From protected at gmail.com Sun Mar 1 21:17:27 2009 From: protected at gmail.com (franck ABESSOLO) Date: Sun, 01 Mar 2009 21:17:27 -0500 Subject: [BDPalabres] Analyse sur la politisation de l'ASEEGS Message-ID: Chers compatriote, Dans 9 jours les étudiants gabonais au Sénégal iront aux urnes pour choisir le bureau qui devra défendre leurs intérêts. Il est donc important pour nous votant d'être éclairés sur le processus électoral. J'estime qu'il est important que nous analysions les messages électroniques de nature parfois trompeuse. Je me suis permis de vous écrire pour vous partager mon analyse ce mail que certain d'entre vous ont reçu en date du Lundi 12 Février 2009 dont l'expéditeur est Monsieur Edouard Ngoma. Je voudrais saluer les compatriote qui nous écrit ce mail. Après enquête sur les informations fournies dans ce mail, certaines d'entre elles sont avérées. Je ne partage pas son avis quand il affirme que je grand frère de MBINA Gauthier faisait la campagne avec lui. à ce que je sache la campagne n'était pas ouverte. Ce qui ne me semble pas être vrai. Pour ce qui est du président sortant d'avis M. Davy MOUSSAVOU, ne pense pas qu'il a fait plus de 3 mois à libreville. Dans le mails de M.Ngoma, il parle de la moitié de son mandat. S'il était vraie qu'il M. Davy MOUSSAVOU était sur une liste électorale, je pense qu'il fallait nous le dire plus tôt. Car nous l'aurions poussé à la démission. Par contre, ce qui est certain c'est que M. Yannick ESSONO soit effectivement coordinateur général de l'Union du Peuple Gabonais (UPG) au Sénégal. Ce dernier aurait démissionné de la Commission Electorale Indépendante(CEI) chargée de l'organisation de l'élection du bureau exécutif et du commissariat au compte de l'ASEEGS. Selon une source sûre,proche de la dite CEI, il serait sortie de la commission électorale pour soutenir l'un des candidats en course pour la présidence de l'ASEEGS. Il aurait manqué à son devoir d'impartialité,en effet, il a été prouvés par ses pairs qu'il assistait aux réunions de compagne de la candidate Maguy BILOGHE BI- OBIENG. Or l'article 91 alinéa 2 du règlement intérieur de l'ASEEGS dispose:" Tout membre de la commission électorale qui entretiendrait des liens direct et partisans avec des listes engagées dans la course à la présidence de l’association des Elèves et Etudiants Gabonais au Sénégal (A.S.E.E.G.S) ou manque à son devoir d’impartialité, peut être récusé par ses pairs ou par tous membres de l’association qui apporteraient la preuve de sa partialité ou de ses prédispositions à l’être. " Ses pairs de la CEI aurait apporter la preuve de ses prédispositions à soutenir la candidate Maguy OBIENG. On voit là encore une volonté délibéré de tromper les gabonais. Il inconcevable que nous étudiants, nous puissions faire les mêmes choses que nous reprochons à nous dirigeant au Gabon. Dans le prochains jours je ferai une enquête pour en savoir plus et analyser le fait pour éclairer les gabonais dans le choix du candidat. Quand des politiciens se mêlent des affaires des étudiants on peut s'attendre à tout. Ci-joint le message de M. Eduard Gnoma: "L'association des Elèves et Etudiants Gabonais au Sénégal (ASEEGS) est devenu aujourd'hui un terrain prisé par les hommes politiques du Gabon. En effet le nombre élevé de gabonais au Sénégal n'est pas négligeable (4000 environ) représente plus qu'un département au Gabon. Pour ceux qui étaient à Dakar en 2005 lors des élections présidentielles, il n'est pas un secret de polichinelle de savoir que le candidat naturel du Gabon à perdu les élections face au candidat de l'UPG (Pierre Mamboundou Mamboundou ). Depuis lors, les étudiants du Sénégal ont un traitement particulier aux bourses et stages débouchant sur des refus d'accords de bourses, des suppressions arbitraire de bourses, refus d'accord de stage au Gabon ou tout autre discrimination. Ces pauvres étudiants qui le plus souvent ne sont ni de près ne de loin mêlés à des activités politiques sont ceux là qui subissent le plus part rapport à ceux qui sont à tête de ses mouvements qui au contraire ont tous les avantages (bourses, billets vacance, billets recherche,…). Cela s'explique certainement que ces étudiants sont parrainés par des tier s ou autres gros bonnet du pays. L'évènement en date est l'élection du président de l'aseegs pour l'année 2008 - 2009. Ce qui m'intrigue le plus est le fait que ces étudiants ont transformé notre association qui est censé être apolitique en une association politisée. En effet depuis l'année dernière pour ceux qui comme moi s'intéresse à l'association ont constaté que le président de l'année dernière M. Davy Edgard Moussavou est allé au Gabon juste après son élection non pas en vacance ou pour un stage mais pour participer aux élections municipales du fait qu'il était sur un liste. Il est inutile de préciser qu'il y'a passé plus de la moitié de son mandat. Cette année, le scénario est encore plus grave. La commission électorale qui est censé organisé les élections de manière transparente est composé des étudiants qui représentent de manière officiel un parti politique. En effet, M. Essono Obounou Yannick est le coordinateur général de l'Union du Peuple Gabonais (UPG), M. Koumba Blaise est le secrétaire général (UPG). Est-ce une coïncidence ? J'ai mené une petite enquête et je me sui rendu compte que leur présence n'était pas fortuite. Il sont là pour assurer la victoire d'un autre membre de l'UPG qui est candidat il s'agit de Mihindou Mbina Gauthier.Un autre fait m'a encore plus troublé. Le fameux candidat (Mbina Gauthier) a son grand frère député au Gabon. Ce dernier s'appelle Ngoua Mbina Benny, il est actuellement à Dakar et ne se gêne pas de faire la campagne avec son petit frère. La question que je me pose ici est de savoir s'il faudrait forcement appartenir à un lobby pour espérer obtenir la présidence de l'aseegs ?? Pourquoi nos compatriotes se comportent ils de la sorte ? Notre association est apolitique et à but non lucratif. Je demande donc à tous mes frères étudiants gabonais au Sénégal de dire non à ce genre de comportement. Que les étudiants qui font de la politique laisse notre association tranquille." From protected at gmail.com Sun Mar 1 21:33:46 2009 From: protected at gmail.com (Arnaud Claise MABOUNGOU GARCIA) Date: Sun, 01 Mar 2009 21:33:46 -0500 Subject: [BDPalabres] Re:Fin à Paris des travaux donnant naissance à la Coalition Gabonaise de Refus et de Salut National Message-ID: Bonsoir, Je ssuis très ravi de l'initiative qui viens de naitre et cela prouve la resultat de notre combat toute entière. Mes admirations et mes vives félicitations pour celà. From protected at bdpgabon.org Mon Mar 2 00:47:50 2009 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Mon, 02 Mar 2009 00:47:50 -0500 Subject: [BDPalabres] L'affaire Cardona avait été romancée par Daniel Mengara dans son roman "Le chant des chimpanzés" Message-ID: L'affaire Cardona avait été romancée par Daniel Mengara dans son roman "Le chant des chimpanzés" Dans son roman “Le chant des chimpanzés” publié en octobre 2008, Daniel Mengara avait romancé l’affaire Cardona faisant actuellement la une des journaux. A titre de rappel, René Cardona, un industriel français avait été pris en otage et écroué par le dictateur Gabonais Omar Bongo. Il n’avait dû sa sortie de prison qu’au paiement par son fils d’une d’une rançon de 457.000 euros. Dans le roman, l’auteur du “chant des chimpanzés” déguise le nom de René Cardona sous celui de “René Cardoba”. EXTRAIT DU ROMAN, cliquez ici: http://www.bdpgabon.org/articles/2009/03/02/gabon-laffaire-cardona-avait-ete-romancee-par-daniel-mengara From protected at yahoo.fr Mon Mar 2 01:01:00 2009 From: protected at yahoo.fr (nguema narcisse) Date: Mon, 02 Mar 2009 01:01:00 -0500 Subject: [BDPalabres] Re: Analyse sur la politisation de l'ASEEGS Message-ID: Bonsoir, Le camp Sarkozy veut faure des manipulations politiques sur ma lettre ouverte à Sarkozy en affirmant qu'elle aurait été adressée avec "une balle". Je ne sais pas s'ils parlent de la mienne qui a une vision pacifiste; ou s'il ont peur qu'elle ne fasse effet auprès des français et du monde. C'est le jt Tf1 qui a diffusé cette information. From protected at yahoo.fr Mon Mar 2 01:02:27 2009 From: protected at yahoo.fr (nguema narcisse) Date: Mon, 02 Mar 2009 01:02:27 -0500 Subject: [BDPalabres] Re: Message-ID: Bonjour, En Tf1, fait passer le camp SARKOZY en victime en affirmant qu'il aurait reçu une lettre avec une balle. C'est ce qu'on appelle en politique de la manipulation de l'opinion. Son but est que cette lettre très touchante n'aie pas d'effet sur l'opinion, c'est donc une forme de peur et de statgie malsaine pour pas que la Fance- Afrique s'éffrite. Je pense qu'il faudrait répliquer en la publiant aux journaux français. Je parle bien entendu de la 'LETTRE OUVERTE A SARKOZY" From protected at yahoo.fr Mon Mar 2 08:20:32 2009 From: protected at yahoo.fr (Léon Ossavou) Date: Mon, 02 Mar 2009 08:20:32 -0500 Subject: [BDPalabres] Re: L'affaire Cardona avait été romancée par Daniel Mengara dans son roman "Le chant des chimpanzés" Message-ID: Votre problème est celui de toujours réagir après cout!Une information calamiteuse concernant le Gabon et son système srtent et voilà des commentaires!Concernant cette affaire par exemple,est-ce que vous vous etes demander de quelle société de peche il s'agissait réellement?Etes vous sûr qu'il ne s'agissait pas d'autre chose que le système,comme d'habitude avec ces français louches qui tournent autour de lui ont en commun?Non,il faut arrêter de faire le jeu des médias et des politiques français quand ils veulent se débarasser d'un pion.Ouvrons les yeux et commençons par étudier l'ensemble du système franco-gabonais,et là on découvrira des vérités qui nous ferront plus mal que les petites bribes que la presse française brandit chaque semaine!Nous sommes tous gabonais et voulons un réel développement de notre pays.Mais pour ça,il nous faut commencer à changer nos mentalités et surtout nous responsabiliser pour pouvoir réellement du Gabon d'abord.La vibre patriotique nous exige de relever le défi et d'éviter que nous ne repétions les erreurs faites par nos aînés;Le Gabon est riche et tout le monde à DROIT à sa part ainsi qu'a celui de nos enfants. MBOLO. C'est le gabonais lamda!!! De : BDP-Gabon Nouveau À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Lundi, 2 Mars 2009, 6h47mn 50s Objet : [BDPalabres] L'affaire Cardona avait été romancée par Daniel Mengara dans son roman "Le chant des chimpanzés" ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ L'affaire Cardona avait été romancée par Daniel Mengara dans son roman "Le chant des chimpanzés" Dans son roman “Le chant des chimpanzés” publié en octobre 2008, Daniel Mengara avait romancé l’affaire Cardona faisant actuellement la une des journaux. A titre de rappel, René Cardona, un industriel français avait été pris en otage et écroué par le dictateur Gabonais Omar Bongo. Il n’avait dû sa sortie de prison qu’au paiement par son fils d’une d’une rançon de 457.000 euros. Dans le roman, l’auteur du “chant des chimpanzés” déguise le nom de René Cardona sous celui de “René Cardoba”. EXTRAIT DU ROMAN, cliquez ici: http://www.bdpgabon.org/articles/2009/03/02/gabon-laffaire-cardona-avait-ete-romancee-par-daniel-mengara From protected at yahoo.com Mon Mar 2 08:24:54 2009 From: protected at yahoo.com (SGabon) Date: Mon, 02 Mar 2009 08:24:54 -0500 Subject: [BDPalabres] sans titre Monsieur Mengara, Message-ID: Je ne suis pas un fils de Bongo, j'ai jamais ete de ceux soutienne Bongo. Je vis au usa tout comme vous. Mais sachez que je suis votre pire ennimi a cause de tout le malheur que souhaite d'un Gabon uni et prospere. Au Lieu de servir votre pays vous vous servez en esclave au USA. Soyez-en lache!!! -SGabon From protected at yahoo.fr Mon Mar 2 14:16:24 2009 From: protected at yahoo.fr (Arsene Assam) Date: Mon, 02 Mar 2009 14:16:24 -0500 Subject: [BDPalabres] Re: sans titre Monsieur Mengara, Message-ID: Merci de me le rappeler.Que je suis un esclave USA'mais si reellement je suis esclave comme vous le dite,je penses que c'est acause de la mauvaise politique de tes dirigant,j'ai ete tres paulit de les comssiderer comme des perssones,car pour moi ils n 'enval meme pas la peine.Escuse moi de ne pas te repondre par des imjures car tu n'envaus vraiment pas la peine,mon combat n'ai pas comtre toi elle es ailleur De : SGabon À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Lundi, 2 Mars 2009, 7h24mn 54s Objet : [BDPalabres] sans titre Monsieur Mengara, ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. 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Soyez-en lache!!! -SGabon From protected at yahoo.fr Mon Mar 2 14:20:54 2009 From: protected at yahoo.fr (Arsene Assam) Date: Mon, 02 Mar 2009 14:20:54 -0500 Subject: [BDPalabres] Re: L'affaire Cardona avait été romancée par Daniel Mengara dans son roman "Le chant des chimpanzés" Message-ID: Merci tres cher compatriote je comprends cella tu n a pas idee combien de fois je deteste les francais, quand je parle du gabon je ne me base pas sure les analises que not chers caulonisateur fon sure notre politique je me base sure les faits je tiens a vous signaler que avent de venire aux USA j'ete candidat a l'election leguslative de 2006,donc je ne parle pas de se que je ne comnais pas bien au contraire je sais de quoi je parle.encore une fois je suis pres a tout pour enlever l'enfant du diable du gabon comme plusier gabonais actuellement y conprit vous egualement.Merci Mbolo a toi mon frere. De : Léon Ossavou À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Lundi, 2 Mars 2009, 7h20mn 32s Objet : [BDPalabres] Re: L'affaire Cardona avait été romancée par Daniel Mengara dans son roman "Le chant des chimpanzés" ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. 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MBOLO. C'est le gabonais lamda!!! De : BDP-Gabon Nouveau À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Lundi, 2 Mars 2009, 6h47mn 50s Objet : [BDPalabres] L'affaire Cardona avait été romancée par Daniel Mengara dans son roman "Le chant des chimpanzés" ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ L'affaire Cardona avait été romancée par Daniel Mengara dans son roman "Le chant des chimpanzés" Dans son roman “Le chant des chimpanzés” publié en octobre 2008, Daniel Mengara avait romancé l’affaire Cardona faisant actuellement la une des journaux. A titre de rappel, René Cardona, un industriel français avait été pris en otage et écroué par le dictateur Gabonais Omar Bongo. Il n’avait dû sa sortie de prison qu’au paiement par son fils d’une d’une rançon de 457.000 euros. Dans le roman, l’auteur du “chant des chimpanzés” déguise le nom de René Cardona sous celui de “René Cardoba”. EXTRAIT DU ROMAN, cliquez ici: http://www.bdpgabon.org/articles/2009/03/02/gabon-laffaire-cardona-avait-ete-romancee-par-daniel-mengara From protected at yahoo.fr Mon Mar 2 14:24:22 2009 From: protected at yahoo.fr (arthur claude aba'a ndong) Date: Mon, 02 Mar 2009 14:24:22 -0500 Subject: [BDPalabres] http://www.loutchano.com Message-ID: http://www.loutchano.com Bonjour, Je viens pour vous informer de l'existence d'un nouveau site : "www.loutchano.com". C'est un site gabonais qui est en plein essai et necessite votre attention pour son évolution car plusieurs rubriques sont en configuration. Actuellement, vous pouvez faire des annonces, intégrer le forum de chat et regarder des clips du Gabon...etc à tout de suite sur http://www.loutchano.com ! From protected at yahoo.fr Mon Mar 2 14:25:21 2009 From: protected at yahoo.fr (Arsene Assam) Date: Mon, 02 Mar 2009 14:25:21 -0500 Subject: [BDPalabres] Re: Analyse sur la politisation de l'ASEEGS Message-ID: Bonjour Narcisse. tu ne sais pas combien de fois cette nouvelle me rend heureux.de savoir.que les francais comprenne que nous ne somme plus les naigres que l'on dirrige a coup de foue,comtrairement au pion qu'ils on plasser a la tete notre cher pays le gabon. De : nguema narcisse À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Lundi, 2 Mars 2009, 0h01mn 00s Objet : [BDPalabres] Re: Analyse sur la politisation de l'ASEEGS ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Bonsoir, Le camp Sarkozy veut faure des manipulations politiques sur ma lettre ouverte à Sarkozy en affirmant qu'elle aurait été adressée avec "une balle". Je ne sais pas s'ils parlent de la mienne qui a une vision pacifiste; ou s'il ont peur qu'elle ne fasse effet auprès des français et du monde. C'est le jt Tf1 qui a diffusé cette information. From protected at yahoo.fr Mon Mar 2 15:13:50 2009 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Mon, 02 Mar 2009 15:13:50 -0500 Subject: [BDPalabres] Deux assassinats mystérieux Message-ID: Ce général était un vrai....tu me touches et tu pars avec moi !!! L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite Deux assassinats mystérieux par RFI Article publié le 02/03/2009 Dernière mise à jour le 02/03/2009 à 18:52 TU Le président bissau-guinéen Joao Bernardo Vieira a été assassiné lundi matin. Il a été abattu quelques heures après l’attentat qui a tué, dimanche, le chef de l'Etat-major des forces armées Tagmé Na Waié. L'armée assure qu'elle « respectera l'ordre constitutionnel et la démocratie » dans ce pays très instable d'Afrique de l'Ouest, dirigé pendant vingt ans par le président Vieira. Le gouvernement de Bissau a décrété un deuil national de sept jours et a demandé au parquet de « former une commission d'enquête pour tirer au clair les circonstances de la mort » des deux dirigeants. Joao Bernado Vieira, le 9 décembre 2008. ( Photo : Reuters ) Ce sont donc deux meurtres en quelques heures en Guinée-Bissau : d'abord le chef d'Etat major des armées, puis le président qui a été assassiné ce lundi matin. Joao Bernardo « Nino » Vieira est tombé sous les balles d'un commando d'hommes armées, vers 5 heures du matin.. Ce que l'on sait à l'heure actuelle, c'est que la mort du chef d'état-major, Tagmé Na Waye, tué dans sa caserne dimanche lors d'un attentat à la bombe, a entrainé une opération de représailles de la part de ses partisans, opération qui s'est soldée par la mort de Nino Vieira. Selon nos informations, un groupe de fidèles du chef d'état major assassiné a quitté dans la nuit la caserne de Mansoa pour venir à Bissau. Et ce sont ces hommes qui ont encerclé le palais présidentiel. Il semblerait, toujours selon nos informations, que le président Vieira aurait voulu fuir son palais après la mort de son chef d'état-major mais il en aurait été empêché par un groupe de soldats. Il faut savoir que le général Tagme na Waye avait imposé des hommes à lui, au sein de la garde présidentielle. Toujours est-il que lundi matin, entre quatre et cinq heures, des tirs et des explosions ont retenti pendant plusieurs minutes dans l'enceinte du palais, puis on apprenait que le président Vieira avait été abattu d'une rafale de mitraillette. Cette fin tragique n'est pas surprenante aux yeux de beaucoup de Bissau-guinéens car Nino Vieira et Tagmé Na Waié étaient depuis de longues années des ennemis des ennemis jurés, mais qui avaient opté pour une forme de cohabitation au retour de Nino Vieira au pouvoir en 2005. Cohabitation qui avait du plomb dans l’aile depuis quelques mois. Et leur querelle n'était pas un secret. En novembre dernier des soldats avaient tiré sur la résidence du président qui avait attendu en vain l'aide de l'armée, et en janvier Tagmé Na Wayé accusait, à son tour, la milice proche du président d'avoir voulu l'assassiner. Reste que la mort du président ouvre une nouvelle période d'incertitude à Bissau, pays chroniquement instable depuis dix ans. Pour l'heure, l'armée assure qu'elle respectera l'ordre constitutionnel et la démocratie. Les généraux se sont réunis, ce lundi, avec le premier ministre Carlos Gomes Junior. S'ils s'entendent pour préserver, comme ils le disent, les règles démocratiques, ce serait théoriquement le président du parlement Raimundo Pereira qui assurerait l'intérim au poste de président. En attendant à Bissau chacun retient son souffle. La situation était calme lundi en début de l’après-midi, comme l'explique cet habitant : From protected at yahoo.fr Mon Mar 2 17:45:44 2009 From: protected at yahoo.fr (mavoungou mariette) Date: Mon, 02 Mar 2009 17:45:44 -0500 Subject: [BDPalabres] Nelson Mandela Message-ID: « Aucun de nous, en agissant seul, ne peut atteindre le succès », Nelson Mandela. From protected at yahoo.fr Mon Mar 2 17:47:53 2009 From: protected at yahoo.fr (simamveestelle) Date: Mon, 02 Mar 2009 22:47:53 -0000 Subject: [BDPalabres] Obama : L’Afrique est du mauvais coté de l’histoire. Message-ID: Obama : L’Afrique est du mauvais coté de l’histoire. Message-Id: Sender: Date: Mon, 02 Mar 2009 17:47:53 -0500 X-Mailman-Approved-At: Mon, 02 Mar 2009 17:48:36 -0500 X-BeenThere: bdpalabres at bdpgabon.org X-Mailman-Version: 2.1.11.cp3 Precedence: list Reply-To: Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau List-Id: Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau List-Unsubscribe: , List-Archive: List-Help: List-Subscribe: , X-List-Received-Date: Mon, 02 Mar 2009 22:47:53 -0000 jeudi 29 janvier 2009 | Deux millions de personnes venues de toute l’Amérique de Tahallassee en Floride à Anchorage en Alaska , blancs, blacks, hispaniques, wasps, juifs, arabes, chrétiens, athées, gays, lesbiennes, jeunes et vieux, riches et pauvres, hommes, femmes et enfants et aussi de tous les coins de la planète plus de deux milliards de personnes étaient scotchées à leur écran de télévision ou d’ordinateur pour voir l’histoire se faire le 20 Janvier 2009 devant le Capitole à Washington DC, capitale politique des USA, que dis –je...du monde. Barack Hussein Obama venait de prêter le serment le plus sacré. Il est le 44e président des Etats Unis d’Amérique. Première puissance mondiale économique, Technologique et militaire. Grande démocratie et pays de toutes les surprises et de l’inattendu. Si le discours pragmatique de Obama avait pour but primordial de rassurer les Américains anxieux à cause de la situation économique catastrophique, il a aussi confirmé une fois encore au reste du monde et particulièrement au monde arabo-musulman et aux libéraux sa détermination de changer à jamais les pratiques Bushistes des huit dernières années. L’Afrique avec sa pauvreté et ses dictatures n’a pas une fois derechef fait l’objet de beaucoup d’attention. Une phrase a cependant attiré mon attention hier soir, cette phrase minime et sans équivoques à laquelle je voudrais tant bien que mal m’accrocher et zoomer au cas où nos Papas Présidents et leurs conseillers très spéciaux et particuliers l’auraient ratée ; ce qui n’est pas rare sous le soleil des tropiques. "A ceux qui s’accrochent au pouvoir par la corruption, la tromperie et en réduisant la contestation au silence, sachez que vous êtes du mauvais côté de l’histoire." Le Président Obama met ici en garde les tyrans du genre Sassou Nguesso, Omar Bongo, Mugabe, Kadhafi pour ne citer que ceux qui me sont proches, qu’ils sont du mauvais coté de l’histoire. Histoire, le mot revient encore diriez vous. Mais était–il parti ? Depuis le début de l’Obamania nous avons beaucoup entendu parler de ce mot pour des raisons tout à fait évidentes mais aussi depuis le fameux discours de Dakar du président Français, le tonitruant Nicolas Sarkozy avait dit que : « Le drame de l’Afrique, c’est que l’homme africain n’est pas assez entré dans l’histoire…Dans cet univers où la nature commande tout, l’homme échappe à l’angoisse de l’histoire qui tenaille l’homme moderne mais l’homme reste immobile au milieu d’un ordre immuable où tout semble être écrit d’avance. » Ce discours suscita de vives réactions parmi nos maitres à penser. En effet, Docteurs, intellectuels, chercheurs Africains avaient subitement retrouvé la superbe et Il faut dire que l’émotion nègre avait pris le dessus sur la cogitation donnant ainsi raison à Senghor. Le tollé était énorme, des éditoriaux nombreux, des bouquins écrits. Les érudits africains étaient là dans leur élément comme dirait l’autre : la réaction, alors que le l’histoire les attends plutôt dans l’action. Force est de constater avec un peu d’honnêteté que Sarkozy n’avait pas vraiment tord et la phrase de Barack Obama vient abonder avec subtilité dans le même sens. L’Afrique n’est pas aux avant-postes de l’histoire, du moins de l’histoire contemporaine. Faisons l’inventaire, calme et sans passions, des faits et événements qui ont marqué l’Afrique depuis les indépendances pour s’en convaincre. Un demi-siècle de gâchis, de distractions, d’embrouilles, de gabegies, de négativités, d’espoir dessus, de rêves brisés, de pleurs, de pauvreté, de maladies, de famines, de subordination résolue, de tribalisme, de mauvais choix, de coups bas, de coups d’états, de corruptions, de guerres et d’avilissement… Pendant ce temps, en 50 ans l’Amérique est passé de la pendaison des noirs dans les états du Sud à l’élection de Barack Hussein Obama. Est –il besoin de rappeler toutes les avancées scientifiques, technologiques et démocratiques ? Les intellectuels et leaders Africains des 50 dernières années ont brillé soit par la fougue, la naïveté et l’immaturité , cas de Lumumba et de Sankara, soit par l’incompétence, la soumission béate à l’occident, l’absence de vision, le manque d’amour ,l’égoïsme et l’incapacité de créer les conditions favorisant le bien être collectif au point de donner l’impression à tout observateur d’assister à une compétition où le plus benêt des obtus serait récompensé. En effet si l’un décide de modifier la constitution pour pérenniser sa dictature, l’autre prépare son rejeton pour prendre la relève. Si l’un choisit de disqualifier ses opposants en prenant des lois arbitraires, l’autre les emprisonne ou les liquide au petit matin. Que ceux de nos intellos, les fameux bac plus 15 qui squattent les palais des dictatures Africaines ; que ceux de ces Africains plus informés que les autres nous fassent donc le bilan historique de cette Afrique que nous aimons tant au point d’ignorer la réalité vraie de ce continent oublié, trahi et haï par ses propres enfants, méprisé non sans raisons par les autres, risée et souffre-douleur du monde. L’Afrique que je connais du haut de mes 34 ans de vie est celle d’Omar Bongo, de Sassou Nguesso, de Mobutu, de Nguéma, de Kadhafi, de Hosni Moubarak, de Do Santos… Cette Afrique là, est du mauvais coté de l’Histoire. Elle est restée immobile au milieu d’un ordre immuable où tout semble être écrit d’avance. Etre Africain ne signifie pas encourager la sottise, ignorer nos insuffisances et maquiller nos carences. Reconnaitre que nous sommes nuls, est plutôt un signe de lucidité et d’intelligence. Car comment expliquer à nos enfants que les Chinois, Brésiliens, Malaisiens, Indiens sont aujourd’hui nos nouveaux maitres, nos nouveaux colons ? Comment comprendre que certains pays Africains qui il y a quelques années avaient des PIB plus élevés que certains de ces états asiatiques et même Européens se retrouvent aujourd’hui si diminués, démunis et dépendants d’eux ? Aimer l’Afrique ne signifie pas être fière d’elle. Un enfant brigand ne fait pas la fierté de sa mère qui l’aime. Une mère frivole ne fait pas la fierté de ses enfants, idem pour un père ivrogne et