[BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité mais je ne me sens pas affamé, ni sensible à la corruption!!!

Christian MAYANDJI protected at yahoo.fr
Mar 9 Sep 08:49:55 EDT 2008


Bonjour Marcel,
 
Je suis Ok pour la perception que tu peux avoir des gabonais. Mais permets moi d'insister : la réussite du Dr MENGARA est statistiquement exceptionnelle en France. Je pense qu'il a bien fait de traverser l'Atlantique et aussi qu'il a bien gérer son parcours universitaire.
Je confirme qu'en France, il y a un mur de verre qui amène les diplomés africains - qui l'acceptent - à accepter des emplois sans rapport avec leurs parcours de formation universitaire ou professionnelle. Les autorités françaises et les responsables des partis politiques le reconnaissent. Des organisations citoyennes se sont créé pour lutter contre ce constat, avec un succès mitigé.
Il faudrait que vous sachiez que la discrimination se pratique même à l'université lorsqu'on veut s'orienter vers certaines spécialités. J'ai, pour ma part, eu l'opportunité d'exercer dans certains environnements ou d'être admis dans certains milieux - notamment d'affaires - sans me recommander d'une quelconque autorité gabonaise. J'ai pu mesurer la performance réalisée ainsi que l'isolement.
Il me semble que vous ayez, vu du Gabon, une vision idéalisée des perspectives de parcours des africains diplomés dans les pays occidentalisé : il ne suffit pas de se pointer avec un diplome quelconque pour exercer. J'ia eu l'occasion - en tant que conseiller d'insertion - d'accueillir des medecins qui revenaient des pays de l'Est ou du Proche - Orient et qui étaient réduit à exercer dans les hopitaux comme garçon de salle, aide soignant. Il faut avoir la nationalité française pour accéder à certains niveaux d'emplois ou à certains secteurs d'activités. Cela fait partie des non-dits mais c'est du vécu.
Pourquoi ne pas rentrer chez soi lorsqu'on est confronté à ce genre de situation?
Les marges de manoeuvres ne sont pas les mêmes. Il est soit possible de travailler de manière informelle, soit de travailler à son propre compte notamment lorsqu'on est résident.
L'essentiel est de trouver le bon créneau susceptible de générer de la clientèle. Il y a aujourdhui quelques gabonais qui se sont orienté vers cette perspective et qui s'en sortent tant bien que mal et certainement mieux qu'au Gabon. Notre préoccupation est de transformer l'essai et de rattrapper le retard que nous avons pris par rapport à certains de nos compatriotes de l'Afrique centrale ou de l'Ouest en matière d'initiative privé.
Notre point faible est que nous ne pouvons pas travailler avec notre pays d'origine - à l'import ou à l'export - avec autant d'efficacité que les ressortissants des autres pays africains ou d'ailleurs. Alors, nous sommes obligés d'aller prospecter dans ces pays pour mainternir un certain niveau d'activité. Je vous invite à relire l'échange récent (Dimanche 07-09) que Mme Félicité Vincent et moi avons partagé sur cette question.
Le but de ma dernière contribution était de montrer que derrière la précarité, il y avait des hommes et des femmes responsables qui recherchent des nouvelles opportunités - des pionniers - avec plus ou moins de bonheur. Certains d'entre eux - comme moi - n'hésitent pas à investir pour leur pays, leur famille ou tout simplement eux-mêmes. Souvent ces investissements sont gachés ou liquidés du fait du manque de maturité de ceux qui en bénéficient. Cela ne nous décourage pas pour autant. Nous attendons simplement de la reconnaissance et du respect. Nous estimons qu'il est injuste de nous stigmatiser ou nous disqualifier.
En reponse à votre suggestion de rentrer au Gabon et faire l'agriculture, je fais partie des personnes qui sont interessées par le développement des activités des fruits et légumes au Gabon. Cela est d'autant plus interessant qu'il y a des perspectives de développement commercial dans nos pays de résidence. J'ai l'intention de venir suivre une formation à l'IGAD et de m'y atteler. N'hésitez pas à encourager le maximum de Gabonais susceptibles de s'interesser à ce type d'activité ou aux activités de valorisation du bois en mobilier. Il y a quelques débouchés internationaux pour ce type de produits.
J'espère avoir clarifié ma contribution initiale et vous adresse mes meilleures salutations.
Cordialement.
 
MANGASS TTC
Christian MAYANDJI
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EUROPE - AFRIQUE
 


--- En date de : Mar 9.9.08, Marcel Mabongo <protected at yahoo.com> a écrit :

    De: Marcel Mabongo <protected at yahoo.com>
    Objet: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité mais je ne me sens pas affamé, ni sensible à la corruption!!!
    À: bdpalabres at bdpgabon.org
    Date: Mardi 9 Septembre 2008, 2h45

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    Monsieur Mayandji,

    Je ne crois pas que la "réussite" du Dr. Daniel Mengara soit
    exceptionnelle comme vous dites. Ce qui est exceptionnel c'est plutôt la
    superstition avec laquelle nous abordons la réussite. c'est plutôt le
    Gabonais qui est EXCEPTIONNEL car nous entourons l'idée de réussite de
    tellement de superstition que cela devient incompréhensible pour nous de
    comprendre que "réussir" c'est aussi comme en politique une
    question de convictions bien assises. Qu'est-ce qu'il y a de sorcier,
    par exemple, dans la réussite du Dr. Daniel Mengara? Quand on vit dans les pays
    occidentaux et qu'on voit les autres réussir, on prend cela pour de la
    sorcellerie alors que la réussite est tout simplement une question de bien
    comprendre son environnement, et donc de s'y adapter avec des idées et
    objectifs précis. Et on commnce même à accuser, à tort ou à raison, les
    autres de racisme. Il y a pourtant une solution simple au racisme français dnt
    vous parlez: au lieu pour le Gabonais de rester en France et subir le racisme en
    travaillant comme éboueur avec son doctorat en poche, il peut rentrer chez lui
    et faire le même travail d'éboueur et se la fermer. Ou alors aller planter
    la banane au village.

    Nous Gabonais, nous avons l'habitude d'être assisté dans nos
    "réussites", alors on finit par ne plus savoir reconnaître les
    valeurs de travail, d'effort, de créativité et de dignité qui mènent à
    la réussite. Pourtant la précarité elle-même est une notion à relativiser.
    le problème des Gabonais est que, habitués à l'assistanat, ils ne savent
    pas ce que c'est que se contenter du peu qu'ils ont. Quand un Gabonais a
    un diplome ou se trouve une voix politique, sa première réaction c'est le
    poste budgétaire (pour le diplomé) ou le parachutage au poste de ministre
    (opposition alimentaire). le Gabonais ne sait pas penser en dehors du poste
    budgétaire ou de la nomination politique. Et même quand il s'engage en
    politique, c'est sur calcul. On se fait remarquer et on se vend. Mais
    entretemps, on reste bloqué dans l'attente sans rien faire de sa vie qui
    soit valable ou de nature à nous constituer une vie indépendante.

