[BDPalabres] Re: Communiqué: Clarifications sur la phase insurrectionnelle et les Représentations nationales et internationales du BDP-Gabon Nouveau
Christian MAYANDJI
protected at yahoo.fr
Lun 15 Sep 22:08:30 EDT 2008
M. le Président du BDP,
Dr MENGARA,
Beaucoup de gabonais partagent, comme vous et moi, le point de vue sur la nécessité d'une réforme politique permettant de garantir l'alternance politique au Gabon. Je peux même vous assurer qu'il est possible de trouver des partisans de cette opinion par les "opportunistes" du Parti au Pouvoir.
Il reste cependant des points à clarifier pour amener toutes ces personnes à basculer en faveur de votre cause. Votre crédibilité internationale en fait partie. Personne ne sait quelles sont les actions que votre mouvements a mené auprès des institutions internationales pour dénoncer les dérives de votre adversaire et vous affirmer votre crédibilité comme un mouvement capable d'assurer l'alternance politique. L'ensemble des Etats africains n'a que mollement hésité avant d'appuyer le soutien de votre adversaire à l'élection du nouveau président de l' Union Africaine, donnant ainsi l'impression de conforter son leadership sous - régional. De votre côté, vous êtes vous rapproché de quelques gouvernements pour obtenir leurs soutiens au moins logistiques ou politiques ?
Je comprends votre discrétion sur des questions de stratégie militaire. Mais je crois que votre adversaire ainsi que la population gabonaise ont besoin de recevoir des signaux significatif sur l'évolution de votre mouvement. Vous ne semblez pas accordez beaucoup d'importance à la faisabilité de votre projet pour le Gabon, sans doute par discrétion pour la phase de la préparation et l'exécution. Pourtant le choix de vos alliances au niveau international devrait constituer des indicateurs susceptibles d'encourager la décision de vos compatriotes.
Vous comprennez certainement qu'après avoir été si souvent floués, très peu de vos compatriotes soient prêts à suivre un leader qui,certe, développe une bonne communication, exprime des intentions louables, mais tatonne quant aux dispositions à prendre pour amener l'alternance "par tous les moyens". Etant donné votre installation aux Etats Unis, j'ai du mal à vous imaginer en train en train d'obtenir la collaboration des pays progressistes d'Amérique latine. Les anciens pays idélogiquement de gauche en Asie sont en train d'opérer un revirement "tactique" vers le capitalisme. Quant à l'Europe, toutes les tentatives menées par vos prédecesseurs pour obtenir, au moins, une certaine forme de neutralité ou d'équilibre des forces n'a pas été suivi d'effets. Je crois par ailleurs que tout cela a contribué à affaiblir vos predecesseurs.
Vous ne promettez pas la "baguette magique" et beaucoup de gabonais pensant comme vous peuvent le concevoir. Cela suffit - il pour accepter le leadership de votre mouvement ?
S'il vous plait, nous savons déjà que nous sommes libres d'aller où nous voulons. Cependant, il est interessant que vous puissiez faire partager tout l'intérêt des gabonais à se ranger sous votre bannière.
Cordialement.
MANGASS TTC
Christian MAYANDJI
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--- En date de : Lun 15.9.08, Dr. Daniel Mengara <protected at bdpgabon.org> a écrit :
De: Dr. Daniel Mengara <protected at bdpgabon.org>
Objet: [BDPalabres] Re: Communiqué: Clarifications sur la phase insurrectionnelle et les Représentations nationales et internationales du BDP-Gabon Nouveau
À: bdpalabres at bdpgabon.org
Date: Lundi 15 Septembre 2008, 0h02
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Cher ami Mayandji,
Bien qu'il m'eût été agréable de discuter de stratégie militaire
avec vous, vous comprendrez que le type de question que vous posez dans votre
message ne peut trouver réponse sur un forum public. L'outil avec lequel
nous nous exprimons ici, comme vous l'aurez sans doute constaté, est ouvert
à tous, qu'ils soient membres ou non membres du BDP-Gabon Nouveau. Bien que
ce soit un outil qui nous permet de bénéficier de la diversité des opinions
des uns et des autres, qu'ils soient d'obédience bédépiste ou autre,
il y a, cependant, des sujets d'ordre stratégique qui ne peuvent se traiter
ici en profondeur et qui, par conséquent, restent du ressort des membres
avérés du BDP-Gabon Nouveau qui sont responsables de trouver, dans
l'éventail de tout ce qui est faisable, les meilleures formulations de
notre action insurrectionnelle.
