabon,
    notre
        enfer,
                    c'est
                        Bongo
                            et toute
             la clique de voyous dont il s'est entouré.
            C'est
                à
                    eux
                        la
                            faute de nos humiliations en France, pas les françsis.
                     
           Commencez par vous libérer du bongoïsme et vous
    verrez
        que
                peut-être
                    que
                            vous pourrez éviter à vos enfants l'humiliation
            d'aller
                en
                    France
                            balayer les rues avec un doctorat en poche qui aurait
    pu
        aider
            le
                    Gabon.
                            je sais, dans votre dernier message, vous m'avez
    dit de
        me
            la
                fermr
                    car
                            vous avez dit que je ne maîtrise rien et que je ne
    vaut
        rien
                devant
                    votre
                            quintescence. Mais comme vous parlez trop en termes de
    MOI,
            MOI,
                MOI,
                    et
                        que
                            vous n'arrivez pas à lier votre humiliation
     en
    France
        avec
            les
                        malheurs
             que
                            notre despote au Gabon génère, c'est que vous
        n'avez
                guère
                    plus
                            évolué que les paysans et les jeunes à qui vous
    envoyez
        des
                ciseaux
                    au
                        Gabon.
                            Attention à vos émotions, car vous m'avez déjà
        traité
            de
                moins
                        armé
                            intellectuellement que vous. Si l'émotion
        l'emporte
            encore
                    cette
                        fois,
                            vous risquerez de continuer à tourner en rond avec une
            réflexion
                        embrumée par
                            l'énervement. J'essaie juste de vous aider à
        mieux y
            voir
       
                 clair
                        car je
                            pense que vous n'avez pas encore réalisé le saut
        mental
            comme
                            quelqu'un aime à le dire ici.
                            Mais surtout, attendion à la grosse tête car
    c'est
        ça
            qui
                créé
                         
               l'intolérence chez les hommes qui pensent que être dans
            un
                    débat,
                            c'est s'admirer devant les autres et quand on
    ose
        dire
                quelque
                        chose de
                            contradictoire, l'émotion l'emporte. Maitrisez
    vos
                émotions
                    si
                        vous
                            voulez débattre avec les idées claires. Pour le
    moment,
        vous
                    n'avez
                        pas
                           
     plus évolué que les pauvres auxquels vous envoyez des
            voitures.
                    Voilà
                            pourquoi vous êtes capables de me sortir quelque chose
        comme
                        "vérifier
                            que je maîtrise quelques outils de base lorsque je
        souhaite
                    m'engager
                        sur
                            certains sujets". Je suppose que vous maitrisez
        tellement
            tous
                les
                        sujets
                            que plus personne ne peut plus trouver à redire à
             vos
            brillances.
                    Soit!

                            Marcel

                            Christian MAYANDJI wrote:
                            >
            ___________________________________________________________
                            > Forum (Modéré) BDPalabres par email du
     BDP-Gabon
            Nouveau.
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                            > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de
        page.
                            >
            ___________________________________________________________
                            >
                            >
                            >
                            > M. DEGAOUENE,
                            > 
                            > Je vous demande pardon pour avoir blessé car ce
            n'était
                pas
                        notre
                           
             intention, ni de juger la politique de votre pays. En fait, le
               
     racisme
                        n'est
                            pas le sujet de notre discussion. Même si cela avait
    été
        le
            cas,
                    nous
                        nous
                            battons pour l'extirper avec la même vigueur aussi
        bien au
                Gabon
                            qu'ailleurs. A vrai dire, il ne me vient pas à
        l'idée
                        d'évoquer
                            les situations de discrimination dans le cadre du
    racisme.
        Je
            suis
                        historien de
                            formation et on nous as enseigné qu'on ne peut pas
            considérer
                            l'appartenance de catégories d'invidus à une
            communauté
                par
                    la
                            caractéristique - la couleur - de leur peau. Il y a
    bien
                d'autres
                     
       critères
                            qui permettent de nuancer ces distinctions. De plus
            l'humanité
                a
                    fait
                    
