From p.o.b at orange.fr Wed Oct 1 03:40:51 2008 From: p.o.b at orange.fr (Paul Okili-Boyer) Date: Wed, 1 Oct 2008 09:40:51 +0200 (CEST) Subject: [BDPalabres] =?utf-8?q?=C2=A0Re=3A_Annonce_Officielle?= Message-ID: <17819379.564241222846851413.JavaMail.www@wwinf1605> Il n'y a aucune animosité de ma part dans le fait que mes avocats aient demandés a faire ouvrir certaines boites mails sous controle d'Huissiers et avec l'aval du président du Tribunal. Suite a celà beaucoup de choses néfastes ont été trouvée a l'encontre de Siméon J F Ekoga et de ses nombreux et  connus Pseudos. Que ceux qui par erreur ont été génés qu'Ils m'excusent , sinon Ils ont aussi moyen en écrivant a la C.N.I.L. de demander réparation si cela  a mis en cause leur Vie privée. Je n'ai pas eu tous les résultats , mais d'apres mon avocat celà est explosif , vis a vis  du  "promoteur " du Site AGORA. Donc les plaintes ont été amplifiées a son encontre , Il faut que les  Arrivistes, et Diffamateurs soient condamnés très sévèrement....et la cela va etre le cas pour ce Monsieur. quand a l'article du Nganga a ce lien        http://okili.fr    Il devient de ce fait caduc  et je ferais  proceder a un rectificatif A l'encontre de Monsieur le Président Mamboundou de l'U.P.G. ,de Mr et Mme Mouloungui , et de Monsieeur Sylvain Ndong j'ai retiré mes Plaintes grace  à la médiation de Mr Guy Roger Biwagou , de Monsieur Sylvain Ndong , et aux très sages conseils d'un Homme de Respect le Docteur Mengara Minko ..que je remercie fortement , car si Un jour la Diaspora  se  concentre et se réunifie pour être plus forte ,  Il en sera un des  premiers qui aura montré  le Cheminement. Paul Okili-Boyer > Message du 26/09/08 07:49 > De : "Sima Mve Estelle" > A : bdpalabres at bdpgabon.org > Copie à : > Objet : [BDPalabres]  Re: Annonce Officielle > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. > ___________________________________________________________ > > > > [ (pas de nom de fichier) (2.6 Ko) ] > [ (pas de nom de fichier) (0.3 Ko) ]  Paul Okili Boyer  =========== =========== ===========  0033 468 723 731            p.o.b at orange.fr From protected at yahoo.fr Wed Oct 1 21:31:47 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Wed, 01 Oct 2008 21:31:47 -0400 Subject: [BDPalabres] Fw : Tita Nzebi en concert le 11 Octobre Message-ID: Chers compatriotes, Venez supporter votre soeur, TITA NZEBI, la nouvelle étoile montante de la chanson gabonaise. Elle se bat presque toute seule depuis trop longtemps. Son talent lui a permis de se faire une place honorable parmi les autres en France. Avec notre soutien, Elle pourra devenir la diva gabonaise de l'Afrique, comme Myriam MAKEBA. Elle en a le timbre, le style et le potentiel. Elle peut faire mieux, parce que c'est la notre. En attendant, déplacez vous en masse !!! Venez assister à ses concerts ! N'hésitez pas à l'inviter dans vos villes, vos pays d'adoption. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Mar 30.9.08, contact tita nzebi a écrit : De: contact tita nzebi Objet: Tita Nzebi en concert le 11 Octobre À: "Christian MAYANDJI" Date: Mardi 30 Septembre 2008, 19h17 Bonjour à Tous Je repasse par vos boîtes mails vous inviter à notre concert, le 11 octobre à Anis Gras, avec Elias O'Regan (guitare), Leny Bidens (basse) et Jimmy Mbonda (percussions). Nous serons ravis de vous recevoir dans ce lieu particulièrement agréable. Merci de bien vouloir faire circuler l'information. A très bientôt. Amitiés, Tita Nzebi From protected at orange.fr Wed Oct 1 21:33:13 2008 From: protected at orange.fr (Paul Okili-Boyer) Date: Wed, 01 Oct 2008 21:33:13 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Annonce Officielle Message-ID: Il n'y a aucune animosité de ma part dans le fait que mes avocats aient demandés a faire ouvrir certaines boites mails sous controle d'Huissiers et avec l'aval du président du Tribunal. Suite a celà beaucoup de choses néfastes ont été trouvée a l'encontre de Siméon J F Ekoga et de ses nombreux et connus Pseudos. Que ceux qui par erreur ont été génés qu'Ils m'excusent , sinon Ils ont aussi moyen en écrivant a la C.N.I.L. de demander réparation si cela a mis en cause leur Vie privée. Je n'ai pas eu tous les résultats , mais d'apres mon avocat celà est explosif , vis a vis du "promoteur " du Site AGORA. Donc les plaintes ont été amplifiées a son encontre , Il faut que les Arrivistes, et Diffamateurs soient condamnés très sévèrement....et la cela va etre le cas pour ce Monsieur. quand a l'article du Nganga a ce lien http://okili.fr Il devient de ce fait caduc et je ferais proceder a un rectificatif A l'encontre de Monsieur le Président Mamboundou de l'U.P.G. ,de Mr et Mme Mouloungui , et de Monsieeur Sylvain Ndong j'ai retiré mes Plaintes grace à la médiation de Mr Guy Roger Biwagou , de Monsieur Sylvain Ndong , et aux très sages conseils d'un Homme de Respect le Docteur Mengara Minko ..que je remercie fortement , car si Un jour la Diaspora se concentre et se réunifie pour être plus forte , Il en sera un des premiers qui aura montré le Cheminement. Paul Okili-Boyer From protected at gmail.com Wed Oct 1 21:36:25 2008 From: protected at gmail.com (Sylvain Ndong) Date: Wed, 01 Oct 2008 21:36:25 -0400 Subject: [BDPalabres] Suppression caduque des emails sur Agora... Message-ID: Cher Ami Biwagou, Vous venez de demander à sieur Siméon Jean Ekoga de retirer certains emails de votre entourage de son fameux forum Agora. Hum, j'ai bien peur que vous ne préchiez dans le désert, car combien de fois des compatriotes libres ont-ils demandé, dans une volonté de jouissance de leur liberté, de ne plus vouloir recevoir des emails d'Agora ? Mais notre faux opposant en chef n'en a que cure, car il ne connaît pas le sens de l'honneur, ce sens de l'honneur qui lui commande pourtant : - de reconnaître sa vraie nationalité française - de ne pas usurper des noms d'emprunt (Maroundou, Edzodzomo, Boussamba...) sur le net, pour oser calomnier des gens qui sont de loin bien au dessus de lui en tout et pour tout, et de s'exprimer ouvertement avec les couilles d'un homme (qu'il