From protected at orange.fr Tue Mar 2 09:47:38 2010 From: protected at orange.fr (solofirst) Date: Tue, 02 Mar 2010 09:47:38 -0500 Subject: [BDPalabres] Re: Le Roi nègre et L’Empereur : Au Gabon, Sarkozy vise surtout un apaisement néocolonialiste Message-ID: Les propos de déraison Ce n'est pas de sitôt que du sang neuf ira s'exprimer dans les urnes gabonaises et irriguer un système politique passablement desséché. C'est bien dommage et même injuste, on en conviendra, pour cette jeunesse gabonaise que l'on continue de priver pourtant du plus élémentaire des droits civils. À ce moment s'arrêtent net, cependant, les regrets. Car n'en déplaise à ceux que l'on voit aujourd'hui se répandre en larmes de crocodile, ce n'est pas une opportunité historique de rénovation et de progrès qu'a marquée la dernière rencontre France Gabon. Ce qui a capoté dans cette rencontre était, bien au contraire, une tentative aussi déloyale que vaine de redessiner de nouveaux rapports, sous couvert de modernisation, une mosaïque ethnique qui, comme tout le monde sait mais que d'aucuns feignent d'oublier, est la raison d'être du Gabon. De changer carrément la face (passablement ridée, il est vrai, mais tellement familière) de ce Gabon, sous prétexte de le lifter. Ces dirigeants, on les voyait déjà venir avec leurs gros sabots, lors de leur récente tentative de mise sur rails du processus de démocratisation, alors que la conjoncture interne et régionale n'a jamais été plus contraignante. Or c'est de la même et fort peu transparente famille au pouvoir que le changement n’est pas accessible. Une telle innovation eut massivement favorisé le peuple gabonais. C'est dans ce contexte, auquel se sont obstinément refusés les électeurs, que résidait l'occasion manquée, la vraie. De cet acharnement dans l'erreur, les dégâts sont apparus le jour même, où l'on a vu en effet les réflexes familiaux balayer les classiques alliances et occulter, l'espace d'un prétexte constitutionnel, les vieilles inimitiés. C'est ainsi que le nouveau Président « croit » offrir un rare exemple de diversité de vote, c'est la même raison au projet que manifestait l’opposition dont le guide joue résolument à la conciliation interethnique. De tout cela se dégage le préoccupant sentiment que c'est le peuple gabonais qui, du fait de ceux qui en contrôlent les destinées, se retrouve faisant le jeu du pouvoir en place. Autant est la négation même de ce dialogue national censé débattre des points de discorde entre gabonais et qui continue désespérément de baigner dans les limbes. Il n'y a pas que la relation du Gabon avec la France, hélas. Et il serait grand temps pour un pays se targuant de cinquante ans d'Indépendance d'accéder enfin à l'âge de raison. Incriminer la France et le néocolonialisme dans la politique gabonaise, oublier la succession « démocratique » d’Omar Bongo, sont des prétextes faciles qui n’apporteront aucun changement au Gabon et à son peuple. Avec tout ma passion pour le Gabon > > Message du 01/03/10 01:09 > > De : "saintlucifer koumba" > > A : bdpalabres at bdpgabon.org > > Copie à : > > Objet : [BDPalabres] Re: Le Roi nègre et L’Empereur : Au Gabon, Sarkozy vise surtout un apaisement néocolonialiste > > > > bonjour.jusqu a quand allons nous toujours dependre de la france.honnetement je ne vois pas l utilité des français au gabon.la diplomatie des annees 1960 n est plus la meme qu aujourd hui.il faudrait que la france comprenne cela.si je peux etre president un jour au gabon,je vais commencer par rapatrier l armee française et couper les ponts avec la france.on a rien a fouttre des conventions qui ont ete signees avec les feux president leon mba et bongo.merci > > > > De : Dr. Daniel Mengara > > À : bdpalabres at bdpgabon.org > > Envoyé le : Ven 26 Février 2010, 5 h 14 min 09 s > > Objet : Le Roi nègre et L’Empereur : Au Gabon, Sarkozy vise surtout un apaisement néocolonialiste > > > > Pour comprendre les rapports néocolonialistes entre la France et le Gabon, il suffit de contraster le regard que la France porte sur ce pays avec celui des Américains. > > > > Alors que le Département d’Etat américain, année après année dans ses rapports annuels sur l’état des droits de l’homme dans le monde, n’a eu de cesse de décrire le Gabon comme un « pays dominé par une présidence forte » dans lequel la situation des droits de l’homme demeure « pauvre », avec comme conséquences fâcheuses « l’incapacité du peuple à changer ses gouvernants », les « arrestations et détentions arbitraires », les « restrictions de la libre expression, de la presse, du droit d’association et des déplacements», « une corruption gouvernementale généralisée » et un « usage excessif de la force », la France, elle, s’est pendant 42 ans évertuée à totalement ignorer ces considérations humaines et humanistes, préférant vanter la « stabilité » antidémocratique du pays et ses relations diplomatico-commerciales avec un Gabon qui, le plus souvent, se résume à la qualité de ses rapports, non pas avec l’Etat gabonais > > , mais avec la famille Bongo. > > > > A lire les descriptions sur le site du Ministère français des affaires étrangères, on prendrait le Gabon pour un pays « normal », tellement il est positivé et décrit comme un « partenaire traditionnel de la France », dont la seule valeur, paradoxalement, se résume à un utilitarisme mercantiliste qui réduit le Gabon à la plus simple expression de « pays de stationnement » des « forces [françaises] pré-positionnées en Afrique », donc une simple néo-colonie. Un Gabon qui, en sus, est dirigé par un Ali Bongo qui, reconnu héritier avant l’heure des avoirs gabonais de la Françafrique, fut « reçu en novembre 2008 par le Président de la République [Sarkozy] », donc adoubé, avant de recevoir le 6 septembre 2009 un « message de félicitations » du président français qui le reconnaissait, avant l’heure également, comme « président élu » du Gabon. Aucun mot, même dans la section décrivant la situation politique du pays, sur