[BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1

Alice Vincent protected at yahoo.fr
Jeu 18 Sep 10:49:42 EDT 2008


Bonjour Petit Lambert,

 

C'est à moi que tu t'adresses ? ou à Christian ?

 

Salutations sincères et fraternelles

 

Félicité Vincent


----- Message d'origine ----
De : PETIT LAMBERT.O <protected at yahoo.fr>
À : bdpalabres at bdpgabon.org
Envoyé le : Jeudi, 18 Septembre 2008, 1h11mn 33s
Objet : [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1

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Tu nous fatigues avec tes théories des années 30.
Rentre dans la danse et viens manger.

SINCERES SALUTATIONS


-- En date de : Mer 17.9.08, Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr> a écrit :

    De: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
    Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
    À: bdpalabres at bdpgabon.org
    Date: Mercredi 17 Septembre 2008, 1h40

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    Cher Félicité, chers compatriotes,
   
    Vous avez raison. Il n'y a pas de sots métiers et je ne vous cacherais pas
    mon admiration
    pour cette capacité d'adaptation. J'ai un peu fait la
    meme expérience que vous - même et je suis parti du batiment à la
    comptabilité-finance en passant par la logistique.
    Vous n'avez pas besoin de dire grand chose mais votre expérience est
    dense. Je pense que s'il m'étais donné de construire à nouveau des
    groupes de travail pour préparer et réaliser des projets pour le Gabon, je
    serais heureux de vous compter soit dans le service à la personne, soit dans la
    mise en oeuvre des projets agricoles.
    Je voudrais juste vous signaler que l'agriculture gabonaise est entrain
    d'évoluer, du moins au niveau des pays. Les paysans gabonais ne cultivent
    plus uniquement pour l'autoconsommation, la subsistance. Ils cultivent de
    plus en plus en tenant compte des débouchés vers les marchés. Par contre et
    contrairement aux secteurs d'extraction, le secteur agricole du gabon manque
    de cadres pour résoudre les problèmes
    de cultures, de financement, de
    logistique, de débouchés commerciaux. Les gabonais n'ont pas encore
    compris - ou refusent de comprendre - que les filières du secteur agricole
    peuvent fonctionner comme celles du secteur pétrolier ou minier.
    En fait, ce secteur a fonctionné ainsi jusqu' à la fin des années 1960.
    Bien plus que l'argent, ce secteur a besoin qu'on construise des
    entrepots pour stoquer et conditionner les produits ainsi que des véhicules de
    transport pour acheminer les produits vers les marchés domestiques ou
    extérieurs. Je dois signaler que pendant que nos paysans ne peuvent pas se
    permettre des efforts de production, nous avons des gabonais qui se sont lancé
    dans la gestion des centrales d'achats et qui - pour s'approvisionner -
    sont obligés de travailler avec d'autres pays. N'est-il pas temps de
    combler ce fossé?
   
    Où est passé l'argent ?
    Je crois que le privé doit être capable
    de remplacer le public lorsque celui
    - ci échoue dans un secteur. De quelle somme d'argent  a t-on besoin pour
    construire des entrepôts? acheter des tracteurs d'occasion dans les
    campagnes françaises et les expédier au Gabon ? des camions de transport
    d'occasion ? des pondeuses à parpaing ? des bétonneuses ? et même des
    camions citernes d'occasion ? des scies mécaniques ? des treuils ? des
    remoqueurs ? des canots ? des plants ou des semences ? et tant d'autres
    choses ?
   
    Aller vérifier sur internet et vous vous rendrez compte que tout cela est à
    notre portée. Je pense que si chaque ressortissant gabonais de la diaspora
    pouvait - individuellement ou collectivement - consacrer 3000 à 15000 €
    d'investissements par an rendu port de Libreville en équipements, nous
    pourrions transformer un certain nombre de secteurs économiques laissé en
    désuétude par l'Etat. Je crois que cela serait plus
    convaincant au yeux
    des nos populations, de nos parents que nos explications, nos discours ou même
    même nos comportements de courtisans du pouvoir.. Nous peserions d'un autre
    poids politique et économique. Ce sont des choses que nous pouvons faire  tous
    les " 17 Août " pour équiper chaque département du Gabon un minimum
    d'infrastructures de production. Pour ceux qui ne sont pas capable
    d'épargner, il y a de nombreuses sociétés financières (CETELEM, ...) qui
    ne demandent qu' à offrir des crédits en contrepartie de quelques
    garanties.
    La diaspora a un rôle à jouer. Il ne faut pas qu'elle rate le train comme
    nos ainés : opposants ou partisans du pouvoir, ils ont été contraints à
    l'entrisme politique parce que - munis uniquement de leurs dîplomes - ils
    ne pouvaient subvenir à leurs besoins autrement qu'en entrant à la
    "haute"  fonction publique. Nous devons être en mesure de créer une
    autre
    classe sociale qui soit une pépinière des nouveaux capitaines
    d'industries du Gabon.
    Il faut que nous arrivions à nous montrer aussi responsables que les diasporas
    des autres pays africains. Nous serons davantage respectés.
   
    J'en appelle à notre conscience.
    Salutations cordiales.

   
    MANGASS TTC
    Christian MAYANDJI
    Démarches-Gestion
    FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
    ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
    CONVOYAGE EXPLOITATION
    VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
    EUROPE - AFRIQUE
   


    --- En date de : Mar 16.9.08, Alice Vincent <protected at yahoo.fr> a écrit
    :

        De: Alice Vincent <protected at yahoo.fr>
        Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
        À: bdpalabres at bdpgabon.org
        Date: Mardi 16 Septembre 2008, 20h18

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        Mon cher Christian, pour notre entretien
       
        Lorsque les Etrangers ne sont pas affectés aux activités de services à
    la
        personne ou ux tâches insalubres, ils sont perçus comme des individus qui
        viennent manger le pain des nationaux.
       
        Il n'y a pas de sot métiers, il n'y a que de sorte gens !
        Les services à la personne pèsent 8 milliard d'Euros, nous travillons
    à
        la professionnalisation, selon la loi 2002.

        Il y a aujourd'hui des lois qui contingentent non seulement
    l'accès au
        territoire, mais également l'accès à l'emploi en commençant par
    les
     
    différentes cartes de résidence. En pratique, nous pouvons prendre votre
        exemple : diplomé en agronomie tropicale (acitivité plutôt innovante),
    mais
        obligé d'évoluer dans un autre secteur d'activité. Ce n'est
    pas
        du racisme, mais c'est du gachis! je suis certain qu'au Gabon ou en
        France, vous auriez pu apporter une très grande valeur ajoutée dans le
        développement des cultures tropicales.
       
        Le pojet CIAM au Gabon, avec mon professeur de mémoire, Monsieur Guy
    Rouanet,
        nous avons travaillé à la mise en place de ce projet au Gabon. le
        fonctionnement et les moyens finaniers, étaient aux mains de nos
    compatriotes.
        Ceci après le départ des blancs. L'argent est parti où ? Je vous
    laisse
        déviner !
        La Gabegie pour mon peuple !
       
        En tant scientifique, j'ai choisie toute seule mon orientation
        universitaire. Ma peau d'âne en
    poche, je n'ai pas chômée,
    j'ai
        travaillé à l'assistance publique. J'ai appris beaucoup de chose
    au
        niveau professionnel,  la gestion financière d'un hôpital, d'un
    Centre
        de santé, mes chefs m'aimaient pour ma rigueur allié à mon
    efficacité
        profesionnelle. C'est moi-même qui avait démissionné pour être
        indépendante !
       
       
        Après tout, il y a tellement de laboratoires en recherche-développement
    qui
        ont des programmes, tellement de projets pour lesquels les ONGs
    occidentales
        collectent des fonds aussi bien au près du grand public qu'à celui
    des
        organisations internationales pour vaincre la faim et la malnutrition dans
    tant
        de pays du Tiers-mondes que je ne comprends pas autrement qu'ils ne ne
        soient pas donné l'opportunité de vous soutenir dans ce qui était
    votre
        projet initial. Serait-ce vous même qui y avez
    renoncé ?