Aux questions que vous posez, donc, je ne puis apporter plus de réponses que
ce qui a déjà été formulé à divers moments de notre existence. Les
articles du Mamba (http://www.mamba.org) restent d'actualité sur ce point,
et leur contenu modulable en fonction des réflexions et des suggestions des uns
et des autres dans le cadre, évidemment, du renforcement de l’idéologie de
libération nationale que nous poursuivons.
Je dirai plutôt, pour rester dans le non confidentiel, que ce qui nous
préoccupe le plus, ce n'est pas la faisabilité ou non de
l'insurrection. Notre opinion est que l'insurrection est l'étape la
plus facile de notre idéologie. Notre problème n'est pas non plus les
dommages collatéraux, que l'on peut éviter de plusieurs manières (Il faut
donc, comme vous le dites, réfléchir à comment les minimiser, et nous y avons
déjà plus ou moins réfléchi). Notre vrai problème, c’est-à-dire le
problème qui nous demande le plus de préparation, c'est l’évaluation de
ce qui se passerait après une insurrection réussie. Faire tomber un
gouvernement est facile, mais maîtriser le pays après l'insurrection est
l'étape la plus difficile. Autrement dit, il ne s’agit pas de lancer
l’insurrection pour le simple goût de l’insurrection. Il s’agit surtout
de la lancer tout en maîtrisant, au minimum, ses retombées politiques.
Il suffit d’imaginer un exemple simple : l’insurrection est lancée, le
gouvernement tombe. Mais puisque le BDP n’a pas préparé l’APRES
INSURRECTION, le pouvoir tombe aux mains d’un autre opportuniste. Et voilà le
Gabon reparti avec un autre zouave au pouvoir.
Ce travail, à nos yeux, reste le plus difficile car demandant plus de
réflexion et de préparation. Il exige non seulement que nous ayons des hommes
et des femmes engagés et capables d’assumer immédiatement sur le plan
NATIOANL si l’insurrection réussit, mais également que nous préparions tout
un dispositif nous permettant de maîtriser qui prendrait le pouvoir en cas de
réussite. C’est à cette réflexion importante que nous nous attelons
actuellement.
Il convient de retenir, cependant, que l’insurrection n’est pas la
finalité de notre combat politique. Elle ne peut être une fin en soi. Notre
finalité, c’est la réforme politique du Gabon en vue d’y établir un état
de droit soutenu par des institutions équilibrées, et c’est
l’établissement d’un tel état qui, en définitive, assurera la
transparence des élections tout en permettant l’éclosion des intelligences
qui projetteront enfin le Gabon sur la pente du développement durable. Notre
conclusion aujourd’hui est qu’aucune élection ne devrait plus se tenir au
Gabon sans réforme préalable. Il est illusoire pour l’opposition de
continuer à aller aux urnes sans garantie de victoire à cause des
manipulations électorales qui faussent systématiquement le jeu démocratique
au Gabon (fraude et corruption). Il s’agit donc de ne pas mettre l’accent,
comme certains le font bien naïvement, sur la simple participation à des
élections perdues d’avance (qui sont de simples validations d’une
légitimité que Bongo n’a pas), mais plutôt sur la nécessité d’imposer
la réforme par tous les moyens possibles. D’où la nécessité d’une
insurrection réformiste.