les troubles polit > > iques par lesquels le Gabon a dû passer pour se retrouver contraint d’« avaler » la réalité d’un Ali Bongo devenu comme par enchantement « président élu » du Gabon monarchisé. L’image du pays nommé Gabon en ressort largement nettoyée de ses « noirceurs » et profondément « démocratisée » par la France, en parfaite contradiction avec la réalité sur le terrain. > > > > L’observateur averti ne s’étonnera cependant pas de constater que la description française de la situation politique au Gabon ait une fâcheuse tendance non seulement à mettre un accent exagéré sur la famille Bongo et la légendaire « stabilité » du Gabon, mais aussi à occulter les dysfonctionnements politiques du régime mafia des Bongo. C’est que les rapports entre la France et le Gabon n’ont jamais été des rapports d’Etat à Etat, mais plutôt des rapports entre l’Etat français et le Président gabonais. Un président gabonais qui, dans ce contexte, n’a jamais été que le simple chef nègre d’une agence française en Afrique qui porte le nom de Gabon, donc le Roi nègre de la néo-colonie française nommée Gabon. Omar Bongo, c’est bien connu, fut un agent des services secrets français avant d’être intronisé président du Gabon par la France en 1967. A sa mort prématurée après 42 ans de pouvoir sans partage, la France n’a pas sembl� > > � sourciller à l’idée d’une succession dynastique au Gabon qui transmettait le pouvoir du père au fils, finissant ainsi d’établir le pays comme la propriété privée des Bongo, et partant, de confirmer le Gabon comme la chasse gardée privée d’une France qui essaie maladroitement de déguiser ses visées néocolonialistes au Gabon. > > > > Lire la suite: http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/25/de-la-rencontre-entre-l%e2%80%99empereur-blanc-et-le-roi-negrillon-au- gabon-sarkozy-vise-surtout-un-apaisement-neocolonialiste/ > > > > Autres Articles BDP: > > > > Les pires régimes du monde: La dynastie Bongo > > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/23/les-pires-regimes-du-monde-la-dynastie-bongo/ > > Sur le site MSN de Microsoft, dans la section “M6 & MSN Actualités”, il y a un petit article intéressant sur le petit pays nommé Gabon, pays que MSN a trouvé assez édifiant pour le classer parmi les pays avec les “pires régimes du monde”. Le titre global de la série d’articles sur [...] > > Source: BDP · 23 fév 2010 > > > > PDG-USA vs. Mengara – Réponse à Monsieur EPIÉ DU PDG, Parti-Etat du Gabon: Rappel à l’ordre républicain, OUI ! Mais qui est le dépositaire de cette morale ? (Dr. Bruno Ella) > > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/16/pdg-usa-vs-mengara-reponse-a-monsieur-epie-du-pdg-parti-etat-du-gabon-rappel- a-l%e2%80%99ordre-republicain-oui-mais-qi-est-le-depositaire-de-cette-morale-dr-bruno-ella/ > > Le 2 février courant, le Dr. Daniel Mengara a reçu dans sa boîte email une lettre d’un Monsieur se présentant comme le “Camarade” Hervé Epié se présentant comme Secrétaire Fédéral, membre du Conseil National du PDG. Dans sa lettre ouverte au Dr. Mengara, intitulée “PDG-USA vs. Mengara: Lettre Ouverte de Rappel à l’Ordre Républicain“, le “Camarade” [...] > > Source: BDP · 16 fév 2010 · > > > > Le BDP-Gabon Nouveau condamne la violente « émergence » du régime Bongo > > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/14/le-bdp-gabon-nouveau-condamne-la-violente-%c2%ab-emergence-%c2%bb-du-regime- bongo/ > > Ayant pris acte des énièmes attaques policières que le régime dynastique des Bongo a perpétrées contre le peuple gabonais le 11 février courant, notamment contre des étudiants en grève pour réclamer des bourses impayées, le mouvement « Bongo Doit Partir » (BDP-Gabon Nouveau) condamne cet acte de violence inqualifiable qui a fait 18 blessés innocents parmi [...] > > Source: BDP · 14 fév 2010 · > > > > Gabon: Ali Bongo Ondimba : Aussi pourri que son père > > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/09/gabon-ali-bongo-ondimba-aussi-pourri-que-son-pere/ > > Depuis la très malhonnête intronisation du “biaffre mal élu” du Gabon le 16 Octobre dernier, et le brouhaha fait autour des annonces de réformes aussi rocambolesques les unes que les autres avec lesquelles « bébé Ondimba » a voulu impressionner la galerie de béats et de naïfs qui ont vu en lui [...] > > Source: BDP · 9 fév 2010 · > > > > > > Gabon « émergent » ou Gabon « décadent » : A propos de ces idiots qui dirigent le Gabon… > > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/01/24/gabon-%c2%ab-emergent-%c2%bb-ou-gabon-%c2%ab-decadent-%c2%bb-a-propos-de- ces-idiots-qui-dirigent-le-gabon%e2%80%a6/ > > A quel moment le régime bongoïste au pouvoir au Gabon comprendra-t-il que le développement d’un pays ne se décrète point, et que ce n’est pas à coups de grosses annonces sorties de la caverne d’Ali Baba qu’un pays comme le Gabon se transformera, comme par le miracle de Jésus Christ, en cette nation d’hommes [...] > > Source: BDP · 24 jan 2010 > > > > Afrique francophone: L’ère des monarchies présidentielles > > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/01/12/afrique-francophone-l%e2%80%99ere-des-monarchies-presidentielles/ > > Par Daniel Mengara, Président de “Bongo Doit Partir”, le 12 janvier 2010. > > Après l’ère du parti unique et celle des démocraties de façade, l’Afrique serait-elle en train d’inaugurer l’ère des monarchies présidentielles ? Telle est bel et bien la tendance qui a semblé se dégager de la pratique ô combien oxymorique de la politique en Afrique francophone au cours [...] > > > > > > > > > > From protected at yahoo.fr Tue Mar 2 09:51:47 2010 From: protected at yahoo.fr (hugues mefane) Date: Tue, 02 Mar 2010 09:51:47 -0500 Subject: [BDPalabres] Re: Le Roi nègre et L’Empereur : Au Gabon, Sarkozy vise surtout un apaisement néocolonialiste Message-ID: DR Mengara, Il serait mieux de renter au Gabon, Ali a besoin de toutes les intelligences travaillons ensemble pour construire notre Pays, car les hommes partent et le Gabon