[BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité mais je ne me sens pas affamé,...

Christian MAYANDJI protected at yahoo.fr
Dim 14 Sep 04:54:16 EDT 2008


Marcel,
 
Au démarrage d'un projet, la probabilité que l'on a d'atteindre les objectifs fixés est de moins de 50 %. Lorsqu'on entre dans la phase d'étude préliminaire et d'analyse fonctionnelle du projet, on peut faire baisser le niveau de risques à 20-25 %. Lorsqu'après avoir fait la selection des ses partenaires et définit avec eux les cahiers de charges de leurs interventions, chacun passe à une phase d'étude technique de son lot de travail, on arrive à un niveau de risques de 5 %. Ce niveau se réduit au fur et à mesure qu'on progresse car on bénéficie de l'effet d'apprentissage et du retour sur expérience. C'est la raison pour laquelle il faut acquérir un minimum d'outils avant de se lancer dans quoi que ce soit.
Je n'ai pas choisi de quitter mon pays pour fuir l'oppression. Autrement, je n'y reviendrais pas tous les ans et je n'y passerais pas le tiers ou la moitié de l'année. Mon père était militaire. A son contact, j'ai appris à anticiper ou à réagir dans les conditions extrêmes. Je crois que je me sens plus efficace en situation de crise. En quittant l'aéroport Léon Mba, je savais que je ne pouvais pas me contenter de ramener uniquement un diplome dans mon pays. Je savais aussi que lorsqu'on veut progresser, il faut aller chercher la connaissance et l'expérience ainsi que les moyens chez ceux qui constituent le modèle de réussite et de puissance. C'est ce qu'ont fait les ressortissants des pays que vous avez cités. Je suis le même exemple. Vous pouvez en faire autant. Ensuite, il faut diffuser les fruits de notre expérience dans la société. C'est comme cela que les personnes s'impregnent des technologies diffusées ailleurs, apprenent à travailler ensemble dans des ateliers, puis dans des usines.
J'aurai souhaité construire des usines dans mon pays, les mettre en exploitation en recrutant autant de ressortissants gabonais que possible. J'aurai souhaité faire la même chose avec des exploitations agricoles. Tout cela m'est techniquement possible. Pourtant je me rends compte que mes compatriotes - en commençant par vous - ne sont pas encore prêts à optimiser l'exploitation des investissements d'un niveau industriel. L'échec des projets ou de certaines réalisations industrielles s'expliquent soit par des choix d'investissements inappropriés, soit par des fautes de gestion (détournements de fonds), soit par des évolutions défavorables des marchés cibles, mais aussi par les contre-performances des ressources humaines. Elles ne sont pas prête à travailler efficacement dans des grands ensembles industriels. Allez rencontrer indiféremment des responsables gabonais ou expatriés d'entreprises comme je l'ai moi-même fait avant de l'expérimenter : ils vous diront que la même d'oeuvre gabonaise n'est pas compétitive, ni suffisamment réactive. Ils ne l'emploient que pour les travaux s'inscrivant dans le cadre des cahiers de charges fixés par l'Etat gabonais. Autrement, ils pourraient s'en passer comme les chinois l'ont fait en construisant nos batiments publics.
Vous vous sentez obligé de vous reconnaître des tares. Vous avez raison. Vous en avez de bien grandes, et moi aussi. S'il vous plaît, aidez moi à transformer ces tares en qualités humaines et techniques, sans nous tirer dans les pattes. Nous en sortirons mutuellement gagnants. Vous voulez que je me concentre sur la président de la République. Le docteur MENGARA et d'autres le font déjà bien pour nous tous. Pourquoi perdre de l'énergie ? Dans une organisation efficiente chacun peut se concentrer sur ce qu'il sait faire au mieux. Je crois que je peux vous être utile en vous envoyant des ciseaux. J'essaie de le faire au mieux. J'espère que vous en êtes satisfait.
Vous parlez de respect. Croyez bien que chaque fois que je me suis trouvé "un petit boulot", je n'ai pas eu le sentiment d'être humilié. Je me suis mis en situation d'apprentissage et je me suis sentis épanouie. J'ai tiré le maximum de connaissances techniques possibles dans l'espoir de les partager, un jour, avec vous et d'autres compatriotes. Je désespère car je crois que vous dû vous offrir encore quelques régabs avant de prendre le temps de me repondre. Alors, vous ne prenez pas la peine d'analyser ce que je dis et vous cherchez à me coller une image dans laquelle je ne me reconnais pas. Heureusement qu'il y a d'autres personnes qui me lisent et qui ont compris, mieux que vous, ce que j'essaie de communiquer. Cela me permet de comprendre qu'en ce qui concerne l'état mental des populations gabonaises, je ne dois surtout pas généraliser. Je dois continuer à observer, trier et commencer à travailler avec ceux qui commencent à comprendre. Les autres, comme vous, prendront le train en marche.
En attendant, salutations cordiales.
 