        Ce n'est pas du racisme, c'est du gachis. Le mur de verre est cela
    : le
        fait de gacher des talents au nom du protectionisme, du corporatisme et du
        contingentement économique.
       
        Nous devrons apprendre à gérer, confondre le prix d'achat et de
    revient,
        il y a un ''blème'' ! Gérer une exploitation agricole ça
        s'apprend, notre agriculture est une agriculture de subsistance. Je
    suis
        partisan d'une agriculture raissonnée, extensive et non intensive,
    pour
        éviter l'érosion des sols, vue les averses au Gabon.
       
        Serait-ce vous même qui y avez renoncé ?
       
        J'adore ce métier, je vais vous dire une chose, j'élèvait les
        poules, les lapins, les canards. Nous n'arrivions pas à les manger,
        c'était comme mes enfants !
       
        je cultuvais le maïs, les pommes de terre, les tomates, les aromates.
    J'ai
        tout
    arrêté ! Mon travail est trop prenant !
       
        J'ai planté les pommiers, poiriers, cerisiers, noisetiers.
       
        Cordialement vôtre
       
        Félicité Vincent
       



       

        ----- Message d'origine ----
        De : Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
        À : bdpalabres at bdpgabon.org
        Envoyé le : Mardi, 16 Septembre 2008, 1h55mn 48s
        Objet : [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1

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        Cher Félicité,

        Lorsque je parle
    de mur de verre, je ne fais pas référence au racisme. La
        France a aboli l'esclavage ainsi que le code de l'indigénat -
        traduction économique du racisme - depuis bien longtemps. En
    m'exprimant
        sur ces points, j'ai utilisé un style plutôt parabolique emprunté à
        l'écriture évangélique. L'interprétation que certains
    d'entre
        vous en ont faite n'est pas celle que je souhaite.
        Le mur de verre fait référence au protectionnisme et au corporatisme qui
    ont
        caractérisé l'économie mercantiliste en France ainsi que des
    nombreux
        pays du Sud du XVIe siècle européen. Cette forme d'économie
        pré-capitaliste préconisait que la richesse d'un pays à la quantité
    des
        métaux précieux - et des marchandises de meilleures qualité - qu'il
        pouvait accumuler. Elle a amené la France à pratiquer une économie quasi
        autarcique consistant à
        - vendre du
    toc, piller les gisements de minerais, exploiter de la main
        d'oeuvre bon marché à l'etranger
        - créer des manufactures controlées par la puissance publique pour
    fabriquer
        et distribuer des biens de prestige ou de qualité sur le territoire
    national.
        Le critère dominant de repartition n'était alors pas l'échange
        (valorisé par une monnaie) entre la quantité ou la qualité de travail
    reconnu
        contre le bien recherché, mais simplement le fait de la reconnaissance du
        Prince envers ses sujets par ordre de préférence royale (et non pas
    encore
        nationale).
        De nos jours, la France a connu l'émergence et le développement
        capitaliste : outre les métaux précieux, elle accumule l'argent et
    une
        certaine forme de puissance. Les sujets - transformés en citoyens - forme
    le
        corps politique et sont désormais dépositaires de la
    souveraineté
    nationale.
        Il reste malgré tout un certain héritage de cette époque économique.
        Les barrières douanières ne sont plus aussi forte pour empecher les
    produits
        étrangers  d'entrer sur son territoire. Entre-temps, la population est
        passé de l'économie de production à la société de consommation :
    les
        individus et l'Etat ont compris que la présence des produits
    étrangers et
        le développement des échanges économiques pouvaient contribuer au
    bien-être
        des populations.
        Seulement, Cet environnement économique conservent des rigidités et
        génèrent des comportements si obselètes que la performance économiques
    en en
        a patit. La France est passé du 4ème au 10ème rang des puissance
        économiques. Comme au Gabon, les populations - les catégories
        socio-économiques - se battent pour avoir la plus grosse part d'un
    gateau
     
    dont la dimension se réduit. Ils ne combattent plus pour créer la
    richesse qui
        se présente désormais sous la forme de l'accumulation de la
    connaissance
        scientifique et technologique, l'accroissement des équipements et
        différents moyens de production, la multiplication des produits culturels
    et de
        consommation.
        Lorsque les Etrangers ne sont pas affectés aux activités de services à
    la
        personne ou ux tâches insalubres, ils sont perçus comme des individus qui
        viennent manger le pain des nationaux.
        Il y a aujourd'hui des lois qui contingentent non seulement
    l'accès au
        territoire, mais également l'accès à l'emploi en commençant par
    les
        différentes cartes de résidence. En pratique, nous pouvons prendre votre
        exemple : diplomé en agronomie tropicale (acitivité plutôt innovante),
    mais
        obligé d'évoluer dans un autre secteur d'activité.
    Ce n'est
    pas
        du racisme, mais c'est du gachis! je suis certain qu'au Gabon ou en
        France, vous auriez pu apporter une très grande valeur ajoutée dans le
        développement des cultures tropicales. Après tout, il y a tellement de
        laboratoires en recherche-développement qui ont des programmes, tellement
    de
        projets pour lesquels les ONGs occidentales collectent des fonds aussi bien
    au
        près du grand public qu'à celui des organisations internationales
    pour
        vaincre la faim et la malnutrition dans tant de pays du Tiers-mondes que je
    ne
        comprends pas autrement qu'ils ne ne soient pas donné
    l'opportunité de
        vous soutenir dans ce qui était votre projet initial. Serait-ce vous même
    qui
        y avez renoncé ?
        Ce n'est pas du racisme, c'est du gachis. Le mur de verre est cela
    : le
        fait de gacher des talents au nom du protectionisme, du corporatisme et du
     
      contingentement économique.

        La fait est que, dans le cadre de l'expansion capitaliste de cette
        puissance économique en Afrique, notamment au Gabon, nous avons hérité
    de ce
        mode de fonctionnement économique : l'importance de la participation
    de
        chacun à la création de la richesse n'est pas apprécié à sa juste
        valeur, la repartition de la richesse se fait en fonction de la puissance
    du
        lobbying et de la preférence présidentielle. Les effets désastreux de ce
    type
        de comportement économique sont accentués par l'obscurantisme qui
    anihile
        le désir de produire des efforts.
        MANGASS TTC
        Christian MAYANDJI
        Démarches-Gestion
        FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
        ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
        CONVOYAGE EXPLOITATION
        VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
        EUROPE - AFRIQUE



        --- En date de : Lun 15.9.08, felicite
    vincent <protected at yahoo.fr> a
        écrit :

            De: felicite vincent <protected at yahoo.fr>
            Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
            À: bdpalabres at bdpgabon.org
            Date: Lundi 15 Septembre 2008, 0h08

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            Mes chers compatriotes,
         
            La timidité des africains, et des gabonais en particulier.
            Le français n'est pas raciste ! Quelques conseils pour casser le
    mur
        de
       
      verre.
         
