[BDPalabres] Qui connait BOYER PRADEL Paul, alias Paul Okili Boyer?

[Odjoua Brice]

Qui connaît Paul Boyer, alias Okili pour faire « gabonais », de son vrai nom BOYER PRADEL Paul ? (Voir documents ci joints)

Nous allons vous prouver par des documents (ci joints) que celui qui se fait appeler Paul Okili Boyer (POB) est un faussaire, il s'appelle en réalité : BOYER PRADEL Paul .

 

Franco-Gabonais, de mère d'ethnie Myéné, de sa vraie identité Paul Boyer Bradel (voir documents en pièces jointes), alias Okili (pour faire gabonais) est né à Libreville (Gabon) au quartier Louis (Orety), plus précisément derrière la fondation Jeanne Ebori de père inconnu. En fait un bâtard. Aujourd’hui, il a passé le cap décisif de la soixantaine.

 

Caporal chef dans la garde présidentielle de Bongo à l’orée des années 70, Paul Boyer Bradel (voir documents ci joints), alias Okili est déjà chargé des missions délicates (spécialiste des coups tordus, de « pièces détachées », d’enlèvements d’enfants, d’assassinats d’hommes politiques,  et des intimidations au cap Estérias) ;  c’est sa marque de fabrique, enfin passons.

 

Avez-vous entendu parler de la VOITURE NOIRE au Gabon, avec un blanc à l’intérieur ? C’était Paul Boyer Bradel (voir documents ci joints), alias Paul Okili Boyer (POB) avec un illustre comédien gabonais, aujourd’hui disparu ; paix à son âme.

 

Mis en examen au milieu des années 70 dans le cadre de « l’affaire Garcia » (beau frère du ministre Bonjean François Ondo, retrouvé mort, égorgé) survenue à Oyem au nord du Gabon, Paul Boyer Bradel (voir documents ci joints) , alias Okili est inculpé et incarcéré à la prison de Gros Bouquet où il passera près de 8 ans de sa vie (1975 à 1982)  pour les motifs suivants : « PROPAGATION DE FAUSSES NOUVELLES ET ESCROQUERIE » (Voir documents ci joints) et non outrage au chef de l’état, ou atteinte à la sûreté de l’Etat, comme il l’a souvent raconté au naïfs et pauvres d’esprit qui ne connaissent rien du Gabon profond. IL N Y  A RIEN DE POLITIQUE  DANS SON INCARCERATION, vous avez les documents ci joints.

 

Pourquoi Paul Boyer Bradel (voir documents ci joints), alias Okili s’est il retrouvé en prison ? Il avait accusé le président Bongo d’être le commanditaire des crimes qu’il commettait et que c’est à lui qu’il livrait les corps humains… Voilà simplement la raison pour laquelle il avait été emprisonné. Il faut savoir arrêter le mensonge !

 

Libéré de prison, il a aussitôt immigré en France pour échapper aux représailles des familles des victimes qu'il avait froidement abattu. Il est en métroploe françaies depuis quelques décennies déjà.

 

Paul Boyer Bradel (voir documents ci joints), alias Okili vit désormais du côté de Carcassonne en toute errance et de manière instable au rythme d’un sandwich par jour payé au prix fort. Il donne de ses nouvelles de manière sporadique surtout pendant les consultations électorales, moments de prédilection pour lui de se refaire une santé financière.

 

Il semblerait aux dires de certains compatriotes de la région de Toulouse que Monsieur Paul Boyer Bradel (voir documents ci joints) , alias Okili s’est recyclé (selon ses propres dires) dans la REAL POLITIK (sic), entendez par la: la fréquentation des Palaces du bord de mer et les grands hôtels parisiens à savoir (le Crillon, le Meurice, Le concorde Lafayette et l’hôtel Maillot dans le XVII, c’est d’ailleurs dans cet établissement qu’il a cassé Zacharie Myboto, et l’UGDD Paris. C’est de cet endroit aussi qu’il a négocié sa rançon (44 000 € en espèces) avec ses compères : Alphonse Moubissa, Chimène Essono…)

 

En détour en 1998, sachez que monsieur BOYER PRADEL Paul  avait subtilisé la malette contenant une forte somme d'argent et des documents très importants à Mr  Saturnin Marc Nnang Nguéma, président du PLD (Parti Libéral Démocrate) à l'hotel Intercontinental à Paris. Ce trophée lui a consacré le professionnelisme en tout genre auprès de ses actuels employeurs. Car "Garcia" était lointain.

 

En vérité loin d’un recyclage, Paul Boyer Bradel (voir documents ci joints), alias Okili  a simplement repris du service et est devenu un « mercenaire politique » ; il est aujourd’hui avec certitude un PANTIN programmé, contrôlé et utilisé pour accomplir les basses besognes de ses commanditaires à savoir : Pascaline MFERI BONGO ONDIMBA et Paul TOUNGUI qui lui donnent les cachets pour ses forfaits, et Jean Marie Adzé en était le coffre fort ambulant.

 

Paul Boyer Bradel, alias Okili, n’a t’il pas déclaré à propos du conjoint de celle-ci: « Je suis partisan du changement dans la souplesse raison pour laquelle mon choix s’il devait être officiel se porterait sur Paul Toungui, qui malgré les erreurs de parcours, qui ne sont dus qu’a des parcours difficiles ………………(..)………Monsieur Toungui représente une valeur d’avance et de bonification pour notre nation. Je tairais les fondements même de mon analyse actuellement, mais les gabonais qui me connaissent, savent que si je parle de ce choix c’est après mures et complètes réflexions »  

 

Par ailleurs, c’est au 26 bis, Avenue Raphaël dans le XVI à Paris que Paul Boyer Bradel alias Okili reçoit ses ordres de missions (Vous aurez bien reconnu l’adresse de notre honorable ambassade à Paris, je laisse libre cours à votre intelligence pour vous faire votre propre introspection et intéressons-nous plutôt aux déclarations de Paul Boyer Bradel (voir documents ci joints) , alias Okili :  « Vous me parlez de 2003,  époque ou son excellence Jean Marie Adzé, Ambassadeur, haut représentant du Gabon en France m’a demandé de me rendre au Gabon pour y rencontrer Omar Bongo et faire taire une fois pour toutes les problèmes de plainte que j’avais portée contre le chef de l’état depuis 1994,…..(..)…. Je précise que je suis bien venu au Gabon le 18 juillet 2003….(…)…, mais que je n’ai pas rencontré Mr Omar Bongo. »


Quelles sont en réalité les activités pour lesquelles Paul Boyer Bradel, alias Okili POB est si gracieusement financé ?

 

1)     Faire de l’entrisme afin de phagocyter et noyauter un parti politique et le faire imploser ensuite (BDP, RDPG, UPG, UGDD… FUCR)
 
2)     Décrédibiliser un compatriote ou un opposant ayant une certaine carrure politique (Hier Mengara, aujourd’hui Ekoga etc…)