[BDPalabres] red'cost : premier forum Exposition de l'optimisation des coûts

Christian MAYANDJI protected at yahoo.fr
Jeu 4 Sep 23:01:17 EDT 2008


Chers compatriotes,
 
Le premier forum exposition de l'optimisation des coûts se tient le 16 et 17 septembre 2008 à la porte de versaille - Paris Expo - Hall 5.1. Vous trouverez tous les détails et la liste des intervenants sur www.redcost-paris.com  . Les organisateurs de cette manifestation nous proposent 200 solutions pour maîtriser nos coûts.
 
J'aimerais inviter le plus grand nombre de compatriotes à y assister collectivement ou individuellement et ne pas hésiter à échanger quelques idées sur le net. Je souhaite également que nous puissions participer ensemble à d'autres salons professionnels et envisager ultérieurement d'y tenir nos propres stands pour
- présenter les richesses de notre pays et rencontrer des partenaires économiques; 
- découvrir les modes d'exploitation de ces richesses que nous pouvons maîtriser en tant que citoyens capable d'initiative, et non pas nécessairement dans le cadre des initiatives folkloriques engagées par la clientèle du "grand camarade - chef de l'Etat" pour satisfaire son ego.
 
Cette manisfestation n'a pas apparemment pas grand chose à voir avec ce qui fait le sujet de nos contributions à nos forums. J'espère surtout que nous allons nous "laver un peu la tête" et découvrir progressivement des méthodes et des moyens qui nous permettraient de résoudre progressivement, individuellement et/ou collectivement un certain nombre de problèmes vécus ou posés par nos populations, en attendant le "grand soir".
 
N'hésitons pas à nous donner rendez vous pour nous enrichir mutuellement et collaborer sur quelques projets chers à l'opposition.
 
Cordialement.
 


 
MANGASS TTC
Christian MAYANDJI
Démarches-Gestion
FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES 
ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
 CONVOYAGE EXPLOITATION
VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
EUROPE - AFRIQUE
 


--- En date de : Jeu 4.9.08, P. Anvame <protected at yahoo.fr> a écrit :

    De: P. Anvame <protected at yahoo.fr>
    Objet: [BDPalabres] Re : ADZE:VOICI MON NOUVEAU NEVEU (OYEMBO OTIMBO Sothene)
    À: bdpalabres at bdpgabon.org
    Date: Jeudi 4 Septembre 2008, 16h16

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    Enfin du bon sens dans vos propos, MMe Félicité.
    C'est comme ça que les gens de bon sens parlent.
    Je me souviens de l'époque où vous étiez Représentatnte du BDP avant
    que le BDP ne suspende toutes ses représentations en 2006, vous aviez fait du
    bon travail pour la tournée du patriote à Paris, j'y étaits. Mais
    j'ai l'impression que vous avez un peu changer depuis l'époque.
    C'est dommage car vous avez des choses à contribuer aux Gabon votre
    expérience dans les associations en France. Mais ça va parce que vous êtes
    citoyenne libre de ses pensées. Et comme vous n'occupez plus de fonction au
    BDP depuis la suspension annoncée par le BDP de ses représentations en 2006,
    vous êtes libre de vous exprimer comme vous voulez sur n'importe quel
    sujet. Cela n'engage que vous. J'apprécie que vous avez eu la
    courtoisie de bien répondre à Mayandji comme il faut, avec politesse. on peut
    ne pas être d'accord, mais on peu au moins se respecter. J'espère que
    le BDP va réactiver ses cellules dans le monde c'était bien de pouvoir
    retrouver des Gabonais dans les pays où on vit et discuter ensemble.

    Alice Vincent a écrit:
    >
    >
    > Monsieur christian Mayandji, cher compatriote,
    >  
    >
    > Le fameux mal gabonais réside peut-être dans une sorte d'angoisse,
    une peur confuse de l'avenir qui conduit tout droit à la désillussion. En
    économie comme en psychologie, dans le for intérieur comme dans la vie
    publique, c'est pareil. Nous avons oublié la chemin de la confiance.
    Certes, il y a de quoi s'inquiéter, des angoisses, des précarités, cette
    incertitude massive qui plane. Mais la bonne résolution de rentrée, c'est
    peut-être dire stop à la défiance. Pour remettre en mouvement ce qui peine en
    chacun de nous, arrêtons un peu de nous prendre la tête. Essayons de retrouver
    la fraîcheur naïve de la foi, cette simplicité qui permet de s'ouvrir à
    la beauté des choses. En un mot, le nodal de la capacité de
    s'émerveiller.
    >
    > En Amérique, on espère en s'émerveillant.  On pourrait
    s'inspirait des Américains.
    >
    >  
    >
    > Alors Shalom ! Que la paix soit avec vous.
    >
    >  
    >
    > Mes sincères et cordiales salutations distinguées.
    >
    >  
    >
    >  
    >
    > Félicité Vincent
    >
    > ----- Message d'origine ----
    > De : Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
    > À : bdpalabres at bdpgabon.org
    > Envoyé le : Mercredi, 3 Septembre 2008, 0h49mn 41s
    > Objet : [BDPalabres] Re: Accusé de reception
    >
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    >
    > Mme Alice Vincent,
    >
    > Vous ne pouvez imaginer combien je suis heureux de savoir que vous ayez
    fait le choix de l'initiative privée pour vous épanouir
    professionnellement. C'est un choix risquée et inspiré. Ce choix me parait
    réussir au gabonaises qui veulent bien s'investir dans ce domaine en
    France. Je compte moi-même quelques membres de ma famille qui ont fait ce choix
    et qui s'en sortent dans la discrétion. Alors, je dois me permettre de vous
    féliciter : vous êtes, dans une certaine mesure, un modèle pour tous, y
    compris pour moi.
    > Je crois que nous souhaitons tous voir le Gabon se projetter vers un
    meilleur avenir. Cela est possible, même si les ressources naturelles
    s'épuisent. l'essentiel au final, c'est la qualité des ressources
    humaines : il suffit de prendre le cas de la Suisse, du Japon qui ont des
    économies florissantes, sans avoir des ressources humaines. Ces pays le doivent
    à la manière dont les ressortissants ont monté et organisé les activités
    qu'ils ont choisi de développer chez eux.
    > Je crois qu'il est important pour chacun de nous de reprendre la
    maîtrise des activités de notre pays. C'est grâce à cela que nous
    arriverons à mieux contrôler et repartir les revenus qui en découlent. Pour y
    arriver, il me parait essentiel de ne pas se tirer dans les pattes unitilement.
    Les chantiers à réaliser dans notre pays sont trop importants pour que nous
    puissions nous permettre ce luxe. Vous avez noté - vous - même que nous avons
    des sujets d'intérêt communs et qui présentent également une certaine
    importance pour notre pays. Pourquoi ne pas concentrer notre énergie à
    approfondir ces questions et à mettre en oeuvre ce qui est possible ? Je suis
    certain que, de cette manière, nous apporterons une contribution décisive au
    projet politique que le Professeur MENGARA et d'autres hommes politiques -
    honnêtes et pleins de bonne volonté -  souhaitent pour le Gabon.
