[BDPalabres] Monsieur Ekoga, faux opposant gabonais, la communauté gabonaise attend que vous vous dénonciez.

[Sylvain Ndong]

Suite à de nombreux coups de fil et mails reçus ci et là de certains membres de la communauté, et tenant compte de la culture du droit d'ainesse qui caractérise nos us et coutumes africaines, je décide pour l'instant de surseoir, à l'exemple de mon grand-frère Paul Okili, la procédure de dénonciation de l'"opposant gabonais" Siméon Jean EKOGA. Ayant engrangé toutes les preuves de son imposture (documents de la main-levée intentée par l'"opposant" contre Petit-Lambert Ovono et mentionnant clairement la nationalité de l'interessé,  photocopies du passeport français de monsieur Jean Ekoga détenus et fournis par Paul Okili-Boyer), nous attendons simplement de la part de monsieur Ekoga un profil bas par rapport à toutes les confusions et filouteries dont il innonde volontairement la diaspora, en vue de la faire indéfinement tourner en rond. Toutes ces combines avaient déjà été tour à tour dénoncées par Daniel Mengara Minko, Petit-Lambert Ovono, Paul Okili-Boyer, Rodrigue Angoué-Malékou et moi-même. Nous attendons que monsieur Ekoga se dénnonce de lui même, et se retire de l'opposition gabonaise qui ne lui incombe plus en tant que citoyen français, faute de quoi, en tant que citoyen gabonais, je me donnerais le droit de me constituer partie civile, avec toutes les preuves afférentes, pour dénoncer l'imposture de monsieur Ekoga et reclammer par la même occasion qu'il rembourse les 260 millions de FCFA qu'il doit à l'Etat et au contribuable gabonais.

Nous attendons votre réaction monsieur Jean Francis Ekoga. J'espère que vous réagirez en Homme, avec votre vrai nom (comme nous le faisons ici monsieur POB et moi), et nom sous la jupe (je crains pour votre jeune fille Malory) de dame Maroundou. Ceux qui expriment la vérité l'exprime avec la force de leur identité, accompagnée des preuves de ce qu'ils avancent. Quand on se cache derrière des pseudos divers, en murmurant des "il se dit que", c'est que l'on n'est pas un homme. Les choses dont je vous accuse sont palpables, et vous savez vous et moi que je détiens les preuves de tout ce que j'avance. Sortons des ngandas parisiens, si cher aux alcooliques anonymes que certains sont, et retrouvons au carrefour des vrais hommes, où les débats sont authentiques et vérifiables.

J'espère que vous prouverez vous-même votre bonne foi, en reconnaissant solennellement et devant la communauté que vous voulez (à nouveau) intégrer, votre cotoyenneté française, car, sans forcément rentrer dans le défaitisme de POB sur votre dossier de réinsertion dans la citoyenneté gabonaise, nous pourrons voir, avec quelques relations, comment nous pourrions vous faire redevenir un VERITABLE opposant gabonais.

Bien à vous cher... grand-frère... malgré tout.

Sylvain NDONG