[BDPalabres] Gabonik : diasporagabonaise at yahoo.fr n'est pas , n'est, n'est gabonaisdiaspora at yahoo.com !!!

Gabonik protected at gabonik.org
Mar 2 Déc 10:21:20 EST 2008


Bonjour,

Suite au mail ci-dessous nous tenions à apporter un démenti formel et
une condamnation ferme d'appropriation de "GaboniK" ou d'affiliation
de GaboniK Ă  la soi-disant "Diaspora Gabonaise :
gabonaisdiaspora at yahoo.com"...!!!!

"Diaspora Gabonaise : gabonaisdiaspora at yahoo.com" n'est point
"GaboniK :diasporagabonaise at yahoo.fr" !!!!

Ces agissements parasitaires sont indignes de personnes dont les
ambitions affichées sont le changement ...

GaboniK est neutre, apolitique et le restera...!!!

Merci de Votre compréhension !




----- Message transféré ----
De : Diaspora Gabonaise <protected at gmail.com>
Ă€ : bdpalabres at bdpgabon.org
Envoyé le : Jeudi, 27 Novembre 2008, 18h12mn 48s
Objet : [BDPalabres] Collectif "Diaspora Gabonaise" ???

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Cher compatriote ELLA et chers Tous,



Vos questions nous semblent claires, actuelles et fondamentales.
Elles interpellent de ce fait le COLLECTIF « Diaspora Gabonaise »,
qui se donne ce jour le temps de vous répondre, même si cette façon
de faire n’est pas notre vocation première.



Notre vocation première, si vous nous permettez de le formuler ainsi,
reste avant tout d’ « agiter les consciences » gabonaises endormies,
comme le disait Césaire. Ce besoin d’ « agitation des consciences »
est un vide sidéral que nous avons pris la liberté et l’urgence de
combler, au regard de l’actualité de notre pays, de la nécessité
d’une prise de conscience et d’une action collectives, face aux
perspectives qui se dessinent pour notre avenir, et que nos
consciences (quelque peu endormies), ne semblent guère mesurer les
conséquences à court comme à moyen terme.



Nous usons chaque jour pour cela de notre énergie créatrice (encore
jeune et vigoureuse, mais que nous savons malheureusement limitée
dans le temps) collective. Nous usons aussi de notre sensibilité «
gabonaise », ombilicale, dans sa propriété créatrice d’être pénétrée
des réalités identitaires qu’elle sait naturellement transmettre par
la suite Ă  ses semblables.



Telle est notre modeste contribution, cher compatriote ELLA, face aux
efforts collectifs colossaux que nécessitent les problèmes actuels de
notre pays le Gabon.



Que fait donc ce Collectif « Diaspora Gabonaise », vous-êtes vous
demandé, non sans un zeste d’indignation - ce que nous comprenons
fort bien, dans le contexte actuel oĂą chacune de nos organisations
doivent faire œuvre utile pour nous affranchir de l’ensommeillement.



Le Collectif « Diaspora Gabonaise » n’est ni un parti politique, ni
une association, ni un mouvement de soutien quelconque. Nous sommes
simplement un groupe de gabonais qui, comme nous le disions plus
haut, entendent par la réflexion et par une certaine forme d’actions,
œuvrer à infléchir la courbe descendante que prend depuis un certain
temps déjà, le géni politique et associatif gabonais.



Nous avons Ă  notre actif les instruments suivants, mis Ă  la
disposition de nos compatriotes :



-          Une lettre d’information hebdomadaire « Gabonik »
(http://gabonik.blogs.continentalnews.fr), oĂą nous tentons de
décortiquer l’actualité politico-économique de notre pays et de la
sous-région, en proposant des axes de réflexions et d’actions
alternatifs.