MANGASS TTC
Christian MAYANDJI
Démarches-Gestion
FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES 
ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
 CONVOYAGE EXPLOITATION
VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
EUROPE - AFRIQUE
 


--- En date de : Sam 13.9.08, Marcel Mabongo <protected at yahoo.com> a écrit :

    De: Marcel Mabongo <protected at yahoo.com>
    Objet: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité mais je ne me sens pas affamé,...
    À: bdpalabres at bdpgabon.org
    Date: Samedi 13 Septembre 2008, 3h29

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    Monsieur Mayandji, vous continuez à tourner en rond.
    Manifestement, vous n'avez encore pas dépassé le state de la
    superficialité. Tout votre propos est la manifestation de la mentalité
    d'esclave dans laquelle les Africains baignent.
    Votre seule explication aux problèmes des Africains en France reste limitée
    à ce que les autres vous font. Tout cet étalage se résume à cette bizarre
    conclusion que vous semblez avoir trouvée, c'est-à-dire que tout ce qui
    arrive au Africains en France, c'est la faute des Français.
    Est-ce que vous vous êtes un peu demandé si le problème qui fait que les
    Africains soeint au bas de l'échelle me vient pas de nos propres tares et
    non des autres? Vous attendez qu'on vous serve le respect sur un plat
    d'argent. Mais non Monsieur Mayandji, le respect ne se donne pas, le respect
    se gagne. En tant qu'historien, vous devriez pourtant savoir que
    l'histoire n'est jamais un accident. Regardez comment tous les peuples
    jadis traités comme des animaux par les occidentaux sont aujourd'hui
    respectés et même craints par les occidentaux (Chine, Inde, Indonésie, etc.).
    ces pays, il ya 40 ans, étaient plus pauvres que les pays Africains.
    Aujourd'hi, ce sont des puissances économiques. VOus qui êtes historien,
    pourquoi ne vous demandez-vous pas pourquoi le noir vient en dernier derrière
    les Français. les Chinois, les indiens, les portugais et les Arabes? C'est
    pourtant dans l'histoire, non pas de la victimisation des Africains, mais
    plutôt des incapacités des Africains, que se trouve l'explication. On en a
    marre de cette mentalité qui ne nous fera jamsi évoluer. Voilà pourquoi les
    blancs nous considèrent comme des enfants.
    VOus restez attaché par le cou à la prison des incohérences africaines qui
    nous retardent alors que les autres avancent. Au moment où les autres ont fini
    par conquérir leur respect par des ACCOMPLISSEMENTS qui les ont élevés au
    statut d'HOMMES, nous africains, nous attendons que les autres nous offrent
    le respect comme on donne un os à un chien. Vous allez vivre dans le pays de
    quelqu'un à cause des animalités de votre propre président, et c'est
    la faute des Français? Au lieu de demander de scomptes à BONGO, lui qui vous a
    appauvri au point de causer vos émigrations, vous ne trouvez rien à redire.
    Pendant que BOngo nous b... par le trou du c...., on préfère s'en prendre
    aux français. INCROYABLE!
    Pourquoi ne pas retourner en Afrique si vous ne voulez pas subir les
    humiliations? Au moment où les autres ont conquis le respect par de vrais
    actes, nous, nous continuons les sempiternels pleurnichements. Oh, racisme ceci,
    les Franças cela, oh mur de verre ici, oh injustice par là. Mais que dites
    vous de l'injustice PRIMAIRE, celle faite aux Gabonais par Omar Bongo? Que
    dites vous qui puisse faire réparer cette injustice de BONGO pour qu'on ait
    plus à aller se faire humiler chez les blancs. regardez les grandes places
    immobilières et financières que deviennet des pays arabes comme les Emirats
    Arabes, le Kowet, etc. Regardez l'indolence des Africains et les
    incapacités de rois nègres comme Bongo. Et pour vous, c'est au Français
