[BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1

Christian MAYANDJI protected at yahoo.fr
Jeu 18 Sep 10:41:39 EDT 2008


Bonjour Petit Lambert,
 
Entre nous, tu n'as pas besoin de passer par un forum pour m'inviter danser et manger. De tous les gabonais que j'ai croisés depuis mon arrivée en France (1990), tu est l'un de mes voisins les plus proches. Avec ton véhicule, tu es à moins de quinze minutes de ma résidence et tu disposes de mes coordonnées téléphoniques. Il t'appartient de me dire où est ce que tu souhaites que nous nous rencontrions avec nos amis communs pour danser et manger - notamment discuter - toute la nuit, surtout pendant les week end. Je ne crois pas que le problème puisse se poser dans la mesure ou les ressources nous appartiennent légitimement et légalement. Pour ce qui me concerne, c'est avec un réel plaisir je renouvelerai cette expérience.
Par contre si tu penses que je pourrai procéder de la même manière que toi au lendemain des présidentielles de 1993 - interview fracassante en tant SG de la section RNB France au près des médias français pour dénoncer les irrégularités des élections présidentielles devant l'ambassade du Gabon pendant nous nous expliquions avec nos représentants diplomatiques, puis ralliemment aussi fracassant à la majorité présidentielle dans les semaines qui suivaient pour les raisons qui t'appartiennent et que tu nous a exposées beaucoup plus tard - il m'est difficile de franchir ce pas car je n'aime pas ajouter de l'inconhérence à l'incohérence ambiante. De plus, cela est contraire à ma foi en Christ.
 
Même si ce n'était pas le cas, mon père se retournerait dans sa tombe si jamais un tel acte se produisait. J'accorde une certaine importance à la mémoire de mon père : dans certains domaines, il a été un exemple d'intégrité et je ne peux pas renier le temoignage que je lui ai rendu le jour de son enterrement. En outre, il y trop de personnes qui ne comprendraient pas qu'il puisse en être ainsi en ce qui me concerne. J'ai traversé des situations assez difficiles et j'ai reçu des invitations plus directement conséquentes sans y donner suite. Tu sais que chaque gabonais à ses entrées directes ou indirectes au près du gouvernement et même de la Présidence. Certainement autant que toi et d'autres gabonais, je compte des parents, condisciples et relations à différents niveaux des cercles de décision politique. il appartient de faire ses choix conscients et de rester cohérent. Je ne dis pas que je suis insensible à l'utilité des espèces sonnates et trébuchantes, mais j'aime en user uniquement lorsque je peux en disposer légalement et légitimement. Je veux bien utiliser l'argent de la République lorsque cela me revient légalement, notamment en contrepartie d'une prestation. Je ne supporte pas de me sentir artificiellement redevable en quoi que ce soit de qui que ce soit.
Je donne un exemple : Il y a une époque où - au collège - la bourse n'était reservée qu'à ceux qui satisfaisaient aux critères de réussite et dont les parents avaient des revenus relativement bas, compte tenu du contexte gabonais. Ces conditions ne prennaient pas en compte la situation particulière des parents séparés. Je me trouvais exclu du fait de la situation socio-professionnelle de mes parents. Je crois que j'aurai arrêté prématuremment mes études si les autorités politiques n'avaient pas décidé d'étendre le bénéfice de la bourse d'études à tous les élèves satisfaisant aux conditions de réussite. C'est grâce à cette mesure que, malgré des apparences familiales plutôt favorables, j'ai pu financer mes études secondaires et universitaires. Cette mesure a été incohérente, mais combien d'élèves et étudiants ont pu accéder à des études autrement inaccessibles. J'ai simplement regretter que certaines filières de formation n'aient pas été mises en place du premier au troisième cycle universitaire au Gabon. Je crois que je ne me serais pas trouvé exposé à des questions de logistiques qui ont pu entamer la concentration et détermination d'une personne comme moi. Cependant, je ne peux que remercier ces autorités politiques qui m'ont fait bénéficier des ressources de la République. Mais je me sens redevable qu'à la République et non pas à une personne particulère comme un sujet pourrait se sentir soumis à la volonté de son seigneur/souverain, un client vis à vis de son parrain politique. Malgré une rancoeur humaine mais contenue, je ne ressens pas le désirs d'aller me ranger sous la bannière de qui que ce soit sous pretexte d'être en situation de précarité. Je crois que la République m'a permis de bien "manger" et même de "danser" dans ce contexte.
 
Il faut désormais penser que la République a tiré ces ressources de quelque part. Il faut essayer de comprendre de quelle façon nos ainés-serviteurs de la République se sont organisé pour que cette République puisse produire ces ressources. Lorsque nous avons compris le modèle économique qu'ils ont construit pour créer de la richesse ou en canaliser une partie à notre profit, nous devons - à notre tour - faire fonctionner ces mécanismes, les améliorer ou les renouveller pour optimiser les performances économiques. Je reproche aux aspirants - opposants ou partisans du pouvoir - à la vie politique le fait de penser uniquement à la manière dont ils vont "manger". Dans un cas comme dans l'autre, ils essaient de soulager leurs conscience, en essayant d'expliquer "au peuple" - et surtout à leurs potentiels supporters comment ils vont distribuer quelques bouts de gateaux qu'ils espèrent "manger". Seulement, ils n'ont pas reçu le moindre mandat pour parler au nom de ce "peuple". Celui-ci s'est débrouillé sans eux pour faire construire quelques routes à Libreville et sur la route nationale. Le "peuple" se débrouille égalemtn sans eux quand il s'agit de s'organiser pour faire face aux problèmes de santé. Ils vont acheter des médiacaments non homologués qui pillulent désormais à tous les coins de rue. Ils savent bien que leurs parents de la diaspora peuvent agir en organisant des convois pour suplléer à la défaillance des pouvoirs publics. Ces derniers sont trop occupés à se battre entre eux.
 
Au fond, la question qui doit nous préoccuper n'est pas celle de savoir quand et comment "manger". Il faut aussi permettre à la bête que nous voulons manger de "se nourrir et de se reproduire". C'est la raison pour laquelle il n'es pas nécessaire de multiplier le nombre de partis politiques. Nous avons plutot intérêt à créer et à développer de nombreux centre privés d'études et de projets, des centres de gestion, de profit et/ou de coûts associés à nos différents départements, nos provinces ou d'autres formes de collectivités territoriales.  Ces centres de gestion - regroupés en Groupements d'Intérêts Economiques - peuvent prendre la forme d'ONGs ou associations de développement internationale,  de Cabinets de Consultants, d'entreprises de BTP ou d'agro-alimentaire ou de différents secteurs économiques du Gabon.
Nos ressources humaines ont besoin d'être regroupées et motivées au sein de structures productives plutôt que d'être dispersées dans des partis "politiques" - opposants ou partisant du pouvoir - sans propositions tangibles.
 
Je crois que le clivage qui se dessine progressivement n'est pas entre les "pro et les anti pouvoirs", plutôt entre ceux qui restent dans une logique unique de consommation et ceux qui veulent développer une logique de maîtrise de la production ou création de richesses avant de procéder à sa repartition selon les règles du système capitaliste : à savoir, à chacun selon sa participation dans le processus de création de richesses.
 
Je pourrais développer prochainement. Pour l'instant, je t'adresse mes salutations cordiales.
 
MANGASS TTC
Christian MAYANDJI
Démarches-Gestion
FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES 
ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
 CONVOYAGE EXPLOITATION
VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
EUROPE - AFRIQUE
 


--- En date de : Jeu 18.9.08, PETIT LAMBERT.O <protected at yahoo.fr> a écrit :

    De: PETIT LAMBERT.O <protected at yahoo.fr>
    Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
    À: bdpalabres at bdpgabon.org
    Date: Jeudi 18 Septembre 2008, 1h11

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    Tu nous fatigues avec tes théories des années 30.
    Rentre dans la danse et viens manger.

    SINCERES SALUTATIONS


    -- En date de : Mer 17.9.08, Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr> a
    écrit :

        De: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
        Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
        À: bdpalabres at bdpgabon.org
        Date: Mercredi 17 Septembre 2008, 1h40

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        Cher Félicité, chers compatriotes,
         
        Vous avez raison. Il n'y a pas de sots métiers et je ne vous cacherais
    pas
        mon admiration
         pour cette capacité d'adaptation. J'ai un peu fait la
        meme expérience que vous - même et je suis parti du batiment à la
        comptabilité-finance en passant par la logistique.
        Vous n'avez pas besoin de dire grand chose mais votre expérience est
        dense. Je pense que s'il m'étais donné de construire à nouveau
    des
        groupes de travail pour préparer et réaliser des projets pour le Gabon,
    je
        serais heureux de vous compter soit dans le service à la personne, soit
    dans la
        mise en oeuvre des projets agricoles.
        Je voudrais juste vous signaler que l'agriculture gabonaise est entrain
        d'évoluer, du moins au niveau des pays. Les paysans gabonais ne
    cultivent
        plus uniquement pour l'autoconsommation, la subsistance. Ils cultivent
    de
        plus en plus en tenant compte des débouchés vers les marchés. Par contre
    et
        contrairement aux secteurs d'extraction, le secteur agricole du gabon
    manque
        de cadres pour résoudre les problèmes
         de cultures, de financement, de
        logistique, de débouchés commerciaux. Les gabonais n'ont pas encore
        compris - ou refusent de comprendre - que les filières du secteur agricole
        peuvent fonctionner comme celles du secteur pétrolier ou minier.
        En fait, ce secteur a fonctionné ainsi jusqu' à la fin des années
    1960.
        Bien plus que l'argent, ce secteur a besoin qu'on construise des
        entrepots pour stoquer et conditionner les produits ainsi que des
    véhicules de
        transport pour acheminer les produits vers les marchés domestiques ou
        extérieurs. Je dois signaler que pendant que nos paysans ne peuvent pas se
        permettre des efforts de production, nous avons des gabonais qui se sont
    lancé
        dans la gestion des centrales d'achats et qui - pour
    s'approvisionner -
        sont obligés de travailler avec d'autres pays. N'est-il pas temps
    de
        combler ce fossé?
         