-          Une liste d’investigation et d’inventorisation des « 10
Gabonais de la Diaspora » (http://gabon.typepad.fr), régulièrement
mis à jour, qui à pour objectif de dresser un tableau récapitulatif
de toutes les ressources humaines politico-sociales et « visibles »
que compte la communauté gabonaise expatriée, et que nous estimons à
même de constituer un vivier de compétences actives dans lequel le
pays peut librement s’appuyer pour amorcer un débat, des actions
et/ou une alternative crédibles dans un avenir proche et immédiat. Ce
site n’est pas, comme nous l’avions lu un peu partout, un groupe
d’amis qui complotent pour une quelconque légitimité oppositionnelle
ou associative. L’impérativité de cet inventaire tient plus de la
nécessité de saluer le courage politique et associatif de certains
compatriotes, qui brillent individuellement ou collectivement par
leur engagement et leur détermination à porter courageusement et sans
« cagoule » leurs opinions contestataires sur la place publique, dans
un contexte où notre corps social gabonais reste essentiellement miné
par la peur, l’anonymat et le renoncement d’une certaine affirmation
de soi.



-          Un dernier site, en cours de construction « Gabon 2012 »
(http://www.gabon-2012.org), vise quant Ă  lui Ă  intellectualiser
essentiellement le débat sur ce qui se passera en 2012 ; année
fatidique pour laquelle nous savons la majorité des couches
gabonaises défavorisées en attente d’une alternance effective au plus
haut sommet de l’Etat. La vidéo que nous avons diffusé à ce sujet est
d’ailleurs née de cette nécessité de rassembler toutes les pièces du
puzzle grâce auxquelles nous entendons donner à nos compatriotes les
outils pour mieux décortiquer, analyser et anticiper l’univers des
possibilités d’alternance qu’offre l’exception démocratique de notre
pays.



Voilà cher compatriote, sans vouloir avoir versé dans l’excès,
l’essentialité de notre contribution, dans le débat actuel de notre
RĂ©publique.



Nous voulons préciser cependant que bien que le Collectif « Diaspora
Gabonaise » soit un groupe de compatriotes, il n’en demeure pas moins
que ce groupe soit aussi, dans son émiettement, constitué de gabonais
et gabonaises ayant chacun un statut social individuel. C’est ce
statut qui rend possible la nécessité et même l’obligation de prendre
part à toute action concertée et réfléchie qui vise à l’aboutissement
des idées dans lesquelles nous croyons tous. Et dans cette optique,
nous pensons que certaines des initiatives encouragées ici-même par
certains de nos compatriotes, méritent qu’on s’y arrête et qu’on les
analyse un peu mieux en vue de franchir ce pallier qui fait tant
défaut à la communauté gabonaise expatriée : l’Action.



Je vais pour cela vous prendre quatre interventions récentes de
quatre compatriotes, choisies non pas par leur appartenance commune
(comme par hasard) au groupe des « 10 Gabonais de la Diaspora », mais
plutôt par la pertinence de leurs recommandations, pourtant isolées,
mais convergeant manifestement à un même idéal :



Le 11 novembre 2008, dans son "Réquisitoire contre l’état de
léthargie d’une certaine revendication gabonaise", le compatriote
Sylvain NDONG nous disait ceci à propos des preuves de détournements
dont s'est rendu coupable le régime de Bongo : "il nous faut dès
aujourd’hui les inventorier, les localiser, les chiffrer et évaluer
les conséquences de leur échelonnement sur les perspectives
envisageables qu’aurait dû connaître l’évolution de notre pays dans
le cas où elles auraient été mieux utilisées. Ce n’est qu’après cela
que nous en confierons la traduction sous forme juridique Ă  un avocat
qualifié. La Justice Internationale, demeurant à ce jour la seule
juge crédible et incorruptible face aux excès de l’humanité, dira dès
lors son Droit."



