Démonstration à l'américaine (à l'endroit de Siméon Jans Francis Ekoga)

Sylvain Ndong protected at yahoo.fr
Dim 5 Oct 18:43:22 EDT 2008


Paul, Bonjour

Je viens de lire ton message et je m'en vais t'emboîter le pas en faisant une petite démonstration, à l'instar des rappeurs américains, en clouant le bec à ce gardien de nuit d'Ekoga, qui ne fait que salir, salir, salir, par des mensonges dignes d'un disciple de Satan, qui susurre dans les oreilles des enfants de Dieu des insanités, avec pour seul but de leur faire perdre leur foi. Depuis que je connais ce bonhomme aigris, que n'ai-je pas lu sur Daniel MENGARA, sur Bruno ELLA-NGUEMA, sur Félicité VINCENT, sur Petit LAMBERT-OVONO, sur Rodrigue MALEKOU, sur Jean ENGONE AKOGHE, sur Michel EKEKANG, sur Paul OKILI-BOYER, etc. et maintenant sur Sylvain NDONG, et toujours avec LA même hargne, LA même noirceur d'esprit, dont la volonté intérieure est de faire passer les autres pour des moins que rien, et lui, le gardien de nuit, le Watch de Saint-Denis, s’illustrant comme le meilleur d'entre nous tous.

Je n'ai jamais vu de toute ma vie une personne qui collectionne autant d'accrochages que ce miséreux monsieur d'EKOGA Jean Siméon. D'aucuns se diront sans doute que ce sont tous les autres cités ci-dessus qui ont probablement eu tord, ou ont été systématiquement "envieux" de son "avancée" (quelle avancée même) en tant qu'improbable "opposant gabonais" de la diaspora. Mais aujourd'hui, à y bien regarder, en observant attentivement les parcours personnels, les niveaux d'études, les pédigrées et les statut sociaux de toutes ces personnes qui ont été salies par ce gardien de nuit d'Ekoga [ partir de mon pays pour venir être Watch en France, quelle honte ! ], on pourrait aisément comprendre quel a été systématiquement le moteur, chez cet individu, de toute cette aigreur : la REALITE. Cette réalité qui place ce bonhomme bien en dessous de tous ceux qu'ils s'acharnent, avec son instrument de délation, le "fameux Agora", d’écorner insidieusement la personnalité. Tout y passe, injures, calomnies, faux et usage de faux, usurpation d'identité, manipulations d'informations... Ces dernières trouvailles en date, c'est de me faire passer, moi Sylvain NDONG, digne fils de mon père, de ma mère, digne citoyen de mon BEAU pays LE GABON, dont je suis FIER de détenir ENCORE ET TOUJOURS le passeport... comme un vulgaire faussaire à deux balles. Tu t'es trompé de cible Ekoga, car MOI NDONG Sylvain je suis un pur de chez pur, un vrai fils de Sion, ma mère Patrie.

Tu sais quoi, je vais te faire une petite démonstration à l'américaine, à toi et à tes petits copains du cercle des ngandaistes éthyliques de Paris, dont je peux te donner un à un les noms, AIGRIS et JALOUX que vous êtes TOUS de savoir et de voir certaines choses que réalisent le digne fils de mon PAYS que je suis. Je vous connais UN à UN, vous qui avez constitué un petit comité d'AIGRIS autour de ma personne, en vilipendant des torchons d'informations sur mon compte, et dont votre nouveau porte-parole Ekoga s'amuse par la suite de diffuser sur sa radio "Agora". Je vais vous le faire à l'envers, à la manière des rappeurs américains.

Voici mon mini-portrait, que chacun de vous pourra par la suite imprimer comme l'abécédaire du self-made-man authentique, au dessus de vos lits d’hypocrites et d'aigris que vous êtes tous, et dont ce gardien de nuit SANS FEMME A LA MAISON d'Ekoga, se veut être le porte-voix. Pauvres et malheureux types que vous êtes tous va !

Primo : Dans le mini-portrait que j'avais fourni à la demande (judicieuse) de notre frère Tsir-Ella, qui voulait que chacun de nous fasse preuve de transparence en donnant clairement son parcours (le gardien de nuit d'Ekoga ne s'est toujours pas présenté à ce jour, car il n'a rien à nous soumettre comme compétences), j'avais eu à mentionner certains éléments concernant ma profession, en tant que chef d'entreprise. Je vous donne ce jour, en supplément de mon mini-cv et pour vérification, mon numéro d'entreprise (TVA) en Belgique, que chacun de vous pourra aisément vérifier en se renseignant auprès du Moniteur Belge Numéro d’entreprise appartenant à monsieur Sylvain NDONG : BE. 892.062.577.