            Manquer d'assurance, de confiance en soi, être "timide",
            est un handicap considérable pour réussir sa vie.
            ** Les points caractéristiques des timides sont :**
            Le point le plus important est l'analyse excessive de
            ses propres réactions, la préoccupation de soi. Cette
            autocritique permanente provoque l'inhibition, le
            freinage des facultés mentales et créatrices, surtout
            en groupe.
            Cela vous empêche de communiquer efficacement, donc
            cela fausse l'impression qu'ont les autres de vous.
            Cela vous empêche de défendre vos droits et d'exprimer
            votre opinion et votre personnalité.
            Toutes ces difficultés vous empêchent d'apprécier des
            moments qui auraient dû être des moments agréables, et
            il en résulte la peur de rencontrer de nouvelles
            personnes, de se
    faire des amis.
            Une enquête, menée par le Standford Research Institute
            (EU) auprès de 5.000 personnes, a montré que 80 % des
            gens ont été ou sont timides, et que 40 % de la
            population se considère comme actuellement timide.
            Vous le voyez, vous n'êtes pas seul.
            ** Le mythe de la personnalité immuable **
            Pour ne plus être timide, le premier pas consiste à
            vaincre le "mythe de la personnalité immuable". Ce
            mythe, profondément ancré dans notre culture, veut que
            nous ayons une personnalité immuable, soi-disant
            "naturelle", acquise dès notre naissance, ou dans la
            petite enfance, et qui constitue notre essence même.
            Les dictons regorgent de phrases telles que "Chassez
            le naturel, il revient au galop".
            Or, les travaux de la psychologie moderne nous
            montrent que tout cela
    est un mythe. Les cas célèbres
            de multiples personnalités nous démontrent, si c'est
            nécessaire, qu'en chacun de nous le potentiel de
            changement existe.
            Le mot "personnalité" vient de "persona", masque.
    La
            personnalité n'est qu'un masque, un rôle, et nous
            pouvons en changer à volonté. Nous avons bien une
            nature profonde, un potentiel, un acquis génétique,
            mais celui-ci est beaucoup plus vaste que la
            personnalité que nous exprimons. Les mêmes mécanismes
            d'influence parentale, de suggestion,
            d'autosuggestion, d'habitudes qui ont créé notre
            personnalité, peuvent être utilisés pour la modifier.
            Le plus important est d'admettre cette possibilité de
            changement. Sans changement, il n'est pas de progrès
            possible.
            ** Agissez! **
            La deuxième étape que
    vous devez franchir pour
            atteindre l'assurance et la confiance en soi, est
            d'agir. Lire cette lettre est bien, mais si vous
            ne faites que cela, cela ne servira pas à grand chose.
            Prenez l'engagement vis-à-vis de vous-même d'agir,
            sinon votre effort ne servira à rien.
            ** Changez votre Image de vous **
            Avoir confiance en quelqu'un, c'est le connaître,
            l'apprécier, voir ses qualités, ses côtés positifs, se
            fier à lui. Mais pourriez-vous avoir confiance en
            quelqu'un que vous critiquez tout le temps, dont vous
            ne voyez que les aspects négatifs, les défauts ?
            Certes pas.
            Cette personne c'est vous. Par votre dialogue
            intérieur, vous remplacez les injonctions de vos
            parents : "Ne fais pas ci, ne fais pas ça" - "Tu
            aurais dû..." - "Que vont-ils penser de toi ?". Vous
       
        avez un gendarme et un critique dans votre tête. Le
            rôle de gendarme est la répression, le rôle de la
            personnalité est juste le contraire : l'expression. La
            répression empêche vos possibilités latentes de
            s'exprimer.
         
            --------------------
            Apprenez à dire NON
            --------------------
            Dire NON, cela n'est pas toujours facile, mais cela
            s'apprend.
            Si vous voulez bien gérer votre temps, établir un
            véritable climat de communication entre vous et les
            autres, vous devez vous y entraîner.
            Les psychologues nous disent que ne pas savoir ou oser
            dire "non" est lié à une peur profondément ancrée en
            nous depuis notre enfance :
            "Si je dis non, on va moins m'aimer !".
            La conséquence directe de refuser quelque chose à
            quelqu'un serait de perdre
    son affection, son amitié.
            Donc, pour "faire plaisir", je dis "oui". Et
    c'est
        là
            où tout se gâte: le résultat de mon acceptation
            malgré moi sera du ressentiment. Le climat de
            communication sera troublé.
            ** Voici 5 conseils pour apprendre à dire NON : **
            1. Écoutez attentivement la requête de l'autre,
            et prenez votre temps avant de donner votre
            réponse.
            Si quelqu'un, par exemple, vous téléphone pour
            vous demander de l'accompagner à un rendez-vous,
            et que vous n'êtes pas certain d'avoir envie d'y
            aller, répondez simplement:
            "Il faut que je réfléchisse, je te rappelle dans
            quelques minutes".
            Ne décidez qu'après avoir réfléchi.
            2.. Dites la vérité.
            Ne vous empêtrez pas dans des excuses vaseuses,
            inventées à la seconde et
    oubliées aussitôt. Un
            mensonge peut avoir des conséquences bien pires
            sur les relations qu'un NON franc.
            3. Dites "non" avec tact et ne blessez jamais.
            Refuser, dire "non", n'est pas synonyme
            d'assommer, de faire mal. Si quelqu'un vous
            invite à assister à une réunion qu'il organise et
            que vous n'avez pas envie d'y aller, dites :
            "Merci d'avoir pensé à moi, mais je n'ai vraiment
            pas le temps!".
            Plutôt que :
            "Tes réunions me font toujours perdre du temps.
            Je n'y vais pas!".
            4. Ne vous laissez pas embarquer dans une
            argumentation.
            Si quelqu'un est surpris par votre refus et
            essaie de vous faire changer d'avis, évitez de
            vous lancer dans une explication compliquée du
            pourquoi de votre refus.
            Regardez la personne gentiment, souriez et
     
        redites-lui : "NON".
            Sinon, vous risquez de partir dans une discussion
            interminable qui risque de mal tourner.
            5. Ne vous excusez pas.
            Rien ni personne ne vous oblige à vous excuser
            parce que vous avez dit "non". Dire "non" est
            votre droit le plus absolu. Tout ce que faites en
            vous excusant, c'est de vous placer en situation
            d'infériorité.
         
            Félicité Vincent


            --- En date de : Dim 14.9.08, bdpalabres-request at bdpgabon.org
            <bdpalabres-request at bdpgabon.org> a écrit :

                De: bdpalabres-request at bdpgabon.org
        <bdpalabres-request at bdpgabon.org>
                Objet: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
                À: bdpalabres at bdpgabon.org
                Date: Dimanche 14 Septembre 2008, 18h00

                Envoyez vos messages pour la liste BDPalabres à
                 
    bdpalabres at bdpgabon.org

                Pour vous (dés)abonner par le web, consultez
                    http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org

                ou, par email, envoyez un message avec 'help' dans le corps
    ou
        dans
            le
                sujet à
                    bdpalabres-request at bdpgabon.org

                Vous pouvez contacter l'administrateur de la liste à
    l'adresse
                    bdpalabres-owner at bdpgabon..org

                Si vous répondez, n'oubliez pas de changer l'objet du
    message
        afin
                qu'il soit plus spécifique que "Re: Contenu du digest de
                BDPalabres..."


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                Thèmes du jour :

                  1. Re: Je suis dans la précarité mais je ne me sens pas
                      affamé,... (Christian MAYANDJI)
                  2. Re: Communiqué: Clarifications sur la phase insurrectionnelle
                      et les Représentations nationales et internationales du
        BDP-Gabon
                      Nouveau (Christian MAYANDJI)
                  3.  Les 10 Gabonais Qui Comptent Dans La Diaspora (Gabonais
    Diaspora)
                  4. Les 10 Gabonais Qui COMPTENT Dans La Diaspora    Gabonaise.
                      (Sylvain Ndong)
                  5.  Le silence tue... (Gabonais Diaspora)
                  6.  Re: 10 gabonais
    de quoi ? (Sylvain Ndong)
                  7.  Re: Les 10 Gabonais Qui Comptent Dans La Diaspora (Ange
    LESCO)


             
    ----------------------------------------------------------------------

                Message: 1
                Date: Sun, 14 Sep 2008 04:54:16 -0400
                From: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
                Subject: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité mais je ne me
        sens
                    pas affamé,...
                To: bdpalabres at bdpgabon.org
                Message-ID: <E1KenN2-00033C-LU at dchost.globalwebcompany.net>