    Et parce qu'on est habitué aux nominations et à l'assistanat, on
    qualifie de précarité toutes les situations qui, ailleurs, sont des situations
    de dignité. Par exemple, ailleurs, être enseignant, policier, commerçant,
    éboueur, femme de ménage et autres est une carrière que quelqu'un peut
    poursuivre toute sa vie, sans rêver de devenir ministre. Mais au Gabon, parce
    que nous ne savons pas nous contenter de la petite dignité qui vient de nos
    petis boulots, on veut tous devenir  ministres. On a une femme qui bouge plus
    les fesses que les autres dans les groupes d'animation, le mari est
    parachuté ministre. On a un frère ministre, on attend qu'il nous nomme
    facteur dans son administration. Entretemps, on s'asseoit et on attend, la
    tête dans les mains. Ces attentes finissent par créer l'immobilisme et le
    manque d'efforts. On attend étenellement le poste budgétaire. Combien de
    gabonais diplomés sont au chomage aujourd'hui (donc dans la précarité)
    alors qu'ils peuvent aller vivre au village et planter des bananes à vendre
    sur le marché? Au Gabon, l'argent a une odeur. On préfère chomer avec un
    diplome qu'aller au village planter la banane.

    Il faut donc éviter de trop simplifier la notion de précarité. N'est pas
    précaire la personne qui, avec son petit boulot ou son petit commerce,
    s'organise pour vivre dans la dignité et se contente du fruit de son effort
    gagné dignement tout en évitant les parachutages qui crééent l'esprit de
    dépendance et d'assistanat. Le Gabonais est une race à part. Ce n'est
    pas dans Mengara qu'il faut chercher l'exception, mais dans le Gabonais.
    Je crois que c'est dans le conditionnement du bongoïsme qu'il faut
    aller chercher la cause de ces comportements de superstition. nous sommes
    tellement bien habitués à cet état des choses qu'au Gabon comme dans la
    diaspora, ce sont les mêmes tares qu'on retrouve, et auniveau de tout le
    monde, qu'on soit intellectuel ou pas. Voilà pourquoi certains ne
    comprennent pas que le Dr. Daniel Mengara, content et satisfait de sa situation,
    ne rêve pas de devenir ministre ou président au Gabon. Les superstitieux
    l'accuseront toujours de faire du bruit pour se faire remarquer pour devenir
    ministre ou autre. Mengara aura beau démontrer par A à Z que son emploi est
    stable et garanti pndant 30 ans encore aux USA, les superstitieux ne peuvent pas
    s'enlever de la tête qu'un Gabonais ne puisse pas être tenté par les
    postes de ministres, même quand il est Professeur dans un pays où les
    Professeurs d'université sont bien traités comme aux USA.
    C'est là que se trouve le vrai mal, monsieur Mayandji.
    J'ai lu un jour un texte du Dr. Mengara expliquant pourquoi,
    mathématiquement, il ne rêve pas du poste de ministre. Mengara avait dit,
    d'aillerus comme dans la vidéo, que audn il fait le calcul de son salaire
    de professeur sur les 20 ans qui viennent et le poste de ministre sur disons 5
    ans (sauf si on est ministre à vie), il préfèrerait rester Professeur.
    J'avais compris ce calcul. Je vais essayer de vous faire une description
    simple de ce qu'il avait expliqué. Imaginons que le ministre gabonais gagne
    15 millions de F CFA par mois et Mengara 3 millions de F CFA par mois. Vu que le
    poste de ministre n'est pas éternel, même au Gabon, on peut supposer que
    le ministre, sur 5 ans va gagner 75 millions en tout. Le Dr. Mengara, avec ses 3
    millions, sur 25 ans, va gagner 75 millions. A moins d'être ministre à
    vie, qu'est-ce qui va faire que Mengara puisse vouloir devenir ministre,
    selon vous, alors qu'il vit dans un pays où il peut se soigner et où sa
    retraire est assurée? Ces chiffres, qui ne sont que des chiffres inventés pour
    la démonstration, sont importants pour comprendre pourquoi l'état
    d'esprit d'un homme sorti de la superstition comme Mengara peut être
    satisfait de sa vie. je ne sais pas le salaire mensuel du Dr. Mengara, mais je
    pense que ce cacul devrait vous montrer pourquoi c'est nous les  Gabonais
    qui devons sortir de la superstition. Je vois en Mengara un homme fier de gagner
    sa vie là où il est, se contente du fruit de son labeur intellectuel, sans
    plus. Et pour nous rous, c'est un exemple à suivre, quelque sit le niveau
    de vie que nous menons. L'éboueur gabonais qui gagne sa vie en France même
    avec un doctorat doit savoir se contenter de son boulot et en tirer de la
    fierté, au lieu de rêver de devenir ministre. Peut-être que, comme les
    autres, il auar, après 20 ans, si bien appris le boulot qu'au lieu
    d'attendre le poste budgétaire de Bongo, il peut créer une entreprise
    d'éboueur en France ou au Gabon et gagner des millions comme chef
    d'entreprise, grace à l'expérience acquise, même sans diplome.
    C'est ce blocage de la "ministrabilité collective" qui nous
    immobilise dans l'assistanant et l'attentisme qu'il nous faut
    combattre. Mengara n'est une exception que parce qu'il est sorti du
    carcan mental qui nous fait croire que réussir est une affaire de magie ou de
    superstition.