    qui acceuillent les msières causées par BONGO, de nous montrer le respect?
    Si vous voulez mon opinion, les Français peuvent nous traiter comme des
    chiens, nous n'avons pas le droit de nous plaindre. Car ils n'y a que
    des chiens qui fuient leur pays parce qu'ils sont incapables de se
    débarasser de leur dictateur, et vont en France reprocher aux Français leur
    racisme. NOus méritons ce racisme car nous ne sonnes pas des hommes.
    Croyez vous que c'est la France qui nous a appelés vivre chez eux? Si nous
    y sommes, c'est à cause de Bongo. Un vrai homme, au lieu de s'attaquer
    aux Français, devrait plutôt se poser la question de savoir ce qu'il doit
    faire pour créer les conditions qui feraient que lui-même et ses enfants
    n'aient plus besoin d'aller se faire humulier en France. La réponse à
    cette question, c'est en finir avec la personne qui nous force à quitter le
    pays à la recherche de cieux meilleurs, c'est-à-dire Omar Bongo.
    Et si la FRance soutient Bongo contre le peuple gabonais, alors les Gabonais
    doivent se montrer capable de mourir pour leur dignité. Tous les peuples qui
    aujourd'hui sont dignes et puissants ont commencé par le sacrifice
    national. Ils se sont refusés à la domination des autres et par cette fierté,
    ils se sont construits de vraies nations. BONgo n'a jamais eu de fierté
    nationale, alors ils traite ses concitoyens pire que les Français. Mais des
    gens comme vous, MOnsieur Mayandji, vous attendez non seulement que ce soit la
    France qui vous donne le respect. Vous attendez aussi que ce soit la France qui
    viennne vous libérer de Bongo.
    je ne vois pas dans vos écrits le raisonnement de quelqu'un ayant
    dépassé le stade des primaires. VOus êtes de la philosophie qui dit que
    l'enfer c'est les autres, alors que notre enfer, en tant
    qu'africains, c'est nous mêmes. Au Gabon, notre enfer, c'est Bongo
    et toute la clique de voyous dont il s'est entouré. C'est à eux la
    faute de nos humiliations en France, pas les françsis.
    Commencez par vous libérer du bongoïsme et vous verrez que peut-être que
    vous pourrez éviter à vos enfants l'humiliation d'aller en France
    balayer les rues avec un doctorat en poche qui aurait pu aider le Gabon.
    je sais, dans votre dernier message, vous m'avez dit de me la fermr car
    vous avez dit que je ne maîtrise rien et que je ne vaut rien devant votre
    quintescence. Mais comme vous parlez trop en termes de MOI, MOI, MOI, et que
    vous n'arrivez pas à lier votre humiliation en France avec les malheurs que
    notre despote au Gabon génère, c'est que vous n'avez guère plus
    évolué que les paysans et les jeunes à qui vous envoyez des ciseaux au Gabon.
    Attention à vos émotions, car vous m'avez déjà traité de moins armé
    intellectuellement que vous. Si l'émotion l'emporte encore cette fois,
    vous risquerez de continuer à tourner en rond avec une réflexion embrumée par
    l'énervement. J'essaie juste de vous aider à mieux y voir clair car je
    pense que vous n'avez pas encore réalisé le saut mental comme
    quelqu'un aime à le dire ici.
    Mais surtout, attendion à la grosse tête car c'est ça qui créé
    l'intolérence chez les hommes qui pensent que être dans un débat,
    c'est s'admirer devant les autres et quand on ose dire quelque chose de
    contradictoire, l'émotion l'emporte. Maitrisez vos émotions si vous
    voulez débattre avec les idées claires. Pour le moment, vous n'avez pas
    plus évolué que les pauvres auxquels vous envoyez des voitures. Voilà
    pourquoi vous êtes capables de me sortir quelque chose comme "vérifier
    que je maîtrise quelques outils de base lorsque je souhaite m'engager sur
    certains sujets". Je suppose que vous maitrisez tellement tous les sujets
    que plus personne ne peut plus trouver à redire à vos brillances. Soit!