                Marcel,
             
                Au démarrage d'un projet, la probabilité que l'on a
            d'atteindre
                les objectifs fixés est de moins de 50 %. Lorsqu'on entre dans
    la
            phase
                d'étude préliminaire et d'analyse fonctionnelle du
    projet, on
            peut
             
    faire baisser le niveau de risques à 20-25 %. Lorsqu'après
    avoir
        fait
            la
                selection des ses partenaires et définit avec eux les cahiers de
        charges
            de
                leurs interventions, chacun passe à une phase d'étude
    technique
        de
            son lot
                de travail, on arrive à un niveau de risques de 5 %. Ce niveau se
        réduit
            au
                fur et à mesure qu'on progresse car on bénéficie de
    l'effet
                d'apprentissage et du retour sur expérience. C'est la
    raison
        pour
                laquelle il faut acquérir un minimum d'outils avant de se
    lancer
        dans
            quoi
                que ce soit.
                Je n'ai pas choisi de quitter mon pays pour fuir
    l'oppression.
                Autrement, je n'y reviendrais pas tous les ans et je n'y
        passerais
            pas
                le tiers ou la moitié
    de l'année. Mon père était militaire..
    A
        son
                contact, j'ai appris à anticiper ou à réagir dans les
    conditions
                extrêmes. Je crois que je me sens plus efficace en situation de
    crise.
        En
                quittant l'aéroport Léon Mba, je savais que je ne pouvais pas
    me
            contenter
                de ramener uniquement un diplome dans mon pays. Je savais aussi que
                lorsqu'on veut progresser, il faut aller chercher la
    connaissance
        et
                l'expérience ainsi que les moyens chez ceux qui constituent le
        modèle
            de
                réussite et de puissance. C'est ce qu'ont fait les
        ressortissants
            des
                pays que vous avez cités. Je suis le même exemple. Vous pouvez en
        faire
                autant. Ensuite, il faut diffuser les fruits de notre expérience
    dans
        la
                société. C'est
    comme cela que les personnes s'impregnent
    des
                technologies diffusées ailleurs, apprenent à travailler ensemble
    dans
        des
                ateliers, puis dans des usines.
                J'aurai souhaité construire des usines dans mon pays, les
    mettre
        en
                exploitation en recrutant autant de ressortissants gabonais que
        possible.
                J'aurai souhaité faire la même chose avec des exploitations
            agricoles.
                Tout cela m'est techniquement possible. Pourtant je me rends
    compte
        que
            mes
                compatriotes - en commençant par vous - ne sont pas encore prêts
    à
            optimiser
                l'exploitation des investissements d'un niveau industriel.
            L'échec
                des projets ou de certaines réalisations industrielles
        s'expliquent
            soit
                par des choix d'investissements
    inappropriés, soit par des
    fautes
        de
                gestion (détournements de fonds), soit par des évolutions
        défavorables
            des
                marchés cibles, mais aussi par les contre-performances des
    ressources
            humaines.
                Elles ne sont pas prête à travailler efficacement dans des grands
            ensembles
                industriels. Allez rencontrer indiféremment des responsables
    gabonais
        ou
                expatriés d'entreprises comme je l'ai moi-même fait avant
    de
                l'expérimenter : ils vous diront que la même d'oeuvre
        gabonaise
                n'est pas compétitive, ni suffisamment réactive. Ils ne
            l'emploient
                que pour les travaux s'inscrivant dans le cadre des cahiers de
        charges
                fixés par l'Etat gabonais. Autrement, ils pourraient s'en
        passer
            comme
                les chinois l'ont
    fait en construisant nos batiments publics.
                Vous vous sentez obligé de vous reconnaître des tares. Vous avez
        raison.
            Vous
                en avez de bien grandes, et moi aussi. S'il vous plaît, aidez
    moi
        à
                transformer ces tares en qualités humaines et techniques, sans
    nous
        tirer
            dans
                les pattes. Nous en sortirons mutuellement gagnants. Vous voulez
    que je
        me
                concentre sur la président de la République. Le docteur MENGARA
    et
                d'autres le font déjà bien pour nous tous. Pourquoi perdre de
                l'énergie ? Dans une organisation efficiente chacun peut se
        concentrer
            sur
                ce qu'il sait faire au mieux. Je crois que je peux vous être
    utile
        en
            vous
                envoyant des ciseaux. J'essaie de le faire au mieux.
    J'espère
        que
            vous
   
              en êtes satisfait.
                Vous parlez de respect. Croyez bien que chaque fois que je me suis
        trouvé
                "un petit boulot", je n'ai pas eu le sentiment
        d'être
                humilié. Je me suis mis en situation d'apprentissage et je me
    suis
            sentis
                épanouie. J'ai tiré le maximum de connaissances techniques
        possibles
            dans
                l'espoir de les partager, un jour, avec vous et d'autres
            compatriotes.
                Je désespère car je crois que vous dû vous offrir encore
    quelques
            régabs
                avant de prendre le temps de me repondre. Alors, vous ne prenez pas
    la
            peine
                d'analyser ce que je dis et vous cherchez à me coller une
    image
        dans
                laquelle je ne me reconnais pas.. Heureusement qu'il y a
        d'autres
                personnes qui me lisent et qui ont compris,
    mieux que vous, ce que
            j'essaie
                de communiquer. Cela me permet de comprendre qu'en ce qui
    concerne
                l'état mental des populations gabonaises, je ne dois surtout
    pas
                généraliser. Je dois continuer à observer, trier et commencer à
            travailler
                avec ceux qui commencent à comprendre. Les autres, comme vous,
        prendront
            le
                train en marche.
                En attendant, salutations cordiales.
             
                MANGASS TTC
                Christian MAYANDJI
                Démarches-Gestion
                FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                CONVOYAGE EXPLOITATION
                VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                EUROPE - AFRIQUE
             


                --- En date de : Sam 13.9.08, Marcel Mabongo
        <protected at yahoo.com> a
             
      écrit :

                    De: Marcel Mabongo <protected at yahoo.com>
                    Objet: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité mais je ne
    me
        sens
            pas
                affamé,...
                    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                    Date: Samedi 13 Septembre 2008, 3h29

                    ___________________________________________________________
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                    ___________________________________________________________


                    Monsieur Mayandji, vous continuez à tourner en rond.
                 
    Manifestement, vous n'avez encore pas dépassé le state de
    la
                    superficialité. Tout votre propos est la manifestation de la
            mentalité
                    d'esclave dans laquelle les Africains baignent.
                    Votre seule explication aux problèmes des Africains en France
        reste
                limitée
                    à ce que les autres vous font. Tout cet étalage se résume à
        cette
                bizarre
                    conclusion que vous semblez avoir trouvée, c'est-à-dire
    que
        tout
            ce
                qui
                    arrive au Africains en France, c'est la faute des
    Français.
                    Est-ce que vous vous êtes un peu demandé si le problème qui
    fait
        que
            les
                    Africains soeint au bas de l'échelle me vient pas de nos
        propres
            tares
                et
                    non des autres?
    Vous attendez qu'on vous serve le respect
    sur
        un
            plat
                    d'argent. Mais non Monsieur Mayandji, le respect ne se
    donne
        pas,
            le
                respect
                    se gagne. En tant qu'historien, vous devriez pourtant
    savoir
        que
                    l'histoire n'est jamais un accident. Regardez comment
    tous
        les
                peuples
                    jadis traités comme des animaux par les occidentaux sont
            aujourd'hui
                    respectés et même craints par les occidentaux (Chine, Inde,
            Indonésie,
                etc.).
                    ces pays, il ya 40 ans, étaient plus pauvres que les pays
        Africains.
                    Aujourd'hi, ce sont des puissances économiques. VOus qui
    êtes
                historien,
                    pourquoi ne vous demandez-vous pas pourquoi le noir vient en
        dernier
             
    derrière
                    les Français. les Chinois, les indiens, les portugais et les
        Arabes?
                C'est
                    pourtant dans l'histoire, non pas de la victimisation des
            Africains,
                mais
                    plutôt des incapacités des Africains, que se trouve
            l'explication. On
                en a
                    marre de cette mentalité qui ne nous fera jamsi évoluer.
    Voilà
            pourquoi
                les
                    blancs nous considèrent comme des enfants.
                    VOus restez attaché par le cou à la prison des incohérences
            africaines
                qui
                    nous retardent alors que les autres avancent. Au moment où les
        autres
            ont
                fini
                    par conquérir leur respect par des ACCOMPLISSEMENTS qui les
    ont
            élevés
                au
                    statut
    d'HOMMES, nous africains, nous attendons que les
    autres
        nous
                offrent
                    le respect comme on donne un os à un chien. Vous allez vivre
    dans
        le
            pays
                de
                    quelqu'un à cause des animalités de votre propre
    président,
        et
                c'est
                    la faute des Français? Au lieu de demander de scomptes à
    BONGO,
        lui
            qui
                vous a
                    appauvri au point de causer vos émigrations, vous ne trouvez
    rien
        à
                redire.
                    Pendant que BOngo nous b... par le trou du c....., on préfère
        s'en
                prendre
                    aux français.. INCROYABLE!
                    Pourquoi ne pas retourner en Afrique si vous ne voulez pas
    subir
        les
                    humiliations? Au moment où les autres ont conquis le respect
    par
        de
     