    Marcel

    Christian MAYANDJI wrote:
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    >
    >
    > Bonjour Jean,
    > Bonjour mes chers compatriotes,
    >  
    > Je n'ai pas créé de partis politiques. Comme militant, j'ai
    été et reste un second couteau. Je me sens encore engagé politiquement pour
    le changement bien que je me sois interdis de m'encarter dans une autre
    organisation politique. Je fais partie des personnes (femmes et hommes) qui
    vivent dans la précarité en France et au Gabon. Même lorsqu'il
    m'arrive d'avoir faim, je ne ressens pas le besoin de demander au
    "système..." de pourvoir à ma pitance. Je suis en plein milieu de
    l'âge critique (40-45 ans). Cela va peut-être arriver bientôt : avec
    d'autres personnes vivant dans la même situation, nous allons bientôt
    sauter le pas et nous "rapprocher". C'est presque logique, et
    même mécanique!!! Oh non, cela ne va pas m'arriver. Je ne suis pas un
    leader politique! Je n'ai pas créé de partis! Dieu merci!...
    >  
    > En fait, il faut rappeller que la conscience politique est le produit
    d'un parcours mais aussi d'une volonté personnelle. Tout être humain
    doit faire des choix. Pourquoi se laisser entrainer par la pression familiale?
    cela n'est-il pas un pretexte? Quand on a des enfants (3 au compteur), on
    doit les préparer à s'assumer. On doit leur donner de l'instruction,
    des conseils pour s'orienter au mieux professionnellement, pour éviter la
    précarité qu'a connu Papa. Autrement comment puis je penser qu'il
    faille que je conditionne ma vie à l'avenir de mes enfants? De même, pour
    notre conjointe : lorsqu'on veux s'engager politiquement, il faut
    d'abord prendre le temps de la mettre à l'abris des aléas de notre
    engagement politique. Cela suppose qu'il faut l'aider à se former ou à
    se récycler professionnellement, puis à trouver un emploi stable. Il faut
    s'assurer qu'elle puisse subvenir à ses besoins ou à ceux de sa
    famille, notamment dans le cas où on viendrait à se rendre incapable
    (juridiquement, mentalement ou physiquement) ou à disparaitre temporairement
    (prison) ou définitivement (mort).
    > Et puis, tout le monde sait que la politique au Gabon (en Afrique) ne
    nourrit pas son homme lorsqu'on est dans l'opposition. Faut-il pour
    autant disqualifier tous ceux qui en font de ce côté de la barrière du fait
    qu'ils ne justifie pas de carrières stable au plan professionnel. Faut-il
    s'interdire de s'engager politiquement, notamment dans l'opposition?
    C'est ce que j'ai cru pendant longtemps, jusqu'à ce que je sois
    victime d'une intoxication alimentaire au restaurant du campus de
    l'université Omar Bongo (1988-1989) qui a failli me coûter la vie. A
    partir de ce jour, j'ai compris que je ne devais plus laisser à
    d'autres le soin de défendre mes intérêts. Il fallait que je fasse partie
    de la melée. Surtout, il ne faut pas se permettre la moindre complaisance avec
    la négligence, le laisser-aller. Autrement, nous nous trouvons atteint, même
    dans un environnement où nous nous sentons protégé, à l'abris de tous
    les remous extérieurs.
    > Non, je ne crois pas que la légitimité de l'engagement politique -
    notamment dans l'opposition - se mesure à l'aune de la stabilité ou de
    l'indépendance financière. A vrai dire, un militant de l'opposition
    n'a rien d'autre que la force de sa conviction - comme capital - au
    moment où il s'engage. Tout au long de son parcours, il doit apprendre à
    se détacher des contingences matérielles. Même lorsque la conjoncture lui est
    politiquement et financièrement favorable, il doit comprendre que tout ceci
    peut disparaitre du jour au lendemain. Il doit se tenir prêt à (re)partir au
    combat si jamais il a cru, un seul instant que ce combat avait cessé.
    >  
    > Un militant politique - à plus forte raison, un leader de parti - doit
    être à la fois un visionnaire et un homme pragmatique. Il doit être savoir
    dans quelle direction il faut se projetter et le faire savoir aux autres. Il
    doit aussi être capable de mettre en place cette organisation qui permette de
    mobiliser les moyens pour atteindre les objectifs fixés. Il doit être capable
    de (re)motiver son groupe. Je vous invite à revoir les parcours de Charles de
    Gaulle à Londres, Fidel Castro au Mexique, Mao Tsé Toung, Nelson Mandela, et
    bien d'autres.. En fait et dans les environnements ou les institutions ne
    leur font pas de place, les "opposants" sont des personnes qui se
    mettent en rupture avec le système en place et acceptent de rentrer dans la
    précarité. C'est l'essence même de leur combat : ils en acceptent les
    conditions parce qu'ils sont motivés par des valeurs non négociables.
    >  
    > Juste un point concernant les petits boulots en France : j'ai été
    ouvrier du batiment, manoeuvre dans une entreprise de logistique, enseignant
    d'économie dans un lycée privé, back ou middle office en milieu bancaire,
    conseiller d'insertion professionnelle,.. La palette des métiers que les
    expatriés en France sont appelés à exercer est très large. Elle ne dépent
    pas de leur bonne volonté, ni de leur formation initiale. Il y a des
    barrières, des sortes de "mur de verre" qui sont placés pour bloquer
    leurs parcours et à les maintenir dans des conditions de subordination. Il
    n'y a pas beaucoup d'africians diplômés qui, en France, exercent un
    emploi en rapport avec leurs diplomes universitaires et cela ne dépent pas du
    mérite.
    > Il y a quelqu'uns d'entre nous qui passent à travers les gouttes.
    Cela peut être du au hasard des opportunités, ou au toupet!!! Quelques uns
    cèdent à la facilité en acceptant certaines humiliations pour conserver leurs
    emplois. Je vous laisse imaginer car je suis trop pudique pour vous décrire
    certaines situations.
    > Nous avons de l'admiration pour le docteur Mengara et avons presque
    tous envie de tenter notre chance aux USA. Mais nous restons réalistes. Les USA
    ont leurs lots de misère et d'échec. Le docteur MENGARA fait partie de
    ceux qui ont réussi à passer entre les gouttes. Peut - être pourra-t-il
    expliquer à ceux de ses compatriotes qui le veulent comment s'y prendre?
    Simplement, il faut prendre cette situation comme elle est : EXCEPTIONNELLE!!!
    > Dans ces conditions, pourquoi les précaires ne rentrent-ils pas tout
    simplement au pays pour partager le quotidien des autres? Après tout, le hasard
    des rencontres peut nous emmener à bénéficier d'un décret...C'est un
    peu le serpent qui se mord la queue!!! La force de l'expatriation, c'est
    la multiplicité des opportunités. Surtout, lorsqu'on a atteint un certain
    niveau d'intégration et qu'on a tiré les leçons de la précarité.
    > On peut s'enfoncer dans la précarité et finir dans la misère. Dans
    la précarité, on peut également à mieux gérer sa vie, à faire les bons
    choix et même à anticiper l'avenir ou ses risques. La précarité peut
    dévenir une école où on apprend à dévenir indépendant mentalement et sur
    d'autres plans. La précarité est une expérience où on apprend soit à
    épargner pour dfaire face, dans l'avenir, à des dépenses courantes.
    C'est une expérience où on apprend à faire des choix
    d'investissements. la précarité est une expérience au cours de laquelle
    on découvre où et comment il faut mobiliser des ressources financières et
    comment les faire fructifier. C'est une expérience au cours de laquelle
    nous découvrons que les gabonais peuvent vivre d'autre chose que de
    l'or noir (petrole) : par exemple, en développant et en exportant sa
    production agricole par des moyens privés et notamment vers des circuits de
    ventes labellisés.
    > La précarité s'apparente moins à la boîte de pandore qu'à
    l'auberge espagnole. Il faut avoir des convictions fortes et une conscience
    claires de ses orientations. Notre principal regret - nous autres qui sommes
    dans la précarité en France - est de vivre le fait que ce sacrifice ne soit
