[BDPalabres] Re : Que veut dire ce charabia ?
patitpierre at aol.com
patitpierre at aol.com
Ven 21 Nov 00:40:55 EST 2008
Toujour la méme litanie les mémes affaires que vous reprocher a bongo, je doute fort que si vous etiez au pouvoir qu il y aurrait des téké ou banba dans votre gouvernement 100% fang voila 40 ans que les pahoins sont dans le gouvernement car avec bongo y en a plein lui n es pas tribaliste est na jamais crue que les téké detener la science infuse la preuve y a de tous pounou fang , téké , obanba etc.. facile de dire ONT FERA lui en attendant IL FAIT je ne souhaite pas ce gros pouf ! d ali au commande sa serait idi amin + bokassa allez sur place faite voir au peuple que vous en " avez " le peuple lui suit ceux qui disent suivez moi , est non ceux qui dise en avant est reste sur place ? svp changer de disque ou de cd cela fatigue de lire toujour les mémes histoires en boucle donc a bientot a libreville
un fang
-----E-mail d'origine-----
De : bruno ella <protected at wanadoo.fr>
A : bdpalabres at bdpgabon.org
Envoyé le : Jeudi, 20 Novembre 2008 21:37
Sujet : [BDPalabres] Que veut dire ce charabia ?
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QUE VEUT DIRE CE CHARABIA DE TITRE ?
Voici à quoi se résument les activités et la politique d'un régime en manque
'idées et d'intelligences :
e distribution des bonbons (nominations) aux enfants dans une cour de
écréation permanente (conseils des ministres).
Voici un exemple au terme d'un conseil d'incompétents :
st nommé : Directeur adjoint de cabinet du président de la République, chargé
es Nouvelles Technologies de l’Information : M. Hervé Fulgence OSSAMI,
octeur-ingénieur en Télécommunications.
Que veut dire ce CHARABIA en forme de titre ?
Il n'y a qu'au Gabon de bongo que ce genre d'ineptie se conçoit.
Le principal concerné devrait avoir honte s'il était vraiment fier de son cursus
t de sa formation.
On se pose toujours la sempiternelle question qui est la suivante :
ntre être intelligent et avoir un CV éloquent il y a un véritable trou noir.
Ou encore comme on dit au village :
artir d'Atsib-ntsoss ou de Batavia (ou Likouala) et bien faire l'école du blanc
e conduit pas forcément à comprendre à quoi ça doit servir car les diplômes des
lancs fondent rapidement sous le soleil des tropiques. Aïe !
et exemple est une preuve directe.
Quant à ceux qui attendaient le procès du sieur "milliardissime
octeur
-ingénieur brillantissime (pour lui-même) et nullissime (pour le Gabon)",
ls avaient oublié qu'il s'agissait du clan au dessus des institutions du pays
abon dont, seul, bongo est la genèse.
Félicitons notre "milliardissime docteur-ingénieur brillantissime (pour
ui-même) et nullissime (pour le Gabon)"
ui vient d'être promu malgré toutes ses erreurs en écritures Logarithmiques et
n calculs de Potentiels électromagnétiques.
Bravo au clan !
Mais justice se fera bien un jour car un tel contentieux ne peut être dissimulé
ans toutes les consciences.
a nature a bien équipé l'être humain d'un outil incroyable : La Mémoire
Et grâce à la plume, tout est écrit pour être indélébile et donc lisible, même
près plusieurs générations.
Tsir'Ella - Nguéma
e 18 nov. 08 à 17:53, Sylvain Ndong a écrit :
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Réquisitoire contre l’état de léthargie d’une certaine revendication
abonaise.
Par Sylvain Ndong,
16 novembre 2008
Version HTML et photos disponibles ici: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/11/16/gabon-requisitoire-contre-l%e2%80%99etat-de-lethargie-d%e2%80%99une-certaine-revendication-gabonaise/
La plupart des gens préfèrent croire que leurs dirigeants sont justes et
quitables même en face de preuves du contraire, puisque lorsqu'un citoyen
econnaît que le gouvernement sous lequel il vit ment et est corrompu, il doit
écider de ce qu'il compte faire. Certes, poser des actes face à un gouvernement
orrompu représente des risques d'atteinte à sa vie ou à celles d'êtres chers.