        vrais
                    actes, nous, nous continuons les sempiternels pleurnichements..
    Oh,
            racisme
                ceci,
                    les Franças cela, oh mur de verre ici, oh injustice par là.
    Mais
        que
                dites
                    vous de l'injustice PRIMAIRE, celle faite aux Gabonais par
    Omar
            Bongo?
                Que
                    dites vous qui puisse faire réparer cette injustice de BONGO
    pour
                qu'on ait
                    plus à aller se faire humiler chez les blancs. regardez les
        grandes
            places
                    immobilières et financières que deviennet des pays arabes
    comme
        les
                Emirats
                    Arabes, le Kowet, etc. Regardez l'indolence des Africains
    et
        les
                    incapacités de rois nègres comme Bongo. Et pour vous,
    c'est
        au
                Français
                 
    qui acceuillent les msières causées par BONGO, de nous
    montrer le
                respect?
                    Si vous voulez mon opinion, les Français peuvent nous traiter
        comme
            des
                    chiens, nous n'avons pas le droit de nous plaindre. Car ils
        n'y
            a
                que
                    des chiens qui fuient leur pays parce qu'ils sont
    incapables de
        se
                    débarasser de leur dictateur, et vont en France reprocher aux
            Français
                leur
                    racisme. NOus méritons ce racisme car nous ne sonnes pas des
        hommes.
                    Croyez vous que c'est la France qui nous a appelés vivre
    chez
        eux?
            Si
                nous
                    y sommes, c'est à cause de Bongo. Un vrai homme, au lieu
    de
                s'attaquer
                    aux Français, devrait plutôt se poser la question de
    savoir
    ce
            qu'il
                doit
                    faire pour créer les conditions qui feraient que lui-même et
    ses
            enfants
                    n'aient plus besoin d'aller se faire humulier en
    France. La
                réponse à
                    cette question, c'est en finir avec la personne qui nous
    force
        à
                quitter le
                    pays à la recherche de cieux meilleurs, c'est-à-dire Omar
        Bongo.
                    Et si la FRance soutient Bongo contre le peuple gabonais, alors
    les
                Gabonais
                    doivent se montrer capable de mourir pour leur dignité. Tous
    les
            peuples
                qui
                    aujourd'hui sont dignes et puissants ont commencé par le
        sacrifice
                    national. Ils se sont refusés à la domination des autres et
    par
        cette
                fierté,
                    ils se
    sont construits de vraies nations. BONgo n'a jamais
    eu
        de
                fierté
                    nationale, alors ils traite ses concitoyens pire que les
    Français.
            Mais
                des
                    gens comme vous, MOnsieur Mayandji, vous attendez non seulement
    que
        ce
            soit
                la
                    France qui vous donne le respect. Vous attendez aussi que ce
    soit
        la
            France
                qui
                    viennne vous libérer de Bongo.
                    je ne vois pas dans vos écrits le raisonnement de
    quelqu'un
        ayant
                    dépassé le stade des primaires. VOus êtes de la philosophie
    qui
        dit
            que
                    l'enfer c'est les autres, alors que notre enfer, en
    tant
                    qu'africains, c'est nous mêmes. Au Gabon, notre enfer,
            c'est
                Bongo
                    et toute
    la clique de voyous dont il s'est entouré.
    C'est
        à
            eux
                la
                    faute de nos humiliations en France, pas les françsis.
                    Commencez par vous libérer du bongoïsme et vous verrez que
        peut-être
            que
                    vous pourrez éviter à vos enfants l'humiliation
    d'aller
        en
            France
                    balayer les rues avec un doctorat en poche qui aurait pu aider
    le
            Gabon.
                    je sais, dans votre dernier message, vous m'avez dit de me
    la
        fermr
            car
                    vous avez dit que je ne maîtrise rien et que je ne vaut rien
        devant
            votre
                    quintescence. Mais comme vous parlez trop en termes de MOI,
    MOI,
        MOI,
            et
                que
                    vous n'arrivez pas à lier votre humiliation en France avec
    les
                malheurs
    que
                    notre despote au Gabon génère, c'est que vous n'avez
        guère
            plus
                    évolué que les paysans et les jeunes à qui vous envoyez des
        ciseaux
            au
                Gabon.
                    Attention à vos émotions, car vous m'avez déjà traité
    de
        moins
                armé
                    intellectuellement que vous. Si l'émotion l'emporte
    encore
            cette
                fois,
                    vous risquerez de continuer à tourner en rond avec une
    réflexion
                embrumée par
                    l'énervement. J'essaie juste de vous aider à mieux y
    voir
            clair
                car je
                    pense que vous n'avez pas encore réalisé le saut mental
    comme
                    quelqu'un aime à le dire ici.
                    Mais surtout, attendion à la grosse tête car c'est ça
    qui
        créé
               
      l'intolérence chez les hommes qui pensent que être dans
    un
            débat,
                    c'est s'admirer devant les autres et quand on ose dire
        quelque
                chose de
                    contradictoire, l'émotion l'emporte. Maitrisez vos
        émotions
            si
                vous
                    voulez débattre avec les idées claires. Pour le moment, vous
            n'avez
                pas
                    plus évolué que les pauvres auxquels vous envoyez des
    voitures.
            Voilà
                    pourquoi vous êtes capables de me sortir quelque chose comme
                "vérifier
                    que je maîtrise quelques outils de base lorsque je souhaite
            m'engager
                sur
                    certains sujets". Je suppose que vous maitrisez tellement
    tous
        les
                sujets
                    que plus personne ne peut plus trouver à redire à
    vos
    brillances.
            Soit!

                    Marcel

                    Christian MAYANDJI wrote:
                    >
    ___________________________________________________________
                    > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon
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                    >
    ___________________________________________________________
                    >
                    >
                    >
                    > M. DEGAOUENE,
                    >
                    > Je vous demande pardon pour avoir blessé car ce
    n'était
        pas
                notre
                 
    intention, ni de juger la politique de votre pays. En fait, le
        racisme
                n'est
                    pas le sujet de notre discussion. Même si cela avait été le
    cas,
            nous
                nous
                    battons pour l'extirper avec la même vigueur aussi bien au
        Gabon
                    qu'ailleurs. A vrai dire, il ne me vient pas à l'idée
                d'évoquer
                    les situations de discrimination dans le cadre du racisme. Je
    suis
                historien de
                    formation et on nous as enseigné qu'on ne peut pas
    considérer
                    l'appartenance de catégories d'invidus à une
    communauté
        par
            la
                    caractéristique - la couleur - de leur peau. Il y a bien
        d'autres
                critères
                    qui permettent de nuancer ces distinctions. De plus
    l'humanité
        a
            fait
           
        des
                    progrès depuis l'abolition de l'esclave : si la
        candidature
                d'un
                    afor-américain à la présidence des Etats - Unis constitue un
            évenement,
                qui
                    peut oublier que la France a eu un président du Sénat
    également
        issu
            des
                    descendants d'esclaves d'origine négro - africaine.
    Qui
                s'étonnera
                    du fait que malgré les scores de M. LEPEN au présidentielles,
    il
        y
            ait
                très
                    bientôt un président de la République Française issu de
                l'immigration
                    récente? Pourquoi pas de l'Afrique Subsaharienne. Il y a
        après
            tout
                une
                    telle proximité.
                    > Pour l'instant dans le batiment en france, les négro
    -
         