    pas reconnue comme une expérience qui peut être source de richesses pour nos
    compatriotes restés au Gabon. Comment peut on exprimer le choc que nous
    ressentons lorsque nous prennons connaissance du gachis qui est fait au Gabon
    avec nos "vieilles voitures d'occasion" expédiés, nos maigres
    ressources financières si durement gangées et  expédiées pour construire la
    "petite maison de retraite" ou pour recevoir "nos compagnons de
    combat", nos tronçonneuses pour couper le bois...
    > En fait, autant nos compatriotes du Gabon peuvent nous percevoir comme des
    potentiels "affamés", autant nous autres précaires les percevons
    comme des "éternels inconséquents". Mais tout cela n'est que
    caricature. Essayons de découvrir ensemble ce qui se cache derrière ces
    jugements de valeurs. Peut - être que nous finirons par trouver quelques
    solutions pour que les leaders politiques, les seconds couteaux, ou les
    militants de base ne se sentent plus tentés d'aller "à la
    soupe".
    > Cordialement.
    > MANGASS TTC
    > Christian MAYANDJI
    > Démarches-Gestion
    > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES 
    > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
    >  CONVOYAGE EXPLOITATION
    > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
    > EUROPE - AFRIQUE
    >  
    >
    >
    > --- En date de : Sam 6.9.08, Jean Bika <protected at yahoo.com> a
    écrit :
    >
    >     De: Jean Bika <protected at yahoo.com>
    >     Objet: [BDPalabres] Re: Alliance UPG / RDPG: Les fanfarons se
    rejoignent
    >     À: bdpalabres at bdpgabon.org
    >     Date: Samedi 6 Septembre 2008, 19h56
    >
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    >     Belle analyse, Placide.
    >
    >     Quelle déchéance pour l'UPG, vraiment. Dire que c'était un
    parti
    >     d'avenir. Maintenant, e être réduit à s'attaquer au BDP sur
    INternet,
    >     c'est grave.
    >     Il ya une autre dimension qu'on oublie souvent dans la politique
    gabonaise.
    >     Les oppositions de notre pays semblent toujours souffrir de la même
    maldaie
    >     dès qu'isl atteignent un certain âge. Rappelez-vous d'Oyono
    Abaga qui
    >     avait rejoint Bongo ouvertement en donnant comme raison qu'il
    allait mourir
    >     et il avait besoin de laisser de l'argent à ses enfants. J'ai
    >     l'impression que passé 50 ans, l'age limite de
    l'espérance de vie
    >     au Gabon, nos opposants changent souvent d'avis et commencent à
    penser à
    >     ce qu'ils vont laisser à leurs enfants. je pense que les
    pressions
    >     familiales deviennent souvent très fortes  pour eux, du genre
    "pourquoi tu
    >     continues à faire de la olitqieu alors que nous on meurt de faim?
    Qu'est-ce
    >     que l'opposition t'a apporté jusqu'à présent? Penses à
    ta
    >     famille, à tes enfants, est-ce que tu vas mourir sans leur laisser
    quelque
    >     chose?
    >     Et c'est là que nos opposants se fatiguent. Ils vivent dans la
    précarité
    >     et quand passé 50 ans, ils voient qu'ils n'ont rien,
    c'est
    >     l'àge où ils commencent à penser à eux-mêmes.
    >     Les changements de Mamboundou s'espliquent par ça, à mon avis.
    Il se
    >     positionne pour au moins finir sa vie avec quelque chose pour ses
    enfants. La
    >     bougeotte de tous les vieux politicards du pays vient de là. Il est
    possible de
    >     prédire si un opposant va trahir ou non en fonction de son age. Entre
    30 et 45
    >     ans, ils sont souvent virulents. A 45 ans ou plus, ils se fatiguent.
    >     Mais tout ça est dû à la précarité. Très peu d'opposants
    gabonais
    >     s'assument dans des filières ou carrières indépendantes. En
    dehors du Dr.
    >     Daniel Mengara, je ne vois aucun autre opposant gabonais leader de
    parti
    >     politique avec une carrière indépendante qui soit capable de la
    garder à
    >     l'abri des tentations du régime. Je ne sais pas si Daniel Mengara
    aussi un
    >     jour va se fatiguer, mais je pense que les hommes qui pourront montrer
    de vraies
    >     carrières conséquentes dans l'avenir sont les hommes en qui on
    pourra
    >     faire confiance. C'est pourquoi il est important de toujours poser
    la
    >     question aux déclarés opposants ce qu'ils font dans leur vie.
    S'ils ne
    >     sont pas hommes d'affaires ou professionnels hors du système
    Bongo,
    >     c'est pas la peine. Ils finiront dans la cour des enfants de
    Bongo. Le vrai
    >     test sera toujours de savoir ce qu'ils faisaient avant la
    politique et si
    >     leur carrière leur permet de rester à l'abri des tentations ou
    des
    >     influences du régime. Par exemple, si on a une carrière qui dépend
    de BOngo,
    >     comme une nomination (comme Mamnoundou à l'ACCT), ce n'est
    pas un
    >     opposant crédible. Si on vit de petit boulots en France sans
    carrière stable,
    >     ce n'est pas un opposant crédible. IL faut que chaque opposant
    soit
    >     capablede montrer en quoi et comment il est financièrement
    indépendant avant
    >     de nous faire du bruit. Il ne suffit pas de montrer qu'on a un
    petit boulot:
    >     il faut montrer que ce petit boulot vous met hors du besoin de la
    corruption.
    >     Voilà pourquoi j'admire lr Dr. Daniel Mengara. Avant de voir sa
    vidé avec
    >     le meeting de Jocktane, je ne savais pas qui il était. J'avais
    souvent
    >     entendu parler du BDP, mais je me désintéressais de ça parce que je
    croyais
    >     que c'était les mêmes vieux affamés. J'ai été surpris
    d'abord
    >     par l'age jeune de Mengara et je suis resté choqué.
    D'habitude on ne
    >     voit pas des jeunes faire autant de bruit et je m'attandais à un
    vieux. Et
    >     quand j'ai vu que Daniel Mengara est Professeur et qu'il
    enseigne depuis
    >     12 ans aux USA, je me suis dit voilà peut-être la personne qui
    changera le
    >     Gabon.
    >     IL faut donc être perspice, je pense et poser cette question aux
    opposants.
    >     Tous les affamés qui tuent le Gabon , même avec des doctorats,
    n'ont pas
    >     eu de carrières indépendantes et sont à la merci de Bongo. Si on ne
    fait rien
    >     avec sa vie, comment peut-on espérer diriger les auttres par
    l'exemple?
    >     Parmi les opposants sur INternet qui ont des partis politiques, Daniel
    Mengara
    >     est le seul avec une vraie carrière. les autres sont des affamés. On
    ne sait
    >     pas ce qu'ils font de leurs vie à part la politique. 
    >
    >
    >     Placide Makanga wrote:
    >     > ___________________________________________________________
    >     > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos
    messages
    >     apparaîtront une fois modérés.
    >     > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez
    tout
    >     simplement aux messages. 
    >     > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page.
    >     > ___________________________________________________________
    >     >
    >     >
    >     >
    >     > Je voudrais, en tant qu'observateur des débats actuels, et
    surtout
    >     parce que je suis l'histoire du BDP depuis sa création en tant
    >     qu'historien, dire quelques mots. Je voudrais surtout apporter une
    autre
    >     percpective, une autre lecture des faits, moins partisane et moins
    folle que ce
    >     que je vois ici.
    >     >
    >     > Bien que je trouve le style utilisé par Papamadi un peu
    repoussant (un
    >     anonyme de plus, mais qu'importe, nous le sommes tous jusqu'à
    preuve du
    >     contraire), j'y trouve quand même de subtiles vérités
    incontournables.
    >     >
    >     > Il y a en effet aujourd'hui quelque chose d'ahurissant
    qui se
    >     passe sur le Net. Une COALITION anti-BDP et anti-Mengara est
    certainement
    >     visible qui me fait loucher un peu. Cet acharnement sur Mengara ne
    peut êre
    >     ignoré quand on voit la conjonction des événements au Gabon.
    >     >
