[BDPalabres] Re : Que veut dire ce charabia ?

Patitpierre protected at aol.com
Lun 24 Nov 21:53:51 EST 2008


Toujour  la méme litanie les mémes affaires  que vous reprocher a bongo, je doute fort que si vous etiez au pouvoir  qu il y aurrait des téké ou banba dans votre gouvernement  100% fang  voila 40 ans que les pahoins  sont dans le gouvernement car avec bongo y en a plein lui n es pas tribaliste  est na jamais crue que les téké  detener la science infuse  la preuve y a de tous pounou  fang , téké , obanba  etc.. facile de dire ONT FERA  lui en attendant  IL FAIT  je ne souhaite pas ce gros pouf ! d ali au commande sa serait idi amin + bokassa  allez sur place faite voir au peuple  que vous en " avez " le peuple lui suit ceux qui disent suivez moi , est non ceux qui dise en avant  est reste sur place ? svp changer de disque ou de cd  cela fatigue de lire toujour les mémes histoires  en boucle  donc a bientot a libreville 
un fang      


-----E-mail d'origine-----
De : bruno ella <protected at wanadoo.fr>
A : bdpalabres at bdpgabon.org
Envoyé le : Jeudi, 20 Novembre 2008 21:37
Sujet : [BDPalabres] Que veut dire ce charabia ?

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QUE VEUT DIRE CE CHARABIA DE TITRE ?

Voici à quoi se résument les activités et la politique d'un régime en manque 
d'idées et d'intelligences : 
Le distribution des bonbons (nominations) aux enfants dans une cour de 
récréation permanente (conseils des ministres).

Voici un exemple au terme d'un conseil d'incompétents : 
Est nommé : Directeur adjoint de cabinet du président de la République, chargé 
des Nouvelles Technologies de l’Information : M. Hervé Fulgence OSSAMI, 
docteur-ingénieur en Télécommunications.

Que veut dire ce CHARABIA en forme de titre ?

Il n'y a qu'au Gabon de bongo que ce genre d'ineptie se conçoit.

Le principal concerné devrait avoir honte s'il était vraiment fier de son cursus 
et de sa formation.=0
D

On se pose toujours la sempiternelle question qui est la suivante :
Entre être intelligent et avoir un CV éloquent il y a un véritable trou noir.

Ou encore comme on dit au village :
Partir d'Atsib-ntsoss ou de Batavia (ou Likouala) et bien faire l'école du blanc 
ne conduit pas forcément à comprendre à quoi ça doit servir car les diplômes des 
blancs fondent rapidement sous le soleil des tropiques.  Aïe !
Cet exemple est une preuve directe.

Quant à ceux qui attendaient le procès du sieur "milliardissime 
docteur-ingénieur brillantissime (pour lui-même) et nullissime (pour le Gabon)", 
ils avaient oublié qu'il s'agissait du clan au dessus des institutions du pays 
Gabon dont, seul, bongo est la genèse.

Félicitons notre "milliardissime docteur-ingénieur brillantissime (pour 
lui-même) et nullissime (pour le Gabon)"
qui vient d'être promu malgré toutes ses erreurs en écritures Logarithmiques et 
en calculs de Potentiels électromagnétiques.

Bravo au clan !

Mais justice se fera bien un jour car un tel contentieux ne peut être dissimulé 
dans toutes les consciences. 
La nature a bien équipé l'être humain d'un outil incroyable : La Mémoire 

Et grâce à la plume, tout est écrit pour être indélébile et donc lisible, même 
après plusieurs générations.

Tsir'Ella - Nguéma
Le 18 no
v. 08 à 17:53, Sylvain Ndong a écrit :