reste, alors pensons aux générations futur, car nous ne devons pas leur laisser une image de discorde, mais plutôt de paix ,de devellopementet de partage --- En date de : Ven 26.2.10, Dr. Daniel Mengara a écrit : De: Dr. Daniel Mengara Objet: Le Roi nègre et L’Empereur : Au Gabon, Sarkozy vise surtout un apaisement néocolonialiste À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Vendredi 26 février 2010, 5h14 Pour comprendre les rapports néocolonialistes entre la France et le Gabon, il suffit de contraster le regard que la France porte sur ce pays avec celui des Américains. Alors que le Département d’Etat américain, année après année dans ses rapports annuels sur l’état des droits de l’homme dans le monde, n’a eu de cesse de décrire le Gabon comme un « pays dominé par une présidence forte » dans lequel la situation des droits de l’homme demeure « pauvre », avec comme conséquences fâcheuses « l’incapacité du peuple à changer ses gouvernants », les « arrestations et détentions arbitraires », les « restrictions de la libre expression, de la presse, du droit d’association et des déplacements», « une corruption gouvernementale généralisée » et un « usage excessif de la force », la France, elle, s’est pendant 42 ans évertuée à totalement ignorer ces considérations humaines et humanistes, préférant vanter la « stabilité » antidémocratique du pays et ses relations diplomatico-commerciales avec un Gabon qui, le plus souvent, se résume à la qualité de ses rapports, non pas avec l’Etat gabonais, mais avec la famille Bongo. A lire les descriptions sur le site du Ministère français des affaires étrangères, on prendrait le Gabon pour un pays « normal », tellement il est positivé et décrit comme un « partenaire traditionnel de la France », dont la seule valeur, paradoxalement, se résume à un utilitarisme mercantiliste qui réduit le Gabon à la plus simple expression de « pays de stationnement » des « forces [françaises] pré-positionnées en Afrique », donc une simple néo-colonie. Un Gabon qui, en sus, est dirigé par un Ali Bongo qui, reconnu héritier avant l’heure des avoirs gabonais de la Françafrique, fut « reçu en novembre 2008 par le Président de la République [Sarkozy] », donc adoubé, avant de recevoir le 6 septembre 2009 un « message de félicitations » du président français qui le reconnaissait, avant l’heure également, comme « président élu » du Gabon. Aucun mot, même dans la section décrivant la situation politique du pays, sur les troubles politiques par lesquels le Gabon a dû passer pour se retrouver contraint d’« avaler » la réalité d’un Ali Bongo devenu comme par enchantement « président élu » du Gabon monarchisé. L’image du pays nommé Gabon en ressort largement nettoyée de ses « noirceurs » et profondément « démocratisée » par la France, en parfaite contradiction avec la réalité sur le terrain. L’observateur averti ne s’étonnera cependant pas de constater que la description française de la situation politique au Gabon ait une fâcheuse tendance non seulement à mettre un accent exagéré sur la famille Bongo et la légendaire « stabilité » du Gabon, mais aussi à occulter les dysfonctionnements politiques du régime mafia des Bongo. C’est que les rapports entre la France et le Gabon n’ont jamais été des rapports d’Etat à Etat, mais plutôt des rapports entre l’Etat français et le Président gabonais. Un président gabonais qui, dans ce contexte, n’a jamais été que le simple chef nègre d’une agence française en Afrique qui porte le nom de Gabon, donc le Roi nègre de la néo-colonie française nommée Gabon. Omar Bongo, c’est bien connu, fut un agent des services secrets français avant d’être intronisé président du Gabon par la France en 1967. A sa mort prématurée après 42 ans de pouvoir sans partage, la France n’a pas semblé sourciller à l’idée d’une succession dynastique au Gabon qui transmettait le pouvoir du père au fils, finissant ainsi d’établir le pays comme la propriété privée des Bongo, et partant, de confirmer le Gabon comme la chasse gardée privée d’une France qui essaie maladroitement de déguiser ses visées néocolonialistes au Gabon. Lire la suite: http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/25/de-la-rencontre-entre-l%e2%80%99empereur-blanc-et-le-roi-negrillon-au-gabon-sarkozy-vise-surtout-un-apaisement-neocolonialiste/ Autres Articles BDP: Les pires régimes du monde: La dynastie Bongo http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/23/les-pires-regimes-du-monde-la-dynastie-bongo/ Sur le site MSN de Microsoft, dans la section “M6 & MSN Actualités”, il y a un petit article intéressant sur le petit pays nommé Gabon, pays que MSN a trouvé assez édifiant pour le classer parmi les pays avec les “pires régimes du monde”. Le titre global de la série d’articles sur [...] Source: BDP · 23 fév 2010 PDG-USA vs. Mengara – Réponse à Monsieur EPIÉ DU PDG, Parti-Etat du Gabon: Rappel à l’ordre républicain, OUI ! Mais qui est le dépositaire de cette morale ? (Dr. Bruno Ella) http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/16/pdg-usa-vs-mengara-reponse-a-monsieur-epie-du-pdg-parti-etat-du-gabon-rappel-a-l%e2%80%99ordre-republicain-oui-mais-qi-est-le-depositaire-de-cette-morale-dr-bruno-ella/ Le 2 février courant, le Dr. Daniel Mengara a reçu dans sa boîte email une lettre d’un Monsieur se présentant comme le “Camarade” Hervé Epié se présentant comme Secrétaire Fédéral, membre du Conseil National du PDG. Dans sa lettre ouverte au Dr. Mengara, intitulée “PDG-USA vs. Mengara: Lettre Ouverte de Rappel à l’Ordre Républicain“, le “Camarade” [...] Source: BDP · 16 fév 2010 · Le BDP-Gabon Nouveau condamne la violente « émergence » du régime Bongo http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/14/le-bdp-gabon-nouveau-condamne-la-violente-%c2%ab-emergence-%c2%bb-du-regime-bongo/ Ayant pris acte des énièmes attaques policières que le régime dynastique des Bongo a perpétrées contre le peuple gabonais le 11 février courant, notamment contre des étudiants en