    >     > Un cousin que j'ai dans les milieus=x mamboundistes au Gabon
    m'a
    >     récemment dit qu'il a entendu plusieurs fois Mamboundou, en
    privé comme en
    >     meeting, mentionner le BDP comme un groupe de terroristes qui
    racontent
    >     n'importe quoi sur l'UPG. Mais je mets ce genre de choses sur
    le compte
    >     des rumeurs car tant que je n'ai pas vu une vidéo de Mamboundou
    disant une
    >     telle chose, je ne peux pas y accorder crédit.
    >     >
    >     > Cependant, quand on regarde de près l'évolution des choses
    au Gabon,
    >     il y a une étrange situation qui ne devrait pas nous échapper.
    >     >
    >     > 1) Les déclarations de Mamboundou se sont multipliées ces
    derniers temps
    >     qui montrent très clairement un rapprochement avec Bongo. Je ne
    reviendrai pas
    >     sur l'histoire des Hummers, qui est déjà avérée. Je laisse les
    >     spéculateurs en faire ce qu'ils veulent. Par contre, ce qui
    >     m'intéresse ce sont les déclarations très publiques de
    Mamboundou, qui ne
    >     cachent plus ce rapprochement. Un exemple révélateur: lors de sa
    dernière
    >     conférence de presse, Mamboundou, chef de l'opposition gabonaise,
    a avec
    >     grande pompe annoncé que l'on voulait l'assassiner. Et quelle
    raison
    >     avait-il donné? On voulait l'assassiner NON PAS parce qu'il
    était
    >     opposant de BONGO ONDIMBA, mais parce que les proches de BONGO
    >     n'appréciaient pas son rapprochement avec le président de la
    république.
    >     Une telle justification, sans entrer dans la polémique inutile, veut
    dire que
    >     Mamboundou est lui-aussi, comme Mba Abessolo avant lui,  en train de
    constituer
    >     un groupe pro-BONGO au sein de la majorité présidentielle. On
    appelle cela au
    >     Gabon, un CLAN. Tout le monde sait que l'entourage de BONGO
    prépare déjà
    >     l'après BONGO, et les clans sont en guerre les uns contre les
    autres. Voir
    >     donc Mamboundou entrer en guerre avec les clans pédégistes pour
    cause de
    >     RAPPROCHEMENT avec BONGO est un signe fort qui aurait tendance à
    indiquer
    >     l'intégration de l'UPG et de Mamboundou dans une logique
    PRESIDENTILLE.
    >     Une guerre de CLANS n'existerait pas contre MAMBOUNDOU si
    MAMBOUNDOU
    >     n'était pas une menace pour les autres clans au chevet de BONGO
    ONDIMBA.
    >     Ceci, en fin de compte, ne me semble pas surprenant quand on revient
    sur le fait
    >     qu'il y a quelques mois, Mamboundou avait, entre autres reproché
    aux
    >     médias français leur "cabale" contre le présidemnt BONGO.
    >     >
    >     > 2) Il m'apparaît donc logique que, au vu du rapprochement
    >     BONGO-MAMBOUNDOU, l'UPG oriente son action vers la protection de
    cette
    >     alliance. Sans rechercher la polémique, j'ai presqu'envie
    >     d'épouser la thèse de notre anonyme Papamadi qui remarque, comme
    tout le
    >     monde d'ailleurs ,l'étrange rapprochement entre un GRAND
    PARTI comme
    >     l'UPG et un parti (on va dire avorté) comme le RDPG de Siméon
    Ekoga. Au vu
    >     de l'historique de l'un et de l'autre, et au vu du
    rapprochement de
    >     l'un et de l'autre avec BONGO (Siméon Ekoga depuis 2003,
    Pierre
    >     Mamboundou depuis 2006), la COALITION actuelle qui, dans la diaspora,
    semble
    >     désormais allier UPG et RDPG me semble être de nature à confirmer
    une
    >     coalition d'efforts contre le BDP par tous les groupes qui
    gravitent autour
    >     de BONGO. D'ailleurs, j'ai récemment entendu un ami me dire
    que la
    >     vidéo de la rencontre entre Mike Jocktane et Daniel Mengara postée
    récemment
    >     sur le site du BDP n'a pas été bien acceuillie au Gabon. Le
    régime
    >     n'aurait pas apprécié que le BDP ait rendu publique des choses
    qui ne se
    >     révèlent jamais. Cet ami m'a confirmé que le BDP, en publiant
    cette
    >     vidéo, risque de ne plus voir des gens venir solliciter des rencntre
    avec BOMGO
    >     auprès de MENGARA parce que tout le monde dans la sphère du régime
    aura peur
    >     d'apparaître un jour dans une vidéo. Apparemment, les
    bongoïstes
    >     préfèrent que les choses se passent en secret. Les tentatives de
    négociations
    >     du régime avec le BDP ne risquent plus d'arriver de sitôt.
    >     >
    >     > 3) Quand on voit la montée des enchères actuelles contre le BDP
    sur
    >     internet, des enchères amplement coordonnées entre Siméon Ekoga et
    la famille
    >     MOULOUNGUI sur les sites du RDPG et de l'UPG, on a effectivement
    >     l'impression, comme le disent maladroitement certains sur ce
    forum, que
    >     l'UPG et le RDPG coordonnent désormais leurs efforts contre le
    BDP.
    >     >
    >     > La question que les hommes et les femmes sages se posent alors
    est la
    >     suivante: POURQUOI?
    >     >
    >     > Les hypothèses sont nombreuses.
    >     >
    >     > La plus simple, serait de dire que le BDP dérange. Ce mouvement
    créé en
    >     décembre 1998 par le Dr. Daniel Mengara, Professeur aux Etats-Unis,
    n'a
    >     cessé de déranger le régime Bongo depuis sa création, Les plus
    grosses
    >     preuves de ce dérangement viennent du fait que le régime a usé de
    plusieurs
    >     subterfuges pour en finir avec ce mouvement. Pour répondre à la
    menace BDP, le
    >     régime a utilisé deux tactiques: une nationale, l'autre
    internationale.
    >     >
    >     > - Au sein de la diaspora, le régime a provoqué deux scissions
    bien
    >     documentées par les médias au sein du BDP. La première, celle de
    2003, fut
    >     quand Siméon Ekoga se retrouva au Gabon en fanfare, rencontrant BONGO
    et
    >     annonçant dans la même foulée dans les médiais qu'il était
    non
    >     seulement le nouveau président du BDP, mais aussi que le BDP était
    dissout par
    >     lui pour créer un parti plus responsable, le RDPG. En 2004, le BDP
    n'étant
    >     toujours pas mort, une deuxième scission elle aussi annoncée dans
    l'UNION
    >     et à la télé au Gabon, donna naissance au BDP-Démocrate, un groupe
    de
    >     dissendents du BDP né à Washington suite à une rencontre avortée
    entre BONGO
    >     et MENGARA. Selon le BDP, Mengara aurait refusé d'aller
    rencontrer BONGO à
    >     Washington tandis que ses collègues eux voulaient cette rencontre. En
    allant
    >     donc secrètement rencontrer BONGO, les dissidents furent exclus du
    BDP et
    >     créèrent le BDP-Démocrate. 
    >     >
    >     > - Au Gabon, le régime a également créé des groupes clones du
    BDP. A ce
    >     jour, on en connaît au moins deux ou trois qui ont été créés avec
    le sigle
    >     BDP. Les plus connus sont: un BDP (Bongo Doit Présider) et un BDP
    (Bongo Doit
    >     Persister). Des miltants du BDP-Gabon Nouveau avaient aussi fait trois
    mois de
    >     prison en 2004.
    >     >
    >     > Cet acharnement historique du régime, qui a été en partie
    confirmé par
    >     la vidéo de la rencontre Jocktane - Mengara de 2007, reste une preuve
    assez
    >     forte de l'intérêt qui est celui du régime de voir la
    disparition du
    >     BDP-Gabon Nouveau. Ce que la vidéo nous montre aussi, quand on sait
    >     l'analyser, c'est que, de décembre 1998 (date de sa
    création), en
    >     septembre 2007, le régime BONGO n'avait pas encore pu résoudre
    >     l'énigme BDP. Ceci est confirmé par Mike JOcktane, évêque
    envoyé par
    >     BONGO en septembre 2007 pour rencontrer MENGARA après une autre
    rencontre
    >     avortée à New York. Les paroles de l'évêque confirment très
    largement
    >     non seulement le désir de BONGO de rencontrer le Dr. Mengara, mais
    aussi le
    >     fait que Daniel Mengara est resté incorrigible dans son engamenet
    contre BONGO.
    >     On constate ainsi 9 ans d'engagement ferme du BDP-Gabon Nouveau
    car rien
    >     n'a encore défrayé la Une qui puisse montrer un quelconque