    africains
                sont
                    nécessairement des manoeuvres quel que soit le niveau de leur
            formation
                    initiale. Ils sont surveillés par les arabes du Maghreb. A
    leur
        tour,
            ces
                    derniers obeissent aux Portugais et aux Espagnols. Puis
    viennent
        les
                Français.
                    On peut retrouver cette organisation pyramidale dans
    d'autres
            secteurs
                    professionnels. Mais ce n'est pas moi qui le constate, ce
    sont
        les
                fruits
                    des recherches menées par un Français "de souche"
    dans
        le
                milieu du
                    batîment. Même là aussi, il y a des progrès. les africains
            méritants
                    peuvent créer des entreprises sous-traitantes et les mettre à
    la
                disposition
                    des donneurs
    d'ordres. Combien de Français acceptent de se
        faire
                embaucher
                    dans ces entreprises et de se mettre sous les ordres et à la
            disposition
                    d'un patron négro africain? Cela n'est-il pas
    également
        vrai
            au
                Gabon?
                    Là-bas, les français sont des consultants ou directeurs,
    cadres.
        Je
                n'en
                    connais pas beaucoup qui soient agents de maitrise, encore
    moins
            manoeuvre,
                    caissières de supermarché à moins d'être mariée au
    patron.
                    > Pour ma part, quand je parle de mur de verre,
    j'évoque du
            vécu.
                    Combien d'Africains majors de promotion se sont vu refuser
    des
            stages
                en
                    entreprises alors que leurs collègues français étaient
    acceptés
        en
           
        moins
                    d'une semaine après l'envoi de leur candidature. Quant
    aux
            postes
                en
                    entreprises, je suis étonné que meme des entreprises ayant
    des
            filiales
                    exerçant au Gabon ne se privent pas de faire la fine bouche.
    Je ne
                parlerai pas
                    des filières de formations dont on écarte les africains
    après un
                entretien ou
                    des "tests psychologiques" lorsqu'on n'a pas
    pu
        le
            faire
                à la
                    suite de tests de compétences.
                    > Non M. DEGOUAENE, tout cela n'est pas du racisme. la
        langue
                française
                    est si riche qu'on peut trouver d'autres mots pour le
            qualifier.
                Sinon,
                    qu'allons nous dire? Lorsque le mots n'existe pas,
    peut-on
         
    croire
                que le
                    fait existe?
                    > Nous cependant conscient de notre devoir de reserve en
    France
            ainsi
                que de
                    l'honneur que vous nous faites en nous accordons votre
    amitié.
        Ce
            qui
                nous
                    gêne bien plus que cela nous blesse, c'est la qualité de
        cette
                amitié. Je
                    la compare à l'épaisseur du goudron étalé sur nos
    routes :
            Chaque
                fois -
                    depuis l'indépendance - que nous faison appel à une
    société
                française,
                    nous constatons que la couche est relativement mince. Nous nous
        voyons
                obligé
                    de rappeller de la rappeller pour boucher les trous qui
        apparaissent à
            la
                    moindre déformation du sol.
           
            > A côté de cela, nous n'avons à faire appel àdes
        sociétés
                    yougoslaves et philippines qu'à une seule occasion et il y
    a
        bien
                    longtemps. Le goudron est bien plus épais et leurs ouvrages
        restent
                toujours
                    aussi solides que si elles en avaient achevé la construction
    la
            veille.
                Vous
                    comprendrez sans doute que le ressentiment qu'éprouvent
        désormais
                quelques
                    Gabonais envers quelques français n'a rien à voir avec le
            racisme. Il
                    s'agit surtout de la manière dont s'est construite la
        quelité
            de
                la
                    relation.
                    > Vous avez dit que vous n'êtes pas un intellectuel,
        autrement
            que
                    votre formation n'est pas universitaire..
    peut-être êtes
    vous
            plutôt
                un
                    militaire. Si jamais l'envie vous vient de me punir
        physiquement
            pour
                ce que
                    je dis, faites - le proprement en limitant autant que possible
                l'intensité
                    et la durée de la douleur.
                    > Par contre, si vous avez quelques sentiments pour les
        populations
            de
                notre
                    pays, n'hésitez pas à mobiliser vos compatriotes pour que
        cesse
                    l'indiférence que vous affichez face à l'oppression
            économique
                et
                    juridique que nous subissons dans notre propre pays pour vous
        offrir
            cette
                    qualité de vie.
                    > Salutations cordiales.
                    > MANGASS TTC
                    > Christian MAYANDJI
       
                > Démarches-Gestion
                    > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                    > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                    >  CONVOYAGE EXPLOITATION
                    > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                    > EUROPE - AFRIQUE
                    >
                    >
                    >
                    > --- En date de : Jeu 11.9.08, DEGAOUENE
        <protected at aol.com>
            a
                écrit
                    :
                    >
                    >    De: DEGAOUENE <protected at aol.com>
                    >    Objet: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité
    mais je
        ne
            me
                sens
                    pas affamé,...
                    >    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                    >    Date: Jeudi 11 Septembre 2008, 22h06
                    >
                    > 
   
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                    >
                    >    mes cher amis ,je lis avec beaucoup d'attention vos
        propos
            ,je
                ne
                    suis pas
                    >    un intellectuel comme vous ,mais vous me blessé en
    disant
        que
                nous
                 
    Français
                    >    nous sommes racistes!je suis aller au GABON plusieurs
    fois
                ,j'ai
                    des amis
                    >    chez vous et j'ai remarquer que se sont souvent
    vous
        qui
            avez
                des
                    >    comportements racistes envers toutes sortes
        d'étrangers
            par
                    ailleurs.
                    >    La France reçois des étranger de tout pays qui sont
            respecter et
                    protégés
                    >    ,je pense que nous sommes un des pays au monde ou
            l'étranger
                est
                    aussi si
                    >    bien respecter.Je ne nie pas qu'il y ai des cas de
            racismes
                    (intolérable)de
                    >    descriminations envers les étranger,mais quelle
    socièté
        est
                    parfaite?
         
            >    A part cela j'aime bien lire vos messages qui sont
        très
                    intéressant! Mais
                    >    je me garderai bien de juger la politique de votre
    pays!
                    >    Amitiés a vous et a tout le peuple GABON AIS
                    >




                ------------------------------

                Message: 2
                Date: Sun, 14 Sep 2008 04:56:14 -0400
                From: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
                Subject: [BDPalabres] Re: Communiqué: Clarifications sur la phase
                    insurrectionnelle et les Représentations nationales et
        internationales
                    du BDP-Gabon Nouveau
                To: bdpalabres at bdpgabon.org
                Message-ID: <E1KenOw-00036w-KV at dchost.globalwebcompany.net>

                M. Le Président,
                Dr MENGARA,
             
                En parlant de
    travail, il y a quelques points sur lesquels vous
        n'avez
            pas
                apporter de clarifications. Je me demande comment dans le cadre
        d'une
                démarche insurectionnelle, vous pouvez faire en sorte que les
    Gabonais
            fassent
                l'économie des dérives à la congolaise. J'ai quelques
    photos
        de
            la
                boucherie qui s'est produite à Brazzaville lors du conflit
    entre
            Sassou et
                Lissouba. Je garde également des photos des évènements des
    années
        1990
            à
                Libreville. Il n'y a aucune mesure en matière de cruauté
    touchant
        les
                civils.
                Vous savez que nous ne pouvez pas mener la moindre action
        insurectionnelle
            sans
                toucher à l'infrastructure qui assure la protection de votre
            adversaire.
                Vous savez que
    ceux qui maîtrisent cette infrastructure
        n'hésiterons
            pas
                à réagir sans ménagement - et à toucher la population civile -
        ainsi
                qu'ils l'ont fait à Port-Gentil. Jusqu'à présent,
    les
        hommes
                politiques de l'opposition ont utilisé leurs sympatisants
    comme
        armes
            et
                comme boucliers humains. Comptez vous utiliser la meme stratégie
            suicidaire ?
                Avez vous les moyens d'assurer la protection de la population
        civile?
                Autrement dit, avez vous envisagé de mettre davantage l'accent
    sur
        des
                actions économiques et juridiques ? Il me semble en effet que la
        pression
                exercée par votre adversaire sur la population s'appuie
    fortement
        sur
            ces
                leviers ainsi que sur l'intimidation exercée par les services
    de
         
          renseignements. L'infrastructure militaire n'intervient
    souvent
                qu'en dernier recours, une efficacité renforcée par la
    couverture
        des
                forces étrangères établies sur notre territoire?
                Cordialement.
             