Si le régime Bongo avait été ouvert à une vraie réforme au cours des 20
dernières années de démocratie avortée, ce débat ne serait plus
d’actualité. Mais force est de constater que chaque jour qui passe ne fait
que renforcer notre conclusion selon laquelle rien de bon ne peut plus se passer
au Gabon tant qu’Omar Bongo est au pouvoir. Sous Bongo, il n’y aura ni
démocratie ni progrès. Il est donc important de limiter les dégâts du
bongoïsme au Gabon en évinçant ce régime. Autrement dit, pour que Bongo
parte, il va falloir que les Gabonais l’y forcent. L’insurrection, dans ce
cas, devient l’option la plus crédible, surtout dans le contexte de blocage
politique actuel où le régime Bongo, en se refusant à la réforme
démocratique depuis 41 ans (1990 ne fut qu’un bref hiatus), ne laisse
d’autres choix aux patriotes que nous sommes que la recherche du changement
par tous les moyens possibles. Nous pensons que l’insurrection n’est qu’un
acte de légitime défense qui permet aux Gabonais de réparer les agressions
bongoïstes qui tuent le Gabon depuis 41 ans, agressions qui risquent de
continuer à le tuer au cours des 40 prochaines années de dynastie bongoïste
(qui nous sont déjà promises) si personne n’y met fin dès maintenant. Or,
il n’y a que deux entités qui peuvent changer le Gabon aujourd’hui : Omar
Bongo (puisqu’il en a les pleins pouvoirs) et le peuple gabonais (puisqu’il
en a le pouvoir absolu). Bongo étant réfractaire à la démocratie, il reste
donc au peuple gabonais d’appliquer fermement sa souveraineté.
Nous ajouterons que le combat du BDP-Gabon Nouveau n'est ni une garantie de
réussite ni une promesse à qui que ce soit que nous détenons la baquette
magique. Nous ne venons pas de Mars avec la libération toute fabriquée. Nous
restons, comme vous et comme d'autres, de simples gabonais de chair et
d’os qui, renonçant à la peur et à la langue de bois, ont décidé de
prendre le chemin d'une opposition radicale dans le but de rechercher, pour
le Gabon, la dignité commandée par Dieu. Ce combat est donc par des Gabonais
pour les Gabonais. Cela commande à tous ceux qui partagent notre perspective du
combat de se déclarer et d’agir, ensemble ou séparément, en vue de mettre
fin au bongoïsme au Gabon. Nous ne promettons à personne que nous serons
forcément les personnes par lesquelles le changement arrivera. Le BDP-Gabon
Nouveau n'est qu'une option de changement au même titre que
d'autres options poursuivies par d'autres compatriotes bien
intentionnés. Ce que nous promettons c'est de lutter avec toute la force
dont nous sommes capables pour faire aboutir l'idéal de changement au
Gabon, sur la base de ce que nous croyons être la manière la plus juste et la
plus efficace. Nous promettons également de ne jamais abandonner cette lutte
tant que ne sera pas obtenue, par tous les moyens possibles, la réforme et,
donc, le changement que recherchent tous les Gabonais.
Si nous réussissons, tant mieux. Mais si nous échouons, soit parce que les
Gabonais ne veulent pas changer Bongo et sa clique, soit parce que nous aurons
fait des erreurs tactiques, nous aurons eu le mérite d’avoir au moins
essayé, et surtout de n’avoir jamais trahi l’idéal par des compromissions
qui, récompensant les leaders politiques seuls, n’ont jamais rien apporté de
concret au peuple gabonais plus que jamais paupérisé.
Nous restons donc sur ces divers points, Monsieur Mayandji, ouverts aux
analyses que vous voudrez bien offrir. Mais il va sans dire que, pour ne pas
être légers, tous ceux qui désirent approfondir avec nous ce type de
réflexion se doivent d’intégrer le mouvement et ainsi nous faire
bénéficier plus directement de leurs compétences dans un contexte de
réflexions bien mûries, loin des superficialités que peut occasionner la
communication souvent émotionnelle sur un forum public. Les portes du BDP-Gabon
Nouveau restent ouvertes à tous ceux qui pensent que « Bongo Doit Partir, par
tous les moyens possibles ».
Notez que l’influence de l’idéologie BDP ne s’arrête pas qu’au seul
Gabon. Le petit mouvement que nous sommes, pour un pays d’un million
d’habitants, a quand-même inspiré un mouvement similaire au Congo Kinshasa,
pays de 60 millions d’habitants. Il existe désormais un « Kabila Doit Partir
» au Congo de chez Kabila inspiré directement de notre « Bongo Doit Partir
».