    rapprochement
    >     entre Daniel Mengara et BONGO. La vidéo montre le contraire.
    >     >
    >     > Ce qui nous amène à la situation d'aujourd'hui.
    Analysée
    >     froidement, il me semble évident qu'il est plutôt facile de
    déduire,
    >     comme le dit un peu maldroitement Papamadi sur ce forum, les faits
    suivants:
    >     >
    >     > - Tous les groupes qui se sont rapprochés de BONGO depuis 2003,
    à
    >     l'exception de certains membres du BDP-Démocrate qui ont rallié
    le
    >     BDP=Gabon Nouveau en 2007, semblent en effet coalisés aujourd;hui
    contre le
    >     BDP-Gabon Nouveau.
    >     >
    >     > - Le rapprochement entre l'UPG et le RDPG est indéniable.
    NOus avons
    >     tous remarqué une coordination d'attaques entre ces deux groupes
    contre le
    >     BDP-Gabon Nouveau.
    >     >
    >     > Au moment où fusent des insultes et des accusations en tous
    genres de
    >     toutes parts entre le BDP, l'UPG et le RDPG, il est important de
    garder la
    >     tête froide. Si le rapprochement avec BONGO est un signe qui permet
    de
    >     distinguer qui travaille pour et/ou avec BONGO de qui ne travaille pas
    avec
    >     et/ou pour BONGO, il me semble que ce jugement est simplifié pour la
    plupart de
    >     nous par les seuls FAITS objectifs qui sortent du domaine de la
    supputaion et
    >     qui sautent aux yeux. Ces faits se limitent à une seule question: Qui
    s'est
    >     rapproché de BONGO au vu et au su de toute le monde et qui ne l'a
    pas fait?
    >     >
    >     > Ce ne peut donc pas être une coincidence ou un accident de voir
    >     l'UPG, par le canal de la famille MOULOUNGUI et le RDPG (en tant
    >     qu'émanation du BDP créée par le régime) se mettre ensemble
    pour
    >     s'attaquer au seul grouoe politique gabonais qui n'a jamais ni
    >     rencontré BONGO, ni esquissé de rapprochement avec BONGO ONDIMBA,
    >     c'est-à-dire le BDP-Gabon Nouveau de Daniel Mengara.
    >     >
    >     > Le BDP dérange, cela, on le sait déjà, mais pour qui roulent
    l'UPG
    >     et le RDPG dans leur apparente coalition anti-BDP qui laisse de côté
    BONGO
    >     ONDIMBA (la personne qui dirige criminellement le Gabon) pour faire de
    Daniel
    >     Mengara (qui ne dirige pas le Gabon) la cible de leurs attaques
    coordonnées?
    >     >
    >     > Il n'y a que l'histoire qui nous le dira un jour.
    >     >
    >     >
    >     > Makanga Placide
    >     >
    >     >
    >     >
    >     > Mackjoss Makosso a écrit:
    >     >>
    >     >> Avez-vous remarqué, ces derniers temps, l'étrange
    coalition
    >     anti-Mengara qui se dessine de plus en plus sur le net depuis un
    moment?
    >     >>
    >     >> D'une part, il ya le fameux Siméon Ekoga, qui, depuis
    qu'il a
    >     rencontré Bongo en 2003 et proclamé la dissolution du BDP en tant
    que
    >     président autoproclamé, avant de créer le RDPG, ne cesse de
    diffamer sur le
    >     net et de danser la bamboula: tantôt opposant, tantôt félicitant
    Bongo pour
    >     son élection.
    >     >>
    >     >> D'autre part, il y a un certain Jean-François
    Mouloungui, qui se
    >     dit "Représentant Personnel et Porte Parole de Pierre
    MAMBOUNDOU,
    >     Président de l'UPG, en Europe et aux Etats Unis
    d'Amérique", qui,
    >     prenant cause des mensonges de Siméon Ekoga, a fait de Daniel Mengara
    le cheval
    >     de bataille de l'UPG. On peut donc supposer que si le
    représentant
    >     personnel de Mamboundou se livre à toutes ces attaques, surtout en
    signant ses
    >     articles avec son titre, c'est qu'il parle officiellement pour
    >     l'UPG.
    >     >>
    >     >> Du coup, le site de Siméon Ekoga et celui de l'UPG sont
    devenus
    >     de simples site anti-Mengara. Aucune proposition n'y figure, rien
    que des
    >     attaques contre le BDP et Mengara. Ahurissant, non? C'est ça des
    partis
    >     politiques? ah ah ah, laissez-moi rigoler un peu.
    >     >>
    >     >> Etrange, vraiment, que ce fameux Jean-François Mouloungui,
    >     Représentant Personnel et Porte Parole de Pierre MAMBOUNDOU,
    Président de
    >     l'UPG, en Europe et aux Etats Unis d'Amérique, ait ainsi
    transformé le
    >     site du soit disant premier parti politique gabonais d'opposition
    en un
    >     simple dépotoir d'invinctives anti-Mengara. Où est le message de
    l'UPG
    >     pour les gabonais: MENGARA?!!!
    >     >>
    >     >> Mais peut-être que cela ne devrait pas nous étonner. Qui se
    >     ressemble s'assemble, on dit souvent.
    >     >>
    >     >> Regardez:
    >     >>
    >     >> SIMEON EKOGA
    >     >>
    >     >> 2003: Siméon Ekoga va au Gabon se vendre à Bongo et, après
    la
    >     rencontre, salue la sagesse de Bongo qui lui a donné des conseils,
    comme un
    >     père. IL s'autoproclame président du BDP. Avec l'aide de Mba
    Obame et
    >     Ali Bongo et l'ambasadeur Adzé. Ensemble, ils proclament la
    dissolution du
    >     BDP dans l'UNION et dans l'UNION, ils annoncent et créent le
    RDPG.
    >     Coût de l'opération: 300 millions dans les poches d'Ekoga et
    >     complices. 
    >     >>
    >     >> 2005: après un bref passage dans l'opposition, Siméon
    Ekoga
    >     soutient Bongo aux  Présidentielles CONTRE Pierre Mamboundou et
    félicite Bongo
    >     pour sa brillante réélection.
    >     >>
    >     >> 2007: Siméon Ekoga RETOMBE dans "l'opposition"
    et
    >     accuse Daniel Mengara d'être la créature du régime Bongo.
    Quelle
    >     acrobatie, hein? Alors que c'est lui qu'on voit assis chez
    Bongo en
    >     train de réciter que Bongo lui a donné des conseils de père,
    c'est
    >     Mengara, qui n'a jamais encontré Bongo ni félicité Bongo pour
    sa
    >     brillante réelection, qui devient la créature de Bongo?
    >     >>
    >     >>
    >     >> PIERRE MAMBOUNDOU
    >     >>
    >     >> 2006: Mamboundou, après 17 ans d'opposition politique,
    et après
    >     s'être déclaré vainqueur des élections de 2005, abandonne son
    histoire
    >     et SOLLICITE une rencontre avec BONGO de son exil dans l'ambassade
    >     d'Afrique du Sud au Gabon. Au sortir de la rencontre historique
    qu'il
    >     alui-même sollocité (voir déclaration de presse), Pierre Mamboundou
    salue la
    >     sincérité de l'homme Bongo. On parle de dédommager l'UPG
    avec
    >     quelques milliards pour l'"attaque" de son siège même
    pas
    >     égratigné par la violence. On parle aussi de donner quelques
    milliards à
    >     Mamboundou pour développer lui-même Ndendé.
    >     >>
    >     >> 2008: Pierre Mamboundou, qui se promène désormais dans une
    >     délégation "présidentielle" avec de TROIS HUMMERS, et qui
    est
    >     maintenant décrit comme un gros propriétaire immobillier à
    Libreville,
    >     s'oppose aux cabales organisées contre Bongo par les médias
    français et
    >     s'oppose à la prise du pouvoir par la force. SURPRISE????!!
    >     >>
    >     >>
    >     >> 2008: La créature de Bongo qu'on appelle Siméon Ekoga
    se
    >     rapproche de l'UPG (qui a enfin un site officiel), et surtout de
    >     Jean-François Mouloungui, Représentant Personnel et Porte Parole de
    Pierre
    >     MAMBOUNDOU, Président de l'UPG, en Europe et aux Etats Unis
    >     d'Amérique, et les deux s'organisent comme deux soeurs
    jumelles pour
    >     faire de leurs sites respectifs des sites consacrés à la diffamation
    du
    >     BDP-Gabon Nouveau et de Daniel Mengara.
    >     >>
    >     >> Regardez vous-mêmes: mêmes articles, mêmes coordinations
    des
    >     attaques, tout y est. ON a l'impression que le site officiel de
    l'UPG,
    >     le "plus grand parti gabonais de l'opposition" a fait de
    Daniel
    >     Mengara et du BDP son cheval de bataille. Aucune proposition, aucune
    élevation,
    >     aucun programme. rien que des petitesses indignes d'un vrai parti.