violent. Nous, Africains, devrons faire nôtre cette recommandation biblique : « sentez votre misère », se reconnaitre faible, pauvre, dernier et figé. Cette reconnaissance est la clef du sursaut, et le bourgeonnement d’une prise de conscience qui produit les grandes révolutions intellectuelles, spirituelles, sociales et matérielles. Ne cherche à avancer que celui qui est conscient d’être le dernier. Si on reconnait un arbre par ses fruits, les fruits de l’Afrique de ce début du 21 siècle sont amers. L’Afrique est une fois encore pointée du doigt par l’histoire. Si la tâche est rude et titanesque, car le vrai problème est psychologique et donc plus redoutable, elle n’est cependant pas insurmontable. Nous espérons que les leaders, les élites et intellectuels Africains saisiront cette opportunité alors que souffle sur la planète une vague d’espoir et d’optimisme pour faire entrer enfin notre Afrique bien aimée dans l’histoire…ou du moins de la placer du bon coté de l’Histoire. By Lyonel TCHIFOUNGA Article Proposé par: Lyonel TCHIFOUNGA From protected at yahoo.fr Mon Mar 2 19:53:40 2009 From: protected at yahoo.fr (lhamidi eva) Date: Mon, 02 Mar 2009 19:53:40 -0500 Subject: [BDPalabres] Re: Nelson Mandela Message-ID: A l'attention de madame Mavoungou Mariette, Je suis les échanges de la diaspora depuis un moment sans grande réaction! Cela étant, vos écrits de ce jours m'ont marqué! Presque 1h du matin et voilà que je lis des écrits si simples, si récapitulatifs de ce que devrait être la vie! Si proche de ma "way of life": " Nul ne peut rencontrer le succès en agissant seul!" NELSON MANDELA Je ne suis pas gabonaise, mais après tout, faut-il nécessairement être originaire de ce pays pour se sentir sensibiliser et concerner par la politique interne? Cela étant, pour faire bref, le continent africain a réellement besoin de se conscientiser! Comment peut-on se permettre d'intellectualiser des problématiques similaires à un continent? Peu importe les complexités internes, l'Afrique a besoin d'action! Réunissons-nous! Cotisons! Marchons ensemble! Je vous en prie... As Caterpillar said: « If you don't stand for something, you will fall for anything! » Agissons ensemble, sachant qu'au delà des problématiques politiques , notre continent ne pourra émerger que si nous prenons conscience d'un fait: « There is no place like home » Tous, ici, autant que nous sommes, avons les moyens de nous réunir, et combattre sur le terrain « against the social injustice » Encore faudrait-il avoir des courageux pour affronter : « The real of life! » Tous, derrière nos ordinateurs, nous parlons! Mais concrètement que faisons-nous pour que les choses avancent! Pas grand chose! je suppose.. car si tous autant que nous sommes, nous gardons en mémoire notre cher et précurseur Nelson Mandela, c'est bien parce qu'il a fait 27 ans de prison pour faire parler de lui! Sans aller jusque là! A quand, un réel projet, quelque soit le pays d'Afrique, nous, NOIRS de France amènent de cotiser et d'en faire parler de lui même! Comme une fierté, une lutte contre le néocolonialisme, et une réelle reconnaissance de ce que nous sommes: « Humans before being black! » Bien à vous tous! Eva LHAMIDI From protected at wanadoo.fr Tue Mar 3 19:24:31 2009 From: protected at wanadoo.fr (Dayma ABDALLAH-PAUNE) Date: Tue, 03 Mar 2009 19:24:31 -0500 Subject: [BDPalabres] sans titre Monsieur Mengara Message-ID: soi plu claire! > Message du 02/03/09 14:28 > De : "SGabon" > A : bdpalabres at bdpgabon.org > Copie à : > Objet : [BDPalabres] sans titre Monsieur Mengara, > > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. > ___________________________________________________________ > > Je ne suis pas un fils de Bongo, j'ai jamais ete de ceux soutienne Bongo. Je vis au usa tout comme vous. Mais sachez que je suis votre pire ennimi a cause de tout le malheur que souhaite d'un Gabon uni et prospere. Au Lieu de servir votre pays vous vous servez en esclave au USA. Soyez-en lache!!! > > -SGabon > > > ___________________________________________________________ > Liste de discussion BDPalabres > BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès > http://www.bdpgabon.org > Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: > http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org > > From protected at yahoo.com Wed Mar 4 09:25:59 2009 From: protected at yahoo.com (mapango jimmy) Date: Wed, 04 Mar 2009 09:25:59 -0500 Subject: [BDPalabres] POUR UNE NOUVELLE AFRIQUE ? Message-ID: Cette pétition vous prendra 3 MINUTES. Pour vous ajouter à la liste : Votre numéro, noms, prénoms quelle région du monde. Vous pouvez donner votre avis sur pas plus de trois lignes. La question est celle de savoir « Une nouvelle Afrique est-elle possible ? » Nous ne pouvons plus rester spectateur africains (es), diaspora et amis (es) de l’Afrique ! SVP, COPIEZ le texte y compris la liste et COLLEZ-LE dans un nouveau courriel, mettez votre nom complet dans la liste ci-dessous (seulement quand elle sera Dans le nouveau courriel) et envoyez au plus grand nombre de vos parents et amis. (NE FAITES PAS SIMPLEMENT SUIVRE CETTE PÉTITION EN APPUYANT SUR 'FAIRE SUIVRE' ou 'TRANSFÉRER', CECI AFIN D'ÉVITER LES SÉRIES DE CARACTÈRES INUTILES.) (Si vous êtes la 1000e personne à signer, s'il vous plaît, envoyez une copie à : modoig at yahoo.fr Nous monterons à la tribune de l’Union Africain, des Nations Unis et tout autre lieu pour la cause de notre Afrique… « Le temps de l’Afrique c’est maintenant » 1 : Th. Jimmy Mapango, Gabon 2 : Jemima Mapango, Gabon 3 : Gloire Sainte Mapango, Gabon 4 : Alliance Eternelle Mapango, Gabon 5 : Kyria Feinne Mapango, Gabon 6 : Jean de Dieu Mandomabidi, Gabon 7 : Claire Waliketè, Gabon 8 : Blanche Ngougou, Gabon 9 : Alain Doum, Gabon 10 : Junior Mboloko, Gabon 11 : Rosalie Mikuinda, Gabon 12 : Edwige Mandomabidi, Gabon 13 : Prince Mapango, Gabon 14 : Léontine Mocibobé, Gabon 15 : From protected at netscape.net Thu Mar 5 23:00:34 2009 From: protected at netscape.net (dncicom) Date: Thu, 05 Mar 2009 23:00:34 -0500 Subject: [BDPalabres] Re: POUR UNE NOUVELLE AFRIQUE ? Message-ID: M.Bruno Ella-Ondo BLDIS FRANCE SAS bldisfrance at yahoo.fr -----E-mail d'origine----- De : mapango jimmy A : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Mercredi, 4 Mars 2009 15:25 Sujet : [BDPalabres] POUR UNE NOUVELLE AFRIQUE ? ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Cette pétition vous prendra 3 MINUTES. Pour vous ajouter à la liste : Votre numéro, noms, prénoms quelle région du monde. Vous pouvez donner votre avis sur pas plus de trois lignes. La questi on est celle de savoir « Une nouvelle Afrique est-elle possible ? » Nous ne pouvons plus rester spectateur africains (es), diaspora et amis (es) de l’Afrique ! SVP, COPIEZ le texte y compris la liste et COLLEZ-LE dans un nouveau courriel, mettez votre nom complet dans la liste ci-dessous (seulement quand elle sera Dans le nouveau courriel) et envoyez au plus grand nombre de vos parents et amis. (NE FAITES PAS SIMPLEMENT SUIVRE CETTE PÉTITION EN APPUYANT SUR 'FAIRE SUIVRE' ou 'TRANSFÉRER', CECI AFIN D'ÉVITER LES SÉRIES DE CARACTÈRES INUTILES.) (Si vous êtes la 1000e personne à signer, s'il vous plaît, envoyez une copie à : modoig at yahoo.fr Nous monterons à la tribune de l’Union Africain, des Nations Unis et tout autre lieu pour la cause de notre Afrique… « Le temps de l’Afrique c’est maintenant » 1 : Th. Jimmy Mapango, Gabon 2 : Jemima Mapango, Gabon 3 : Gloire Sainte Mapango, Gabon 4 : Alliance Eternelle Mapango, Gabon 5 : Kyria Feinne Mapango, Gabon 6 : Jean de Dieu Mandomabidi, Gabon 7 : Claire Waliketè, Gabon 8 : Blanche Ngougou, Gabon 9 : Alain Doum, Gabon 10 : Junior Mboloko, Gabon 11 : Rosalie Mikuinda, Gabon 12 : Edwige Mandomabidi, Gabon 13 : Prince=2 0Mapango, Gabon 14 : Léontine Mocibobé, Gabon 15 : Bruno Ella-Ondo, Gabon, Luxembourg From protected at hotmail.com Thu Mar 5 23:02:42 2009 From: protected at hotmail.com (robert martin midiba magni) Date: Thu, 05 Mar 2009 23:02:42 -0500 Subject: [BDPalabres] Re: sans titre Monsieur Mengara Message-ID: je n'ai pas acces aux messages est ce normal? > To: bdpalabres at bdpgabon.org > From: protected at wanadoo.fr > Date: Tue, 3 Mar 2009 19:24:31 -0500 > Subject: [BDPalabres] sans titre Monsieur Mengara > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. > ___________________________________________________________ > From protected at gmail.com Thu Mar 5 23:04:39 2009 From: protected at gmail.com (Pascal De La Guerre) Date: Thu, 05 Mar 2009 23:04:39 -0500 Subject: [BDPalabres] La cour de la haye a émis un mandat d'arret internationnal à un président élu ? Message-ID: Chers compatriotes, aujourd'hui aucune personne au monde, même un chef d'état en exercice, ne peux plus échaper à la cour pénale internationale de justice. Tout individu lésé par la juridiction de son état, peut désormais saisir la Cour de la haye :-/ Vous devriez également savoir, que vous a droit jusqu'à trente ans, pour porter plainte contre une affaire dont vous avez les preuves. Les sanctions peuvent atteindre même le chef de l'Etat en exercice et s'il décède lui même, ses enfants hériteront la sanction pénale. Ceci est la loi d'aujourd'hui. advienne que pourra ..... Mr OMAR EL BECHER doit être arrêté prochainement afin de répondre à la plainte porter devant la cour de la haye par des ONG non gouvernementales sur le massacre de ses milices au sud soudan. Affaire à suivre .... AFP Alix RIJCKAERT * Imprimer La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité au Darfour, sans retenir le chef d'accusation de génocide. Lire la suite l'article Photos/Vidéos liées Le procureur de la CPI Luis Moreno-Ocampo (d), le 12 janvier 2009 à La Haye Agrandir la photo Articles liés * Soudan: manifestation de soutien à Béchir * La CPI lance un mandat d'arrêt contre Béchir * Darfour: nouvel afflux de réfugiés au camp de Zamzam * Plus d'articles sur : Soudan Discussion: Soudan "Aujourd'hui, la chambre préliminaire 1 (...) a émis un mandat d'arrêt contre le président du Soudan Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité", a déclaré la porte-parole de la CPI, lors d'une conférence de presse dans les locaux de la CPI à La Haye. La Cour n'a pas émis de mandat d'arrêt contre M. Béchir pour génocide, contrairement à ce qu'avait demandé le procureur de la CPI, Luis Moreno Ocampo. L'ONG Médecins sans frontières (MSF) avait annoncé un peu plus tôt avoir reçu l'ordre du Soudan d'évacuer son personnel international du Darfour. Peu auparavant, le porte-parole de l'armée, Osman al-Aghbash, cité par Radio Omdurman (officielle), avait déclaré que l'armée soudanaise réagirait "avec fermeté contre quiconque collaborant avec la Cour pénale internationale". Dès mardi, M. Béchir avait prévenu que la décision de la CPI n'aurait "aucune valeur". "Elle ne vaudra pas l'encre avec laquelle elle aura été écrite", avait-il lancé devant plusieurs milliers de Soudanais, qui l'ont acclamé avant de piétiner des affiches du procureur de la CPI, Luis Moreno-Ocampo. La "tension" était palpable mardi matin au Darfour, selon un responsable de la force de maintien de la paix ONU-Union africaine (Minuad) au Darfour, région de l'ouest du Soudan déchirée par un conflit qui a fait 300.000 morts, selon l'ONU, alors que Khartoum parle de 10.000 morts. M. Moreno-Ocampo avait demandé le 14 juillet 2008 un mandat d'arrêt contre Omar el-Béchir, 65 ans, à la tête du plus grand pays d'Afrique depuis 1989. Dans sa requête à la Cour, le procureur avait estimé que le président du Soudan était pénalement responsable du génocide des ethnies four, masalit et zaghawa. "M. Béchir a, de façon spécifique et à dessein, pris pour cible des civils qui ne prenaient part à aucun conflit, dans l'intention de les détruire, en tant que groupe", avait-il affirmé. M. Moreno-Ocampo a accusé également Omar el-Béchir d'être responsable de meurtres, d'extermination, du transfert forcé de population, de tortures et viols, de crimes contre l'humanité, ainsi que de pillages et d'attaques et de crimes de guerre, commis depuis mars 2003. Environ 35.000 civils ont été tués lors d'attaques de leurs villages par l'armée soudanaise, appuyée par des milices pro-gouvernementales janjawid. Le conflit a déplacé 2,7 millions de personnes et 100.000 personnes "ont péri de mort lente" dans des camps, de faim et de maladie, selon M. Moreno-Ocampo. Le procureur de la CPI, seul tribunal permanent compétent pour juger des crimes de guerre, crimes contre l'humanité et génocide, enquête depuis 2005 sur le Darfour en vertu d'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU. Un mandat d'arrêt aurait "des conséquences dangereuses sur les efforts de paix en cours au Darfour", a averti mardi La Ligue arabe. La CPI avait émis des mandats d'arrêt contre le ministre soudanais des Affaires humanitaires, Ahmed Haroun, et le chef de milice janjawid, Ali Kosheib, en mai 2007, mais Omar el-Béchir a toujours refusé de les extrader. La CPI ne dispose d'aucune force de police propre et dépend de la volonté des Etats pour l'exécution des mandats d'arrêt. From protected at yahoo.fr Thu Mar 5 23:08:29 2009 From: protected at yahoo.fr (nguemasylvie) Date: Thu, 05 Mar 2009 23:08:29 -0500 Subject: [BDPalabres] TR : Quelqu'un a dit .... Message-ID: ----- Message transféré ---- De : loeil À : Envoyé le : Jeudi, 5 Mars 2009, 11h37mn 49s Objet : Quelqu'un a dit ..... Quelqu'un a dit ..... « Plus longtemps Vous mettez à fuir vos fautes plus lourde est la sanction quand elles vous rattrapent surtout d'épuisement…. » L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite From protected at yahoo.fr Thu Mar 5 23:11:52 2009 From: protected at yahoo.fr (Modoi Gabon) Date: Thu, 05 Mar 2009 23:11:52 -0500 Subject: [BDPalabres] A TOUS... Message-ID: Salutations! Cher compatriote du journal lenganga Nous venons de lire dans votre dernière livraison, dans l'article "UPG FAIT LE MENAGE DANS SES RANDS" Le crime d'avoir parler devant Mengara à la dernière réunion des coalisés de Paris. Et pour que les services secrets Français que nous connaissons tous ne soit plus les seuls avoir ma photo (il croit faire peur à qui avec ça?) nous vous envoyons ici le liens de la vidéo de notre discours lors de cette réunion. http://www.bdpgabon.org/articles/2009/02/20/jimmy-mapango-aux-coalises-un-nouveau-gabon-est-possible/ Il a même notre blog ici: http://afriqueaujourdhui.over-blog.org Vous trouverez ci-joint le texte de mon adresse aux coalisés de Paris. Tout ça peut l'aider dans sa démarche discornue. Puisse que je connais son inspirateur et son photographe, nous voulons l'ajouter ceci. Son devoir envers ses commanditaires serait aussi de rapporter les nouvelles en tenant compte des pertinences de nos engagements. Pour notre part notre droit est de prendre la parole à chaque fois et partout où l'on parlera du Gabon et de notre Afrique, si nous sommes invité. Et cela que se soit le lieu de ce monde, aussi bien chez les bons et les mauvais, chez les riches et les pauvres et nous ne nous en sommes jamais caché depuis le Gabon. Tel est la voix qui est tracé devant nous. Maintenant cher compatriote élevons-nous au-dessus de ses bassesses qui nous retiennent depuis longtemps dans le caveau de la nuit sombre de médiocrité. Nous refusons que notre destination soit définitivement s'opposer pour s'opposer, ni gouverner pour gouverner. Notre rôle entant membre de la société civile est de veiller et de contribuer à l'instauration d'une société de justice de droiture et d'équité. Se sera toujours notre démarche. Qui sait peut être par nos interventions désintéressées les politiques peuvent être emmené à arrondir des angles au moment ou nous sommes dans un contexte que tous veulent en découdre les uns les autres!. Nous au Modoi nous avons un objectif c'est "la continuité de l'Etat" pour un "Gabon nouveau" et nous réussirons. Bien patriotiquement Jimmy Mapango Leader d'opinion Président du Modoi From protected at yahoo.fr Thu Mar 5 23:12:44 2009 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Thu, 05 Mar 2009 23:12:44 -0500 Subject: [BDPalabres] Convoitises sur l’argent des émigrés Message-ID: Quand les bailleurs de fonds mettent les pauvres à contribution Convoitises sur l’argent des émigrés Les transferts financiers des émigrés vers leurs pays d’origine représentent une manne en constante augmentation. Dans certains Etats africains, ils dépassent l’aide au développement et contribuent de manière décisive au revenu national. C’est pourquoi les institutions financières internationales voudraient faire de ces versements la solution-miracle à la misère du continent noir. Mais leur discours n’est pas sans arrière-pensées. En outre, la crise financière pourrait modifier cette nouvelle vision stratégique. Par Anne-Cécile Robert et Jean-Christophe Servant « Dans tous les pays du continent noir, note l’économiste Ravinder Rena, de l’Institut érythréen de technologie, le capital humain est plus nécessaire au développement que le capital financier car seul le premier peut être transformé en véritable développement. Si nous ne changeons pas de stratégie, nous aurons beau envoyer tout l’argent du monde, l’Afrique restera pauvre (1). » Plus de 300 milliards de dollars (190 milliards d’euros) sont expédiés chaque année dans leurs pays d’origine par les deux cents millions de migrants de la planète ! Quelque 20 milliards de dollars (12,5 milliards d’euros) proviennent des travailleurs migrants africains (2). Les transferts financiers — en anglais remittances — vers le continent ont augmenté de 55 % depuis le début du XXIe siècle. Les institutions de Bretton Woods et les gouvernements occidentaux se montrent particulièrement intéressés par ces milliards de dollars acheminés vers l’Afrique.. Selon de nombreux rapports officiels (3), ces fonds constitueraient des sources de financement plus sûres et plus stables que les investissements du secteur privé et que... l’aide publique au développement (APD). Ce flux financier peut en effet représenter, pour certains Etats africains, jusqu’à 750 % de l’APD ! Au Cap-Vert, par exemple, l’argent envoyé par la diaspora alimente un quart de l’activité économique. La banque nationale du Ghana estime pour sa part que l’argent envoyé par la diaspora équivaut à 20 % du montant total des exportations du pays. Les migrants concernés ne sont parfois pas partis très loin. Ainsi, 30 % du produit intérieur brut (PIB) du Lesotho repose sur les transferts d’argent effectués par ses migrants travaillant chez le voisin sud-africain, principal réceptacle de l’émigration interafricaine. Publicités angéliques Mais c’est au Nigeria, où se donne à voir le pire et le meilleur du continent, que le phénomène semble le plus évident. Un migrant africain sur cinq est en effet nigérian. Ces expatriés sont les têtes de pont d’un maillage commercial et entrepreneurial tissé de São Paulo à Houston, de Londres à Dubaï, de New Delhi à Hambourg, et de Londres à Atlanta. Durant les dix dernières années, pas moins de 28 milliards de dollars (17 milliards d’euros) auraient été envoyés par les Nigérians de l’extérieur à leurs amis, familles et associés de l’intérieur. Selon la Banque mondiale, plus de 3 milliards de dollars (1,89 milliard d’euros) auraient été transférés vers le pays rien que pour l’année 2007 (4). Le Nigeria représente à lui seul 30 % des envois gérés par les agences Western Union implantées en Afrique subsaharienne. La First Bank, titulaire de la franchise Western Union dans cet Etat, a ouvert plus de deux cents agences dans le pays avec comme activité principale la gestion de ces transferts de fonds. « Nous sommes sous pression de l’ouverture à la fermeture des établissements, reconnaît M. Bola Adebanjo, l’un de ses responsables locaux. C’est clairement la principale activité de notre banque. » Ce juteux filon pousse d’autres réseaux bancaires nigérians à prendre pour partenaires des sociétés de transferts de fonds, à l’instar de l’United Bank for Africa avec l’américaine MoneyGram en 2007. Ancien ambassadeur des Etats-Unis au Nigeria, M. Howard Jeter estime : « Le Nigeria devrait montrer l’exemple en élaborant des politiques visant à associer ses concitoyens vivant à l’étranger. » En effet, précise-t-il, « la diaspora africaine possède de très riches compétences financières, techniques et intellectuelles. L’Afrique se doit d’exploiter ces ressources humaines et matérielles afin de relever les défis du développement, de la dégradation de l’environnement, de la sécurité alimentaire, de l’approvisionnement énergétique, du VIH et de la croissance économique équitable (5) ». On saisit la morale de l’histoire : qui mieux que l’émigré peut aider son pays d’origine ? Mais, en cherchant à insérer le plus largement possible ces travailleurs immigrés dans les circuits bancaires, le monde occidental envisage tout simplement de « faire payer le développement par les pays en développement eux-mêmes (6) » tout en empochant son propre pourcentage (lire « Un juteux marché pour les opérateurs de téléphonie »). Un rapport conjoint de la Banque africaine de développement (BAD) et du ministère français de l’économie, des finances et de l’emploi, paru en janvier 2008 (7), a étudié la situation de quatre pays qui « ont en commun des liens migratoires et historiques forts avec un même pays développé, la France ». Pour le Sénégal, le Mali et les Comores, l’enquête menée auprès de deux mille ménages vivant en Afrique note que, en 2005, 449 millions d’euros auraient été transférés vers le Sénégal (soit 19 % du PIB et 218 % de l’APD). Le Mali aurait reçu 295 millions d’euros (11 % du PIB, 79 % de l’APD) et les Comores 70 millions (24 % du PIB, 346 % de l’APD). Selon cette étude, les ménages bénéficiaires des fonds auraient un niveau de vie mensuel supérieur à la moyenne nationale.Les transferts représentent plus de 50 % de leurs revenus pour le Maroc, les deux tiers pour le Mali, un peu moins de la moitié pour le Sénégal et les Comores. Mais encore faudrait-il que ces transferts aient vraiment un impact au niveau macroéconomique. A l’image des publicités angéliques de la Western Union, le regain d’intérêt pour l’argent de l’immigration africaine semble occulter le fait remarqué par Jean-Pierre Garson, spécialiste des questions migratoires à l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) : « Son impact sur le développement n’est pas évident, surtout si on l’évalue en regard de la perte de main-d’œuvre que représente l’émigration pour ces pays. » Certes, ces transferts permettent à ceux qui sont restés chez eux de sortir de l’extrême pauvreté mais ils engendrent aussi une situation de dépendance vis-à-vis de l’extérieur. En outre, une faible part des fonds serait réellement affectée à des activités génératrices de revenus. Selon Rena, « les transferts ne contribuent pas au développement parce qu’ils ne sont pas utilisés à des fins d’investissement. Ils servent, la plupart du temps, à des activités improductives (transport, désendettement, logement, achat de terres). Mais ils peuvent aussi être thésaurisés ou gaspillés dans une consommation ostentatoire (8) ». La consommation courante accaparerait ainsi 75 % à 80 % des fonds expédiés. Le reste serait placé dans ce qui constitue un besoin fondamental, le logement. Au Ghana, selon une équipe pluridisciplinaire de chercheurs, ce phénomène alimenterait la spéculation foncière : « Les achats des émigrés contribuent à la spirale augmentation des coûts/moindre accès au foncier des populations locales à revenus modestes. (...) Les propriétaires sont plus enclins à vendre à des personnes installées à l’étranger qu’à celles qui vivent sur place, d’autant plus que ces migrants- ci peuvent payer en cash et acheter à des prix plus élevés (9). » Sécuriser et orienter les transferts vers des projets d’investissement durables, favoriser une utilisation « plus productive » de ces fonds : telle est l’une des ambitions déclarées de la nouvelle politique française de codéveloppement et de gestion concertée des flux migratoires. Pour Paris, il faut aider les candidats à l’émigration à rester au pays en canalisant les ressources des migrants vers des projets dans les secteurs de la santé, de l’éducation, et dans la création d’entreprises. C’est l’un des objets de la loi du 24 juillet 2006 et du décret du 19 février 2007. Selon ces textes, les Caisses d’épargne proposent un compte épargne spécial — le compte d’épargne codéveloppement — bénéficiant d’une déduction fiscale de 25 %. Il est ouvert aux immigrés titulaires d’une carte de séjour en France et qui souhaitent investir dans leurs pays d’origine. L’investissement peut concerner tout aussi bien une création ou une reprise d’entreprise, un investissement locatif, la microfinance, l’immobilier d’entreprise, un rachat de fonds de commerce, etc. Un autre produit, le livret d’épargne codéveloppement, devrait bientôt « permettre au migrant de constituer une épargne qui ouvre droit ultérieurement à une prime lorsqu’il contractera un prêt aux fins d’investissement ». Mais les intentions réelles des auteurs de ces mesures politiquement correctes n’ont pas échappé à certains Africains. Ainsi le juriste béninois Armand Adotevi moque- t-il, sur le blog Soninkara (10), la candeur et la duplicité des auteurs du dispositif. « Réalisant qu’il y a, en la matière, une manne financière à capter et à faire fructifier au moyen de placements sur les marchés financiers à court ou moyen terme au bénéfice de l’économie française, note-t-il, le maître annonce à l’élève, en usant d’arguties attrape-nigauds du genre exonération d’impôts, doublement ou triplement des intérêts cumulés de l’épargne, ce qui est bon pour ce dernier et pour son pays, ouvrant dès lors insidieusement les voies d’un contournement du respect de ses engagements en matière d’aide au développement. » Et Adotevi de s’insurger : « A-t-on déjà vu les autorités politiques africaines intimer à des Européens, personnes privées et/ou personnes morales établies dans les pays d’Afrique, à quelles fins doivent servir les substantiels bénéfices qu’elles réalisent en Afrique et qu’elles rapatrient immédiatement en Europe ? » Ces dispositifs laissent se perpétuer les mécanismes inégalitaires de l’économie et du commerce mondial tout en fournissant un alibi à ceux qui rechignent à financer l’APD. Ils déresponsabilisent les institutions financières internationales et les puissances dominantes en transférant le poids des malheurs du monde sur ceux qui les subissent.. La pauvreté ne sera pas éradiquée mais simplement réduite par les transferts de fonds des migrants. En outre, la crise financière pourrait remettre en cause cette nouvelle « vision stratégique » en réduisant singulièrement leur volume. Anne-Cécile Robert et Jean-Christophe Servant. L'oeil qui voit tout... From protected at yahoo.fr Thu Mar 5 23:20:17 2009 From: protected at yahoo.fr (mouta w maurice gligli) Date: Thu, 05 Mar 2009 23:20:17 -0500 Subject: [BDPalabres] L. Michel accusé devant les Etats ACP - Affaire CDI-CDE : détournement de FED destinés aux PMI et PME ? Message-ID: Louis MICHEL accusé d’escroquerie et de détournement de fonds européens destinés aux Petites & Moyennes Industries & Entreprises des 79 Etats ACP - L’Affaire CDI-CDE Les Dossiers Abssalam : la vie de Mr Mbayi est-elle en danger ? - le DOSSIER CDI-CDE (4 mars 2009 – version intégrale : 40 pages, 315 Ko) - le Testament de Mr Abraham Mbayi (partie civile contre Mr Louis Michel - 29 Août 2008 - N° 68/09) ( pour tout complément, Mr Mbayi est joignable à l’adresses directeurcdi@ gmail.com ) VOIR http://collectif. europeen. googlepages. com/affairecde- cdi POUR LA LETTRE OUVERTE PRESENTANT LE DOSSIER INTEGRAL DE L’AFFAIRE CDI-CDE : Le 4 mars 2009 Lettre ouverte aux Etats ACP, à l’Union Africaine, à l’Assemblée Parlementaire Paritaire ACP-UE, aux Ministères des Affaires Etrangères, aux parlements des pays membres de l’UE … Le Collectif Européen est un collectif désireux d'agir pour une coopération efficace au profit des populations des Etats ACP et, étant complètement déroutés par les informations concernant l’affaire « CDI-CDE » qui nous parviennent, nous devons avertir les gouvernements des pays ACP, de l’UE, l’Union Africaine et les Institutions Européennes de la gravité de la situation. Nous avons en effet acquis la conviction que, contrairement a ce qu'il a été dit depuis des années, Monsieur Abraham Germain Kaninda MBAYI, fonctionnaire international, ressortissant de la République Démocratique du Congo (RDC), Directeur intérimaire du CDI et partie civile depuis le 29 Août 2008 dans le dossier N° 68/09 (Juge d'Instruction A.