Bien des choses à vous.
Daniel Mengara
Christian MAYANDJI wrote:
>
>
> M. Le Président,
> Dr MENGARA,
>
> En parlant de travail, il y a quelques points sur lesquels vous n'avez
pas apporter de clarifications. Je me demande comment dans le cadre d'une
démarche insurectionnelle, vous pouvez faire en sorte que les Gabonais fassent
l'économie des dérives à la congolaise. J'ai quelques photos de la
boucherie qui s'est produite à Brazzaville lors du conflit entre Sassou et
Lissouba. Je garde également des photos des évènements des années 1990 à
Libreville. Il n'y a aucune mesure en matière de cruauté touchant les
civils.
> Vous savez que nous ne pouvez pas mener la moindre action insurectionnelle
sans toucher à l'infrastructure qui assure la protection de votre
adversaire. Vous savez que ceux qui maîtrisent cette infrastructure
n'hésiterons pas à réagir sans ménagement - et à toucher la population
civile - ainsi qu'ils l'ont fait à Port-Gentil. Jusqu'à présent,
les hommes politiques de l'opposition ont utilisé leurs sympatisants comme
armes et comme boucliers humains. Comptez vous utiliser la meme stratégie
suicidaire ? Avez vous les moyens d'assurer la protection de la population
civile?
> Autrement dit, avez vous envisagé de mettre davantage l'accent sur
des actions économiques et juridiques ? Il me semble en effet que la pression
exercée par votre adversaire sur la population s'appuie fortement sur ces
leviers ainsi que sur l'intimidation exercée par les services de
renseignements. L'infrastructure militaire n'intervient souvent
qu'en dernier recours, une efficacité renforcée par la couverture des
forces étrangères établies sur notre territoire?
> Cordialement.
>
> MANGASS TTC
> Christian MAYANDJI
> Démarches-Gestion
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>
>
>
> --- En date de : Sam 13.9.08, Dr. Daniel Mengara
<protected at bdpgabon.org> a écrit :
>
> De: Dr. Daniel Mengara <protected at bdpgabon.org>
> Objet: [BDPalabres] Re: Communiqué: Clarifications sur la phase
insurrectionnelle et les Représentations nationales et internationales du
BDP-Gabon Nouveau
> À: bdpalabres at bdpgabon.org
> Date: Samedi 13 Septembre 2008, 4h18
>
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>
>
> Ne vous inquiétez point, ami Mayandji. Je ne pactiserai qu'avec
le peuple
> gabonais. Au diable, donc, le diable.
> J'ai une foi inébranlable en l'HOMME. En faisant l'homme
à son
> image, DIEU a voulu l'homme capable d'actes divins. C'est
cette
> capacité, que nous appelons conviction (pour le bien) et amour (de
son
> prochain) qui fait de nous la projection même du dessein divin sur
terre, et
> nous arme contre les forces du mal. Libérer l'homme de ses
entraves
> physiques et mentales, c'est en quelque sorte, et en fin de
compte, faire la
> volonté de DIEU.
>
> Au travail, donc, cher ami.
>
> Daniel Mengara
>
> Christian MAYANDJI wrote:
> >
> >
> > Monsieur le Président,
> > Docteur MENGARA,
> >
> > Vous prennez un mauvais chemin si vous envisagez la moindre
hypothèse de
> pactiser avec le diable. Qu'est ce qui vous restera pour vous
distinguer du
> pouvoir en place.? Votre victoire ne viendra que de votre foi en DIEU.
Soyez en
> convaincu quel que soit votre inspiration du moment.
> > Salutations cordiales.