    >     >>
    >     >> Que Siméon Ekoga, un apprenti sorcier, se livre à cela, on
    le
    >     comprend, il est à la solde de Bongo depuis 2003. C'est
    documenté dans
    >     l'Union. Que l'UPG se soit transformé à son tour, par la
    banalisation
    >     officielle de l'action de l'UPG par Jean-François Mouloungui,
    >     Représentant Personnel et Porte Parole de Pierre MAMBOUNDOU,
    Président de
    >     l'UPG, en Europe et aux Etats Unis d'Amérique, on a presque
    envie de
    >     Rigoler. L"UPG, le grand parti du grand Manitou MAMBOUNDOU est
    >     aujourd'hui réduit à combattre QUI? Un inconnu nommé DANIEL
    MENGARA qui,
    >     perdu quelque part aux USA hamburger à la main gauche et clavier
    >     d'ordinateur à la main droite, semble être capable, par son
    action, de
    >     s'attirer les foudres de Bongo, de Mamboundou et des avortons qui
    se sont
    >     vendus à Bongo.
    >     >>
    >     >> Bizarre! Quelle déchéance du grand parti UPG, quelle
    bassesse: si on
    >     m'avait dit que Daniel Mengara finirait par devenir la raison
    d'être de
    >     Mamboundou en 2008, je n'aurais pas gaspillé mon vote pour
    Mamboundou en
    >     2005!
    >     >>
    >     >> Si vous arrivez pour la première fois sur le site de
    l'UPG, vous
    >     aurez l'impression de lire un blog de quartier géré par des
    enfants, et
    >     non le site d'un parti sérieux. C;est, en fait, un site forum que
    l'UPG
    >     a, c'est-à-dire un site construit autour du modèle du site à
    calomnies de
    >     Siméon Ekoga. Organisés uniquement autour de la médisance et de
    soit disant
    >     accusations de traitrise, ce sont des sites qui se nourrissent de
    commentaires
    >     et de rumeurs. On n'y trouve jamais rien de séroeux car ce sont
    uniquement
    >     les attaques et les coups bas qui intéressent ces deux groupes
    alliés. On
    >     retrouve sur leurs pages les commentaires des uns et des autres, des
    >     commentaires, s'il vous plaît, laissés ur leurs sites par des
    personnes
    >     anonymes que personne ne connaît et qui sont en général eux-mêmes,
    et ce
    >     sont ces commentaires et rumeurs qu'ils rammassent et prennent des
    forums
    >     d'Internet pour mettre sur leus sites ou prennent de leurs sites
    pour mettre
    >     sur les forums.
    >     >>
    >     >> Vous aurez le plus grand mal à savoir aujourd'hui ce qui
    >     distingue le site de l'UPG de celui du RDPG de Siméon Ekoga.
    Quelle honte.
    >     >>
    >     >> Je me demande si c'est cela l'image que l'UPG
    veut donner
    >     aux Gabonais, que son seul combat aujourd'hui, c'est Daniel
    Mengara et
    >     le BDP-Gabon Nouveau. Ce n'est plus BONGO puisque Mamboundou
    lui-même dit
    >     maintenant que les gens de BONGO veulent le tuer, non pas parce
    qu'il
    >     s'oppose à Bongo, mais parce qu'ils sont jaloux de son
    rapprochement
    >     avec BONGO. Une manière pour Mamboundou de reconnaître
    officiellement
    >     qu'ils 'est RAPPROCHé de BONGo, d'où la jalousie des
    Bongoïstes.
    >     >>
    >     >> DOnc, si Mamboudnou lui-même avoue s'être rapproché de
    BONGO,
    >     on ne peut pas s'étonner de voir ses représentants transformer
    le site de
    >     l'UPG en site anti-BDP. L'UPG devient donc l'instrument de
    BONGO car
    >     il faut protéger BONGO des attaques de tout le monde,
    c'est-à-dire des
    >     médias (cabales), et des coups d'états (le BDP).
    >     >>
    >     >> Les signes du temps ne trompent pas. Il faut juste suivre
    >     l'histoire qui se déroulent sur nos yeux. 
    >     >>
    >     >> - Pour TUER le BDP en 2003, Bongo crée le RDPG à coups de
    300
    >     millions. Le RDPG ayant échoué dans sa mission (Ekoga a dissout un
    BDP qui,
    >     bizarrement, est toujours là), Bongo, toujours avec Mba Obame, Ali
    Bongo et
    >     Toungui, créent le BDP-Démocrate pour TUER le BDP. Echec là aussi.
    >     >>
    >     >> - Maintenant, avec le ralliement-rapprochement avoué de
    l'UPG à
    >     Bongo, l'UPG s'est associé à la création de Bongo
    qu'est le RDPG
    >     pour continuer à chercher la mort du BDP.
    >     >>
    >     >> Le BDP a donc maintenant TROIS advesaires ligués contre lui
    qui,
    >     chacun à sa manière, veulent sa mort.
    >     >>
    >     >>
    >     >> 1) BONGO qui est le commanditeur de toutes ces attaques au
    travers de
    >     ses ministres Mba Obame, Ali Bongo, et autres.
    >     >>
    >     >> 2) Le RDPG, "parti" internet créé spécialement
    par BONGO,
    >     Ali BONGO, Mba Obame et l'ambassadeur Adzé pour faire excatement
    ce
    >     qu'il fait aujourd'hui, c'est-à-dire essayer de
    décrédibiliser le
    >     BDP.
    >     >>
    >     >> 3) Et Maintenant l'UPG de Pierre Mamboundou, avec ses
    trois
    >     Hummers dont on ne connaît pas la source de financement.
    >     >>
    >     >> Il semble que le BDP-Gabon NOuveau est maintenant
    officiellement
    >     désigné par l'UPG, le PDG et les avortons bongoïstes comme la
    bête à
    >     abattre.
    >     >>
    >     >> Mais bizarrement, dans les mêmes attaques, on voit des
    contraidtions:
    >
    >     >>
    >     >> - on dit que Mengara est tout seul, et pourtant, tout le
    régime
    >     Bongo, l'UPG et les avortons du régime s'organisent pour le
    détruire.
    >     >> - on dit que le BDP n'est qu'un simple parti virtuel
    sans
    >     importante, et pourtant tout le régime Bongo, l'UPG et les
    avortons du
    >     régime s'organisent pour le détruire.
    >     >> - on dit que le BDP ne vaut ren et que son Mamba, c'est
    du pipo,
    >     et pourtant, tout le régime Bongo, l'UPG et les avortons du
    régime
    >     s'organisent pour le détruire.
    >     >>
    >     >> Est-ce qu'on se mobilise contre quelque chsoe qui