n'a peut-être plus, vu qu'il porte de temps en temps des jupes d'une certaine dame Maroundou) - de faire preuve de grattitude, vis-à-vis des gens comme Sylvain NDONG que je suis, qui ont financé des mois entiers son site Internet, menacé de fermeture. S'il était un homme d'honneur, il m'aurait tout simplement remboursé cet argent, obtenu à la sueur de mon front, pas en se randant à LBV, raser les mûrs pour espérer une enveloppe kaki, comme il se bat encore depuis son retour en 2003 afin d'y retourner. Au moins avec ce remboursement, je pourrais rembourser les 450 euros qu'il me dit devoir à son nouveau pseudo Edzodzomo. Mais non au lieu de reconnaître mon mecennat, il se fourvoit dans la forfaiture. Animalité et ingratitude quand tu me tiens ! Le journal "Le Nganga", dans sa parution du mercredi 24 septembre 2008 (que je vous mets d'ailleurs en pièce jointe), l'a dit dans sa page 8, je cite : "C'est dans le fameux forum de discussions «Agora», créé et animé par une âme en panne d'inspiration, Siméon Ekoga, que ces pseudo-intellos font passer leur message négationniste." Voyez-vous, même la presse locale, lue par un grand nombre de nos compatriotes, a pris la mesure de la légèreté intrésèque du bonhomme et de ses oeuvres ; d'ailleurs, Jésus-Christ ne disait-il pas qu'"on reconnaît un arbre à ses fruits" ? Agora est le fruit de la "tête sans cervelle" (Cf. Le BDP) d'un gardien de nuit nommé Ekoga, dont l'"âme est en panne d'inspiration" (Cf. Le Nganga), que croyez-vous qu'il puisse comprendre à vos nobles recriminations ! D'ailleurs, il suffit de lire la réponse qu'il vous donne par rapport à cela : totalement hors sens. Enfin, bonne chance quand-même... Bien de choses à vous Sylvain Ndong ----- Original Message ----- From: Simeon EKOGA To: Guy Biwagou-B Cc: Paul Okili-Boyer ; Sylvain Ndong ; Angoue Malekou Sent: Wednesday, October 01, 2008 9:36 AM Subject: Re : Agora Je vous invite à découvrir dans l'Edition Internationale en français du journal « NewAfrican » numéro 5 qui vient de paraître, un article sur le Gabon. ----* à partir de la page 60 Cordialement Siméon J Francis EKOGA Président du RDPG http://www.rdpg.org/ ----- Message d'origine ---- De : Guy Biwagou-B À : Simeon Ekoga Cc : Paul Okili-Boyer ; Sylvain Ndong ; Angoue Malekou Envoyé le : Mardi, 30 Septembre 2008, 22h48mn 44s Objet : Agora Bonsoir mon cher frere Simeon, Nombreux sont ceux qui sont sur ma "Mass mailing list" qui ne veulent plus recevoir les messages d'Agora. Est-il possible que tu m'aides dans ce sens? Sincerement je voudrais sauver mes bonnes relations avec tout ce monde. En plus, c'est dans leur droit de dire oui ou non. On ne peut pas le leur refuser. Esperant que tu m'auras compris, je vais devoir alors te quitter sur ces mots. Bonne chance au Forum. Mais avec un peu plus de sagesse cette fois-ci. Fraternellement Guy Roger Biwagou Biwagou From protected at yahoo.fr Wed Oct 1 21:37:53 2008 From: protected at yahoo.fr (Paul Armand Mombey Indaki) Date: Wed, 01 Oct 2008 21:37:53 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: ils sont libres Message-ID: Merci pour l'info. Je consulterai les dernieres "update" du site. ----- Message d'origine ---- De : dictateurs stop À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Lundi, 29 Septembre 2008, 21h59mn 56s Objet : [BDPalabres] ils sont libres la question que pose l'ami PAul Armand Mbombey a déjà été répondu par le Dr Daniel Mengara, que dit le BDP (voir article de clarifications sur leur site): ttes les structures du BDP ont été dissoutes. le seul responsable visible et officiel dans la diaspora est le Dr Ella. tous les anciens membres et nouveaux qui s'expriment ds les forums et sur leur blog le font à titre personnel. ceci n'engage pas le BDP. ils sont libres.... From protected at gmail.com Wed Oct 1 21:57:20 2008 From: protected at gmail.com (Sylvain Ndong) Date: Wed, 01 Oct 2008 21:57:20 -0400 Subject: [BDPalabres] Suppression caduque des emails sur Agora... Message-ID: Cher Ami Biwagou, Vous venez de demander à sieur Siméon Jean Ekoga de retirer certains emails de votre entourage de son fameux forum Agora. Hum, j'ai bien peur que vous ne préchiez dans le désert, car combien de fois des compatriotes libres ont-ils demandé, dans une volonté de jouissance de leur liberté, de ne plus vouloir recevoir des emails d'Agora ? Mais notre faux opposant en chef n'en a que cure, car il ne connaît pas le sens de l'honneur, ce sens de l'honneur qui lui commande pourtant : - de reconnaître sa vraie nationalité française - de ne pas usurper des noms d'emprunt (Maroundou, Edzodzomo, Boussamba...) sur le net, pour oser calomnier des gens qui sont de loin bien au dessus de lui en tout et pour tout, et de s'exprimer ouvertement avec les couilles d'un homme (qu'il n'a peut-être plus, vu qu'il porte de temps en temps des jupes d'une certaine dame Maroundou) - de faire preuve de grattitude, vis-à-vis des gens comme Sylvain NDONG que je suis, qui ont financé des mois entiers son site Internet, menacé de fermeture. S'il était un homme d'honneur, il m'aurait tout simplement remboursé cet argent, obtenu à la sueur de mon front, pas en se randant à LBV, raser les mûrs pour espérer une enveloppe kaki, comme il se bat encore depuis son retour en 2003 afin d'y retourner. Au moins avec ce remboursement, je pourrais rembourser les 450 euros qu'il me dit devoir à son nouveau pseudo Edzodzomo. Mais non au lieu de reconnaître mon mecennat, il se fourvoit dans la forfaiture. Animalité et ingratitude quand tu me tiens ! Le journal "Le Nganga", dans sa parution du mercredi 24 septembre 2008 (que je vous mets d'ailleurs en pièce jointe), l'a dit dans sa page 8, je cite : "C'est dans le fameux forum de discussions «Agora», créé et animé par une âme en panne d'inspiration, Siméon Ekoga, que ces pseudo-intellos font passer leur message négationniste." Voyez-vous, même la presse locale, lue par un grand nombre de nos compatriotes, a pris la mesure de la légèreté intrésèque du bonhomme et de ses oeuvres ; d'ailleurs, Jésus-Christ ne disait-il pas qu'"on reconnaît un arbre