                des
                            progrès depuis l'abolition de l'esclave : si
    la
                candidature
                        d'un
                            afor-américain à la présidence des Etats - Unis
        constitue un
                    évenement,
                        qui
                            peut oublier que la France a eu un président du Sénat
            également
                issu
                    des
                            descendants d'esclaves d'origine négro -
        africaine.
            Qui
                        s'étonnera
                            du fait que malgré les scores de M. LEPEN au
        présidentielles,
            il
                y
                    ait
                        très
                  
              bientôt un président de la République Française
    issu de
                        l'immigration
                            récente? Pourquoi pas de l'Afrique Subsaharienne.
    Il y
        a
                après
                    tout
                        une
                            telle proximité.
                            > Pour l'instant dans le batiment en france, les
        négro
            -
                   
             africains
                        sont
                            nécessairement des manoeuvres quel que soit le niveau
    de
        leur
                    formation
                            initiale. Ils sont surveillés par les arabes du
    Maghreb. A
            leur
                tour,
                    ces
                            derniers obeissent aux Portugais et aux Espagnols. Puis
            viennent
                les
                        Français.
                            On peut
     retrouver cette organisation pyramidale dans
            d'autres
                    secteurs
                            professionnels. Mais ce n'est pas moi qui le
    constate,
        ce
            sont
                les
                        fruits
                            des recherches menées par un Français "de
        souche"
            dans
                le
                        milieu du
                            batîment. Même là aussi, il y a des progrès. les
        africains
                    méritants
                            peuvent créer des entreprises sous-traitantes et les
        mettre à
            la
                        disposition
                            des donneurs
             d'ordres. Combien de Français acceptent de se
                faire
                        embaucher
                            dans ces entreprises et de se mettre sous les ordres et
    à
        la
                    disposition
     
                           d'un patron négro africain? Cela n'est-il pas
            également
                vrai
                    au
                        Gabon?
                            Là-bas, les français sont des consultants ou
    directeurs,
            cadres.
                Je
                        n'en
                            connais pas beaucoup qui soient agents de maitrise,
    encore
            moins
                    manoeuvre,
                            caissières de supermarché à moins d'être
    mariée au
            patron.
                            > Pour ma part, quand je parle de mur de verre,
            j'évoque du
                    vécu.
                            Combien d'Africains majors de promotion se sont vu
        refuser
            des
                    stages
                        en
                            entreprises alors que leurs collègues français
    étaient
            acceptés
             
       en
                    
                moins
                            d'une semaine après l'envoi de leur
    candidature.
        Quant
            aux
                    postes
                        en
                            entreprises, je suis étonné que meme des entreprises
        ayant
            des
                    filiales
                            exerçant au Gabon ne se privent pas de faire la fine
        bouche.
            Je ne
                        parlerai pas
                            des filières de formations dont on écarte les
    africains
            après un
                        entretien ou
                            des "tests psychologiques" lorsqu'on
    n'a
        pas
            pu
                le
                    faire
                        à la
                            suite de tests de compétences.
                            > Non M. DEGOUAENE, tout cela n'est pas du
    racisme.
        la
        
            langue
                        française
                            est si riche qu'on peut trouver d'autres mots
    pour
        le
                    qualifier.
                        Sinon,
                            qu'allons nous dire? Lorsque le mots n'existe
    pas,
            peut-on
                   
             croire
                        que le
                            fait existe?
                            > Nous cependant conscient de notre devoir de
    reserve en
            France
                    ainsi
                        que de
                            l'honneur que vous nous faites en nous accordons
    votre
            amitié.
                Ce
                    qui
                        nous
                            gêne bien plus que cela nous blesse, c'est la
    qualité
        de
                cette
                        amitié. Je
                            la compare à l'épaisseur du goudron
     étalé sur
    nos
            routes :
                    Chaque
                        fois -
                            depuis l'indépendance - que nous faison appel à
    une
            société
                        française,
                            nous constatons que la couche est relativement mince.
    Nous
        nous
                voyons
                        obligé
                            de rappeller de la rappeller pour boucher les trous qui
                apparaissent à
                    la
                            moindre déformation du sol.
                    