    > La paix sociale et la justice - le respect des droits de chacun et de tous
    - sont une condition essentielle pour construire la prospérité et satisfaire
    les besoins de notre pays.
    > Je vous invite au nom de ces valeurs à faire la paix.
    > Cordialement.
    >
    > MANGASS TTC
    > Christian MAYANDJI
    > Démarches-Gestion
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    > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
    > CONVOYAGE EXPLOITATION
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    > EUROPE - AFRIQUE
    >
    >
    >
    > --- En date de : Mar 2.9.08, Alice Vincent <protected at yahoo.fr> a
    écrit :
    >
    >     De: Alice Vincent <protected at yahoo.fr>
    >     Objet: [BDPalabres] Re: Accusé de reception
    >     À: bdpalabres at bdpgabon.org
    >     Date: Mardi 2 Septembre 2008, 1h36
    >
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    >     Chers compatriotes,
    >    
    >     Je suis chef d'entreprise, je sais  comment ça fonctionne un
    process ,
    >     dans un processus de management, d'un projet.
    >     J'ai élaboré un projet de coopération décentralisée avec la
    ville de
    >     Port Gentil, accord signé en présence de Madame Honorine Dossu Naki
    >     l'ancienne ambassadrice du Gabon en France. Rédactrice en chef de
    >     l'affiche du Dr Mengara de sa tournée du Patriote France etc...
    >     Dans un processus politique, il faut des femmes, des hommes, une
    équipe et
    >     l'adhésion du peuple qui adhère à un nodal, qui sera un socle.
    >    
    >     Bien à vous,
    >    
    >     Félicité Vincent
    >
    >    
    >
    >     ----- Message d'origine ----
    >     De : Christian MAYANDJI <protected at yahoo.fr>
    >     À : bdpalabres at bdpgabon.org
    >     Envoyé le : Vendredi, 29 Août 2008, 15h33mn 35s
    >     Objet : [BDPalabres] Re: Accusé de reception
    >
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    >
    >     Au Professeur MENGARA
    >     Coordonateur du mouvement BDP
    >
    >     Cher Professeur,
    >
    >     Je me suis promis de ne pas vous prendre en traitre et, surtout, de ne
    pas
    >     nourrir toute polémique nous entrainant vers les dérives que je
    dénonce
    >     depuis que je participe à ce forum.
    >     Je me suis permis de reprendre les points que vous avez abordés par
    thèmes
    >     progressifs et je vous propose de vérifier la conformité avec les
    sujet de
    >     préoccupations que vous avez exposés.
    >     Merci de bien vouloir me reprendre avant que je ne vous propose mon
    point de
    >     vue.
    >
    >     Cordialement.
    >
    >     -------------------------------
    >
    >
    >
    >     Préambule : Argumentaire comme témoignage des tares de
    l’opposition
    >     gabonaise
    >
    >
    >
    >     I - Contradictions :
    >
    >
    >
    >     1 - Différence de la démarche avec les « petits pas ciblés »  de
    >     l’intérieur du régime de MBA ABESSOLE ou de MAMBOUNDOU « qui
    souhaite
    >     éviter la guerre ou la violence » ;
    >
    >
    >
    >     2 - Meilleure organisation en contradiction avec la théorie des «
    petits pas
    >     » : précipitation de TOUT
    >
    >
    >
    >
    >
    >     II – Vérité absolue
    >
    >
    >
    >     1 - Détention de la vérité absolue ou de la science infuse /
    brasser du
    >     vide, du vent : propos populistes ?
    >
    >     2 - Opposition « inepte » ou déficiente / savoir mieux pour
    résoudre la
    >     problématique gabonaise ?
    >
    >     3 – L’inorganisation de l’opposition : « faute de tout ceux qui
    >     critiquent l’ineptie »
    >
    >
    >
    >     III – Renforcement de la capacité de l’opposition par création
    ou
    >     adhésion
    >
    >
    >
    >     1-    Auto – création d’une opposition nouvelle pour satisfaire
    aux
    >     exigences d’une meilleure organisation : non, car il ne faut pas
    ajouter la
    >     division à la division, gaspiller moins les ressources disponibles y
    compris
    >     humaines, recherche d’une meilleure efficacité.
    >
    >     2-    Engagement aux côtés de l’opposition actuelle et partager
    sagesse
    >     et/ou potentiel de réussite
    >
    >     3-    Tares du nouvel opposant et « produits du bongoïsme » :
    croire pouvoir
    >     faire avancer la cause gabonaise en critiquant dans l’ombre ceux qui
    >     s’aventure dans l’opposition ouverte et radicale
    >
    >     4-    Oui à l’échec indépendante de notre volonté, non au
    >     renoncement/découragement pour tout citoyen responsable : organisée
    ou non,
    >     rien ne garantit la réussite de l’opposition.
    >
    >
    >
    >     IV – Principe de l’Opposition
    >
    >
    >
    >     1 - Principes
    >
    >     a – Ne pas détenir la science infuse ou des solution toutes faites.
    >
    >     b – Capacité à assumer le rôle de défense des intérêts
    citoyens.
