[BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1

Christian MAYANDJI protected at yahoo.fr
Mar 16 Sep 19:40:35 EDT 2008


Cher Félicité, chers compatriotes,
 
Vous avez raison. Il n'y a pas de sots métiers et je ne vous cacherais pas mon admiration pour cette capacité d'adaptation. J'ai un peu fait la meme expérience que vous - même et je suis parti du batiment à la comptabilité-finance en passant par la logistique.
Vous n'avez pas besoin de dire grand chose mais votre expérience est dense. Je pense que s'il m'étais donné de construire à nouveau des groupes de travail pour préparer et réaliser des projets pour le Gabon, je serais heureux de vous compter soit dans le service à la personne, soit dans la mise en oeuvre des projets agricoles.
Je voudrais juste vous signaler que l'agriculture gabonaise est entrain d'évoluer, du moins au niveau des pays. Les paysans gabonais ne cultivent plus uniquement pour l'autoconsommation, la subsistance. Ils cultivent de plus en plus en tenant compte des débouchés vers les marchés. Par contre et contrairement aux secteurs d'extraction, le secteur agricole du gabon manque de cadres pour résoudre les problèmes de cultures, de financement, de logistique, de débouchés commerciaux. Les gabonais n'ont pas encore compris - ou refusent de comprendre - que les filières du secteur agricole peuvent fonctionner comme celles du secteur pétrolier ou minier.
En fait, ce secteur a fonctionné ainsi jusqu' à la fin des années 1960. Bien plus que l'argent, ce secteur a besoin qu'on construise des entrepots pour stoquer et conditionner les produits ainsi que des véhicules de transport pour acheminer les produits vers les marchés domestiques ou extérieurs. Je dois signaler que pendant que nos paysans ne peuvent pas se permettre des efforts de production, nous avons des gabonais qui se sont lancé dans la gestion des centrales d'achats et qui - pour s'approvisionner - sont obligés de travailler avec d'autres pays. N'est-il pas temps de combler ce fossé?
 
Où est passé l'argent ?
Je crois que le privé doit être capable de remplacer le public lorsque celui - ci échoue dans un secteur. De quelle somme d'argent  a t-on besoin pour construire des entrepôts? acheter des tracteurs d'occasion dans les campagnes françaises et les expédier au Gabon ? des camions de transport d'occasion ? des pondeuses à parpaing ? des bétonneuses ? et même des camions citernes d'occasion ? des scies mécaniques ? des treuils ? des remoqueurs ? des canots ? des plants ou des semences ? et tant d'autres choses ?
 
Aller vérifier sur internet et vous vous rendrez compte que tout cela est à notre portée. Je pense que si chaque ressortissant gabonais de la diaspora pouvait - individuellement ou collectivement - consacrer 3000 à 15000 € d'investissements par an rendu port de Libreville en équipements, nous pourrions transformer un certain nombre de secteurs économiques laissé en désuétude par l'Etat. Je crois que cela serait plus convaincant au yeux des nos populations, de nos parents que nos explications, nos discours ou même même nos comportements de courtisans du pouvoir. Nous peserions d'un autre poids politique et économique. Ce sont des choses que nous pouvons faire  tous les " 17 Août " pour équiper chaque département du Gabon un minimum d'infrastructures de production. Pour ceux qui ne sont pas capable d'épargner, il y a de nombreuses sociétés financières (CETELEM, ...) qui ne demandent qu' à offrir des crédits en contrepartie de quelques garanties.
La diaspora a un rôle à jouer. Il ne faut pas qu'elle rate le train comme nos ainés : opposants ou partisans du pouvoir, ils ont été contraints à l'entrisme politique parce que - munis uniquement de leurs dîplomes - ils ne pouvaient subvenir à leurs besoins autrement qu'en entrant à la "haute"  fonction publique. Nous devons être en mesure de créer une autre classe sociale qui soit une pépinière des nouveaux capitaines d'industries du Gabon.
Il faut que nous arrivions à nous montrer aussi responsables que les diasporas des autres pays africains. Nous serons davantage respectés.
 
J'en appelle à notre conscience.
Salutations cordiales.

 
MANGASS TTC
Christian MAYANDJI
Démarches-Gestion
FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES 
ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
 CONVOYAGE EXPLOITATION
VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
EUROPE - AFRIQUE
 


--- En date de : Mar 16.9.08, Alice Vincent <protected at yahoo.fr> a écrit :

    De: Alice Vincent <protected at yahoo.fr>
    Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
    À: bdpalabres at bdpgabon.org
    Date: Mardi 16 Septembre 2008, 20h18

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    Mon cher Christian, pour notre entretien
     
    Lorsque les Etrangers ne sont pas affectés aux activités de services à la
    personne ou ux tâches insalubres, ils sont perçus comme des individus qui
    viennent manger le pain des nationaux.
     
    Il n'y a pas de sot métiers, il n'y a que de sorte gens !
    Les services à la personne pèsent 8 milliard d'Euros, nous travillons à
    la professionnalisation, selon la loi 2002.

    Il y a aujourd'hui des lois qui contingentent non seulement l'accès au
    territoire, mais également l'accès à l'emploi en commençant par les
    différentes cartes de résidence. En pratique, nous pouvons prendre votre
    exemple : diplomé en agronomie tropicale (acitivité plutôt innovante), mais
    obligé d'évoluer dans un autre secteur d'activité. Ce n'est pas
    du racisme, mais c'est du gachis! je suis certain qu'au Gabon ou en
    France, vous auriez pu apporter une très grande valeur ajoutée dans le
    développement des cultures tropicales.
     
    Le pojet CIAM au Gabon, avec mon professeur de mémoire, Monsieur Guy Rouanet,
    nous avons travaillé à la mise en place de ce projet au Gabon. le
    fonctionnement et les moyens finaniers, étaient aux mains de nos compatriotes.
    Ceci après le départ des blancs. L'argent est parti où ? Je vous laisse
    déviner !
    La Gabegie pour mon peuple !
     
    En tant scientifique, j'ai choisie toute seule mon orientation
    universitaire. Ma peau d'âne en poche, je n'ai pas chômée, j'ai
    travaillé à l'assistance publique. J'ai appris beaucoup de chose au
    niveau professionnel,  la gestion financière d'un hôpital, d'un Centre
    de santé, mes chefs m'aimaient pour ma rigueur allié à mon efficacité
    profesionnelle. C'est moi-même qui avait démissionné pour être
    indépendante !
     
     
    Après tout, il y a tellement de laboratoires en recherche-développement qui
    ont des programmes, tellement de projets pour lesquels les ONGs occidentales
    collectent des fonds aussi bien au près du grand public qu'à celui des
    organisations internationales pour vaincre la faim et la malnutrition dans tant
    de pays du Tiers-mondes que je ne comprends pas autrement qu'ils ne ne
    soient pas donné l'opportunité de vous soutenir dans ce qui était votre
    projet initial. Serait-ce vous même qui y avez renoncé ?

    Ce n'est pas du racisme, c'est du gachis. Le mur de verre est cela : le
    fait de gacher des talents au nom du protectionisme, du corporatisme et du
    contingentement économique.
     
    Nous devrons apprendre à gérer, confondre le prix d'achat et de revient,
    il y a un ''blème'' ! Gérer une exploitation agricole ça
    s'apprend, notre agriculture est une agriculture de subsistance. Je suis
    partisan d'une agriculture raissonnée, extensive et non intensive, pour
    éviter l'érosion des sols, vue les averses au Gabon.
     
    Serait-ce vous même qui y avez renoncé ?
     