                MANGASS TTC
                Christian MAYANDJI
                Démarches-Gestion
                FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                CONVOYAGE EXPLOITATION
                VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                EUROPE - AFRIQUE
             


                --- En date de : Sam 13.9.08, Dr. Daniel Mengara
            <protected at bdpgabon.org>
                a écrit :

                    De: Dr. Daniel Mengara <protected at bdpgabon.org>
                    Objet: [BDPalabres] Re: Communiqué: Clarifications sur la
    phase
                insurrectionnelle et les Représentations
    nationales et
    internationales
        du
                BDP-Gabon Nouveau
                    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                    Date: Samedi 13 Septembre 2008, 4h18

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                    Ne vous inquiétez point, ami Mayandji. Je ne pactiserai
        qu'avec le
                peuple
                    gabonais. Au diable, donc, le diable.
                    J'ai une foi inébranlable en l'HOMME. En
    faisant
        l'homme
            à
                son
                    image, DIEU a voulu l'homme capable d'actes divins.
        C'est
            cette
                    capacité, que nous appelons conviction (pour le bien) et amour
    (de
        son
                    prochain) qui fait de nous la projection même du dessein divin
    sur
            terre,
                et
                    nous arme contre les forces du mal. Libérer l'homme de ses
            entraves
                    physiques et mentales, c'est en quelque sorte, et en fin de
        compte,
                faire la
                    volonté de DIEU.

                    Au travail, donc, cher ami.

                    Daniel Mengara

                    Christian MAYANDJI wrote:
                    >
                    >
                    > Monsieur le Président,
                    > Docteur MENGARA,
                    >
                    > Vous
    prennez un mauvais chemin si vous envisagez la
    moindre
            hypothèse
                de
                    pactiser avec le diable. Qu'est ce qui vous restera pour
    vous
                distinguer du
                    pouvoir en place.? Votre victoire ne viendra que de votre foi
    en
        DIEU.
                Soyez en
                    convaincu quel que soit votre inspiration du moment.
                    > Salutations cordiales.
                    >
                    > MANGASS TTC
                    > Christian MAYANDJI
                    > Démarches-Gestion
                    > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                    > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                    >  CONVOYAGE EXPLOITATION
                    > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                    > EUROPE - AFRIQUE
                    >
                    >
                    >
                    > --- En date
    de : Ven 12.9.08, BDP-Gabon Nouveau
                    <protected at bdpgabon.org> a écrit :
                    >
                    >    De: BDP-Gabon Nouveau <protected at bdpgabon.org>
                    >    Objet: [BDPalabres] Communiqué: Clarifications sur la
        phase
                    insurrectionnelle et les Représentations nationales et
        internationales
            du
                    BDP-Gabon Nouveau
                    >    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                    >    Date: Vendredi 12 Septembre 2008, 20h42
                    >
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                    >
                    >    Communiqué: Clarifications sur la phase
    insurrectionnelle
        et
            les
                    >    Représentations nationales et internationales du
    BDP-Gabon
                Nouveau
                    >
                    >    Lien sur le site:
                    > 
               
           
         
     
    http://www.bdpgabon.org/articles/2008/09/12/communique-clarifications-sur-la-phase-insurrectionnelle-et-les-representations-nationales-et-internationales-du-bdp-gabon-nouveau/
                    >
                    >    Le BDP-Gabon Nouveau tient à clarifier
    un certain
    nombre
        de
                    malentendus ayant
                    >    trait au statut actuel de ses représentations
    politiques
        en
                France et
                    dans le
                    >    monde.
                    >
                    >    Nous rappelons à tous et à toutes que toutes les
                représentations
                    OFFICIELLES
                    >    du mouvement avaient été dissoutes et/ou suspendues
    en
            décembre
                    2005 quand le
                    >    mouvement a redéfini son idéologie pour s'engager
                ouvertement
                    dans la
                    >    préparation de la lutte insurrectionnelle.
                    >
                    >    A ce titre, les seules fonctions officielles (et
    visibles)
        au
            sein
                du
                    mouvement
                 
    >    demeurent, jusqu'à nouvel ordre, celles qui
    existent
        au
            sein
                de
                    la
                    >    Coordination Nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon
    même
        (en
                tant
                    que point
                    >    d'appui politique local non clandestin), le Mamba
        (Branche
                armée,
                    >    clandestine) et le Comité Directeur (point d'appui
            externe,
                    clandestin). Il
                    >    y a aussi les deux porte-paroles du mouvement,
    notamment le
            Dr.
                Bruno
                    Ella
                    >    (Porte parole politique) et Curtis Bezauna (Porte
    parole
                militaire).
                    >
                    >    RAPPEL HISTORIQUE: Suite à la réélection frauduleuse
            d'Omar
                    Bongo en
                 
    >    novembre 2005, le BDP-Gabon Nouveau avait, entre
    autres,
            publié
                les
                    >    communiqués suivants:
                    >
                    >    - 3 Décembre 2005: Création d'urgence du poste de
            Président
                du
                    BDP-Gabon
                    >    Nouveau, en remplacement de celui de Coordonnateur:
                    > 
               
           
         
     
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/05/resolutions-de-la-reunion-durgence-du-comite-directeur-bdp-gabon-nouveau/.
                    >
                    >    - 5 Décembre 2005: Dissolution des structures
    existantes
        du
                BDP-Gabon
                    Nouveau
                    >    par le Président du BDP-Gabon Nouveau, et annonce du
        début
            de la
                    phase de
                    >    préparation
    insurrectionnelle du mouvement:
                    > 
               
           
         
     
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/05/message-a-la-nation-du-dr-daniel-mengara-fini-le-temps-de-limpunite/.
                    >
                    >    - 9 Décembre 2005: Ralliement du Mamba au BDP-Gabon
        Nouveau
            comme
                    branche
                    >    militaire du mouvement:
                    > 
               
           
         
     
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/09/le-mamba-se-rallie-devient-la-branche-armee-du-bdp-gabon-nouveau/
                    >
                    >    Tous ces textes se trouvent également dans notre vieux
        site
                    désormais
                    >    archivé sur ce lien:
    http://www.bdpgabon.org/archives/, y
                compris le
                    message
                    >    audio enregistré par
    le Dr. Daniel Mengara pour
            l'occasion
                (Dès
                    la
                    >    première page, regardez les articles publiés en
    décembre
            2005
                et
                    janvier
                    >    2006). Vous pouvez aussi, sur notre nouveau site (actif
        depuis
                avril
                    2008),
                    >    cliquer sur l'année 2005 pour voir certains des
        articles
            que
                nous
                    avons
                    >    recopiés de l'ancien site et, ainsi, vous
    concentrer
        sur
            les
                    articles
                    >    publiés en décembre 2005 et janvier 2006. Le site du
        Mamba
                    >    (http://www.lemamba.org) contient également des
    articles
                similaires.
                    >
                    >    Parce que les cellules et
    représentations du BDP-Gabon
            Nouveau
                sont
                    dissoutes
                    >    depuis décembre 2005, toutes personnes autres que les
            personnes
                    citées plus
                    >    haut qui parleraient, à titre officiel, au nom du
        BDP-Gabon
                Nouveau,
                    feraient
                    >    automatiquement preuve d'imposture. Par ailleurs,
        toutes
            les
                    personnes qui
                    >    parlent au nom du mouvement ne le font pas sur les
    forums,
            mais au
                    travers de
                    >    communiqués de presse publiés sur notre site
                    (http://www.bdpgabon.org) à
                    >    titre OFFICIEL. Sur les forums et ailleurs, les membres
        connus
            du
                    BDP-Gabon
                    >    Nouveau expriment
    leurs opinions personnelles en tant
    que
                citoyens,
                    mais ces
                    >    opinions n'engagent aucunement le mouvement. Parce
            qu'un
                    mouvement
                    >    n'est pas forcément monolithique dans sa pensée,
        chacun
            peut
                    être libre
                    >    de ses opinions sans toutefois remettre en cause les
        grandes
                lignes de
                    >    l'idéologie de libération nationale du BDP-Gabon
            Nouveau,
                qui
                    demeure le
                    >    socle qui unit tous les partisans du changement
    véritable,
            sans
                    particularisme
                    >    ethnique, sans repli identitaire et sans  distinctions
    de
            sexe, de
                    race ou
                    >    d'origine.
                    >
   