    >
    >     c – Capacité de mobiliser et étendre la conscience des intérêts
    citoyens
    >     aux générations futures/éviter la cassure générationnelle dans la
    >     continuité des engagements
    >
    >     d – Eviter l’individualisme aussi au sommet de l’Etat qu’au
    niveau
    >     citoyen, encourager l’utilité sociale
    >
    >    
    >
    >     2 – Démarches : opposition, produit d’une culture politique
    (exemple de
    >     l’histoire des 4 cibles et du fusil à 3 coups)
    >
    >     a – Procéder par tâtonnement ;
    >
    >     b – Procéder par hypothèse ;
    >
    >     c – S’engager ou épauler ceux qui s’engagent (prendre la
    relève ou
    >     donner les béquilles aux combattants qui ne tiennent plus debout tout
    seuls) ;
    >
    >     d - en cas d’échec, susciter l’engagement des générations
    présentes ou
    >     futures
    >
    >     e - Contribuer ouvertement au sein de l’opposition déficiente ou
    par une
    >     opposition nouvelle (brayer dedans et non dehors)
    >
    >
    >
    >     V – Buts de l’opposition : tentative stratégique pour un espoir
    – et non
    >     une certitude - de réussite (exemple de l’opérateur de
    mitrailleuse usant
    >     d’une centaine de balles sur une cible)
    >
    >
    >
    >     1 – Tenter le changement : chasser le Chef de l’Etat en titre 
    (fut –il
    >     un usurpateur) et commencer la Reconstruction du pays ;
    >
    >     2 – Continuer le combat pour la dignité et le Redressement de
    l’opposition
    >     ;
    >
    >     3 – « La victoire » considérée comme la solution finale : «
    Sous la rage
    >     des années de brimades subies, le citoyen lambda étrangle le chef de
    l’Etat
    >     et le pend à un arbre, pour les vautours. Le pays est libéré » ;
    >
    >     4 – Le mausolée comme récompense de l’héroïsme patriotique
    pour les
    >     acteurs du changement
    >
    >
    >
    >     VI – Les risques inhérents au renoncement ( affirmation ou
    pérennisation de
    >     la situation de passivité et d’immobilisme) de l’opposition
    >
    >
    >
    >     1 – Persistance de l’ineptie de l’opposition et des critiques
    >     incantatoires
    >
    >
    >
    >     2 -  Cercle vicieux  de conséquences désastreuses :
    >
    >     a – refus de l’engagement des auteurs des critiques ;
    >
    >     b – accentuation de la désorganisation et effondrement de
    l’opposition ;
    >
    >     c – défaut de ressources publiques (épuisement des gisements des
    matières
    >     d’extraction/stratégiques) et ressources propres (absence de
    revenus du
    >     travail et de transfert), coût élevé de la vie,
    >
    >     d – rupture d’approvisionnement du fait de la déficience du
    système de
    >     santé
    >
    >     e – anéantissement inexorable des citoyens par décès prématurés
    >
    >
    >
    >     VII – L’essentiel : l’opposition – au Gabon ? -  ne peut être
    vue
    >     comme une aventure sans lendemain
    >
    >
    >
    >     1 – Contribution à la consolidation et renforcement de la capacité
    de
    >     l’opposition à résister à la prostitution
    >
    >     a - génératrice du renoncement
    >
    >     b – mettant en cause la réussite
    >
    >
    >
    >     2 – Conviction - face à la peur - et résolution – face aux
    balles - au
    >     combat comme facteurs de succès/victoire
    >
    >     3 – Opposition : activité qui transcende la vie de chaque citoyen
    et
    >     fédère les contributions à l’édifice de redressement national
    >
    >     4 – Chaque citoyen doit tester ses propres théories et les mettre
    en
    >     pratique au service de la nation.
    >
    >
    >
    >     MANGASS TTC
    >     Christian MAYANDJI
    >     Démarches-Gestion
    >     FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
    >     ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
    >     CONVOYAGE EXPLOITATION
    >     VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
    >     EUROPE - AFRIQUE
    >
    >
    >
    >     --- En date de : Jeu 28..8.08, Dr. Daniel Mengara
    >     <protected at bdpgabon.org> a écrit :
    >
    >         De: Dr. Daniel Mengara <protected at bdpgabon.org>
    >         Objet: [BDPalabres] Re: Accusé de reception
    >         À: bdpalabres at bdpgabon.org
    >         Date: Jeudi 28 Août 2008, 18h26
    >
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    >         J'attendrai avec grande impatience votre réflexion, cher
    Monsieur
    >     Mayandji.
    >
    >         Je vous sais homme de profondeur et j'avoue toujours
    apprécier vos
    >     prises
    >         de position qui, se détournant de la polémique stérile,
    élèvent
    >     toujours la
    >         conversation sur ce forum. Les solutions aux problèmes gabonais
    commencent
    >     par
    >         le type d'exercice mental que, de par vos arguments, vous ne
    manquez
    >     jamais
    >         de susciter. D'où l'expression de mes sincères
    remerciements pour
    >         avoir inspiré la "petite" et modeste pensée que
    j'ai
    >     proposée
    >         à nos lecteurs.
    >
    >         Il y a sur notre site, une pensée d'Edgar Morin, sociologue
    et
    >     écrivain
    >         français, qui se pose la question suivante: "Qu'est-ce
    qu'un
    >         intellectuel?". A cette question, il répond: "C'est
    >     quelqu'un
    >         qui, en dehors de sa propre compétence, porte sur la place
    publique des
    >         problèmes de fond."
    >
    >         Autrement dit, le statut d'intellectuel implique une certaine
    >         RESPONSABILITE. Cette responsablité, à son tour, découle non
    seulement
    >     de ce
    >         POUVOIR qui lui permet d'influencer la pensée et, parfois
    même, la
    >         destinée publique, mais également de ce DEVOIR d'engagement
    qui lui
    >     est
    >         dicté par les défis auxquels est confrontée sa société.
    >
    >         Le Gabon, dans le contexte d'une telle dynamique, ne peut
    perdre.
    >
    >         Votre dévoué compatriote.
    >
    >         Daniel Mengara
    >
    >         Christian MAYANDJI wrote:
    >         > ___________________________________________________________
    >         > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau.
    Vos
    >     messages
    >         apparaîtront une fois modérés..
    >         > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email,
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    >         > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page.
    >         > ___________________________________________________________
    >         >
    >         >
    >         >
    >         > Au Professeur Daniel MENGARA
    >         > Coordonateur du Mouvement BDP
    >         >
    >         > Cher Professeur,
    >         >
    >         > Vous avez pris de votre temps pour me faire part de votre
    point de
    >     vue. Je
    >         vous en remercie. Vous comprendrez certainement que je vous
    reponde
    >         méthodiquement. Cela implique un décallage de temps. Je vous
    prie de
    >     croire
    >         qu'il n'est pas dans mon intention d'abuser de votre
    patience,
    >     ni de
    >         compter parmi vos détracteurs. Je vais m'efforcer de vous
    apporter une
    >         reponse structurée. J'espère que - au contraire d'autres
    leaders
    >         d'opinion noyés par leur célébrité médiatique - vous
    prendrez la
    >     peine
    >         de l'étudier avec la plus grande attention et d'en tirer
    les
    >     meilleures
    >         enseignements pour votre mouvement.
    >         >
    >         > Cordialement.
    >         > MANGASS TTC
    >         > Christian MAYANDJI
    >         > Démarches-Gestion
    >         > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
    >         > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
    >         >  CONVOYAGE EXPLOITATION
    >         > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
    >         > EUROPE - AFRIQUE
    >         >
    >         >
    >         >
    >         > --- En date de : Jeu 28.8.08, Dr. Daniel Mengara
    >         <protected at bdpgabon.org> a écrit :
    >         >
    >         >    De: Dr. Daniel Mengara <protected at bdpgabon.org>
    >         >    Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat
    >         >    À: bdpalabres at bdpgabon.org
    >         >    Date: Jeudi 28 Août 2008, 3h19
    >         >
    >         >   
    ___________________________________________________________
    >         >    Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon
    Nouveau. Vos
    >         messages
    >         >    apparaîtront une fois modérés.
    >         >    - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email,
    répondez tout
    >         simplement
    >         >    aux messages..
    >         >    - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page.
    >         >   
    ___________________________________________________________
    >         >
    >         >
    >         >    Monsieur Mayandji, cher frère:
    >         >
    >         >    Le paradoxe que je constate dans votre argumentaire est
    exactement
    >         celui qui
    >         >    découle des tares que vous reprochez aux autres. Vous
    vous dites
    >         >    "fatigué" de voir une opposition mal
    organisée, et qui,
    >     je
    >         vous
    >         >    cite, "contrairement aux mouvements d'opposition
    dans les
    >         autres pays,
    >         >    ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la
    >     détermination
    >         que les
    >         >    partisans du pouvoir défendent leurs privilèges."
