[BDPalabres] Les jours de Jean Ekoga, citoyen français, en tant qu'opposant gabonais, sont désormais comptés.

Sylvain Ndong protected at gmail.com
Dim 21 Sep 11:39:54 EDT 2008


Monsieur Siméon Jean Francis Ekoga,

 

Permettez de vous dire que vous êtes tout simplement ridicule !

 

Primo : qu'est-ce qui vous permet d'affirmer que la photo montrée ci-dessous est la vôtre ? L'identification faciale que fera vos amis des services de renseignement français vous diront qu'ils ne pourront pas attester que c'est bien monsieur Jean Ekoga qui est sur cette photo. Votre droit à l'image est de ce fait caduc ; restera seulement l'interrogation et la révélation qui l'accompagnent, à savoir : êtes-vous Français oui ou non, et si oui, qu'est-ce que vous foutez dans la diaspora politique du Gabon, un pays qui ne vous appartient plus ? A moins que, en tant que gourou du « gang du net », vous ne soyez, comme l'affirment d'ailleurs les cousins Okili depuis Libreville, en service commandé par vos amis et frères français qui exploitent nos ressources et qui vous payent, en plus de vos maigres pitances de gardien de nuit, pour surveiller et dénoncer toute velléité oppositionnelle gabonaise hors de nos frontières. En tout cas, les révélations, que nous sommes en train d'engranger, sonneront le glas de votre pseudo opposition. Nous allons révéler à la face du monde votre véritable identité (française) et vous bouteront de ce fait hors de nos registres en tant qu'opposant. Vous êtes bientôt fini mon cher Jean Ekoga Francis, finalement vrai gourou français du « gang du net ». Vous jours d'opposant gabonais sont désormais comptés, car Sylvain Ndong que je suis, gabonais pur jus, entend porter plainte contre vous pour usurpation d'identité, pour vous faire passer depuis 2003 comme un opposant gabonais, alors que vous êtes un citoyen Français enregistré et connu dans les registres de l'Etat français. Vous comptez tromper qui, en tout cas pas moi Sylvain Ndong.

 

Secundo : sur la foi de vos hautes et intelligibles connaissances, doublées de votre sens aigu de l'analyse, vous osez affirmer que c'est Sylvain Ndong, militant et représentant légal de l'UPG, administrateur bénévole de tous les sites Internet de l'UPG, défenseur de première heure des intérêts de l'UPG et de son président Pierre Mamboundou partout où besoin se fait sentir…, qui se cacherait derrière le pseudonyme Verprice. C'est là une parfaite illustration des tares qui accompagnent tous ceux qui n'ont pas poussé très loin leurs études ; ils sont reconnaissables à leurs analyses légères et à leurs conclusions hâtives, dépourvues de toute rigueur scientifique, que seule permet un cerveau qui a longtemps été exercé à la difficulté et à la réflexion poussée. Cela sent mal et même très mal. Cela sent, comme le titrait le journal « Le Nganga » à votre compte il n'y pas longtemps, du narcissisme à front de taureau ; un narcissisme d'ailleurs que les prochaines révélations sur votre véritable identité ne vont tarder de justifier. Monsieur Ekoga, ma vie est claire. Sylvain Ndong que je suis utilisait régulièrement deux pseudonymes ; l'un (Bruno Vécarte), pour mes analyses politiques de la situation de mon pays le Gabon, l'autre (Wongo – Le Guerrier Bantu), pour mes analyses ésotériques des réalités spirituelles des arcanes politiques de mon pays. Ces deux pseudonymes ont été officiellement révélé sur le site de nos compatriotes « Gabonais de la Diaspora » (http://10gabonais.bloguez.com) depuis le début de ce mois. La raison pour laquelle j'ai volontairement choisi de révéler ces pseudos (que vous connaissiez d'ailleurs très bien vous Ekoga) est corollaire à ma volonté de définitivement sortir de l'analyse anonyme, en lui préférant une prise de position claire et visible, sur la base de mon nom propre. Voyez-vous quelque part, après avoir fait cela et sans y être forcé, une logique qui m'emmènerait à emprunter à nouveau un pseudonyme ? Si j'ai envie de critiquer Jean Ekoga, Bongo ou même Sarkozy, je ne vois pas qui sur cette terre m'en empêcherait, à moins de me museler, comme certains savent si bien le faire (sic). Sachez ne pas prendre vos cauchemars pour des réalités cher Jean Siméon, même si vous sentez votre fin d'« opposant gabonais » toute proche.

 

Pour finir, sachez que je mets dès aujourd'hui tout en œuvre, en tant que citoyen Gabonais, de dénoncer votre imposture en tant qu'opposant « gabonais » en France. Nous avons de bonnes chances de penser que vous êtes de nationalité française, et sommes donc en train de tout faire pour le prouver à la face du monde. C'est cette dernière preuve qui mettra définitivement fin à votre job de promoteur officiel du « tourner en rond » dans cette petite diaspora qui tente de s'organiser. Les jeunes Mpongwé de Libreville nous ont dévoilé vos véritables états de service, la suite n'est plus qu'une question de temps ; à moins que, comme pour les biens mal acquis des dictateurs africains, la Françafrique ne vienne là aussi protéger les intérêts d'un de ses agents, en service au sein de la petite diaspora gabonaise, dans laquelle il sème doute, filouterie et confusion, avec pour seul but de l'empêcher de s'organiser, avant d'aller prendre l'enveloppe kaki au palais du bord de mer à Libreville, où l'attendent les « sages conseils » de papa.

 

Vous avez voulu me faire passer pour un malhonnête, en vous faisant passer pour le pauvre Edzodzome Ela, avec qui je n'ai jamais eu de problème. Moi au moins je gagne ma vie en travaillant, mal en, bon en, avec la force de mon cerveau. Mais quand on se retrouve, à votre, dans la situation d'un espion français, à la solde de Libreville, tapis dans l'ombre pour veiller à ce que la diaspora gabonaise tourne indéfiniment en rond, avec des sujets bidons comme « gang du net » « Ovono, Mengara, Okili, Malékou, Ndong… ceci, cela », sans véritable proposition digne d'un aîné pour la jeune génération gabonaise politique en gestation, cela craint le pire. Il n'y a que des aigris, des gens comme vous, sans qualification aucune, qui vivent de petits boulots, que le système a toujours utilisé pour perdurer. Mais votre règne a une fin, il s'appelle imposture.

 

Je n'en ai pas fini avec vous, cher Jean Ekoga, le Français.

 

Sylvain NDONG






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