                    > A côté de cela, nous n'avons à faire appel àdes
                sociétés
                            yougoslaves et philippines qu'à une seule occasion
    et
        il y
            a
                bien
                            longtemps. Le goudron est bien plus épais et leurs
        ouvrages
                restent
                 
           toujours
                            aussi solides que si elles en avaient achevé la
        construction
            la
                    veille.
                        Vous
                            comprendrez sans doute que le ressentiment
        qu'éprouvent
                désormais
                        quelques
                            Gabonais envers quelques français n'a rien à voir
        avec le
                    racisme. Il
                            s'agit surtout de la manière dont s'est
    construite
        la
                quelité
                    de
                        la
                            relation.
                            > Vous avez dit que vous n'êtes pas un
        intellectuel,
                autrement
                    que
                            votre formation n'est pas universitaire.
             peut-être êtes
            vous
                    plutôt
                        un
        
                        militaire. Si jamais l'envie vous vient de me punir
                physiquement
                    pour
                        ce que
                            je dis, faites - le proprement en limitant autant que
        possible
                        l'intensité
                            et la durée de la douleur.
                            > Par contre, si vous avez quelques sentiments pour
    les
                populations
                    de
                        notre
                            pays, n'hésitez pas à mobiliser vos compatriotes
    pour
        que
                cesse
                            l'indiférence que vous affichez face à
        l'oppression
                    économique
                        et
                            juridique que nous subissons dans notre propre pays
    pour
        vous
                offrir
                    cette
                            qualité de vie.
       
                         > Salutations cordiales.
                            > MANGASS TTC
                            > Christian MAYANDJI
                
                        > Démarches-Gestion
                            > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                            > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                            >  CONVOYAGE EXPLOITATION
                            > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                            > EUROPE - AFRIQUE
                            > 
                            >
                            >
                            > --- En date de : Jeu 11.9.08, DEGAOUENE
                <protected at aol.com>
                    a
                        écrit
                            :
                            >
                            >    De: DEGAOUENE <protected at aol.com>
                            >    Objet: [BDPalabres] Re: Je
     suis dans la
    précarité
            mais je
                ne
                    me
                        sens
                            pas affamé,...
                            >    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                            >    Date: Jeudi 11 Septembre 2008, 22h06
                            >
                            >  
             
            ___________________________________________________________
                            >    Forum (Modéré) BDPalabres par email du
    BDP-Gabon
            Nouveau.
                    Vos
                            messages
                            >    apparaîtront une fois modérés.
                            >    - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par
        email,
                répondez
                        tout
                            simplement
                            >    aux messages.
                            >    - POUR QUITTER la
     Liste, voir procédure en bas
    de
            page.
                            >   
            ___________________________________________________________
                            >
                            >
                            >    mes cher amis ,je lis avec beaucoup
    d'attention
        vos
                propos
                    ,je
                        ne
                            suis pas
                            >    un intellectuel comme vous ,mais vous me
    blessé en
            disant
                que
                        nous
                           
             Français
                            >    nous sommes racistes!je suis aller au GABON
        plusieurs
            fois
                        ,j'ai
                            des amis
                            >    chez vous et j'ai remarquer que se sont
    souvent
            vous
                qui
                    avez
               
             des
                            >    comportements racistes envers toutes sortes
                d'étrangers
                    par
                            ailleurs.
                            >    La France reçois des étranger de tout pays
    qui
        sont
                    respecter et
                            protégés
                            >    ,je pense que nous sommes un des pays au monde
    ou
                    l'étranger
                        est
                            aussi si
                            >    bien respecter.Je ne nie pas qu'il y ai des
    cas
        de
                    racismes
                            (intolérable)de
                            >    descriminations envers les étranger,mais
    quelle
            socièté
                est
                            parfaite?
                   