    >         >
    >         >    Bien!
    >         >
    >         >    Et vous ajoutez, ensuite, en censeur des méthodes
    précipitées,
    >     que
    >         vous
    >         >    êtes partisan des petits pas ciblés, ceux des solutions
    "au
    >     fur
    >         et à
    >         >    mesure".
    >         >
    >         >    Bien aussi !
    >         >
    >         >    MAIS, mon frère, en quoi donc cette démarche serait-elle
    >     différente
    >         de celle
    >         >    de Mba Abessole qui, lui, préfère faire les choses à
    >     "petits
    >         pas
    >         >    ciblés" de l'intérieur du régime, ou de
    Mamboundou,
    >     qui,
    >         lui, pense
    >         >    désormais qu'un raprochement entre lui et Bongo,
    aussi avare
    >     de
    >         résultats
    >         >    que ce rapprochement soit, apportera de petis changements
    >     progressifs
    >         qui lui
    >         >    sont plus acceptables que la guerre ou la violence, même
    si pour
    >     cela
    >         le peuple
    >         >    gabonais doit attrendre 100 ans de plus?!
    >         >
    >         >    Il me semble que vous êtes exactement dans la logique de
    cette
    >         opposition que
    >         >    vous fustigez, non?
    >         >
    >         >    Il y a une seconde contradiction dans votre argument car,
    si
    >     l'on
    >         prend
    >         >    votre critique à la lettre, on voit que si
    l'opposition dont
    >     vous
    >         parlez
    >         >    était mieux organisée et devenait comme celle des autres
    pays,
    >     elle
    >         >    contredirait immédiatement votre théorie des
    "petits
    >     pas"
    >         >    puisqu'elle précipiterait TOUT! Ce qui ne serait pas
    non plus
    >     à
    >         votre
    >         >    goût des "petits pas ciblés", il me semble,
    >     n'est-ce
    >         pas, cher
    >         >    ami?
    >         >
    >         >    Le problème des censeurs invétérés comme vous et moi,
    cher
    >     frère,
    >         est que
    >         >    nous croyons souvent détenir la vérité absolue, alors
    que, en
    >         réalité, nous
    >         >    ne brassons que du vide, du vent.
    >         >
    >         >    Par exemple: vous qui vous dites fatigué de voir une
    opposition
    >         inepte, vous
    >         >    rendez-vous au moins compte que, du haut de votre
    piédestal de
    >         censeur (un peu
    >         >    comme moi), vous êtes en train de dire que vous savez
    mieux que
    >     cette
    >         >    opposition ce qu'il faut faire pour résoudre la
    problématique
    >         gabonaise?
    >         >
    >         >    Si tel est le cas, bien!
    >         >
    >         >    Mais, dans ce cas, je me permettrai la remarque suivante:
    si, donc,
    >         comme le
    >         >    laisse supposer votre message, vous avez la solution parce
    que
    >     mieux
    >         et plus
    >         >    éclairé, on se demande ce que vous attendez pour créer,
    >     VOUS-MEME,
    >         cette
    >         >    opposition CAPABLE qui, elle, pourra, à votre convenance
    (puisque
    >         vous en aurez
    >         >    été l'initiateur éclairé), satisfaire à vos
    exigences de
    >         meilleure
    >         >    organisation!! Mieux encore, si vous ne pouvez la créer
    >         indépendamment, rien
    >         >    ne vous interdit de vous engager à ses côtés pour lui
    faire
    >         bénéficier de
    >         >    vos hautes inspirations! Là ou d'autres ont failli,
    vous
    >         réussirez
    >         >    peut-être! Pourquoi, dans ce cas, priver le pays de votre
    infinie
    >         sagesse, et
    >         >    surtout du potentiel d'une réussite par VOUS, là où
    les
    >     autres
    >         ont
    >         >    échoué!?
    >         >
    >         >    En fin de compte, frère, je peux affirmer sans
    méchanceté, mais
    >         aussi sans
    >         >    me tromper, que, comme nous tous, vous êtes bel et bien
    le produit
    >     du
    >         >    bongoïsme, non pas parce que vous êtes bongoïstes (je
    ne crois
    >     pas
    >         que vous
    >         >    le soyez), mais plutôt parce que vous souffrez des mêmes
    tares
    >     qui
    >         nous
    >         >    polluent tous, nous qui, vitupérant de l'ombre
    (engagés nulle
    >         part) ou de
    >         >    derrière nos ordinateurs (comme moi), croyons pouvoir
    faire
    >     avancer
    >         la cause
    >         >    gabonaise en critiquant, de loin, ceux qui, eux, ont, au
    moins,
    >     osé
    >         >    s'aventurer sur la voie de l'opposition ouverte et
    >     radicale.
    >         >
    >         >    Dans un de mes récents articles, j'ai souligné le
    fait que
    >     les
    >         citoyens
    >         >    que nous sommes ne devons jamais reprocher à
    l'opposition ses
    >         échecs si
    >         >    ces échecs s'expliquent par une conjoncture
    indépendante de
    >     sa
    >         volonté.
    >         >    L'échec ou la réussite, en tout combat politique,
    est une
    >         situation qui,
    >         >    en elle-même, est fonction du moment et de la conjoncture
    >         sociopolitique et
    >         >    socioculturelle du moment. On peut échouer
    inexplicablement dans
    >     un
    >         contxete
    >         >    pourtant très favorable (Mba Abessole, Mamboundou) ou
    réussir au
    >         moment le
    >         >    plus inattendu (Géorgie, Ukraine, Russie, Indonésie,
    Pakistan,
    >         etc..). Mais ce
    >         >    n'est pas l'échec qui est, en lui-même, un
    problème. Ce
    >     que
    >         nous
    >         >    devons reprocher à l'opposition, à NOTRE opposition,
    ce sont
    >     les
    >         >    RENONCEMENTS qui causent l'échec, surtout quand ces
    >     renoncements
    >         bafouent
    >         >    les principes les plus élémentaires de la décence
    humaine et/ou
    >         citoyenne.
    >         >    Autrement dit, qu'elle soit organisée ou
    désorganisée, rien
    >     ne
    >         garantit
    >         >    la réussite de l'opposition. Ce qui importe, par
    contre, est
    >     que
    >         cette
    >         >    opposition reste déterminée dans son intention et sa
    conviction,
    >         génération
    >         >    par génération, et génération après génération.
    >         >
    >         >    Personnellement, je ne reproche leur échec ni à
    Mamboundou, ni à
    >         Mba
    >         >    Abessole. Ce que je leur reproche, c'est leur
    renoncement. Et
    >         parce que je
    >         >    sais que l'échec peut être au rendez-vous de tout
    opposant de
    >         bonne
    >         >    volonté, même sans renoncement, j'essaie de
    m'engager
    >     dans
    >         >    l'espoir de non seulement mieux faire, mais aussi de
    POUVOIR
    >         réussir (sans
    >         >    pour autant croire que je suis celui qui réussira
    forcément; je
    >     ne
    >         sais de moi
    >         >    que ma conviction. L'avenir, lui, appartient à Dieu).