        Où est passé l'argent ?
        Je crois que le privé doit être capable
         de remplacer le public lorsque celui
        - ci échoue dans un secteur. De quelle somme d'argent  a t-on besoin
    pour
        construire des entrepôts? acheter des tracteurs d'occasion dans les
        campagnes françaises et les expédier au Gabon ? des camions de transport
        d'occasion ? des pondeuses à parpaing ? des bétonneuses ? et même
    des
        camions citernes d'occasion ? des scies mécaniques ? des treuils ? des
        remoqueurs ? des canots ? des plants ou des semences ? et tant d'autres
        choses ?
         
        Aller vérifier sur internet et vous vous rendrez compte que tout cela est
    à
        notre portée. Je pense que si chaque ressortissant gabonais de la diaspora
        pouvait - individuellement ou collectivement - consacrer 3000 à 15000 €
        d'investissements par an rendu port de Libreville en équipements, nous
        pourrions transformer un certain nombre de secteurs économiques laissé en
        désuétude par l'Etat. Je crois que cela serait plus
         convaincant au yeux
        des nos populations, de nos parents que nos explications, nos discours ou
    même
        même nos comportements de courtisans du pouvoir. Nous peserions d'un
    autre
        poids politique et économique. Ce sont des choses que nous pouvons faire 
    tous
        les " 17 Août " pour équiper chaque département du Gabon un
    minimum
        d'infrastructures de production. Pour ceux qui ne sont pas capable
        d'épargner, il y a de nombreuses sociétés financières (CETELEM,
    ...) qui
        ne demandent qu' à offrir des crédits en contrepartie de quelques
        garanties.
        La diaspora a un rôle à jouer. Il ne faut pas qu'elle rate le train
    comme
        nos ainés : opposants ou partisans du pouvoir, ils ont été contraints à
        l'entrisme politique parce que - munis uniquement de leurs dîplomes -
    ils
        ne pouvaient subvenir à leurs besoins autrement qu'en entrant à la
        "haute"  fonction publique. Nous devons être en mesure de créer
    une
        autre
         classe sociale qui soit une pépinière des nouveaux capitaines
        d'industries du Gabon.
        Il faut que nous arrivions à nous montrer aussi responsables que les
    diasporas
        des autres pays africains. Nous serons davantage respectés.
         
        J'en appelle à notre conscience.
        Salutations cordiales.

         
        MANGASS TTC
        Christian MAYANDJI
        Démarches-Gestion
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         CONVOYAGE EXPLOITATION
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        EUROPE - AFRIQUE
         


        --- En date de : Mar 16.9.08, Alice Vincent <protected at yahoo.fr> a
    écrit
        :

            De: Alice Vincent <protected at yahoo.fr>
            Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
            À: bdpalabres at bdpgabon.org
            Date: Mardi 16 Septembre 2008, 20h18

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            Mon cher Christian, pour notre entretien
             
            Lorsque les Etrangers ne sont pas affectés aux activités de services
    à
        la
            personne ou ux tâches insalubres, ils sont perçus comme des individus
    qui
            viennent manger le pain des nationaux.
             
            Il n'y a pas de sot métiers, il n'y a que de sorte gens !
            Les services à la personne pèsent 8 milliard d'Euros, nous
    travillons
        à
            la professionnalisation, selon la loi 2002.

            Il y a aujourd'hui des lois qui contingentent non seulement
        l'accès au
            territoire, mais également l'accès à l'emploi en commençant
    par
        les
           
         différentes cartes de résidence. En pratique, nous pouvons prendre votre
            exemple : diplomé en agronomie tropicale (acitivité plutôt
    innovante),
        mais
            obligé d'évoluer dans un autre secteur d'activité. Ce
    n'est
        pas
            du racisme, mais c'est du gachis! je suis certain qu'au Gabon
    ou en
            France, vous auriez pu apporter une très grande valeur ajoutée dans
    le
            développement des cultures tropicales.
             
            Le pojet CIAM au Gabon, avec mon professeur de mémoire, Monsieur Guy
        Rouanet,
            nous avons travaillé à la mise en place de ce projet au Gabon. le
            fonctionnement et les moyens finaniers, étaient aux mains de nos
        compatriotes.
            Ceci après le départ des blancs. L'argent est parti où ? Je vous
        laisse
            déviner !
            La Gabegie pour mon peuple !
             
            En tant scientifique, j'ai choisie toute seule mon orientation
            universitaire. Ma peau d'âne en
         poche, je n'ai pas chômée,
        j'ai
            travaillé à l'assistance publique. J'ai appris beaucoup de
    chose
        au
            niveau professionnel,  la gestion financière d'un hôpital,
    d'un
        Centre
            de santé, mes chefs m'aimaient pour ma rigueur allié à mon
        efficacité
            profesionnelle. C'est moi-même qui avait démissionné pour être
            indépendante !
             
             
            Après tout, il y a tellement de laboratoires en
    recherche-développement
        qui
            ont des programmes, tellement de projets pour lesquels les ONGs
        occidentales
            collectent des fonds aussi bien au près du grand public qu'à
    celui
        des
            organisations internationales pour vaincre la faim et la malnutrition
    dans
        tant
            de pays du Tiers-mondes que je ne comprends pas autrement qu'ils ne
    ne
            soient pas donné l'opportunité de vous soutenir dans ce qui
    était
        votre
            projet initial. Serait-ce vous même qui y avez
         renoncé ?

            Ce n'est pas du racisme, c'est du gachis. Le mur de verre est
    cela
        : le
            fait de gacher des talents au nom du protectionisme, du corporatisme et
    du
            contingentement économique.
             
            Nous devrons apprendre à gérer, confondre le prix d'achat et de
        revient,
            il y a un ''blème'' ! Gérer une exploitation agricole
    ça
            s'apprend, notre agriculture est une agriculture de subsistance. Je
        suis
            partisan d'une agriculture raissonnée, extensive et non intensive,
        pour
            éviter l'érosion des sols, vue les averses au Gabon.
             
            Serait-ce vous même qui y avez renoncé ?
             
            J'adore ce métier, je vais vous dire une chose, j'élèvait
    les
            poules, les lapins, les canards. Nous n'arrivions pas à les
    manger,
            c'était comme mes enfants !
             
            je cultuvais le maïs, les pommes de terre, les tomates, les aromates.
        J'ai
            tout
         arrêté ! Mon travail est trop prenant !
             
            J'ai planté les pommiers, poiriers, cerisiers, noisetiers.
             
            Cordialement vôtre
             
            Félicité Vincent
             



             

            ----- Message d'origine ----
            De : Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
            À : bdpalabres at bdpgabon.org
            Envoyé le : Mardi, 16 Septembre 2008, 1h55mn 48s
            Objet : [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1

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            Cher Félicité,

            Lorsque je parle
         de mur de verre, je ne fais pas référence au racisme. La
            France a aboli l'esclavage ainsi que le code de l'indigénat -
            traduction économique du racisme - depuis bien longtemps. En
        m'exprimant
            sur ces points, j'ai utilisé un style plutôt parabolique
    emprunté à
            l'écriture évangélique. L'interprétation que certains
        d'entre
            vous en ont faite n'est pas celle que je souhaite.
            Le mur de verre fait référence au protectionnisme et au corporatisme
    qui
        ont
            caractérisé l'économie mercantiliste en France ainsi que des
        nombreux
            pays du Sud du XVIe siècle européen. Cette forme d'économie
            pré-capitaliste préconisait que la richesse d'un pays à la
    quantité
        des
            métaux précieux - et des marchandises de meilleures qualité -
    qu'il
            pouvait accumuler. Elle a amené la France à pratiquer une économie
    quasi
            autarcique consistant à
            - vendre du
         toc, piller les gisements de minerais, exploiter de la main
            d'oeuvre bon marché à l'etranger
            - créer des manufactures controlées par la puissance publique pour
        fabriquer
            et distribuer des biens de prestige ou de qualité sur le territoire
        national.
            Le critère dominant de repartition n'était alors pas
    l'échange
            (valorisé par une monnaie) entre la quantité ou la qualité de
    travail
        reconnu
            contre le bien recherché, mais simplement le fait de la reconnaissance
    du
            Prince envers ses sujets par ordre de préférence royale (et non pas
        encore
            nationale).
            De nos jours, la France a connu l'émergence et le développement
            capitaliste : outre les métaux précieux, elle accumule l'argent
    et
        une
            certaine forme de puissance. Les sujets - transformés en citoyens -
    forme
        le
            corps politique et sont désormais dépositaires de la
         souveraineté
        nationale.
            Il reste malgré tout un certain héritage de cette époque
    économique.
            Les barrières douanières ne sont plus aussi forte pour empecher les
        produits
            étrangers  d'entrer sur son territoire. Entre-temps, la population
    est
            passé de l'économie de production à la société de consommation
    :
        les
            individus et l'Etat ont compris que la présence des produits
        étrangers et
            le développement des échanges économiques pouvaient contribuer au
        bien-être
            des populations.
            Seulement, Cet environnement économique conservent des rigidités et
            génèrent des comportements si obselètes que la performance
    économiques
        en en
            a patit. La France est passé du 4ème au 10ème rang des puissance
            économiques. Comme au Gabon, les populations - les catégories
            socio-économiques - se battent pour avoir la plus grosse part d'un
        gateau
           