à ses fruits" ? Agora est le fruit de la "tête sans cervelle" (Cf. Le BDP) d'un gardien de nuit nommé Ekoga, dont l'"âme est en panne d'inspiration" (Cf. Le Nganga), que croyez-vous qu'il puisse comprendre à vos nobles recriminations ! D'ailleurs, il suffit de lire la réponse qu'il vous donne par rapport à cela : totalement hors sens. Enfin, bonne chance quand-même... Bien de choses à vous Sylvain Ndong ----- Original Message ----- From: Simeon EKOGA To: Guy Biwagou-B ; Cc: Paul Okili-Boyer ; Sylvain Ndong ; Angoue Malekou Sent: Wednesday, October 01, 2008 9:36 AM Subject: Re : Agora Je vous invite à découvrir dans l'Edition Internationale en français du journal « NewAfrican » numéro 5 qui vient de paraître, un article sur le Gabon. ----* à partir de la page 60 Cordialement Siméon J Francis EKOGA Président du RDPG http://www.rdpg.org/ ----- Message d'origine ---- De : Guy Biwagou-B À : Simeon Ekoga dmengara at bdpgabon.org Cc : Paul Okili-Boyer Sylvain Ndong ; Angoue Malekou Envoyé le : Mardi, 30 Septembre 2008, 22h48mn 44s Objet : Agora Bonsoir mon cher frere Simeon, Nombreux sont ceux qui sont sur ma "Mass mailing list" qui ne veulent plus recevoir les messages d'Agora. Est-il possible que tu m'aides dans ce sens? Sincerement je voudrais sauver mes bonnes relations avec tout ce monde. En plus, c'est dans leur droit de dire oui ou non. On ne peut pas le leur refuser. Esperant que tu m'auras compris, je vais devoir alors te quitter sur ces mots. Bonne chance au Forum. Mais avec un peu plus de sagesse cette fois-ci. Fraternellement Guy Roger Biwagou Biwagou From protected at gmail.com Wed Oct 1 22:17:36 2008 From: protected at gmail.com (Sylvain Ndong) Date: Wed, 01 Oct 2008 22:17:36 -0400 Subject: [BDPalabres] Suppression caduque des emails sur Agora... Message-ID: Cher Ami Biwagou, Vous venez de demander à sieur Siméon Jean Ekoga de retirer certains emails de votre entourage de son fameux forum Agora. Hum, j'ai bien peur que vous ne préchiez dans le désert, car combien de fois des compatriotes libres ont-ils demandé, dans une volonté de jouissance de leur liberté, de ne plus vouloir recevoir des emails d'Agora ? Mais notre faux opposant en chef n'en a que cure, car il ne connaît pas le sens de l'honneur, ce sens de l'honneur qui lui commande pourtant : - de reconnaître sa vraie nationalité française - de ne pas usurper des noms d'emprunt (Maroundou, Edzodzomo, Boussamba...) sur le net, pour oser calomnier des gens qui sont de loin bien au dessus de lui en tout et pour tout, et de s'exprimer ouvertement avec les couilles d'un homme (qu'il n'a peut-être plus, vu qu'il porte de temps en temps des jupes d'une certaine dame Maroundou) - de faire preuve de grattitude, vis-à-vis des gens comme Sylvain NDONG que je suis, qui ont financé des mois entiers son site Internet, menacé de fermeture. S'il était un homme d'honneur, il m'aurait tout simplement remboursé cet argent, obtenu à la sueur de mon front, pas en se randant à LBV, raser les mûrs pour espérer une enveloppe kaki, comme il se bat encore depuis son retour en 2003 afin d'y retourner. Au moins avec ce remboursement, je pourrais rembourser les 450 euros qu'il me dit devoir à son nouveau pseudo Edzodzomo. Mais non au lieu de reconnaître mon mecennat, il se fourvoit dans la forfaiture. Animalité et ingratitude quand tu me tiens ! Le journal "Le Nganga", dans sa parution du mercredi 24 septembre 2008 (que je vous mets d'ailleurs en pièce jointe), l'a dit dans sa page 8, je cite : "C'est dans le fameux forum de discussions «Agora», créé et animé par une âme en panne d'inspiration, Siméon Ekoga, que ces pseudo-intellos font passer leur message négationniste." Voyez-vous, même la presse locale, lue par un grand nombre de nos compatriotes, a pris la mesure de la légèreté intrésèque du bonhomme et de ses oeuvres ; d'ailleurs, Jésus-Christ ne disait-il pas qu'"on reconnaît un arbre à ses fruits" ? Agora est le fruit de la "tête sans cervelle" (Cf. Le BDP) d'un gardien de nuit nommé Ekoga, dont l'"âme est en panne d'inspiration" (Cf. Le Nganga), que croyez-vous qu'il puisse comprendre à vos nobles recriminations ! D'ailleurs, il suffit de lire la réponse qu'il vous donne par rapport à cela : totalement hors sens. Enfin, bonne chance quand-même... Bien de choses à vous Sylvain Ndong ----- Original Message ----- From: Simeon EKOGA To: Guy Biwagou-B ; Cc: Paul Okili-Boyer ; Sylvain Ndong ; Angoue Malekou Sent: Wednesday, October 01, 2008 9:36 AM Je vous invite à découvrir dans l'Edition Internationale en français du journal « NewAfrican » numéro 5 qui vient de paraître, un article sur le Gabon. ----* à partir de la page 60 Cordialement Siméon J Francis EKOGA Président du RDPG http://www.rdpg.org/ ----- Message d'origine ---- De : Guy Biwagou-B À : Simeon Ekoga Cc : Paul Okili-Boyer Sylvain Ndong ; Angoue Malekou Envoyé le : Mardi, 30 Septembre 2008, 22h48mn 44s Objet : Agora Bonsoir mon cher frere Simeon, Nombreux sont ceux qui sont sur ma "Mass mailing list" qui ne veulent plus recevoir les messages d'Agora. Est-il possible que tu m'aides dans ce sens? Sincerement je voudrais sauver mes bonnes relations avec tout ce monde. En plus, c'est dans leur droit de dire oui ou non. On ne peut pas le leur refuser. Esperant que tu m'auras compris, je vais devoir alors te quitter sur ces mots. Bonne chance au Forum. Mais avec un peu plus de sagesse cette fois-ci. Fraternellement Guy Roger Biwagou Biwagou From protected at gmail.com Wed Oct 1 23:32:23 2008 From: protected at gmail.com (Sylvain Ndong) Date: Wed, 01 Oct 2008 23:32:23 -0400 Subject: [BDPalabres] Suppression caduque des emails sur Agora... Message-ID: Cher Ami Biwagou, Vous venez de demander à sieur Siméon Jean Ekoga de retirer certains emails de votre entourage de son fameux forum Agora. Hum, j'ai bien peur que vous ne préchiez dans le désert, car combien de fois des compatriotes libres ont-ils demandé, dans une volonté de jouissance de leur liberté, de ne plus vouloir recevoir des emails d'Agora ? Mais notre faux opposant en chef n'en a que cure, car il ne connaît pas le