'un autre côté, choisir de ne rien faire implique de trahir toute idéologie de
éfense des principes moraux de justice et de vérité qui sous-tendent notre
xistence. La majorité des gens n'ont pas le courage de faire face à ce dilemme.
ar conséquent, la plupart des discours creux, des intimidations physiques
menaces, meurtres, assassinats, emprisonnements, etc.) et autres propagande de
otre système ne sont pas conçus pour tromper notre esprit critique, mais plutôt
our donner aux lâches d'esprit une excuse de ne pas s’engager, ni même penser
u tout. Ils ont compris le fait que l'opinion publique est la clé. Avec
'opinion publique, rien ne peut faillir. Sans elle, rien ne peut réussir. Celui
ui manipule les opinions est plus important que celui qui applique les lois. Et
es centaines de millions de francs sont dépensés chaque20année pour contrôler
ette opinion publique. Depuis quarante ans, le résultat est épatant.
Nous devons être le changement que nous voulons voir s’accomplir. Pour cela,
ous devons nous revêtir de la Justice, lui servir de vêtement, de visage, pour
es causes que nous croyons justes.
Pourquoi avons-nous peur de sanctionner courageusement nos mauvais dirigeants
Les américains ne viennent-ils pas de le faire, par le vote, pour
’administration Bush ?
Pourquoi nous encombrons-nous donc d’un même mauvais président depuis 40 ans ?
Pourquoi lui renouvelons-nous donc systématiquement nos votes depuis 1993,
nnée depuis laquelle nous avons pourtant le choix entre plusieurs autres
andidats ?
Et pourquoi accepterons-nous de lui redonner nos votes dans 3 (trois) ans, en
012, lors de sa future réélection préprogrammée ?
Pourquoi, chers compatriotes, pourquoi donc tout ceci ?
Pourquoi devrions-nous toujours accepter qu’une seule même famille, non
onarchique, aidées de quelques dizaines de personnes corrompues et assimilées,
’arroge le droit de brader nos ressources, de compter, d’empocher, de
istribuer et de dépenser notre argent, de gérer notre patrimoine, de ternir
otre image dans le monde et de diriger dans la souffrance et le désespoir, le
illion et demi d’autres âmes qui occupent notre vaste territoire ?
Pourquoi devrions-nous toujours accepter cela, chers compatriotes ?
Pourquoi devrions-nous toujours accepter cette loi du silence, qui veut que ce
roupe de compatriotes zélés, convaincus de leur droit naturel sur nos
ossessions communes, nous impose à chaque fois leurs choix d’hommes et de
emmes, commis de la gloire personnelle, ainsi que leur vision trompeuse d’une
estion partagée et jamais rassasiée d’un patrimoine aussi riche que le nôtre ?
N’y a-t-il pas d’autres intelligences, d’autres personnes, d’autres leaders,
omme le disait l’ex-secrétaire général des Nations Unies Kofi Annan à propos
es dictateurs africains, qui soient à même de diriger nos pays ? N’y a-t-il pas
’autres familles que celles qui sont au pouvoir au Gabon aujourd’hui, pour
onduire notre pays vers un avenir meilleur ?
Je le crois. Nous le croyons tous. Sauf bien sûr ceux qui sont aujourd’hui
errière le guichet de notre banque nationale. Pour eux, nul besoin de changer,
n tout cas pas tant que les clés du coffre fort leur seront pourvues. Retraits,
rédits, tapages, débits illimités et ininterrompus dans la caisse de l’Etat
epuis 1967. Autant de réprimandes et d’usurpations qui justifient toute sorte
e manœuvres, d’excès et de délits pour se maintenir au pouvoir. C’est la raison
our laquelle, dans cette partie du monde, des hommes et des femmes ont
’impression que leur vote ne vaut ri
en, tant les résultats des scrutins sont
onnus d’avance.
Et pourtant, une autre voie existe, un autre moyen nous est offert pour
xprimer notre ras-le-bol et envisager le changement que nous désirons depuis
ongtemps pour notre peuple. Cette voie, cette urne, s’appelle LA Justice
nternationale.
En quarante ans d’exercice d’une fonction aussi exposée que la présidence
’une république, les adversaires de notre émancipation auront du mal à
issimuler toutes les preuves de détournement, de corruption, de trahison et de
alversation qui nous poussent ce jour à vouloir changer de dirigeants. Ces
reuves sont depuis quelques temps maintenant, détenues par certains défenseurs
e la Justice, qui estiment comme nous que le rubicond de l’inacceptable, dans
es forfaitures dont se rendent systématiquement coupables les potentats
fricains, est atteint. Mais ces preuves ne sauront être pourvues, ni même
aissées trop longtemps à notre merci, par ceux-là mêmes qu’elles accablent.