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>
> Réquisitoire contre l’état de léthargie d’une certaine revendication 
gabonaise.
> Par Sylvain Ndong, 16 novembre 2008
>
> Version HTML et photos disponibles ici: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/11/16/gabon-requisitoire-contre-l%e2%80%99etat-de-lethargie-d%e2%80%99une-certaine-revendication-gabonaise/
>
> La plupart des gens préfèrent croire que leurs dirigeants sont justes et 
équitables même en face de preuves du contraire, puisque lorsqu'un citoyen 
reconnaît que le gouvernement sous lequel il vit ment et est corrompu, il doit 
décider de ce qu'il compte faire. Certes, poser des actes face à un gouvernement 
corrompu représente des risques d'atteinte à sa vie ou à celles d'êtres chers. 
0AD'un autre côté, choisir de ne rien faire implique de trahir toute idéologie de 
défense des principes moraux de justice et de vérité qui sous-tendent notre 
existence. La majorité des gens n'ont pas le courage de faire face à ce dilemme. 
Par conséquent, la plupart des discours creux, des intimidations physiques 
(menaces, meurtres, assassinats, emprisonnements, etc.) et autres propagande de 
notre système ne sont pas conçus pour tromper notre esprit critique, mais plutôt 
pour donner aux lâches d'esprit une excuse de ne pas s’engager, ni même penser 
du tout. Ils ont compris le fait que l'opinion publique est la clé. Avec 
l'opinion publique, rien ne peut faillir. Sans elle, rien ne peut réussir. Celui 
qui manipule les opinions est plus important que celui qui applique les lois. Et 
des centaines de millions de francs sont dépensés chaque année pour contrôler 
cette opinion publique. Depuis quarante ans, le résultat est épatant.
>
> Nous devons être le changement que nous voulons voir s’accomplir. Pour cela, 
nous devons nous revêtir de la Justice, lui servir de vêtement, de visage, pour 
les causes que nous croyons justes.
>
> Pourquoi avons-nous peur de sanctionner courageusement nos mauvais dirigeants 
? Les américains ne viennent-ils pas de le faire, par le vote, pour 
l’administration Bush ?
> Pourquoi nous encombrons-nous don
c d’un même mauvais président depuis 40 ans ?
> Pourquoi lui renouvelons-nous donc systématiquement nos votes depuis 1993, 
année depuis laquelle nous avons pourtant le choix entre plusieurs autres 
candidats ?
> Et pourquoi accepterons-nous de lui redonner nos votes dans 3 (trois) ans, en 
2012, lors de sa future réélection préprogrammée ?
>
> Pourquoi, chers compatriotes, pourquoi donc tout ceci ?
>
> Pourquoi devrions-nous toujours accepter qu’une seule même famille, non 
monarchique, aidées de quelques dizaines de personnes corrompues et assimilées, 
s’arroge le droit de brader nos ressources, de compter, d’empocher, de 
distribuer et de dépenser notre argent, de gérer notre patrimoine, de ternir 
notre image dans le monde et de diriger dans la souffrance et le désespoir, le 
million et demi d’autres âmes qui occupent notre vaste territoire ?
>
> Pourquoi devrions-nous toujours accepter cela, chers compatriotes ?
>
> Pourquoi devrions-nous toujours accepter cette loi du silence, qui veut que ce 
groupe de compatriotes zélés, convaincus de leur droit naturel sur nos 
possessions communes, nous impose à chaque fois leurs choix d’hommes et de 
femmes, commis de la gloire personnelle, ainsi que leur vision trompeuse d’une 
gestion partagée et jamais rassasiée d’un patrimoine aussi riche que le nôtre ?
>
> N=E
2y a-t-il pas d’autres intelligences, d’autres personnes, d’autres leaders, 
comme le disait l’ex-secrétaire général des Nations Unies Kofi Annan à propos 
des dictateurs africains, qui soient à même de diriger nos pays ? N’y a-t-il pas 
d’autres familles que celles qui sont au pouvoir au Gabon aujourd’hui, pour 
conduire notre pays vers un avenir meilleur ?
>
> Je le crois. Nous le croyons tous. Sauf bien sûr ceux qui sont aujourd’hui 
derrière le guichet de notre banque nationale. Pour eux, nul besoin de changer, 
en tout cas pas tant que les clés du coffre fort leur seront pourvues. Retraits, 
crédits, tapages, débits illimités et ininterrompus dans la caisse de l’Etat 
depuis 1967. Autant de réprimandes et d’usurpations qui justifient toute sorte 
de manœuvres, d’excès et de délits pour se maintenir au pouvoir. C’est la raison 
pour laquelle, dans cette partie du monde, des hommes et des femmes ont 
l’impression que leur vote ne vaut rien, tant les résultats des scrutins sont 
connus d’avance.
>
> Et pourtant, une autre voie existe, un autre moyen nous est offert pour 
exprimer notre ras-le-bol et envisager le changement que nous désirons depuis 
longtemps pour notre peuple. Cette voie, cette urne, s’appelle LA Justice 
Internationale.
>
> En quarante ans d’exercice d0une fonction aussi exposée que la présidence 
d’une république, les adversaires de notre émancipation auront du mal à 
dissimuler toutes les preuves de détournement, de corruption, de trahison et de 
malversation qui nous poussent ce jour à vouloir changer de dirigeants. Ces 
preuves sont depuis quelques temps maintenant, détenues par certains défenseurs 
de la Justice, qui estiment comme nous que le rubicond de l’inacceptable, dans 
les forfaitures dont se rendent systématiquement coupables les potentats 