                     >    A part cela j'aime bien lire vos messages qui sont
        
            très
                            intéressant! Mais
                            >    je me garderai bien de juger la politique de
    votre
            pays!
                            >    Amitiés a vous et a tout le peuple GABON AIS
                            >




                        ------------------------------

                        Message: 2
                        Date: Sun, 14 Sep 2008 04:56:14 -0400
                        From: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
                        Subject: [BDPalabres] Re: Communiqué: Clarifications sur
    la
        phase
                            insurrectionnelle et les Représentations nationales et
                internationales
                            du BDP-Gabon Nouveau
                        To: bdpalabres at bdpgabon.org
                        Message-ID:
        <E1KenOw-00036w-KV at dchost.globalwebcompany.net>

                        M. Le
     Président,
                        Dr MENGARA,
                       
                        En parlant de
             travail, il y a quelques points sur lesquels vous
                n'avez
                    pas
                        apporter de clarifications. Je me demande comment dans le
    cadre
                d'une
                        démarche insurectionnelle, vous pouvez faire en sorte que
    les
            Gabonais
                    fassent
                        l'économie des dérives à la congolaise. J'ai
        quelques
            photos
                de
                    la
                        boucherie qui s'est produite à Brazzaville lors du
    conflit
            entre
                    Sassou et
                        Lissouba. Je garde également des photos des évènements
    des
            années
                1990
                    à
                        Libreville. Il n'y a aucune mesure en matière
     de
    cruauté
            touchant
                les
                        civils.
                        Vous savez que nous ne pouvez pas mener la moindre action
                insurectionnelle
                    sans
                        toucher à l'infrastructure qui assure la protection de
        votre
                    adversaire.
                        Vous savez que
             ceux qui maîtrisent cette infrastructure
                n'hésiterons
                    pas
                        à réagir sans ménagement - et à toucher la population
        civile -
                ainsi
                        qu'ils l'ont fait à Port-Gentil. Jusqu'à
        présent,
            les
                hommes
                        politiques de l'opposition ont utilisé leurs
    sympatisants
            comme
                armes
                    et
                        comme boucliers humains. Comptez vous utiliser la meme
       
     stratégie
                    suicidaire ?
                        Avez vous les moyens d'assurer la protection de la
        population
                civile?
                        Autrement dit, avez vous envisagé de mettre davantage
        l'accent
            sur
                des
                        actions économiques et juridiques ? Il me semble en effet
    que
        la
                pression
                        exercée par votre adversaire sur la population
    s'appuie
            fortement
                sur
                    ces
                        leviers ainsi que sur l'intimidation exercée par les
        services
            de
                  
                  renseignements. L'infrastructure militaire n'intervient
            souvent
                        qu'en dernier recours, une efficacité renforcée par
    la
            couverture
                des
                        forces étrangères établies sur notre
     territoire?
                        Cordialement.
                       
                        MANGASS TTC
                        Christian MAYANDJI
                        Démarches-Gestion
                        FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                        ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                        CONVOYAGE EXPLOITATION
                        VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                        EUROPE - AFRIQUE
                       


                        --- En date de : Sam 13.9.08, Dr. Daniel Mengara
                    <protected at bdpgabon.org>
                        a écrit :

                            De: Dr. Daniel Mengara <protected at bdpgabon.org>
                            Objet: [BDPalabres] Re: Communiqué: Clarifications sur
    la
            phase
                        insurrectionnelle et les Représentations
             nationales et
            internationales
                du
          
                  BDP-Gabon Nouveau
                            À: bdpalabres at bdpgabon.org
                            Date: Samedi 13 Septembre 2008, 4h18

                           
    ___________________________________________________________
                            Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon
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    ___________________________________________________________


                            Ne vous inquiétez point, ami Mayandji. Je ne
    pactiserai
                qu'avec le
                        peuple
                  
              gabonais. Au diable, donc, le diable.
                            J'ai une foi inébranlable en l'HOMME. En
             faisant
                l'homme
                    à
                        son
                            image, DIEU a voulu l'homme capable d'actes
    divins.
                C'est
                    cette
                            capacité, que nous appelons conviction (pour le bien)
    et
        amour
            (de
                son
                            prochain) qui fait de nous la projection même du
    dessein
        divin
            sur
                    terre,
                        et
                            nous arme contre les forces du mal. Libérer
    l'homme de
        ses
                    entraves
                            physiques et mentales, c'est en quelque sorte, et
    en
        fin de
                compte,
                        faire la
                            volonté de
     DIEU.