                  >    La pensée officielle de notre mouvement reste donc
        clairement
                    exprimée dans
                    >    les divers articles et documents publiés sur notre
    site
        dans
            la
                    rubrique ayant
                    >    trait aux activités du BDP-Gabon Nouveau
                    >    (http://www.bdpgabon..org/articles/category/bdp/; voir
    aussi
                archives,
                    site 1:
                    >    http://www.bdpgabon.org/index1.shtml et archives site
    2:
                    >    http://www.bdpgabon.org/archives/). Notre devise
    demeure :
            "
                    Bongo Doit
                    >    Partir, par tous les moyens possibles, pour la
    construction
                d'un
                    Gabon
                    >    nouveau ". Ce combat de libération nationale
        interpelle
            tous
                les

                    fils et
                    >    filles du Gabon et amis du Gabon qui pensent et disent
    que
            "
                    Bongo Doit
                    >    Partir ", toutes ethnies et toutes tendances
        confondues.
                    >
                    >    Ainsi :
                    >
                    >    -  que l'on soit Téké, Punu, Fang, Myéné ou
    autre,
        si
                l'on
                    pense
                    >    que " Bongo Doit Partir, par tous les moyens
        possibles,
            on
                est
                    forcément
                    >    du BDP-Gabon Nouveau.
                    >    - Que l'on soit du BDP, de l'UPG, du PDG, du
    RDPG,
        du
            FUCR
                ou
                    de tout
                    >    autre partie ou structure politique, si l'on pense
    que
            "
                    Bongo Doit
               
      >    Partir, par tous les moyens possibles, on est
    forcément du
                BDP-Gabon
                    Nouveau.
                    >    - Que l'on dirige une association, une entreprise,
    une
            famille
                ou
                    une
                    >    administration, si l'on pense que " Bongo Doit
            Partir,
                par
                    tous les
                    >    moyens possibles, on est forcément du BDP-Gabon
    Nouveau.
                    >
                    >    Telle est l'idéologie BDP, c'est-à-dire le
    point
        de
                pensée
                    et de
                    >    ralliement qui, s'étalant au-delà des personnes,
    des
            partis
                et
                    des
                    >    ethnies, affirme les principes rassembleurs du "
    Gabon
                    d'abord "
                    >    et les projette dans
    un engagement politique qui, parce
    que
                partagé
                    par la
                    >    majorité agissante ou silencieuse, pose comme
    condition
                principale du
                    >    changement au Gabon le départ immédiat d'Omar
    Bongo
        du
                pouvoir.
                    >
                    >    A titre de résumé, donc, voici la structure actuelle
    du
                mouvement:
                    >
                    >    - Président du BDP-Gabon Nouveau
                    >    > Dr. Daniel Mengara
                    >
                    >    - Comité Directeur
                    >    > (Clandestin, USA)
                    >
                    >    - Coordination Nationale
                    >    > (Représentation officielle, Gabon)
                    >
                    >    - Le Mamba
                    >    > (Branche
    militaire, clandestin)
                    >
                    >    - Porte parole politique
                    >    > Dr. Bruno Ella Nguéma
                    >
                    >    - Porte parole militaire
                    >    > Mr. Curtis Bezauna
                    >
                    >    - Et un certain nombre de structures clandestines
        impliquées
            dans
                la
                    >    préparation du combat insurrectionnel annoncé en
        décembre
            2005.
                    >
                    >    Toutes les personnes ayant occupé des fonctions
        officielles
            au
                sein
                    du
                    >    BDP-Gabon Nouveau restent, certes, membres de droit du
            BDP-Gabon
                    Nouveau (sauf
                    >    si démissionnaires), mais leurs opinions, en tant que
            citoyens
       
            libres
                    de leurs
                    >    opinions, n'appartiennent qu'à eux et
        n'engagent
                    aucunement le
                    >    BDP-Gabon Nouveau.
                    >    Au moment opportun, le BDP-Gabon Nouveau réactivera
    ses
                    représentations de
                    >    par le monde.. Pour le moment, notre stratégie vise
            principalement
                la
                    >    préparation et à la consolidation de l'action
            clandestine
                autour
                    de
                    >    l'idéologie du combat de libération nationale. Au
        moment
            qui
                    nous
                    >    paraîtra opportun, nous solliciterons de nos membres
        (anciens
            et
                    nouveaux) la
                    >    réactivation OFFICIELLE des cellules BDP (nouvelles ou
             
      anciennes),
                    soit sur la
                    >    base de leur importance stratégique, soit dans le
    cadre
            global
                    d'une
                    >    politique de réofficialisation des cellules et
            représentations
                    nationales et
                    >    internationales du BDP-Gabon Nouveau. Dans ce contexte,
    des
                    communiqués seront
                    >    faits pour officialiser ces activations ou
    réactivations.
                    >
                    >    Evidemment, les adhésions individuelles de membres
        continuent
                    activement et
                    >    sans interruption (voir cette page :
                    http://www..bdpgabon.org/adhesion/). Les
                    >    personnes qui aujourd'hui adhèrent au BDP-Gabon
        Nouveau
            le
                font
                    soit comme
     
                >    membres de la structure politique (clandestine ou
        officielle),
            ou
                    alors comme
                    >    combattants au sein du Mamba (structure clandestine).
    Etre
            membre
                    combattant du
                    >    Mamba fait automatiquement du combattant un membre du
            BDP-Gabon
                    Nouveau.
                    >
                    >    Chaque Gabonais ou chaque membre du BDP-Gabon Nouveau
    (au
            Gabon ou
                    dans la
                    >    diaspora) est libre de créer une cellule de réflexion
    BDP
            dans
                son
                    quartier,
                    >    sa région, sa province, sa ville ou son pays de
        résidence.
            Le
                    responsable
                    >    d'une cellule ainsi créée se doit d'en
    informer
        la
             
    direction
                    du
                    >    mouvement pour qu'elle prenne acte de son
    existence.
            Toutes
                les
                    cellules
                    >    actuelles ou nouvelles gardent, toutefois, un
    caractère
                officieux. Le
                    BDP-Gabon
                    >    Nouveau décidera du moment où, pour raisons
    stratégiques
        ou
                autres,
                    il
                    >    procédera à l'officialisation des cellules à
    titre
            spécial
                ou
                    général.
                    >
                    >    Le combat insurrectionnel reste d'actualité et sa
                préparation
                    continue.
                    >    Comme nous l'avions dit sur cette page du site du
    Mamba
        en
                2005
                    > 
    (http://www.lemamba.org/content/view/46/67/), quand le
        Mamba
            sera
                    prêt à
                    >    commencer ses activités insurrectionnelles, un
    ultimatum
        de
            deux
                    semaines sera
                    >    lancé. Cet ultimatum aura pour but, d'une part, de
            laisser le
                    temps aux
                    >    populations gabonaises de s'organiser en faisant
    des
                provisions,
                    et
                    >    d'autre part, aux membres du régime Bongo qui
    veulent
                rejoindre
                    le camp de
                    >    la réforme d'en faire la démarche. Une fois les
    deux
                semaines
                    >    d'ultimatum passées, le Mamba pourra, dès lors,
        lancer
            le
                début
                    de la
                    >    phase
    insurrectionnelle, au moment de son choix.
                    >
                    >    Comme le BDP-Gabon Nouveau l'a toujours dit, rien
    de
        bon
            ne
                peut
                    plus se
                    >    passer au Gabon tant qu'Omar Bongo sera au pouvoir.
    Le
                changement,
                    >    contrairement à ce que disent les chantres de la
            convivialité et
                des
                    >    rapprochements avec Bongo, ne viendra pas au Gabon par
    les
            urnes.
                    Seule une
                    >    stratégie insurrectionnelle viendra à bout du
    bongoïsme
        au
                Gabon.
                    >    L'insurrection, que l'on le veuille ou non, se
    fera
        au
                Gabon,
                    même si
                    >    pour cela le BDP-Gabon Nouveau doit pactiser avec le
        diable.
         
    Ce
                    n'est donc
                    >    pas une question de "si", mais plutôt une
        question
            de







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