sens de l'honneur, ce sens de l'honneur qui lui commande pourtant : - de reconnaître sa vraie nationalité française - de ne pas usurper des noms d'emprunt (Maroundou, Edzodzomo, Boussamba...) sur le net, pour oser calomnier des gens qui sont de loin bien au dessus de lui en tout et pour tout, et de s'exprimer ouvertement avec les couilles d'un homme (qu'il n'a peut-être plus, vu qu'il porte de temps en temps des jupes d'une certaine dame Maroundou) - de faire preuve de grattitude, vis-à-vis des gens comme Sylvain NDONG que je suis, qui ont financé des mois entiers son site Internet, menacé de fermeture. S'il était un homme d'honneur, il m'aurait tout simplement remboursé cet argent, obtenu à la sueur de mon front, pas en se randant à LBV, raser les mûrs pour espérer une enveloppe kaki, comme il se bat encore depuis son retour en 2003 afin d'y retourner. Au moins avec ce remboursement, je pourrais rembourser les 450 euros qu'il me dit devoir à son nouveau pseudo Edzodzomo. Mais non au lieu de reconnaître mon mecennat, il se fourvoit dans la forfaiture. Animalité et ingratitude quand tu me tiens ! Le journal "Le Nganga", dans sa parution du mercredi 24 septembre 2008 (que je vous mets d'ailleurs en pièce jointe), l'a dit dans sa page 8, je cite : "C'est dans le fameux forum de discussions «Agora», créé et animé par une âme en panne d'inspiration, Siméon Ekoga, que ces pseudo-intellos font passer leur message négationniste." Voyez-vous, même la presse locale, lue par un grand nombre de nos compatriotes, a pris la mesure de la légèreté intrésèque du bonhomme et de ses oeuvres ; d'ailleurs, Jésus-Christ ne disait-il pas qu'"on reconnaît un arbre à ses fruits" ? Agora est le fruit de la "tête sans cervelle" (Cf. Le BDP) d'un gardien de nuit nommé Ekoga, dont l'"âme est en panne d'inspiration" (Cf. Le Nganga), que croyez-vous qu'il puisse comprendre à vos nobles recriminations ! D'ailleurs, il suffit de lire la réponse qu'il vous donne par rapport à cela : totalement hors sens. Enfin, bonne chance quand-même... Bien de choses à vous Sylvain Ndong ----- Original Message ----- From: Simeon EKOGA To: Guy Biwagou-B ; Cc: Paul Okili-Boyer ; Sylvain Ndong ; Angoue Malekou Sent: Wednesday, October 01, 2008 9:36 AM Je vous invite à découvrir dans l'Edition Internationale en français du journal « NewAfrican » numéro 5 qui vient de paraître, un article sur le Gabon. ----* à partir de la page 60 Cordialement Siméon J Francis EKOGA Président du RDPG http://www.rdpg.org/ ----- Message d'origine ---- De : Guy Biwagou-B À : Simeon Ekoga Cc : Paul Okili-Boyer Sylvain Ndong ; Angoue Malekou Envoyé le : Mardi, 30 Septembre 2008, 22h48mn 44s Objet : Agora Bonsoir mon cher frere Simeon, Nombreux sont ceux qui sont sur ma "Mass mailing list" qui ne veulent plus recevoir les messages d'Agora. Est-il possible que tu m'aides dans ce sens? Sincerement je voudrais sauver mes bonnes relations avec tout ce monde. En plus, c'est dans leur droit de dire oui ou non. On ne peut pas le leur refuser. Esperant que tu m'auras compris, je vais devoir alors te quitter sur ces mots. Bonne chance au Forum. Mais avec un peu plus de sagesse cette fois-ci. Fraternellement Guy Roger Biwagou Biwagou From protected at gmail.com Thu Oct 2 09:34:47 2008 From: protected at gmail.com (Sylvain Ndong) Date: Thu, 02 Oct 2008 09:34:47 -0400 Subject: [BDPalabres] Suppression caduque des emails sur Agora... Message-ID: Cher Ami Biwagou, Vous venez de demander à sieur Siméon Jean Ekoga de retirer certains emails de votre entourage de son fameux forum Agora. Hum, j'ai bien peur que vous ne préchiez dans le désert, car combien de fois des compatriotes libres ont-ils demandé, dans une volonté de jouissance de leur liberté, de ne plus vouloir recevoir des emails d'Agora ? Mais notre faux opposant en chef n'en a que cure, car il ne connaît pas le sens de l'honneur, ce sens de l'honneur qui lui commande pourtant : - de reconnaître sa vraie nationalité française - de ne pas usurper des noms d'emprunt (Maroundou, Edzodzomo, Boussamba...) sur le net, pour oser calomnier des gens qui sont de loin bien au dessus de lui en tout et pour tout, et de s'exprimer ouvertement avec les couilles d'un homme (qu'il n'a peut-être plus, vu qu'il porte de temps en temps des jupes d'une certaine dame Maroundou) - de faire preuve de grattitude, vis-à-vis des gens comme Sylvain NDONG que je suis, qui ont financé des mois entiers son site Internet, menacé de fermeture. S'il était un homme d'honneur, il m'aurait tout simplement remboursé cet argent, obtenu à la sueur de mon front, pas en se randant à LBV, raser les mûrs pour espérer une enveloppe kaki, comme il se bat encore depuis son retour en 2003 afin d'y retourner. Au moins avec ce remboursement, je pourrais rembourser les 450 euros qu'il me dit devoir à son nouveau pseudo Edzodzomo. Mais non au lieu de reconnaître mon mecennat, il se fourvoit dans la forfaiture. Animalité et ingratitude quand tu me tiens ! Le journal "Le Nganga", dans sa parution du mercredi 24 septembre 2008 (que je vous mets d'ailleurs en pièce jointe), l'a dit dans sa page 8, je cite : "C'est dans le fameux forum de discussions «Agora», créé et animé par une âme en panne d'inspiration, Siméon Ekoga, que ces pseudo-intellos font passer leur message négationniste." Voyez-vous, même la presse locale, lue par un grand nombre de nos compatriotes, a pris la mesure de la légèreté intrésèque du bonhomme et de ses oeuvres ; d'ailleurs, Jésus-Christ ne disait-il pas qu'"on reconnaît un arbre à ses fruits" ? Agora est le fruit de la "tête sans cervelle" (Cf. Le BDP) d'un gardien de nuit nommé Ekoga, dont l'"âme est en panne d'inspiration" (Cf. Le Nganga), que croyez-vous qu'il puisse comprendre à vos nobles recriminations ! D'ailleurs, il suffit de lire la réponse qu'il vous donne par rapport à cela : totalement hors sens. Enfin, bonne chance quand-même... Bien de choses à vous Sylvain Ndong ----- Original Message ----- From: Simeon EKOGA To: Guy Biwagou-B ; Cc: Paul Okili-Boyer ; Sylvain Ndong ; Angoue Malekou Sent: Wednesday, October 01, 2008 