-F. Destrée) à l'instruction de Monsieur Louis Michel du chef de : - faux et usage de faux, - diffamation, - dénonciation calomnieuse, - usurpation de fonction, - harcèlement et escroquerie depuis 1995, n'est ni un fou, ni un voleur, ni un menteur, ni un usurpateur : il pourrait simplement dire vrai et être pour cela être en danger de mort du fait de l'existence des dossiers Abssalam. Le CDI-CDE, ou encore CDE, serait une organisation internationale fictive occupant illégalement le Siège du CDI… De plus, la nomination en mars 2009 d’un nouveau directeur du CDE, un certain, Thiam (de nationalité sénégalaise) serait illégale (car il aurait été sélectionné sur la base d'une procédure réservée aux seuls ressortissants d'Afrique de l'Ouest sans la moindre base légale). Cette nomination doit être suspendue dans l’intérêt des pays UE & ACP en attendant que tout ceci soit tiré au clair. Le Collectif Européen From protected at gmail.com Sat Mar 7 00:40:45 2009 From: protected at gmail.com (Gabonais Diaspora) Date: Sat, 07 Mar 2009 00:40:45 -0500 Subject: [BDPalabres] PAHÉ veut faire son entrée dans la Liste des "10 Gabonais"... Message-ID: Pahé, le célèbre dessinateur (gabonais) de renommée Internationale, demande à son tour de faire son entrée dans la liste des « 10 Gabonais ». Ce Portail de plus en plus incontournable, dans l’inventaire des individualités qui comptent dans la Diaspora Gabonaise, et qui ne manqueront sans doute de faire l’Histoire du Gabon de demain. Nous vous remercions pour l’intérêt que vous portez à notre jeune Portail cher Compatriote. Vos encouragements témoignent de l’importance de notre projet et de l’excellence de notre vision dans la promotion des initiatives « visibles » de tous ces Gabonais acquis à notre cause nationale commune. Votre présence dans cette Liste nous semble toute justifiée, au regard de votre talent et de l’impact que celui-ci a dans la promotion du Patrimoine Culturel Gabonais. Nous vous assurons de notre réponse dans les tout prochains jours. Le Collectif « Diaspora Gabonaise » http://gabon.typepad.fr Le site Internet, de plus en plus incontournable pour les milieux sociopolitiques internationaux, qui entend promouvoir une certaine prise de conscience citoyenne Gabonaise, à travers l’expression de quelques (rares) individualités, dans l’opinion de la Communauté gabonaise expatriée. De : typepad Envoyé : vendredi 6 mars 2009 07:52 À : gabonaisdiaspora Objet : [LES 10 GABONAIS DE LA DIASPORA] pahé a déposé un commentaire sur 'VOICI LA LISTE DES 10 GABONAIS QUI COMPTENT DANS LA DIASPORA'. Un nouveau commentaire de “pahé” a été reçu sur la note “VOICI LA LISTE DES 10 GABONAIS QUI COMPTENT DANS LA DIASPORA” du blog “LES 10 GABONAIS DE LA DIASPORA”. Commentaire: Mbolo, ,mbolo!Dites donc et moi alors? je compte pour des petits bouts de manioc et du coupé coupé? Allez hop, rectifiez le tir et mettez moi dans la liste des 15. Biz Pahé mon blog http://dipoula.paquet.li From protected at yahoo.fr Mon Mar 9 17:23:03 2009 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Mon, 09 Mar 2009 17:23:03 -0400 Subject: [BDPalabres] La lente agonie du Royaume-Uni Message-ID: La lente agonie du Royaume-Uni Par Ingrid Labuzan, 09 mars 2009 Ingrid Labuzan Reykjavík-sur-Tamise : voilà le nouveau surnom de Londres. Terminées les heures flamboyantes de la City, le modèle économique du Royaume-Uni fondé sur la finance est mort. " Aujourd'hui, on évoque un retour aux années 1930 et une faillite du Royaume-Uni ", note The Observer. Les mesures du gouvernement, renflouage des banques ou baisse de la TVA, n'ont pas eu l'effet escompté. Les banques ne prêtent pas davantage, les consommateurs n'achètent pas plus qu'avant. Conséquence : les faillites se multiplient, tandis que le chômage explose. 1 490 personnes supplémentaires se retrouvent sans emploi chaque jour, selon Credit Action. À ces problèmes économiques, dont une partie découle de la trop grande spécialisation du Royaume-Uni dans le secteur de la finance, s'ajoute une autre particularité : l'énorme endettement individuel des Britanniques. Chaque adulte supporte une dette égale, en moyenne, à 30 420 £. Une personne est déclarée en faillite ou insolvable presque toutes les cinq minutes, toujours selon l'institut de recherche Credit Action. L'endettement et la faillite de son modèle économique font du Royaume-Uni l'un des pays les plus exposés à la crise. Une réalité qui n'a pas échappé au Fonds monétaire international (FMI), qui affirme que la récession qui touchera le royaume de Sa Majesté sera plus profonde que celle qui affectera les autres pays développés et la pire depuis la Seconde Guerre mondiale. Oublié l'espoir d'une amélioration pour le deuxième trimestre 2009. Le PIB devrait chuter de 2,8%, peutêtre même de 4 à 6% cette année, selon la Banque d'Angleterre. Une éclaircie se profilera-t-elle en 2010 ? Ce n'est même pas certain : selon le FMI, la croissance ne devrait être que de 0,2%. Immobilier, Bourse et monnaie, même plongeon À cela, certains opposeront l'accalmie observée dans le secteur de l'immobilier. Les prix ont bondi de 1,9% en janvier, après avoir perdu 17,2% en un an. " Les taux d'intérêt moins élevés rendent l'immobilier plus abordable, avec des remboursements de crédit qui sont passés de 31% des revenus bruts des ménages au premier semestre 2008 à environ 21% en janvier ", estime l'économiste Martin Ellis, spécialiste en immobilier. Il tempère cependant cette bonne nouvelle : " Il y a quelques signes précoces de stabilisation du marché, mais à un bas niveau. Cependant, les pressions continuent sur les revenus : la hausse du chômage et l'impact négatif de la dislocation des marchés financiers sur la disponibilité des crédits immobiliers devraient faire de 2009 une année difficile pour ce marché. " Les activités liées à l'immobilier ne devraient donc pas connaître de répit en 2009. La première faillite d'un constructeur coté vient d'ailleurs d'être enregistrée. Le cours de l'action Oakdene a été suspendu le 22 janvier. Du côté de la Bourse, le FTSE a été chahuté en 2008. Fin décembre, il était à environ 4 434 points, soit 2 023 points de moins qu'en décembre 2007, ce qui représente une chute de plus de 31%. Parmi les géants de la cote à la peine se trouve BP, dont les bénéfices se sont effondrés de 24% au dernier trimestre 2008, à la suite de la chute des cours du pétrole. BHP Billiton a également affiché des résultats inférieurs aux attentes des analystes, tandis que British Airways plonge depuis désormais plus de neuf mois. Ce n'est pas grâce à la livre que certains compenseront leurs pertes. Au quatrième trimestre 2008, le cours de la devise britannique a atteint un point bas sans précédent face au dollar et à l'euro. L'institut de recherche Knight Frank considère que la parité livre/ euro serait possible en 2009. Tandis que The Observer enfonce le clou : " L'un des plus célèbres spéculateurs du monde a conseillé aux investisseurs de laisser tomber la livre sterling. “Vendez tous vos actifs en livres. C'est fini ”, a déclaré Jim Rogers. " Première parution le 19/02/2009 dans le numéro 21 de MoneyWeek L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite From protected at coalitiondurefus.org Mon Mar 9 18:13:16 2009 From: protected at coalitiondurefus.org (Coalition du Refus) Date: Mon, 09 Mar 2009 18:13:16 -0400 Subject: [BDPalabres] Patrice Nendjot rejoint la Coalition dans une Lettre aux Gabonais Message-ID: Patrice Nendjot démissionne du PDG et de l’UJPDG et rejoint la Coalition dans une Lettre aux Gabonais M. Patrice Nendjot, un ancien membre du PDG et de l’UJPDG ayant assisté aux travaux portnt création de la Coalition Gabonaise du Refus et de Salut National à Paris les 20, 21 et 22 février 2009 a fait parvenir à la Coalition la letrre ci-dessous depuis le 1 mars 2009. En voici le contenu. Lire la suite: http://www.bdpgabon.org/articles/2009/03/09/patrice-nendjot-demissionne From protected at yahoo.fr Tue Mar 10 09:25:56 2009 From: protected at yahoo.fr (nkenga patrice) Date: Tue, 10 Mar 2009 09:25:56 -0400 Subject: [BDPalabres] Aux responsable de l'UJpdg Message-ID: Aux responsable de l'UJpdg, sachez que l'heure est arrivée de vous calmer car nous vrai gabonais qui représentons l'intelligentsia de la jeunesse gabonaise, avons décides de prendre la gestion de notre pays en main, le Gabon aux gabonais et que la jeunesse congolaise qui prétend être responsable de jeunes gabonais de France s'arrête,suivez mon regard. Nous sommes jeunesse gabonaise sommes prêt à débattre en toute liberté dans le respect des opinions politiques des uns et des autres, quand ces autres ont remplis à la conditions siné qua non d'être des vrais gabonais. Nous ne sommes plus dupes de rien, car l'ujpdg en France est une superthéatralisation, et je trouve indécent leurs prise de positions et ainsi assimiler la jeunesse gabonaise de France à des tels raisonnement d'inadapté social. Je sous sommes donc d'arrêtés de parle aux nom des jeunes gabonais et vos comportement injurieux des citoyens de nom pays. Président de l'association Franco-Gabonaise. --- En date de : Lun 9.3.09, Ujpdg France a écrit : De: Ujpdg France Objet: Jeunesse pédégiste de France: rectification de l'erreur À: ujpdgfrance at yahoo.fr Date: Lundi 9 Mars 2009, 12h50 Chers compatriotes, Eu égard au nombreuses réactions suscitées par la publication sur notre blog internet d'un article au sujet de l'affaire Kouchner dans laquelle le Gabon notre pays est impliqué par" ricochet", celle concernant l'intitulé de notre article a particulièrement retenu notre attention. l4ujpdg6france tient donc à vous informer qu'elle a procédé à la rectification de l'intitulé de l'article en précisant qu'il s'agissait non pas de "la jeunesse gabonaise de France", mais la Jeunesse Pédégiste de France. Merci de considérer à présent cette rectification et d'oublier le malentendu suscité par le message précédent. Nous sommes par ailleurs heureux de voir qu'un tel sujet ait suscité le débat en toute liberté dans le respect des opinions politiques des uns et des autres, même si certains individus en mal de reconnaissance et au besoin brûlant d'exister, ne manquent pas d'extérioriser leur aigreur et leur appetit brûlant d' opportunistes, en répondant par des injures voilées et même parfois dévoilées ou tout simplement en demeurant dans une procédure de dénonciation et contestation ( ce qui est leur droit absolu) plutôt qu'une procédure d'action ( ce que nous leur conseillons). Patriotiquement et merci de vos réactions constructives. L' UJPDG-FRANCE From protected at coalitiondurefus.org Tue Mar 10 09:31:16 2009 From: protected at coalitiondurefus.org (Coalition du Refus) Date: Tue, 10 Mar 2009 09:31:16 -0400 Subject: [BDPalabres] Coalition: Pétition internationale pour l'honneur et la dignité Message-ID: La Coalition lance une pétition inernationale pour l'honneur des Gabonais et la dignité de l'Afrique La Coalition Gabonaise du Refus et de Salut National a lancé, ce mardi 10 mars 2009, une pétition inernationale dite "POUR L'HONNEUR DU GABON ET LA DIGNITE DE L'AFRIQUE". La pétition a pour but d'interperller non seulement les Gabonais, mais aussi le monde, sur les faits suivants: Le régime Bongo, au pouvoir depuis 41 ans, a perverti l'imaginaire et compromis le devenir de générations entières de jeunes dont le génie créateur a été étouffé par une politique anti-intellectuelle, anti-compétence et anti-émulation systématique garnie d'un népotisme létal et destructeur qui a tué en eux et en la nation gabonaise tout entière toute perspective d'avenir. En signant cette pétition, vous exprimez clairement, comme nous, 1) Votre condamnation et votre REFUS, désormais, des dictatures mafieuses, homicidaires, anthropophobes et indéracinables en Afrique, à l'instar du régime quadragénaire, corrompu et kleptocrate d'Omar Bongo au Gabon ; 2) Votre soutien à l'initiative de la Coalition Gabonaise du Refus et de Salut National qui se propose de réviser et de défaire, à Bruxelles les 30 et 31 mai 2009, au nom du Gabon et dans l'intérêt des Gabonais, la constitution bongoïste actuelle taillée à la mesure des fantasmes de monarchie héréditaire d'Omar Bongo, de sa famille et de son régime. Par votre signature, vous dites également avec le peuple gabonais que : - NOUS, Gabonais et amis du Gabon signataires de la présente pétition, sommes fatigués de parler ; nous ne répondrons plus aux invitations du régime Bongo à négocier les mêmes vieux problèmes chaque année sans que ces invitations ne mènent à des solutions durables ; - NOUS, Gabonais et amis du Gabon signataires de la présente pétition, sommes fatigués des mensonges qui nous disent qu'il y a crise alors que le train de vie de la famille Bongo, des membres du régime et de l'état ne cessent d'augmenter, ne laissant que misère, paupérisation et précarité pour le reste du peuple ; - NOUS, Gabonais et amis du Gabon signataires de la présente pétition, sommes fatigués de mendier des miettes à cause des détournements qui voient chaque année l'argent du Gabon s'envoler vers des banques et propriétés immobilières personnelles à l'étranger et ne tolérons plus de demeurer les mendiants d'un patrimoine qui revient de droit à la communauté nationale gabonaise ; - NOUS, Gabonais et amis du Gabon signataires de la présente pétition, sommes fatigués d'attendre un développement qui ne vient jamais et qui, malgré les multiples gouvernements de " combat et d'ouverture ", et malgré les multiples prétendus rénovations et " projets pour le Gabon ", n'est jamais venu ; - NOUS, Gabonais et amis du Gabon signataires de la présente pétition, sommes fatigués de mourir de mort lente et de génocide économique à cause de la misère qui frappe inexplicablement un pays pourtant nantis de richesses immenses pour une population d'à peine 1 million d'habitants. - Par conséquent, parce que 41 ans de régime mafieux, C'EST TROP, la seule chose que NOUS, Gabonais et amis du Gabon signataires de la présente pétition, demandons désormais, c'est le départ immédiat et inconditionnel des incompétents au pouvoir au Gabon, Omar Bongo en tête. Pour signer la pétition, vous pouvez: 1) Remplir les informations sur le formulaire Web de la pétition et donc signer électroniquement via le Web sur cette page dédiée à la pétition: https://www.bdpgabon.org/coalition-gabonaise-du-refus/petitions-de-la-coalition/petition-honneur-et-dignite/ 2) Imprimer le PDF et nous l'envoyer par courrier postal à l'adresse indiquée sur le document: http://www.bdpgabon.org/docs/petition_honneur_dignite.pdf (et prière de faire circuler partout dans le monde) From protected at gmail.com Tue Mar 10 22:45:02 2009 From: protected at gmail.com (9rue jeanpoulain) Date: Tue, 10 Mar 2009 22:45:02 -0400 Subject: [BDPalabres] Mike Jocktane Vs Daniel Mengara Message-ID: ----- Forwarded Message ---- From: bababan To: ndong at yahoo.com Sent: Wednesday, March 11, 2009 2:46:58 AM Subject: Fwd: salut ---------- Message transféré ---------- De : bababan Date : 10 mars 2009 02:41 Objet : salut À : copier ce lien http://video.google.com/videosearch?q=MENGARA%20jocktane# Mike Jocktane Vs Daniel Mengara Dr Mengara, Je viens de regarder votre confrontation filmée avec Mike Jocktane et je dis bravo 1000 fois pour vos prestations à tous les deux. Prestation oh oui !!!Prestation car il s’agit bien de cela. Une mise en scène bien sobre Deux allocateurs centraux et deux autres périphériques Un décor simpliste une capture d’images légère, des bruits de fond, Un budget spartiate la joute peut commencer. Tel « règlement à OK CORRAL » tout es mis en place pour que le pugilat s’amorce. Les qualités des interlocuteurs. DANIEL MENGARA est un Mohammed Ali de la parole, il est cultivé et ses propos sont perçants ;il va directement atteindre sa cible, pas de fioritures! lui il se veut être incisifs et étaye ses propos d’exemples vécus par les gabonais et qui font résonner dans le cœur et la conscience de ceux ci un sentiment commun, empirique et vivace d’un malaise social collectif terrain de jeu des puissances politiques qui ont capturé depuis trop longtemps le pouvoir gabonais. Daniel Mengara sait créer le trouble chez son adversaire et lui montre assez fortement qu’il n est pas un pion sur un damier mais plus tôt le roi sur un échiquier. il maitrise son destin et ses idées. Il est à l aise et ne verse que très rarement dans la condescendance dans laquelle veut l 'entrainer le « révérend » Jocktane. Si ce n’est qu’a un moment ou il rappelle à Mike(donc inexpérimenté) qu’il est jeune et qu’ il n a pas besoin de lui ou du système Bongo pour avancer car il est un homme accompli. Mike Jocktane est un orateur assez brillant il est posé et sais orienter le débat en sa faveur pour glisser ses idées . il a des postures assez intéressantes, il joue intentionnellement des gestes : · Les mains à plat posées sur la table, · Le doigt levé comme pour diriger ou interrompre son adversaire · Le regard orienté , le ton calme et partisan du moins lorsqu’ il maitrise son discours et transmet « ses » idées. Et c est la que le bat blesse : il en a pas !! Les lacunes Mike Jocktane est un homme d’église qui vient pour échanger avec un clandestin dont on sait qu’il est, où il habite et ce qu’il fait dans la vie mais surtout dont on (le pouvoir) n a que faire et que personne n’a invité. ….Ce n’est pas très sérieux.que veut il au juste !!!! Mike Jocktane confond son rôle, perd totalement son sang froid et se pose en victime lorsque Mengara le qualifie d’émissaire- conseiller de celui qu’on ne conseille pas(le nain pervers aux 3000 enfants). Cela se ressent par la gestuelle qui devient tout d’un coup confuse symptomatique de l’énervement et de la panique : · il passe sa main sur les cheveux, sur le visage · il hausse la voix · il s’agite sur la chaise et change constamment d’idée. · Il perd le contrôle Daniel Mengara a fait passer ses idées mais on regrettera son énervement de fin de débat qui fait penser à un fang (ou un gabonais moyen) qui répudie sa femme parce que‘elle n’aurait pas fait à manger !! Il réduit Mike à néant, il l’humilie Malgré cette énervement il montre clairement qu’il enterre lyricalement et intellectuellement l archi évêque émissaire qui aime tant conseiller le yaya omar mais qui aime son pays(quel contradiction nihiliste),et qu’il n en a rien à foutre de tout son tralala... L erreur fondamentale de Jocktane Mike Jocktane est un homme d’église qui a l’habitude de prêcher à des convaincus. Il vient très condescendant pensant s adresser à un petit panghouin nerveux en exil(cupide!!!) à qui il va injecter un package de conseil pour le faire rentrer dans le droit chemin bongoiste. Seulement le monsieur est creux et en contradiction totale avec lui-même. Le « bongo box »ou le « pack Yaya Omar » ne prend pas l' homme n’a pas d’idées il se rend compte à la 25mn dans quelle merde il s’est embarqué au regard de l ‘érudition de Mengara. Il sort totalement décontenancé, déboussolé des phrases issues des débats télévisés entre Mitterrand, d’Estaing et Chirac : · je ne suis pas votre élève · vous n’avez pas le monopole du cœur…. (ca en devient risible et pathétique) Comme si son interlocuteur était un idiot et ne connaissait pas les sources de ses discours et c est la faiblesse de Mike Jocktane de ne pas connaitre son opposant. Le gros problème des gabonais dirigeants et de leurs émissaires c est qu’en dehors de l'enclos gabonais ils croient tout savoir tout maitriser et minimisent l’importance des mouvements d’opposition qui poussent a travers le monde.(dont le bdp reste l'unique survivant de cette race) Après ces instants l’évêque, l’archevêque émissaire polygame en cachette (comme son mentor) qui bat sa femme (ce n a rien à avoir mais c est juste pour le kongossa tant qu’a faire) cède place à la panique- calme-maitrisée-énervée-transpirante et cela devient vraiment encore plus pathétique. Voir ca !! Un homme de « bongo dieu »qui fait semblant d’accuser la gifle du gorille en faisant croire aux caméras qu’il n a pas eu mal mais qu’il reste un démocrateouvert à la discussion !!!à dire que tout glisse autour de lui En définitive, On peut clairement affirmer que Mengara a désintégré le Mike Jocktane grand évêque autoproclamé !! Comme disait Machiavel ou Ptahotep ou encore Sun Zu que peut t’on infligé à un homme qui n a rien à perdre et qui est prêt à mourir pour sa cause ? · Violer sa femme ? · tuer sa famille ? · lui faire perdre son emploi ? · lui confisquer son passeport Gabao ? · l’amputer ? La liste peut être très longue et infinie !!! Mais il ne faut pas en faire un martyr car Dr Mengara à l'air d’être prêt à mourir pour son pays et c’est pire qu’une bombe atomique sur la gueule d’Omar. A moins de mettre de l’eau dans son vin, il reste maitre de ses idées que je partage clairement car comment dialoguer avec le malin? Peace one Kenobi From protected at yahoo.fr Tue Mar 10 22:51:08 2009 From: protected at yahoo.fr (Ujpdg France) Date: Tue, 10 Mar 2009 22:51:08 -0400 Subject: [BDPalabres] Tr : Omar Bongo Ondimba et Bernard kouchner font brûler le torchon. Message-ID: ---- Message transféré ---- De : telesphore obame Envoyé le : Mardi, 10 Mars 2009, 14h40mn 20s Objet : Omar Bongo Ondimba et Bernard kouchner font brûler le torchon. Albert Camus disait:"la vraie générosité envers l'avenir consiste à tout donner au présent". Je vous invite à lire la lettre d'un gabonais averti, que je suis, à Monsieur Nkenga Patrice suite son intervention dans l'article rédigé par l'UJPDG de France. Je souhaite recevoir vos avis afin que nous participons activement au débat sur les grandes questions qui touchent le Gabon, notre pays. Bonne lecture. A l'attention de Monsieur NKENGA Patrice, Monsieur, j'ai reçu un mail de votre part faisant état de la situation qui vous opposait au PDG, et votre choix d'agir pour la nation gabonaise dans un cadre autre que les partis politiques. Je me permets d'énoncer une philosophie que j'ai fait mienne, c'est-à-dire, « nos mœurs sont démocratiques », en d'autres termes, vous et moi avons le droit de dire, de faire et d'agir comme nous souhaitons le faire, mais à condition que nos actes répondent aux exigences des normes du respect et de la loi. Je comprends que vous soyez déçu par le fait que l'on ne vous a pas accordé une place au soleil ou que la part de gâteau que vous avez espéré recevoir ne vous a pas été donnée. Ce qui justifie les critiques les plus virulentes, qui se démarquent très peu de ce que j'aurai appelé injures et diffamations, que vous orchestrez à l'endroit de ceux qui hier étaient vos amis ou plutôt vos collaborateurs pour rester modeste dans le genre de relation que vous aviez. En ma qualité de jeune citoyen gabonais, soucieux comme beaucoup d'autres compatriotes du devenir de notre pays, je me permets de prendre la parole, non pour arbitrer les échanges entre vous et les membres de l'UJPDG mais pour essayer de dénoncer les vrais opportunistes et les discours publics chargés de rancœurs et d'aigreur. Pour ce faire, je vais user de mes compétences intellectuelles qui s'inscrivent dans ce champ d'autant plus que grâce au financement de mes études par le gouvernement gabonais, j'ai pu acquérir un diplôme de haut niveau en communication politique et publique. Vous êtes sans ignoré que beaucoup d' hommes font eux mêmes le choix de leur mode de penser. Ce qui est tout à fait respectable et louable, car c'est une manière de vivre une des plus grande valeur de l'humanité, je cite: La Liberté. Dans vos propos en réaction à l'article de l'UJPDG de France sur l'affaire Kouchner, qui a reconnu son erreur dans ses notes d'après de s'être exprimé au nom de la jeunesse gabonaise de France, vous commencez votre rédaction en parlant de « passion ». Je ne vais pas vous développer cette notion de philosophie très intéressante mais juste vous dire que de mon point de vue, elle trahit et conditionne vos dire qui suivent le reste de votre courriel. Vous vous dites« Homme de passion », ce que je considère dans votre cas comme étant une maladie parce que vous vous inscrivez dans la même logique que Kant, et non comme étant un vecteur de construction comme l'affirme Hegel ( Rien de grand ne s'est fait sans passion disait-il). Ce n'est point une injure que je fais à l'endroit de votre personne mais c'est un constat que je vais justifier clairement. Vous avez tellement agi à l'encontre des intérêts du Gabon au même titre que les autorités gabonaises que vous décriez aujourd'hui, à votre échelle de pouvoir bien sûr, que votre passion se retourne contre vous. Je me permets de rajouter, qui tue par l'épée périt par l'épée. C'est dire que tous ceux qui ont soutenu de près comme de loin ce système sans vouloir l'assumer, seront jetés à l'arrière plan de l'histoire de notre beau pays. Vous vous êtes exprimé face à des jeunes gabonais et gabonaises réfléchies, qui savent mieux que quiconque les causes premières des retournements de chemises de nos frères compatriotes ayant servi, loyalement et avec passion certainement le PDG et la politique de son président fondateur. Nous, jeunes gabonais vivant en France, sommes vaccinés et capables de vaincre les épidémies du genre que vous représentez dans le cas présent. Je soutiens comme beaucoup de gabonais et gabonaises que l'âge de la majorité et de la maturité est 18 ans, ce qui ne veut pas dire qu'en deçà de cet âge, un individu n'est point réfléchi.. Vous avez servi, collaboré pendant 20 ans un parti politique, un homme que vous diabolisez aujourd'hui sous prétexte d'une déception et ainsi vous pensez que nous ne sommes point vigilants et avertis pour refuser toutes formes de coopération avec vous bien que vous n'agissez plus dans un parti politique? Cher compatriote, les mêmes causes ont toujours produit les mêmes effets, je vous le rappelle à juste titre. On ne peut se détacher aussi facilement d'une histoire passionnelle qu'a été la vôtre et le PDG. Votre attitude de rejet du parti est compréhensible d'autant plus que toute forme de trahison est toujours douloureuse mais je pense que nos épaules de gabonais