                            Au travail, donc, cher ami.

                            Daniel Mengara

                            Christian MAYANDJI wrote:
                            >
                            >
                            > Monsieur le Président,
                            > Docteur MENGARA,
                            > 
                            > Vous
             prennez un mauvais chemin si vous envisagez la
            moindre
                    hypothèse
                        de
                            pactiser avec le diable. Qu'est ce qui vous restera
        pour
            vous
                        distinguer du
                            pouvoir en place.? Votre victoire ne viendra que de
    votre
        foi
            en
                DIEU.
                        Soyez en
                            convaincu quel que soit votre inspiration du moment.
                            >
     Salutations cordiales.
                            >
                            > MANGASS TTC
                            > Christian MAYANDJI
                            > Démarches-Gestion
                            > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                            > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                            >  CONVOYAGE EXPLOITATION
                            > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                            > EUROPE - AFRIQUE
                            > 
                            >
                            >
                            > --- En date
             de : Ven 12.9.08, BDP-Gabon Nouveau
                            <protected at bdpgabon.org> a écrit :
                            >
                            >    De: BDP-Gabon Nouveau
        <protected at bdpgabon.org>
                            >    Objet: [BDPalabres] Communiqué:
     Clarifications
    sur
        la
                phase
                            insurrectionnelle et les Représentations nationales et
                internationales
                    du
                            BDP-Gabon Nouveau
                            >    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                            >    Date: Vendredi 12 Septembre 2008, 20h42
                            >
                            >   
            ___________________________________________________________
                            >    Forum (Modéré) BDPalabres par email du
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            ___________________________________________________________
                            >
                            >
                            >    Communiqué: Clarifications sur la phase
            insurrectionnelle
                et
                    les
                            >    Représentations nationales et internationales
    du
            BDP-Gabon
                        Nouveau
                            >
                            >    Lien sur le site:
                            >   
                         
                     
                   
               
           
      
     
    http://www.bdpgabon.org/articles/2008/09/12/communique-clarifications-sur-la-phase-insurrectionnelle-et-les-representations-nationales-et-internationales-du-bdp-gabon-nouveau/
                            >
                            >    Le BDP-Gabon Nouveau tient à clarifier
             un certain
            nombre
                de
                            malentendus ayant
                            >    trait au statut actuel de ses représentations
            politiques
                en
                        France et
                            dans le
                            >    monde.
                            >
                            >    Nous rappelons à tous et à toutes que toutes
    les
                        représentations
                            OFFICIELLES
                            >    du mouvement avaient été dissoutes et/ou
        suspendues
            en
                    décembre
      
                          2005 quand le
                            >    mouvement a redéfini son idéologie pour
        s'engager
                        ouvertement
                            dans la
                            >    préparation de la lutte insurrectionnelle.
                            >
                            >    A ce titre, les seules fonctions officielles
    (et
            visibles)
                au
                    sein
                        du
                            mouvement
                           
             >    demeurent, jusqu'à nouvel ordre, celles qui
            existent
                au
                    sein
                        de
                            la
                            >    Coordination Nationale du BDP-Gabon Nouveau au
        Gabon
            même
                (en
                        tant
                            que point
                            >   
     d'appui politique local non clandestin), le
        Mamba
                (Branche
                        armée,
                            >    clandestine) et le Comité Directeur (point
        d'appui
                    externe,
                            clandestin). Il
                            >    y a aussi les deux porte-paroles du mouvement,
            notamment le
                    Dr.
                        Bruno
                            Ella
                            >    (Porte parole politique) et Curtis Bezauna
    (Porte
            parole
                        militaire).
                            >
                            >    RAPPEL HISTORIQUE: Suite à la réélection
        frauduleuse
                    d'Omar
                            Bongo en
                           
             >    novembre 2005, le BDP-Gabon Nouveau avait, entre
            autres,
                    publié
                       
     les
                            >    communiqués suivants:
                            >
                            >    - 3 Décembre 2005: Création d'urgence du
        poste de
                    Président
                        du
                            BDP-Gabon
                            >    Nouveau, en remplacement de celui de
    Coordonnateur:
                            >   
                         