grève pour réclamer des bourses impayées, le mouvement « Bongo Doit Partir » (BDP-Gabon Nouveau) condamne cet acte de violence inqualifiable qui a fait 18 blessés innocents parmi [...] Source: BDP · 14 fév 2010 · Gabon: Ali Bongo Ondimba : Aussi pourri que son père http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/09/gabon-ali-bongo-ondimba-aussi-pourri-que-son-pere/ Depuis la très malhonnête intronisation du “biaffre mal élu” du Gabon le 16 Octobre dernier, et le brouhaha fait autour des annonces de réformes aussi rocambolesques les unes que les autres avec lesquelles « bébé Ondimba » a voulu impressionner la galerie de béats et de naïfs qui ont vu en lui [...] Source: BDP · 9 fév 2010 · Gabon « émergent » ou Gabon « décadent » : A propos de ces idiots qui dirigent le Gabon… http://www.bdpgabon.org/articles/2010/01/24/gabon-%c2%ab-emergent-%c2%bb-ou-gabon-%c2%ab-decadent-%c2%bb-a-propos-de-ces-idiots-qui-dirigent-le-gabon%e2%80%a6/ A quel moment le régime bongoïste au pouvoir au Gabon comprendra-t-il que le développement d’un pays ne se décrète point, et que ce n’est pas à coups de grosses annonces sorties de la caverne d’Ali Baba qu’un pays comme le Gabon se transformera, comme par le miracle de Jésus Christ, en cette nation d’hommes [...] Source: BDP · 24 jan 2010 Afrique francophone: L’ère des monarchies présidentielles http://www.bdpgabon.org/articles/2010/01/12/afrique-francophone-l%e2%80%99ere-des-monarchies-presidentielles/ Par Daniel Mengara, Président de “Bongo Doit Partir”, le 12 janvier 2010. Après l’ère du parti unique et celle des démocraties de façade, l’Afrique serait-elle en train d’inaugurer l’ère des monarchies présidentielles ? Telle est bel et bien la tendance qui a semblé se dégager de la pratique ô combien oxymorique de la politique en Afrique francophone au cours [...] From protected at yahoo.com Tue Mar 2 12:21:01 2010 From: protected at yahoo.com (Mane More) Date: Tue, 02 Mar 2010 12:21:01 -0500 Subject: [BDPalabres] Re : Le Roi nègre et L’Empereur : Au Gabon, Sarkozy vise surtout un apaisement néocolonialiste Message-ID: Mengara doit rentrer parce que le Gabon reste et les hommes partent? Alors à quand le départ d'Ali et des Bongo pour que le Gabon reste aux jeunes générations qui ont le savoir faire pour développer le Gabon? A quand ton Ali et sa famille vont-ils appliquer ta maxime et penser aux générations futures? Ou alors on ne peut déveloper le Gabon qu'avec tous les intelligence du Gabon sous la tutelles des Bongo pour des siècles et des siècles? AAAAAmeeeennnnnn. hugues mefane wrote: > DR Mengara, > Il serait mieux de renter au Gabon, Ali a besoin de toutes les intelligences travaillons ensemble pour construire notre Pays, car les hommes partent et le Gabon reste, alors pensons aux générations futur, car nous ne devons pas leur laisser une image de discorde, mais plutôt de paix ,de devellopementet de partage > > --- En date de : Ven 26.2.10, Dr. Daniel Mengara a écrit : > > > De: Dr. Daniel Mengara > Objet: Le Roi nègre et L’Empereur : Au Gabon, Sarkozy vise surtout un apaisement néocolonialiste > À: bdpalabres at bdpgabon.org > Date: Vendredi 26 février 2010, 5h14 > > Pour comprendre les rapports néocolonialistes entre la France et le Gabon, il suffit de contraster le regard que la France porte sur ce pays avec celui des Américains. > > Alors que le Département d’Etat américain, année après année dans ses rapports annuels sur l’état des droits de l’homme dans le monde, n’a eu de cesse de décrire le Gabon comme un « pays dominé par une présidence forte » dans lequel la situation des droits de l’homme demeure « pauvre », avec comme conséquences fâcheuses « l’incapacité du peuple à changer ses gouvernants », les « arrestations et détentions arbitraires », les « restrictions de la libre expression, de la presse, du droit d’association et des déplacements», « une corruption gouvernementale généralisée » et un « usage excessif de la force », la France, elle, s’est pendant 42 ans évertuée à totalement ignorer ces considérations humaines et humanistes, préférant vanter la « stabilité » antidémocratique du pays et ses relations diplomatico-commerciales avec un Gabon qui, le plus souvent, se résume à la qualité de ses rapports, non pas avec l’Etat gabonais, mais avec la famille Bongo. > > A lire les descriptions sur le site du Ministère français des affaires étrangères, on prendrait le Gabon pour un pays « normal », tellement il est positivé et décrit comme un « partenaire traditionnel de la France », dont la seule valeur, paradoxalement, se résume à un utilitarisme mercantiliste qui réduit le Gabon à la plus simple expression de « pays de stationnement » des « forces [françaises] pré-positionnées en Afrique », donc une simple néo-colonie. Un Gabon qui, en sus, est dirigé par un Ali Bongo qui, reconnu héritier avant l’heure des avoirs gabonais de la Françafrique, fut « reçu en novembre 2008 par le Président de la République [Sarkozy] », donc adoubé, avant de recevoir le 6 septembre 2009 un « message de félicitations » du président français qui le reconnaissait, avant l’heure également, comme « président élu » du Gabon. Aucun mot, même dans la section décrivant la situation politique du pays, sur les troubles politiques par lesquels le Gabon a dû passer pour se retrouver contraint d’« avaler » la réalité d’un Ali Bongo devenu comme par enchantement « président élu » du Gabon monarchisé. L’image du pays nommé Gabon en ressort largement nettoyée de ses « noirceurs » et profondément « démocratisée » par la France, en parfaite contradiction avec la réalité sur le terrain. > > L’observateur averti ne s’étonnera cependant pas de constater que la description française de la situation politique au Gabon ait une fâcheuse tendance non seulement à mettre un accent exagéré sur la famille Bongo et la légendaire « stabilité » du Gabon, mais aussi à occulter les dysfonctionnements politiques du régime mafia des Bongo. C’est que les rapports entre