africains, est atteint. Mais ces preuves ne sauront être pourvues, ni  même 
laissées trop longtemps à notre merci, par ceux-là mêmes qu’elles accablent. 
C’est la raison pour laquelle il nous faut dès aujourd’hui les inventorier, les 
localiser, les chiffrer et évaluer les conséquences de leur échelonnement sur 
les perspectives envisageables qu’aurait dû connaître l’évolution de notre pays 
dans le cas où elles auraient été mieux utilisées. Ce n’est qu’après cela que 
nous en confierons la traduction sous forme juridique à un avocat qualifié. La 
Justice Internationale, demeurant à ce jour la seule juge crédible et 
incorruptible face aux excès de l’humanité, dira dès lors son Droit. Et ce n’est 
que de cette façon qu’un triomphe véritable pourra être ressenti dan
s la 
conscience de toutes ces familles, ces enfants, ces femmes et ces hommes 
auxquels cette brimade n’a cessée d’être infligée depuis 40 ans. Et nous pouvons 
nous conforter dans cette démarche en faisant un rapide inventaire du tableau 
judiciaire de notre principal dirigeant. Rares sont en effet les procès qui lui 
ont été favorables, dans la longue liste de tous ceux auxquels il a été appelé à 
comparaître que ce soit en tant qu’accusé que partie civile. Deux exemples 
récents :
>
> 1.       Paris, 14 mars 2007. Bongo, ses amis Denis Sassou Ngesso du Congo et 
Idriss Déby du Tchad, deux autres « pointures » d’Afrique Centrale, portent 
plainte contre l’auteur du livre « Noir Silence », François Xavier Verschave, 
pour « offense à chefs d’Etats ». verdict : procès perdu par les trois 
dictateurs.
>
> 2.       Bordeaux, 29 septembre 2008. Le fils de René Cardona, ancien patron 
des Pêcheries de Libreville, porte plainte contre le dictateur gabonais, qu’il 
accuse d’avoir escroqué à son père la somme de 300 millions de FCFA. Verdict : 
procès perdu par le dictateur, qu’on enjoint de s’acquitter de la somme de 
457.347 euros et des intérêts dus depuis 1996, ainsi que les frais de justice.
>
> Dans les villes du pays où il
 a pourtant prêté serment en 1967 et pour les 
intérêts duquel nous avons de bonnes raisons de penser qu’il travaille, la 
Justice Internationale a fait triompher son Droit. Cela devrait donc nous 
instruire, nous pousser et nous convaincre d’envisager une autre manière de 
revendiquer nos droits, en vue d’obtenir une réparation pleine et totale pour 
notre peuple. Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un 
acte révolutionnaire. C’est pour cela qu’une plainte déposée en France, entre 
les mains de la Justice Internationale, représente le seul espoir pour nous 
gabonais pour que justice soit rendue. Et nous sommes de plus en plus nombreux à 
croire à la vertu des petits peuples et à la force du petit nombre. Notre pays 
sera sauvé par quelques uns, de par leur détermination, leur habilité, leur 
intelligence et leur capacité à se servir des forces et des outils que le monde 
mets à notre disposition.
>
> À la lecture du verdict du procès qui l’opposait aux dictateurs africains, 
François Xavier Verschave lança à l’endroit de la jeunesse africaine spoliée : « 
par cette victoire, vous disposez désormais de suffisamment de preuves 
juridiques pour exiger des réparations (…) »
>
> Le nouveau visage de notre pays nous tend un miroir. Saurons-nous nous y 
reg
arder ?
> Mais je sais, comme d’autres avant lui et avant moi, ce message restera lui 
aussi lettre morte.
> La nature ne me jugera de n’avoir néanmoins rien tenté.
>
> Sylvain NDONG
>
> Quelques ouvrages pour nous préparer :
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> Quelques liens Internet pour approfondir notre réquisitoire :
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>    * ACRIMED
>    * ATTAC
>    * Aircrige - Association internationale de recherche sur les crimes contre 
l’humanité et les génocides
>    * Alter-Monde sans frontière
>    * Amnesty International France
>    * CAD-Mali Coalition des Alternatives Africaines Dette et 
développement-Mali
>    * CADTM - Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers Monde
>    * CCFD - Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement
>    * CPCR - Collectif des Parties Civiles pour le Rwanda »
>    * CRID - Centre de Recherche et d’Information pour le Développement
>    * Cellule Françafrique
>    * Cimade
>    * Coalition pour la Cour pénale internationale
>    * Collectif Ressources d’Afrique
>    * Commission d’enquête citoyenne sur le rôle de la 
France dans le génocide 
des Tutsi au Rwanda en 1994
>    * Coordination SUD
>    * Dette odieuse
>    * Dailymotion (rechercher : françafrique, bongo, afrique, dictateurs 
africains, etc.)
>    * FCD - Fédération des Congolais de la Diaspora
>    * Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH)
>    * Globalwitness
>    * Les Amis de la Terre
>    * Ligue des Droits de l’Homme
>    * Myspace Décolonisons
>    * OBSAC
>    * Oxfam France Agir ici
>    * Peuples Noirs Peuples Africains
>    * Plate forme paradis fiscaux et judiciares
>    * Plateforme dette et développement
>    * Publish what you pay / Publiez ce que vous payez
>    * Ressources d’Afrique
>    * Secours Catholique-Caritas France
>    * Sherpa
>    * Stop-Françafrique !
>    * Survie
>    * Transparence-International France








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