    Mais ce
    >     que
    >         je
    >         >    m'interdis en tant que citoyen responsable, c'est
    le
    >         découragement ou
    >         >    la fatigue qui me met hors-jeu de l'histoire et de la
    >     société.
    >         Il n'y
    >         >    a pas de renoncement pire que celui qui est fait juste
    parce que
    >         d'autres
    >         >    ont renoncé ou échoué. C'est là une conclusion
    trop facile
    >     qui
    >         ne ferait
    >         >    pas de moi un meilleur citoyen que ceux que je critique..
    Il est
    >     bien
    >         de
    >         >    critiquer. Mais il est encore mieux de critiquer quand on
    est,
    >         soi-même,
    >         >    engagé dans une tentative de salut national.
    >         >
    >         >    Quand j'ai créé le BDP-Gabon Nouveau, je l'ai
    fait sur la
    >         base du
    >         >    constat d'échec de Paul Mba Abessole et de Pierre
    Mamboundou,
    >     et
    >         ceci dès
    >         >    décembre 1998. Dès 1998, j'avais déjà vu, dans
    leurs
    >         attitudes, les
    >         >    germes non pas de l'échec, mais du renoncement. Et je
    me suis
    >         juré, en
    >         >    m'engageant OUVERTEMENT, d'ESSAYER de mieux faire
    >     qu'eux,
    >         et
    >         >    surtout, de ne JAMAIS RENONCER, comme eux, aux idéaux qui
    furent
    >         leurs et qui
    >         >    sont aujourd'hui miens. Et j'attends de citoyens
    >     responsables
    >         la même
    >         >    réaction que moi. En d'autres termes, si
    aujourd'hui ou
    >     dans
    >         10 ans,
    >         >    mes concitoyens constatent mon échec et croient pouvoir
    mieux
    >     faire
    >         que moi, je
    >         >    ne trouverai satisfaction que dans un acte
    d'engagement de leur
    >         part qui
    >         >    puisse reprendre le combat là où j'ai échoué, et
    le mener
    >     à
    >         finalité,
    >         >    avec ou sans moi.
    >         >
    >         >    Autrement dit, cher frère, en quoi un citoyen peut-il
    croire être
    >         plus utile
    >         >    à la société que le bébé qui vient de naître et qui
    suce le
    >     lait
    >         maternel
    >         >    en toute insouciance s'il ne ponctue pas sa critique
    par un
    >     acte
    >         >    d'engagement concret? En quoi peut-il être meilleur
    que le
    >     chien
    >         errant
    >         >    qui, n'ayant d'autre objectif dans la vie que la
    recherche
    >     de
    >         l'os
    >         >    dans les poubelles, ne se soucie guère de ce qu'il
    fera le
    >     jour
    >         >    d'après? En quoi peut-il être différent d'Omar
    Bongo
    >     qui,
    >         à la tête
    >         >    du Gabon depuis 41 ans, ne se soucie guère des
    souffrances de son
    >         peuple? Du
    >         >    moment que, lui, mange bien et fait son petit truc dans
    son coin,
    >     que
    >         lui
    >         >    importe, à Bongo ou à ce citoyen individualiste, que le
    reste des
    >         Gabonais
    >         >    tire le dibale par la queue?
    >         >
    >         >    Le principe d'une opposition, cher frère, n'est
    pas de
    >         détenir la
    >         >    science infuse ou la solution toute faite. Le principe
    d'une
    >         opposition
    >         >    n'est pas non plus d'être capable de tout
    accomplir de son
    >         vivant ou de
    >         >    tout réussir. Le principe d'une véritable opposition
    réside
    >         dans sa
    >         >    capacité non seulement à assumer le rôle de défense
    des
    >     intérêts
    >         citoyens
    >         >    qui est le sien, mais également d'en mobiliser et
    d'en
    >         étendre la
    >         >    conscience aux générations futures. Faire de
    l'opposition
    >         découle
    >         >    d'une culture politique qui, procédant par
    tâtonnements et
    >     par
    >         >    hypothèses, finit un jour par le triomphe des forces du
    changement
    >         dès lors
    >         >    qu'il n'y aurait aucune cassure générationnelle
    dans la
    >         continuité
    >         >    des engagements.
    >         >
    >         >    Le but n'est donc pas que Mamboundou ou Mengara
    réussisse de
    >     son
    >         vivant.
    >         >    Le but est, pour tous ceux qui s'engagent ou épaulent
    ceux qui
    >         >    s'engagent, de toujours tenter le changement en
    fonction de
    >     leur
    >         >    inspiration, et s'ils échouent malgré leur bonne
    volonté, il
    >         leur est
    >         >    important de pouvoir compter sur ceux qui, dans les
    générations
    >         présentes ou
    >         >    futures, pourront prendre la relève et continuer le
    combat pour la
    >         dignité.
    >         >    Or, pour que les tâtonnements des uns et des autres
    arrivent à
    >     une
    >         solution
    >         >    avérée (comprenez, victoire), il faut bien que des
    hommes comme
    >         vous, Monsieur
    >         >    Mayandji, aient le courage de contribuer OUVERTEMENT, et
    AU SEIN DE
    >         CETTE
    >         >    OPPOSITION DEFICIENTE ou en dehors d'elle par une
    OPPOSITION
    >         NOUVELLE, leur
    >         >    éclairage (tout en gardant à l'esprit le simple
    fait,
    >     modeste,
    >         que cet
    >         >    éclairage ne sera pas forcément la panacée qui
    mènerait à la
    >         réussite).
    >         >    Tout acte d'opposition est alors vu comme une
    tentative
    >         stratégique qui
    >         >    comporte en elle un espoir de réussite et non une
    certitude. Faire
    >     de
    >         >    l'opposition n'est ni un travail de nanochirurgie
    ni un
    >         travail de
    >         >    nanoscience. Faire de l'opposition, c'est un peu
    comme un
    >         opérateur de
    >         >    mitrailleuse qui tire une centaine de balles en direction
    d'une
    >         cible, avec
    >         >    l'espoir qu'une des balles fera mouche.
    >         >
    >         >    Bref, l'opposition pour moi se résume ainsi: devant
    >         l'incertitude, les
    >         >    hésitations et les tâtonnements, tout ce qui peut être
    tenté
    >     doit
    >         être
    >         >    tenté, génération par génération, et génération
    après
    >         génération.
    >         >    Quand Mengara ou Mamboundou tombe, victime de la
    corruption ou de
    >     la
    >         fatiguue,
    >         >    il doit toujours se trouver un Mayandji pour, soit prendre
    la
    >     relève
    >         pour
    >         >    continuer le combat, soit donner des béquilles à ceux
    qui, ayant
    >         tenté toute
    >         >    leur vie, n'arrivent plus à tenir debout tous seuls..