la France et le Gabon n’ont jamais été des rapports d’Etat à Etat, mais plutôt des rapports entre l’Etat français et le Président gabonais. Un président gabonais qui, dans ce contexte, n’a jamais été que le simple chef nègre d’une agence française en Afrique qui porte le nom de Gabon, donc le Roi nègre de la néo-colonie française nommée Gabon. Omar Bongo, c’est bien connu, fut un agent des services secrets français avant d’être intronisé président du Gabon par la France en 1967. A sa mort prématurée après 42 ans de pouvoir sans partage, la France n’a pas semblé sourciller à l’idée d’une succession dynastique au Gabon qui transmettait le pouvoir du père au fils, finissant ainsi d’établir le pays comme la propriété privée des Bongo, et partant, de confirmer le Gabon comme la chasse gardée privée d’une France qui essaie maladroitement de déguiser ses visées néocolonialistes au Gabon. > > Lire la suite: http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/25/de-la-rencontre-entre-l%e2%80%99empereur-blanc-et-le-roi-negrillon-au-gabon-sarkozy-vise-surtout-un-apaisement-neocolonialiste/ > > Autres Articles BDP: > > Les pires régimes du monde: La dynastie Bongo > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/23/les-pires-regimes-du-monde-la-dynastie-bongo/ > Sur le site MSN de Microsoft, dans la section “M6 & MSN Actualités”, il y a un petit article intéressant sur le petit pays nommé Gabon, pays que MSN a trouvé assez édifiant pour le classer parmi les pays avec les “pires régimes du monde”. Le titre global de la série d’articles sur [...] > Source: BDP · 23 fév 2010 > > PDG-USA vs. Mengara – Réponse à Monsieur EPIÉ DU PDG, Parti-Etat du Gabon: Rappel à l’ordre républicain, OUI ! Mais qui est le dépositaire de cette morale ? (Dr. Bruno Ella) > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/16/pdg-usa-vs-mengara-reponse-a-monsieur-epie-du-pdg-parti-etat-du-gabon-rappel-a-l%e2%80%99ordre-republicain-oui-mais-qi-est-le-depositaire-de-cette-morale-dr-bruno-ella/ > Le 2 février courant, le Dr. Daniel Mengara a reçu dans sa boîte email une lettre d’un Monsieur se présentant comme le “Camarade” Hervé Epié se présentant comme Secrétaire Fédéral, membre du Conseil National du PDG. Dans sa lettre ouverte au Dr. Mengara, intitulée “PDG-USA vs. Mengara: Lettre Ouverte de Rappel à l’Ordre Républicain“, le “Camarade” [...] > Source: BDP · 16 fév 2010 · > > Le BDP-Gabon Nouveau condamne la violente « émergence » du régime Bongo > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/14/le-bdp-gabon-nouveau-condamne-la-violente-%c2%ab-emergence-%c2%bb-du-regime-bongo/ > Ayant pris acte des énièmes attaques policières que le régime dynastique des Bongo a perpétrées contre le peuple gabonais le 11 février courant, notamment contre des étudiants en grève pour réclamer des bourses impayées, le mouvement « Bongo Doit Partir » (BDP-Gabon Nouveau) condamne cet acte de violence inqualifiable qui a fait 18 blessés innocents parmi [...] > Source: BDP · 14 fév 2010 · > > Gabon: Ali Bongo Ondimba : Aussi pourri que son père > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/09/gabon-ali-bongo-ondimba-aussi-pourri-que-son-pere/ > Depuis la très malhonnête intronisation du “biaffre mal élu” du Gabon le 16 Octobre dernier, et le brouhaha fait autour des annonces de réformes aussi rocambolesques les unes que les autres avec lesquelles « bébé Ondimba » a voulu impressionner la galerie de béats et de naïfs qui ont vu en lui [...] > Source: BDP · 9 fév 2010 · > > > Gabon « émergent » ou Gabon « décadent » : A propos de ces idiots qui dirigent le Gabon… > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/01/24/gabon-%c2%ab-emergent-%c2%bb-ou-gabon-%c2%ab-decadent-%c2%bb-a-propos-de-ces-idiots-qui-dirigent-le-gabon%e2%80%a6/ > A quel moment le régime bongoïste au pouvoir au Gabon comprendra-t-il que le développement d’un pays ne se décrète point, et que ce n’est pas à coups de grosses annonces sorties de la caverne d’Ali Baba qu’un pays comme le Gabon se transformera, comme par le miracle de Jésus Christ, en cette nation d’hommes [...] > Source: BDP · 24 jan 2010 > > Afrique francophone: L’ère des monarchies présidentielles > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/01/12/afrique-francophone-l%e2%80%99ere-des-monarchies-presidentielles/ > Par Daniel Mengara, Président de “Bongo Doit Partir”, le 12 janvier 2010. > Après l’ère du parti unique et celle des démocraties de façade, l’Afrique serait-elle en train d’inaugurer l’ère des monarchies présidentielles ? Telle est bel et bien la tendance qui a semblé se dégager de la pratique ô combien oxymorique de la politique en Afrique francophone au cours [...] From protected at hotmail.fr Tue Mar 2 12:25:28 2010 From: protected at hotmail.fr (d nic) Date: Tue, 02 Mar 2010 12:25:28 -0500 Subject: [BDPalabres] Re : Le Roi nègre et L’Empereur : Au Gabon, Sarkozy vise surtout un apaisement néocolonialiste Message-ID: le jour ou les gabonais seront moins cons, et un peu plus travailleurs, peut etre seront ils un peu moins pauvres... sans toujours compter sur le Blanc; > To: bdpalabres at bdpgabon.org > From: protected at yahoo.fr > Subject: [BDPalabres] Re: Le Roi nègre et L’Empereur : Au Gabon, Sarkozy vise surtout un apaisement néocolonialiste > Date: Tue, 2 Mar 2010 09:51:47 -0500 > > DR Mengara, > Il serait mieux de renter au Gabon, Ali a besoin de toutes les intelligences travaillons ensemble pour construire notre Pays, car les hommes partent et le Gabon reste, alors pensons aux générations futur, car nous ne devons pas leur laisser une image de discorde, mais plutôt de paix ,de devellopementet de partage > > --- En date de : Ven 26.2.10, Dr. Daniel Mengara a écrit : > > > De: Dr. Daniel Mengara > Objet: Le Roi nègre et L’Empereur : Au Gabon, Sarkozy vise surtout un apaisement néocolonialiste > À: bdpalabres at bdpgabon.org > Date: Vendredi 26 février 2010, 5h14 > > Pour comprendre les rapports néocolonialistes entre la France et le