    J'adore ce métier, je vais vous dire une chose, j'élèvait les
    poules, les lapins, les canards. Nous n'arrivions pas à les manger,
    c'était comme mes enfants !
     
    je cultuvais le maïs, les pommes de terre, les tomates, les aromates. J'ai
    tout arrêté ! Mon travail est trop prenant !
     
    J'ai planté les pommiers, poiriers, cerisiers, noisetiers.
     
    Cordialement vôtre
     
    Félicité Vincent
     



     

    ----- Message d'origine ----
    De : Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
    À : bdpalabres at bdpgabon.org
    Envoyé le : Mardi, 16 Septembre 2008, 1h55mn 48s
    Objet : [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1

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    Cher Félicité,

    Lorsque je parle de mur de verre, je ne fais pas référence au racisme. La
    France a aboli l'esclavage ainsi que le code de l'indigénat -
    traduction économique du racisme - depuis bien longtemps. En m'exprimant
    sur ces points, j'ai utilisé un style plutôt parabolique emprunté à
    l'écriture évangélique. L'interprétation que certains d'entre
    vous en ont faite n'est pas celle que je souhaite.
    Le mur de verre fait référence au protectionnisme et au corporatisme qui ont
    caractérisé l'économie mercantiliste en France ainsi que des nombreux
    pays du Sud du XVIe siècle européen. Cette forme d'économie
    pré-capitaliste préconisait que la richesse d'un pays à la quantité des
    métaux précieux - et des marchandises de meilleures qualité - qu'il
    pouvait accumuler. Elle a amené la France à pratiquer une économie quasi
    autarcique consistant à
    - vendre du toc, piller les gisements de minerais, exploiter de la main
    d'oeuvre bon marché à l'etranger
    - créer des manufactures controlées par la puissance publique pour fabriquer
    et distribuer des biens de prestige ou de qualité sur le territoire national.
    Le critère dominant de repartition n'était alors pas l'échange
    (valorisé par une monnaie) entre la quantité ou la qualité de travail reconnu
    contre le bien recherché, mais simplement le fait de la reconnaissance du
    Prince envers ses sujets par ordre de préférence royale (et non pas encore
    nationale).
    De nos jours, la France a connu l'émergence et le développement
    capitaliste : outre les métaux précieux, elle accumule l'argent et une
    certaine forme de puissance. Les sujets - transformés en citoyens - forme le
    corps politique et sont désormais dépositaires de la souveraineté nationale.
    Il reste malgré tout un certain héritage de cette époque économique.
    Les barrières douanières ne sont plus aussi forte pour empecher les produits
    étrangers  d'entrer sur son territoire. Entre-temps, la population est
    passé de l'économie de production à la société de consommation : les
    individus et l'Etat ont compris que la présence des produits étrangers et
    le développement des échanges économiques pouvaient contribuer au bien-être
    des populations.
    Seulement, Cet environnement économique conservent des rigidités et
    génèrent des comportements si obselètes que la performance économiques en en
    a patit. La France est passé du 4ème au 10ème rang des puissance
    économiques. Comme au Gabon, les populations - les catégories
    socio-économiques - se battent pour avoir la plus grosse part d'un gateau
    dont la dimension se réduit. Ils ne combattent plus pour créer la richesse qui
    se présente désormais sous la forme de l'accumulation de la connaissance
    scientifique et technologique, l'accroissement des équipements et
    différents moyens de production, la multiplication des produits culturels et de
    consommation.
    Lorsque les Etrangers ne sont pas affectés aux activités de services à la
    personne ou ux tâches insalubres, ils sont perçus comme des individus qui
    viennent manger le pain des nationaux.
    Il y a aujourd'hui des lois qui contingentent non seulement l'accès au
    territoire, mais également l'accès à l'emploi en commençant par les
    différentes cartes de résidence. En pratique, nous pouvons prendre votre
    exemple : diplomé en agronomie tropicale (acitivité plutôt innovante), mais
    obligé d'évoluer dans un autre secteur d'activité. Ce n'est pas
    du racisme, mais c'est du gachis! je suis certain qu'au Gabon ou en
    France, vous auriez pu apporter une très grande valeur ajoutée dans le
    développement des cultures tropicales. Après tout, il y a tellement de
    laboratoires en recherche-développement qui ont des programmes, tellement de
    projets pour lesquels les ONGs occidentales collectent des fonds aussi bien au
    près du grand public qu'à celui des organisations internationales pour
    vaincre la faim et la malnutrition dans tant de pays du Tiers-mondes que je ne
    comprends pas autrement qu'ils ne ne soient pas donné l'opportunité de
    vous soutenir dans ce qui était votre projet initial. Serait-ce vous même qui
    y avez renoncé ?
    Ce n'est pas du racisme, c'est du gachis. Le mur de verre est cela : le
    fait de gacher des talents au nom du protectionisme, du corporatisme et du
    contingentement économique.

    La fait est que, dans le cadre de l'expansion capitaliste de cette
    puissance économique en Afrique, notamment au Gabon, nous avons hérité de ce
    mode de fonctionnement économique : l'importance de la participation de
    chacun à la création de la richesse n'est pas apprécié à sa juste
    valeur, la repartition de la richesse se fait en fonction de la puissance du
    lobbying et de la preférence présidentielle. Les effets désastreux de ce type
    de comportement économique sont accentués par l'obscurantisme qui anihile
    le désir de produire des efforts.
    MANGASS TTC
    Christian MAYANDJI
    Démarches-Gestion
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    CONVOYAGE EXPLOITATION
    VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
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    --- En date de : Lun 15.9.08, felicite vincent <protected at yahoo.fr> a
    écrit :

        De: felicite vincent <protected at yahoo.fr>
        Objet: [BDPalabres] Re: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
        À: bdpalabres at bdpgabon.org
        Date: Lundi 15 Septembre 2008, 0h08

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        Mes chers compatriotes,
       
        La timidité des africains, et des gabonais en particulier.
        Le français n'est pas raciste ! Quelques conseils pour casser le mur
    de
        verre.
       
        Manquer d'assurance, de confiance en soi, être "timide",
        est un handicap considérable pour réussir sa vie.
        ** Les points caractéristiques des timides sont :**
        Le point le plus important est l'analyse excessive de
        ses propres réactions, la préoccupation de soi. Cette
        autocritique permanente provoque l'inhibition, le
        freinage des facultés mentales et créatrices, surtout
        en groupe.
        Cela vous empêche de communiquer efficacement, donc
        cela fausse l'impression qu'ont les autres de vous.
        Cela vous empêche de défendre vos droits et d'exprimer
        votre opinion et votre personnalité.
        Toutes ces difficultés vous empêchent d'apprécier des
        moments qui auraient dû être des moments agréables, et
        il en résulte la peur de rencontrer de nouvelles
        personnes, de se faire des amis.
        Une enquête, menée par le Standford Research Institute
        (EU) auprès de 5.000 personnes, a montré que 80 % des
        gens ont été ou sont timides, et que 40 % de la
        population se considère comme actuellement timide.
        Vous le voyez, vous n'êtes pas seul.
        ** Le mythe de la personnalité immuable **
        Pour ne plus être timide, le premier pas consiste à
        vaincre le "mythe de la personnalité immuable". Ce
        mythe, profondément ancré dans notre culture, veut que
        nous ayons une personnalité immuable, soi-disant
        "naturelle", acquise dès notre naissance, ou dans la
        petite enfance, et qui constitue notre essence même.
        Les dictons regorgent de phrases telles que "Chassez
        le naturel, il revient au galop".
        Or, les travaux de la psychologie moderne nous
        montrent que tout cela est un mythe. Les cas célèbres
        de multiples personnalités nous démontrent, si c'est
        nécessaire, qu'en chacun de nous le potentiel de
        changement existe.
        Le mot "personnalité" vient de "persona", masque. La
        personnalité n'est qu'un masque, un rôle, et nous
        pouvons en changer à volonté. Nous avons bien une
        nature profonde, un potentiel, un acquis génétique,
        mais celui-ci est beaucoup plus vaste que la
        personnalité que nous exprimons. Les mêmes mécanismes
        d'influence parentale, de suggestion,
        d'autosuggestion, d'habitudes qui ont créé notre
        personnalité, peuvent être utilisés pour la modifier.
        Le plus important est d'admettre cette possibilité de
        changement. Sans changement, il n'est pas de progrès
        possible.
        ** Agissez! **
        La deuxième étape que vous devez franchir pour
        atteindre l'assurance et la confiance en soi, est
        d'agir. Lire cette lettre est bien, mais si vous
        ne faites que cela, cela ne servira pas à grand chose.
        Prenez l'engagement vis-à-vis de vous-même d'agir,
        sinon votre effort ne servira à rien.
        ** Changez votre Image de vous **
        Avoir confiance en quelqu'un, c'est le connaître,
        l'apprécier, voir ses qualités, ses côtés positifs, se
        fier à lui. Mais pourriez-vous avoir confiance en
        quelqu'un que vous critiquez tout le temps, dont vous
        ne voyez que les aspects négatifs, les défauts ?
        Certes pas.
        Cette personne c'est vous. Par votre dialogue
        intérieur, vous remplacez les injonctions de vos
        parents : "Ne fais pas ci, ne fais pas ça" - "Tu
        aurais dû..." - "Que vont-ils penser de toi ?". Vous
        avez un gendarme et un critique dans votre tête. Le
        rôle de gendarme est la répression, le rôle de la
        personnalité est juste le contraire : l'expression. La
        répression empêche vos possibilités latentes de
        s'exprimer.
       