         dont la dimension se réduit. Ils ne combattent plus pour créer la
        richesse qui
            se présente désormais sous la forme de l'accumulation de la
        connaissance
            scientifique et technologique, l'accroissement des équipements et
            différents moyens de production, la multiplication des produits
    culturels
        et de
            consommation.
            Lorsque les Etrangers ne sont pas affectés aux activités de services
    à
        la
            personne ou ux tâches insalubres, ils sont perçus comme des individus
    qui
            viennent manger le pain des nationaux.
            Il y a aujourd'hui des lois qui contingentent non seulement
        l'accès au
            territoire, mais également l'accès à l'emploi en commençant
    par
        les
            différentes cartes de résidence. En pratique, nous pouvons prendre
    votre
            exemple : diplomé en agronomie tropicale (acitivité plutôt
    innovante),
        mais
            obligé d'évoluer dans un autre secteur d'activité.
         Ce n'est
        pas
            du racisme, mais c'est du gachis! je suis certain qu'au Gabon
    ou en
            France, vous auriez pu apporter une très grande valeur ajoutée dans
    le
            développement des cultures tropicales. Après tout, il y a tellement
    de
            laboratoires en recherche-développement qui ont des programmes,
    tellement
        de
            projets pour lesquels les ONGs occidentales collectent des fonds aussi
    bien
        au
            près du grand public qu'à celui des organisations internationales
        pour
            vaincre la faim et la malnutrition dans tant de pays du Tiers-mondes
    que je
        ne
            comprends pas autrement qu'ils ne ne soient pas donné
        l'opportunité de
            vous soutenir dans ce qui était votre projet initial. Serait-ce vous
    même
        qui
            y avez renoncé ?
            Ce n'est pas du racisme, c'est du gachis. Le mur de verre est
    cela
        : le
            fait de gacher des talents au nom du protectionisme, du corporatisme et
    du
          
          contingentement économique.

            La fait est que, dans le cadre de l'expansion capitaliste de cette
            puissance économique en Afrique, notamment au Gabon, nous avons
    hérité
        de ce
            mode de fonctionnement économique : l'importance de la
    participation
        de
            chacun à la création de la richesse n'est pas apprécié à sa
    juste
            valeur, la repartition de la richesse se fait en fonction de la
    puissance
        du
            lobbying et de la preférence présidentielle. Les effets désastreux
    de ce
        type
            de comportement économique sont accentués par l'obscurantisme qui
        anihile
            le désir de produire des efforts.
            MANGASS TTC
            Christian MAYANDJI
            Démarches-Gestion
            FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
            ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
            CONVOYAGE EXPLOITATION
            VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
            EUROPE - AFRIQUE



            --- En date de : Lun 15.9.08, felicite
         vincent <protected at yahoo.fr> a
            écrit :

                De: felicite vincent <protected at yahoo.fr>
                Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
                À: bdpalabres at bdpgabon.org
                Date: Lundi 15 Septembre 2008, 0h08

                ___________________________________________________________
                Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos
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                ___________________________________________________________


                Mes chers compatriotes,
               
                La timidité des africains, et des gabonais en particulier.
                Le français n'est pas raciste ! Quelques conseils pour casser
    le
        mur
            de
             
           verre.
               
                Manquer d'assurance, de confiance en soi, être
    "timide",
                est un handicap considérable pour réussir sa vie.
                ** Les points caractéristiques des timides sont :**
                Le point le plus important est l'analyse excessive de
                ses propres réactions, la préoccupation de soi. Cette
                autocritique permanente provoque l'inhibition, le
                freinage des facultés mentales et créatrices, surtout
                en groupe.
                Cela vous empêche de communiquer efficacement, donc
                cela fausse l'impression qu'ont les autres de vous.
                Cela vous empêche de défendre vos droits et d'exprimer
                votre opinion et votre personnalité.
                Toutes ces difficultés vous empêchent d'apprécier des
                moments qui auraient dû être des moments agréables, et
                il en résulte la peur de rencontrer de nouvelles
                personnes, de se
         faire des amis.
                Une enquête, menée par le Standford Research Institute
                (EU) auprès de 5.000 personnes, a montré que 80 % des
                gens ont été ou sont timides, et que 40 % de la
                population se considère comme actuellement timide.
                Vous le voyez, vous n'êtes pas seul.
                ** Le mythe de la personnalité immuable **
                Pour ne plus être timide, le premier pas consiste à
                vaincre le "mythe de la personnalité immuable". Ce
                mythe, profondément ancré dans notre culture, veut que
                nous ayons une personnalité immuable, soi-disant
                "naturelle", acquise dès notre naissance, ou dans la
                petite enfance, et qui constitue notre essence même.
                Les dictons regorgent de phrases telles que "Chassez
                le naturel, il revient au galop".
                Or, les travaux de la psychologie moderne nous
                montrent que tout cela
         est un mythe. Les cas célèbres
                de multiples personnalités nous démontrent, si c'est
                nécessaire, qu'en chacun de nous le potentiel de
                changement existe.
                Le mot "personnalité" vient de "persona",
    masque.
        La
                personnalité n'est qu'un masque, un rôle, et nous
                pouvons en changer à volonté. Nous avons bien une
                nature profonde, un potentiel, un acquis génétique,
                mais celui-ci est beaucoup plus vaste que la
                personnalité que nous exprimons. Les mêmes mécanismes
                d'influence parentale, de suggestion,
                d'autosuggestion, d'habitudes qui ont créé notre
                personnalité, peuvent être utilisés pour la modifier.
                Le plus important est d'admettre cette possibilité de
                changement. Sans changement, il n'est pas de progrès
                possible.
                ** Agissez! **
                La deuxième étape que
         vous devez franchir pour
                atteindre l'assurance et la confiance en soi, est
                d'agir. Lire cette lettre est bien, mais si vous
                ne faites que cela, cela ne servira pas à grand chose.
                Prenez l'engagement vis-à-vis de vous-même d'agir,
                sinon votre effort ne servira à rien.
                ** Changez votre Image de vous **
                Avoir confiance en quelqu'un, c'est le connaître,
                l'apprécier, voir ses qualités, ses côtés positifs, se
                fier à lui. Mais pourriez-vous avoir confiance en
                quelqu'un que vous critiquez tout le temps, dont vous
                ne voyez que les aspects négatifs, les défauts ?
                Certes pas.
                Cette personne c'est vous. Par votre dialogue
                intérieur, vous remplacez les injonctions de vos
                parents : "Ne fais pas ci, ne fais pas ça" - "Tu
                aurais dû..." - "Que vont-ils penser de toi ?".
    Vous
            
            avez un gendarme et un critique dans votre tête. Le
                rôle de gendarme est la répression, le rôle de la
                personnalité est juste le contraire : l'expression. La
                répression empêche vos possibilités latentes de
                s'exprimer.
               
                --------------------
                Apprenez à dire NON
                --------------------
                Dire NON, cela n'est pas toujours facile, mais cela
                s'apprend.
                Si vous voulez bien gérer votre temps, établir un
                véritable climat de communication entre vous et les
                autres, vous devez vous y entraîner.
                Les psychologues nous disent que ne pas savoir ou oser
                dire "non" est lié à une peur profondément ancrée en
                nous depuis notre enfance :
                "Si je dis non, on va moins m'aimer !".
                La conséquence directe de refuser quelque chose à
                quelqu'un serait de perdre
         son affection, son amitié.
                Donc, pour "faire plaisir", je dis "oui". Et
        c'est
            là
                où tout se gâte: le résultat de mon acceptation
                malgré moi sera du ressentiment. Le climat de
                communication sera troublé.
                ** Voici 5 conseils pour apprendre à dire NON : **
                1. Écoutez attentivement la requête de l'autre,
                et prenez votre temps avant de donner votre
                réponse.
                Si quelqu'un, par exemple, vous téléphone pour
                vous demander de l'accompagner à un rendez-vous,
                et que vous n'êtes pas certain d'avoir envie d'y
                aller, répondez simplement:
                "Il faut que je réfléchisse, je te rappelle dans
                quelques minutes".
                Ne décidez qu'après avoir réfléchi.
                2.. Dites la vérité.
                Ne vous empêtrez pas dans des excuses vaseuses,
                inventées à la seconde et
         oubliées aussitôt. Un
                mensonge peut avoir des conséquences bien pires
                sur les relations qu'un NON franc.
                3. Dites "non" avec tact et ne blessez jamais.
                Refuser, dire "non", n'est pas synonyme
                d'assommer, de faire mal. Si quelqu'un vous
                invite à assister à une réunion qu'il organise et
                que vous n'avez pas envie d'y aller, dites :
                "Merci d'avoir pensé à moi, mais je n'ai vraiment
                pas le temps!".
                Plutôt que :
                "Tes réunions me font toujours perdre du temps.
                Je n'y vais pas!".
                4. Ne vous laissez pas embarquer dans une
                argumentation.
                Si quelqu'un est surpris par votre refus et
                essaie de vous faire changer d'avis, évitez de
                vous lancer dans une explication compliquée du
                pourquoi de votre refus.
                Regardez la personne gentiment, souriez et
           
             redites-lui : "NON".
                Sinon, vous risquez de partir dans une discussion
                interminable qui risque de mal tourner.
                5. Ne vous excusez pas.
                Rien ni personne ne vous oblige à vous excuser
                parce que vous avez dit "non". Dire "non" est
                votre droit le plus absolu. Tout ce que faites en
                vous excusant, c'est de vous placer en situation
                d'infériorité.
               