ne servent pas recevoir les larmes d'un homme isolé, trahi par ses pairs suite à des différends internes. Les gabonais et les gabonaises de France ont un rôle plus important à jouer autre que celui que vous voulez leur confier: assistant social des PDGistes qui n'assument pas leur choix et qui sont refoulés. Je pense que votre choix d'agir dans un autre champ que celui d'un parti politique est appréciable mais ne croyez pas en la collaboration des individus comme moi, qui refusent de faire le choix d'être tué soit avec une machette ou avec une hache. Je constate également que vous manquez de rigueur dans votre style d'écriture, aussi bien dans le fond que dans la forme. Je m'explique: * Vous parlez du président Bongo que je ne souhaite pas défendre car je reste convaincu que le lieu ne sied pas à cette besogne et qu'il trouvera certainement en votre personne un défenseur sans pair s'il le souhaite, non seulement pour avoir travaillé à sa vigne pendant 20 ans et connaissant sa capacité à reconvertir en « ange démoniaque » ce qui croient tromper le commun des gabonais et gabonaises en voulant se démarquer de la propriété des semences qu'ils ont fait germer au sein de son parti politique. Ce que je voulais faire ressortir dans ce premier trait a pour objectif de dire qu'il y a une différence fondamentale entre le président Bongo et monsieur Bongo. Quand on associe la fonction au nom d'une personne, on associe l'autorité de cette personne. Alors, jusqu'à preuve du contraire, Omar Bongo Ondimba demeure le président du Gabon, notre pays. Je vous invite à relire l'avant dernier paragraphe de votre réaction. * Je pense que par pur esprit patriotique, et par mon désir de faire véritablement demeurer indépendant notre pays le Gabon, je n'accepterai point qu'une autorité étrangère quelconque s'ingère dans la gestion des affaires du Gabon. Au risque de verser royalement dans une dépendance qui trouvera difficilement une voie de sortie. On peut effectivement se demander si le Gabon est véritablement indépendant, j'ouvre le débat sur cette question mais je précise que ce n'était pas le but de ma lettre. Par conséquent, je serais amener à défendre le président Omar Bongo Ondimba, même si je n'apprécie pas son bilan de façon globale. Cependant, lorsqu'une affaire oppose Omar Bongo Ondimba et une personne quelconque dans une affaire privée, je laisserai la justice faire son travail et les parties opposées mener leur bataille. - Comment voulez vous donner du crédit à votre discours et à votre action dans votre nouvelle organisation si vous n'êtes pas en mesure d'avoir plus de rigueur dans la rédaction, qui je vous le rappelle compte à 60% dans l'envie de lire. Votre lettre est truffée de fautes d'orthographe: vous avez péché par un manque de relecture. Et je pense que nous qui vous lisons nous méritons mieux. Enfin, je ne porterai pas de jugement de valeur sur votre action au sein du PDG, et ne vous demanderai même pas le descriptif de vos actes d'autant plus que le paysage actuel est assez éloquent pour exprimer votre participation active à l'échec de notre pays. Je me permets pour se faire de vous donner un conseil,venant d'un professionnel de la communication politique et publique d'autant plus que vous vous inscrivez dans l'action publique via votre adhésion à l' « association Franco-gabonaise », celui d'éviter de venir vomir comme vous l'avez fait sur vos anciens collaborateurs car vous attirez la méfiance de vos futurs collaborateurs qui ont assisté aux massacre des premiers cités. Je rajouterai qu'il est difficile pour beaucoup de gabonais et de gabonaises de croire à ce parti majoritaire. Mais, il faut dire la vérité à nos compatriotes. Pour ma part, je fais une grande différence entre les PDGistes Bongoistes, les PDGistes et les Bongoistes. En d'autres termes, on peut être au PDG et être ami d'Omar Bongo Ondimba, on peut également être au PDG sans être ami d'Omar Bongo Ondimba et enfin, on peut ne pas être au PDG mais être ami d'Omar Bongo Ondimba. Voici les trois possibilités qui s'offrent aux gabonais et gabonaises. Et dans votre discours extrêmement flou, vous ne précisez pas votre position afin que nous sachions doser la rigueur des jugements qu'on fera peser sur vous en temps et en heure, car vous nous parlez bien du « fameux fusil qui change d'épaule ». Il m'est arrivé en guise de curiosité de séjourner dans les statuts de ce parti politique, je n'ai pas vu une grande différence avec les statuts de plusieurs autres partis politiques pour me cantonner rien que dans le cadre du Gabon. C'est pour dire que les statuts de ce parti politique paie du désastre des ses acteurs premiers. Ce qui m'amène à dire qu'on peut adhérer au PDG sans partager la politique élaborée par les dirigeants politiques actuels. En bref, ce n'est pas le PDG qu'il faut changer mais certains de ses dirigeants. Et, il revient à la jeunesse intellectuelle et intelligente que nous constituons, de réfléchir sur les amalgames qui sont faites ça et là. Je vous invite à nous proposer comme le fait l'UJPDG de France, des thèmes de débats sur lesquels nous valoriserons la démocratie participative gabonaise, et pourrons participer à la construction du Gabon de demain. Ne pas demeurer fataliste constitue un espoir existentiel pour moi comme pour d'autres compatriotes. J'espère ne pas avoir été incisif envers vous, ce que ne visait pas l'objet de ma lettre mais que dans l'analyse que je fais de votre courriel, vous reconnaitrez le symbole d'une vérité avouée et le rejet d'un opportunisme que je démasque, car vous l'avez abrité sous la forme d'une déception et de la création d'une nouvelle organisation. J'espère également que vous accuserez bonne réception de mon message et je vous prie de croire en l'esprit bien éclairé et bien averti des gabonaises et gabonais de France. Télesphore OBAME NGOMO From protected at bdpgabon.org Wed Mar 11 16:56:23 2009 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Wed, 11 Mar 2009 16:56:23 -0400 Subject: [BDPalabres] Le Dr. Daniel Mengara répond à Gabonews/Omar Bongo: « Ne confondez pas diaspora gabonaise et diaspora gabonaise prostituée » Message-ID: Le Dr. Daniel Mengara répond à Gabonews/Omar Bongo: « Ne confondez pas diaspora gabonaise et diaspora gabonaise prostituée » http://www.bdpgabon.org/articles/2009/03/11/le-dr-daniel-mengara-repond-a-gabonewsomar-bongo C’est surpris par l’indécence bongoïste qui continue à s’affirmer par le faux et l’illusion que je prends sur moi de réagir, avec véhémence, à titre personnel mais aussi au nom du BDP-Gabon Nouveau, à l’article de Gabonews du 9 mars 2009 intitulé « La diaspora gabonaise à travers le monde s’insurge contre « la cabale des [...] C’est surpris par l’indécence bongoïste qui continue à s’affirmer par le faux et l’illusion que je prends sur moi de réagir, avec véhémence, à titre personnel mais aussi au nom du BDP-Gabon Nouveau, à l’article de Gabonews du 9 mars 2009 intitulé « La diaspora gabonaise à travers le monde s’insurge contre « la cabale des médias français » visant le président Bongo ». Question directe : De quelle diaspora parlez-vous, Gabonews/Omar Bongo ? Il me semble, Messieurs de Gabonews, donc, Messieurs du régime Bongo qui avez commandité cet article, donc, Monsieur Omar Bongo qui en êtes l’ultime bénéficiaire, que vous faites erreur : ne confondez pas « diaspora gabonaise » et « diaspora gabonaise prostituée ». C’est donc à Monsieur Bongo, le bénéficiaire de cette énième contorsion aux relents de fraude politique, que je parlerai directement, pour qu’il comprenne bien, une bonne fois pour toutes, qu’il y a une différence entre la réalité d’une diaspora gabonaise consciente de son devoir envers le Gabon et le fantasme d’une diaspora gabonaise prostituée, celle-là même qui, parce qu’infâme et animalisée, soutiendrait la mort du Gabon orchestrée depuis 41 ans par le régime Bongo. Monsieur El Hadj Albert Bernard Omar Bongo Ondimba, Grand Camarade, La diaspora gabonaise dont je fais partie, Monsieur, ne s’insurge pas contre la cabale des médias français visant le président autoproclamé et faussaire électoral que vous êtes. Elle l’applaudit et l’encourage. Cette diaspora dont je fais partie, Monsieur, trouve admirable que les médias français puissent faire ce que vous interdisez aux médias gabonais, c’est-à-dire que chez vous au Bongoland, vous considérez comme crime de lèse-roi le fait de critiquer la personne d’Omar Bongo, un fait qui, en fin de compte, fait de vous un président non seulement autoproclamé, mais également hors la loi car ni l’état de droit ni les libertés citoyennes n’ont de sens pour vous. Rien d’étonnant alors que, dans son rapport 2008 sur les droits humains au Gabon, le gouvernement américain ait constaté qu’au Gabon on peut tout critiquer, sauf le roi Bongo, et que toute critique directe du roitelet gabonais mène automatiquement soit à emprisonnement du citoyen incriminé (Marc Ona Essangui et ses collègues arrêtés en décembre 2008 en sont aujourd’hui le symbole le plus marquant), soit à une fermeture du journal incriminé (on ne compte plus les journaux fermés, interdits ou punis d’amendes au Gabon). Vous semblez, Monsieur Bongo, ne souffrir d’aucun embarras devant un tel musellement de votre peuple déjà meurtri par 41 ans de dictature et, comble de l’indécence, vous osez vous attaquer à des médias français libres qui, eux au moins, dans leur pays, peuvent traiter leur président de « grand malade » sans pour autant atterrir à Gros-Bouquet. N’avez-vous donc aucune honte, Monsieur Bongo, de vivre d’illusions toute votre vie, comme un enfant qui n’a jamais grandi et qui nourrit son imagination de fantasmes féeriques? Les Gabonais ne veulent plus de vous, mais vous feignez d’ignorer ce refus, comme si cette réalité allait, comme par miracle, faire de vous le chouchou d’un Gabon qui préférerait actuellement un chien à votre place ? Entre nous, Monsieur Bongo, quand un Gabonais dit aujourd’hui « Bongo Oyé » sur votre passage, est-ce par amour pour vous ou par amour pour la bière que vous lui offrez ? De votre réponse à cette question dépendra l’asile où les Gabonais, demain, vous consigneront. La diaspora gabonaise dont je fais partie, Monsieur, n’est pas celle qui arpente les couloirs des hôtels où vous restez à Paris ou à Washington pour quémander la pitance de 200 Euros que vous lui distribuez en signe d’assassinat des consciences. Cette diaspora des couloirs d’hôtels et des rasages de murs nocturnes est à votre image, donc, animalisée. Je n’en fais pas partie. La diaspora gabonaise dont je fais partie, Monsieur, n’est pas celle qui, alors même que c’est à cause de vous que ses membres se retrouvent obligés de rester à l’étranger à vivre des vies indignes, se retourne paradoxalement contre elle-même pour voter Bongo lors des élections frauduleuses que vous leur servez depuis 41 ans. Cette diaspora qui ne comprend pas que quand elle vote Bongo, ce qu’elle fait, en fait, c’est dire à Bongo : « Oui, papa indigne, continue à voler l’argent du Gabon et à nous maintenir en exil économique ; oui, papa animalisé, continue à nous maintenir en exil dans des pays comme le Sénégal, le Mali, le Burkina Faso et autres où nous vivons dans la honte totale, honte parce que, par votre incapacité à construire au Gabon des écoles et universités dignes de ce nom, c’est dans ces pays dix fois plus pauvres que le Gabon que nous allons désormais écumer nos humiliations quadragénaires ; oui, papa cupide et égoïste, continue à faire des caisses du trésor public gabonais ton trésor personnel, continue à t’accaparer des richesses de la nation au profit de ta propre famille, continue à envoyer ta fille Pascaline Bongo à Paris distribuer 50.000 Euros (33 millions de F CFA) par tête aux Gabonais chargés de faire valider la fraude électorale du régime en France, continue à me forcer à vivre comme un animal à chercher la dignité dans des pays qui ne me veulent pas et qui me ramènent manu militari au Gabon dans l’humiliation (le cas Raïssa Mengue) ; continue à t’imposer au pouvoir par tous les moyens possibles car la précarité et la pauvreté à laquelle tu nous condamnes sont hautement appréciées ; continue, papa roi, continue à nous meurtrir des mille enfers dont tu es capable ». Non, Monsieur, je ne fais pas partie de cette diaspora-là. Et par « je », je veux dire « nous » de la diaspora patriotique qui résisterons jusqu’au bout à l’appel de l’animalité. Lire la suite: http://www.bdpgabon.org/articles/2009/03/11/le-dr-daniel-mengara-repond-a-gabonewsomar-bongo From protected at hotmail.com Wed Mar 11 17:13:05 2009 From: protected at hotmail.com (Smiles Mhagi) Date: Wed, 11 Mar 2009 17:13:05 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Mike Jocktane Vs Daniel Mengara Message-ID: BIEN OBSERVÉ, LA MAIN SUR LA TABLE C'ÉTAIT UN RÉFUS DE DIALOGUE (TU PEUX PARLER, JE T'ÉCOUTE MAIS CE QUE TU DIS N'EN VAUT PAS LA PEINE) DANS LE SENS OÙ IL VEUT QUE SES IDÉES SOIENT, TOUTE FOIS SON TEMPS CONTRASTE AVEC LA GESTURE. JE NE CROIS PAS QU'IL L'AIT APPRIS SINON IL N'AURAIT PAS ÉTÉ AUSSI CLAIRE. ON PEUT AUSSI CONSTATÉ QU'AU DÉBUT DE LA RENCONTRE LA VUE DE LA CAMÉRA LE DESTABILISE DÉJÀ. SÛREMENT QUE CELA VA JOUER SUR LE FAIT QU'IL FAUDRAIT CONTRÔLER CE QUI DOIS ÊTRE DIT, DONC EAUCOUP DE RESERVE. aU FAIT QUE VOULAIT-IL DIRE PAR " MOI JE SAIS QU'AU GABON IL N'Y A PAS DE MEURTRE POLITIQUE, POUR LES GENS DE VOTRE RANG"? A 6'47'' il sort un mensonge... C'était une rencontre de farce. Ce pasteur est dangereux, l'observation de sa gestuel montre qu'il est un partisan du faut et de l'entourloupe! JE NE DIRAI PAS QUE Dr MENGARA AIT GAGNÉ (S'IL FAUT PARLER EN CES TERMES CF TITRE DU MESSAGE) PARCE QUE LORS DE LA CONVERSATION, LE Dr MENGARA A UN TON HAUTAIN, UN AIR SUPÉRIEUR. IL A L'AVANTAGE DE LA SITUATION PARCE QU'IL SAIT QUE LA CONVERSATION SERA FILMÉ. Il ne tire pas non plus son épingle du jeu car il est tombé dans le piège du je suis le plus fort, qu'il a bien lu chez son interlocuteur. S'il a accepté de jouer à ce jeu c'est qu'il a encore à apprendre. Ils étaient trois contre un! Lol....Félicitations pour les observations. Bonne journée LOVE from me > To: bdpalabres at bdpgabon.org > From: protected at gmail.com > Date: Tue, 10 Mar 2009 22:45:02 -040 M0 > Subject: [BDPalabres] Mike Jocktane Vs Daniel Mengara > > ----- Forwarded Message ---- > From: bababan > To: ndong at yahoo.com > Sent: Wednesday, March 11, 2009 2:46:58 AM > Subject: Fwd: salut > > ---------- Message transféré ---------- > De : bababan > Date : 10 mars 2009 02:41 > Objet : salut > À : > > copier ce lien > > http://video.google.com/videosearch?q=MENGARA%20jocktane# > > > > Mike Jocktane Vs Daniel Mengara > > Dr Mengara, > > Je viens de regarder votre confrontation filmée avec Mike Jocktane et je dis bravo 1000 fois pour vos prestations à tous les deux. > > Prestation oh oui !!!Prestation car il s’agit bien de cela. > > Une mise en scène bien sobre > > Deux allocateurs centraux et deux autres périphériques > > Un décor simpliste une capture d’images légère, des bruits de fond, > > Un budget spartiate la joute peut commencer. > > Tel « règlement à OK CORRAL » tout es mis en place pour que le pugilat s’amorce. > > Les qualités des interlocuteurs. > > DANIEL MENGARA est un Mohammed Ali de la parole, il est cultivé et ses propos sont perçants ;il va directement atteindre sa cible, pas de fioritures! > > lui il se veut être incisifs et étaye ses propos d’exemples vécus par les gabonais et qui font résonner dans le cœur et la conscience de ceux ci un sentiment commun, empirique et vivace d’un malaise social collectif terrain de jeu des puissances politiques qui ont capturé depuis trop longtemps le pouvoir gabonais. > > Daniel Mengara sait créer le trouble chez son adversaire et lui montre assez fortement qu’il n est pas un pion sur un damier mais plus tôt le roi sur un échiquier. > > il maitrise son destin et ses idées. > > Il est à l aise et ne verse que très rarement dans la condescendance dans laquelle veut l 'entrainer le « révérend » Jocktane. Si ce n’est qu’a un moment ou il rappelle à Mike(donc inexpérimenté) qu’il est jeune et qu’ il n a pas besoin de lui ou du système Bongo pour avancer car il est un homme accompli. > > Mike Jocktane est un orateur assez brillant > > il est posé et sais orienter le débat en sa faveur pour glisser ses idées . > > il a des postures assez intéressantes, il joue intentionnellement des gestes : > > · Les mains à plat posées sur la table, > > · Le doigt levé comme pour diriger ou interrompre son adversaire > > · Le regard orienté , le ton calme et partisan du moins lorsqu’ il maitrise son discours et transmet « ses » idées. Et c est la que le bat blesse : il en a pas !! > > Les lacunes > > Mike Jocktane est un homme d’église qui vient pour échanger avec un clandestin dont on sait qu’il est, où il habite et ce qu’il fait dans la vie mais surtout dont on (le pouvoir) n a que faire et que personne n’a invité. ….Ce n’est pas très sérieux.que veut il au juste !!!! > > Mike Jocktane confond son rôle, perd totalement son sang froid et se pose en victime lorsque Mengara le qualifie d’émissaire- conseiller de celui qu’on ne conseille pas(le nain pervers aux 3000 enfants). Cela se ressent par la gestuelle qui devient tout d’un coup confuse symptomatique de l’énervement et de la panique : > > · il passe sa main sur les cheveux, sur le visage > > · il hausse la voix > > · il s’agite sur la chaise et change constamment d’idée. > > · Il perd le contrôle > > Daniel Mengara a fait passer ses idées mais on regrettera son énervement de fin de débat qui fait penser à un fang (ou un gabonais moyen) qui répudie sa femme parce que‘elle n’aurait pas fait à manger !! > > Il réduit Mike à néant, il l’humilie > > Malgré cette énervement il montre clairement qu’il enterre lyricalement et intellectuellement l archi évêque émissaire qui aime tant conseiller le yaya omar mais qui aime son pays(quel contradiction nihiliste),et qu’il n en a rien à foutre de tout son tralala... > > > L erreur fondamentale de Jocktane > > Mike Jocktane est un homme d’église qui a l’habitude de prêcher à des convaincus. > > Il vient très condescendant pensant s adresser à un petit panghouin nerveux en exil(cupide!!!) à qui il va injecter un package de conseil pour le faire rentrer dans le droit chemin bongoiste. > > Seulement le monsieur est creux et en contradiction totale avec lui-même. > > Le « bongo box »ou le « pack Yaya Omar » ne prend pas l' homme n’a pas d’idées il se rend compte à la 25mn dans quelle merde il s’est embarqué au regard de > > l ‘érudition de Mengara. > > > Il sort totalement décontenancé, déboussolé des phrases issues des débats télévisés entre Mitterrand, d’Estaing et Chirac : > > · je ne suis pas votre élève > > · vous n’avez pas le monopole du cœur…. (ca en devient risible et pathétique) > > Comme si son interlocuteur était un idiot et ne connaissait pas les sources de ses discours et c est la faiblesse de Mike Jocktane de ne pas connaitre son opposant. > > > Le gros problème des gabonais dirigeants et de leurs émissaires c est qu’en dehors de l'enclos gabonais ils croient tout savoir tout maitriser et minimisent l’importance des mouvements d’opposition qui poussent a travers le monde.(dont le bdp reste l'unique survivant de cette race) > > > Après ces instants l’évêque, l’archevêque émissaire polygame en cachette (comme son mentor) qui bat sa femme (ce n a rien à avoir mais c est juste pour le kongossa tant qu’a faire) cède place à la panique- calme-maitrisée-énervée-transpirante et cela devient vraiment encore plus pathétique. > > Voir ca !! Un homme de « bongo dieu »qui fait semblant d’accuser la gifle du gorille en faisant croire aux caméras qu’il n a pas eu mal mais qu’il reste un démocrateouvert à la discussion !!!à dire que tout glisse autour de lui > > En définitive, > > On peut clairement affirmer que Mengara a désintégré le Mike Jocktane grand évêque autoproclamé !! > > Comme disait Machiavel ou Ptahotep ou encore Sun Zu que peut t’on infligé à un homme qui n a rien à perdre et qui est prêt à mourir pour sa cause ? > > · Violer sa femme ? > > · tuer sa famille ? > > · lui faire perdre son emploi ? > > · lui confisquer son passeport Gabao ? > > · l’amputer ? > > La liste peut être très longue et infinie !!! > > Mais il ne faut pas en faire un martyr car Dr Mengara à l'air d’être prêt à mourir pour son pays et c’est pire qu’une bombe atomique sur la gueule d’Omar. > > A moins de mettre de l’eau dans son vin, il reste maitre de ses idées que je partage clairement car comment dialoguer avec le malin? > > > > Peace > > one Kenobi > > From protected at gmail.com Wed Mar 11 19:49:27 2009 From: protected at gmail.com (loeil) Date: Wed, 11 Mar 2009 19:49:27 -0400 Subject: [BDPalabres] Omar Bongo dénonce une "campagne de calomnies" contre le Gabon Message-ID: "Le pouvoir gabonais montre son attachement à une forme de relation ancienne devenue anachronique avec la France, mais omet de s'interroger sur les raisons de sa mauvaise image", analyse une source française. http://www.lemonde.fr/afrique/article/2009/03/10/omar-bongo-denonce-une-campagne-de-calomnies-contre-le-gabon_1165947_3212.html From protected at gmail.com Wed Mar 11 19:52:31 2009 From: protected at gmail.com (loeil) Date: Wed, 11 Mar 2009 19:52:31 -0400 Subject: [BDPalabres] Messieurs les banquiers, embauchez des banquières ! Message-ID: EAN-MARC VITTORI Messieurs les banquiers, embauchez des banquières ! [ 06/03/09 ] Cette crise est une affaire d'hommes. Banquiers en faillite, traders indélicats, régulateurs permissifs, arnaqueurs à la Ponzi, financiers aux bonus astronomiques sont tous de sexe masculin. Bien sûr, il serait tentant de voir là le simple reflet d'une société financière où le costume-cravate devient la norme à l'approche des cercles du pouvoir. Mais il est aussi possible d'aller un peu plus loin. Car les deux causes fondamentales du krach, une prise de risque excessive et une obsession du court terme, sont deux traits typiquement masculins, inscrits dans les gènes et les hormones. En Islande, le pays jusqu'à présent le plus ravagé par l'explosion de la bulle financière, des femmes ont d'ailleurs été choisies pour succéder à des hommes à la tête de Landisbank et Glitnir, les deux banques nationalisées pour cause d'excès délirants, avec le mandat explicite de changer la culture maison. Si la finance est mal, c'est peut-être qu'elle est trop mâle. D'abord, les banquiers ont pris trop de risques. Or les femmes et les hommes ont une attitude très différente face au risque. Les premières sont plus facilement prudentes, les seconds plus facilement inconscients. Il n'y a aucune femme au palmarès du championnat mondial de poker. Les psychologues à la petite semaine affirment que cette différence a été ancrée en nous depuis l'époque des cavernes, quand l'homme sautait de liane en liane pour chasser pendant que la femme gardait les petits dans la grotte. C'est peut-être vrai mais impossible à vérifier. Les biologistes, eux, ont travaillé sur une grandeur mesurable : la testostérone. Cette hormone est 50 fois plus abondante chez l'homme que chez la femme. Elle joue un rôle dans l'agressivité des individus. Et dans la prise de risque, y compris financier, comme le montrent de récents travaux. Deux chercheurs de l'université britannique de Cambridge ont comparé chaque jour le taux de testostérone d'une vingtaine de traders et leurs performances (1). Leur conclusion est limpide : plus le trader a de testostérone, plus il gagne d'argent - ce qui signifie qu'il a pris davantage de risques. Ces dernières années, les banquiers ont accumulé les risques, d'autant que la mécanique des rémunérations les y incitait - et qu'ils croyaient s'en débarrasser avec la technique de la titrisation. Sur son blog tenu sur le site www.women-omics.com, la consultante Avivah Wittemberg-Cox parle d'une « crise de la testostérone ». Dans une interview publiée sur le même site, une analyste financière basée à Londres, Anna Cecilie Holst, déclare non sans humour : « Je ne pense pas que Lehman Sisters aurait pris les mêmes risques que Lehman Brothers. » Il en va de même avec la projection dans le temps. Dans cette crise, les banquiers n'ont pas vu plus loin que le bout de leur nez. Le prochain trimestre, le prochain bonus. Au-delà, le brouillard et l'indifférence. Or, là encore, c'est une attitude très masculine. Les femmes se projettent davantage à long terme. Pas d'explication hormonale ici mais nos psychologues de boudoir parleraient sans doute du fait que les femmes portent les enfants à naître pendant de longs mois et qu'elles sont ensuite portées à les imaginer dans le futur davantage que leurs compagnons. Messieurs les banquiers, embauchez donc des banquières ! Mais pas n'importe où... Il serait, par exemple, inefficace d'imposer la parité dans les salles de marché. Il n'est pas certain non plus que les femmes doivent contrôler ce que font les hommes. A en croire l'étude « Women Matter 2 » publiée l'an dernier par le cabinet McKinsey, c'est dans le domaine du contrôle et des actions correctrices que le leadership masculin est le plus manifeste. En revanche, les femmes sont trop rares dans les instances dirigeantes - comité exécutif ou de direction et conseil d'administration. Tous secteurs confondus, les femmes ne font que 8 % des comités de direction des grandes entreprises françaises (enquête de la Commission européenne en 2006). En élargissant le champ aux 500 premières sociétés, cette proportion atteint à peine 13 % (enquête de l'association Action de femme). Dans la finance, ce n'est sans doute pas mieux. Et il ne suffit pas qu'une femme entre au comité pour que la donne change. L'enquête de McKinsey montre que les grandes entreprises sont mieux organisées - donc plus efficaces - quand elles comptent au moins trois femmes dans leurs instances dirigeantes. Notre psychologue de comptoir dirait qu'une femme seule est isolée - ou se prend pour un homme. Deux femmes se neutralisent. Trois femmes pèsent sur les décisions et dans le bon sens. Dans la finance, où il est urgent de réintroduire le souci du long terme, la pondération dans la prise de risque, l'habitude de la coopération plutôt que la prééminence du chef, il est urgent de faire progresser des femmes jusqu'aux plus hautes fonctions. C'est le meilleur moyen d'éviter la prochaine crise. Jean-Marc Vittori est éditorialiste aux « Echos ». (1) « Endogeneous Steroids and Financial Risk Taking », J.