        --------------------
        Apprenez à dire NON
        --------------------
        Dire NON, cela n'est pas toujours facile, mais cela
        s'apprend.
        Si vous voulez bien gérer votre temps, établir un
        véritable climat de communication entre vous et les
        autres, vous devez vous y entraîner.
        Les psychologues nous disent que ne pas savoir ou oser
        dire "non" est lié à une peur profondément ancrée en
        nous depuis notre enfance :
        "Si je dis non, on va moins m'aimer !".
        La conséquence directe de refuser quelque chose à
        quelqu'un serait de perdre son affection, son amitié.
        Donc, pour "faire plaisir", je dis "oui". Et c'est
    là
        où tout se gâte: le résultat de mon acceptation
        malgré moi sera du ressentiment. Le climat de
        communication sera troublé.
        ** Voici 5 conseils pour apprendre à dire NON : **
        1. Écoutez attentivement la requête de l'autre,
        et prenez votre temps avant de donner votre
        réponse.
        Si quelqu'un, par exemple, vous téléphone pour
        vous demander de l'accompagner à un rendez-vous,
        et que vous n'êtes pas certain d'avoir envie d'y
        aller, répondez simplement:
        "Il faut que je réfléchisse, je te rappelle dans
        quelques minutes".
        Ne décidez qu'après avoir réfléchi.
        2.. Dites la vérité.
        Ne vous empêtrez pas dans des excuses vaseuses,
        inventées à la seconde et oubliées aussitôt. Un
        mensonge peut avoir des conséquences bien pires
        sur les relations qu'un NON franc.
        3. Dites "non" avec tact et ne blessez jamais.
        Refuser, dire "non", n'est pas synonyme
        d'assommer, de faire mal. Si quelqu'un vous
        invite à assister à une réunion qu'il organise et
        que vous n'avez pas envie d'y aller, dites :
        "Merci d'avoir pensé à moi, mais je n'ai vraiment
        pas le temps!".
        Plutôt que :
        "Tes réunions me font toujours perdre du temps.
        Je n'y vais pas!".
        4. Ne vous laissez pas embarquer dans une
        argumentation.
        Si quelqu'un est surpris par votre refus et
        essaie de vous faire changer d'avis, évitez de
        vous lancer dans une explication compliquée du
        pourquoi de votre refus.
        Regardez la personne gentiment, souriez et
        redites-lui : "NON".
        Sinon, vous risquez de partir dans une discussion
        interminable qui risque de mal tourner.
        5. Ne vous excusez pas.
        Rien ni personne ne vous oblige à vous excuser
        parce que vous avez dit "non". Dire "non" est
        votre droit le plus absolu. Tout ce que faites en
        vous excusant, c'est de vous placer en situation
        d'infériorité.
       
        Félicité Vincent


        --- En date de : Dim 14.9.08, bdpalabres-request at bdpgabon.org
        <bdpalabres-request at bdpgabon.org> a écrit :

            De: bdpalabres-request at bdpgabon.org
    <bdpalabres-request at bdpgabon.org>
            Objet: Lot BDPalabres, Vol 85, Parution 1
            À: bdpalabres at bdpgabon.org
            Date: Dimanche 14 Septembre 2008, 18h00

            Envoyez vos messages pour la liste BDPalabres à
                bdpalabres at bdpgabon.org

            Pour vous (dés)abonner par le web, consultez
                http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org

            ou, par email, envoyez un message avec 'help' dans le corps ou
    dans
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            sujet à
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            Vous pouvez contacter l'administrateur de la liste à l'adresse
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            Si vous répondez, n'oubliez pas de changer l'objet du message
    afin
            qu'il soit plus spécifique que "Re: Contenu du digest de
            BDPalabres..."


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            Thèmes du jour :

              1. Re: Je suis dans la précarité mais je ne me sens pas
                  affamé,... (Christian MAYANDJI)
              2. Re: Communiqué: Clarifications sur la phase insurrectionnelle
                  et les Représentations nationales et internationales du
    BDP-Gabon
                  Nouveau (Christian MAYANDJI)
              3.  Les 10 Gabonais Qui Comptent Dans La Diaspora (Gabonais Diaspora)
              4. Les 10 Gabonais Qui COMPTENT Dans La Diaspora    Gabonaise.
                  (Sylvain Ndong)
              5.  Le silence tue... (Gabonais Diaspora)
              6.  Re: 10 gabonais de quoi ? (Sylvain Ndong)
              7.  Re: Les 10 Gabonais Qui Comptent Dans La Diaspora (Ange LESCO)


            ----------------------------------------------------------------------

            Message: 1
            Date: Sun, 14 Sep 2008 04:54:16 -0400
            From: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
            Subject: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité mais je ne me
    sens
                pas affamé,...
            To: bdpalabres at bdpgabon.org
            Message-ID: <E1KenN2-00033C-LU at dchost.globalwebcompany.net>