                Félicité Vincent


                --- En date de : Dim 14.9.08, bdpalabres-request at bdpgabon.org
                <bdpalabres-request at bdpgabon.org> a écrit :

                    De: bdpalabres-request at bdpgabon.org
            <bdpalabres-request at bdpgabon.org>
                    Objet: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
                    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                    Date: Dimanche 14 Septembre 2008, 18h00

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    corps
        ou
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                le
                    sujet à
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                    Si vous répondez, n'oubliez pas de changer l'objet du
        message
            afin
                    qu'il soit plus spécifique que "Re: Contenu du digest
    de
                    BDPalabres..."


                    ___________________________________________________________
                    Resumé des messages - Liste BDPalabres - BDP-Gabon Nouveau
                    ___________________________________________________________
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                    Thèmes du jour :

                      1. Re: Je suis dans la précarité mais je ne me sens pas
                          affamé,... (Christian MAYANDJI)
                      2. Re: Communiqué: Clarifications sur la phase
    insurrectionnelle
                          et les Représentations nationales et internationales du
            BDP-Gabon
                          Nouveau (Christian MAYANDJI)
                      3.  Les 10 Gabonais Qui Comptent Dans La Diaspora (Gabonais
        Diaspora)
                      4. Les 10 Gabonais Qui COMPTENT Dans La Diaspora   
    Gabonaise.
                          (Sylvain Ndong)
                      5.  Le silence tue... (Gabonais Diaspora)
                      6.  Re: 10 gabonais
         de quoi ? (Sylvain Ndong)
                      7.  Re: Les 10 Gabonais Qui Comptent Dans La Diaspora (Ange
        LESCO)


                   
        ----------------------------------------------------------------------

                    Message: 1
                    Date: Sun, 14 Sep 2008 04:54:16 -0400
                    From: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
                    Subject: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité mais je
    ne me
            sens
                        pas affamé,...
                    To: bdpalabres at bdpgabon.org
                    Message-ID:
    <E1KenN2-00033C-LU at dchost.globalwebcompany.net>

                    Marcel,
                   
                    Au démarrage d'un projet, la probabilité que l'on a
                d'atteindre
                    les objectifs fixés est de moins de 50 %. Lorsqu'on entre
    dans
        la
                phase
                    d'étude préliminaire et d'analyse fonctionnelle du
        projet, on
                peut
                   
         faire baisser le niveau de risques à 20-25 %. Lorsqu'après
        avoir
            fait
                la
                    selection des ses partenaires et définit avec eux les cahiers
    de
            charges
                de
                    leurs interventions, chacun passe à une phase d'étude
        technique
            de
                son lot
                    de travail, on arrive à un niveau de risques de 5 %. Ce niveau
    se
            réduit
                au
                    fur et à mesure qu'on progresse car on bénéficie de
        l'effet
                    d'apprentissage et du retour sur expérience. C'est la
        raison
            pour
                    laquelle il faut acquérir un minimum d'outils avant de se
        lancer
            dans
                quoi
                    que ce soit.
                    Je n'ai pas choisi de quitter mon pays pour fuir
        l'oppression.
                    Autrement, je n'y reviendrais pas tous les ans et je
    n'y
            passerais
                pas
                    le tiers ou la moitié
         de l'année. Mon père était militaire.
        A
            son
                    contact, j'ai appris à anticiper ou à réagir dans les
        conditions
                    extrêmes. Je crois que je me sens plus efficace en situation
    de
        crise.
            En
                    quittant l'aéroport Léon Mba, je savais que je ne pouvais
    pas
        me
                contenter
                    de ramener uniquement un diplome dans mon pays. Je savais aussi
    que
                    lorsqu'on veut progresser, il faut aller chercher la
        connaissance
            et
                    l'expérience ainsi que les moyens chez ceux qui
    constituent le
            modèle
                de
                    réussite et de puissance. C'est ce qu'ont fait les
            ressortissants
                des
                    pays que vous avez cités. Je suis le même exemple. Vous
    pouvez en
            faire
                    autant. Ensuite, il faut diffuser les fruits de notre
    expérience
        dans
            la
                    société. C'est
         comme cela que les personnes s'impregnent
        des
                    technologies diffusées ailleurs, apprenent à travailler
    ensemble
        dans
            des
                    ateliers, puis dans des usines.
                    J'aurai souhaité construire des usines dans mon pays, les
        mettre
            en
                    exploitation en recrutant autant de ressortissants gabonais que
            possible.
                    J'aurai souhaité faire la même chose avec des
    exploitations
                agricoles.
                    Tout cela m'est techniquement possible. Pourtant je me
    rends
        compte
            que
                mes
                    compatriotes - en commençant par vous - ne sont pas encore
    prêts
        à
                optimiser
                    l'exploitation des investissements d'un niveau
    industriel.
                L'échec
                    des projets ou de certaines réalisations industrielles
            s'expliquent
                soit
                    par des choix d'investissements
         inappropriés, soit par des
        fautes
            de
                    gestion (détournements de fonds), soit par des évolutions
            défavorables
                des
                    marchés cibles, mais aussi par les contre-performances des
        ressources
                humaines.
                    Elles ne sont pas prête à travailler efficacement dans des
    grands
                ensembles
                    industriels. Allez rencontrer indiféremment des responsables
        gabonais
            ou
                    expatriés d'entreprises comme je l'ai moi-même fait
    avant
        de
                    l'expérimenter : ils vous diront que la même d'oeuvre
            gabonaise
                    n'est pas compétitive, ni suffisamment réactive. Ils ne
                l'emploient
                    que pour les travaux s'inscrivant dans le cadre des cahiers
    de
            charges
                    fixés par l'Etat gabonais. Autrement, ils pourraient
    s'en
            passer
                comme
                    les chinois l'ont
         fait en construisant nos batiments publics.
                    Vous vous sentez obligé de vous reconnaître des tares. Vous
    avez
            raison.
                Vous
                    en avez de bien grandes, et moi aussi. S'il vous plaît,
    aidez
        moi
            à
                    transformer ces tares en qualités humaines et techniques, sans
        nous
            tirer
                dans
                    les pattes. Nous en sortirons mutuellement gagnants. Vous
    voulez
        que je
            me
                    concentre sur la président de la République. Le docteur
    MENGARA
        et
                    d'autres le font déjà bien pour nous tous. Pourquoi
    perdre de
                    l'énergie ? Dans une organisation efficiente chacun peut
    se
            concentrer
                sur
                    ce qu'il sait faire au mieux. Je crois que je peux vous
    être
        utile
            en
                vous
                    envoyant des ciseaux. J'essaie de le faire au mieux.
        J'espère
            que
                vous
         
                   en êtes satisfait.
                    Vous parlez de respect. Croyez bien que chaque fois que je me
    suis
            trouvé
                    "un petit boulot", je n'ai pas eu le sentiment
            d'être
                    humilié. Je me suis mis en situation d'apprentissage et je
    me
        suis
                sentis
                    épanouie. J'ai tiré le maximum de connaissances
    techniques
            possibles
                dans
                    l'espoir de les partager, un jour, avec vous et
    d'autres
                compatriotes.
                    Je désespère car je crois que vous dû vous offrir encore
        quelques
                régabs
                    avant de prendre le temps de me repondre. Alors, vous ne prenez
    pas
        la
                peine
                    d'analyser ce que je dis et vous cherchez à me coller une
        image
            dans
                    laquelle je ne me reconnais pas.. Heureusement qu'il y a
            d'autres
                    personnes qui me lisent et qui ont compris,
         mieux que vous, ce que
                j'essaie
                    de communiquer. Cela me permet de comprendre qu'en ce qui
        concerne
                    l'état mental des populations gabonaises, je ne dois
    surtout
        pas
                    généraliser. Je dois continuer à observer, trier et
    commencer à
                travailler
                    avec ceux qui commencent à comprendre. Les autres, comme vous,
            prendront
                le
                    train en marche.
                    En attendant, salutations cordiales.
                   
                    MANGASS TTC
                    Christian MAYANDJI
                    Démarches-Gestion
                    FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                    ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                    CONVOYAGE EXPLOITATION
                    VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                    EUROPE - AFRIQUE
                   


                    --- En date de : Sam 13.9.08, Marcel Mabongo
            <protected at yahoo.com> a
                  
          écrit :

                        De: Marcel Mabongo <protected at yahoo.com>
                        Objet: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité mais je
    ne
        me
            sens
                pas
                    affamé,...
                        À: bdpalabres at bdpgabon.org
                        Date: Samedi 13 Septembre 2008, 3h29

                        ___________________________________________________________
                        Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau.
    Vos
                messages
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                        - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email,
    répondez
        tout
                    simplement
                        aux messages.
                        - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page.
                        ___________________________________________________________


                        Monsieur Mayandji, vous continuez à tourner en rond.
                       