                     
                   
               
           
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/05/resolutions-de-la-reunion-durgence-du-comite-directeur-bdp-gabon-nouveau/.
                            >
                            >    - 5 Décembre 2005: Dissolution des structures
            existantes
                du
                        BDP-Gabon
                            Nouveau
                            >    par le Président du BDP-Gabon Nouveau, et
    annonce
        du
               
     début
                    de la
                            phase de
                            >    préparation
             insurrectionnelle du mouvement:
                            >   
                         
                     
                   
               
           
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/05/message-a-la-nation-du-dr-daniel-mengara-fini-le-temps-de-limpunite/.
                            >
                            >    - 9 Décembre 2005: Ralliement du Mamba au
        BDP-Gabon
                Nouveau
                    comme
                            branche
                            >    militaire du mouvement:
                            >   
                         
                     
                   
               
           
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/09/le-mamba-se-rallie-devient-la-branche-armee-du-bdp-gabon-nouveau/
                            >
           
                     >    Tous ces textes se trouvent également dans
    notre
        vieux
                site
                            désormais
                            >    archivé sur ce lien: 
            http://www.bdpgabon.org/archives/, y
                        compris le
                            message
                            >    audio enregistré par
             le Dr. Daniel Mengara pour
                    l'occasion
                        (Dès
                            la
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            décembre
                    2005
                        et
                            janvier
                            >    2006). Vous pouvez aussi, sur notre nouveau
    site
        (actif
                depuis
                        avril
                            2008),
                            >    cliquer sur l'année 2005 pour
     voir
    certains
        des
                articles
                    que
                        nous
                            avons
                            >    recopiés de l'ancien site et, ainsi, vous
            concentrer
                sur
                    les
                            articles
                            >    publiés en décembre 2005 et janvier 2006. Le
    site
        du
                Mamba
                            >    (http://www.lemamba.org) contient également
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                            >    Parce que les cellules et
             représentations du BDP-Gabon
                    Nouveau
                        sont
                            dissoutes
                            >    depuis décembre 2005, toutes personnes autres
    que
        les
                    personnes
                            citées
     plus
                            >    haut qui parleraient, à titre officiel, au nom
    du
                BDP-Gabon
                        Nouveau,
                            feraient
                            >    automatiquement preuve d'imposture. Par
        ailleurs,
                toutes
                    les
                            personnes qui
                            >    parlent au nom du mouvement ne le font pas sur
    les
            forums,
                    mais au
                            travers de
                            >    communiqués de presse publiés sur notre site
                            (http://www.bdpgabon.org) à
                            >    titre OFFICIEL. Sur les forums et ailleurs, les
        membres
                connus
                    du
                            BDP-Gabon
                            >    Nouveau expriment
             leurs opinions personnelles en tant
           
     que
                        citoyens,
                            mais ces
                            >    opinions n'engagent aucunement le
    mouvement.
        Parce
                    qu'un
                            mouvement
                            >    n'est pas forcément monolithique dans sa
        pensée,
                chacun
                    peut
                            être libre
                            >    de ses opinions sans toutefois remettre en
    cause
        les
                grandes
                        lignes de
                            >    l'idéologie de libération nationale du
        BDP-Gabon
                    Nouveau,
                        qui
                            demeure le
                            >    socle qui unit tous les partisans du changement
            véritable,
                    sans
                            particularisme
                            >    ethnique,
     sans repli identitaire et sans 
        distinctions
            de
                    sexe, de
                            race ou
                            >    d'origine.
                            >
             
                           >    La pensée officielle de notre mouvement reste
    donc
                clairement
                            exprimée dans
                            >    les divers articles et documents publiés sur
    notre
            site
                dans
                    la
                            rubrique ayant
                            >    trait aux activités du BDP-Gabon Nouveau
                            >   
    (http://www.bdpgabon.org/articles/category/bdp/;
        voir
            aussi
                        archives,
                            site 1:
                            >    http://www.bdpgabon.org/index1.shtml et
    archives
        site
            2:
                           