            Marcel,
           
            Au démarrage d'un projet, la probabilité que l'on a
        d'atteindre
            les objectifs fixés est de moins de 50 %. Lorsqu'on entre dans la
        phase
            d'étude préliminaire et d'analyse fonctionnelle du projet, on
        peut
            faire baisser le niveau de risques à 20-25 %. Lorsqu'après avoir
    fait
        la
            selection des ses partenaires et définit avec eux les cahiers de
    charges
        de
            leurs interventions, chacun passe à une phase d'étude technique
    de
        son lot
            de travail, on arrive à un niveau de risques de 5 %. Ce niveau se
    réduit
        au
            fur et à mesure qu'on progresse car on bénéficie de l'effet
            d'apprentissage et du retour sur expérience. C'est la raison
    pour
            laquelle il faut acquérir un minimum d'outils avant de se lancer
    dans
        quoi
            que ce soit.
            Je n'ai pas choisi de quitter mon pays pour fuir l'oppression.
            Autrement, je n'y reviendrais pas tous les ans et je n'y
    passerais
        pas
            le tiers ou la moitié de l'année. Mon père était militaire. A
    son
            contact, j'ai appris à anticiper ou à réagir dans les conditions
            extrêmes. Je crois que je me sens plus efficace en situation de crise.
    En
            quittant l'aéroport Léon Mba, je savais que je ne pouvais pas me
        contenter
            de ramener uniquement un diplome dans mon pays. Je savais aussi que
            lorsqu'on veut progresser, il faut aller chercher la connaissance
    et
            l'expérience ainsi que les moyens chez ceux qui constituent le
    modèle
        de
            réussite et de puissance. C'est ce qu'ont fait les
    ressortissants
        des
            pays que vous avez cités. Je suis le même exemple. Vous pouvez en
    faire
            autant. Ensuite, il faut diffuser les fruits de notre expérience dans
    la
            société. C'est comme cela que les personnes s'impregnent des
            technologies diffusées ailleurs, apprenent à travailler ensemble dans
    des
            ateliers, puis dans des usines.
            J'aurai souhaité construire des usines dans mon pays, les mettre
    en
            exploitation en recrutant autant de ressortissants gabonais que
    possible.
            J'aurai souhaité faire la même chose avec des exploitations
        agricoles.
            Tout cela m'est techniquement possible. Pourtant je me rends compte
    que
        mes
            compatriotes - en commençant par vous - ne sont pas encore prêts à
        optimiser
            l'exploitation des investissements d'un niveau industriel.
        L'échec
            des projets ou de certaines réalisations industrielles
    s'expliquent
        soit
            par des choix d'investissements inappropriés, soit par des fautes
    de
            gestion (détournements de fonds), soit par des évolutions
    défavorables
        des
            marchés cibles, mais aussi par les contre-performances des ressources
        humaines.
            Elles ne sont pas prête à travailler efficacement dans des grands
        ensembles
            industriels. Allez rencontrer indiféremment des responsables gabonais
    ou
            expatriés d'entreprises comme je l'ai moi-même fait avant de
            l'expérimenter : ils vous diront que la même d'oeuvre
    gabonaise
            n'est pas compétitive, ni suffisamment réactive. Ils ne
        l'emploient
            que pour les travaux s'inscrivant dans le cadre des cahiers de
    charges
            fixés par l'Etat gabonais. Autrement, ils pourraient s'en
    passer
        comme
            les chinois l'ont fait en construisant nos batiments publics.
            Vous vous sentez obligé de vous reconnaître des tares. Vous avez
    raison.
        Vous
            en avez de bien grandes, et moi aussi. S'il vous plaît, aidez moi
    à
            transformer ces tares en qualités humaines et techniques, sans nous
    tirer
        dans
            les pattes. Nous en sortirons mutuellement gagnants. Vous voulez que je
    me
            concentre sur la président de la République. Le docteur MENGARA et
            d'autres le font déjà bien pour nous tous. Pourquoi perdre de
            l'énergie ? Dans une organisation efficiente chacun peut se
    concentrer
        sur
            ce qu'il sait faire au mieux. Je crois que je peux vous être utile
    en
        vous
            envoyant des ciseaux. J'essaie de le faire au mieux. J'espère
    que
        vous
            en êtes satisfait.
            Vous parlez de respect. Croyez bien que chaque fois que je me suis
    trouvé
            "un petit boulot", je n'ai pas eu le sentiment
    d'être
            humilié. Je me suis mis en situation d'apprentissage et je me suis
        sentis
            épanouie. J'ai tiré le maximum de connaissances techniques
    possibles
        dans
            l'espoir de les partager, un jour, avec vous et d'autres
        compatriotes.
            Je désespère car je crois que vous dû vous offrir encore quelques
        régabs
            avant de prendre le temps de me repondre. Alors, vous ne prenez pas la
        peine
            d'analyser ce que je dis et vous cherchez à me coller une image
    dans
            laquelle je ne me reconnais pas.. Heureusement qu'il y a
    d'autres
            personnes qui me lisent et qui ont compris, mieux que vous, ce que
        j'essaie
            de communiquer. Cela me permet de comprendre qu'en ce qui concerne
            l'état mental des populations gabonaises, je ne dois surtout pas
            généraliser. Je dois continuer à observer, trier et commencer à
        travailler
            avec ceux qui commencent à comprendre. Les autres, comme vous,
    prendront
        le
            train en marche.
            En attendant, salutations cordiales.
           
            MANGASS TTC
            Christian MAYANDJI
            Démarches-Gestion
            FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
            ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
            CONVOYAGE EXPLOITATION
            VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
            EUROPE - AFRIQUE
           


            --- En date de : Sam 13.9.08, Marcel Mabongo
    <protected at yahoo.com> a
            écrit :

                De: Marcel Mabongo <protected at yahoo.com>
                Objet: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité mais je ne me
    sens
        pas
            affamé,...
                À: bdpalabres at bdpgabon.org
                Date: Samedi 13 Septembre 2008, 3h29

                ___________________________________________________________
                Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos
        messages
                apparaîtront une fois modérés.
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                - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page.
                ___________________________________________________________