9:36 AM Je vous invite à découvrir dans l'Edition Internationale en français du journal « NewAfrican » numéro 5 qui vient de paraître, un article sur le Gabon. ----* à partir de la page 60 Cordialement Siméon J Francis EKOGA Président du RDPG ----- Message d'origine ---- De : Guy Biwagou-B À : Simeon Ekoga Cc : Paul Okili-Boyer Sylvain Ndong ; Angoue Malekou Envoyé le : Mardi, 30 Septembre 2008, 22h48mn 44s Bonsoir mon cher frere Simeon, Nombreux sont ceux qui sont sur ma "Mass mailing list" qui ne veulent plus recevoir les messages d'Agora. Est-il possible que tu m'aides dans ce sens? Sincerement je voudrais sauver mes bonnes relations avec tout ce monde. En plus, c'est dans leur droit de dire oui ou non. On ne peut pas le leur refuser. Esperant que tu m'auras compris, je vais devoir alors te quitter sur ces mots. Bonne chance au Forum. Mais avec un peu plus de sagesse cette fois-ci. Fraternellement Guy Roger Biwagou Biwagou From protected at yahoo.fr Thu Oct 2 09:44:52 2008 From: protected at yahoo.fr (Simeon EKOGA) Date: Thu, 02 Oct 2008 09:44:52 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Suppression caduque des emails sur Agora... Message-ID: Sylvain, mon cher petit frère Le nganga, un journal à la solde du régime, le journal de Samuel Mbaye, le patron des services secrets de la Présidence, devient dorénavant la "bible" de référence de l'opposition voire de la diaspora gabonaise? Mon Dieu, je crois rêver ! En plus, ce que raconte le nganga est archi faux et tu le sais très bien. Bref ! Mon frère Sylvain, et pour ceux qui ne le savent pas ; un hébergement internet coûte à peine environ 100 € / an, donc toi Mr Ndong me donnait à moi Ekoga, exactement 8 € 33 tous les mois pour "sauver" le site? Rire, C'est vraiment pathétique ! En tout cas, merci pour ta générosité. Je préfère ne faire aucun commentaire dans ce sens. Certains esprits éclairés auront compris d'eux mêmes les enfantillages d'un frère que je pardonne sincèrement du fond du coeur. Sylvain, mon frère, revient à la réalité. Tu as du être ou tu es entrain d'être "roulé" dans tout ce qui se passe. Je t'appelle mon frère, car tu l'es quand même au delà de cette "agitation" sur internet. Je ne vais pas enfoncer le clou mon frère Sylvain, je te laisse devant ta propre conscience. Tu dois déjà avoir assez de soucis comme ça. J'aurais au moins eu le mérite de t'interpeller d'abord discrètement (à 2), ensuite publiquement. En politique, on récolte inéluctablement ce que l'on a semé. Tu es mon frère et tu le resteras. Comme d'autres avant toi, tu ne racontes que des choses pour faire mal, mais puisque tout repose sur du faux, il n y aura aucun impact et ça ne m'atteint pas. Si un jour, il t'arrive de te regarder dans un miroir, de réaliser que tu es allé très loin dans la "bêtise" envers moi et t'excuser; je te pardonnerais tous tes égarements. Je te répète publiquement que tu es et resteras mon frère ! Je me refuse dorénavant tout échange public de ce genre avec toi et avec quiconque sur internet. Si je me sens obligé un jour de te parler, t'interpeller sur un sujet quelconque, je le ferais directement. Prends soin de toi Fraternellement Siméon J Francis Ekoga P.s : je t' invite à découvrir dans l'Edition Internationale en français du journal « NewAfrican » numéro 5 qui vient de paraître, un article sur le Gabon. C'est loin du "Nganga", y a pas match. Je te connais assez critique, on pourra en parler quand tu veux ? J'ai quitté la "guéguerre" sur internet. Je ne suis plus là dedans. ----- Message d'origine ---- De : Sylvain Ndong Envoyé le : Mercredi, 1 Octobre 2008, 14h43mn 20s Objet : Suppression caduque des emails sur Agora... Cher Ami Biwagou, Vous venez de demander à sieur Siméon Jean Ekoga de retirer certains emails de votre entourage de son fameux forum Agora. Hum, j'ai bien peur que vous ne préchiez dans le désert, car combien de fois des compatriotes libres ont-ils demandé, dans une volonté de jouissance de leur liberté, de ne plus vouloir recevoir des emails d'Agora ? Mais notre faux opposant en chef n'en a que cure, car il ne connaît pas le sens de l'honneur, ce sens de l'honneur qui lui commande pourtant : - de reconnaître sa vraie nationalité française - de ne pas usurper des noms d'emprunt (Maroundou, Edzodzomo, Boussamba...) sur le net, pour oser calomnier des gens qui sont de loin bien au dessus de lui en tout et pour tout, et de s'exprimer ouvertement avec les couilles d'un homme (qu'il n'a peut-être plus, vu qu'il porte de temps en temps des jupes d'une certaine dame Maroundou) - de faire preuve de grattitude, vis-à-vis des gens comme Sylvain NDONG que je suis, qui ont financé des mois entiers son site Internet, menacé de fermeture. S'il était un homme d'honneur, il m'aurait tout simplement remboursé cet argent, obtenu à la sueur de mon front, pas en se randant à LBV, raser les mûrs pour espérer une enveloppe kaki, comme il se bat encore depuis son retour en 2003 afin d'y retourner. Au moins avec ce remboursement, je pourrais rembourser les 450 euros que je suis sensé devoir à son nouveau pseudo Edzodzomo. Mais non au lieu de reconnaître mon mecennat (animalité et ingratitude quqnd tu me tiens, il se fourvoit dans l'inforfaiture). Le journal "Le Nganga", dans sa parution du mercredi 24 septembre 2008 (que je vous mets d'ailleurs en pièce jointe), l'a dit dans sa page 8, je cite : "C'est dans le fameux forum de discussions «Agora», créé et animé par une âme en panne d'inspiration, Siméon Ekoga, que ces pseudo-intellos font passer leur message négationniste." Voyez-vous, même la presse locale, lue par un grand nombre de nos compatriotes, a pris la mesure de la légèreté intrésèque du bonhomme et de ses oeuvres ; d'ailleurs, Jésus-Christ ne disait-il pas qu'"on reconnaît un arbre à ses fruits" ? Agora est le fruit de la "tête sans cervelle" (Cf. Le BDP) d'un gardien de nuit nommé Ekoga, dont l'"âme est en panne d'inspiration" (Cf. Le Nganga), que croyez-vous qu'il puisse comprendre à vos nobles recriminations ! D'ailleurs, il suffit de lire la réponse qu'il vous donne par rapport à cela : totalement hors sens. Enfin, bonne chance quand-même... Bien de choses à vous Sylvain Ndong From protected at yahoo.fr Thu Oct 2 09:58:09 2008 From: protected at yahoo.fr (Simeon EKOGA) Date: Thu, 02 Oct 2008 09:58:09 -0400 Subject: [BDPalabres] Tr : Le forum AGORA et le site du RDPG fonctionnent correctement, malgré l'intoxication véhiculée par le gang du net Message-ID: Chers compatriotes, Nous au RDPG, avons été alerté par de nombreux témoignages de nos sympathisants et militants sur le fait que certains concitoyens à la solde du régime de Libreville - en mal de sensations et spécialisés dans la désinformation, la manipulation et l’intoxication mentales… - font courir depuis plusieurs jours sur internet (mails et blogs) de folles rumeurs sur mon éventuelle arrestation à Paris ou que je serais en cavale pour échapper à des poursuites judiciaires intentées par le « loup blanc ». D’ailleurs, ces compatriotes qui ne se sont pas privés dans leurs âneries, ont choisi de ne pas s’arrêter en si bon chemin : ils ont aussi annoncé – dans leurs mythomanies - la fermeture du site du RDPG et de son forum AGORA par des huissiers de justice, suite à une plainte déposée par un individu qui a vite fait d’enfler la rumeur, en se pavanant sur des blogs pour le confirmer… Une bande de « pieds nickelés » doublée d’être des hypocrites! Pourquoi le « loup blanc » mentirait comme un gamin à son âge ? JE TIENS AU NOM DU RDPG, QUE JE PRESIDE, A RASSURER TOUS NOS SYMPATHISANTS, MILITANTS, AMIS ET CONNAISSANCES, POUR LEUR AFFIRMER QUE TOUTES CES INFORMATIONS SONT ERRONEES, FANTAISISTES, MENSONGERES ET DENUEES DE TOUT FONDEMENT : LA DESINFORMATION PURE ET SIMPLE… IL N’EN EST RIEN : 1) LE FORUM AGORA EST « OUVERT » ET BIEN ACTIF… IL Y A EU UNE INTERRUPTION DE QUELQUES JOURS POUR DES TRAVAUX DE MAINTENANCE. 2) SIMEON J FRANCIS EKOGA N’A JAMAIS ETE ARRETE PAR QUI QUE CE SOIT ET AUCUNE POURSUITE JUDICIAIRE N’EST ENGAGEE CONTRE SA PERSONNE… IL EST BEL ET BIEN A PARIS ET NON EN CAVALE. 3) LE SITE DU RDPG EST « OUVERT » ET CONTINUELLEMENT MIS A JOUR… Alors, cette association de malfaiteurs, j’allais dire de « mercenaires politiques » a créé des blogs internet en prenant soin de me déprécier au passage. Ces « gangsters du net » ont jugé intéressant d’y inclure – au menu - de l’injure pure envers ma personne, traitée de tous les noms, de tous les maux… Que puis je leur dire pour les rassurer ? Votre campagne de dénigrement et de déstabilisation en continu sur ma personne, vos insultes, mensonges, calomnies… sont des piqûres d’un moustique sur la fesse d’un éléphant… Depuis lors je suis immunisé contre vos futilités… Ne pensez-vous pas qu’il serait temps d’inventer autre chose pour m’ébranler ? Le ridicule et l’opprobre vont vous démolir très certainement. La cerise sur le gâteau ; même ma jeune fille âgée de 14 ans (seulement) a été nommément citée dans un pronunciamiento éclatant : « qu’elle fasse attention en dessous de sa jupe » ; en clair une allusion au viol envers cette dernière faite par le félon, « l’homme qui dit toucher 900€ par jour de travail au Luxembourg », comme menace et intimidation. Une plainte a d’ailleurs été déposée dans ce sens contre ce lugubre personnage. Subséquemment, combien « le millionnaire » (qui a détourné 450 € à un vieux paumé) a-t-il touché de la part du régime, puisqu’il a radicalement changé et est devenu, sans raison apparente mon « insulteur attitré » – depuis son retour du Gabon, où il est allé en clando prendre sa feuille de route auprès de qui nous savons - et a opté pour le « mercenariat politique » ? C’est pathétique ! Voilà un membre du « gang du net » reconverti pour devenir sous peu violeur ou pédophile… Idiotie quand tu nous prends ! Cela devient vachement grotesque qu’on se doit de se poser alors les vraies questions : qu’il faille en pleurer ou en rire ? Il est temps de commencer par s’inquiéter sur l’état mental des uns et des autres. Ils foncent tête baissée dans l’ignominie et continuent de prendre leurs rêveries pour des réalités. Ils sont prêts à tout pour exister politiquement hors du Gabon et rentrer au pays en tant que diaspora gabonaise. Pitié, c’est triste ! Il n y a qu’à voir cette association hétéroclite, composée de : gazelles, lions, loups, pythons, éléphants… On attend avec impatience de voir qui mangera l’autre en premier… On va bien rigoler ! Franchement, comment et pourquoi comprendre que des compatriotes qui se réclament pourtant officiellement de l’opposition, peuvent –ils vraiment se fourvoyer dans la bêtise, la délinquance et le mercenariat politiques qui les conduiront inéluctablement dans les égouts de l’histoire du Gabon… ? Ils ne font nullement aucune allusion aux souffrances des populations gabonaises qui croupissent dans la misère dans leurs fréquentes déclarations. Mystère ? Ils n’ont qu’un seul projet politique : la campagne de déstabilisation, de dénigrement, de calomnie et de mensonges envers le RDPG et moi-même (qui ne sommes pas responsables du déclin du Gabon, qui n’avons jamais géré le pays, nous n’avons pas également un bilan à défendre ou mieux, nous ne sommes pas au pouvoir…) n’apportera rien, elle est vouée à l’échec. C’est de la DISTRACTION, de la DIVERSION. Les gabonais ne sont pas dupes, ils ont compris pour qui travaillent ces individus ! Le RDPG va contribuer à faire émerger une « vraie » démocratie que ces « ennemis du peuple gabonais » qu’ils sont, le veuillent ou pas. Honte à eux ! Frantz Fanon a dit : « A chaque génération sa mission, la servir ou la trahir… ? ». J’ai pris sur moi de servir ma « génération » au péril de ma vie. Ce n’est pas l’intrigue, la menace, et l’insulte, encore moins la désinformation qui me feront reculer. Je me suis engagé en politique en sachant que cela n’était pas aisé. Pour moi c’est devenu un sacerdoce que de servir et défendre le peuple gabonais auquel je m’identifie. En clair, présentement je n’ai peur ni d’une arrestation, ni d’un assassinat, c'est-à-dire la mort… J’ai sincèrement du mépris pour tous ceux qui inspirent ces coups bas et autres intrigues à un sou contre ma personne. Non seulement je RESISTE, mais cela me rend FORT. Qu’on se le dise sincèrement entre nous aujourd’hui et faîtes le savoir à qui de droit ; ma détermination à lutter pour la « libération » du Gabon est sans équivoque et ne souffre d’aucune confusion. Cela fait presque un demi-siècle que le système en place a eu la latitude de proposer ses projets de société. Rien de concret n’a été fait pour soulager les souffrances des populations gabonaises. Ce n’est pas maintenant, que le président de la République et ses stratèges, à court de projets novateurs, peuvent convaincre les Gabonais. La transition devient de ce fait inéluctable, car elle va catalyser les mutations relatives à l’alternance démocratique, entendez par-là, le changement de régime. Aussi, je confirme à la face du monde que l’écrasante majorité des Gabonais est unie dans sa souffrance. 