Gabon, il suffit de contraster le regard que la France porte sur ce pays avec celui des Américains. > > Alors que le Département d’Etat américain, année après année dans ses rapports annuels sur l’état des droits de l’homme dans le monde, n’a eu de cesse de décrire le Gabon comme un « pays dominé par une présidence forte » dans lequel la situation des droits de l’homme demeure « pauvre », avec comme conséquences fâcheuses « l’incapacité du peuple à changer ses gouvernants », les « arrestations et détentions arbitraires », les « restrictions de la libre expression, de la presse, du droit d’association et des déplacements», « une corruption gouvernementale généralisée » et un « usage excessif de la force », la France, elle, s’est pendant 42 ans évertuée à totalement ignorer ces considérations humaines et humanistes, préférant vanter la « stabilité » antidémocratique du pays et ses relations diplomatico-commerciales avec un Gabon qui, le plus souvent, se résume à la qualité de ses rapports, non pas avec l’Etat gabonais, mais avec la famille Bongo. > > A lire les descriptions sur le site du Ministère français des affaires étrangères, on prendrait le Gabon pour un pays « normal », tellement il est positivé et décrit comme un « partenaire traditionnel de la France », dont la seule valeur, paradoxalement, se résume à un utilitarisme mercantiliste qui réduit le Gabon à la plus simple expression de « pays de stationnement » des « forces [françaises] pré-positionnées en Afrique », donc une simple néo-colonie. Un Gabon qui, en sus, est dirigé par un Ali Bongo qui, reconnu héritier avant l’heure des avoirs gabonais de la Françafrique, fut « reçu en novembre 2008 par le Président de la République [Sarkozy] », donc adoubé, avant de recevoir le 6 septembre 2009 un « message de félicitations » du président français qui le reconnaissait, avant l’heure également, comme « président élu » du Gabon. Aucun mot, même dans la section décrivant la situation politique du pays, sur les troubles politiques par lesquels le Gabon a dû passer pour se retrouver contraint d’« avaler » la réalité d’un Ali Bongo devenu comme par enchantement « président élu » du Gabon monarchisé. L’image du pays nommé Gabon en ressort largement nettoyée de ses « noirceurs » et profondément « démocratisée » par la France, en parfaite contradiction avec la réalité sur le terrain. > > L’observateur averti ne s’étonnera cependant pas de constater que la description française de la situation politique au Gabon ait une fâcheuse tendance non seulement à mettre un accent exagéré sur la famille Bongo et la légendaire « stabilité » du Gabon, mais aussi à occulter les dysfonctionnements politiques du régime mafia des Bongo. C’est que les rapports entre la France et le Gabon n’ont jamais été des rapports d’Etat à Etat, mais plutôt des rapports entre l’Etat français et le Président gabonais. Un président gabonais qui, dans ce contexte, n’a jamais été que le simple chef nègre d’une agence française en Afrique qui porte le nom de Gabon, donc le Roi nègre de la néo-colonie française nommée Gabon. Omar Bongo, c’est bien connu, fut un agent des services secrets français avant d’être intronisé président du Gabon par la France en 1967. A sa mort prématurée après 42 ans de pouvoir sans partage, la France n’a pas semblé sourciller à l’idée d’une succession dynastique au Gabon qui transmettait le pouvoir du père au fils, finissant ainsi d’établir le pays comme la propriété privée des Bongo, et partant, de confirmer le Gabon comme la chasse gardée privée d’une France qui essaie maladroitement de déguiser ses visées néocolonialistes au Gabon. > > Lire la suite: http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/25/de-la-rencontre-entre-l%e2%80%99empereur-blanc-et-le-roi-negrillon-au-gabon-sarkozy-vise-surtout-un-apaisement-neocolonialiste/ > > Autres Articles BDP: > > Les pires régimes du monde: La dynastie Bongo > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/23/les-pires-regimes-du-monde-la-dynastie-bongo/ > Sur le site MSN de Microsoft, dans la section “M6 & MSN Actualités”, il y a un petit article intéressant sur le petit pays nommé Gabon, pays que MSN a trouvé assez édifiant pour le classer parmi les pays avec les “pires régimes du monde”. Le titre global de la série d’articles sur [...] > Source: BDP · 23 fév 2010 > > PDG-USA vs. Mengara – Réponse à Monsieur EPIÉ DU PDG, Parti-Etat du Gabon: Rappel à l’ordre républicain, OUI ! Mais qui est le dépositaire de cette morale ? (Dr. Bruno Ella) > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/16/pdg-usa-vs-mengara-reponse-a-monsieur-epie-du-pdg-parti-etat-du-gabon-rappel-a-l%e2%80%99ordre-republicain-oui-mais-qi-est-le-depositaire-de-cette-morale-dr-bruno-ella/ > Le 2 février courant, le Dr. Daniel Mengara a reçu dans sa boîte email une lettre d’un Monsieur se présentant comme le “Camarade” Hervé Epié se présentant comme Secrétaire Fédéral, membre du Conseil National du PDG. Dans sa lettre ouverte au Dr. Mengara, intitulée “PDG-USA vs. Mengara: Lettre Ouverte de Rappel à l’Ordre Républicain“, le “Camarade” [...] > Source: BDP · 16 fév 2010 · > > Le BDP-Gabon Nouveau condamne la violente « émergence » du régime Bongo > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/14/le-bdp-gabon-nouveau-condamne-la-violente-%c2%ab-emergence-%c2%bb-du-regime-bongo/ > Ayant pris acte des énièmes attaques policières que le régime dynastique des Bongo a perpétrées contre le peuple gabonais le 11 février courant, notamment contre des étudiants en grève pour réclamer des bourses impayées, le mouvement « Bongo Doit Partir » (BDP-Gabon Nouveau) condamne cet acte de violence inqualifiable qui a fait 18 blessés innocents parmi [...] > Source: BDP · 14 fév 2010 · > > Gabon: Ali Bongo Ondimba : Aussi pourri que son père > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/02/09/gabon-ali-bongo-ondimba-aussi-pourri-que-son-pere/ > Depuis la très malhonnête intronisation du “biaffre mal élu” du