Un peu plus tard, le compatriote Bruno ELLA réagissait en ces termes
: "Mais à lire et à décrypter toutes les intentions des seuls
gabonais de la diaspora, depuis bien longtemps, l'ego et la promotion
personnelle ont souvent prévalu sur la finalité nationale. Autrement
dit dès lors qu'on n'est pas la vedette d'une opinion contre Omar
Bongo, on ne trouve aucun intérêt à conforter une structure qui a
plus que démonté sa détermination du combat pour le bien de cette
nation, cette pauvre nation gabonaise. (...) Si un appel intelligent
était lancé aujourd'hui dans le sens du progrès, le vrai contre la
préprogrammation de Bongo pour 2012, vous verrez que de vieux
succubes (confondus dans la diaspora ou au Gabon) réapparaîtront pour
dissuader les esprits faibles et neutraliser les ambitions
personnelles à coup de promesses promotionnelles (ministérielle...)"



Puis, le 22 novembre 2008, le compatriote Christian MAYANDJI ajoutait
alors que : "Ce ne sont plus les décisions controversées du Pt de la
RĂ©publique et de son Ă©quipe qui nous mettent en situation d'ĂŞtre
désabusées. Mais c'est notre mode de fonctionnement - diaspora et
opposition - qui se caractérise par notre incapacité à sortir de la
complainte. (...) Nous avons de nombreux thèmes que nous pouvons
étudions soit en passant en revue les département ministériels ou les
institutions de la république gabonaise, soit en procédant à
l'analyse des situations Ă©conomiques et sociales de chacune de nos
micro-unités territoriales (provinces, départements, communes). Nous
pourrions ainsi mieux préparer le changement et peut-être même
l'anticiper ou le provoquer par des actions visant Ă  modifier les
rapports de forces Ă©conomiques, technologiques puis militaires. (...)
Nos ainés - cette opposition que nous dénonçons si vertement - sont
parties avec des idées, mais ils se sont trouvé incapables de les
soutenir durablement face Ă  la machine implacable de leurs
adversaires. Ils nous appartient d'Ă©tudier leurs erreurs et de
trouver des démarches plus efficaces. Nous n'avons qu'un seul regret
: la difficulté de nous fédérer, non pour nous trouver un chef, ce
serait facile. Mais pour décliner un programme alternatif. Nous
devons nous y mettre et nous assurer que nous nous donnons les moyens
stratégiques et opérationnels de les réaliser."



Ce qui, le 25 novembre, poussa notre compatriote Félicité VINCENT à
lancer ce cri d'alarme : "La diaspora gabonaise et l'opposition
brassent l'air ! Tout le monde dans la diaspora gabonaise parle de
rassembler... cela fait 41 ans que les gabonais doivent se
rassembler... mais il y a toujours autant de courrants d'air dans ces
partis d'opposition ou de la diaspora qu'ils brassent de l'air mais
n'avancent pas... ils feraient mieux de rassembler leurs idées avant
d'essayer de rassembler les personnes qui veulent chacun leur portion
de gloire et de notoriété. (...) Rassemblons d'abord nos idées, avec
un vrai projet de société, avec un vrai leader ! Oui nous  voulons
tous le départ de Omar Bongo Ondimba Albert Bernard. Oui nous ne
voulons pas que Ali Bongo Ondimba prenne le pouvoir. Alors Ă  quoi
sert des 10 gabonais qui  comptent dans la diaspora ? Unissons nos
forces, rassemblons nos idées avec un vrai projet pour le Gabon que
nous aimons. ArrĂŞtons de brasser l'air ! Oui ne le pouvons."



Et hier, face à cette actualité pour laquelle nous avons réagit par
une vidéo, le compatriote Rodrigue ANGOUE MALEKOU s'indignait en ces
mots : "Voilà une occasion donnée aux « 10 gabonais de la Diaspora »
pour élaborer un communiqué officiel commun proscrivant l’implicite «
monarchisation » du Gabon. Dans ce sens, j’affirme la disponibilité
du MLPG et de ma personne à défendre le statut Républicain du Gabon!
Ne dis-on pas que « C’est au pied du mur qu’on reconnaît le maçon » ?"