95 % des gabonais ont les mêmes problèmes : pauvreté, chômage, éducation des enfants, accès à la santé et au logement. Les habitants du « grand » Nord, Woleu Ntem ont besoin d’eau potable, comme ceux de la province la Ngounié. Ceux de l’Ogooué Lolo ont besoin de routes pour désenclaver leur région et évacuer leurs produits sur le marché, exactement comme ceux de la Nyanga. L’hôpital public de Port Gentil n’a pas plus de médicaments de même que celui d’Oyem. Les écoles publiques de Tchibanga sont aussi déglinguées que celles de Franceville. L’eau potable est aussi rare à Mouila qu’elle l’est à Makokou. L’électricité est un luxe à Booué, tout comme elle l’est à Moutassou ou Bitam. Omboué demeure une ville enclavée, coupée du monde, tout comme Mayumba et Gamba. La misère est aussi violente à Ngouoni qu’à Mitzic. Le clan au pouvoir au Gabon, gouverne ce pays de façon absolument égoïste. Sa préoccupation essentielle est d’approvisionner ses comptes en banque à l’étranger et de s’en mettre plein les poches, sans se soucier du peuple gabonais qui manque de tout et moisit dans le dénuement, la pauvreté... Bongo et son régime affament et musèlent les populations du Gabon. La patrie ou la mort, nous vaincrons ! Siméon J Francis EKOGA Président du RDPG From protected at yahoo.fr Thu Oct 2 10:11:30 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Thu, 02 Oct 2008 10:11:30 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Annonce Officielle Message-ID: Cher compatriote, Cher Paul, Vous avez été dans votre droit et vous l'avez exercé. Je ne crois pas qu'il y ait qui que ce soit qui puisse vous le reprocher. Je voudrais espérer que cette action puisse servir d'enseignement pour ceux qui, à nouveau, seraient tentés par des tels excès. Chacun aura compris que la liberté d'expression s'arrête lorsqu'elle porte atteinte à l'intégrité de chacun. Nul ne peut etre à l'abri du droit. Je voudrais simplement espérer que sur la liste des 25 adresses électroniques ne figurent que celles des personnes qui vous ont attaqué et non celles de tout venant participant aux débats sur le forum. Pouvez vous me rassurer sur le fait que mon adresse e-mail n'ait pas été concerné par votre démarche? Merci et salutations cordiales. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Jeu 2.10.08, Paul Okili-Boyer a écrit : De: Paul Okili-Boyer Objet: [BDPalabres] Re: Annonce Officielle À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Jeudi 2 Octobre 2008, 3h33 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Il n'y a aucune animosité de ma part dans le fait que mes avocats aient demandés a faire ouvrir certaines boites mails sous controle d'Huissiers et avec l'aval du président du Tribunal. Suite a celà beaucoup de choses néfastes ont été trouvée a l'encontre de Siméon J F Ekoga et de ses nombreux et connus Pseudos. Que ceux qui par erreur ont été génés qu'Ils m'excusent , sinon Ils ont aussi moyen en écrivant a la C.N.I.L. de demander réparation si cela a mis en cause leur Vie privée. Je n'ai pas eu tous les résultats , mais d'apres mon avocat celà est explosif , vis a vis du "promoteur " du Site AGORA. Donc les plaintes ont été amplifiées a son encontre , Il faut que les Arrivistes, et Diffamateurs soient condamnés très sévèrement....et la cela va etre le cas pour ce Monsieur. quand a l'article du Nganga a ce lien http://okili.fr Il devient de ce fait caduc et je ferais proceder a un rectificatif A l'encontre de Monsieur le Président Mamboundou de l'U.P.G. ,de Mr et Mme Mouloungui , et de Monsieeur Sylvain Ndong j'ai retiré mes Plaintes grace à la médiation de Mr Guy Roger Biwagou , de Monsieur Sylvain Ndong , et aux très sages conseils d'un Homme de Respect le Docteur Mengara Minko ..que je remercie fortement , car si Un jour la Diaspora se concentre et se réunifie pour être plus forte , Il en sera un des premiers qui aura montré le Cheminement. Paul Okili-Boyer From protected at gmail.com Thu Oct 2 10:20:13 2008 From: protected at gmail.com (Petit Léon MBA-MINKO) Date: Thu, 02 Oct 2008 10:20:13 -0400 Subject: [BDPalabres] Omar BONGO va demissionner Message-ID: Avec ce nième scandale bordelais dont parlent tous les journaux du monde entier, suite à l'affaire des 300.000.000 FCFA dans laquelle le président gabonais est UNE FOIS DE PLUS impliqué, il est quand-même de bon sens qu’Omar BONGO ONDIMBA démissionne aussitôt de son poste de président du Gabon. Vous imaginez une seule minute le président français, Nicolas SARKOZY, impliqué dans une telle affaire ? Il démissionnera le jour même, ou s'il refuse, le Conseil d'Etat français le lui imposera. Voilà Thabo MBEKI qui vient de rendre son tablier, pour une simple petite affaire de faux témoignage. C'est ça qu'on attend des vrais présidents, cher Bongo. Donc, s'il vous plaît, président Bongo, ayez quand-même un peu de fierté, et démissionnez comme le ferait un autre président crédible. C'est quoi finalement ce pays, le GABON, où les gens ne connaissent plus du tout la honte ! C'est une HONTE monsieur Bongo, que l'on vous retrouve à chaque fois dans la plupart des affaires maffieuses de l'Afrique noire. Le gabonais serait-il en fin de compte, de par votre exemple, un éternel magouilleur, un