    n'existe pas
    >     avec autant de rage?
    >     >> Est-ce qu'on se mobile contre quelque chose dont a pas
    peur avec
    >     autant de férocité?
    >     >> Ets-ce que Mengara ou le BDP est au pouvoir?
    >     >>
    >     >> ET de quoi ont peur tous ces gens (UPG, PDG) alliés contre
    le BDP?
    >     >>
    >     >> Bizarre comment les leçons de l'histoire ne cessent de
    nous
    >     surprendre. 
    >     >>
    >     >> Mais pour ceux qui savent lire, voir et écouter, il serait
    totalement
    >     insensé de croire que le BDP-Gabon Nouveau serait plus la créature
    de BONGO
    >     que le RDPG de Siméon Ekoga que tout le monde a vu créé dans les
    médias par
    >     BONGO ou l"UPG que tout le monde a vu partir de parti sans le sou
    en parti
    >     avec TROIS HUMMERS pour transporter son président et sa délégation.
    >     >>
    >     >> Etrange en effet que l'on puisse trouver les gens qui ont
    >     rencontré Bongo et se sont vendus à lui accuser Mengara et le BDP
    d'être
    >     les créature de BOngo, alors qu'on sait que Mengara et le BDP
    sont les
    >     seuls qui n'ont jamais rencontré Bongo ni roulé dans des Hummers
    offertes
    >     par BONGO, les seuls que l'on n'a jamais surpris à dire dans
    les
    >     médias que Bongo a été brillament élu ou que Bongo est sincère,
    ou que les
    >     journalistes français sont dans une cabale contre Bongo, ou que Bongo
    leur a
    >     donné des conseils comme un père.
    >     >>
    >     >> C'est bizarre que ce soit le BDP qui soit la créature de
    Bongo
    >     quand on ne voit nulle part le signe de la compromission du BDP, alors
    que
    >     celles de l'UPG et des créatures de Bongo comme Siméon Ekoga
    sont partout
    >     étalées dans les médias. ET ces fanfarons s'amusent à demander
    des
    >     PREUVES? 
    >     >>
    >     >> Quand des HUMMERS surgissent du néant et que Mamboundou et
    l'UPG,
    >     qui n'avaient que 500.000 francs dans lerus caisse en 2005 (dixit
    le
    >     secrétaire général), se retrouvent enrichis et capables
    d'organiser des
    >     élections sur toute l'étendue du territoire, c'est quoi ça?
    >     >>
    >     >> Quand Siméon Ekoga entre chez BONGO en 2003 et se met à
    bégayer à
    >     la sortie que Bongo lui a donné des conseils de père, proclame la
    dissolution
    >     du BDP et crér=e le RDPG pour servir BONGO, c'est quoi ça?
    >     >>
    >     >> Quand Mamboundou, ayant déclaré son rapprochement avec
    BONGO, fait
    >     de son site un site anti-BDP et non un site anti-BONGO, c'est quoi
    ça?
    >     >>
    >     >> Le site de l'UPG est un discrédit à l'idée
    qu'on peut
    >     se faire du parti qui se dit premier parti d'opposition au Gabon.
    C'est
    >     un repaire d'enfants mal vieillis.
    >     >>
    >     >> Puisque le cheval de bataille de l'UPG est maintenant
    Daniel
    >     Mengara et le BDP, puisque les sites du RDPG de Siméon Ekoga et de
    l'UPG
    >     sont devenus des sites seours publiant les mêmes articles, les mêmes
    >     accusations, les mêmes diffamations, puisque ces sites sont des sites
    forums ou
    >     des sites d'attaques organisés pour saturer le Net
    d'accusations contre
    >     le BDP-Gabon Nouveau, il faut se poser la question: A qui profite le
    crime?
    >     >>
    >     >> Regardez les articles de l'UNION en 2003 et regardez les
    HUMMERS
    >     de Mamboundou: et vous comprendrez à qui profite le crime.
    >     >>
    >     >> Si vous voulez savoir qui est la créature de Bongo dans
    toutes ces
    >     histoires:
    >     >>
    >     >> Relisez les déclarations de presse qui ont créé le RDPG de
    Siméon
    >     Ekoga en 2003.
    >     >> Relisez les déclarations de presse et la démrache politique
    de
    >     l'UPG de Mamboundou depuis 2006.
    >     >> Regardez la coordination que les sites du RDPG et de
    l'UPG font
    >     adontre Daniel Mengara et l'UPG, où la calomnie et les
    accusations
    >     infondées font l'idéologie de ces groupes décrédibilisés.
    >     >>
    >     >> Regardez ensuite la vidéo du BDP-Gabon NOuveau
    >    
    (http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite)
    >     qui montre la rencontre entre Mike Jocktane, émissaire de Bongo, et
    Daniel
    >     Mengara, leader du BDP, en 2007. Elle se trouve sur le site du BDP en
    ce moment.
    >     >>
    >     >> Après avoir regarder cette vidéo, vous comprendrez pourquoi
    le
    >     BDP-Gabon Nouveau, le seul mouvement au Gabon qui a toujours refusé
    de
    >     rencontrer BONGO, ne s'est jamais compromis et qui n'a jamsis
    changé
    >     son idéologie d'un iota, est aujourd'hui la bête noire de
    l'UPG,
    >     de BONGO et de tous les avortons qui se battent contre le BDP
    aujourd'hui.
    >     La transparence et la droiture du BDP les gène. Alors ils
    s'arrachent les
    >     cheveux tous seuls.
    >     >>
    >     >> Je suis né dans un village de sages. Chez nous, on dit
    souvent que si
    >     vous entrez dans un village, et vous trouvez des médisants
    s'acharner sur
    >     une seule personne, rapprochez-vous de la personne sur laquelle on
    médit. Si un
    >     "parti" ou mouvement "virtuel" comme le BDP peut,
    rien que
    >     par son existence mobiliser autant d'énergie de la part du
    régime Bongo et
    >     de la part de Pierre Mamboundou associés dans leur désir de
    détruire un
    >     mouvement qui les empêche de "milliarder" en rond,
    posez-vous la
    >     question: POURQUOI?
    >     >>
    >     >> Mais surtout regardez la vidéo
    >    
    (http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite),
    >     si vous voulez comprendre POURQUOI.





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