-M. Coates et J. Herbert, Proceedings of the National Academy of Sciences, 22 avril 2008. L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite From protected at gmail.com Thu Mar 12 22:37:51 2009 From: protected at gmail.com (yannick ESSONO) Date: Thu, 12 Mar 2009 22:37:51 -0400 Subject: [BDPalabres] Dépôt de bilan Message-ID: L’association Elate Meyong informe tous ses membres qu’une assemblée générale se tiendra le Dimanche 15 Mars 2009 à partir de 16H 30 dans les locaux de l’ENEA. L’ordre du jour portera principalement le dépôt de bilan du bureau 2008. La présence de tous est vivement souhaitée Le secrétariat Général Site web: http://elatemeyongdakar.ifrance.com/ From protected at yahoo.fr Thu Mar 12 22:39:10 2009 From: protected at yahoo.fr (telesphore obame) Date: Thu, 12 Mar 2009 22:39:10 -0400 Subject: [BDPalabres] Messieurs les banquiers, embauchez des banquières ! Message-ID: Messieurs, après avoir lu avec beaucoup d'attention votre message sur votre souhait d'aider les femmes à accéder de plus en plus aux fonctions de responsabilité, je vais attirer votre attention sur l'urgence de vous exprimer en terme de compétences et talents. C'est dire que je ne rejette pas votre idée d'une plus grande part de parité, mais il serait encore plus judicieux de valoriser le dynamisme de tous ceux qui ont les capacités aussi bien intellectuelles, physiques et morales de pouvoir occuper des postes importants dans tous les secteurs. Je serais bien curieux de savoir où vous situez les homosexuels dans votre conception de l'efficacité à plus ou moins atténuer les risques. Si on part du fait que certains gay ou lesbiennes, différents de ce que certains nomment la norme, se sentent parfois plus hommes ou plus femmes qu'ils le soient si on s'en tient à leur conception génétique. C'est pourquoi, je persiste en basant ma proposition sur les compétences et les talents. Je vais ramener le sujet au niveau du Gabon, notre cher pays, dont vous décriez les dérives de certains dirigeants. Pour ma part, je pense qu'il faudrait relativiser votre jugement au risque de vous retrouver vous même dans vos accusations. Je souhaite que vous me rappeler quel a été le rôle des femmes dans la construction du Gabon?ou encore quelle part leur revient dans l'échec de notre pays? Être un homme ou un femme est un fait indiscutable. Mais être compétents ou talentueux peut demeurer une réalité mais discutable. Mettez les bonnes personnes, à la bonne place et au bon moment, et vous verrez que le désir de chercher des crises, financières et autres, sera quasi impossible. Croyez en mon désir d'un monde juste et égalitaire, non en termes d'hommes et de femmes, mais en termes de mérite et de capacités. Télesphore OBAME NGOMO --- En date de : Jeu 12.3.09, loeil a écrit : De: loeil Objet: [BDPalabres] Messieurs les banquiers, embauchez des banquières ! À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Jeudi 12 Mars 2009, 0h52 EAN-MARC VITTORI Messieurs les banquiers, embauchez des banquières ! [ 06/03/09 ] Cette crise est une affaire d'hommes. Banquiers en faillite, traders indélicats, régulateurs permissifs, arnaqueurs à la Ponzi, financiers aux bonus astronomiques sont tous de sexe masculin. Bien sûr, il serait tentant de voir là le simple reflet d'une société financière où le costume-cravate devient la norme à l'approche des cercles du pouvoir. Mais il est aussi possible d'aller un peu plus loin. Car les deux causes fondamentales du krach, une prise de risque excessive et une obsession du court terme, sont deux traits typiquement masculins, inscrits dans les gènes et les hormones. En Islande, le pays jusqu'à présent le plus ravagé par l'explosion de la bulle financière, des femmes ont d'ailleurs été choisies pour succéder à des hommes à la tête de Landisbank et Glitnir, les deux banques nationalisées pour cause d'excès délirants, avec le mandat explicite de changer la culture maison. Si la finance est mal, c'est peut-être qu'elle est trop mâle. D'abord, les banquiers ont pris trop de risques. Or les femmes et les hommes ont une attitude très différente face au risque. Les premières sont plus facilement prudentes, les seconds plus facilement inconscients. Il n'y a aucune femme au palmarès du championnat mondial de poker. Les psychologues à la petite semaine affirment que cette différence a été ancrée en nous depuis l'époque des cavernes, quand l'homme sautait de liane en liane pour chasser pendant que la femme gardait les petits dans la grotte. C'est peut-être vrai mais impossible à vérifier. Les biologistes, eux, ont travaillé sur une grandeur mesurable : la testostérone. Cette hormone est 50 fois plus abondante chez l'homme que chez la femme. Elle joue un rôle dans l'agressivité des individus. Et dans la prise de risque, y compris financier, comme le montrent de récents travaux. Deux chercheurs de l'université britannique de Cambridge ont comparé chaque jour le taux de testostérone d'une vingtaine de traders et leurs performances (1). Leur conclusion est limpide : plus le trader a de testostérone, plus il gagne d'argent - ce qui signifie qu'il a pris davantage de risques. Ces dernières années, les banquiers ont accumulé les risques, d'autant que la mécanique des rémunérations les y incitait - et qu'ils croyaient s'en débarrasser avec la technique de la titrisation. Sur son blog tenu sur le site www.women-omics.com, la consultante Avivah Wittemberg-Cox parle d'une « crise de la testostérone ». Dans une interview publiée sur le même site, une analyste financière basée à Londres, Anna Cecilie Holst, déclare non sans humour : « Je ne pense pas que Lehman Sisters aurait pris les mêmes risques que Lehman Brothers. » Il en va de même avec la projection dans le temps. Dans cette crise, les banquiers n'ont pas vu plus loin que le bout de leur nez. Le prochain trimestre, le prochain bonus. Au-delà, le brouillard et l'indifférence. Or, là encore, c'est une attitude très masculine. Les femmes se projettent davantage à long terme. Pas d'explication hormonale ici mais nos psychologues de boudoir parleraient sans doute du fait que les femmes portent les enfants à naître pendant de longs mois et qu'elles sont ensuite portées à les imaginer dans le futur davantage que leurs compagnons. Messieurs les banquiers, embauchez donc des banquières ! Mais pas n'importe où... Il serait, par exemple, inefficace d'imposer la parité dans les salles de marché. Il n'est pas certain non plus que les femmes doivent contrôler ce que font les hommes. A en croire l'étude « Women Matter 2 » publiée l'an dernier par le cabinet McKinsey, c'est dans le domaine du contrôle et des actions correctrices que le leadership masculin est le plus manifeste. En revanche, les femmes sont trop rares dans les instances dirigeantes - comité exécutif ou de direction et conseil d'administration. Tous secteurs confondus, les femmes ne font que 8 % des comités de direction des grandes entreprises françaises (enquête de la Commission européenne en 2006). En élargissant le champ aux 500 premières sociétés, cette proportion atteint à peine 13 % (enquête de l'association Action de femme). Dans la finance, ce n'est sans doute pas mieux. Et il ne suffit pas qu'une femme entre au comité pour que la donne change. L'enquête de McKinsey montre que les grandes entreprises sont mieux organisées - donc plus efficaces - quand elles comptent au moins trois femmes dans leurs instances dirigeantes. Notre psychologue de comptoir dirait qu'une femme seule est isolée - ou se prend pour un homme. Deux femmes se neutralisent. Trois femmes pèsent sur les décisions et dans le bon sens. Dans la finance, où il est urgent de réintroduire le souci du long terme, la pondération dans la prise de risque, l'habitude de la coopération plutôt que la prééminence du chef, il est urgent de faire progresser des femmes jusqu'aux plus hautes fonctions. C'est le meilleur moyen d'éviter la prochaine crise. Jean-Marc Vittori est éditorialiste aux « Echos ». (1) « Endogeneous Steroids and Financial Risk Taking », J.-M. Coates et J. Herbert, Proceedings of the National Academy of Sciences, 22 avril 2008. L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite From protected at gmail.com Thu Mar 12 22:41:33 2009 From: protected at gmail.com (nzebeatrice) Date: Thu, 12 Mar 2009 22:41:33 -0400 Subject: [BDPalabres] TR : « La face cachée de Félicité Ongouori Ngoubili » Message-ID: Pour infos.... C'est terrible tout ça quand même... From protected at gmail.com Thu Mar 12 22:44:30 2009 From: protected at gmail.com (Diaspora Gabonaise) Date: Thu, 12 Mar 2009 22:44:30 -0400 Subject: [BDPalabres] 12/03/2009 : Du nouveau sur le site des "10 Gabonais"... Message-ID: Bonjour, Ce jeudi 12 mars 2009, du nouveau sur le site des « 10 Gabonais » : De nouvelles entrées ainsi que les toutes dernières informations sur les principaux acteurs de la Diaspora Gabonaise… Tout ceci, sur : http://gabon.typepad.fr Le site Internet qui entend promouvoir une certaine prise de conscience citoyenne Gabonaise, à travers l’expression de quelques (rares) individualités, dans l’opinion de la Communauté gabonaise expatriée. Bonne navigation Collectif "Diaspora Gabonaise" From protected at bdpgabon.org Sat Mar 14 15:30:28 2009 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Sat, 14 Mar 2009 15:30:28 -0400 Subject: [BDPalabres] Urgent - Gabon: Edith Lucie Bongo Ondimba est morte à Rabat: Confirmé Message-ID: Urgent - Gabon: Edith Lucie Bongo Ondimba est morte à Rabat: Confirmé. Le BDP-Gabon Nouveau confirme la nouvelle de la mort d’Edith Bongo à Rabat. Comme précédemment annoncé sur le site du BDP-Gabon Nouveau le 7 février dernier, le mouvement avait eu vent de la mort d’Edith Bongo à Rabat au Maroc. Cette nouvelle est désormais confirmée. Le BDP-Gabon Nouveau avait en effet, le 7 février, appris la rumeur qu’Edith Bongo Ondimba, fille du président Denis Sassou Nguesso du Congo (Brazzaville) et épouse du chef d’état gabonais Omar Bongo Ondimba, rumeur qui disait qie la première dame du Gabon serait décédée ou tombée dans un coma profond le 7 février 2009 au Maroc. Le BDP-Gabon NOuveau avait été le premier à annoncer cette mort. La nouvelle fut bien évidemment démentie par les autorités gabonaises et congolises, qui ont même affirmé dans diverses déclarations aux médias qu’Edith Lucie Bongo Ondimba serait sortie de son coma et qu’elle se portait désormais mieux. Le BDP-Gabon Nouveau confirme donc désormais de manière définitive le décès au Maroc d’Edith Lucie Bongo Ondimba à l’âge de 44 ans. LIRE LA SUITE: http://www.bdpgabon.org/articles/2009/03/14/urgent-gabon-edith-bongo-est-morte-a-rabat-confirme/ From protected at gmail.com Sat Mar 14 15:38:11 2009 From: protected at gmail.com (faustin Boukoumbi) Date: Sat, 14 Mar 2009 15:38:11 -0400 Subject: [BDPalabres] Il nous fatigue ce ben moubamaba !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Message-ID: Il nous fatigue ce ben moubamaba !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Il se prend pour qui !!! tout ce désordre cybernetique pour la gloire et mettre le pays en peril ? toute l'agitation du web pour ta gloire ? Oui Mr Ben Moubamba caché derriere l'appelation de l'oeil qui tout !!!!! mon oeil vois d'abord le mal que tu es en train de faire à ton pays ! BBM, le pdg d'irimep, le president des acteurs libres, le porte parole des acteurs libres et maintenant...????? Faut avoir le courage d'affronter Bongo au lieu de parler derriere ton histoire de l'oeil qui voit tout !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Pardon , mais c"etait trop fort alors bon vent et disparait aussi vite que tu es venu From protected at netscape.net Sat Mar 14 15:35:57 2009 From: protected at netscape.net (dncicom) Date: Sat, 14 Mar 2009 15:35:57 -0400 Subject: [BDPalabres] 12/03/2009 : Du nouveau sur le site des "10 Gabonais"... Message-ID: Bonjour, C'est vraiment des conneries vos histoires des 10 de ceci et des 10 de cela. C'est encore de l'agitation universitaire que vous faites sans réelle contribution au débat polutique de votre pays. Salutations M.Bruno Ella-Ondo BLDIS FRANCE SAS -----E-mail d'origine----- De : Diaspora Gabonaise A : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Vendredi, 13 Mars 2009 3:44 Sujet : [BDPalabres] 12/03/2009 : Du nouveau sur le site des "10 Gabonais"... Bonjour, Ce jeudi 12 mars 2009, du nouveau sur le site des « 10 Gabonais » : De nouvelles entrées ainsi que les toutes dernières informations sur les principaux acteurs de la Diaspora Gabonaise… Tout ceci, sur : http://gabon.typepad.fr Le site Internet qui entend promouvoir une certaine prise de conscience citoyenne Gabonaise, à travers l’expression de quelques (rares) individualités, dans l’opinion de la Communauté gabonaise expatriée. Bonne navigation Collectif "Diaspora Gabonaise" From protected at gmail.com Sun Mar 15 09:43:11 2009 From: protected at gmail.com (Essono Bekale) Date: Sun, 15 Mar 2009 09:43:11 -0400 Subject: [BDPalabres] 12/03/2009 : Du nouveau sur le site des "10 Gabonais"... Message-ID: Et toi, tu fous quoi pour ton pays, Monsieur Bruno Ella Ondo? Je préfère cete agitation universitaire à rien du tout. C'est bien beau ton discours. mais où as-tu vu un pays qui se respecte qui n'a pas agitation universitaire? Ce sont ces genses là qui s'agissent qui changent leur pays, pas les silencieux comme toi qui s'empifre le poulet avec les bénédictions d'Omar Bongo à longeur de journée. C'est des gens comme toi qui tue le Gabon à décourager les initiatives des austres. Eux au moins sont ceux qui pense à leur pays. va dormir et va manger ton poulet si tu n'a rien à dire. Je ne vois pas en quoi tu contribue valablement au débat sur notre pays avec une attitude comme ça. Tu es même pire comme gabonais démissionnaire que les gens que tu reproches là. et peut-être un peu malade. dncicom wrote: > Bonjour, > > > > C'est vraiment des conneries vos histoires des 10 de ceci et des 10 de cela. C'est encore de l'agitation universitaire que vous faites sans réelle contribution au débat polutique de votre pays. > > > Salutations > > M.Bruno Ella-Ondo > BLDIS FRANCE SAS > > > -----E-mail d'origine----- > De : Diaspora Gabonaise > A : bdpalabres at bdpgabon.org > Envoyé le : Vendredi, 13 Mars 2009 3:44 > Sujet : [BDPalabres] 12/03/2009 : Du nouveau sur le site des "10 Gabonais"... > > Bonjour, > > Ce jeudi 12 mars 2009, du nouveau sur le site des « 10 Gabonais » : De nouvelles > entrées ainsi que les toutes dernières informations sur les principaux acteurs > de la Diaspora Gabonaise… > > Tout ceci, sur : http://gabon.typepad.fr > > Le site Internet qui entend promouvoir une certaine prise de conscience > citoyenne Gabonaise, à travers l’expression de quelques (rares) individualités, > dans l’opinion de la Communauté gabonaise expatriée. > > Bonne navigation > > Collectif "Diaspora Gabonaise" > > > From protected at bdpgabon.org Mon Mar 16 16:11:59 2009 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Mon, 16 Mar 2009 16:11:59 -0400 Subject: [BDPalabres] Communiqué: Le BDP-Gabon Nouveau présente ses condoléances aux familles durement éprouvées par la disparition de Madame Edith Lucie Bongo Ondimba Message-ID: Ayant appris le décès tragique le 14 mars 2009 de Mme Edith Lucie Bongo Ondimba, le BDP-Gabon Nouveau, par son président le Dr. Daniel Mengara, et au nom des diverses instances du mouvement, se joint aux familles qui, de près ou de loin, se trouvent éprouvées par cette douloureuse épreuve et leur adresse ses tristes condoléances. Le Dr. Daniel Mengara, devant cette épreuve difficile, aimerait également rappeler que devant toute vie qui s’arrête aussi prématurément, fût-elle d’un camp politique dont nous ne partageons pas les valeurs, nos clivages idéologiques et politiques doivent nous convier au recueillement national non seulement face à cette fin si tragique de l’une de nos compatriotes devant la maladie, mais également face à la disparition de tant d’autres Gabonais et Gabonaises souvent morts avant l’âge pour cause de sous-développement hospitalier et économique dans notre pays. Pour sa part, le BDP-Gabon Nouveau, dans le recueillement national que cette disparition impose, lance un appel à tous les Gabonais de tous bords politiques de s’atteler, sans plus tarder, à la mise en place au Gabon d’une vraie politique de développement qui permettra de doter notre pays d’infrastructures médicales et hospitalières adéquates, afin justement d’éviter à la nation des drames supplémentaires que la science médicale est pourtant en mesure, aujourd’hui, d’éviter au peuple gabonais dans son ensemble. Et ceci pour que plus jamais aucun Gabonais ne meure précocément de maladie pourtant soignable ni ne soit obligé d’aller mourir en terre étrangère. Nous savons, par le travail caritatif qu’elle accomplissait auprès de tous ceux qui, au Gabon, ont été frappés par le VIH/SIDA et la maladie, que Madame Edith Lucie Bongo Ondimba aurait vivement souhaité que notre pays se dote d’infrastructures hospitalières dignes de ce nom capables de répondre aux besoins de santé des riches comme des pauvres, et des puissants comme des faibles, afin de juguler le problème de mortalité précoce des enfants et des adultes qui ralentit depuis trop longtemps la progression démographique de la population gabonaise. Nous savons également qu’elle aurait souhaité terminer sa vie au Gabon parmi les siens. LIRE LA SUITE: http://www.bdpgabon.org/articles/2009/03/16/communique-le-bdp-gabon-nouveau-presente-ses-condoleances From protected at gmail.com Mon Mar 16 16:13:58 2009 From: protected at gmail.com (yves Bongo) Date: Mon, 16 Mar 2009 16:13:58 -0400 Subject: [BDPalabres] Tr : Il nous fatigue ce ben moubamaba !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Message-ID: tu nous fatigues vraiment !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! D'abord Agora puis BDP decidement tu es sur tous les coups ! laisse nos mails tranquilles ! Mr Moubamba alias l'oeil qui voit tout nous t'avons dans le collimateur ! ----- Message transféré ---- De : faustin Boukoumbi À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Samedi, 14 Mars 2009, 20h38mn 11s Objet : [BDPalabres] Il nous fatigue ce ben moubamaba !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Il nous fatigue ce ben moubamaba !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Il se prend pour qui !!! tout ce désordre cybernetique pour la gloire et mettre le pays en peril ? toute l'agitation du web pour ta gloire ? Oui Mr Ben Moubamba caché derriere l'appelation de l'oeil qui tout !!!!! mon oeil vois d'abord le mal que tu es en train de faire à ton pays ! BBM, le pdg d'irimep, le president des acteurs libres, le porte parole des acteurs libres et maintenant...????? Faut avoir le courage d'affronter Bongo au lieu de parler derriere ton histoire de l'oeil qui voit tout !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Pardon , mais c"etait trop fort alors bon vent et disparait aussi vite que tu es venu From protected at live.fr Mon Mar 16 16:15:50 2009 From: protected at live.fr (Ulrick VanLarry Mbomeyo Edou) Date: Mon, 16 Mar 2009 16:15:50 -0400 Subject: [BDPalabres] sans titre Monsieur Mengara Message-ID: Je suis au jour le jour les activités de notre mouvement et j'aimerai assisté à une des réunions dont j'attend l'appel ok!!! > To: bdpalabres at bdpgabon.org > From: protected at hotmail.com > Date: Thu, 5 Mar 2009 23:02:42 -0500 > Subject: [BDPalabres] Re: sans titre Monsieur Mengara > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. > ___________________________________________________________ > From protected at gmail.com Mon Mar 16 16:17:02 2009 From: protected at gmail.com (accusé Bongo) Date: Mon, 16 Mar 2009 16:17:02 -0400 Subject: [BDPalabres] Mr Bongo enfin vous pouvez ressentir ce que nous nous ressentons depuis 40 ans... Message-ID: Mr Bongo enfin vous pouvez ressentir ce que nous nous ressentons depuis 40 ans... En ces jours difficiles pour vous et votre famille, loin d'être inhumain je puis que me dire c'est certainement la sanction divine aussi devant le grand mal que vous faites à votre pays jusqu'à maintenant. Chaque jour, à l'hopital général, des enfants meurent du fait de manque de médicament, manque d'argent des parents, manque de structures... Chaque jour, des femmes d'autres gabonais meurent du fait de vos crimes économiques sur notre pays... Chaque jour, des pères et des mères perdennt parents, enfants, frères et soeurs du fait du désordre de votre gestion du Gabon... En ce jour de grande tristesse pour vous permettez moi alors de sourire un peu ! Sourire de vous voir vous aussi victime de la vie, victime de toutes les souffrances non épargnées à tant de familles gabonaises qui perdent chaque jour les leurs. J'ai perdu mes parens y a très peu simplement du fait d'un rétard de trésorerie, j'ai vu mourir ce jour des enfants à l'hopital général du fait du manque de ressources de leurs parents Votre dame, paix à son âme, sera jugée aussi pour ses actes ! Pendant qu'elle donnait un centime aux misereux gabonais elle pillait des millions envoyés chaque jour dans son pays le Congo oubliant qu'au Gabon même les besoins étaient grands, elle a essayé de masquer toutes ces saloperies dans des actes de generosité d'un tortionnaire qui donnerait de l'eau à ses victimes ! Voilà, Dieu ne dort pas, en ce jour nous sommes tous humains, nous sommes tous gabonais dans la même souffrance ! J'espère vous voir changer, j'espère vous voir faire quelque chose de bon pour ce pays dans les années à venir, après une telle souffrance celle-ci doit bien pouvoir vous ouvrir le coeur ! Je ne vous hais plus maintenant que je sais aussi fragile que nous tous que vous maipriser depuis tant d'années ! Je ne vous hais plus car maintenant je sais dans votre chair jusqu'à votre dernière heure vous n'aurez plus de pretextes à ne pas changer ! Je vous plains, j'ai pitié pour vous, un homme aussi fort et qui se croyait maitre du monde et qui n'a meme été capable de sauver sa femme ! Oui, nous sommes tous des hommes, nous sommes tous des humains ! Mr Bongo, Changez ! Changez ! Changer ! Il est encore peut être temps ! From protected at gmail.com Tue Mar 17 02:16:13 2009 From: protected at gmail.com (yannick ESSONO) Date: Tue, 17 Mar 2009 02:16:13 -0400 Subject: [BDPalabres] Elate Meyong 2009 Message-ID: L’association socio culturelle Elate Meyong informe tous ses membres qu’une assemblée générale s’est tenue le dimanche 15 Mars à 16 H dans les locaux de l’ENEA. L’ordre du jour portait essentiellement sur deux points : · Dépôt de bilan du bureau 2008 · Renouvellement du bureau Conforment aux points inscrits à l’ordre du jour, le bureau à d’abord présenté son bilan moral par le président sortant Edzo Ndong Cyril et par la suite son bilan financier par le trésorier Ndong Beyeme Louis Gabin. En ce qui concerne le deuxième point de l’ordre du jour, le président à dévoilé à l’assemblée générale le nom de son successeur conformément à la tradition Fang ou il n’y a point d’élection. Le nouveau président d’Elate Meyong Dakar pour l’année 2009 est désormais Nguema Mintsa Epi. L’assemblée a acclamée ce choix à l’unanimité. Le nouveau bureau qui va conduire Elate Meyong durant cette année sera constitué le dimanche 22 Mars à l’ENEA à partir de 15 H. La présence de tous est vivement souhaitée !!!! From protected at yahoo.fr Tue Mar 17 09:46:05 2009 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Tue, 17 Mar 2009 09:46:05 -0400 Subject: [BDPalabres] Mr Bongo enfin vous pouvez ressentir ce que nous nous ressentons depuis 40 ans... Message-ID: Un peu de dignité, un peu de retenue ! Nous sommes bantous et nos traditions ne doivent nullement être foulées aux pieds aux pretextes inacceptables ! L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite De : accusé Bongo À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Lundi, 16 Mars 2009, 21h17mn 02s Objet : [BDPalabres] Mr Bongo enfin vous pouvez ressentir ce que nous nous ressentons depuis 40 ans... Mr Bongo enfin vous pouvez ressentir ce que nous nous ressentons depuis 40 ans... En ces jours difficiles pour vous et votre famille, loin d'être inhumain je puis que me dire c'est certainement la sanction divine aussi devant le grand mal que vous faites à votre pays jusqu'à maintenant. Chaque jour, à l'hopital général, des enfants meurent du fait de manque de médicament, manque d'argent des parents, manque de structures.... Chaque jour, des femmes d'autres gabonais meurent du fait de vos crimes économiques sur notre pays... Chaque jour, des pères et des mères perdennt parents, enfants, frères et soeurs du fait du désordre de votre gestion du Gabon... En ce jour de grande tristesse pour vous permettez moi alors de sourire un peu ! Sourire de vous voir vous aussi victime de la vie, victime de toutes les souffrances non épargnées à tant de familles gabonaises qui perdent chaque jour les leurs. J'ai perdu mes parens y a très peu simplement du fait d'un rétard de trésorerie, j'ai vu mourir ce jour des enfants à l'hopital général du fait du manque de ressources de leurs parents Votre dame, paix à son âme, sera jugée aussi pour ses actes ! Pendant qu'elle donnait un centime aux misereux gabonais elle pillait des millions envoyés chaque jour dans son pays le Congo oubliant qu'au Gabon même les besoins étaient grands, elle a essayé de masquer toutes ces saloperies dans des actes de generosité d'un tortionnaire qui donnerait de l'eau à ses victimes ! Voilà, Dieu ne dort pas, en ce jour nous sommes tous humains, nous sommes tous gabonais dans la même souffrance ! J'espère vous voir changer, j'espère vous voir faire quelque chose de bon pour ce pays dans les années à venir, après une telle souffrance celle-ci doit bien pouvoir vous ouvrir le coeur ! Je ne vous hais plus maintenant que je sais aussi fragile que nous tous que vous maipriser depuis tant d'années ! Je ne vous hais plus car maintenant je sais dans votre chair jusqu'à votre dernière heure vous n'aurez plus de pretextes à ne pas changer ! Je vous plains, j'ai pitié pour vous, un homme aussi fort et qui se croyait maitre du monde et qui n'a meme été capable de sauver sa femme ! Oui, nous sommes tous des hommes, nous sommes tous des humains ! Mr Bongo, Changez ! Changez ! Changer ! Il est encore peut être temps ! From protected at yahoo.fr Tue Mar 17 09:47:27 2009 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Tue, 17 Mar 2009 09:47:27 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Tr : Il nous fatigue ce ben moubamaba !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Message-ID: Silence si vous n'avez rien à dire , rien à proposer ! L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite De : yves Bongo À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Lundi, 16 Mars 2009, 21h13mn 58s Objet : Re: [BDPalabres] Tr : Il nous fatigue ce ben moubamaba !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! tu nous fatigues vraiment !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! D'abord Agora puis BDP decidement tu es sur tous les coups ! laisse nos mails tranquilles ! Mr Moubamba alias l'oeil qui voit tout nous t'avons dans le collimateur ! ----- Message transféré ---- De : faustin Boukoumbi À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Samedi, 14 Mars 2009, 20h38mn 11s Objet : [BDPalabres] Il nous fatigue ce ben moubamaba !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Il nous fatigue ce ben moubamaba !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Il se prend pour qui !!! tout ce désordre cybernetique pour la gloire et mettre le pays en peril ? toute l'agitation du web pour ta gloire ? Oui Mr Ben Moubamba caché derriere l'appelation de l'oeil qui tout !!!!! mon oeil vois d'abord le mal que tu es en train de faire à ton pays ! BBM, le pdg d'irimep, le president des acteurs libres, le porte parole des acteurs libres et maintenant...????? Faut avoir le courage d'affronter Bongo au lieu de parler derriere ton histoire de l'oeil qui voit tout !