Gabon le 16 Octobre dernier, et le brouhaha fait autour des annonces de réformes aussi rocambolesques les unes que les autres avec lesquelles « bébé Ondimba » a voulu impressionner la galerie de béats et de naïfs qui ont vu en lui [...] > Source: BDP · 9 fév 2010 · > > > Gabon « émergent » ou Gabon « décadent » : A propos de ces idiots qui dirigent le Gabon… > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/01/24/gabon-%c2%ab-emergent-%c2%bb-ou-gabon-%c2%ab-decadent-%c2%bb-a-propos-de-ces-idiots-qui-dirigent-le-gabon%e2%80%a6/ > A quel moment le régime bongoïste au pouvoir au Gabon comprendra-t-il que le développement d’un pays ne se décrète point, et que ce n’est pas à coups de grosses annonces sorties de la caverne d’Ali Baba qu’un pays comme le Gabon se transformera, comme par le miracle de Jésus Christ, en cette nation d’hommes [...] > Source: BDP · 24 jan 2010 > > Afrique francophone: L’ère des monarchies présidentielles > http://www.bdpgabon.org/articles/2010/01/12/afrique-francophone-l%e2%80%99ere-des-monarchies-presidentielles/ > Par Daniel Mengara, Président de “Bongo Doit Partir”, le 12 janvier 2010. > Après l’ère du parti unique et celle des démocraties de façade, l’Afrique serait-elle en train d’inaugurer l’ère des monarchies présidentielles ? Telle est bel et bien la tendance qui a semblé se dégager de la pratique ô combien oxymorique de la politique en Afrique francophone au cours [...] From protected at bdpgabon.org Sun Mar 7 12:43:31 2010 From: protected at bdpgabon.org (Bongo Doit Partir) Date: Sun, 07 Mar 2010 12:43:31 -0500 Subject: [BDPalabres] Communiqué: Le. Dr. Mengara, Président de "Bongo Doit Partir" appelle Hillary Clinton à ne pas recevoir Ali Bongo Message-ID: La PDF du Présent message est disponible sur le site: http://www.bdpgabon.org/articles/2010/03/07/communique-le-dr-daniel-mengara-appelle-hillary-clinton-a-ne-pas-recevoir-ali-bongo-ondimba/ Dans une lettre à Hillary Clinton diffusée ce dimanche 7 mars 2010, le Dr. Daniel Mengara, Président du mouvement “Bongo Doit Partir”, appelle la secrétaire d’Etat américaine à ne pas rencontrer Ali Bongo Ondimnba lors de la visite du dictateur gabonais aux Etats-Unis depuis ce dimanche. Communiqué de presse pour diffusion immédiate BONGO DOIT PARTIR Office of the President ----------------------------------- Hillary Rodham Clinton Secretary of State U.S. Department of State 2201 C Street NW Washington, DC 20520 Sunday, March 7, 2010 Re: Urgent Call to Cancel Meeting with Ali Bongo Ondimba Dear Mrs. Secretary of State: Having become aware of your plan to grant the honor of an official meeting to Gabonese despot Ali Bongo Ondimba, the heir to the 42-year-old regime of Omar Bongo Ondimba, I write in great emergency to request, in the name of the Gabonese people, that you do not meet with the dictator. As a matter of fact, meeting with Ali Bongo Ondimba would constitute an unacceptable move by the United States, as this would condone the reign of dictatorship in Gabon and the continuation of human right abuses in a country that has been ruled by the same family for 42 years. In fact, with Ali Bongo succeeding his father following rigged elections on August 30, 2009, Gabon is now in a situation where it will potentially be ruled by the same family for more than 72 years. Omar Bongo reigned for 42-years since 1967and with no statutory nor constitutional limit to his inherited presidency, his son Ali Bongo Ondimba is also poised to reign for life. He is certainly young enough to stay in power for the next 30 years. This would usher the Republic of Gabon into an era of quasi monarchical rule by the same family and nothing guarantees that Ali Bongo will not, in turn, as his own father did, prepare one of his own sons for succession to ensure that Gabon continues to remain the private property of one family. Dear Mrs. Secretary of State, Gabon is far from being a democracy. Multiparty presidential elections are, indeed, held since 1993, but these have been so traditionally rigged by the regime that there is no hope that the Gabonese people will ever be able to change their leaders through peaceful and democratic means. In fact, in its annual reports on Human Rights, the State Department’s own Web site has consistently described Gabon as a country “dominated by a strong presidency and the Gabonese Democratic Party (PDG), which has held power since 1968.” The reports have further described the country as one in which the “human rights record remained poor,» with “limited ability of citizens to change their government; use of excessive force, including torture toward prisoners and detainees; harsh prison conditions; arbitrary arrest and detention; an inefficient judiciary susceptible to government influence; restrictions on the right to privacy; restrictions on freedom of speech, press, association, and movement; harassment of refugees; widespread government corruption; violence and societal discrimination against women, persons with HIV/AIDS, and noncitizen Africans; trafficking in persons, particularly children; and forced labor and child labor.” I myself, after creating the “Bongo Doit Partir” (Bongo Must Go) movement in 1998, was banned from entering the country for 11 years as Omar Bongo personally prevented the delivery of my Gabonese passport. Following his death in June 2009, I was able to go to Gabon during the presidential interim period mandated by the Constitution, but was arbitrarily banned from running for the country’s presidency by the Constitutional Court. This is because the regime knew that, unlike the 23 other candidates, some of whom had been fabricated by the regime itself, my political discourse was likely to raise the real questions and cause a popular insurrection such as is currently being waged in Iran by those who believe that the only way of undoing the Iranian dictatorship is through the street and popular uprising, if not a military coup. I believe that if the United