                Monsieur Mayandji, vous continuez à tourner en rond.
                Manifestement, vous n'avez encore pas dépassé le state de la
                superficialité. Tout votre propos est la manifestation de la
        mentalité
                d'esclave dans laquelle les Africains baignent.
                Votre seule explication aux problèmes des Africains en France
    reste
            limitée
                à ce que les autres vous font. Tout cet étalage se résume à
    cette
            bizarre
                conclusion que vous semblez avoir trouvée, c'est-à-dire que
    tout
        ce
            qui
                arrive au Africains en France, c'est la faute des Français.
                Est-ce que vous vous êtes un peu demandé si le problème qui fait
    que
        les
                Africains soeint au bas de l'échelle me vient pas de nos
    propres
        tares
            et
                non des autres? Vous attendez qu'on vous serve le respect sur
    un
        plat
                d'argent. Mais non Monsieur Mayandji, le respect ne se donne
    pas,
        le
            respect
                se gagne. En tant qu'historien, vous devriez pourtant savoir
    que
                l'histoire n'est jamais un accident. Regardez comment tous
    les
            peuples
                jadis traités comme des animaux par les occidentaux sont
        aujourd'hui
                respectés et même craints par les occidentaux (Chine, Inde,
        Indonésie,
            etc.).
                ces pays, il ya 40 ans, étaient plus pauvres que les pays
    Africains.
                Aujourd'hi, ce sont des puissances économiques. VOus qui êtes
            historien,
                pourquoi ne vous demandez-vous pas pourquoi le noir vient en
    dernier
            derrière
                les Français. les Chinois, les indiens, les portugais et les
    Arabes?
            C'est
                pourtant dans l'histoire, non pas de la victimisation des
        Africains,
            mais
                plutôt des incapacités des Africains, que se trouve
        l'explication. On
            en a
                marre de cette mentalité qui ne nous fera jamsi évoluer. Voilà
        pourquoi
            les
                blancs nous considèrent comme des enfants.
                VOus restez attaché par le cou à la prison des incohérences
        africaines
            qui
                nous retardent alors que les autres avancent. Au moment où les
    autres
        ont
            fini
                par conquérir leur respect par des ACCOMPLISSEMENTS qui les ont
        élevés
            au
                statut d'HOMMES, nous africains, nous attendons que les autres
    nous
            offrent
                le respect comme on donne un os à un chien. Vous allez vivre dans
    le
        pays
            de
                quelqu'un à cause des animalités de votre propre président,
    et
            c'est
                la faute des Français? Au lieu de demander de scomptes à BONGO,
    lui
        qui
            vous a
                appauvri au point de causer vos émigrations, vous ne trouvez rien
    à
            redire.
                Pendant que BOngo nous b... par le trou du c...., on préfère
    s'en
            prendre
                aux français.. INCROYABLE!
                Pourquoi ne pas retourner en Afrique si vous ne voulez pas subir
    les
                humiliations? Au moment où les autres ont conquis le respect par
    de
        vrais
                actes, nous, nous continuons les sempiternels pleurnichements.. Oh,
        racisme
            ceci,
                les Franças cela, oh mur de verre ici, oh injustice par là. Mais
    que
            dites
                vous de l'injustice PRIMAIRE, celle faite aux Gabonais par Omar
        Bongo?
            Que
                dites vous qui puisse faire réparer cette injustice de BONGO pour
            qu'on ait
                plus à aller se faire humiler chez les blancs. regardez les
    grandes
        places
                immobilières et financières que deviennet des pays arabes comme
    les
            Emirats
                Arabes, le Kowet, etc. Regardez l'indolence des Africains et
    les
                incapacités de rois nègres comme Bongo. Et pour vous, c'est
    au
            Français
                qui acceuillent les msières causées par BONGO, de nous montrer le
            respect?
                Si vous voulez mon opinion, les Français peuvent nous traiter
    comme
        des
                chiens, nous n'avons pas le droit de nous plaindre. Car ils
    n'y
        a
            que
                des chiens qui fuient leur pays parce qu'ils sont incapables de
    se
                débarasser de leur dictateur, et vont en France reprocher aux
        Français
            leur
                racisme. NOus méritons ce racisme car nous ne sonnes pas des
    hommes.
                Croyez vous que c'est la France qui nous a appelés vivre chez
    eux?
        Si
            nous
                y sommes, c'est à cause de Bongo. Un vrai homme, au lieu de
            s'attaquer
                aux Français, devrait plutôt se poser la question de savoir ce
        qu'il
            doit
                faire pour créer les conditions qui feraient que lui-même et ses
        enfants
                n'aient plus besoin d'aller se faire humulier en France. La
            réponse à
                cette question, c'est en finir avec la personne qui nous force
    à
            quitter le
                pays à la recherche de cieux meilleurs, c'est-à-dire Omar
    Bongo.
                Et si la FRance soutient Bongo contre le peuple gabonais, alors les
            Gabonais
                doivent se montrer capable de mourir pour leur dignité. Tous les
        peuples
            qui
                aujourd'hui sont dignes et puissants ont commencé par le
    sacrifice
                national. Ils se sont refusés à la domination des autres et par
    cette
            fierté,
                ils se sont construits de vraies nations. BONgo n'a jamais eu
    de
            fierté
                nationale, alors ils traite ses concitoyens pire que les Français.
        Mais
            des
                gens comme vous, MOnsieur Mayandji, vous attendez non seulement que
    ce
        soit
            la
                France qui vous donne le respect. Vous attendez aussi que ce soit
    la
        France
            qui
                viennne vous libérer de Bongo.
                je ne vois pas dans vos écrits le raisonnement de quelqu'un
    ayant
                dépassé le stade des primaires. VOus êtes de la philosophie qui
    dit
        que
                l'enfer c'est les autres, alors que notre enfer, en tant
                qu'africains, c'est nous mêmes. Au Gabon, notre enfer,
        c'est
            Bongo
                et toute la clique de voyous dont il s'est entouré. C'est
    à
        eux
            la
                faute de nos humiliations en France, pas les françsis.
                Commencez par vous libérer du bongoïsme et vous verrez que
    peut-être
        que
                vous pourrez éviter à vos enfants l'humiliation d'aller
    en
        France
                balayer les rues avec un doctorat en poche qui aurait pu aider le
        Gabon.
                je sais, dans votre dernier message, vous m'avez dit de me la
    fermr
        car
                vous avez dit que je ne maîtrise rien et que je ne vaut rien
    devant
        votre
                quintescence. Mais comme vous parlez trop en termes de MOI, MOI,
    MOI,
        et
            que
                vous n'arrivez pas à lier votre humiliation en France avec les
            malheurs que
                notre despote au Gabon génère, c'est que vous n'avez
    guère
        plus
                évolué que les paysans et les jeunes à qui vous envoyez des
    ciseaux
        au
            Gabon.
                Attention à vos émotions, car vous m'avez déjà traité de
    moins
            armé
                intellectuellement que vous. Si l'émotion l'emporte encore
        cette
            fois,
                vous risquerez de continuer à tourner en rond avec une réflexion
            embrumée par
                l'énervement. J'essaie juste de vous aider à mieux y voir
        clair
            car je
                pense que vous n'avez pas encore réalisé le saut mental comme
                quelqu'un aime à le dire ici.
                Mais surtout, attendion à la grosse tête car c'est ça qui
    créé
                l'intolérence chez les hommes qui pensent que être dans un
        débat,
                c'est s'admirer devant les autres et quand on ose dire
    quelque
            chose de
                contradictoire, l'émotion l'emporte. Maitrisez vos
    émotions
        si
            vous
                voulez débattre avec les idées claires. Pour le moment, vous
        n'avez
            pas
                plus évolué que les pauvres auxquels vous envoyez des voitures.
        Voilà
                pourquoi vous êtes capables de me sortir quelque chose comme
            "vérifier
                que je maîtrise quelques outils de base lorsque je souhaite
        m'engager
            sur
                certains sujets". Je suppose que vous maitrisez tellement tous
    les
            sujets
                que plus personne ne peut plus trouver à redire à vos brillances.
        Soit!