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Pardon , mais c"etait trop fort alors bon vent et disparait aussi vite que tu es venu From protected at gmail.com Tue Mar 17 09:48:34 2009 From: protected at gmail.com (beatrice nze) Date: Tue, 17 Mar 2009 09:48:34 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Mr Bongo enfin vous pouvez ressentir ce que nous nous ressentons depuis 40 ans... Message-ID: Mais ma parole vous êtes des monstres ou quoi ? et c'est ainsi que vous voulez opposer un changement crédible ? Taisez-vous si vous n'avez rien à dire d'autres ! Regardez comment la diaspora dans son ensemble est sensible à ce tragique événement !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! http://ujpdg-france.vefblog.net/69.html#Mieux_que_des_mots_notre_eternel_souvenir_Maman_Ed http://rousselot.blogs.continentalnews.fr/ http://www.bdpgabon.org/articles/2009/03/16/communique-le-bdp-gabon-nouveau-presente-ses-condoleances From protected at univ.montreal.ca Tue Mar 17 13:07:09 2009 From: protected at univ.montreal.ca (JASMINE Soleine BONGO) Date: Tue, 17 Mar 2009 13:07:09 -0400 Subject: [BDPalabres] Exclusif exclusif !!!....... la Lettre de Jasmine Bongo a son grand-père... Message-ID: Bonjour Papy, Ici à l’école à Monréal, des amis m’ont posé beaucoup de questions suite au drame qui secoue notre famille. Ils ne comprennent pas que tu veuilles encore continuer à aller au bureau alors que tu es fatigué et que yaya Edith vient de te laisser. Ils m’ont demandé beaucoup des choses. Par exemple, quel est le contrat que tu as signé avec le Gabon pour que tu ne veuilles vivre sans le poste de président ? Ils ont aussi voulu savoir si c’est toi le seul qui peut toujours être président au Gabon ? Ils ont même demandé si tu étais né président, ou si grand-papy Ondimba avait été lui aussi président, au point que tu ne veuilles pas à ton tour vivre loin de cette fonction ? Ils m’ont posé plein de questions et je n’ai pas pu les répondre. Je leur ai promis cependant que je t’écrirais une lettre pour te demander pourquoi effectivement tu ne penses pas démissionner. Yaya Edith est partie. Pourquoi ne prends-tu pas à ton tour ta retraite ? Moi j’ai peur, car l’un d’entre eux est même allé jusqu’à me poser la question : Mais que faut-il que le peuple dise encore à ton grand-père pour qu’il comprenne qu’il est venu le temps pour lui d’aller se reposer ? Et aussi, quelle preuve lui faut-il encore pour qu’il comprenne que son temps de repos a sonné ? Il y a même un, le plus méchant de la classe, un garçon de la famille d’un ministre qui habite à côté de tonton Ngari à Libreville, qui a plein de boutons à la figure, qui m’a raconté que dans la tradition, quand quelqu’un perd sa femme ou son mari, on le soustrait de la vie pendant un bon moment pour faire le deuil et se libérer de l’esprit de la personne avec laquelle on avait partagé beaucoup de choses. Et il m’a même dit que c’est ce que tu avais fait après le décès de papy Rawiri, en te rendant en Inde laver le corps, et se libérer des pactes occultes qui te liaient avec lui. Ça m’a surpris parce que maman m’avait dit que vous étiez parti en Inde pour aller vous baigner à la plage. Je lui ai donc répondu au garçon qu’il mentait. Et puis, je voulais te demander, c’est quoi les pactes occultes, papy ? Le garçon a parlé, parlé, parlé. Il disait beaucoup de choses dont je me souvenais plus. Il a ajouté qu’en Inde, il s’agissait d’un ami. Or ici il est question de ta femme ! Il a dit que pour Rawiri, tu n’avais aucune réelle liaison pour observer un long deuil qui t’aurait éloigné du pouvoir. Mais que là, il s’agissait de ta femme, papy. Il s’agit d’une femme, d’une jeune femme, qu’il a dit, que tu nous as tous présenté à tous tes petits-enfants, et que nous avons tous aimé. Il a dit qu’il s’agit aussi d’une fille, d’une petite fille, la fille de ton grand ami, papy Nguesso. Et même, il ne s’agit pas de n’importe quelle fille de tonton Sassou. Il a dit qu’il ne s’agit pas de tat Claudia, la belle-fille de papy Lemboumba, ni encore d’autres filles de papy Denis. Il a dit qu’il s’agit quand-même de yaya Edith, une femme qui t’a beaucoup aimé et qui a beaucoup aimé notre famille, sa famille d’adoption, les enfants, les petits-enfants et les arrières petits enfants Bongo. Il a ajouté que même si il est vrai que toi tu ne l’aimais pas. Même si mamy ne l’aimait pas. Et même si aucune des tata gabonaises ne l’aimaient pas, que ce soit tata Chantal, tata Angélique, tata Marie-Madeleine ou même tata Paulette. Même si toutes ces tata ne l’aimaient pas parce qu’elles disaient qu’elles leur avaient pris le mari, mais toi papy, toi tu ne dois pas les suivre. Il a parlé, parlé. Mais à la fin, j’ai commencé à voir qu’il avait peut-être raison papy ! J’ai appelé tous les autres au States et en Suisse, et nous avons décidé de te donner notre avis. En tant que la plus grande de tes petits-enfants, ils m’ont tous demandé de t’écrire. Nous voulons que tu honores la mémoire de yaya Edith et que tu ailles te reposer au village à Bongoville, papy. Tous tes petits-enfants sont tous d’accord pour ça. Nous ne voulons pas te voir mourir au palais comme les autres présidents. Nous ne voulons pas que tu finisses comme papy Eyadema qui était mort dans un avion, ni comme papy Lansana qui était décédé à la maison. Nous voulons aussi te voir un jour jouer avec nos enfants. S’il te plaît papy, va te reposer. Et puis, regarde combien tu es de plus en plus fatigué. Sans parler de ta prostate que maman disait que les médecins n’arriveraient plus à soigner dans peu de temps. Souvient-toi de ce que tu nous disais quand on était petits pendant que yaya Edith vivait encore. C’est toi qui nous racontais que tout homme vit et travaille pour s’occuper d’abord de sa femme. Maintenant que yaya Edith est partie, pour qui voudrais-tu encore travailler papy ? Avec l’argent que tu nous as réservé, aucun membre de notre famille n’aura plus besoin de travailler. Tu n’as donc plus besoin de vouloir t’occuper ni te préoccuper de nous. Tu n’as plus besoin d’assurer notre confort comme tu le dis souvent. Et puis, tu n’es plus forcément obligé de le faire. Il ya tonton Ali qui nous a dit que l’autre jour que le président Sarkozy veut que ce soit lui qui te remplace. Laisse alors la place à tonton Ali, si tu as peur qu’on perde nos privilèges. Tonton Ali est très gentil, il est aussi gentil comme toi. L’autre jour, il nous disait même que quand il va te remplacer, il allait construire un MACDO à côté du Mbolo pour que nous ne soyions plus obligés de prendre l’avion pour aller manger le BIGMAC à Joburg. Je sais que tu crains que tonton Ali et maman se chamaillent pour te remplacer, mais nous avons dit à maman que c’est mieux que ce soit tonton Ali, parce que nos copains de la sablière nous ont dit que les autres ne veulent pas voir une femme faire le discours que tu fais souvent à noël à la télé. Et nous avons dit à maman que c’était vrai. Et puis, si tu veux, maman pourras gérer avec tonton Ali si tu n’es plus là. Tu n’as donc rien à craindre. Je crois que j’ai trop parlé papy, je commence à avoir mal aux doigts. Voici le message de tes petits-enfants et arrières petits-enfants ont voulu te transmettre, papy. Laisse le pouvoir et va maintenant te reposer à Bongoville. Yaya Edith vient de mourir et toi-même tu es de plus en plus fatigué. Tu n’as plus besoin de travailler pour nourrir ta femme car elle n’est plus là. Nous tes petits-enfants nous te le demandons PAPY. Pour le bien de notre famille et pour le bien de notre pays. Merci papy. Jasmine Bongo From protected at voila.fr Tue Mar 17 13:09:25 2009 From: protected at voila.fr (firmin001) Date: Tue, 17 Mar 2009 17:09:25 -0000 Subject: [BDPalabres] FW: Exclusif exclusif !!!....... la Lettre de Jasmine Bongo a son grand-père... Message-ID: Sujet : Exclusif exclusif !!!....... la Lettre de Jasmine Bongo a son grand-père... De : jp.malonga at digitalcongo.com> Vers : africdossier at googlegroups.com Message-Id: Sender: Date: Tue, 17 Mar 2009 13:09:25 -0400 X-Mailman-Approved-At: Tue, 17 Mar 2009 13:10:25 -0400 X-BeenThere: bdpalabres at bdpgabon.org X-Mailman-Version: 2.1.11.cp3 Precedence: list Reply-To: Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau List-Id: Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau List-Unsubscribe: , List-Archive: List-Help: List-Subscribe: , X-List-Received-Date: Tue, 17 Mar 2009 17:09:26 -0000 ----------------------------------------- Sujet : Bonjour papy... De : JASMINE Soleine BONGO Vers : x at xx Bonjour Papy, Ici à l’école à Monréal, des amis m’ont posé beaucoup de questions suite au drame qui secoue notre famille. Ils ne comprennent pas que tu veuilles encore continuer à aller au bureau alors que tu es fatigué et que yaya Edith vient de te laisser. Ils m’ont demandé beaucoup des choses. Par exemple, quel est le contrat que tu as signé avec le Gabon pour que tu ne veuilles vivre sans le poste de président ? Ils ont aussi voulu savoir si c’est toi le seul qui peut toujours être président au Gabon ? Ils ont même demandé si tu étais né président, ou si grand-papy Ondimba avait été lui aussi président, au point que tu ne veuilles pas à ton tour vivre loin de cette fonction ? Ils m’ont posé plein de questions et je n’ai pas pu les répondre. Je leur ai promis cependant que je t’écrirais une lettre pour te demander pourquoi effectivement tu ne penses pas démissionner. Yaya Edith est partie. Pourquoi ne prends-tu pas à ton tour ta retraite ? Moi j’ai peur, car l’un d’entre eux est même allé jusqu’à me poser la question : Mais que faut-il que le peuple dise encore à ton grand-père pour qu’il comprenne qu’il est venu le temps pour lui d’aller se reposer ? Et aussi, quelle preuve lui faut-il encore pour qu’il comprenne que son temps de repos a sonné ? Il y a même un, le plus méchant de la classe, un garçon de la famille d’un ministre qui habite à côté de tonton Ngari à Libreville, qui a plein de boutons à la figure, qui m’a raconté que dans la tradition, quand quelqu’un perd sa femme ou son mari, on le soustrait de la vie pendant un bon moment pour faire le deuil et se libérer de l’esprit de la personne avec laquelle on avait partagé beaucoup de choses. Et il m’a même dit que c’est ce que tu avais fait après le décès de papy Rawiri, en te rendant en Inde laver le corps, et se libérer des pactes occultes qui te liaient avec lui. Ça m’a surpris parce que maman m’avait dit que vous étiez parti en Inde pour aller vous baigner à la plage. Je lui ai donc répondu au garçon qu’il mentait. Et puis, je voulais te demander, c’est quoi les pactes occultes, papy ? Le garçon a parlé, parlé, parlé. Il disait beaucoup de choses dont je me souvenais plus. Il a ajouté qu’en Inde, il s’agissait d’un ami. Or ici il est question de ta femme ! Il a dit que pour Rawiri, tu n’avais aucune réelle liaison pour observer un long deuil qui t’aurait éloigné du pouvoir. Mais que là, il s’agissait de ta femme, papy. Il s’agit d’une femme, d’une jeune femme, qu’il a dit, que tu nous as tous présenté à tous tes petits-enfants, et que nous avons tous aimé. Il a dit qu’il s’agit aussi d’une fille, d’une petite fille, la fille de ton grand ami, papy Nguesso. Et même, il ne s’agit pas de n’importe quelle fille de tonton Sassou. Il a dit qu’il ne s’agit pas de tat Claudia, la belle-fille de papy Lemboumba, ni encore d’autres filles de papy Denis. Il a dit qu’il s’agit quand-même de yaya Edith, une femme qui t’a beaucoup aimé et qui a beaucoup aimé notre famille, sa famille d’adoption, les enfants, les petits-enfants et les arrières petits enfants Bongo. Il a ajouté que même si il est vrai que toi tu ne l’aimais pas. Même si mamy ne l’aimait pas. Et même si aucune des tata gabonaises ne l’aimaient pas, que ce soit tata Chantal, tata Angélique, tata Marie-Madeleine ou même tata Paulette. Même si toutes ces tata ne l’aimaient pas parce qu’elles disaient qu’elles leur avaient pris le mari, mais toi papy, toi tu ne dois pas les suivre. Il a parlé, parlé. Mais à la fin, j’ai commencé à voir qu’il avait peut-être raison papy ! J’ai appelé tous les autres au States et en Suisse, et nous avons décidé de te donner notre avis. En tant que la plus grande de tes petits-enfants, ils m’ont tous demandé de t’écrire. Nous voulons que tu honores la mémoire de yaya Edith et que tu ailles te reposer au village à Bongoville, papy. Tous tes petits-enfants sont tous d’accord pour ça. Nous ne voulons pas te voir mourir au palais comme les autres présidents. Nous ne voulons pas que tu finisses comme papy Eyadema qui était mort dans un avion, ni comme papy Lansana qui était décédé à la maison. Nous voulons aussi te voir un jour jouer avec nos enfants. S’il te plaît papy, va te reposer. Et puis, regarde combien tu es de plus en plus fatigué. Sans parler de ta prostate que maman disait que les médecins n’arriveraient plus à soigner dans peu de temps. Souvient-toi de ce que tu nous disais quand on était petits pendant que yaya Edith vivait encore. C’est toi qui nous racontais que tout homme vit et travaille pour s’occuper d’abord de sa femme. Maintenant que yaya Edith est partie, pour qui voudrais-tu encore travailler papy ? Avec l’argent que tu nous as réservé, aucun membre de notre famille n’aura plus besoin de travailler. Tu n’as donc plus besoin de vouloir t’occuper ni te préoccuper de nous. Tu n’as plus besoin d’assurer notre confort comme tu le dis souvent. Et puis, tu n’es plus forcément obligé de le faire. Il ya tonton Ali qui nous a dit que l’autre jour que le président Sarkozy veut que ce soit lui qui te remplace. Laisse alors la place à tonton Ali, si tu as peur qu’on perde nos privilèges. Tonton Ali est très gentil, il est aussi gentil comme toi. L’autre jour, il nous disait même que quand il va te remplacer, il allait construire un MACDO à côté du Mbolo pour que nous ne soyions plus obligés de prendre l’avion pour aller manger le BIGMAC à Joburg. Je sais que tu crains que tonton Ali et maman se chamaillent pour te remplacer, mais nous avons dit à maman que c’est mieux que ce soit tonton Ali, parce que nos copains de la sablière nous ont dit que les autres ne veulent pas voir une femme faire le discours que tu fais souvent à noël à la télé. Et nous avons dit à maman que c’était vrai. Et puis, si tu veux, maman pourras gérer avec tonton Ali si tu n’es plus là. Tu n’as donc rien à craindre. Je crois que j’ai trop parlé papy, je commence à avoir mal aux doigts. Voici le message de tes petits-enfants et arrières petits-enfants ont voulu te transmettre, papy : Laisse le pouvoir et va maintenant te reposer à Bongoville. Yaya Edith vient de mourir et toi-même tu es de plus en plus fatigué. Tu n’as plus besoin de travailler pour nourrir ta femme car elle n’est plus là. Nous tes petits-enfants nous te le demandons PAPY. Pour le bien de notre famille et pour le bien de notre pays. Merci papy. Jasmine Bongo From protected at gmail.com Wed Mar 18 13:18:03 2009 From: protected at gmail.com (Sylvain Ndong) Date: Wed, 18 Mar 2009 13:18:03 -0400 Subject: [BDPalabres] Et si le Madagascar devenait un modèle de libération pour toute l’Afrique ? Message-ID: Et si le Madagascar devenait un modèle de libération pour toute l’Afrique ? Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu un régime qui ait pu résister indéfiniment au mécontentement d’une population. Ce qui vient de se passer à Madagascar témoigne justement de la puissance que peut concentrer la résistance d’un peuple et le mécontentement d’une population quand ces deux facteurs sont parfaitement maîtrisés. Le jeune opposant Andry Rajoelina, sorti de l’anonymat il y a à peine trois mois, a simplement usé de cette recette bien connue, en cristallisant très habilement les différentes frustrations nées des manquements de son adversaire, et le pousser ainsi vers la sortie. De quoi a donc eu besoin ce jeune malgache de 34 ans pour parvenir à pareil exploit ? De pas grand-chose. Juste de quelques éléments symboliques qui sont apparus dans la gestion de Marc Ravalomanana, et sur lesquels il est parvenu à susciter un foyer de mécontentement au sein de la population, à travers une légitime et habile dénonciation. En plus des autres antécédents cousus au fil blanc dans la conscience populaire, Marc Ravalomanana venait de concéder en effet 1,3 million d'hectares de terres à une société sud-coréenne, alors qu'à Madagascar, la terre des ancêtres est considérée comme sacrée. D'autre part, il y a systématiquement eu une confusion entre les affaires publiques et les affaires privées du chef de l'État. Des fonds publics ont notamment été utilisés pour des achats personnels d'avion. Autre raison de la colère : le niveau de pauvreté a continué d'augmenter, alors que l'île était déjà l'un des pays les plus pauvres du monde. Même s’il avait réussi à favoriser un certain dynamisme économique, la population malgache n'en bénéficiait pas. 70 % de la population vivait encore avec moins de 1 dollar par jour… C’est sur ces quelques éléments de frustration que s’est appuyé l’opposant pour parvenir à faire démissionner un président qui était au pouvoir depuis près de sept ans. C’est révélateur ! Au Gabon, au Congo-Brazzaville, en Guinée-Equatoriale, au Tchad, pour ne citer que ces quatre pays, ce ne sont pourtant pas ce genre de forfaitures qui manquent au bilan de leurs dirigeants respectifs, ou comme éléments de dénonciation pour les principaux opposants de ces pays, pour confondre à leur tour ces régimes ! Ne fut-ce que pour se coller à l’actualité des trois premiers, que lisons-nous dans les journaux ces temps-ci : le très difficilement « camouflable » dossier des Biens Mal Acquis (BMA). Où le monde entier ainsi que les opposants, la société civile et les populations des pays concernés ont pu découvrir avec stupéfaction, suite à une enquête rigoureusement menée par l'Office Central pour la Répression de la Grande Délinquance Financière française (OCRGDF), que les présidents de ces trois pays, Omar Bongo Ondimba, Denis Sassou N'guesso et Téodoro Obiang Mbasogo, se sont offert de nombreux biens via des détournements de fonds publics. Pour rappel, pour le président gabonais Omar Bongo, on parle d’un patrimoine immobilier comprenant trente-neuf propriétés pour la plupart localisées dans le XVIe arrondissement de Paris, de soixante-dix comptes bancaires, et d’un parc automobile comprenant au moins neuf véhicules dont le montant total est estimé à plusieurs millions d’euros. Pour le président congolais Denis Sassou-N'guesso, il est question d’un patrimoine immobilier de dix-huit propriétés, de cent douze comptes bancaires et d’un parc automobile comprenant au moins un véhicule pour une valeur de 172 321 euros. Et pour le président équato-guinéen Téodoro Obiang, il est question d’un patrimoine immobilier d’au moins une propriété et d’un parc automobile comprenant au moins huit véhicules dont le montant total est estimé à 4 213 618 euros. A tous ces forfaits, l’on pourrait aussi ajouter ceux relatifs aux bradages des patrimoines nationaux respectifs, à travers des contrats pétroliers, miniers et gaziers signés par ces dirigeants avec certaines multinationales occidentales et asiatiques, en pure pertes et profits pour leurs différents pays, et contre un pourcentage personnel sur les bénéfices d’exploitation. On se souvient d’ailleurs, pour montrer la gravité du dossier, que le dépôt des plaintes relatives à ces Biens Mal Acquis n'a pas été sans conséquences pour la sécurité des co-plaignants congolais et gabonais qui se sont portés parties-civiles. L’intensification des menaces sur leur intégrité physique et celle de leurs proches a été telle que Béatrice Miakakela-Toungamani, ressortissante congolaise et membre de la Plateforme Congolaise contre la Corruption et l’Impunité, a finalement décidé de ne pas poursuivre la plainte. Et Gregory Ngbwa Mintsa à également subi des pressions croissantes de la part de certains membres du gouvernement gabonais qui, après avoir tenté de le convaincre de se retirer, en vain, l’a finalement jeté en prison. Mais la question qui mérite d’être posée, au vu de ce qui s’est passé à Madagascar ces trois derniers mois, est celle de savoir le rôle que jouent finalement les principaux opposants de ces différents pays vis-à-vis de ces flagrants cas de haute trahison de l’Etat dont se rendent systématiquement coupables leurs dirigeants ? Pour le conflit à Madagascar, certains de ces opposants se sont simplement arrêtés aux portes du verbiage, allant même jusqu’à parler de la lutte que ce jeune opposant malgache était en train de mener comme d’un simple "coup d'État verbal". Manquant de courage ou refusant d’admettre que l’acte que leur jeune collègue était en train de poser – comme ils auraient pu le faire dans leurs pays depuis fort longtemps déjà –, en plus d’être légitime, méritait simplement leur encouragement et leur pleine solidarité. La victoire finale de ce jeune opposant, qui n’a pas trouvé nécessaire d’user des armes mais de la loi et de la volonté populaire pour pousser un mauvais dirigeant vers la sortie, doit leur occasionner aujourd’hui bien des insomnies. Car comment continuer à revendiquer un statut d’opposant face à un régime dont les cas récurrents de trahison du serment présidentiel sont tellement évidents, à côté de ceux dont vient d’user le jeune opposant malgache pour chasser son mauvais dirigeant ? C’est à se demander si ces oppositions ne sont finalement pas des simples caisses de résonnance de ces régimes qu’ils font semblant de dénoncer, mais dont la connivence paraît de plus en plus évidente au fur et à mesure que les cas de comparaison se révèlent à nos yeux ? Plus nombreux sont ceux-là qui arguent le soutien permanent de la France vis-à-vis de ces régimes africains. J’espère au moins qu’ils ont pu s’informer sur le fait que c’est à l’ambassade de France que le jeune opposant malgache a pu trouver refuge, au moment même où le régime malgache voulait absolument sa tête. Et puis, n’est-ce pas la même France qui a volontairement délégué sa police pour dresser la liste des biens mal acquis qui outragent péniblement ces potentats France-Africains aujourd’hui ? De qui donc se moque–t-on ? Il y a même d’autres « instruments » comme l’Union Africaine, dont on a de plus en plus du mal à cerner pour quels intérêts elle fonctionne (ceux des peuples ou ceux des potentats) - surtout depuis qu’elle est dirigée (février 2008) par le gabonais Jean Ping -, qui n’a véritablement jamais réussi à imposer, dans toutes les médiations qu’elle a pu arbitrer jusqu‘ici (Mauritanie, Kenya, Zimbabwe, Guinée-Bissau,… Madagascar), cette fameuse légitimité constitutionnelle si chère à ses lois, mais dont les populations se rendent de plus en compte qu’elle sert plus de bouclier aux différents dictatures qu’a leur bien-être personnel, d’où ces justices populaires de plus observables à l’échelle du continent. Le fait pour ce « machin » d’être peu entendu, eut égard à toutes les défaites de médiation qu’elle ne cesse d’accumuler, n’est donc pas un hasard. Ceci témoigne d’une effervescence de moins en moins consolable et d’une volonté de plus en plus manifestée par tous les peuples du africains de se libérer des jougs dictatoriaux et se choisir des nouveaux dirigeants plus proches de leurs attentes comme le jeune Rajoelina. Certes, l’histoire nous montre que les milices africaines ont beaucoup endeuillé nos peuples. Elle nous alerte aussi sur le fait que celles-ci ont également, à leur manière, contribué à accentuer un peu plus la pauvreté dans nos pays en faisant fuir les investisseurs. Mais il est un fait indéniable qui nous révèle également que nos peuples vivent sous des dictatures imposées par des régimes illégitimes, vis-à-vis desquels nos opposants se doivent d’observer des positions fermes et courageuses. Et le tout jeune président malgache vient de faire la preuve qu’on n’a pas forcément besoin d’avoir recours à certaines extrémités pour imposer sa vision du pays et parvenir au pouvoir. Pour finir, Andry Rajoelina vient, à tout juste 34 ans, de montrer aux éternels opposants du sérail françafricain (Gabon, Congos, Guinées, etc.), qu’un opposant n’a pas nécessairement besoin d’attendre le décès naturel d’un dictateur comme en Côte-d’Ivoire, au Togo ou en Guinée-Konakry, pour le pousser hors du pouvoir. Les ingrédients qui ont de tout temps constitué le talon d’achille des régimes corrompus, sont restés les mêmes depuis que les peuples existent : un acte de haute trahison commis au détriment du peuple par le dirigeant en fonction ; une dénonciation légitime de la part de l’opposition sur la base de la constitution et de la loi républicaine pour prendre à témoin le peuple ; le tout porté par une réelle volonté de prise de pouvoir. Et le tour est joué. C’est en tout cas sur ces schémas que la nouvelle génération d’opposants africains, à laquelle nous appartenons et dont Andry Rajoelina constitue aujourd’hui le porte-étendard, entend désormais s’affirmer. Les mêmes causes créant les mêmes effets, l’Afrique des éternels dictateurs (Omar Bongo, Denis Sassou Nguesso, Idriss Déby et tous ceux de leur cercle) peut d’ores et déjà se faire des soucis, car une nouvelle brèche vient de s’allumer. Le temps vous est désormais compté. Sylvain NDONG http://sndong.free.fr From protected at yahoo.fr Wed Mar 18 13:29:33 2009 From: protected at yahoo.fr (Arsene Assam) Date: Wed, 18 Mar 2009 13:29:33 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Mr Bongo enfin vous pouvez ressentir ce que nous nous ressentons depuis 40 ans... Message-ID: Je partages la douleure des familles eprouvee par cette disparition,particulierement a la famille Omar Bongo.mes comdoleances les plus atriste.Mes cela devrait nous ammener a comprendre qu'une vie en vaut une autre.Oui sa fait mal la disparrition d'un etre cher,vous avez depenser beaucoups d'argent pour epargner cette souffrance a votre epouse Mr Omar Bongo mais malheuresement la sante ne s'achete pas.imaginer les parents dans leur incapaciter total de pouvoire payer les frais d'hospitalisation ou une ordonence,parceque le gouvernement en place n a pas mis une assurance maladie ou des hopitaux digne de se nom.Ou imaginer un enfant qui se comssume dans une maison en feux parceque il eu le malheur de vivre dans un quartier sous integrer ou les secoures ne peuvent pas acceder parceque la route n'exsiste pas.la perte d'un etre quelque sois se qu'il es est impportant pour les siens.Aussi bien pour vous que pour celui que vous et se qui vous entour conciderer comme les dernier des gabonais . Que Dieu est son ame,et qu'elle repause en paix. Ndui Assam. From protected at yahoo.fr Wed Mar 18 13:35:45 2009 From: protected at yahoo.fr (Achille Salesh NGOMA) Date: Wed, 18 Mar 2009 13:35:45 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Et si le Madagascar devenait un modèle de libération pour toute l’Afrique ? Message-ID: Bonjour Monsieur Sylvain Ndong, Je suis d’accord avec vous sur de nombreux aspects soulevés dans votre texte. Merci pour cette contribution au débat démocratique dans notre cher continent, devenue propriété d’un syndicat de dictateurs dont la France est l’une des mamelles nourricières. Cher compatriote Africain, mon avis au sujet de Madagascar est que cet exemple n’est pas la voie à suivre pour libérer l’Afrique. Car le l’ancien disc-jockey et maire Putschiste s’est déjugé au fil des heures qui ont conduit a l’accomplissement de son coup d’Etat. Rajoelina s’est bien autoproclamé Président Malgache avec a la clé, la réécriture d’une nouvelle constitution pour la Grande Ile. Le coup d’Etat est donc la. Mais qui a soutenu Rajoelina ? Je ne suis pas convaincu que ce sont les 13.000 manifestants fideles à Andry qui l’ont conduit à cette Gloire. La Main Noire de la France est bien derrière cette ascension. Les historiens et bien d’autres témoins passeront bientôt aux révélations sur les anguilles qui se cachent sous la roche Rajoelina. Si en Centrafrique il eut une certaine « Opération Barracuda », Si au Congo il fallut importer l’armée angolaise pour occuper ce pays et chasser Lissouba, Si au Rwanda ont fait abattre l’avion d’Habyarimana et organisé un Génocide, Si en RCA, encore, on a offert a Bozizé de se balader « nue » comme une prostituée entre le Tchad et la France pour faire culbuter Patassé, Eh bien, cette fois-ci a Madagascar on a choisi d’utiliser Rajoelina en débauchant une partie de l’armée avant de les offrir le bouclier humain de 13.000 manifestants… Madagascar n’est donc pas un exemple à suivre car ce n’est pas le peuple Malgache qui s’est soulevé pour chasser Ravalomanana, qui n’est d’ailleurs pas issue d’un coup d’Etat. Les exemples à suivre ? Il y a le Ghana, il y a le Bénin. Il y a aussi le Mali dans une moindre mesure, car ATT a pris gout au luxe et veut adhérer au Syndicat de la Dictature en Afrique (SYDA). Voila cher frère Sylvain Ndong, sans Etat d’âme ni arrière pensée ma réaction a ton article. Au plaisir. Achille. --- En date de : Mer 18.3.09, Sylvain Ndong a écrit : De: Sylvain Ndong Objet: Et si le Madagascar devenait un modèle de libération pour toute l’Afrique ? À: bdpalabres at bdpgabon.org, Date: Mercredi 18 Mars 2009, 15h50 Et si le Madagascar devenait un modèle de libération pour toute l’Afrique ? Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu un régime qui ait pu résister indéfiniment au mécontentement d’une population. Ce qui vient de se passer à Madagascar témoigne justement de la puissance que peut concentrer la résistance d’un peuple et le mécontentement d’une population quand ces deux facteurs sont parfaitement maîtrisés. Le jeune opposant Andry Rajoelina, sorti de l’anonymat il y a à peine trois mois, a simplement usé de cette recette bien connue, en cristallisant très habilement les différentes frustrations nées des manquements de son adversaire, et le pousser ainsi vers la sortie. De quoi a donc eu besoin ce jeune malgache de 34 ans pour parvenir à pareil exploit ? De pas grand-chose. Juste de quelques éléments symboliques qui sont apparus dans la gestion de Marc Ravalomanana, et sur lesquels il est parvenu à susciter un foyer de mécontentement au sein de la population, à travers une légitime et habile dénonciation. En plus des autres antécédents cousus au fil blanc dans la conscience populaire, Marc Ravalomanana venait de concéder en effet 1,3 million d'hectares de terres à une société sud-coréenne, alors qu'à Madagascar, la terre des ancêtres est considérée comme sacrée. D'autre part, il y a systématiquement eu une confusion entre les affaires publiques et les affaires privées du chef de l'État. Des fonds publics ont notamment été utilisés pour des achats personnels d'avion. Autre raison de la colère : le niveau de pauvreté a continué d'augmenter, alors que l'île était déjà l'un des pays les plus pauvres du monde. Même s’il avait réussi à favoriser un certain dynamisme économique, la population malgache n'en bénéficiait pas. 70 % de la population vivait encore avec moins de 1 dollar par jour… C’est sur ces quelques éléments de frustration que s’est appuyé l’opposant pour parvenir à faire démissionner un président qui était au pouvoir depuis près de sept ans. C’est révélateur ! Au Gabon, au Congo-Brazzaville, en Guinée-Equatoriale, au Tchad, pour ne citer que ces quatre pays, ce ne sont pourtant pas ce genre de forfaitures qui manquent au bilan de leurs dirigeants respectifs, ou comme éléments de dénonciation pour les principaux opposants de ces pays, pour confondre à leur tour ces régimes ! Ne fut-ce que pour se coller à l’actualité des trois premiers, que lisons-nous dans les journaux ces temps-ci : le très difficilement « camouflable » dossier des Biens Mal Acquis (BMA). Où le monde entier ainsi que les opposants, la société civile et les populations des pays concernés ont pu découvrir avec stupéfaction, suite à une enquête rigoureusement menée par l'Office Central pour la Répression de la Grande Délinquance Financière française (OCRGDF), que les présidents de ces trois pays, Omar Bongo Ondimba, Denis Sassou N'guesso et Téodoro Obiang Mbasogo, se sont offert de nombreux biens via des détournements de fonds publics. Pour rappel, pour le président gabonais Omar Bongo, on parle d’un patrimoine immobilier comprenant trente-neuf propriétés pour la plupart localisées dans le XVIe arrondissement de Paris, de soixante-dix comptes bancaires, et d’un parc automobile comprenant au moins neuf véhicules dont le montant total est estimé à plusieurs millions d’euros. Pour le président congolais Denis Sassou-N'guesso, il est question d’un patrimoine immobilier de dix-huit propriétés, de cent douze comptes bancaires et d’un parc automobile comprenant au moins un véhicule pour une valeur de 172 321 euros. Et pour le président équato-guinéen Téodoro Obiang, il est question d’un patrimoine immobilier d’au moins une propriété et d’un parc automobile comprenant au moins huit véhicules dont le montant total est estimé à 4 213 618 euros. A tous ces forfaits, l’on pourrait aussi ajouter ceux relatifs aux bradages des patrimoines nationaux respectifs, à travers des contrats pétroliers, miniers et gaziers signés par ces dirigeants avec certaines multinationales occidentales et asiatiques, en pure pertes et profits pour leurs différents pays, et contre un pourcentage personnel sur les bénéfices d’exploitation. On se souvient d’ailleurs, pour montrer la gravité du dossier, que le dépôt des plaintes relatives à ces Biens Mal Acquis n'a pas été sans conséquences pour la sécurité des co-plaignants congolais et gabonais qui se sont portés parties-civiles. L’intensification des menaces sur leur intégrité physique et celle de leurs proches a été telle que Béatrice Miakakela-Toungamani, ressortissante congolaise et membre de la Plateforme Congolaise contre la Corruption et l’Impunité, a finalement décidé de ne pas poursuivre la plainte. Et Gregory Ngbwa Mintsa à également subi des pressions croissantes de la part de certains membres du gouvernement gabonais qui, après avoir tenté de le convaincre de se retirer, en vain, l’a finalement jeté en prison. Mais la question qui mérite d’être posée, au vu de ce qui s’est passé à Madagascar ces trois derniers mois, est celle de savoir le rôle que jouent finalement les principaux opposants de ces différents pays vis-à-vis de ces flagrants cas de haute trahison de l’Etat dont se rendent systématiquement coupables leurs dirigeants ? Pour le conflit à Madagascar, certains de ces opposants se sont simplement arrêtés aux portes du verbiage, allant même jusqu’à parler de la lutte que ce jeune opposant malgache était en train de mener comme d’un simple "coup d'État verbal". Manquant de courage ou refusant d’admettre que l’acte que leur jeune collègue était en train de poser – comme ils auraient pu le faire dans leurs pays depuis fort longtemps déjà –, en plus d’être légitime, méritait simplement leur encouragement et leur pleine solidarité. La victoire finale de ce jeune opposant, qui n’a pas trouvé nécessaire d’user des armes mais de la loi et de la volonté populaire pour pousser un mauvais dirigeant vers la sortie, doit leur occasionner aujourd’hui bien des insomnies. Car comment continuer à revendiquer un statut d’opposant face à un régime dont les cas récurrents de trahison du serment présidentiel sont tellement évidents, à côté de ceux dont vient d’user le jeune opposant malgache pour chasser son mauvais dirigeant ? C’est à se demander si ces oppositions ne sont finalement pas des simples caisses de résonnance de ces régimes qu’ils font semblant de dénoncer, mais dont la connivence paraît de plus en plus évidente au fur et à mesure que les cas de comparaison se révèlent à nos yeux ? Plus nombreux sont ceux-là qui arguent le soutien permanent de la France vis-à-vis de ces régimes africains. J’espère au moins qu’ils ont pu s’informer sur le fait que c’est à l’ambassade de France que le jeune opposant malgache a pu trouver refuge, au moment même où le régime malgache voulait absolument sa tête. Et puis, n’est-ce pas la même France qui a volontairement délégué sa police pour dresser la liste des biens mal acquis qui outragent péniblement ces potentats France-Africains aujourd’hui ? De qui donc se moque–t-on ? Il y a même d’autres « instruments » comme l’Union Africaine, dont on a de plus en plus du mal à cerner pour quels intérêts elle fonctionne (ceux des peuples ou ceux des potentats) - surtout depuis qu’elle est dirigée (février 2008) par le gabonais Jean Ping -, qui n’a véritablement jamais réussi à imposer, dans toutes les médiations qu’elle a pu arbitrer jusqu‘ici (Mauritanie, Kenya, Zimbabwe, Guinée-Bissau,… Madagascar), cette fameuse légitimité constitutionnelle si chère à ses lois, mais dont les populations se rendent de plus en compte qu’elle sert plus de bouclier aux différents dictatures qu’a leur bien-être personnel, d’où ces justices populaires de plus observables à l’échelle du continent. Le fait pour ce « machin » d’être peu entendu, eut égard à toutes les défaites de médiation qu’elle ne cesse d’accumuler, n’est donc pas un hasard. Ceci témoigne d’une effervescence de moins en moins consolable et d’une volonté de plus en plus manifestée par tous les peuples du africains de se libérer des jougs dictatoriaux et se choisir des nouveaux dirigeants plus proches de leurs attentes comme le jeune Rajoelina. Certes, l’histoire nous montre que les milices africaines ont beaucoup endeuillé nos peuples. Elle nous alerte aussi sur le fait que celles-ci ont également, à leur manière, contribué à accentuer un peu plus la pauvreté dans nos pays en faisant fuir les investisseurs. Mais il est un fait indéniable qui nous révèle également que nos peuples vivent sous des dictatures imposées par des régimes illégitimes, vis-à-vis desquels nos opposants se doivent d’observer des positions fermes et courageuses. Et le tout jeune président malgache vient de faire la preuve qu’on n’a pas forcément besoin d’avoir recours à certaines extrémités pour imposer sa vision du pays et parvenir au pouvoir. Pour finir, Andry Rajoelina vient, à tout juste 34 ans, de montrer aux éternels opposants du sérail françafricain (Gabon, Congos, Guinées, etc.), qu’un opposant n’a pas nécessairement besoin d’attendre le décès naturel d’un dictateur comme en Côte-d’Ivoire, au Togo ou en Guinée-Konakry, pour le pousser hors du pouvoir. Les ingrédients qui ont de tout temps constitué le talon d’achille des régimes corrompus, sont restés les mêmes depuis que les peuples existent : un acte de haute trahison commis au détriment du peuple par le dirigeant en fonction ; une dénonciation légitime de la part de l’opposition sur la base de la constitution et de la loi républicaine pour prendre à témoin le peuple ; le tout porté par une réelle volonté de prise de pouvoir. Et le tour est joué. C’est en tout cas sur ces schémas que la nouvelle génération d’opposants africains, à laquelle nous appartenons et dont Andry Rajoelina constitue aujourd’hui le porte-étendard, entend désormais s’affirmer. Les mêmes causes créant les mêmes effets, l’Afrique des éternels dictateurs (Omar Bongo, Denis Sassou Nguesso, Idriss Déby et tous ceux de leur cercle) peut d’ores et déjà se faire des soucis, car une nouvelle brèche vient de s’allumer. Le temps vous est désormais compté. Sylvain NDONG http://sndong.free.fr From protected at hotmail.com Thu Mar 19 12:10:12 2009 From: protected at hotmail.com (kota venant) Date: Thu, 19 Mar 2009 12:10:12 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Et si le Madagascar devenait un modèle de libération pour toute l’Afrique ? Message-ID: J'apprecie bien votre vue qui est correcte , cher Achile: oui, l'Afrique est bel bien propriété d’un syndicat de dictateurs dont la France est l’une des mamelles nourricières. Mais attention les autres dont UK et USA y ont egalement un tres grand role! Madagascar effectivement va suivre ce qui s'est passe ailleurs: reecrire l'histoire et la constitution de l'Ile, et probablement juger ceux qui etaient hier au pouvoir avec la benediction de l'ONU, de l'UA et tous autres acabits. Oui, on a vu cela en Centrafrique avec « Opération Barracuda », au Congo avec importation de l’armée angolaise pour occuper ce pays et chasser Lissouba, au Rwanda ou il a fallu faire abattre l’avion d’Habyarimana et organiser un Génocide, en RCA, encore, avec un Bozizé se baladant « nue » comme une prostituée entre le Tchad et la France pour faire culbuter Patassé, en RDC ona vu la creation d'un puissant Nkunda a partir du neant, terroriser la province puis disparaitre comme une boule de neige, et maintenant a Madagascar ou est utilise Rajoelina en débauchant une partie de l’armée avant de les offrir le bouclier humain de 13.000 manifestants, etc. Oui, dans tout cela ces pauvres peuples africains n'en savent rien, n'en organisent rien et n'en decident rien: ce sont les puissances exterieures qui manipulent pour assouvir leur appetit infini et les pauvres peuples subissant juste comme ce lit qui casse suite aux ebats houleux de deux amoureux tres chauds. En tant qu'africain, je ne parviens pas a trouver comment faire pour tirer cette Afrique de la bouche de ces loups cruels. > To: bdpalabres at bdpgabon.org > From: protected at yahoo.fr > Subject: [BDPalabres] Re : Et si le Madagascar devenait un modèle de libération pour toute l’Afrique ? > Date: Wed, 18 Mar 2009 13:35:45 -0400 > > Bonjour Monsieur Sylvain Ndong, > > Je suis d’accord avec vous sur de nombreux aspects soulevés dans votre texte. Merci pour cette contribution au débat démocratique dans notre cher continent, devenue propriété d’un syndicat de dictateurs dont la France est l’une des mamelles nourricières. > > Cher compatriote Africain, mon avis au sujet de Madagascar est que cet exemple n’est pas la voie à suivre pour libérer l’Afrique. Car le l’ancien disc-jockey et maire Putschiste s’est déjugé au fil des heures qui ont conduit a l’accomplissement de son coup d’Etat. > > Rajoelina s’est bien autoproclamé Président Malgache avec a la clé, la réécriture d’une nouvelle constitution pour la Grande Ile. Le coup d’Etat est donc la. > > Mais qui a soutenu Rajoelina ? > > Je ne suis pas convaincu que ce sont les 13.000 manifestants fideles à Andry qui l’ont conduit à cette Gloire. > > La Main Noire de la France est bien derrière cette ascension. Les historiens et bien d’autres témoins passeront bientôt aux révélations sur les anguilles qui se cachent sous la roche Rajoelina. > > Si en Centrafrique il eut une certaine « Opération Barracuda », Si au Congo il fallut importer l’armée angolaise pour occuper ce pays et chasser Lissouba, Si au Rwanda ont fait abattre l’avion d’Habyarimana et organisé un Génocide, Si en RCA, encore, on a offert a Bozizé de se balader « nue » comme une prostituée entre le Tchad et la France pour faire culbuter Patassé, Eh bien, cette fois-ci a Madagascar on a choisi d’utiliser Rajoelina en débauchant une partie de l’armée avant de les offrir le bouclier humain de 13.000 manifestants… > > Madagascar n’est donc pas un exemple à suivre car ce n’est pas le peuple Malgache qui s’est soulevé pour chasser Ravalomanana, qui n’est d’ailleurs pas issue d’un coup d’Etat. > > Les exemples à suivre ? Il y a le Ghana, il y a le Bénin. Il y a aussi le Mali dans une moindre mesure, car ATT a pris gout au luxe et veut adhérer au Syndicat de la Dictature en Afrique (SYDA). > > Voila cher frère Sylvain Ndong, sans Etat d’âme ni arrière pensée ma réaction a ton article. > > Au plaisir. > > Achille. > > --- En date de : Mer 18.3.09, Sylvain Ndong a écrit : > > De: Sylvain Ndong > Objet: Et si le Madagascar devenait un modèle de libération pour toute l’Afrique ? > À: bdpalabres at bdpgabon.org, Date: Mercredi 18 Mars 2009, 15h50 > > Et si le Madagascar devenait un modèle de libération pour toute l’Afrique ? > > > > Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu un régime qui ait pu résister indéfiniment au mécontentement d’une population. Ce qui vient de se passer à Madagascar témoigne justement de la puissance que peut concentrer la résistance d’un peuple et le mécontentement d’une population quand ces deux facteurs sont parfaitement maîtrisés. Le jeune opposant Andry Rajoelina, sorti de l’anonymat il y a à peine trois mois, a simplement usé de cette recette bien connue, en cristallisant très habilement les différentes frustrations nées des manquements de son adversaire, et le pousser ainsi vers la sortie. > > > > De quoi a donc eu besoin ce jeune malgache de 34 ans pour parvenir à pareil exploit ? De pas grand-chose. Juste de quelques éléments symboliques qui sont apparus dans la gestion de Marc Ravalomanana, et sur lesquels il est parvenu à susciter un foyer de mécontentement au sein de la population, à travers une légitime et habile dénonciation. > > > > En plus des autres antécédents cousus au fil blanc dans la conscience populaire, Marc Ravalomanana venait de concéder en effet 1,3 million d'hectares de terres à une société sud-coréenne, alors qu'à Madagascar, la terre des ancêtres est considérée comme sacrée. D'autre part, il y a systématiquement eu une confusion entre les affaires publiques et les affaires privées du chef de l'État. Des fonds publics ont notamment été utilisés pour des achats personnels d'avion. Autre raison de la colère : le niveau de pauvreté a continué d'augmenter, alors que l'île était déjà l'un des pays les plus pauvres du monde. Même s’il avait réussi à favoriser un certain dynamisme économique, la population malgache n'en bénéficiait pas. 70 % de la population vivait encore avec moins de 1 dollar par jour… > > > > C’est sur ces quelques éléments de frustration que s’est appuyé l’opposant pour parvenir à faire démissionner un président qui était au pouvoir depuis près de sept ans. > > > > C’est révélateur ! > > > > Au Gabon, au Congo-Brazzaville, en Guinée-Equatoriale, au Tchad, pour ne citer que ces quatre pays, ce ne sont pourtant pas ce genre de forfaitures qui manquent au bilan de leurs dirigeants respectifs, ou comme éléments de dénonciation pour les principaux opposants de ces pays, pour confondre à leur tour ces régimes ! > > > > Ne fut-ce que pour se coller à l’actualité des trois premiers, que lisons-nous dans les journaux ces temps-ci : le très difficilement « camouflable » dossier des Biens Mal Acquis (BMA). Où le monde entier ainsi que les opposants, la société civile et les populations des pays concernés ont pu découvrir avec stupéfaction, suite à une enquête rigoureusement menée par l'Office Central pour la Répression de la Grande Délinquance Financière française (OCRGDF), que les présidents de ces trois pays, Omar Bongo Ondimba, Denis Sassou N'guesso et Téodoro Obiang Mbasogo, se sont offert de nombreux biens via des détournements de fonds publics. > > > > Pour rappel, pour le président gabonais Omar Bongo, on parle d’un patrimoine immobilier comprenant trente-neuf propriétés pour la plupart localisées dans le XVIe arrondissement de Paris, de soixante-dix comptes bancaires, et d’un parc automobile comprenant au moins neuf véhicules dont le montant total est estimé à plusieurs millions d’euros. Pour le président congolais Denis Sassou-N'guesso, il est question d’un patrimoine immobilier de dix-huit propriétés, de cent douze comptes bancaires et d’un parc automobile comprenant au moins un véhicule pour une valeur de 172 321 euros. Et pour le président équato-guinéen Téodoro Obiang, il est question d’un patrimoine immobilier d’au moins une propriété et d’un parc automobile comprenant au moins huit véhicules dont le montant total est estimé à 4 213 618 euros. > > > > A tous ces forfaits, l’on pourrait aussi ajouter ceux relatifs aux bradages des patrimoines nationaux respectifs, à travers des contrats pétroliers, miniers et gaziers signés par ces dirigeants avec certaines multinationales occidentales et asiatiques, en pure pertes et profits pour leurs différents pays, et contre un pourcentage personnel sur les bénéfices d’exploitation. > > > > On se souvient d’ailleurs, pour montrer la gravité du dossier, que le dépôt des plaintes relatives à ces Biens Mal Acquis n'a pas été sans conséquences pour la sécurité des co-plaignants congolais et gabonais qui se sont portés parties-civiles. L’intensification des menaces sur leur intégrité physique et celle de leurs proches a été telle que Béatrice Miakakela-Toungamani, ressortissante congolaise et membre de la Plateforme Congolaise contre la Corruption et l’Impunité, a finalement décidé de ne pas poursuivre la plainte. Et Gregory Ngbwa Mintsa à également subi des pressions croissantes de la part de certains membres du gouvernement gabonais qui, après avoir tenté de le convaincre de se retirer, en vain, l’a finalement jeté en prison. > > > > Mais la question qui mérite d’être posée, au vu de ce qui s’est passé à Madagascar ces trois derniers mois, est celle de savoir le rôle que jouent finalement les principaux opposants de ces différents pays vis-à-vis de ces flagrants cas de haute trahison de l’Etat dont se rendent systématiquement coupables leurs dirigeants ? > > > > Pour le conflit à Madagascar, certains de ces opposants se sont simplement arrêtés aux portes du verbiage, allant même jusqu’à parler de la lutte que ce jeune opposant malgache était en train de mener comme d’un simple "coup d'État verbal". Manquant de courage ou refusant d’admettre que l’acte que leur jeune collègue était en train de poser – comme ils auraient pu le faire dans leurs pays depuis fort longtemps déjà –, en plus d’être légitime, méritait simplement leur encouragement et leur pleine solidarité. > > > > La victoire finale de ce jeune opposant, qui n’a pas trouvé nécessaire d’user des armes mais de la loi et de la volonté populaire pour pousser un mauvais dirigeant vers la sortie, doit leur occasionner aujourd’hui bien des insomnies. Car comment continuer à revendiquer un statut d’opposant face à un régime dont les cas récurrents de trahison du serment présidentiel sont tellement évidents, à côté de ceux dont vient d’user le jeune opposant malgache pour chasser son mauvais dirigeant ? > > > > C’est à se demander si ces oppositions ne sont finalement pas des simples caisses de résonnance de ces régimes qu’ils font semblant de dénoncer, mais dont la connivence paraît de plus en plus évidente au fur et à mesure que les cas de comparaison se révèlent à nos yeux ? > > > > Plus nombreux sont ceux-là qui arguent le soutien permanent de la France vis-à-vis de ces régimes africains. J’espère au moins qu’ils ont pu s’informer sur le fait que c’est à l’ambassade de France que le jeune opposant malgache a pu trouver refuge, au moment même où le régime malgache voulait absolument sa tête. > > > > Et puis, n’est-ce pas la même France qui a volontairement délégué sa police pour dresser la liste des biens mal acquis qui outragent péniblement ces potentats France-Africains aujourd’hui ? > > > > De qui donc se moque–t-on ? > > > > Il y a même d’autres « instruments » comme l’Union Africaine, dont on a de plus en plus du mal à cerner pour quels intérêts elle fonctionne (ceux des peuples ou ceux des potentats) - surtout depuis qu’elle est dirigée (février 2008) par le gabonais Jean Ping -, qui n’a véritablement jamais réussi à imposer, dans toutes les médiations qu’elle a pu arbitrer jusqu‘ici (Mauritanie, Kenya, Zimbabwe, Guinée-Bissau,… Madagascar), cette fameuse légitimité constitutionnelle si chère à ses lois, mais dont les populations se rendent de plus en compte qu’elle sert plus de bouclier aux différents dictatures qu’a leur bien-être personnel, d’où ces justices populaires de plus observables à l’échelle du continent. > > > > Le fait pour ce « machin » d’être peu entendu, eut égard à toutes les défaites de médiation qu’elle ne cesse d’accumuler, n’est donc pas un hasard. Ceci témoigne d’une effervescence de moins en moins consolable et d’une volonté de plus en plus manifestée par tous les peuples du africains de se libérer des jougs dictatoriaux et se choisir des nouveaux dirigeants plus proches de leurs attentes comme le jeune Rajoelina. > > > > Certes, l’histoire nous montre que les milices africaines ont beaucoup endeuillé nos peuples. Elle nous alerte aussi sur le fait que celles-ci ont également, à leur manière, contribué à accentuer un peu plus la pauvreté dans nos pays en faisant fuir les investisseurs. Mais il est un fait indéniable qui nous révèle également que nos peuples vivent sous des dictatures imposées par des régimes illégitimes, vis-à-vis desquels nos opposants se doivent d’observer des positions fermes et courageuses. Et le tout jeune président malgache vient de faire la preuve qu’on n’a pas forcément besoin d’avoir recours à certaines extrémités pour imposer sa vision du pays et parvenir au pouvoir. > > > > Pour finir, Andry Rajoelina vient, à tout juste 34 ans, de montrer aux éternels opposants du sérail françafricain (Gabon, Congos, Guinées, etc.), qu’un opposant n’a pas nécessairement besoin d’attendre le décès naturel d’un dictateur comme en Côte-d’Ivoire, au Togo ou en Guinée-Konakry, pour le pousser hors du pouvoir. Les ingrédients qui ont de tout temps constitué le talon d’achille des régimes corrompus, sont restés les mêmes depuis que les peuples existent : un acte de haute trahison commis au détriment du peuple par le dirigeant en fonction ; une dénonciation légitime de la part de l’opposition sur la base de la constitution et de la loi républicaine pour prendre à témoin le peuple ; le tout porté par une réelle volonté de prise de pouvoir. Et le tour est joué. > > > > C’est en tout cas sur ces schémas que la nouvelle génération d’opposants africains, à laquelle nous appartenons et dont Andry Rajoelina constitue aujourd’hui le porte-étendard, entend désormais s’affirmer. > > > > Les mêmes causes créant les mêmes effets, l’Afrique des éternels dictateurs (Omar Bongo, Denis Sassou Nguesso, Idriss Déby et tous ceux de leur cercle) peut d’ores et déjà se faire des soucis, car une nouvelle brèche vient de s’allumer. > > > > Le temps vous est désormais compté. > > > > > > Sylvain NDONG > From protected at bdpgabon.org Thu Mar 19 14:10:08 2009 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Thu, 19 Mar 2009 14:10:08 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon - Rumeur: Des Gabonais se prépareraient à bloquer le corps d’Edith Lucie Bongo Ondimba au Gabon Message-ID: Le décès d’Edith Bongo Ondimba semble attiser quelques passions de part et d’autre entre le Congo Brazza et le Gabon. La dernière rumeur venant de Libreville fait état de Gabonais s’étant réunis cet après-midi au State Omnisports de Libreville pour bloquer le départ vers le Congo du corps d’Edith Lucie Bongo Ondimba. Ils se refuseraient à voir le corps d’Edith Lucie Bongo Ondimba quitter le Gabon vendredi matin comme prévu et visent à le manifester demain sur le passage du cortège funéraire. Lire la suite: http://www.bdpgabon.org/articles/2009/03/19/gabon-rumeur-des-gabonais-se-prepareraient-a-bloquer-le-corps From protected at gmail.com Thu Mar 19 17:29:17 2009 From: protected at gmail.com (Diaspora Gabonaise) Date: Thu, 19 Mar 2009 17:29:17 -0400 Subject: [BDPalabres] 19/03/2009 : Du nouveau sur le site des "10 Gabonais"... Message-ID: Bonjour, Ce jeudi 19 mars 2009, du nouveau sur le site des « 10 Gabonais » : les toutes dernières infos sur les principaux acteurs de la Diaspora Gabonaise… et aussi, un petit commentaire sympa de notre compat' Pahé qui nous confie, dans sa pure tradition que « Maamooo, le nombres de gonzesses qui n'arrêtent pas de vouloir sortir avec moi depuis que je suis parmi les "10" de ce site... » Tout ceci, et bien d'autres encore, sur : http://gabon.typepad.fr Le site Internet de référence, qui entend promouvoir une certaine prise de conscience citoyenne Gabonaise, à travers l’expression de quelques (rares) individualités, dans l’opinion de la Communauté gabonaise expatriée. Bonne navigation Collectif "Diaspora Gabonaise" From protected at bdpgabon.org Wed Mar 25 22:58:12 2009 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Wed, 25 Mar 2009 22:58:12 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon/Congo: Rumeur: Edith Lucie Bongo Ondimba serait morte de SIDA – Sassou à Bongo: “Tu as tué ma fille, salaud !” Message-ID: Les rumeurs sur la fissure entre Omar Bongo du Gabon et Sassou Nguesso du Congo se font de plus en plus persistantes. Cette fissure aurait pour cause directe la mort d’Edith Lucie Bongo Ondimba suite à une maladie incurable le 14 mars dont les deux dictateurs ont fait le plus grand secret. Depuis le 7 février dernier, date à laquelle le BDP-Gabon Nouveau avait appris le premier la rumeur faisant état de la mort ou de la chute dans un coma profond et irréversible d’Edith-Lucie Bongo Ondimba, des rumeurs existent dans les cercles bongoïstes et sassouïstes qui faisaient état d’une sorte de brouille latente entre les deux dictateurs qui avait pour centre la “maladie incurable” dont souffrait Edith-Lucie Bongo Ondimba. La brouille se serait faite un peu plus persistante dans les semaines qui ont vu les deux kleptocrates séjourner des semaines durant au Maroc après s’y être rendus précipitamment dès l’annonce officielle le 5 février de la dégradation de l’état de santé d’Edith Lucie Bongo Ondimba, épouse de Bongo Ondimba du Gabon et fille de Sassou Nguesso du Congo Brazzaville. Le BDP-Gabon Nouveau dispose désormais des détails de cette rumeur de brouille qui aurait tendu les rapports entre les deux dictateurs lors de leurs longs séjours au Maroc au chevet d’Edith Bongo, même si, pour le moment, nous mettons tout cela dans la catégorie « forte rumeur ». Sassou Nguesso aurait ainsi, selon la rumeur, lancé à Omar Bongo un “Tu as tué ma fille, salaud!” quand les deux hommes se sont retrouvés au chevet d’Edith le samedi 7 février. Omar Bongo s’était rendu précipitamment au Maroc le jeudi 5 février, suivi par Sassou Nguesso le samedi 7 février. LIRE LA SUITE: http://www.bdpgabon.org/articles/2009/03/25/gaboncongo-rumeur-edith-lucie-bongo-ondimba From protected at yahoo.fr Wed Mar 25 23:30:00 2009 From: protected at yahoo.fr (Mackaya Ngando) Date: Wed, 25 Mar 2009 23:30:00 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Rumeur: Des Gabonais se prépareraient à bloquer le corps d’Edith Message-ID: Ne soyons pas naïfs. Le corps de l’illustre disparue n’est jamais arrivé à Libreville. Manif ou pas, l’enterrement aura bien lieu en République du Congo. Cela dit, je déplore la mort tragique de Mme Edith Lucie Bongo, 1ere Dame de la République Gabonaise. Toutes mes condoléances à l’ensemble de la famille Gabono-Congolaise. J’émets également le voeu que cette douloureuse circonstance permette de réunir à nouveau nos peuples qui autrefois vivaient en harmonie dans cette terre bénie qu’est l’Afrique centrale. Salutations fraternelles. --- En date de : Jeu 19.3.09, BDP-Gabon Nouveau a écrit : > > De: BDP-Gabon Nouveau > > Objet: [BDPalabres] Gabon - Rumeur: Des Gabonais se prépareraient à bloquer le corps d’Edith Lucie Bongo Ondimba au Gabon > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > Date: Jeudi 19 Mars 2009, 19h10 > > Le décès d’Edith Bongo Ondimba semble attiser quelques > > passions de part et d’autre entre le Congo Brazza et le > > Gabon. La dernière rumeur venant de Libreville fait état > > de Gabonais s’étant réunis cet après-midi au State > > Omnisports de Libreville pour bloquer le départ vers le > > Congo du corps d’Edith Lucie Bongo Ondimba. Ils se > > refuseraient à voir le corps d’Edith Lucie Bongo Ondimba > > quitter le Gabon vendredi matin comme prévu et visent à le > > manifester demain sur le passage du cortège funéraire. > > > > Lire la suite: > > http://www.bdpgabon.org/articles/2009/03/19/gabon-rumeur-des-gabonais-se-prepareraient-a-bloquer-le-corps From protected at live.fr Wed Mar 25 23:31:49 2009 From: protected at live.fr (Ulrick VanLarry Mbomeyo Edou) Date: Wed, 25 Mar 2009 23:31:49 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon - Rumeur: Des Gabonais se prépareraient à bloquer le corps d’Edith Lucie Bongo Ondimba au Gabon Message-ID: La nouvelle de la première Dame du Gabon laisse le peuple indifferent, mais ce que le peuple veut savoir et ce qui semble peser c'est l'origine de son décès. pourquoi retarder l'annonce de son décès > To: bdpalabres at bdpgabon.org > From: protected at bdpgabon.org > Subject: [BDPalabres] Gabon - Rumeur: Des Gabonais se prأ©pareraient أ bloquer le corps d’Edith Lucie Bongo Ondimba au Gabon > Date: Thu, 19 Mar 2009 14:10:08 -0400 > > Le dأ©cأ¨s d’Edith Bongo Ondimba semble attiser quelques passions de part et d’autre entre le Congo Brazza et le Gabon. La derniأ¨re rumeur venant de Libreville fait أ©tat de Gabonais s’أ©tant rأ©unis cet aprأ¨s-midi au State Omnisports de Libreville pour bloquer le dأ©part vers le Congo du corps d’Edith Lucie Bongo Ondimba. Ils se refuseraient أ voir le corps d’Edith Lucie Bongo Ondimba quitter le Gabon vendredi matin comme prأ©vu et visent أ le manifester demain sur le passage du cortأ¨ge funأ©raire. > > Lire la suite: http://www.bdpgabon.org/articles/2009/03/19/gabon-rumeur-des-gabonais-se-prepareraient-a-bloquer-le-corps > > From protected at yahoo.fr Wed Mar 25 23:33:47 2009 From: protected at yahoo.fr (Mackaya Ngando) Date: Wed, 25 Mar 2009 23:33:47 -0400 Subject: [BDPalabres] Madagascar n'est pas un modèle de libération, mais d'instrumentalisation Message-ID: Cher frère Venant, TOUT A FAIT D’ACCORD AVEC TOI, car il faut bien voir la main des puissances étrangères derrière le coup d’État perpétré sur la Grande île. Je vous rappelle que tout au long du bras de fer asymétrique entre « TGV » et le président Marc RAVALOMANANA, les médias français (RFI, Le Monde, AFP, etc…) ont sans cesse fait référence au maire ambitieux de Tana comme étant soit « l’opposition » soit « chef de l’opposition ». À aucun moment a-t-il été désigné comme putschiste. Tout observateur averti a senti qu’il y avait là anguille sous roche. LES DESSOUS de l’affaire remontent en fait au contrat accordé aux Sud-Coréens. Un contrat d’exploitation terrienne aux termes certes dégoûtants (mais pas une première en Afrique) ; un contrat qui a fâché les Occidentaux en ce sens qu’il confirme l’avancée inexorable des Asiatiques en Afrique à leur détriment. Souvenez-vous de la colère de Karel de GRUCHT, ministre des affaires étrangères de la Belgique, après que la RDC ait accordé des contrats miniers juteux aux Chinois. Il s’est rendu même en Chine, mais les Chinois lui ont dit que la décision finale était entre les mains des autorités de Kinshasa. De retour à Kinshasa, on lui rétorque que le prix à payer est la tête du leader de l’opposition. Voilà comment Jean Pierre BEMBA se retrouve à La Haye. Il y a à peine une traînée de jours, ce fut au tour du président Béchir du Soudan de payer le prix de son amitié avec la Chine par une inculpation en bonne et due forme à…La Haye. Morale ? Les Occidentaux sentent l’Afrique leur échapper, et ils commencent à faire preuve de brutalité dans l’espoir de faire disparaître le péril jaune. A bon entendeur ! --- En date de : Jeu 19.3.09, kota venant a écrit : > > De: kota venant > > Objet: [BDPalabres] Re : Et si le Madagascar devenait un modèle de libération pour toute l’Afrique ? > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > Date: Jeudi 19 Mars 2009, 17h10 > > J'apprecie bien votre vue qui est correcte , cher > > Achile: oui, l'Afrique est bel bien propriété d’un > > syndicat de dictateurs dont la France est l’une des > > mamelles nourricières. Mais attention les autres dont UK et > > USA y ont egalement un tres grand role! > > > > Madagascar effectivement va suivre ce qui s'est passe > > ailleurs: reecrire l'histoire et la constitution de > > l'Ile, et probablement juger ceux qui etaient hier au > > pouvoir avec la benediction de l'ONU, de l'UA et > > tous autres acabits. > > Oui, on a vu cela en Centrafrique avec « Opération > > Barracuda », au Congo avec importation de l’armée > > angolaise pour occuper ce pays et chasser Lissouba, au > > Rwanda ou il a fallu faire abattre l’avion d’Habyarimana > > et organiser un Génocide, en RCA, encore, avec un Bozizé > > se baladant « nue » comme une prostituée entre le Tchad > > et la France pour faire culbuter Patassé, en RDC ona vu la > > creation d'un puissant Nkunda a partir du neant, > > terroriser la province puis disparaitre comme une boule de > > neige, et maintenant a Madagascar ou est utilise Rajoelina > > en débauchant une partie de l’armée avant de les offrir > > le bouclier humain de 13.000 manifestants, etc. > > > > Oui, dans tout cela ces pauvres peuples africains n'en > > savent rien, n'en organisent rien et n'en decident > > rien: ce sont les puissances exterieures qui manipulent pour > > assouvir leur appetit infini et les pauvres peuples > > subissant juste comme ce lit qui casse suite aux ebats > > houleux de deux amoureux tres chauds. > > > > En tant qu'africain, je ne parviens pas a trouver > > comment faire pour tirer cette Afrique de la bouche de ces > > loups cruels. > > > > >> > > To: bdpalabres at bdpgabon.org >> > > From: protected at yahoo.fr >> > > Subject: [BDPalabres] Re : Et si le Madagascar > > devenait un modèle de libération pour toute l’Afrique ? >> > > Date: Wed, 18 Mar 2009 13:35:45 -0400 >> > > >> > > Bonjour Monsieur Sylvain Ndong, >> > > >> > > Je suis d’accord avec vous sur de nombreux aspects > > soulevés dans votre texte. Merci pour cette contribution au > > débat démocratique dans notre cher continent, devenue > > propriété d’un syndicat de dictateurs dont la France est > > l’une des mamelles nourricières. >> > > >> > > Cher compatriote Africain, mon avis au sujet de > > Madagascar est que cet exemple n’est pas la voie à suivre > > pour libérer l’Afrique. Car le l’ancien disc-jockey et > > maire Putschiste s’est déjugé au fil des heures qui ont > > conduit a l’accomplissement de son coup d’Etat. >> > > >> > > Rajoelina s’est bien autoproclamé Président > > Malgache avec a la clé, la réécriture d’une nouvelle > > constitution pour la Grande Ile. Le coup d’Etat est donc > > la. >> > > >> > > Mais qui a soutenu Rajoelina ? >> > > >> > > Je ne suis pas convaincu que ce sont les 13.000 > > manifestants fideles à Andry qui l’ont conduit à cette > > Gloire. >> > > >> > > La Main Noire de la France est bien derrière cette > > ascension. Les historiens et bien d’autres témoins > > passeront bientôt aux révélations sur les anguilles qui > > se cachent sous la roche Rajoelina. >> > > >> > > Si en Centrafrique il eut une certaine « Opération > > Barracuda », Si au Congo il fallut importer l’armée > > angolaise pour occuper ce pays et chasser Lissouba, Si au > > Rwanda ont fait abattre l’avion d’Habyarimana et > > organisé un Génocide, Si en RCA, encore, on a offert a > > Bozizé de se balader « nue » comme une prostituée entre > > le Tchad et la France pour faire culbuter Patassé, Eh bien, > > cette fois-ci a Madagascar on a choisi d’utiliser > > Rajoelina en débauchant une partie de l’armée avant de > > les offrir le bouclier humain de 13.000 manifestants… >> > > >> > > Madagascar n’est donc pas un exemple à suivre car > > ce n’est pas le peuple Malgache qui s’est soulevé pour > > chasser Ravalomanana, qui n’est d’ailleurs pas issue > > d’un coup d’Etat. >> > > >> > > Les exemples à suivre ? Il y a le Ghana, il y a le > > Bénin. Il y a aussi le Mali dans une moindre mesure, car > > ATT a pris gout au luxe et veut adhérer au Syndicat de la > > Dictature en Afrique (SYDA). >> > > >> > > Voila cher frère Sylvain Ndong, sans Etat d’âme ni > > arrière pensée ma réaction a ton article. >> > > >> > > Au plaisir. >> > > >> > > Achille. >> > > >> > > --- En date de : Mer 18.3.09, Sylvain Ndong > > a écrit : >> > > >> > > De: Sylvain Ndong >> > > Objet: Et si le Madagascar devenait un modèle de > > libération pour toute l’Afrique ? >> > > À: bdpalabres at bdpgabon.org, Date: Mercredi 18 Mars > > 2009, 15h50 >> > > >> > > Et si le Madagascar devenait un modèle de libération > > pour toute l’Afrique ? >> > > >> > > >> > > >> > > Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a > > jamais eu un régime qui ait pu résister indéfiniment au > > mécontentement d’une population. Ce qui vient de se > > passer à Madagascar témoigne justement de la puissance que > > peut concentrer la résistance d’un peuple et le > > mécontentement d’une population quand ces deux facteurs > > sont parfaitement maîtrisés. Le jeune opposant Andry > > Rajoelina, sorti de l’anonymat il y a à peine trois mois, > > a simplement usé de cette recette bien connue, en > > cristallisant très habilement les différentes frustrations > > nées des manquements de son adversaire, et le pousser ainsi > > vers la sortie. >> > > >> > > >> > > >> > > De quoi a donc eu besoin ce jeune malgache de 34 ans > > pour parvenir à pareil exploit ? De pas grand-chose. Juste > > de quelques éléments symboliques qui sont apparus dans la > > gestion de Marc Ravalomanana, et sur lesquels il est parvenu > > à susciter un foyer de mécontentement au sein de la > > population, à travers une légitime et habile > > dénonciation. >> > > >> > > >> > > >> > > En plus des autres antécédents cousus au fil blanc > > dans la conscience populaire, Marc Ravalomanana venait de > > concéder en effet 1,3 million d'hectares de terres à > > une société sud-coréenne, alors qu'à Madagascar, la > > terre des ancêtres est considérée comme sacrée. > > D'autre part, il y a systématiquement eu une confusion > > entre les affaires publiques et les affaires privées du > > chef de l'État. Des fonds publics ont notamment été > > utilisés pour des achats personnels d'avion. Autre > > raison de la colère : le niveau de pauvreté a continué > > d'augmenter, alors que l'île était déjà l'un > > des pays les plus pauvres du monde. Même s’il avait > > réussi à favoriser un certain dynamisme économique, la > > population malgache n'en bénéficiait pas. 70 % de la > > population vivait encore avec moins de 1 dollar par jour… >> > > >> > > >> > > >> > > C’est sur ces quelques éléments de frustration que > > s’est appuyé l’opposant pour parvenir à faire > > démissionner un président qui était au pouvoir depuis > > près de sept ans. >> > > >> > > >> > > >> > > C’est révélateur ! >> > > >> > > >> > > >> > > Au Gabon, au Congo-Brazzaville, en > > Guinée-Equatoriale, au Tchad, pour ne citer que ces quatre > > pays, ce ne sont pourtant pas ce genre de forfaitures qui > > manquent au bilan de leurs dirigeants respectifs, ou comme > > éléments de dénonciation pour les principaux opposants de > > ces pays, pour confondre à leur tour ces régimes ! >> > > >> > > >> > > >> > > Ne fut-ce que pour se coller à l’actualité des > > trois premiers, que lisons-nous dans les journaux ces > > temps-ci : le très difficilement « camouflable » dossier > > des Biens Mal Acquis (BMA). Où le monde entier ainsi que > > les opposants, la société civile et les populations des > > pays concernés ont pu découvrir avec stupéfaction, suite > > à une enquête rigoureusement menée par l'Office > > Central pour la Répression de la Grande Délinquance > > Financière française (OCRGDF), que les présidents de ces > > trois pays, Omar Bongo Ondimba, Denis Sassou N'guesso et > > Téodoro Obiang Mbasogo, se sont offert de nombreux biens > > via des détournements de fonds publics. >> > > >> > > >> > > >> > > Pour rappel, pour le président gabonais Omar Bongo, > > on parle d’un patrimoine immobilier comprenant trente-neuf > > propriétés pour la plupart localisées dans le XVIe > > arrondissement de Paris, de soixante-dix comptes bancaires, > > et d’un parc automobile comprenant au moins neuf > > véhicules dont le montant total est estimé à plusieurs > > millions d’euros. Pour le président congolais Denis > > Sassou-N'guesso, il est question d’un patrimoine > > immobilier de dix-huit propriétés, de cent douze comptes > > bancaires et d’un parc automobile comprenant au moins un > > véhicule pour une valeur de 172 321 euros. Et pour le > > président équato-guinéen Téodoro Obiang, il est question > > d’un patrimoine immobilier d’au moins une propriété et > > d’un parc automobile comprenant au moins huit véhicules > > dont le montant total est estimé à 4 213 618 euros. >> > > >> > > >> > > >> > > A tous ces forfaits, l’on pourrait aussi ajouter > > ceux relatifs aux bradages des patrimoines nationaux > > respectifs, à travers des contrats pétroliers, miniers et > > gaziers signés par ces dirigeants avec certaines > > multinationales occidentales et asiatiques, en pure pertes > > et profits pour leurs différents pays, et contre un > > pourcentage personnel sur les bénéfices d’exploitation. >> > > >> > > >> > > >> > > On se souvient d’ailleurs, pour montrer la gravité > > du dossier, que le dépôt des plaintes relatives à ces > > Biens Mal Acquis n'a pas été sans conséquences pour > > la sécurité des co-plaignants congolais et gabonais qui se > > sont portés parties-civiles. L’intensification des > > menaces sur leur intégrité physique et celle de leurs > > proches a été telle que Béatrice Miakakela-Toungamani, > > ressortissante congolaise et membre de la Plateforme > > Congolaise contre la Corruption et l’Impunité, a > > finalement décidé de ne pas poursuivre la plainte. Et > > Gregory Ngbwa Mintsa à également subi des pressions > > croissantes de la part de certains membres du gouvernement > > gabonais qui, après avoir tenté de le convaincre de se > > retirer, en vain, l’a finalement jeté en prison. >> > > >> > > >> > > >> > > Mais la question qui mérite d’être posée, au vu > > de ce qui s’est passé à Madagascar ces trois derniers > > mois, est celle de savoir le rôle que jouent finalement les > > principaux opposants de ces différents pays vis-à-vis de > > ces flagrants cas de haute trahison de l’Etat dont se > > rendent systématiquement coupables leurs dirigeants ? >> > > >> > > >> > > >> > > Pour le conflit à Madagascar, certains de ces > > opposants se sont simplement arrêtés aux portes du > > verbiage, allant même jusqu’à parler de la lutte que ce > > jeune opposant malgache était en train de mener comme > > d’un simple "coup d'État verbal". Manquant > > de courage ou refusant d’admettre que l’acte que leur > > jeune collègue était en train de poser – comme ils > > auraient pu le faire dans leurs pays depuis fort longtemps > > déjà –, en plus d’être légitime, méritait > > simplement leur encouragement et leur pleine solidarité. >> > > >> > > >> > > >> > > La victoire finale de ce jeune opposant, qui n’a pas > > trouvé nécessaire d’user des armes mais de la loi et de > > la volonté populaire pour pousser un mauvais dirigeant vers > > la sortie, doit leur occasionner aujourd’hui bien des > > insomnies. Car comment continuer à revendiquer un statut > > d’opposant face à un régime dont les cas récurrents de > > trahison du serment présidentiel sont tellement évidents, > > à côté de ceux dont vient d’user le jeune opposant > > malgache pour chasser son mauvais dirigeant ? >> > > >> > > >> > > >> > > C’est à se demander si ces oppositions ne sont > > finalement pas des simples caisses de résonnance de ces > > régimes qu’ils font semblant de dénoncer, mais dont la > > connivence paraît de plus en plus évidente au fur et à > > mesure que les cas de comparaison se révèlent à nos yeux > > ? >> > > >> > > >> > > >> > > Plus nombreux sont ceux-là qui arguent le soutien > > permanent de la France vis-à-vis de ces régimes africains. > > J’espère au moins qu’ils ont pu s’informer sur le > > fait que c’est à l’ambassade de France que le jeune > > opposant malgache a pu trouver refuge, au moment même où > > le régime malgache voulait absolument sa tête. >> > > >> > > >> > > >> > > Et puis, n’est-ce pas la même France qui a > > volontairement délégué sa police pour dresser la liste > > des biens mal acquis qui outragent péniblement ces > > potentats France-Africains aujourd’hui ? >> > > >> > > >> > > >> > > De qui donc se moque–t-on ? >> > > >> > > >> > > >> > > Il y a même d’autres « instruments » comme > > l’Union Africaine, dont on a de plus en plus du mal à > > cerner pour quels intérêts elle fonctionne (ceux des > > peuples ou ceux des potentats) - surtout depuis qu’elle > > est dirigée (février 2008) par le gabonais Jean Ping -, > > qui n’a véritablement jamais réussi à imposer, dans > > toutes les médiations qu’elle a pu arbitrer jusqu‘ici > > (Mauritanie, Kenya, Zimbabwe, Guinée-Bissau,… > > Madagascar), cette fameuse légitimité constitutionnelle si > > chère à ses lois, mais dont les populations se rendent de > > plus en compte qu’elle sert plus de bouclier aux > > différents dictatures qu’a leur bien-être personnel, > > d’où ces justices populaires de plus observables à > > l’échelle du continent. >> > > >> > > >> > > >> > > Le fait pour ce « machin » d’être peu entendu, > > eut égard à toutes les défaites de médiation qu’elle > > ne cesse d’accumuler, n’est donc pas un hasard. Ceci > > témoigne d’une effervescence de moins en moins consolable > > et d’une volonté de plus en plus manifestée par tous les > > peuples du africains de se libérer des jougs dictatoriaux > > et se choisir des nouveaux dirigeants plus proches de leurs > > attentes comme le jeune Rajoelina. >> > > >> > > >> > > >> > > Certes, l’histoire nous montre que les milices > > africaines ont beaucoup endeuillé nos peuples. Elle nous > > alerte aussi sur le fait que celles-ci ont également, à > > leur manière, contribué à accentuer un peu plus la > > pauvreté dans nos pays en faisant fuir les investisseurs. > > Mais il est un fait indéniable qui nous révèle également > > que nos peuples vivent sous des dictatures imposées par des > > régimes illégitimes, vis-à-vis desquels nos opposants se > > doivent d’observer des positions fermes et courageuses. Et > > le tout jeune président malgache vient de faire la preuve > > qu’on n’a pas forcément besoin d’avoir recours à > > certaines extrémités pour imposer sa vision du pays et > > parvenir au pouvoir. >> > > >> > > >> > > >> > > Pour finir, Andry Rajoelina vient, à tout juste 34 > > ans, de montrer aux éternels opposants du sérail > > françafricain (Gabon, Congos, Guinées, etc.), qu’un > > opposant n’a pas nécessairement besoin d’attendre le > > décès naturel d’un dictateur comme en Côte-d’Ivoire, > > au Togo ou en Guinée-Konakry, pour le pousser hors du > > pouvoir. Les ingrédients qui ont de tout temps constitué > > le talon d’achille des régimes corrompus, sont restés > > les mêmes depuis que les peuples existent : un acte de > > haute trahison commis au détriment du peuple par le > > dirigeant en fonction ; une dénonciation légitime de la > > part de l’opposition sur la base de la constitution et de > > la loi républicaine pour prendre à témoin le peuple ; le > > tout porté par une réelle volonté de prise de pouvoir. Et > > le tour est joué. >> > > >> > > >> > > >> > > C’est en tout cas sur ces schémas que la nouvelle > > génération d’opposants africains, à laquelle nous > > appartenons et dont Andry Rajoelina constitue aujourd’hui > > le porte-étendard, entend désormais s’affirmer. >> > > >> > > >> > > >> > > Les mêmes causes créant les mêmes effets, > > l’Afrique des éternels dictateurs (Omar Bongo, Denis > > Sassou Nguesso, Idriss Déby et tous ceux de leur cercle) > > peut d’ores et déjà se faire des soucis, car une > > nouvelle brèche vient de s’allumer. >> > > >> > > >> > > >> > > Le temps vous est désormais compté. >> > > >> > > >> > > >> > > >> > > >> > > Sylvain NDONG >> > > > > > > > > ___________________________________________________________ > > Liste de discussion BDPalabres > > BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès > > http://www.bdpgabon.org > > Pour quitter la liste: > > > > http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org > > ___________________________________________________________ > > NOTES IMPORTANTES: Forum (Modéré) BDPalabres par email du > > BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois > > modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, > > répondez tout simplement aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, > > http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org. > > - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces > > jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. From itouabenjamin at yahoo.fr Thu Mar 26 12:43:47 2009 From: itouabenjamin at yahoo.fr (Benjamin Itoua) Date: Thu, 26 Mar 2009 16:43:47 +0000 (GMT) Subject: [BDPalabres] =?iso-8859-1?q?Hier_c=27=E9tait_la_m=E8re_de_Bruno_O?= =?iso-8859-1?q?SSEBI_qui_pleurait_son_fils=2C_sa_belle_fille_et_ses_deux_?= =?iso-8859-1?q?petites_filles_brul=E9s_vifs_dans_leur_domicile_par_les_ho?= =?iso-8859-1?q?mmes_de_Denis_Sassou-Nguesso_au_motif_que_Bruno_Ossebi_cri?= =?iso-8859-1?q?tiquait_le_pouvoir=2C_et_aujourd=27hui_c=27est_Denis_Sasso?= =?iso-8859-1?q?u-Nguessou_qui_pleure_sa_fille_Edith_Lucie_Bongo_Ondimba?= =?iso-8859-1?q?=2C_et_comme_par_hasard_cela_tombe_un_18_mars=2C_jour_de_l?= =?iso-8859-1?q?=27assissinat_du_pr=E9sident_Marien_NGOUABI_par_Denis_Sass?= =?iso-8859-1?q?ou-Nguesso=2E_N=27est-ce_pas_l=E0_une_belle_le=E7on_qui_do?= =?iso-8859-1?q?it_nous_interpeller_tous=3F?= Message-ID: <700040.51671.qm@web28309.mail.ukl.yahoo.com> Avec cette photo (qui tombe pic comme du pain bni pour les Congolais la veille des lections prsidentielles), le monde entierdcouvrele tigre en papierderrire lequel se cachait le dictateur tortionnaire et sanguinaire congolais Denis Sassou-Nguesso. Le mythe d'un chef de guerre -le Cobra suprme, dictateur endurci,inflexible et indtrnablequ'il s'taitconstruit autour de sa personne, notammentaprs les guerres de 97, 98 et 99 qui ont ravag tout le pays et traumatis le peuple congolaisest dfinitvement cass. Nombreux sont en effet, lesCongolais quirigolent le voir pleurer comme un gamin. Lui qui a toujours tu les autres Congolais sans le moindre remord. Cette image indite du dictateur congolais pleurant comme un gaminet soutenu par des pauvres femmes permet au peuple congolais d'exorciser sa peur et le braver lui et toute sa machine tuer (Gnral Jean-Franois DENGUET, Gnral ADOUA...). C'est dire que "rienne sera plus comme avant". Il y aura dsormais un avant et un aprs mars 2009. Et les Congolais l'ont bien compris. J.H. DESMAREST