    >         >
    >         >    Il ne sert donc à RIEN pour un cotoyen de brayer, DU
    DEHORS,
    >         qu'il est
    >         >    fatigué par l'inorganisation de l'opposition
    quand, dans
    >     le
    >         même
    >         >    temps, il se refuse à y entrer, collectivement ou
    indépendamment,
    >         pour aider
    >         >    à son REDRESSEMENT.
    >         >
    >         >    En d'autres termes, l'inorganisation de
    l'opposition
    >     est
    >         autant de
    >         >    VOTRE faute, frère Mayandji, que de la mienne et de celle
    de tous
    >         ceux qui
    >         >    participent de cette opposition inepte que vous critiquez.
    >     Imaginez,
    >         cher
    >         >    frère, un seul moment le cas de figure suivant:
    >         >
    >         >    1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela,
    tout le
    >     monde
    >         le
    >         >    sait).
    >         >
    >         >    2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution.
    >         >
    >         >    3) Monsieur Mayandji, au lieu de se déclarer fatigué,
    entre dans
    >         >    l'opposition ou crée son opposition, pour redresser
    >         l'opposition.
    >         >
    >         >    4) L'opposition, bénéficiant enfin de la science de
    Monsieur
    >         Mayandji,
    >         >    arrive enfin à s'organiser.
    >         >
    >         >    5) 2009, l'opposition chasse Bongo du pouvoir et
    commence la
    >         reconstruction
    >         >    du pays, grâce à la contribution spectaculaire de
    Monsieur
    >     Mayandji.
    >         >
    >         >    6) Le Gabon est enfin sauvé et Monsieur Mayandji est fait
    héros
    >         national avec
    >         >    un mausolée lui reconnaissant une contribution historique
    de
    >         patriote.
    >         >
    >         >
    >         >    Bien!
    >         >
    >         >    IMAGINONS maintenant l'autre cas de figure,
    c'est-à-dire,
    >         >    l'affirmation ou la perennisation de la sitaution de
    passivité
    >     et
    >         >    d'immobilisme (donc de renoncement) dans laquelle vous
    vous
    >         trouvez, cher
    >         >    frère, et ceci malgré vos critiques incantatoires:
    >         >
    >         >
    >         >    1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela,
    tout le
    >     monde
    >         le
    >         >    sait).
    >         >
    >         >    2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution.
    >         >
    >         >    3) MAIS Monsieur Mayandji, fatigué par le désastre
    d'une
    >         opposition
    >         >    désorganisée, reste dans l'ombre, refuse de
    s'engager et
    >         garde sa
    >         >    solution pour lui-même.
    >         >
    >         >    4) L'opposition, ne bénéficiant pas de la science de
    MOnsieur
    >         Mayandji,
    >         >    sombre encore plus dans la désorganisation et
    s'étiole.
    >         >
    >         >    5) 2012, Bongo est réelu. 2019, Ali Bongo est élu. 2026
    Ali Bongo
    >         est
    >         >    réélu, jusqu'à perpète. 2030, Le Gabon n'a
    plus de
    >         pétrole.
    >         >    N'ayant jamais préparé l'après pétrole, le
    Gabon, en
    >     2033,
    >         est le
    >         >    pays le plus pauvre du monde.
    >         >
    >         >    6) 2034, Monsieur Mayandji meurt de palu au dispensaire de
    Nkembo,
    >         parce
    >         >    qu'au Gabon, la pauvreté est devenue telle que ses
    petits
    >         enfants, sans
    >         >    emploi, n'ont pas  assez d'argent pour lui acheter
    un
    >         comprimé de
    >         >    Fansidar, et les économies qu'il avait faites pour sa
    retraite
    >     en
    >         2026 ont
    >         >    fondu comme beurre au soleil devant la vie chère qui est
    >     maintenant
    >         au Gabon
    >         >    comme celle du Zimbabwé: 1000%
    >         >
    >         >    Autrement dit, Monsieur Mayandji, ceux qui s'engagent
    et
    >     essaient,
    >         même
    >         >    dans la désorganisation et l'échec, valent mieux
    comme
    >     citoyens
    >         que ceux
    >         >    qui, de loin, critiquent, se disent plus compétents, mais
    >     pourtant,
    >         se refusent
    >         >    à montrer, par l'engagement concret, comment ils
    peuvent mieux
    >         réussir que
    >         >    les autres.
    >         >
    >         >    Et cette leçon, croyez-moi, vaut pour nous tous, moi y
    compris.
    >         >
    >         >    La question, en fin de compte, n'est pas de savoir qui
    a
    >     échoué
    >         ou qui a
    >         >    réussi. Ce qu'il faut, c'est étudier comment,
    par la
    >         combinaisaon des
    >         >    efforts et des inspirations, nous pourrions, ENSEMBLE
    ET/OU
    >         SEPAREMMENT,
    >         >    contribuer à l'objectif de consolidation d'une
    opposition
    >         engagée qui
    >         >    soit capable de résister aux prostitutions qui enfantent
    de ce
    >         renoncement qui
    >         >    compromet la réussite. L'image à avoir en tête ici
    est celle
    >     de
    >         soldats
    >         >    sur un champ de bataille. Quand ils s'avancent,
    l'ennemi
    >     les
    >         fauche.
    >         >    Certains tombent, mais d'autres avancent. A la fin, ce
    sera à
    >     qui
    >         avancera
    >         >    avec plus de résolution que la victoire appartiendra.
    >         >
    >         >    PLus proche de nous, cette image marche de la façon
    suivante. En
    >     face
    >         de
    >         >    Mamboundou, Mba Abessole, Mayandji et Mengara, il y a
    Bongo avec un
    >         fusil à
    >         >    trois balles. Devant les tirs de Bongo, Mba Abessole
    tombe. Puis
    >         c'est le
    >         >    tour de Mamboundou, et enfin Daniel Mengara. Maintenant,
    Bongo
    >     n'a
    >         plus de
    >         >    balles et Mayandji reste debout, vivant, devant un Bongo
    >     désemparé.
    >         Sous la
    >         >    rage des années de brimades subies, Mayandji étrangle
    Bongo et le
    >         pend à un
    >         >    arbre, pour les vautours. Le Gabon est libéré.
    >         >
    >         >    Autrement dit, dans tout combat, certains tombent sous les
    balles
    >     ou
    >         sous la
    >         >    peur, mais d'autres, surtout ceux qui se font censeurs
    des
    >     autres,
    >         doivent
    >         >    être capables de continuer la lutte.. Il est
    impardonnable de
    >     renoncer
    >         ou de se
    >         >    fatiguer parce qu'on a vu certains tomber, et ensuite
    se
    >     retourner
    >         pour
    >         >    critiquer ceux qui sont tombés ou se sont enfuis. Si on a
    de la
    >         conviction, on
    >         >    doit continuer, sinon on ne sert à rien dans la société
    des
    >     hommes.