Aussi, après qu'il se serait renseigné dès demain auprès des autorités belges sur l'existence de MA société, je voudrais par la suite que notre cher gardien de nuit sache que pour être administrateur d'une société en Europe, il faudrait justifier au minimum d'un diplôme de gestion d'entreprise ; et que, mieux, en étant chef d'une entreprise européenne, vous avez la latitude de travailler ou que vous voulez dans l'espace Schengen, et y obtenir, sur la base d'un contrat de travail signé avec une société tiers, le droit d'y séjourner. Monsieur le gardien de nuit a affirmé haut et fort ici, après avoir cuvé une dame-jeanne de vin-rouge avec ses amis "informateurs" de Paris (que je connais tous un à un), que Sylvain NDONG, digne citoyen gabonais et chef d'une entreprise européenne, j'étais désormais sans papiers en Europe et que je n'ai jamais travaillé ni habité au Luxembourg. Aigreur et Jalousie quand tu nous tiens TOUS. Ci-joints, mes chers amis, vous trouverez en doc_1 et doc_2, une copie de mon PASSEPORT GABONAIS (que certains ont échangé "avec fierté" contre un passeport français pour avoir la chance d'être... Watch et de toucher le RMI - ah mon Dieu !) et une copie de mon TITRE DE SEJOUR A JOUR LUXEMBOURGEOIS, renouvelable chaque année comme partout ailleurs, et comme il en sera question ici le 5 novembre de cette année. « Sylvain NDONG est désormais clandestin en Europe », titrait notre gardien de nuit et saoulard d'Ekoga, à la une de son désormais journal à calomnies Agora. Quelle honte auras-tu Ekoga, en voyant ces papiers, toi et tes amis... mon Dieu ! Heureusement qu'en étant comme je vous connais, la honte ne vous habite plus... Ah ah, on va bien rigoler.

 

Je convie solennellement TOUS CEUX qui le souhaitent prendre la liberté de vérifier une à une TOUTES LES INFORMATIONS que je vais vous fournir exclusivement dans ce mail, non par orgeuil personnel, mais par soucis de VERITE et de CONFUSION d'un AIGRIS (ensemble avec d'autres aigris de Paris), qui se sont donnés pour mission de salir les autres sur le net, en usant de mensonges, de calomnies et de manipulations...

Jugez de vous-mêmes mes frères et sœurs !

Secundo : Ce bonhomme d’Ekoga a affirmé qu'un certain Ella Mintsa Hervé, m'aurait confié une voiture avec laquelle j’aurais roulé durant un an à Bruxelles. Mon Dieu, mais d'"où sortent tous ces acrobates" ; comme chantait Cabrel dans son morceau "la Corrida" ? Ekoga, tu as été CHEZ MOI, dans Ma Maison à Bruxelles, où je vivais avec femme et enfants. Tu as vu où j'habitais. Etait-ce la maison de quelqu'un qui roule dans des voitures pourries des uns et des autres ? Renseigne-toi auprès de tes copains de Paris, ceux-là mêmes qui te donnent tes infos pourries ; ils te diront dans quoi je n'ai cessé d'habiter et de rouler depuis que je suis entré ici en Europe le 27 octobre 2000, il y a 8 (huit) ans aujourd'hui, embauché depuis le Gabon, à peine mon diplôme (obtenu dans MON PAYS, à l'Institut Africain d'Informatique) en poche. Oui cher Ekoga, je serai expressément immodeste aujourd’hui, juste pour te montrer qui je suis MOI Sylvain NDONG. Je fais partie de ces rares Gabonais qui peuvent se vanter d'avoir été embauché depuis le GABON (contrat de travail et billet d’avion envoyé depuis Paris à Libreville), à venir travailler dans l'une des plus grandes sociétés d'Europe, sans avoir suivi une seule heure de cours dans une université européenne.

Voilà le DESTIN d'un homme mon cher ; voila LA TRAÇABILITE d'un self-made-man que je suis et qui est fier de sa réussite. Et comme je sais que la mentalité animalisée de certains de nos compatriotes est réfractaire à la réussite des autres frères, surtout quand cette réussite leur semble quelque peu « injuste », je voudrais que tu renseignes bien sur moi, sur Sylvain NDONG que je suis et tu me sauras.