                Marcel

                Christian MAYANDJI wrote:
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                > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau.
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                >
                >
                > M. DEGAOUENE,
                > 
                > Je vous demande pardon pour avoir blessé car ce n'était
    pas
            notre
                intention, ni de juger la politique de votre pays. En fait, le
    racisme
            n'est
                pas le sujet de notre discussion. Même si cela avait été le cas,
        nous
            nous
                battons pour l'extirper avec la même vigueur aussi bien au
    Gabon
                qu'ailleurs. A vrai dire, il ne me vient pas à l'idée
            d'évoquer
                les situations de discrimination dans le cadre du racisme. Je suis
            historien de
                formation et on nous as enseigné qu'on ne peut pas considérer
                l'appartenance de catégories d'invidus à une communauté
    par
        la
                caractéristique - la couleur - de leur peau. Il y a bien
    d'autres
            critères
                qui permettent de nuancer ces distinctions. De plus l'humanité
    a
        fait
            des
                progrès depuis l'abolition de l'esclave : si la
    candidature
            d'un
                afor-américain à la présidence des Etats - Unis constitue un
        évenement,
            qui
                peut oublier que la France a eu un président du Sénat également
    issu
        des
                descendants d'esclaves d'origine négro - africaine. Qui
            s'étonnera
                du fait que malgré les scores de M. LEPEN au présidentielles, il
    y
        ait
            très
                bientôt un président de la République Française issu de
            l'immigration
                récente? Pourquoi pas de l'Afrique Subsaharienne. Il y a
    après
        tout
            une
                telle proximité.
                > Pour l'instant dans le batiment en france, les négro -
        africains
            sont
                nécessairement des manoeuvres quel que soit le niveau de leur
        formation
                initiale. Ils sont surveillés par les arabes du Maghreb. A leur
    tour,
        ces
                derniers obeissent aux Portugais et aux Espagnols. Puis viennent
    les
            Français.
                On peut retrouver cette organisation pyramidale dans d'autres
        secteurs
                professionnels. Mais ce n'est pas moi qui le constate, ce sont
    les
            fruits
                des recherches menées par un Français "de souche" dans
    le
            milieu du
                batîment. Même là aussi, il y a des progrès. les africains
        méritants
                peuvent créer des entreprises sous-traitantes et les mettre à la
            disposition
                des donneurs d'ordres. Combien de Français acceptent de se
    faire
            embaucher
                dans ces entreprises et de se mettre sous les ordres et à la
        disposition
                d'un patron négro africain? Cela n'est-il pas également
    vrai
        au
            Gabon?
                Là-bas, les français sont des consultants ou directeurs, cadres.
    Je
            n'en
                connais pas beaucoup qui soient agents de maitrise, encore moins
        manoeuvre,
                caissières de supermarché à moins d'être mariée au patron.
                > Pour ma part, quand je parle de mur de verre, j'évoque du
        vécu.
                Combien d'Africains majors de promotion se sont vu refuser des
        stages
            en
                entreprises alors que leurs collègues français étaient acceptés
    en
            moins
                d'une semaine après l'envoi de leur candidature. Quant aux
        postes
            en
                entreprises, je suis étonné que meme des entreprises ayant des
        filiales
                exerçant au Gabon ne se privent pas de faire la fine bouche. Je ne
            parlerai pas
                des filières de formations dont on écarte les africains après un
            entretien ou
                des "tests psychologiques" lorsqu'on n'a pas pu
    le
        faire
            à la
                suite de tests de compétences.
                > Non M. DEGOUAENE, tout cela n'est pas du racisme. la
    langue
            française
                est si riche qu'on peut trouver d'autres mots pour le
        qualifier.
            Sinon,
                qu'allons nous dire? Lorsque le mots n'existe pas, peut-on
        croire
            que le
                fait existe?
                > Nous cependant conscient de notre devoir de reserve en France
        ainsi
            que de
                l'honneur que vous nous faites en nous accordons votre amitié.
    Ce
        qui
            nous
                gêne bien plus que cela nous blesse, c'est la qualité de
    cette
            amitié. Je
                la compare à l'épaisseur du goudron étalé sur nos routes :
        Chaque
            fois -
                depuis l'indépendance - que nous faison appel à une société
            française,
                nous constatons que la couche est relativement mince. Nous nous
    voyons
            obligé
                de rappeller de la rappeller pour boucher les trous qui
    apparaissent à
        la
                moindre déformation du sol.
                > A côté de cela, nous n'avons à faire appel àdes
    sociétés
                yougoslaves et philippines qu'à une seule occasion et il y a
    bien
                longtemps. Le goudron est bien plus épais et leurs ouvrages
    restent
            toujours
                aussi solides que si elles en avaient achevé la construction la
        veille.
            Vous
                comprendrez sans doute que le ressentiment qu'éprouvent
    désormais
            quelques
                Gabonais envers quelques français n'a rien à voir avec le
        racisme. Il
                s'agit surtout de la manière dont s'est construite la
    quelité
        de
            la
                relation.
                > Vous avez dit que vous n'êtes pas un intellectuel,
    autrement
        que
                votre formation n'est pas universitaire. peut-être êtes vous
        plutôt
            un
                militaire. Si jamais l'envie vous vient de me punir
    physiquement
        pour
            ce que
                je dis, faites - le proprement en limitant autant que possible
            l'intensité
                et la durée de la douleur.
                > Par contre, si vous avez quelques sentiments pour les
    populations
        de
            notre
                pays, n'hésitez pas à mobiliser vos compatriotes pour que
    cesse
                l'indiférence que vous affichez face à l'oppression
        économique
            et
                juridique que nous subissons dans notre propre pays pour vous
    offrir
        cette
                qualité de vie.
                > Salutations cordiales.
                > MANGASS TTC
                > Christian MAYANDJI
                > Démarches-Gestion
                > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
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                >  CONVOYAGE EXPLOITATION
                > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                > EUROPE - AFRIQUE
                > 
                >
                >
                > --- En date de : Jeu 11.9.08, DEGAOUENE
    <protected at aol.com>
        a
            écrit
                :
                >
                >    De: DEGAOUENE <protected at aol.com>
                >    Objet: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité mais je
    ne
        me
            sens
                pas affamé,...
                >    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                >    Date: Jeudi 11 Septembre 2008, 22h06
                >
                >    ___________________________________________________________
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                >
                >    mes cher amis ,je lis avec beaucoup d'attention vos
    propos
        ,je
            ne
                suis pas
                >    un intellectuel comme vous ,mais vous me blessé en disant
    que
            nous
                Français
                >    nous sommes racistes!je suis aller au GABON plusieurs fois
            ,j'ai
                des amis
                >    chez vous et j'ai remarquer que se sont souvent vous
    qui
        avez
            des
                >    comportements racistes envers toutes sortes
    d'étrangers
        par
                ailleurs.
                >    La France reçois des étranger de tout pays qui sont
        respecter et
                protégés
                >    ,je pense que nous sommes un des pays au monde ou
        l'étranger
            est
                aussi si
                >    bien respecter.Je ne nie pas qu'il y ai des cas de
        racismes
                (intolérable)de
                >    descriminations envers les étranger,mais quelle socièté
    est
                parfaite?
                >    A part cela j'aime bien lire vos messages qui sont
    très
                intéressant! Mais
                >    je me garderai bien de juger la politique de votre pays!
                >    Amitiés a vous et a tout le peuple GABON AIS
                >




            ------------------------------

            Message: 2
            Date: Sun, 14 Sep 2008 04:56:14 -0400
            From: Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
            Subject: [BDPalabres] Re: Communiqué: Clarifications sur la phase
                insurrectionnelle et les Représentations nationales et
    internationales
                du BDP-Gabon Nouveau
            To: bdpalabres at bdpgabon.org
            Message-ID: <E1KenOw-00036w-KV at dchost.globalwebcompany.net>

            M. Le Président,
            Dr MENGARA,
           
            En parlant de travail, il y a quelques points sur lesquels vous
    n'avez
        pas
            apporter de clarifications. Je me demande comment dans le cadre
    d'une
            démarche insurectionnelle, vous pouvez faire en sorte que les Gabonais
        fassent
            l'économie des dérives à la congolaise. J'ai quelques photos
    de
        la
            boucherie qui s'est produite à Brazzaville lors du conflit entre
        Sassou et
            Lissouba. Je garde également des photos des évènements des années
    1990
        à
            Libreville. Il n'y a aucune mesure en matière de cruauté touchant
    les
            civils.
            Vous savez que nous ne pouvez pas mener la moindre action
    insurectionnelle
        sans
            toucher à l'infrastructure qui assure la protection de votre
        adversaire.
            Vous savez que ceux qui maîtrisent cette infrastructure
    n'hésiterons
        pas
            à réagir sans ménagement - et à toucher la population civile -
    ainsi
            qu'ils l'ont fait à Port-Gentil. Jusqu'à présent, les
    hommes
            politiques de l'opposition ont utilisé leurs sympatisants comme
    armes
        et
            comme boucliers humains. Comptez vous utiliser la meme stratégie
        suicidaire ?
            Avez vous les moyens d'assurer la protection de la population
    civile?
            Autrement dit, avez vous envisagé de mettre davantage l'accent sur
    des
            actions économiques et juridiques ? Il me semble en effet que la
    pression
            exercée par votre adversaire sur la population s'appuie fortement
    sur
        ces
            leviers ainsi que sur l'intimidation exercée par les services de
            renseignements. L'infrastructure militaire n'intervient souvent
            qu'en dernier recours, une efficacité renforcée par la couverture
    des
            forces étrangères établies sur notre territoire?
            Cordialement.
           