    >         >
    >         >    L'opposition, cher ami, ne peut être vue comme une
    aventure
    >     sans
    >         >    lendemain. Le dire de cette manière, c'est voir
    >     l'opposition
    >         comme une
    >         >    affaire basée sur le court terme de nos courtes vies, et
    non comme
    >         une
    >         >    continuité que chaque génération se doit de
    pérpétuer, pour
    >         elle-même et
    >         >    pour les autres. Autrement dit, chaque citoyen qui se bat
    ne doit
    >         jamais limiter
    >         >    l'idée de l'opposition à ce qu'il peut y
    gagner de
    >     son
    >         vivant,
    >         >    mais plutôt la construire sur les principes de
    participation qui
    >     lui
    >         >    permettraient de faire sa part de contributions à
    l'édifice
    >     de
    >         >    redressement national.
    >         >
    >         >    Autrement dit, la valeur d'un vrai citoyen ne se
    mesure pas à
    >         combien de
    >         >    théories il peut émettre. Tant qu'il n'est pas
    prêt, de
    >     par
    >         LUI-MEME,
    >         >    à tester ses propres théories et même à les mettre en
    pratique
    >     au
    >         service de
    >         >    la nation, il ne vaut rien pour la société.
    >         >
    >         >    Et la question que le citoyen modeste posera toujours à
    ces
    >     censeurs
    >         >    invétérés que nous sommes, vous et moi, est la
    suivante: est-ce
    >     que
    >         tu peux
    >         >    faire mieux, toi qui parle beaucoup, beaucoup, beaucoup?
    >         >
    >         >    A cette question, je crois que nous savons déjà la
    réponse.
    >         >
    >         >
    >         >    Daniel Mengara
    >         >
    >         >
    >         >    Christian MAYANDJI wrote:
    >         >   
    ___________________________________________________________
    >         >    >
    >         >    >
    >         >    >
    >         >    > Il n'est pas question pour moi d'appeller à
    la guerre
    >         civile. Je
    >         >    suis tout simplement fatigué de voir une opposition qui
    si mal
    >         organisée et
    >         >    qui, contrairement aux mouvements d'opposition dans
    les autres
    >         pays, ne
    >         >    semble pas se donner les moyens de se battre avec la
    détermination
    >         que les
    >         >    partisans du pouvoir défendent leurs privilèges.
    >         >    > Je pense qu'à l'instar de la majorité des
    gabonais,
    >     je
    >         ne suis
    >         >    pas le partisan des aventures sans lendemain. Je pratique
    la
    >     politique
    >         des
    >         >    "petits pas", celle qui consiste à apporter des
    >     solutions
    >         ciblées
    >         >    aux populations au fur et à mesure que les problèmes
    sont
    >         identifiés et que
    >         >    les moyens sont constitués.
    >         >    > MANGASS TTC
    >         >    > Christian MAYANDJI
    >         >    > Démarches-Gestion
    >         >    > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
    >         >    > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
    >         >    >  CONVOYAGE EXPLOITATION
    >         >    > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
    >         >    > EUROPE - AFRIQUE
    >         >    >
    >         >    >
    >         >    >
    >         >    > --- En date de : Mer 27.8.08, Jean Bika
    >         <protected at yahoo.com> a
    >         >    écrit :
    >         >    >
    >         >    >    De: Jean Bika <protected at yahoo.com>
    >         >    >    Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat
    >         >    >    À: bdpalabres at bdpgabon.org
    >         >    >    Date: Mercredi 27 Août 2008, 2h22
    >         >    >
    >         >    >   
    ___________________________________________________________
    >         >    >    Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon
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    >         >    >   
    ___________________________________________________________
    >         >    >
    >         >    >
    >         >    >    Monsieur Mayandji, vous avez tout dit. Les peuples
    qui ont
    >         sacrifié
    >         >    de leur
    >         >    >    sang et acheté la liberté avec leur sang
    comprennent
    >     mieux
    >         la valeur
    >         >    de la
    >         >    >    paix. le gabon, comme d'autres pays, devra
    passer par
    >     une
    >         étape
    >         >    de violence
    >         >    >    pour le comprendre. Une seule personne en sera la
    cause:
    >     Omar
    >         Bongo.
    >         >    >
    >         >    >
    >         >    >    Christian MAYANDJI a écrit:
    >         >    >    >
    >         ___________________________________________________________
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    >         >    >    >
    >         >    >    >
    >         >    >    > M. Mengara a le droit d'affirmer sa
    différence,
    >         comme tous
    >         >    ceux qui
    >         >    >    aspirent à un changement légitime au Gabon, au
    TOGO, dans
    >         >    d'autres pays,
    >         >    >    sur d'autres continents.
    >         >    >    > Cependant, je crois que nous évoluons vers
    des
    >     dérives
    >         qui me
    >         >    font
    >         >    >    craindre des tensions extrêmes.
    >         >    >    > Je résume la situation : les
    "opposants"
    >         attaquent les
    >         >    >    représentant s du pouvoir dans ce qu'il y a
    de plus
    >     bas;
    >         >    >    > les partisans du "pouvoir"
    s'entêtent
    >         dans leurs
    >         >    délires
    >         >    >    de candidats à la corruption, pour ceux qui
    n'y ont
    >     pas
    >         encore
    >         >    été
    >         >    >    initiés.
    >         >    >    > Entre ces extremes, ils y a des hommes et des
    femmes
    >     qui
    >         >    construisent
    >         >    >    patiemment leur vie, avec leur propre moyens, sans
    rien
    >         demander à
    >         >    personne,
    >         >    >    pas même à l'Etat.
    >         >    >    > Le seule chose que je me demande, c'est
    pourquoi
    >         >    l'opposition ne
    >         >    >    se donne pas une bonne fois pour toutes les moyens
    d'en
    >         découdre
    >         >    avec le
    >         >    >    pouvoir, ainsi que cela s'est produit dans les
    autres
    >         pays.
    >         >    >    > Il se peut qu'après le sacrifice du
    sang, chacun
    >         trouvera la
    >         >    voie de
    >         >    >    la raison et comprendra que la politique commence
    >         lorsqu'on
    >         >    découvre
    >         >    >    comment faire la différence entre l'intérêt
    >     général
    >         et les
    >         >    intérêts
    >         >    >    particuliers. la politque se fait lorsqu'on
    respecte
    >         >    l'individu, la
    >         >    >    personne quelque ses valeurs dans la mesure ou
    tout le
    >     monde
    >         respecte
    >         >    la loi
    >         >    >    républicaine. Elles se poursuit lorsque chacun
    comprend
    >     que
    >         >    l'Etat - en
    >         >    >    tant que représentant de l'intérêt
    général -
    >         n'est pas la
    >         >    >    propriété de personne, mais en tant que
    puissance
    >     publique
    >         c'est
    >         >    une
    >         >    >    personne morale avec son fonctionnement propre.
    >         >    >    > Il est inopérant que chacun puisse projeter
    ses
    >     propres
    >         >    asiptations dans
    >         >    >    l'Etat. l'Etat n'est la vache à lait
    de
    >         personne.