         Manifestement, vous n'avez encore pas dépassé le state de
        la
                        superficialité. Tout votre propos est la manifestation de
    la
                mentalité
                        d'esclave dans laquelle les Africains baignent.
                        Votre seule explication aux problèmes des Africains en
    France
            reste
                    limitée
                        à ce que les autres vous font. Tout cet étalage se
    résume à
            cette
                    bizarre
                        conclusion que vous semblez avoir trouvée,
    c'est-à-dire
        que
            tout
                ce
                    qui
                        arrive au Africains en France, c'est la faute des
        Français.
                        Est-ce que vous vous êtes un peu demandé si le problème
    qui
        fait
            que
                les
                        Africains soeint au bas de l'échelle me vient pas de
    nos
            propres
                tares
                    et
                        non des autres?
         Vous attendez qu'on vous serve le respect
        sur
            un
                plat
                        d'argent. Mais non Monsieur Mayandji, le respect ne se
        donne
            pas,
                le
                    respect
                        se gagne. En tant qu'historien, vous devriez pourtant
        savoir
            que
                        l'histoire n'est jamais un accident. Regardez
    comment
        tous
            les
                    peuples
                        jadis traités comme des animaux par les occidentaux sont
                aujourd'hui
                        respectés et même craints par les occidentaux (Chine,
    Inde,
                Indonésie,
                    etc.).
                        ces pays, il ya 40 ans, étaient plus pauvres que les pays
            Africains.
                        Aujourd'hi, ce sont des puissances économiques. VOus
    qui
        êtes
                    historien,
                        pourquoi ne vous demandez-vous pas pourquoi le noir vient
    en
            dernier
                   
         derrière
                        les Français. les Chinois, les indiens, les portugais et
    les
            Arabes?
                    C'est
                        pourtant dans l'histoire, non pas de la victimisation
    des
                Africains,
                    mais
                        plutôt des incapacités des Africains, que se trouve
                l'explication. On
                    en a
                        marre de cette mentalité qui ne nous fera jamsi évoluer.
        Voilà
                pourquoi
                    les
                        blancs nous considèrent comme des enfants.
                        VOus restez attaché par le cou à la prison des
    incohérences
                africaines
                    qui
                        nous retardent alors que les autres avancent. Au moment où
    les
            autres
                ont
                    fini
                        par conquérir leur respect par des ACCOMPLISSEMENTS qui
    les
        ont
                élevés
                    au
                        statut
         d'HOMMES, nous africains, nous attendons que les
        autres
            nous
                    offrent
                        le respect comme on donne un os à un chien. Vous allez
    vivre
        dans
            le
                pays
                    de
                        quelqu'un à cause des animalités de votre propre
        président,
            et
                    c'est
                        la faute des Français? Au lieu de demander de scomptes à
        BONGO,
            lui
                qui
                    vous a
                        appauvri au point de causer vos émigrations, vous ne
    trouvez
        rien
            à
                    redire.
                        Pendant que BOngo nous b... par le trou du c...., on
    préfère
            s'en
                    prendre
                        aux français.. INCROYABLE!
                        Pourquoi ne pas retourner en Afrique si vous ne voulez pas
        subir
            les
                        humiliations? Au moment où les autres ont conquis le
    respect
        par
            de
           
             vrais
                        actes, nous, nous continuons les sempiternels
    pleurnichements..
        Oh,
                racisme
                    ceci,
                        les Franças cela, oh mur de verre ici, oh injustice par
    là.
        Mais
            que
                    dites
                        vous de l'injustice PRIMAIRE, celle faite aux Gabonais
    par
        Omar
                Bongo?
                    Que
                        dites vous qui puisse faire réparer cette injustice de
    BONGO
        pour
                    qu'on ait
                        plus à aller se faire humiler chez les blancs. regardez
    les
            grandes
                places
                        immobilières et financières que deviennet des pays arabes
        comme
            les
                    Emirats
                        Arabes, le Kowet, etc. Regardez l'indolence des
    Africains
        et
            les
                        incapacités de rois nègres comme Bongo. Et pour vous,
        c'est
            au
                    Français
                       
         qui acceuillent les msières causées par BONGO, de nous
        montrer le
                    respect?
                        Si vous voulez mon opinion, les Français peuvent nous
    traiter
            comme
                des
                        chiens, nous n'avons pas le droit de nous plaindre. Car
    ils
            n'y
                a
                    que
                        des chiens qui fuient leur pays parce qu'ils sont
        incapables de
            se
                        débarasser de leur dictateur, et vont en France reprocher
    aux
                Français
                    leur
                        racisme. NOus méritons ce racisme car nous ne sonnes pas
    des
            hommes.
                        Croyez vous que c'est la France qui nous a appelés
    vivre
        chez
            eux?
                Si
                    nous
                        y sommes, c'est à cause de Bongo. Un vrai homme, au
    lieu
        de
                    s'attaquer
                        aux Français, devrait plutôt se poser la question de
         savoir
        ce
                qu'il
                    doit
                        faire pour créer les conditions qui feraient que lui-même
    et
        ses
                enfants
                        n'aient plus besoin d'aller se faire humulier en
        France. La
                    réponse à
                        cette question, c'est en finir avec la personne qui
    nous
        force
            à
                    quitter le
                        pays à la recherche de cieux meilleurs, c'est-à-dire
    Omar
            Bongo.
                        Et si la FRance soutient Bongo contre le peuple gabonais,
    alors
        les
                    Gabonais
                        doivent se montrer capable de mourir pour leur dignité.
    Tous
        les
                peuples
                    qui
                        aujourd'hui sont dignes et puissants ont commencé par
    le
            sacrifice
                        national. Ils se sont refusés à la domination des autres
    et
        par
            cette
                    fierté,
                        ils se
         sont construits de vraies nations. BONgo n'a jamais
        eu
            de
                    fierté
                        nationale, alors ils traite ses concitoyens pire que les
        Français.
                Mais
                    des
                        gens comme vous, MOnsieur Mayandji, vous attendez non
    seulement
        que
            ce
                soit
                    la
                        France qui vous donne le respect. Vous attendez aussi que
    ce
        soit
            la
                France
                    qui
                        viennne vous libérer de Bongo.
                        je ne vois pas dans vos écrits le raisonnement de
        quelqu'un
            ayant
                        dépassé le stade des primaires. VOus êtes de la
    philosophie
        qui
            dit
                que
                        l'enfer c'est les autres, alors que notre enfer, en
        tant
                        qu'africains, c'est nous mêmes. Au Gabon, notre
    enfer,
                c'est
                    Bongo
                        et toute
         la clique de voyous dont il s'est entouré.
        C'est
            à
                eux
                    la
                        faute de nos humiliations en France, pas les françsis.
                        Commencez par vous libérer du bongoïsme et vous verrez
    que
            peut-être
                que
                        vous pourrez éviter à vos enfants l'humiliation
        d'aller
            en
                France
                        balayer les rues avec un doctorat en poche qui aurait pu
    aider
        le
                Gabon.
                        je sais, dans votre dernier message, vous m'avez dit de
    me
        la
            fermr
                car
                        vous avez dit que je ne maîtrise rien et que je ne vaut
    rien
            devant
                votre
                        quintescence. Mais comme vous parlez trop en termes de MOI,
        MOI,
            MOI,
                et
                    que
                        vous n'arrivez pas à lier votre humiliation en France
    avec
        les
                    malheurs
         que
                        notre despote au Gabon génère, c'est que vous
    n'avez
            guère
                plus
                        évolué que les paysans et les jeunes à qui vous envoyez
    des
            ciseaux
                au
                    Gabon.
                        Attention à vos émotions, car vous m'avez déjà
    traité
        de
            moins
                    armé
                        intellectuellement que vous. Si l'émotion
    l'emporte
        encore
                cette
                    fois,
                        vous risquerez de continuer à tourner en rond avec une
        réflexion
                    embrumée par
                        l'énervement. J'essaie juste de vous aider à
    mieux y
        voir
                clair
                    car je
                        pense que vous n'avez pas encore réalisé le saut
    mental
        comme
                        quelqu'un aime à le dire ici.
                        Mais surtout, attendion à la grosse tête car c'est
    ça
        qui
            créé
                     
           l'intolérence chez les hommes qui pensent que être dans
        un
                débat,
                        c'est s'admirer devant les autres et quand on ose
    dire
            quelque
                    chose de
                        contradictoire, l'émotion l'emporte. Maitrisez vos
            émotions
                si
                    vous
                        voulez débattre avec les idées claires. Pour le moment,
    vous
                n'avez
                    pas
                        plus évolué que les pauvres auxquels vous envoyez des
        voitures.
                Voilà
                        pourquoi vous êtes capables de me sortir quelque chose
    comme
                    "vérifier
                        que je maîtrise quelques outils de base lorsque je
    souhaite
                m'engager
                    sur
                        certains sujets". Je suppose que vous maitrisez
    tellement
        tous
            les
                    sujets
                        que plus personne ne peut plus trouver à redire à
         vos
        brillances.
                Soit!