States has supported the popular insurrection in Iran by populations eager for democratic change, it should also support such a possibility in Gabon. This situation in Gabon has not changed with the presidency of Ali Bongo Ondimba, Mrs. Secretary of State. In fact, the situation is expected to worsen since Mr. Ali Bongo, despite a whole litany of empty and incoherent announcements which he has called “reforms,” is highly unpopular and has not touched on the institutional status quo that fraudulently eased him into power thanks to the constitutional manipulations inherited from his father. Such manipulations have consistently and systematically adulterated the 1991 Constitution promulgated by the National Conference of 1990, a constitution that not only reinstated multiparty politics in Gabon, but also limited the presidential term of office to a 5-year term limit renewable once for a maximum of ten years. It also provided for the need for a run-off election should none of the candidates get 50,01% of the vote in the first round of voting. Omar Bongo changed all that, making it possible for himself to be reelected into office for life, even with a minority of the vote. Gabon’s president basically could actually be elected into office with as little as 10% of the vote. And with the media, the army, the treasury, the parliament and the courts firmly under the control of the presidency, it is unlikely real democracy will ever be established in Gabon with the Bongo family in power. Ali Bongo is not likely to change the Constitution back to, at least, what it was in 1991, as he knows he could not survive in power without a constitution that is essentially tailored to his inability to get democratically elected. His presidency, just like that of his father is simply, therefore, a fraud. Ali Bongo himself is as corrupt as his father was. As a matter of fact, he was recently implicated in various corruption scandals, including recent February 2010 report and findings by the United States Senate’s Permanent Subcommittee on Investigations (http://levin.senate.gov/senate/statement.cfm?id=322089). The Senate found that, in 2006, Mr. Ali Bongo had given $25 million of Gabon’s money to his now former wife Inge Collins Bongo for the purchase of a $25 million mansion in Malibu, California. In 2006, Mr. Ali Bongo and his father Omar Bongo also “hired a U.S. lobbyist, Jeffrey Birrell, to buy U.S.-made armored vehicles and to obtain U.S. government permission to buy six C-130 military cargo aircraft from Saudi Arabia to support his regime.” This report echoes the 1999 investigation by the same Senate Permanent Subcommittee on Investigations, which had found that Omar Bongo was depositing huge amounts of Gabon’s money (some $130 million) in accounts held at the Citibank of New York. These sums were for personal use and had apparently been illegally siphoned out of the country’s treasury. Various other inquiries have determined that Omar Bongo often illegally allocated himself close to 10% of the Gabonese budget annually, and was receiving annual bribes of 50 million Euros ($68 million) from the French oil company Elf-Aquitaine. In 2005, Omar Bongo even paid Jack Abramoff, a now convicted U.S. lobbyist, $9 million for the opportunity of a photo op with George W Bush. The U.S. Senate’s 2010 report is not, therefore, mincing its words when it describes Ali Bongo and his deceased father in the following terms: “Omar Bongo, President of Gabon for 41 years until his death last year, and his eldest son, Ali Bongo, Minister of Defense until he took his father’s place as President of the country […] are notorious for accumulating massive wealth while in office in a country known for poverty.” The system of corruption and money laundering which Ali Bongo inherited from his father is still pretty much intact. Worse, Gabon is an oil-and-minerals-rich country with a per-capita income which the CIA World Factbook rates at close to $14,000 (many times higher than those of China and India), yet 60% of the population still lives under the poverty line, and the country lacks basic infrastructure in the form of decent hospitals and roads. Meanwhile, the Bongo family owns 39 properties in France worth $200 million, including 70 bank accounts and million-dollar collection automobiles. This is just in France alone. Dear Mrs. Secretary of State, I have often argued, in my teachings as a professor of French and Francophone studies (Africa and Caribbean) at Montclair State University where I have taught now for 14 years, that none of the democratic nations of the world, including the United States, should patronize Africa by making certain practices acceptable simply because “it is Africa.” In other words, if human right abuses and the fact that a president should stay in power for 42 years are behaviors that are unacceptable to the people of the United States, then such practices should be considered unacceptable in Africa as well. Democracy should not be a matter of negotiation or choice. It should be the rule, even in Africa. As President Obama said during his July 2009 visit to Ghana, “Africa doesn’t need strongmen, it needs strong institutions.” It is time, Mrs. Secretary of State, America upheld this principle by simply refusing Ali Bongo the honor of an official meeting either with President Barack Obama or the United States Secretary of State, or any other U.S. official for that matter. Tell Ali Bongo, Mrs. Secretary of State, that you will meet with him only after he has returned Gabon back to, at least, the 1991 constitution, and free and fair elections are held that will bring to power a president chosen by the people. Sincerely, Dr. Daniel Mengara President of “Bongo Doit Partir” (Bongo Must Go) Associate Professor of French and Francophone Studies at Montclair State University, New Jersey, USA BDP-Gabon Nouveau P.O. Box 3216 TCB West Orange, NJ 07052, USA Tel/Fax : 973-447-9763 http://www.bdpgabon.org