            MANGASS TTC
            Christian MAYANDJI
            Démarches-Gestion
            FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
            ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
            CONVOYAGE EXPLOITATION
            VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
            EUROPE - AFRIQUE
           


            --- En date de : Sam 13.9.08, Dr. Daniel Mengara
        <protected at bdpgabon.org>
            a écrit :

                De: Dr. Daniel Mengara <protected at bdpgabon.org>
                Objet: [BDPalabres] Re: Communiqué: Clarifications sur la phase
            insurrectionnelle et les Représentations nationales et internationales
    du
            BDP-Gabon Nouveau
                À: bdpalabres at bdpgabon.org
                Date: Samedi 13 Septembre 2008, 4h18

                ___________________________________________________________
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                Ne vous inquiétez point, ami Mayandji. Je ne pactiserai
    qu'avec le
            peuple
                gabonais. Au diable, donc, le diable.
                J'ai une foi inébranlable en l'HOMME. En faisant
    l'homme
        à
            son
                image, DIEU a voulu l'homme capable d'actes divins.
    C'est
        cette
                capacité, que nous appelons conviction (pour le bien) et amour (de
    son
                prochain) qui fait de nous la projection même du dessein divin sur
        terre,
            et
                nous arme contre les forces du mal. Libérer l'homme de ses
        entraves
                physiques et mentales, c'est en quelque sorte, et en fin de
    compte,
            faire la
                volonté de DIEU.

                Au travail, donc, cher ami.

                Daniel Mengara

                Christian MAYANDJI wrote:
                >
                >
                > Monsieur le Président,
                > Docteur MENGARA,
                > 
                > Vous prennez un mauvais chemin si vous envisagez la moindre
        hypothèse
            de
                pactiser avec le diable. Qu'est ce qui vous restera pour vous
            distinguer du
                pouvoir en place.? Votre victoire ne viendra que de votre foi en
    DIEU.
            Soyez en
                convaincu quel que soit votre inspiration du moment.
                > Salutations cordiales.
                >
                > MANGASS TTC
                > Christian MAYANDJI
                > Démarches-Gestion
                > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
                > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
                >  CONVOYAGE EXPLOITATION
                > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
                > EUROPE - AFRIQUE
                > 
                >
                >
                > --- En date de : Ven 12.9.08, BDP-Gabon Nouveau
                <protected at bdpgabon.org> a écrit :
                >
                >    De: BDP-Gabon Nouveau <protected at bdpgabon.org>
                >    Objet: [BDPalabres] Communiqué: Clarifications sur la
    phase
                insurrectionnelle et les Représentations nationales et
    internationales
        du
                BDP-Gabon Nouveau
                >    À: bdpalabres at bdpgabon.org
                >    Date: Vendredi 12 Septembre 2008, 20h42
                >
                >    ___________________________________________________________
                >    Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau.
        Vos
                messages
                >    apparaîtront une fois modérés.
                >    - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email,
    répondez
            tout
                simplement
                >    aux messages.
                >    - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page.
                >    ___________________________________________________________
                >
                >
                >    Communiqué: Clarifications sur la phase insurrectionnelle
    et
        les
                >    Représentations nationales et internationales du BDP-Gabon
            Nouveau
                >
                >    Lien sur le site:
                >   
             
         
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2008/09/12/communique-clarifications-sur-la-phase-insurrectionnelle-et-les-representations-nationales-et-internationales-du-bdp-gabon-nouveau/
                >
                >    Le BDP-Gabon Nouveau tient à clarifier un certain nombre
    de
                malentendus ayant
                >    trait au statut actuel de ses représentations politiques
    en
            France et
                dans le
                >    monde.
                >
                >    Nous rappelons à tous et à toutes que toutes les
            représentations
                OFFICIELLES
                >    du mouvement avaient été dissoutes et/ou suspendues en
        décembre
                2005 quand le
                >    mouvement a redéfini son idéologie pour s'engager
            ouvertement
                dans la
                >    préparation de la lutte insurrectionnelle.
                >
                >    A ce titre, les seules fonctions officielles (et visibles)
    au
        sein
            du
                mouvement
                >    demeurent, jusqu'à nouvel ordre, celles qui existent
    au
        sein
            de
                la
                >    Coordination Nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon même
    (en
            tant
                que point
                >    d'appui politique local non clandestin), le Mamba
    (Branche
            armée,
                >    clandestine) et le Comité Directeur (point d'appui
        externe,
                clandestin). Il
                >    y a aussi les deux porte-paroles du mouvement, notamment le
        Dr.
            Bruno
                Ella
                >    (Porte parole politique) et Curtis Bezauna (Porte parole
            militaire).
                >
                >    RAPPEL HISTORIQUE: Suite à la réélection frauduleuse
        d'Omar
                Bongo en
                >    novembre 2005, le BDP-Gabon Nouveau avait, entre autres,
        publié
            les
                >    communiqués suivants:
                >
                >    - 3 Décembre 2005: Création d'urgence du poste de
        Président
            du
                BDP-Gabon
                >    Nouveau, en remplacement de celui de Coordonnateur:
                >   
             
         
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/05/resolutions-de-la-reunion-durgence-du-comite-directeur-bdp-gabon-nouveau/.
                >
                >    - 5 Décembre 2005: Dissolution des structures existantes
    du
            BDP-Gabon
                Nouveau
                >    par le Président du BDP-Gabon Nouveau, et annonce du
    début
        de la
                phase de
                >    préparation insurrectionnelle du mouvement:
                >   
             
         
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/05/message-a-la-nation-du-dr-daniel-mengara-fini-le-temps-de-limpunite/.
                >
                >    - 9 Décembre 2005: Ralliement du Mamba au BDP-Gabon
    Nouveau
        comme
                branche
                >    militaire du mouvement:
                >   
             
         
       
