[BDPalabres] A propos des élections au Gabon

Léon Ossavou protected at yahoo.fr
Ven 31 Juil 09:24:49 EDT 2009


Il est stupéfiant de voir combien les dignitaires du pays;du système et de la classe politique en général se mobilisent pour l'élection présidentielle avenir!Pour ma part,je constate que le débat reste toujours faussé depuis la base.Comment peut-on aller à une élection alors même qu'il n'y a pas eu un bilan complet du précédent système?Où sont allé les revenus du pays?Où en est la situation social du pays. Certes,c'est le vote qui donnera le verdict,mais il est faux de le croire parce que le vote n'est qu'une étape et après les mêmes bêtises reprendront.Le gabonais devraient avant d'aller aux élections demander à la classe politique en général de nous faire un réel bilan de la situation du pays.Ce dernier va tellement qu'on ne peut plus continuer à nier cette évidence évidence.La question primordiale est certainement celle de savoir quel sera la politique de développement du Gabon pour les cinq prochaines années?
Cher(e)s compatriote,le problème de l'Afrique et des Africains est de pas avoir connaissance de leurs droits et de leurs devoirs c'est la raison pour laquelle nous régressons considérablement au lieu d'aller de l'avant.Il devient plus qu'urgent de se mobiliser non pas les uns contre les autres,mais les uns avec les autres afin de bouter la pauvreté qu'on nous impose et dans laquelle on nous confine(mais on se confine aussi individuellement).N'ayons plus peur de qui que se soit ou de quoi que se soit, l'Afrique doit décoller,arrêtons nos égoisme personnel,cela ne nous amene nulle part,au contraire il est facteur de déunion et donc de vulnérabilité.Arrêtons de nous en prendre aux occidentaux,le vampireux entre et mange ta famille que parce que tu lui en a donner l'autorisation de le faire.Arrêtons l'autoflagélation,la situation n'est plus tenable,nous nous faisons trop humilier.C'est pourquoi j'invite tous les gabonais et tous les Africains à marquer une pause et se dmander qu'est-ce qu'ils veulent pour l'avenir?Où va l'Afrique?Sommes nous réellement un peuple maudit?Pourqoui avec tant de richesses,nous sommes les derniers de la scène internationale?Ces questions vous éclaireront et vous comprendrez que plutôt que de détourner bêtement et de ne penser qu'à votre petite personne, le reste du monde avance et l'Homme Noir parce qu'il ne s'aime pas fourni des efforts considérable pour ne pas avancer.C'est triste mais c'est la réalité.   

De : KONGOSSA <kongossa at kongossa.org>
À : ossavouleon at yahoo.fr
Envoyé le : Lundi, 20 Juillet 2009, 15h00mn 46s
Objet : André Mba Obame : l’élection présidentielle au Gabon « ne peut être une affaire de famille »

TOUT SAUF ALI !

Ali Bongo, prenons son argent et votons contre lui ! Tout sauf Ali !

André Mba Obame : l’élection présidentielle au Gabon « ne peut être une affaire de famille »
L’ancien ministre de l’Intérieur est candidat : interview

Les candidatures à l’élection présidentielle du Gabon se multiplient depuis le 17 juillet, tant au sein de la majorité présidentielle que de l’opposition. André Mba Obame, ancien ministre de l’Intérieur et de la Coordination et du suivi du gouvernement, a révélé ses ambitions vendredi. Bien que son parti, le PDG (Parti démocratique gabonais, au pouvoir), ait fait d’Ali Bongo Ondimba, fils du président défunt, son candidat officiel, il a décidé de se présenter lui aussi. André Mba Obame se veut le digne et véritable héritier d’Omar Bongo Ondimba dont il entend poursuivre l’œuvre..

 

 André Mba Obame balayait d'avance ce choix : "Le président Bongo n'a adoubé personne. Il avait résisté à toutes les pressions et toutes les sollicitations pour désigner un successeur." Concernant Ali, "il a toujours dit qu'il pourrait hériter de sa voiture, qu'il pourrait hériter de ses maisons, mais pas du pouvoir", affirme avec jubilation l'ex-ministre de l'intérieur.

 

 André Mba Obame balayait d'avance ce choix : "Le président Bongo n'a adoubé personne. Il avait résisté à toutes les pressions et toutes les sollicitations pour désigner un successeur." Concernant Ali, "il a toujours dit qu'il pourrait hériter de sa voiture, qu'il pourrait hériter de ses maisons, mais pas du pouvoir", affirme avec jubilation l'ex-ministre de l'intérieur.

"Source Le Monde"

 





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