> >
> > MANGASS TTC
> > Christian MAYANDJI
> > Démarches-Gestion
> > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
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> > CONVOYAGE EXPLOITATION
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> > EUROPE - AFRIQUE
> >
> >
> >
> > --- En date de : Ven 12.9.08, BDP-Gabon Nouveau
> <protected at bdpgabon.org> a écrit :
> >
> > De: BDP-Gabon Nouveau <protected at bdpgabon.org>
> > Objet: [BDPalabres] Communiqué: Clarifications sur la phase
> insurrectionnelle et les Représentations nationales et
internationales du
> BDP-Gabon Nouveau
> > À: bdpalabres at bdpgabon.org
> > Date: Vendredi 12 Septembre 2008, 20h42
> >
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> >
> > Communiqué: Clarifications sur la phase insurrectionnelle et
les
> > Représentations nationales et internationales du BDP-Gabon
Nouveau
> >
> > Lien sur le site:
> >
>
http://www.bdpgabon.org/articles/2008/09/12/communique-clarifications-sur-la-phase-insurrectionnelle-et-les-representations-nationales-et-internationales-du-bdp-gabon-nouveau/
> >
> > Le BDP-Gabon Nouveau tient à clarifier un certain nombre de
> malentendus ayant
> > trait au statut actuel de ses représentations politiques en
France et
> dans le
> > monde.
> >
> > Nous rappelons à tous et à toutes que toutes les
représentations
> OFFICIELLES
> > du mouvement avaient été dissoutes et/ou suspendues en
décembre
> 2005 quand le
> > mouvement a redéfini son idéologie pour s'engager
ouvertement
> dans la
> > préparation de la lutte insurrectionnelle.
> >
> > A ce titre, les seules fonctions officielles (et visibles) au
sein du
> mouvement
> > demeurent, jusqu'à nouvel ordre, celles qui existent au
sein de
> la
> > Coordination Nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon même
(en tant
> que point
> > d'appui politique local non clandestin), le Mamba
(Branche armée,
> > clandestine) et le Comité Directeur (point d'appui
externe,
> clandestin). Il
> > y a aussi les deux porte-paroles du mouvement, notamment le
Dr. Bruno
> Ella
> > (Porte parole politique) et Curtis Bezauna (Porte parole
militaire).
> >
> > RAPPEL HISTORIQUE: Suite à la réélection frauduleuse
d'Omar
> Bongo en
> > novembre 2005, le BDP-Gabon Nouveau avait, entre autres,
publié les
> > communiqués suivants:
> >
> > - 3 Décembre 2005: Création d'urgence du poste de
Président du
> BDP-Gabon
> > Nouveau, en remplacement de celui de Coordonnateur:
> >
>
http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/05/resolutions-de-la-reunion-durgence-du-comite-directeur-bdp-gabon-nouveau/.
> >
> > - 5 Décembre 2005: Dissolution des structures existantes du
BDP-Gabon
> Nouveau
> > par le Président du BDP-Gabon Nouveau, et annonce du début
de la
> phase de
> > préparation insurrectionnelle du mouvement:
> >
>
http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/05/message-a-la-nation-du-dr-daniel-mengara-fini-le-temps-de-limpunite/.
> >
> > - 9 Décembre 2005: Ralliement du Mamba au BDP-Gabon Nouveau
comme
> branche
> > militaire du mouvement:
> >
>
http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/09/le-mamba-se-rallie-devient-la-branche-armee-du-bdp-gabon-nouveau/
> >
> > Tous ces textes se trouvent également dans notre vieux site
> désormais
> > archivé sur ce lien: http://www.bdpgabon.org/archives/, y
compris le
> message
> > audio enregistré par le Dr. Daniel Mengara pour
l'occasion (Dès
> la
> > première page, regardez les articles publiés en décembre
2005 et
> janvier
> > 2006). Vous pouvez aussi, sur notre nouveau site (actif
depuis avril
> 2008),
> > cliquer sur l'année 2005 pour voir certains des articles
que nous
> avons
> > recopiés de l'ancien site et, ainsi, vous concentrer sur
les
> articles
> > publiés en décembre 2005 et janvier 2006. Le site du Mamba
> > (http://www.lemamba.org) contient également des articles
similaires.