    http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/09/le-mamba-se-rallie-devient-la-branche-armee-du-bdp-gabon-nouveau/
                >
                >    Tous ces textes se trouvent également dans notre vieux
    site
                désormais
                >    archivé sur ce lien:  http://www.bdpgabon.org/archives/, y
            compris le
                message
                >    audio enregistré par le Dr. Daniel Mengara pour
        l'occasion
            (Dès
                la
                >    première page, regardez les articles publiés en décembre
        2005
            et
                janvier
                >    2006). Vous pouvez aussi, sur notre nouveau site (actif
    depuis
            avril
                2008),
                >    cliquer sur l'année 2005 pour voir certains des
    articles
        que
            nous
                avons
                >    recopiés de l'ancien site et, ainsi, vous concentrer
    sur
        les
                articles
                >    publiés en décembre 2005 et janvier 2006. Le site du
    Mamba
                >    (http://www.lemamba.org) contient également des articles
            similaires.
                >
                >    Parce que les cellules et représentations du BDP-Gabon
        Nouveau
            sont
                dissoutes
                >    depuis décembre 2005, toutes personnes autres que les
        personnes
                citées plus
                >    haut qui parleraient, à titre officiel, au nom du
    BDP-Gabon
            Nouveau,
                feraient
                >    automatiquement preuve d'imposture. Par ailleurs,
    toutes
        les
                personnes qui
                >    parlent au nom du mouvement ne le font pas sur les forums,
        mais au
                travers de
                >    communiqués de presse publiés sur notre site
                (http://www.bdpgabon.org) à
                >    titre OFFICIEL. Sur les forums et ailleurs, les membres
    connus
        du
                BDP-Gabon
                >    Nouveau expriment leurs opinions personnelles en tant que
            citoyens,
                mais ces
                >    opinions n'engagent aucunement le mouvement. Parce
        qu'un
                mouvement
                >    n'est pas forcément monolithique dans sa pensée,
    chacun
        peut
                être libre
                >    de ses opinions sans toutefois remettre en cause les
    grandes
            lignes de
                >    l'idéologie de libération nationale du BDP-Gabon
        Nouveau,
            qui
                demeure le
                >    socle qui unit tous les partisans du changement véritable,
        sans
                particularisme
                >    ethnique, sans repli identitaire et sans  distinctions de
        sexe, de
                race ou
                >    d'origine.
                >
                >    La pensée officielle de notre mouvement reste donc
    clairement
                exprimée dans
                >    les divers articles et documents publiés sur notre site
    dans
        la
                rubrique ayant
                >    trait aux activités du BDP-Gabon Nouveau
                >    (http://www.bdpgabon.org/articles/category/bdp/; voir aussi
            archives,
                site 1:
                >    http://www.bdpgabon.org/index1.shtml et archives site 2:
                >    http://www.bdpgabon.org/archives/). Notre devise demeure :
        "
                Bongo Doit
                >    Partir, par tous les moyens possibles, pour la construction
            d'un
                Gabon
                >    nouveau ". Ce combat de libération nationale
    interpelle
        tous
            les
                fils et
                >    filles du Gabon et amis du Gabon qui pensent et disent que
        "
                Bongo Doit
                >    Partir ", toutes ethnies et toutes tendances
    confondues.
                >
                >    Ainsi :
                >
                >    -  que l'on soit Téké, Punu, Fang, Myéné ou autre,
    si
            l'on
                pense
                >    que " Bongo Doit Partir, par tous les moyens
    possibles,
        on
            est
                forcément
                >    du BDP-Gabon Nouveau.
                >    - Que l'on soit du BDP, de l'UPG, du PDG, du RDPG,
    du
        FUCR
            ou
                de tout
                >    autre partie ou structure politique, si l'on pense que
        "
                Bongo Doit
                >    Partir, par tous les moyens possibles, on est forcément du
            BDP-Gabon
                Nouveau.
                >    - Que l'on dirige une association, une entreprise, une
        famille
            ou
                une
                >    administration, si l'on pense que " Bongo Doit
        Partir,
            par
                tous les
                >    moyens possibles, on est forcément du BDP-Gabon Nouveau.
                >
                >    Telle est l'idéologie BDP, c'est-à-dire le point
    de
            pensée
                et de
                >    ralliement qui, s'étalant au-delà des personnes, des
        partis
            et
                des
                >    ethnies, affirme les principes rassembleurs du " Gabon
                d'abord "
                >    et les projette dans un engagement politique qui, parce que
            partagé
                par la
                >    majorité agissante ou silencieuse, pose comme condition
            principale du
                >    changement au Gabon le départ immédiat d'Omar Bongo
    du
            pouvoir.
                >
                >    A titre de résumé, donc, voici la structure actuelle du
            mouvement:
                >
                >    - Président du BDP-Gabon Nouveau
                >    > Dr. Daniel Mengara
                >
                >    - Comité Directeur
                >    > (Clandestin, USA)
                >
                >    - Coordination Nationale
                >    > (Représentation officielle, Gabon)
                >
                >    - Le Mamba
                >    > (Branche militaire, clandestin)
                >
                >    - Porte parole politique
                >    > Dr. Bruno Ella Nguéma
                >
                >    - Porte parole militaire
                >    > Mr. Curtis Bezauna
                >
                >    - Et un certain nombre de structures clandestines
    impliquées
        dans
            la
                >    préparation du combat insurrectionnel annoncé en
    décembre
        2005.
                >
                >    Toutes les personnes ayant occupé des fonctions
    officielles
        au
            sein
                du
                >    BDP-Gabon Nouveau restent, certes, membres de droit du
        BDP-Gabon
                Nouveau (sauf
                >    si démissionnaires), mais leurs opinions, en tant que
        citoyens
            libres
                de leurs
                >    opinions, n'appartiennent qu'à eux et
    n'engagent
                aucunement le
                >    BDP-Gabon Nouveau.
                >    Au moment opportun, le BDP-Gabon Nouveau réactivera ses
                représentations de
                >    par le monde. Pour le moment, notre stratégie vise
        principalement
            la
                >    préparation et à la consolidation de l'action
        clandestine
            autour
                de
                >    l'idéologie du combat de libération nationale. Au
    moment
        qui
                nous
                >    paraîtra opportun, nous solliciterons de nos membres
    (anciens
        et
                nouveaux) la
                >    réactivation OFFICIELLE des cellules BDP (nouvelles ou
            anciennes),
                soit sur la
                >    base de leur importance stratégique, soit dans le cadre
        global
                d'une
                >    politique de réofficialisation des cellules et
        représentations
                nationales et
                >    internationales du BDP-Gabon Nouveau. Dans ce contexte, des
                communiqués seront
                >    faits pour officialiser ces activations ou réactivations.
                >
                >    Evidemment, les adhésions individuelles de membres
    continuent
                activement et
                >    sans interruption (voir cette page :
                http://www..bdpgabon.org/adhesion/). Les
                >    personnes qui aujourd'hui adhèrent au BDP-Gabon
    Nouveau
        le
            font
                soit comme
                >    membres de la structure politique (clandestine ou
    officielle),
        ou
                alors comme
                >    combattants au sein du Mamba (structure clandestine). Etre
        membre
                combattant du
                >    Mamba fait automatiquement du combattant un membre du
        BDP-Gabon
                Nouveau.
                >
                >    Chaque Gabonais ou chaque membre du BDP-Gabon Nouveau (au
        Gabon ou
                dans la
                >    diaspora) est libre de créer une cellule de réflexion BDP
        dans
            son
                quartier,
                >    sa région, sa province, sa ville ou son pays de
    résidence.
        Le
                responsable
                >    d'une cellule ainsi créée se doit d'en informer
    la
            direction
                du
                >    mouvement pour qu'elle prenne acte de son existence.
        Toutes
            les
                cellules
                >    actuelles ou nouvelles gardent, toutefois, un caractère
            officieux. Le
                BDP-Gabon
                >    Nouveau décidera du moment où, pour raisons stratégiques
    ou
            autres,
                il
                >    procédera à l'officialisation des cellules à titre
        spécial
            ou
                général.
                >
                >    Le combat insurrectionnel reste d'actualité et sa
            préparation
                continue.
                >    Comme nous l'avions dit sur cette page du site du Mamba
    en
            2005
                >    (http://www.lemamba.org/content/view/46/67/), quand le
    Mamba
        sera
                prêt à
                >    commencer ses activités insurrectionnelles, un ultimatum
    de
        deux
                semaines sera
                >    lancé. Cet ultimatum aura pour but, d'une part, de
        laisser le
                temps aux
                >    populations gabonaises de s'organiser en faisant des
            provisions,
                et
                >    d'autre part, aux membres du régime Bongo qui veulent
            rejoindre
                le camp de
                >    la réforme d'en faire la démarche. Une fois les deux
            semaines
                >    d'ultimatum passées, le Mamba pourra, dès lors,
    lancer
        le
            début
                de la
                >    phase insurrectionnelle, au moment de son choix.
                >
                >    Comme le BDP-Gabon Nouveau l'a toujours dit, rien de
    bon
        ne
            peut
                plus se
                >    passer au Gabon tant qu'Omar Bongo sera au pouvoir. Le
            changement,
                >    contrairement à ce que disent les chantres de la
        convivialité et
            des
                >    rapprochements avec Bongo, ne viendra pas au Gabon par les
        urnes.
                Seule une
                >    stratégie insurrectionnelle viendra à bout du bongoïsme
    au
            Gabon.
                >    L'insurrection, que l'on le veuille ou non, se fera
    au
            Gabon,
                même si
                >    pour cela le BDP-Gabon Nouveau doit pactiser avec le
    diable.
        Ce
                n'est donc
                >    pas une question de "si", mais plutôt une
    question
        de








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