     >    http://www.bdpgabon.org/archives/). Notre
    devise
            demeure :
                    "
                            Bongo Doit
                            >    Partir, par tous les moyens possibles, pour la
            construction
                        d'un
                            Gabon
                            >    nouveau ". Ce combat de libération
    nationale
                interpelle
                    tous
                        les

                            fils et
                            >    filles du Gabon et amis du Gabon qui pensent et
        disent
            que
                    "
                            Bongo Doit
                            >    Partir ", toutes ethnies et toutes
    tendances
                confondues.
                            >
                            >    Ainsi :
                            >
                            >    -  que l'on soit Téké, Punu,
     Fang,
    Myéné ou
            autre,
                si
                        l'on
                            pense
                            >    que " Bongo Doit Partir, par tous les
    moyens
                possibles,
                    on
                        est
                            forcément
                            >    du BDP-Gabon Nouveau.
                            >    - Que l'on soit du BDP, de l'UPG, du
    PDG,
        du
            RDPG,
                du
                    FUCR
                        ou
                            de tout
                            >    autre partie ou structure politique, si
    l'on
        pense
            que
                    "
                            Bongo Doit
                         
               >    Partir, par tous les moyens possibles, on est
            forcément du
                        BDP-Gabon
                            Nouveau.
                           
     >    - Que l'on dirige une association, une
        entreprise,
            une
                    famille
                        ou
                            une
                            >    administration, si l'on pense que "
    Bongo
        Doit
                    Partir,
                        par
                            tous les
                            >    moyens possibles, on est forcément du
    BDP-Gabon
            Nouveau.
                            >
                            >    Telle est l'idéologie BDP,
    c'est-à-dire
        le
            point
                de
                        pensée
                            et de
                            >    ralliement qui, s'étalant au-delà des
        personnes,
            des
                    partis
                        et
                            des
                            >    ethnies, affirme les principes rassembleurs du
        "
           
     Gabon
                            d'abord "
                            >    et les projette dans
             un engagement politique qui, parce
            que
                        partagé
                            par la
                            >    majorité agissante ou silencieuse, pose comme
            condition
                        principale du
                            >    changement au Gabon le départ immédiat
    d'Omar
            Bongo
                du
                        pouvoir.
                            >
                            >    A titre de résumé, donc, voici la structure
        actuelle
            du
                        mouvement:
                            >
                            >    - Président du BDP-Gabon Nouveau
                            >    > Dr. Daniel Mengara
                            >
                            >    - Comité Directeur
                        
        >    > (Clandestin, USA)
                            >
                            >    - Coordination Nationale
                            >    > (Représentation officielle, Gabon)
                            >
                            >    - Le Mamba
                            >    > (Branche
             militaire, clandestin)
                            >
                            >    - Porte parole politique
                            >    > Dr. Bruno Ella Nguéma
                            >
                            >    - Porte parole militaire
                            >    > Mr. Curtis Bezauna
                            >
                            >    - Et un certain nombre de structures
    clandestines
                impliquées
                    dans
                        la
                            >    préparation du combat insurrectionnel annoncé
    en
            
        décembre
                    2005.
                            >
                            >    Toutes les personnes ayant occupé des
    fonctions
                officielles
                    au
                        sein
                            du
                            >    BDP-Gabon Nouveau restent, certes, membres de
    droit
        du
                    BDP-Gabon
                            Nouveau (sauf
                            >    si démissionnaires), mais leurs opinions, en
    tant
        que
                    citoyens
                
                    libres
                            de leurs
                            >    opinions, n'appartiennent qu'à eux et
                n'engagent
                            aucunement le
                            >    BDP-Gabon Nouveau.
                            >    Au moment opportun, le BDP-Gabon Nouveau
        réactivera
            ses
                       
         représentations de
                            >    par le monde. Pour le moment, notre stratégie
    vise
                    principalement
                        la
                            >    préparation et à la consolidation de
    l'action
                    clandestine
                        autour
                            de
                            >    l'idéologie du combat de libération
        nationale. Au
                moment
                    qui
                            nous
                            >    paraîtra opportun, nous solliciterons de nos
        membres
                (anciens
                    et
                            nouveaux) la
                            >    réactivation OFFICIELLE des cellules BDP
        (nouvelles ou
                      