’est la raison pour laquelle il nous faut dès aujourd’hui les inventorier, les
ocaliser, les chiffrer et évaluer les conséquences de leur échelonnement sur
es perspectives envisageables qu’aurait dû connaître l’évolution de notre pays
ans le cas où elles auraient été mieux utilisées. Ce n’est qu’après cela que
ous en confierons la traduction sous forme20juridique à un avocat qualifié. La
ustice Internationale, demeurant à ce jour la seule juge crédible et
ncorruptible face aux excès de l’humanité, dira dès lors son Droit. Et ce n’est
ue de cette façon qu’un triomphe véritable pourra être ressenti dans la
onscience de toutes ces familles, ces enfants, ces femmes et ces hommes
uxquels cette brimade n’a cessée d’être infligée depuis 40 ans. Et nous pouvons
ous conforter dans cette démarche en faisant un rapide inventaire du tableau
udiciaire de notre principal dirigeant. Rares sont en effet les procès qui lui
nt été favorables, dans la longue liste de tous ceux auxquels il a été appelé à
omparaître que ce soit en tant qu’accusé que partie civile. Deux exemples
écents :
1. Paris, 14 mars 2007. Bongo, ses amis Denis Sassou Ngesso du Congo et
driss Déby du Tchad, deux autres « pointures » d’Afrique Centrale, portent
lainte contre l’auteur du livre « Noir Silence », François Xavier Verschave,
our « offense à chefs d’Etats ». verdict : procès perdu par les trois
ictateurs.
2. Bordeaux, 29 septembre 2008. Le fils de René Cardona, ancien patron
es Pêcheries de Libreville, porte plainte contre le dictateur gabonais, qu’il
ccuse d’avoir escroqué à son père la somme de 300 millions de F
CFA. Verdict :
rocès perdu par le dictateur, qu’on enjoint de s’acquitter de la somme de
57.347 euros et des intérêts dus depuis 1996, ainsi que les frais de justice.
Dans les villes du pays où il a pourtant prêté serment en 1967 et pour les
ntérêts duquel nous avons de bonnes raisons de penser qu’il travaille, la
ustice Internationale a fait triompher son Droit. Cela devrait donc nous
nstruire, nous pousser et nous convaincre d’envisager une autre manière de
evendiquer nos droits, en vue d’obtenir une réparation pleine et totale pour
otre peuple. Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un
cte révolutionnaire. C’est pour cela qu’une plainte déposée en France, entre
es mains de la Justice Internationale, représente le seul espoir pour nous
abonais pour que justice soit rendue. Et nous sommes de plus en plus nombreux à
roire à la vertu des petits peuples et à la force du petit nombre. Notre pays
era sauvé par quelques uns, de par leur détermination, leur habilité, leur
ntelligence et leur capacité à se servir des forces et des outils que le monde
ets à notre disposition.
À la lecture du verdict du procès qui l’opposait aux dictateurs africains,
rançois Xavier Verschave lança à l’endroit de la jeunesse africaine spoliée : «
ar cette victoire, vous disposez désormais
de suffisamment de preuves
uridiques pour exiger des réparations (…) »
Le nouveau visage de notre pays nous tend un miroir. Saurons-nous nous y
egarder ?
Mais je sais, comme d’autres avant lui et avant moi, ce message restera lui
ussi lettre morte.
La nature ne me jugera de n’avoir néanmoins rien tenté.
Sylvain NDONG
Quelques ouvrages pour nous préparer :
Quelques liens Internet pour approfondir notre réquisitoire :
* ACRIMED
* ATTAC
* Aircrige - Association internationale de recherche sur les crimes contre
’humanité et les génocides
* Alter-Monde sans frontière
* Amnesty International France
* CAD-Mali Coalition des Alternatives Africaines Dette et
éveloppement-Mali
* CADTM - Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers Monde
* CCFD - Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement
* CPCR - Collectif des Parties Civiles pour le Rwanda »
* CRID - Centre de Recherche et d’Information pour le Développement
* Cellule Françafrique
* Cimade
* Coalition pour la Cour pénale internationale
* Collectif Ressources d’Afrique
* Commission d’enquête citoyenne sur le rôle de la France dans le génocide
es Tutsi au Rwanda en 1994
* Coordination SUD
* Dette20odieuse
* Dailymotion (rechercher : françafrique, bongo, afrique, dictateurs
fricains, etc.)
* FCD - Fédération des Congolais de la Diaspora
* Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH)
* Globalwitness
* Les Amis de la Terre
* Ligue des Droits de l’Homme
* Myspace Décolonisons
* OBSAC
* Oxfam France Agir ici
* Peuples Noirs Peuples Africains
* Plate forme paradis fiscaux et judiciares
* Plateforme dette et développement
* Publish what you pay / Publiez ce que vous payez
* Ressources d’Afrique
* Secours Catholique-Caritas France
* Sherpa
* Stop-Françafrique !
* Survie
* Transparence-International France
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