> >
> > Parce que les cellules et représentations du BDP-Gabon
Nouveau sont
> dissoutes
> > depuis décembre 2005, toutes personnes autres que les
personnes
> citées plus
> > haut qui parleraient, à titre officiel, au nom du BDP-Gabon
Nouveau,
> feraient
> > automatiquement preuve d'imposture. Par ailleurs, toutes
les
> personnes qui
> > parlent au nom du mouvement ne le font pas sur les forums,
mais au
> travers de
> > communiqués de presse publiés sur notre site
> (http://www.bdpgabon.org) à
> > titre OFFICIEL. Sur les forums et ailleurs, les membres
connus du
> BDP-Gabon
> > Nouveau expriment leurs opinions personnelles en tant que
citoyens,
> mais ces
> > opinions n'engagent aucunement le mouvement. Parce
qu'un
> mouvement
> > n'est pas forcément monolithique dans sa pensée, chacun
peut
> être libre
> > de ses opinions sans toutefois remettre en cause les grandes
lignes de
> > l'idéologie de libération nationale du BDP-Gabon
Nouveau, qui
> demeure le
> > socle qui unit tous les partisans du changement véritable,
sans
> particularisme
> > ethnique, sans repli identitaire et sans distinctions de
sexe, de
> race ou
> > d'origine.
> >
> > La pensée officielle de notre mouvement reste donc
clairement
> exprimée dans
> > les divers articles et documents publiés sur notre site dans
la
> rubrique ayant
> > trait aux activités du BDP-Gabon Nouveau
> > (http://www.bdpgabon.org/articles/category/bdp/; voir aussi
archives,
> site 1:
> > http://www.bdpgabon.org/index1.shtml et archives site 2:
> > http://www.bdpgabon.org/archives/). Notre devise demeure :
"
> Bongo Doit
> > Partir, par tous les moyens possibles, pour la construction
d'un
> Gabon
> > nouveau ". Ce combat de libération nationale interpelle
tous les
> fils et
> > filles du Gabon et amis du Gabon qui pensent et disent que
"
> Bongo Doit
> > Partir ", toutes ethnies et toutes tendances confondues.
> >
> > Ainsi :
> >
> > - que l'on soit Téké, Punu, Fang, Myéné ou autre, si
l'on
> pense
> > que " Bongo Doit Partir, par tous les moyens possibles,
on est
> forcément
> > du BDP-Gabon Nouveau.
> > - Que l'on soit du BDP, de l'UPG, du PDG, du RDPG, du
FUCR ou
> de tout
> > autre partie ou structure politique, si l'on pense que
"
> Bongo Doit
> > Partir, par tous les moyens possibles, on est forcément du
BDP-Gabon
> Nouveau.
> > - Que l'on dirige une association, une entreprise, une
famille ou
> une
> > administration, si l'on pense que " Bongo Doit
Partir, par
> tous les
> > moyens possibles, on est forcément du BDP-Gabon Nouveau.
> >
> > Telle est l'idéologie BDP, c'est-à-dire le point de
pensée
> et de
> > ralliement qui, s'étalant au-delà des personnes, des
partis et
> des
> > ethnies, affirme les principes rassembleurs du " Gabon
> d'abord "
> > et les projette dans un engagement politique qui, parce que
partagé
> par la
> > majorité agissante ou silencieuse, pose comme condition
principale du
> > changement au Gabon le départ immédiat d'Omar Bongo du
pouvoir.
> >
> > A titre de résumé, donc, voici la structure actuelle du
mouvement:
> >
> > - Président du BDP-Gabon Nouveau
> > > Dr. Daniel Mengara
> >
> > - Comité Directeur
> > > (Clandestin, USA)
> >
> > - Coordination Nationale
> > > (Représentation officielle, Gabon)
> >
> > - Le Mamba
> > > (Branche militaire, clandestin)
> >
> > - Porte parole politique
> > > Dr. Bruno Ella Nguéma
> >
> > - Porte parole militaire
> > > Mr. Curtis Bezauna
> >
> > - Et un certain nombre de structures clandestines impliquées
dans la
> > préparation du combat insurrectionnel annoncé en décembre
2005.