                        Marcel

                        Christian MAYANDJI wrote:
                        >
        ___________________________________________________________
                        > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon
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                tout
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                        > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de
    page.
                        >
        ___________________________________________________________
                        >
                        >
                        >
                        > M. DEGAOUENE,
                        > 
                        > Je vous demande pardon pour avoir blessé car ce
        n'était
            pas
                    notre
                       
         intention, ni de juger la politique de votre pays. En fait, le
            racisme
                    n'est
                        pas le sujet de notre discussion. Même si cela avait été
    le
        cas,
                nous
                    nous
                        battons pour l'extirper avec la même vigueur aussi
    bien au
            Gabon
                        qu'ailleurs. A vrai dire, il ne me vient pas à
    l'idée
                    d'évoquer
                        les situations de discrimination dans le cadre du racisme.
    Je
        suis
                    historien de
                        formation et on nous as enseigné qu'on ne peut pas
        considérer
                        l'appartenance de catégories d'invidus à une
        communauté
            par
                la
                        caractéristique - la couleur - de leur peau. Il y a bien
            d'autres
                    critères
                        qui permettent de nuancer ces distinctions. De plus
        l'humanité
            a
                fait
                
            des
                        progrès depuis l'abolition de l'esclave : si la
            candidature
                    d'un
                        afor-américain à la présidence des Etats - Unis
    constitue un
                évenement,
                    qui
                        peut oublier que la France a eu un président du Sénat
        également
            issu
                des
                        descendants d'esclaves d'origine négro -
    africaine.
        Qui
                    s'étonnera
                        du fait que malgré les scores de M. LEPEN au
    présidentielles,
        il
            y
                ait
                    très
                        bientôt un président de la République Française issu de
                    l'immigration
                        récente? Pourquoi pas de l'Afrique Subsaharienne. Il y
    a
            après
                tout
                    une
                        telle proximité.
                        > Pour l'instant dans le batiment en france, les
    négro
        -
               
         africains
                    sont
                        nécessairement des manoeuvres quel que soit le niveau de
    leur
                formation
                        initiale. Ils sont surveillés par les arabes du Maghreb. A
        leur
            tour,
                ces
                        derniers obeissent aux Portugais et aux Espagnols. Puis
        viennent
            les
                    Français.
                        On peut retrouver cette organisation pyramidale dans
        d'autres
                secteurs
                        professionnels. Mais ce n'est pas moi qui le constate,
    ce
        sont
            les
                    fruits
                        des recherches menées par un Français "de
    souche"
        dans
            le
                    milieu du
                        batîment. Même là aussi, il y a des progrès. les
    africains
                méritants
                        peuvent créer des entreprises sous-traitantes et les
    mettre à
        la
                    disposition
                        des donneurs
         d'ordres. Combien de Français acceptent de se
            faire
                    embaucher
                        dans ces entreprises et de se mettre sous les ordres et à
    la
                disposition
                        d'un patron négro africain? Cela n'est-il pas
        également
            vrai
                au
                    Gabon?
                        Là-bas, les français sont des consultants ou directeurs,
        cadres.
            Je
                    n'en
                        connais pas beaucoup qui soient agents de maitrise, encore
        moins
                manoeuvre,
                        caissières de supermarché à moins d'être mariée au
        patron.
                        > Pour ma part, quand je parle de mur de verre,
        j'évoque du
                vécu.
                        Combien d'Africains majors de promotion se sont vu
    refuser
        des
                stages
                    en
                        entreprises alors que leurs collègues français étaient
        acceptés
            en
                
            moins
                        d'une semaine après l'envoi de leur candidature.
    Quant
        aux
                postes
                    en
                        entreprises, je suis étonné que meme des entreprises
    ayant
        des
                filiales
                        exerçant au Gabon ne se privent pas de faire la fine
    bouche.
        Je ne
                    parlerai pas
                        des filières de formations dont on écarte les africains
        après un
                    entretien ou
                        des "tests psychologiques" lorsqu'on n'a
    pas
        pu
            le
                faire
                    à la
                        suite de tests de compétences.
                        > Non M. DEGOUAENE, tout cela n'est pas du racisme.
    la
            langue
                    française
                        est si riche qu'on peut trouver d'autres mots pour
    le
                qualifier.
                    Sinon,
                        qu'allons nous dire? Lorsque le mots n'existe pas,
        peut-on
               
         croire
                    que le
                        fait existe?
                        > Nous cependant conscient de notre devoir de reserve en
        France
                ainsi
                    que de
                        l'honneur que vous nous faites en nous accordons votre
        amitié.
            Ce
                qui
                    nous
                        gêne bien plus que cela nous blesse, c'est la qualité
    de
            cette
                    amitié. Je
                        la compare à l'épaisseur du goudron étalé sur nos
        routes :
                Chaque
                    fois -
                        depuis l'indépendance - que nous faison appel à une
        société
                    française,
                        nous constatons que la couche est relativement mince. Nous
    nous
            voyons
                    obligé
                        de rappeller de la rappeller pour boucher les trous qui
            apparaissent à
                la
                        moindre déformation du sol.
                
                > A côté de cela, nous n'avons à faire appel àdes
            sociétés
                        yougoslaves et philippines qu'à une seule occasion et
    il y
        a
            bien
                        longtemps. Le goudron est bien plus épais et leurs
    ouvrages
            restent
                    toujours
                        aussi solides que si elles en avaient achevé la
    construction
        la
                veille.
                    Vous
                        comprendrez sans doute que le ressentiment
    qu'éprouvent
            désormais
                    quelques
                        Gabonais envers quelques français n'a rien à voir
    avec le
                racisme. Il
                        s'agit surtout de la manière dont s'est construite
    la
            quelité
                de
                    la
                        relation.
                        > Vous avez dit que vous n'êtes pas un
    intellectuel,
            autrement
                que
                        votre formation n'est pas universitaire.
         peut-être êtes
        vous
                plutôt
                    un
                        militaire. Si jamais l'envie vous vient de me punir
            physiquement
                pour
                    ce que
                        je dis, faites - le proprement en limitant autant que
    possible
                    l'intensité
                        et la durée de la douleur.
                        > Par contre, si vous avez quelques sentiments pour les
            populations
                de
                    notre
                        pays, n'hésitez pas à mobiliser vos compatriotes pour
    que
            cesse
                        l'indiférence que vous affichez face à
    l'oppression
                économique
                    et
                        juridique que nous subissons dans notre propre pays pour
    vous
            offrir
                cette
                        qualité de vie.
                        > Salutations cordiales.
                        > MANGASS TTC
                        > Christian MAYANDJI
            
                    > Démarches-Gestion
                        > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                        > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                        >  CONVOYAGE EXPLOITATION
                        > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                        > EUROPE - AFRIQUE
                        > 
                        >
                        >
                        > --- En date de : Jeu 11.9.08, DEGAOUENE
            <protected at aol.com>
                a
                    écrit
                        :
                        >
                        >    De: DEGAOUENE <protected at aol.com>
                        >    Objet: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité
        mais je
            ne
                me
                    sens
                        pas affamé,...
                        >    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                        >    Date: Jeudi 11 Septembre 2008, 22h06
                        >
                        >  
         
        ___________________________________________________________
                        >    Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon
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                        >    - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par
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        page.
                        >   
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                        >
                        >
                        >    mes cher amis ,je lis avec beaucoup d'attention
    vos
            propos
                ,je
                    ne
                        suis pas
                        >    un intellectuel comme vous ,mais vous me blessé en
        disant
            que
                    nous
                       
         Français
                        >    nous sommes racistes!je suis aller au GABON
    plusieurs
        fois
                    ,j'ai
                        des amis
                        >    chez vous et j'ai remarquer que se sont souvent
        vous
            qui
                avez
                    des
                        >    comportements racistes envers toutes sortes
            d'étrangers
                par
                        ailleurs.
                        >    La France reçois des étranger de tout pays qui
    sont
                respecter et
                        protégés
                        >    ,je pense que nous sommes un des pays au monde ou
                l'étranger
                    est
                        aussi si
                        >    bien respecter.Je ne nie pas qu'il y ai des cas
    de
                racismes
                        (intolérable)de
                        >    descriminations envers les étranger,mais quelle
        socièté
            est
                        parfaite?
               