    Marcel

    Christian MAYANDJI wrote:
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    >
    > M. DEGAOUENE,
    >  
    > Je vous demande pardon pour avoir blessé car ce n'était pas notre
    intention, ni de juger la politique de votre pays. En fait, le racisme n'est
    pas le sujet de notre discussion. Même si cela avait été le cas, nous nous
    battons pour l'extirper avec la même vigueur aussi bien au Gabon
    qu'ailleurs. A vrai dire, il ne me vient pas à l'idée d'évoquer
    les situations de discrimination dans le cadre du racisme. Je suis historien de
    formation et on nous as enseigné qu'on ne peut pas considérer
    l'appartenance de catégories d'invidus à une communauté par la
    caractéristique - la couleur - de leur peau. Il y a bien d'autres critères
    qui permettent de nuancer ces distinctions. De plus l'humanité a fait des
    progrès depuis l'abolition de l'esclave : si la candidature d'un
    afor-américain à la présidence des Etats - Unis constitue un évenement, qui
    peut oublier que la France a eu un président du Sénat également issu des
    descendants d'esclaves d'origine négro - africaine. Qui s'étonnera
    du fait que malgré les scores de M. LEPEN au présidentielles, il y ait très
    bientôt un président de la République Française issu de l'immigration
    récente? Pourquoi pas de l'Afrique Subsaharienne. Il y a après tout une
    telle proximité.
    > Pour l'instant dans le batiment en france, les négro - africains sont
    nécessairement des manoeuvres quel que soit le niveau de leur formation
    initiale. Ils sont surveillés par les arabes du Maghreb. A leur tour, ces
    derniers obeissent aux Portugais et aux Espagnols. Puis viennent les Français.
    On peut retrouver cette organisation pyramidale dans d'autres secteurs
    professionnels. Mais ce n'est pas moi qui le constate, ce sont les fruits
    des recherches menées par un Français "de souche" dans le milieu du
    batîment. Même là aussi, il y a des progrès. les africains méritants
    peuvent créer des entreprises sous-traitantes et les mettre à la disposition
    des donneurs d'ordres. Combien de Français acceptent de se faire embaucher
    dans ces entreprises et de se mettre sous les ordres et à la disposition
    d'un patron négro africain? Cela n'est-il pas également vrai au Gabon?
    Là-bas, les français sont des consultants ou directeurs, cadres. Je n'en
    connais pas beaucoup qui soient agents de maitrise, encore moins manoeuvre,
    caissières de supermarché à moins d'être mariée au patron.
    > Pour ma part, quand je parle de mur de verre, j'évoque du vécu.
    Combien d'Africains majors de promotion se sont vu refuser des stages en
    entreprises alors que leurs collègues français étaient acceptés en moins
    d'une semaine après l'envoi de leur candidature. Quant aux postes en
    entreprises, je suis étonné que meme des entreprises ayant des filiales
    exerçant au Gabon ne se privent pas de faire la fine bouche. Je ne parlerai pas
    des filières de formations dont on écarte les africains après un entretien ou
    des "tests psychologiques" lorsqu'on n'a pas pu le faire à la
    suite de tests de compétences.
    > Non M. DEGOUAENE, tout cela n'est pas du racisme. la langue française
    est si riche qu'on peut trouver d'autres mots pour le qualifier. Sinon,
    qu'allons nous dire? Lorsque le mots n'existe pas, peut-on croire que le
    fait existe?
    > Nous cependant conscient de notre devoir de reserve en France ainsi que de