> >
> > Toutes les personnes ayant occupé des fonctions officielles
au sein
> du
> > BDP-Gabon Nouveau restent, certes, membres de droit du
BDP-Gabon
> Nouveau (sauf
> > si démissionnaires), mais leurs opinions, en tant que
citoyens libres
> de leurs
> > opinions, n'appartiennent qu'à eux et n'engagent
> aucunement le
> > BDP-Gabon Nouveau.
> > Au moment opportun, le BDP-Gabon Nouveau réactivera ses
> représentations de
> > par le monde. Pour le moment, notre stratégie vise
principalement la
> > préparation et à la consolidation de l'action
clandestine autour
> de
> > l'idéologie du combat de libération nationale. Au
moment qui
> nous
> > paraîtra opportun, nous solliciterons de nos membres
(anciens et
> nouveaux) la
> > réactivation OFFICIELLE des cellules BDP (nouvelles ou
anciennes),
> soit sur la
> > base de leur importance stratégique, soit dans le cadre
global
> d'une
> > politique de réofficialisation des cellules et
représentations
> nationales et
> > internationales du BDP-Gabon Nouveau. Dans ce contexte, des
> communiqués seront
> > faits pour officialiser ces activations ou réactivations.
> >
> > Evidemment, les adhésions individuelles de membres
continuent
> activement et
> > sans interruption (voir cette page :
> http://www.bdpgabon.org/adhesion/). Les
> > personnes qui aujourd'hui adhèrent au BDP-Gabon Nouveau
le font
> soit comme
> > membres de la structure politique (clandestine ou
officielle), ou
> alors comme
> > combattants au sein du Mamba (structure clandestine). Etre
membre
> combattant du
> > Mamba fait automatiquement du combattant un membre du
BDP-Gabon
> Nouveau.
> >
> > Chaque Gabonais ou chaque membre du BDP-Gabon Nouveau (au
Gabon ou
> dans la
> > diaspora) est libre de créer une cellule de réflexion BDP
dans son
> quartier,
> > sa région, sa province, sa ville ou son pays de résidence.
Le
> responsable
> > d'une cellule ainsi créée se doit d'en informer la
direction
> du
> > mouvement pour qu'elle prenne acte de son existence.
Toutes les
> cellules
> > actuelles ou nouvelles gardent, toutefois, un caractère
officieux. Le
> BDP-Gabon
> > Nouveau décidera du moment où, pour raisons stratégiques
ou autres,
> il
> > procédera à l'officialisation des cellules à titre
spécial ou
> général.
> >
> > Le combat insurrectionnel reste d'actualité et sa
préparation
> continue.
> > Comme nous l'avions dit sur cette page du site du Mamba
en 2005
> > (http://www.lemamba.org/content/view/46/67/), quand le Mamba
sera
> prêt à
> > commencer ses activités insurrectionnelles, un ultimatum de
deux
> semaines sera
> > lancé. Cet ultimatum aura pour but, d'une part, de
laisser le
> temps aux
> > populations gabonaises de s'organiser en faisant des
provisions,
> et
> > d'autre part, aux membres du régime Bongo qui veulent
rejoindre
> le camp de
> > la réforme d'en faire la démarche. Une fois les deux
semaines
> > d'ultimatum passées, le Mamba pourra, dès lors, lancer
le début
> de la
> > phase insurrectionnelle, au moment de son choix.
> >
> > Comme le BDP-Gabon Nouveau l'a toujours dit, rien de bon
ne peut
> plus se
> > passer au Gabon tant qu'Omar Bongo sera au pouvoir. Le
changement,
> > contrairement à ce que disent les chantres de la
convivialité et des
> > rapprochements avec Bongo, ne viendra pas au Gabon par les
urnes.
> Seule une
> > stratégie insurrectionnelle viendra à bout du bongoïsme au
Gabon.
> > L'insurrection, que l'on le veuille ou non, se fera
au Gabon,
> même si
> > pour cela le BDP-Gabon Nouveau doit pactiser avec le diable.
Ce
> n'est donc
> > pas une question de "si", mais plutôt une question
de
> > "quand".
> >
> > Fait à Montclair, New Jersey (USA), le 12 septembre 2008
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