(…)



N'avons-nous pas là, en tant que communauté, toute LA théorisation
nécessaire sur laquelle des actions concertées peuvent et DOIVENT
désormais être élaborées et posées ?



Quelle utilité revêtira donc encore une nième analyse, face à toute
cette richesse de points de vues aussi divers qu'exhaustifs. La place
nous paraît mériter d’être donc laissée  aujourd'hui à l'Action, au
risque de tourner indéfiniment en rond, comme nous avons appris à le
faire depuis 18 ans (1990).



Et cette tâche mérite d'être entreprise, pour ce qui est de la
Diaspora, par des mouvements comme le BDP, le FUCR, le RDPG, le MLPG,
l'UPG-Europe et des associations comme "La Maison de Toulouse", car
jouissant chacune d’une existence morale légitime. C'est à ces
différentes structures organisationnelles qu'il revient
impérativement le Devoir et la Tâche de donner vie à tous nos points
de vue, dans le dialogue, la tolérance et en évitant tous les pièges
connus et énumérés par tous.



À l’image du MLPG, tous les compatriotes œuvrant dans le Collectif
"Diaspora Gabonaise" se tiendront à la disposition de la Communauté
en vue de participer aux débats et donner corps à toutes actions
concertées qui en résulteraient, et ce dans l'intérêt du pays.



Nous vous attendons.



Collectif « Diaspora Gabonaise »



De : bruno ella
Envoyé : jeudi 27 novembre 2008 10:44
Ă€ : Diaspora Gabonaise
Objet : Re: Chronique d'une succession politique de type héréditaire
au Gabon.



Message bien reçu,



ET QUE FAIT DONC CE COLLECTIF "DIASPORA GABONAISE" SUITE À CETTE
CONSPIRATION ?



- Toujours limité dans des positions individualistes, de leadership,
d'intérêt personnel ou se transcender pour une fois ?

- Toujours dans les attaques personnelles plutĂ´t que le concert des
idées ?

- Toujours dans la parlote savamment structurée pour affaiblir ceux
qui ont la hargne ?

- Toujours des fausses accusations pour détourner des vrais objectifs
?

............. et ainsi de suite.



Si ces motivations négatives, nocives et cyniques ne sont pas, ou ne
sont plus, celles des uns et des autres, après repentance bien sûr,
alors il est possible que ce collectif travaille dès maintenant, je
voulais dire ensemble, dans la mesure oĂą les choses sont
objectivement définies et transparentes. 



Patriotiquement







Le 27 nov. 08 Ă  00:52, Diaspora Gabonaise a Ă©crit :



Bonjour,



Le Collectif « Diaspora Gabonaise » veut partager la vidéo
"Succession_Politique_Au_Gabon" avec vous sur Dailymotion.



http://www.dailymotion.com/video/x7j79s_successionpolitiqueaugabon_new
s



Description : Dans la nuit du 1er au 2 novembre 2008, Omar Bongo,
président du Gabon depuis 1967, est interné d'urgence à l'hôpital
militaire de Libreville. Quelques semaines plus tard (17 novembre
2008), son fils, Ali Ben Bongo, ministre de la défense et prétendu
successeur, est, sur "instruction" du doyen des chefs d’Etat
africains, invité à Paris s'entretenir avec le président français
Nicolas Sarkozy sur d’éventuelles questions liées aux accord secrets
de défense entre le Gabon et la France. Cet épisode nous rappelle une
certain période de février à novembre 1967, où Jacques Foccart,
l'homme des réseaux françafricains de Charles De Gaulle, préparait le
jeune Albert Bernard Bongo, à la succession du président Léon Mba,
tombé malade.



Une vidéo de prise de conscience réalisée par le Collectif « Diaspora
Gabonaise »






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