Dès mon arrivée à Bruxelles en 2005, je me suis doté d'une Opel Zafira de 7 places (achetée neuve chez le concessionnaire Dayton Opel – info vérifiable), que j'ai par la suite envoyé dans mon pays, et qui me sert à ce jour de voiture personnelle lors de mes vacances au Gabon, d'où je suis d’ailleurs revenu il y a à peine deux mois (5 août), comme tu le verras dans le tampon faisant foi sur la feuille de mon passeport. Et aujourd'hui, depuis que je travaille au Luxembourg (voir le statut SALARIE sur mon titre de séjour luxembourgeois – information elle aussi véritable), je roule en Mercedes Classe C-220, achetée avec le fruit de MON TRAVAIL (et non en se vendant à Bongo) et de MON SAVOIR, comme tu le verras dans les photos ci-jointes doc_3 à doc_6 (prises ce matin, après ma séance de footing, devant l'entrée de mon appartement luxembourgeois). Une copie de la carte grise et de la fiche d'assurance doc_7 et doc_8 (informations vérifiables elles-aussi auprès de Mercédès Luxembourg, vendeur Miguel Dos Santos) de ma voiture y sont également joints. Etant donné tes nouveaux élans d'assassin et d'empoisonneur politique (Cf. Okili, sur ta tentative d’empoisonnement de Daniel Mengara du BDP lors du congrès de Bordeaux), j'ai volontairement barré mon adresse du Luxembourg, où un certain Watch affirmait récemment encore que je n'habitais pas. J'espère au moins que tu sais que tu ne peux pas immatriculer un véhicule dans aucun pays du monde si tu ne possèdes un droit de séjour dans ce pays. Ce sont sûrement des notions qui t'échappent désormais, vu qu'avoir une voiture, sans d'abord passer voir yaya Bongo au bord de mer, est devenu pour toi un rêve inaccessible.

Voilà, que ceux qui verront dans cet étalage de ma vie privée comme étant de l'orgueil, veuillent bien comprendre que mon soucis résidait essentiellement dans le but de laver tous ces affronts que ce détestable monsieur d'Ekoga ne cesse de vomir du ma personne et sur d’autres compatriotes, dans le seul but de les discréditer et se donner de lui une image de seigneur. Sylvain NDONG, je n'ai jamais été un homme des "m'as-tu vu" ; j'ai toujours fait de la discrétion une loi de vie, car ma confession chrétienne m'a permis de prendre toutes les choses de cette terre comme étant éphémères. Mais il est de temps en temps impérieux que l'on sorte de nos réserves, juste le temps de battre en bref tous ces escadrons du malheur, qui ont pour mission d'œuvrer perpétuellement à l'anéantissement de toute énergie et de toute personnalité qui aiderait à faire éclore un idéal de vie pour lequel certains d'entre nous se battent en ce qui concerne notre pays, et contre l’avènement duquel ces mercenaires sont pour la plupart payés.

Pour ma part, ce débat avec Siméon Jean Francis Ekoga prend définitivement fin aujourd'hui. J'ai fait mon devoir de démontrer à la face du monde qu'Ekoga, qui revendiquait haut et fort être le "chef" de l'opposition gabonaise de la diaspora », n'en était en tout cas pas digne, vu qu'il avait volontairement troqué sa nationalité gabonaise contre le française, qu'il se dit jusqu'à présent encore "fier de détenir", au mépris de la fierté nationale pour laquelle certains de nous se battent et dont le crédo se veut êtres ce que le président Léon Mba affirmait : Gabon D’Abord. Donc de par ce seul fait, j’ai tenu à démontrer à tous que Siméon Jean Francis Ekoga, désormais citoyen français, se disqualifiait de facto des congrégations qui s'érigeraient dans l'affirmation de notre combat pour une république GABONAISE plus épanouie. Ekoga s'étant de lui-même dénoncé, et sachant notre Belle République Gabonaise non signataire de la charte de double-nationalité, et encore plus quand le concerné avoue avoir délibérément renoncé à la première, le met de ce fait hors jeu pour nos prochaines organisations. 

L'époque des débats stériles étant clos par la démonstration, celui d'un autre temps, le temps de la réflexion, avec comme point de mire l'affirmation d'une diaspora gabonaise plus sereine, et plus que jamais débarrassée de ses faussaires, usurpateurs et tous ces espions qui veulent la faire indéfiniment tourner en rond, est venu.

C'est dans cette perspective que je m'adresserai prochainement et dorénavant, à mes VRAIS CONCITOYENS, FRERES et SŒURS de lutte GABONAIS.

Bien à vous,

Sylvain NDONG





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