                 >    A part cela j'aime bien lire vos messages qui sont
            très
                        intéressant! Mais
                        >    je me garderai bien de juger la politique de votre
        pays!
                        >    Amitiés a vous et a tout le peuple GABON AIS
                        >




                    ------------------------------

                    Message: 2
                    Date: Sun, 14 Sep 2008 04:56:14 -0400
                    From: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
                    Subject: [BDPalabres] Re: Communiqué: Clarifications sur la
    phase
                        insurrectionnelle et les Représentations nationales et
            internationales
                        du BDP-Gabon Nouveau
                    To: bdpalabres at bdpgabon.org
                    Message-ID:
    <E1KenOw-00036w-KV at dchost.globalwebcompany.net>

                    M. Le Président,
                    Dr MENGARA,
                   
                    En parlant de
         travail, il y a quelques points sur lesquels vous
            n'avez
                pas
                    apporter de clarifications. Je me demande comment dans le cadre
            d'une
                    démarche insurectionnelle, vous pouvez faire en sorte que les
        Gabonais
                fassent
                    l'économie des dérives à la congolaise. J'ai
    quelques
        photos
            de
                la
                    boucherie qui s'est produite à Brazzaville lors du conflit
        entre
                Sassou et
                    Lissouba. Je garde également des photos des évènements des
        années
            1990
                à
                    Libreville. Il n'y a aucune mesure en matière de cruauté
        touchant
            les
                    civils.
                    Vous savez que nous ne pouvez pas mener la moindre action
            insurectionnelle
                sans
                    toucher à l'infrastructure qui assure la protection de
    votre
                adversaire.
                    Vous savez que
         ceux qui maîtrisent cette infrastructure
            n'hésiterons
                pas
                    à réagir sans ménagement - et à toucher la population
    civile -
            ainsi
                    qu'ils l'ont fait à Port-Gentil. Jusqu'à
    présent,
        les
            hommes
                    politiques de l'opposition ont utilisé leurs sympatisants
        comme
            armes
                et
                    comme boucliers humains. Comptez vous utiliser la meme
    stratégie
                suicidaire ?
                    Avez vous les moyens d'assurer la protection de la
    population
            civile?
                    Autrement dit, avez vous envisagé de mettre davantage
    l'accent
        sur
            des
                    actions économiques et juridiques ? Il me semble en effet que
    la
            pression
                    exercée par votre adversaire sur la population s'appuie
        fortement
            sur
                ces
                    leviers ainsi que sur l'intimidation exercée par les
    services
        de
              
              renseignements. L'infrastructure militaire n'intervient
        souvent
                    qu'en dernier recours, une efficacité renforcée par la
        couverture
            des
                    forces étrangères établies sur notre territoire?
                    Cordialement.
                   
                    MANGASS TTC
                    Christian MAYANDJI
                    Démarches-Gestion
                    FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                    ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                    CONVOYAGE EXPLOITATION
                    VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                    EUROPE - AFRIQUE
                   


                    --- En date de : Sam 13.9.08, Dr. Daniel Mengara
                <protected at bdpgabon.org>
                    a écrit :

                        De: Dr. Daniel Mengara <protected at bdpgabon.org>
                        Objet: [BDPalabres] Re: Communiqué: Clarifications sur la
        phase
                    insurrectionnelle et les Représentations
         nationales et
        internationales
            du
                    BDP-Gabon Nouveau
                        À: bdpalabres at bdpgabon.org
                        Date: Samedi 13 Septembre 2008, 4h18

                        ___________________________________________________________
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                        Ne vous inquiétez point, ami Mayandji. Je ne pactiserai
            qu'avec le
                    peuple
                        gabonais. Au diable, donc, le diable.
                        J'ai une foi inébranlable en l'HOMME. En
         faisant
            l'homme
                à
                    son
                        image, DIEU a voulu l'homme capable d'actes divins.
            C'est
                cette
                        capacité, que nous appelons conviction (pour le bien) et
    amour
        (de
            son
                        prochain) qui fait de nous la projection même du dessein
    divin
        sur
                terre,
                    et
                        nous arme contre les forces du mal. Libérer l'homme de
    ses
                entraves
                        physiques et mentales, c'est en quelque sorte, et en
    fin de
            compte,
                    faire la
                        volonté de DIEU.

                        Au travail, donc, cher ami.

                        Daniel Mengara

                        Christian MAYANDJI wrote:
                        >
                        >
                        > Monsieur le Président,
                        > Docteur MENGARA,
                        > 
                        > Vous
         prennez un mauvais chemin si vous envisagez la
        moindre
                hypothèse
                    de
                        pactiser avec le diable. Qu'est ce qui vous restera
    pour
        vous
                    distinguer du
                        pouvoir en place.? Votre victoire ne viendra que de votre
    foi
        en
            DIEU.
                    Soyez en
                        convaincu quel que soit votre inspiration du moment.
                        > Salutations cordiales.
                        >
                        > MANGASS TTC
                        > Christian MAYANDJI
                        > Démarches-Gestion
                        > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                        > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                        >  CONVOYAGE EXPLOITATION
                        > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                        > EUROPE - AFRIQUE
                        > 
                        >
                        >
                        > --- En date
         de : Ven 12.9.08, BDP-Gabon Nouveau
                        <protected at bdpgabon.org> a écrit :
                        >
                        >    De: BDP-Gabon Nouveau
    <protected at bdpgabon.org>
                        >    Objet: [BDPalabres] Communiqué: Clarifications sur
    la
            phase
                        insurrectionnelle et les Représentations nationales et
            internationales
                du
                        BDP-Gabon Nouveau
                        >    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                        >    Date: Vendredi 12 Septembre 2008, 20h42
                        >
                        >   
        ___________________________________________________________
                        >    Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon
        Nouveau.
                Vos
                        messages
                        >    apparaîtront une fois modérés.
                        >    - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par
    email,
           
         répondez
                    tout
                        simplement
                        >    aux messages.
                        >    - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de
        page.
                        >   
        ___________________________________________________________
                        >
                        >
                        >    Communiqué: Clarifications sur la phase
        insurrectionnelle
            et
                les
                        >    Représentations nationales et internationales du
        BDP-Gabon
                    Nouveau
                        >
                        >    Lien sur le site:
                        >   
                     
                 
               
           
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2008/09/12/communique-clarifications-sur-la-phase-insurrectionnelle-et-les-representations-nationales-et-internationales-du-bdp-gabon-nouveau/
                        >
                        >    Le BDP-Gabon Nouveau tient à clarifier
         un certain
        nombre
            de
                        malentendus ayant
                        >    trait au statut actuel de ses représentations
        politiques
            en
                    France et
                        dans le
                        >    monde.
                        >
                        >    Nous rappelons à tous et à toutes que toutes les
                    représentations
                        OFFICIELLES
                        >    du mouvement avaient été dissoutes et/ou
    suspendues
        en
                décembre
                        2005 quand le
                        >    mouvement a redéfini son idéologie pour
    s'engager
                    ouvertement
                        dans la
                        >    préparation de la lutte insurrectionnelle.
                        >
                        >    A ce titre, les seules fonctions officielles (et
        visibles)
            au
                sein
                    du
                        mouvement
                       
         >    demeurent, jusqu'à nouvel ordre, celles qui
        existent
            au
                sein
                    de
                        la
                        >    Coordination Nationale du BDP-Gabon Nouveau au
    Gabon
        même
            (en
                    tant
                        que point
                        >    d'appui politique local non clandestin), le
    Mamba
            (Branche
                    armée,
                        >    clandestine) et le Comité Directeur (point
    d'appui
                externe,
                        clandestin). Il
                        >    y a aussi les deux porte-paroles du mouvement,
        notamment le
                Dr.
                    Bruno
                        Ella
                        >    (Porte parole politique) et Curtis Bezauna (Porte
        parole
                    militaire).
                        >
                        >    RAPPEL HISTORIQUE: Suite à la réélection
    frauduleuse
                d'Omar
                        Bongo en
                       
         >    novembre 2005, le BDP-Gabon Nouveau avait, entre
        autres,
                publié
                    les
                        >    communiqués suivants:
                        >
                        >    - 3 Décembre 2005: Création d'urgence du
    poste de
                Président
                    du
                        BDP-Gabon
                        >    Nouveau, en remplacement de celui de Coordonnateur:
                        >   
                     
                 
               
           
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/05/resolutions-de-la-reunion-durgence-du-comite-directeur-bdp-gabon-nouveau/.
                        >
                        >    - 5 Décembre 2005: Dissolution des structures
        existantes
            du
                    BDP-Gabon
                        Nouveau
                        >    par le Président du BDP-Gabon Nouveau, et annonce
    du
            début
                de la
                        phase de
                        >    préparation
         insurrectionnelle du mouvement:
                        >   
                     
                 
               
           
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/05/message-a-la-nation-du-dr-daniel-mengara-fini-le-temps-de-limpunite/.
                        >
                        >    - 9 Décembre 2005: Ralliement du Mamba au
    BDP-Gabon
            Nouveau
                comme
                        branche
                        >    militaire du mouvement:
                        >   
                     
                 
               
           
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/09/le-mamba-se-rallie-devient-la-branche-armee-du-bdp-gabon-nouveau/
                        >
                        >    Tous ces textes se trouvent également dans notre
    vieux
            site
                        désormais
                        >    archivé sur ce lien: 
        http://www.bdpgabon.org/archives/, y
                    compris le
                        message
                        >    audio enregistré par
         le Dr. Daniel Mengara pour
                l'occasion
                    (Dès
                        la
                        >    première page, regardez les articles publiés en
        décembre
                2005
                    et
                        janvier
                        >    2006). Vous pouvez aussi, sur notre nouveau site
    (actif
            depuis
                    avril
                        2008),
                        >    cliquer sur l'année 2005 pour voir certains
    des
            articles
                que
                    nous
                        avons
                        >    recopiés de l'ancien site et, ainsi, vous
        concentrer
            sur
                les
                        articles
                        >    publiés en décembre 2005 et janvier 2006. Le site
    du
            Mamba
                        >    (http://www.lemamba.org) contient également des
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         représentations du BDP-Gabon
                Nouveau
                    sont
                        dissoutes
                        >    depuis décembre 2005, toutes personnes autres que
    les
                personnes
                        citées plus
                        >    haut qui parleraient, à titre officiel, au nom du
            BDP-Gabon
                    Nouveau,
                        feraient
                        >    automatiquement preuve d'imposture. Par
    ailleurs,
            toutes
                les
                        personnes qui
                        >    parlent au nom du mouvement ne le font pas sur les
        forums,
                mais au
                        travers de
                        >    communiqués de presse publiés sur notre site
                        (http://www.bdpgabon.org) à
                        >    titre OFFICIEL. Sur les forums et ailleurs, les
    membres
            connus
                du
                        BDP-Gabon
                        >    Nouveau expriment
         leurs opinions personnelles en tant
        que
                    citoyens,
                        mais ces
                        >    opinions n'engagent aucunement le mouvement.
    Parce
                qu'un
                        mouvement
                        >    n'est pas forcément monolithique dans sa
    pensée,
            chacun
                peut
                        être libre
                        >    de ses opinions sans toutefois remettre en cause
    les
            grandes
                    lignes de
                        >    l'idéologie de libération nationale du
    BDP-Gabon
                Nouveau,
                    qui
                        demeure le
                        >    socle qui unit tous les partisans du changement
        véritable,
                sans
                        particularisme
                        >    ethnique, sans repli identitaire et sans 
    distinctions
        de
                sexe, de
                        race ou
                        >    d'origine.
                        >
         