    >         >    C'est tout
    >         >    >    simplement une organisation dont la fonction est
    de gérer
    >     ce
    >         qui
    >         >    constitue le
    >         >    >    ^patrimoine commun.
    >         >    >    > Je crois que la plupart des conflits actuels
    >     proviennent
    >         que
    >         >    chacun -
    >         >    >    conservateurs et partisans du changement - ne
    percoive
    >         l'état que
    >         >    comme une
    >         >    >    vache à lait que chacun doit traire.
    >         >    >    > En tant qu'historien, je sais que le
    changement
    >     est
    >         >    inéluctable et
    >         >    >    surtout en marche...
    >         >    >    > MANGASS TTC
    >         >    >    > Christian MAYANDJI
    >         >    >    > Démarches-Gestion
    >         >    >    > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES
    >         >    >    > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS
    >         >    >    >  CONVOYAGE EXPLOITATION
    >         >    >    > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES
    >         >    >    > EUROPE - AFRIQUE
    >         >    >    >
    >         >    >    >
    >         >    >    >
    >         >    >    > --- En date de : Mar 26.8.08, Magloire
    Olympio
    >         >    >    <protected at hotmail.com> a écrit :
    >         >    >    >
    >         >    >    >    De: Magloire Olympio
    <protected at hotmail.com>
    >         >    >    >    Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un
    ingrat
    >         >    >    >    À: bdpalabres at bdpgabon.org
    >         >    >    >    Date: Mardi 26 Août 2008, 9h01
    >         >    >    >
    >         >    >    > 
    >         ___________________________________________________________
    >         >    >    >    Forum (Modéré) BDPalabres par email du
    BDP-Gabon
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    >         >    >    >
    >         >    >    >    Rebondissement dans l’affaire AKA : de
    nouveaux
    >         éléments
    >         >    qui
    >         >    >    confortent la
    >         >    >    >    thèse de l’assassinat ; le frère cadet
    du
    >         défunt
    >         >    Maurille membre
    >         >    >    du régime
    >         >    >    >    précipite son enterrement.
    >         >    >    >
    >         >    >    >
    >         >    >    >    La tragique disparition du leader du
    MODENA Joachim
    >         Agbobli
    >         >    Atsutsè
    >         >    >    n’a pas
    >         >    >    >    fini de révéler tous ses secrets. Après
    les
    >         résultats
    >         >    farfelus de
    >         >    >    >    l’autopsie du professeur Napo-Koura et
    les
    >         conclusions
    >         >    tordues du
    >         >    >    procureur de
    >         >    >    >    la République Robert Bakaï le 18 aôut
    dernier ;
    >         de
    >         >    nouveaux
    >         >    >    éléments
    >         >    >    >    viennent d’apparaître dans le dossier
    et
    >         confortent
    >         >    désormais, la
    >         >    >    thèse
    >         >    >    >    d’un assassinat déguisé en suicide.
    Ces
    >         informations,
    >         >    nous les
    >         >    >    devons à
    >         >    >    >    plusieurs amis du politologue
    (universitaires,
    >         hommes
    >         >    politiques,
    >         >    >    médecins,
    >         >    >    >    journalistes) qui se sont mobilisés pour
    faire
    >         triompher la
    >         >    vérité.
    >         >    >    >
    >         >    >    >   
    >         >    >    >
    >         >    >    >    Le corps du défunt porte des traces
    >         d’électrocution
    >         >    >    >
    >         >    >    >   
    >         >    >    >
    >         >    >    >    La première information qui ressort de
    ces
    >         investigations
    >         >    est liée
    >         >    >    à des
    >         >    >    >    lésions observées autour du coup et des
    parties
    >         génitales
    >         >    de la
    >         >    >    victime. Les
    >         >    >    >    spécialistes en conclurent à une torture
    par des
    >         objets
    >         >    >    électriques. Pour ces
    >         >    >    >    spécialistes, il est incroyable que le
    médecin
    >         légiste ait
    >         >    pu
    >         >    >    conclure en une
    >         >    >    >    mort par suicide en passant sous silence
    ces
    >         différentes
    >         >    lésions que
    >         >    >    nous
    >         >    >    >    venons de signaler. En réalité, AKA a
    été
    >         enlevé depuis
    >         >    la
    >         >    >    clinique,
    >         >    >    >    conduit à un endroit secret et torturé
    à mort
    >         avant que le
    >         >    corps ne
    >         >    >    soit
    >         >    >    >    jeté à la plage 24 h plus tard. C’est
    >         d’ailleurs ce
    >         >    scénario
    >         >    >    qui explique
    >         >    >    >    la disparition des vêtements de la
    victime de
    >     même
    >         que
    >         >    l’abandon
    >         >    >    de son
    >         >    >    >    portefeuille, et ses verres médicaux. La
    version
    >     du
    >         >    rendez-vous en
    >         >    >    plus du
    >         >    >    >    parcours effectué attribué au chauffeur
    n’est
    >         qu’une
    >         >    pure
    >         >    >    invention sortie
    >         >    >    >    des laboratoires lugubres pour faire
    diversion. AKA
    >         ne
    >         >    s’est jamais
    >         >    >    rendu à
    >         >    >    >    un quelconque rendez-vous, il ne s’est
    jamais
    >         arrêté à
    >         >    l’Hôtel
    >         >    >    Palm
    >         >    >    >    Beach et il ne s’est jamais rendu à
    l’Hôtel
    >         Sarakawa.
    >         >    >    D’ailleurs le
    >         >    >    >    docteur Fiadjoe responsable de la clinique
    Biasa
    >         serait sous
    >         >    >    d’énormes
    >         >    >    >    pressions afin qu’il ne s’adresse à
    aucun
    >         média. A la
    >         >    clinique
    >         >    >    Biasa les
    >         >    >    >    visites aux malades sont désormais
    réglementées.
    >         >    >    >
    >         >    >    >   
    >         >    >    >
    >         >    >    >    Maurille Agbobli dans le mauvais rôle
    >         >    >    >
    >         >    >    >   
    >         >    >    >
    >         >    >    >    Il n’est un secret pour personne que la
    famille
    >         Agbobli est
    >         >    >    partagée entre
    >         >    >    >    l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux
    qui sont
    >         >    actuellement dans le
    >         >    >    cercle du
    >         >    >    >    pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh,
    >         universitaire,
    >         >    conseiller
    >         >    >    >    diplomatique de Faure et neveu de AKA et
    ensuite
    >         Maurille
    >         >    Edoh Agbobli
    >         >    >    ancien
    >         >    >    >    ministre, membre du bureau politique du
    RPT.
    >     C’est
    >         donc ce
    >         >    dernier
    >         >    >    qui est
    >         >    >    >    accusé aujourd’hui de dissuader la
    famille
    >         d’aller plus
    >         >    loin et
    >         >    >    précipite
    >         >    >    >    par la même occasion l’enterrement de
    son
    >     frère.
    >         Alors
    >         >    que
    >         >    >    cert





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