    l'honneur que vous nous faites en nous accordons votre amitié. Ce qui nous
    gêne bien plus que cela nous blesse, c'est la qualité de cette amitié. Je
    la compare à l'épaisseur du goudron étalé sur nos routes : Chaque fois -
    depuis l'indépendance - que nous faison appel à une société française,
    nous constatons que la couche est relativement mince. Nous nous voyons obligé
    de rappeller de la rappeller pour boucher les trous qui apparaissent à la
    moindre déformation du sol.
    > A côté de cela, nous n'avons à faire appel àdes sociétés
    yougoslaves et philippines qu'à une seule occasion et il y a bien
    longtemps. Le goudron est bien plus épais et leurs ouvrages restent toujours
    aussi solides que si elles en avaient achevé la construction la veille. Vous
    comprendrez sans doute que le ressentiment qu'éprouvent désormais quelques
    Gabonais envers quelques français n'a rien à voir avec le racisme. Il
    s'agit surtout de la manière dont s'est construite la quelité de la
    relation.
    > Vous avez dit que vous n'êtes pas un intellectuel, autrement que
    votre formation n'est pas universitaire. peut-être êtes vous plutôt un
    militaire. Si jamais l'envie vous vient de me punir physiquement pour ce que
    je dis, faites - le proprement en limitant autant que possible l'intensité
    et la durée de la douleur.
    > Par contre, si vous avez quelques sentiments pour les populations de notre
    pays, n'hésitez pas à mobiliser vos compatriotes pour que cesse
    l'indiférence que vous affichez face à l'oppression économique et
    juridique que nous subissons dans notre propre pays pour vous offrir cette
    qualité de vie.
    > Salutations cordiales.
    > MANGASS TTC
    > Christian MAYANDJI
    > Démarches-Gestion
    > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES 
    > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
    >  CONVOYAGE EXPLOITATION
    > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
    > EUROPE - AFRIQUE
    >  
    >
    >
    > --- En date de : Jeu 11.9.08, DEGAOUENE <protected at aol.com> a écrit
    :
    >
    >     De: DEGAOUENE <protected at aol.com>
    >     Objet: [BDPalabres] Re: Je suis dans la précarité mais je ne me sens
    pas affamé,...
    >     À: bdpalabres at bdpgabon.org
    >     Date: Jeudi 11 Septembre 2008, 22h06
    >
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    >
    >     mes cher amis ,je lis avec beaucoup d'attention vos propos ,je ne
    suis pas
    >     un intellectuel comme vous ,mais vous me blessé en disant que nous
    Français
    >     nous sommes racistes!je suis aller au GABON plusieurs fois ,j'ai
    des amis
    >     chez vous et j'ai remarquer que se sont souvent vous qui avez des
    >     comportements racistes envers toutes sortes d'étrangers par
    ailleurs.
    >     La France reçois des étranger de tout pays qui sont respecter et
    protégés
    >     ,je pense que nous sommes un des pays au monde ou l'étranger est
    aussi si
    >     bien respecter.Je ne nie pas qu'il y ai des cas de racismes
    (intolérable)de
    >     descriminations envers les étranger,mais quelle socièté est
    parfaite?
    >     A part cela j'aime bien lire vos messages qui sont très
    intéressant! Mais
    >     je me garderai bien de juger la politique de votre pays!
    >     Amitiés a vous et a tout le peuple GABON AIS
    >





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