                       >    La pensée officielle de notre mouvement reste donc
            clairement
                        exprimée dans
                        >    les divers articles et documents publiés sur notre
        site
            dans
                la
                        rubrique ayant
                        >    trait aux activités du BDP-Gabon Nouveau
                        >    (http://www.bdpgabon.org/articles/category/bdp/;
    voir
        aussi
                    archives,
                        site 1:
                        >    http://www.bdpgabon.org/index1.shtml et archives
    site
        2:
                        >    http://www.bdpgabon.org/archives/). Notre devise
        demeure :
                "
                        Bongo Doit
                        >    Partir, par tous les moyens possibles, pour la
        construction
                    d'un
                        Gabon
                        >    nouveau ". Ce combat de libération nationale
            interpelle
                tous
                    les

                        fils et
                        >    filles du Gabon et amis du Gabon qui pensent et
    disent
        que
                "
                        Bongo Doit
                        >    Partir ", toutes ethnies et toutes tendances
            confondues.
                        >
                        >    Ainsi :
                        >
                        >    -  que l'on soit Téké, Punu, Fang, Myéné ou
        autre,
            si
                    l'on
                        pense
                        >    que " Bongo Doit Partir, par tous les moyens
            possibles,
                on
                    est
                        forcément
                        >    du BDP-Gabon Nouveau.
                        >    - Que l'on soit du BDP, de l'UPG, du PDG,
    du
        RDPG,
            du
                FUCR
                    ou
                        de tout
                        >    autre partie ou structure politique, si l'on
    pense
        que
                "
                        Bongo Doit
                     
           >    Partir, par tous les moyens possibles, on est
        forcément du
                    BDP-Gabon
                        Nouveau.
                        >    - Que l'on dirige une association, une
    entreprise,
        une
                famille
                    ou
                        une
                        >    administration, si l'on pense que " Bongo
    Doit
                Partir,
                    par
                        tous les
                        >    moyens possibles, on est forcément du BDP-Gabon
        Nouveau.
                        >
                        >    Telle est l'idéologie BDP, c'est-à-dire
    le
        point
            de
                    pensée
                        et de
                        >    ralliement qui, s'étalant au-delà des
    personnes,
        des
                partis
                    et
                        des
                        >    ethnies, affirme les principes rassembleurs du
    "
        Gabon
                        d'abord "
                        >    et les projette dans
         un engagement politique qui, parce
        que
                    partagé
                        par la
                        >    majorité agissante ou silencieuse, pose comme
        condition
                    principale du
                        >    changement au Gabon le départ immédiat d'Omar
        Bongo
            du
                    pouvoir.
                        >
                        >    A titre de résumé, donc, voici la structure
    actuelle
        du
                    mouvement:
                        >
                        >    - Président du BDP-Gabon Nouveau
                        >    > Dr. Daniel Mengara
                        >
                        >    - Comité Directeur
                        >    > (Clandestin, USA)
                        >
                        >    - Coordination Nationale
                        >    > (Représentation officielle, Gabon)
                        >
                        >    - Le Mamba
                        >    > (Branche
         militaire, clandestin)
                        >
                        >    - Porte parole politique
                        >    > Dr. Bruno Ella Nguéma
                        >
                        >    - Porte parole militaire
                        >    > Mr. Curtis Bezauna
                        >
                        >    - Et un certain nombre de structures clandestines
            impliquées
                dans
                    la
                        >    préparation du combat insurrectionnel annoncé en
            décembre
                2005.
                        >
                        >    Toutes les personnes ayant occupé des fonctions
            officielles
                au
                    sein
                        du
                        >    BDP-Gabon Nouveau restent, certes, membres de droit
    du
                BDP-Gabon
                        Nouveau (sauf
                        >    si démissionnaires), mais leurs opinions, en tant
    que
                citoyens
            
                libres
                        de leurs
                        >    opinions, n'appartiennent qu'à eux et
            n'engagent
                        aucunement le
                        >    BDP-Gabon Nouveau.
                        >    Au moment opportun, le BDP-Gabon Nouveau
    réactivera
        ses
                        représentations de
                        >    par le monde. Pour le moment, notre stratégie vise
                principalement
                    la
                        >    préparation et à la consolidation de l'action
                clandestine
                    autour
                        de
                        >    l'idéologie du combat de libération
    nationale. Au
            moment
                qui
                        nous
                        >    paraîtra opportun, nous solliciterons de nos
    membres
            (anciens
                et
                        nouveaux) la
                        >    réactivation OFFICIELLE des cellules BDP
    (nouvelles ou
                  
          anciennes),
                        soit sur la
                        >    base de leur importance stratégique, soit dans le
        cadre
                global
                        d'une
                        >    politique de réofficialisation des cellules et
                représentations
                        nationales et
                        >    internationales du BDP-Gabon Nouveau. Dans ce
    contexte,
        des
                        communiqués seront
                        >    faits pour officialiser ces activations ou
        réactivations.
                        >
                        >    Evidemment, les adhésions individuelles de membres
            continuent
                        activement et
                        >    sans interruption (voir cette page :
                        http://www..bdpgabon.org/adhesion/). Les
                        >    personnes qui aujourd'hui adhèrent au
    BDP-Gabon
            Nouveau
                le
                    font
                        soit comme
           
                     >    membres de la structure politique (clandestine ou
            officielle),
                ou
                        alors comme
                        >    combattants au sein du Mamba (structure
    clandestine).
        Etre
                membre
                        combattant du
                        >    Mamba fait automatiquement du combattant un membre
    du
                BDP-Gabon
                        Nouveau.
                        >
                        >    Chaque Gabonais ou chaque membre du BDP-Gabon
    Nouveau
        (au
                Gabon ou
                        dans la
                        >    diaspora) est libre de créer une cellule de
    réflexion
        BDP
                dans
                    son
                        quartier,
                        >    sa région, sa province, sa ville ou son pays de
            résidence.
                Le
                        responsable
                        >    d'une cellule ainsi créée se doit d'en
        informer
            la
                   
         direction
                        du
                        >    mouvement pour qu'elle prenne acte de son
        existence.
                Toutes
                    les
                        cellules
                        >    actuelles ou nouvelles gardent, toutefois, un
        caractère
                    officieux. Le
                        BDP-Gabon
                        >    Nouveau décidera du moment où, pour raisons
        stratégiques
            ou
                    autres,
                        il
                        >    procédera à l'officialisation des cellules à
        titre
                spécial
                    ou
                        général.
                        >
                        >    Le combat insurrectionnel reste d'actualité et
    sa
                    préparation
                        continue.
                        >    Comme nous l'avions dit sur cette page du site
    du
        Mamba
            en
                    2005
                        >   
         (http://www.lemamba.org/content/view/46/67/), quand le
            Mamba
                sera
                        prêt à
                        >    commencer ses activités insurrectionnelles, un
        ultimatum
            de
                deux
                        semaines sera
                        >    lancé. Cet ultimatum aura pour but, d'une
    part, de
                laisser le
                        temps aux
                        >    populations gabonaises de s'organiser en
    faisant
        des
                    provisions,
                        et
                        >    d'autre part, aux membres du régime Bongo qui
        veulent
                    rejoindre
                        le camp de
                        >    la réforme d'en faire la démarche. Une fois
    les
        deux
                    semaines
                        >    d'ultimatum passées, le Mamba pourra, dès
    lors,
            lancer
                le
                    début
                        de la
                        >    phase
         insurrectionnelle, au moment de son choix.
                        >
                        >    Comme le BDP-Gabon Nouveau l'a toujours dit,
    rien
        de
            bon
                ne
                    peut
                        plus se
                        >    passer au Gabon tant qu'Omar Bongo sera au
    pouvoir.
        Le
                    changement,
                        >    contrairement à ce que disent les chantres de la
                convivialité et
                    des
                        >    rapprochements avec Bongo, ne viendra pas au Gabon
    par
        les
                urnes.
                        Seule une
                        >    stratégie insurrectionnelle viendra à bout du
        bongoïsme
            au
                    Gabon.
                        >    L'insurrection, que l'on le veuille ou non,
    se
        fera
            au
                    Gabon,
                        même si
                        >    pour cela le BDP-Gabon Nouveau doit pactiser avec
    le
            diable.
               
         Ce
                        n'est donc
                        >    pas une question de "si", mais plutôt
    une
            question
                de








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