              anciennes),
                            soit sur la
                            >    base de leur importance stratégique, soit
     dans
    le
            cadre
                    global
                            d'une
                            >    politique de réofficialisation des cellules et
                    représentations
                            nationales et
                            >    internationales du BDP-Gabon Nouveau. Dans ce
        contexte,
            des
                            communiqués seront
                            >    faits pour officialiser ces activations ou
            réactivations.
                            >
                            >    Evidemment, les adhésions individuelles de
    membres
                continuent
                            activement et
                            >    sans interruption (voir cette page :
                            http://www..bdpgabon.org/adhesion/). Les
                            >    personnes qui aujourd'hui adhèrent au
        BDP-Gabon
                Nouveau
             
           le
                        font
                            soit comme
               
                         >    membres de la structure politique (clandestine ou
                officielle),
                    ou
                            alors comme
                            >    combattants au sein du Mamba (structure
        clandestine).
            Etre
                    membre
                            combattant du
                            >    Mamba fait automatiquement du combattant un
    membre
        du
                    BDP-Gabon
                            Nouveau.
                            >
                            >    Chaque Gabonais ou chaque membre du BDP-Gabon
        Nouveau
            (au
                    Gabon ou
                            dans la
                            >    diaspora) est libre de créer une cellule de
        réflexion
            BDP
                    dans
                     
       son
                            quartier,
                            >    sa région, sa province, sa ville ou son pays
    de
                résidence.
                    Le
                            responsable
                            >    d'une cellule ainsi créée se doit
    d'en
            informer
                la
                       
             direction
                            du
                            >    mouvement pour qu'elle prenne acte de son
            existence.
                    Toutes
                        les
                            cellules
                            >    actuelles ou nouvelles gardent, toutefois, un
            caractère
                        officieux. Le
                            BDP-Gabon
                            >    Nouveau décidera du moment où, pour raisons
            stratégiques
                ou
                        autres,
                            il
        
                        >    procédera à l'officialisation des
    cellules à
            titre
                    spécial
                        ou
                            général.
                            >
                            >    Le combat insurrectionnel reste
    d'actualité et
        sa
                        préparation
                            continue.
                            >    Comme nous l'avions dit sur cette page du
    site
        du
            Mamba
                en
                        2005
                            >   
             (http://www.lemamba.org/content/view/46/67/), quand le
                Mamba
                    sera
                            prêt à
                            >    commencer ses activités insurrectionnelles, un
            ultimatum
                de
                    deux
                            semaines sera
                            >    lancé. Cet
     ultimatum aura pour but, d'une
        part, de
                    laisser le
                            temps aux
                            >    populations gabonaises de s'organiser en
        faisant
            des
                        provisions,
                            et
                            >    d'autre part, aux membres du régime Bongo
    qui
            veulent
                        rejoindre
                            le camp de
                            >    la réforme d'en faire la démarche. Une
    fois
        les
            deux
                        semaines
                            >    d'ultimatum passées, le Mamba pourra, dès
        lors,
                lancer
                    le
                        début
                            de la
                            >    phase
             insurrectionnelle, au moment de son choix.
                            >
                            >   
     Comme le BDP-Gabon Nouveau l'a toujours
    dit,
        rien
            de
                bon
                    ne
                        peut
                            plus se
                            >    passer au Gabon tant qu'Omar Bongo sera au
        pouvoir.
            Le
                        changement,
                            >    contrairement à ce que disent les chantres de
    la
                    convivialité et
                        des
                            >    rapprochements avec Bongo, ne viendra pas au
    Gabon
        par
            les
                    urnes.
                            Seule une
                            >    stratégie insurrectionnelle viendra à bout du
            bongoïsme
                au
                        Gabon.
                            >    L'insurrection, que l'on le veuille ou
    non,
        se
            fera
                au
                        Gabon,
         
                       même si
                            >    pour cela le BDP-Gabon Nouveau doit pactiser
    avec
        le
                diable.
                   
             Ce
                            n'est donc
                            >    pas une question de "si", mais
    plutôt
        une
                question
                    de





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