authentique "fayman" ou un pauvre crétin toujours à l'affût des coups tordus, comme vous ne cessez de le démontrer à la face du monde depuis 1967 ?! En tout cas, vos élans d'escroc et de président sans honte, c'est ce que le monde entier est en train de retenir, tout en se demandant si tous ces gabonais, quils accueillent dans leurs pays et qui travaillent dans leurs sociétés occidentales, ne seraient finalement pas tous pareils, tous des escrocs sans scrupule comme leur président, à l'affiche des principaux scandales de magouilles depuis son accession au pouvoir. Vous êtes LA HONTE du GABON et de TOUT le peuple gabonais, monsieur BONGO. Les gabonais sont de plus en plus la risée des autres peuples, que ce soit en Afrique, en Europe comme dans le reste du monde. Est-ce cela, l'héritage que vous allez nous léguer, monsieur Bongo, après votre mort, puisque tous les gabonais savent que vous tenez absolument à mourir au pouvoir, en trichant systématiquement aux élections. Est-ce cela, ce que la mémoire populaire retiendra de vous, un feu-président escroc, racoleur, tricheur, fayman ? Pourquoi ne prenez-vous pas l'exemple sur votre illustre prédécesseur, le président feu Léon MBA, qui a laissé à son pays des mémoires de probité morale, d’éthique, de droiture et de nationalisme sans pareils, le tout auréolé d’un crédo patriotique plus que jamais légendaire : GABON D’ABORD. Monsieur BONGO, si vous aimez VRAIMENT le Gabon et si vous êtes un temps soit peu soucieux, en dehors de votre seule petite personne, du fait que ce pays, à l’instar de tous les autres qui sont dans le concert des nations, mérite lui aussi de donner, de par son premier Citoyen que vous êtes, CET Exemple de loyauté, de probité et d’honneur, dont ce monde a tant besoin, ALORS, VOUS DEVEZ DEMISSIONNER DÈS CE JOUR DE VOS FONCTIONS DE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DU GABON. En insistant et en vous en foutant, comme nous pressentons que vous allez sans doute encore le faire, vous vous condamnerez, et TOUTE votre famille avec, à payer, TOUTE VOTRE ETERNITE durant, le LOURD tribu que porte désormais CE PAUVRE PEUPLE GABONAIS, depuis 1967, année de début du service de votre âme au DIABLE. NOUS ne voulons plus de VOUS. Nous ne voulons plus que les actes de SATAN, que vous servez et perpétrez au désespoir de notre PEUPLE, entachent la bonne marche de notre PAYS. Nous vous prions de laisser enfin notre pays suivre la voie que lui a laissée feu Président Léon MBA-MINKO. S'IL VOUS PLAIT, ALLEZ-VOUS EN. From protected at yahoo.fr Fri Oct 3 12:16:06 2008 From: protected at yahoo.fr (Simeon EKOGA) Date: Fri, 03 Oct 2008 12:16:06 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Tr : Re : Re : Nationalité d'Ekoga Message-ID: ----- Message transféré ---- De : Simeon EKOGA À : Sylvain Ndong Objet : Re : Re : Nationalité d'Ekoga Sylvain Ndong, pour confondre le "fou" Ekoga, communique de suite à tes "amis" un numéro de téléphone fixe au Luxembourg où ils pourront te joindre. Tu n'y es pas, tu séjournes actuellement à Bruxelles, où tu cherches à refaire ta carte de séjour, tu es actuellement sans papiers en Europe. En fait, pourquoi ne ferais tu pas tes papiers de séjour au Luxembourg où tu résides et prétends travailler? Je suis un homme de réseaux mon petit, "nous" t'avons à l'oeil ! Tu ne pèses pas lourd . Sylvain Ndong, tu t'es fait passer pour Edzodzomo Ela hier soir - par la méthode "fishing depuis un ordinateur à Bruxelles - pour m'insulter, c'est LAMENTABLE ! Tu es devenu un FAUSSAIRE .Tu es à Bruxelles avec un téléphone portable du Luxembourg en "roamaing" *. On y va ! C'est dur quand est pris dans la nasse. Ce n'est pas un jeu de "bambins" la politique. Sylvan Ndong, pour exister "politiquement" et te faire remarqer par le régime, il te faut quotidiennement insulter Ekoga et le mettre en copie aux Pdgistes, aux membres de l'ambassade du gabon, aux membres d'associations pro Bongo de France et au journal de Samuel Mbaye qui tout d'un coup est devenu ton référentiel ? Actions vouées à l'échec, résultat = zéro SE * ROAMING, Itinérance en français. Service proposé par les opérateurs de téléphonie mobile pour permettre l'accès à leurs services depuis l'étranger. ----- Message d'origine ---- De : Sylvain Ndong À : Simeon EKOGA Objet : RE: Re : Nationalité d'Ekoga Grand-frère Siméon (en âge, mais non en intelligence, ni en esprit et encore moins en sagesse), Paul OKILI BOYER, ton ancien ami et « frère », m’a récemment confié, au cours d’un entretien téléphonique, qu’il finira bien par te rendre FOU ; non par le « poison » ou le « mercenariat », mais par la SEULE supériorité d’intelligence qu’il a sur toi, pour avoir fait des études de haut niveau (Sain-Cyr), au moment où toi et tes copains sans abris de Saint-Denis, vous abonniez à l’alcool et à l’odontol. En toute honnêteté, je suis de plus en plus porté à croire que tu commences à manifester les signes pathologiques d’une paranoïa liée à sa prédication, car, en toute honnêteté, je ne reconnais plus le Siméon Jean Francis EKOGA, chez qui je me suis rendu ce dimanche de juillet 2008, avec mes deux petites filles, lui remettre, à la cuisine de son appartement, les quelques dizaines d’euros promis, grâce auxquels il allait pouvoir e survivre son site Internet www.rdpg.org. Te rappelles-tu cher Siméon, que c’est toi-même qui affirmait sur ces mêmes mails, que Sylvain NDONG que je suis, avait, après Bruxelles en Belgique, émigré au Luxembourg avec toute sa famille, pour raisons professionnelles. Quelle « panne d’inspiration de l’âme », quelle « manque de cervelle » ou d’hypophyse, te fait en ce jour penser que le même Sylvain Ndong peut détenir, dans les méandres mentales de son cerveau en bouillie, le don d’ubiquité, qui le permettrait d’écrire, à 21H03, un message de Bruxelles, et y répondre, à 21h57 (heure de mon ordinateur ici au Grand Dûcher) au Luxembourg. En tout cas, vous l’aurez constater mes frères, seul un esprit en phase d’être sublimé par la folie, peut synthétiser pareilles inepties. Sylvain NDONG est bel bien au Grand Dûcher du Luxembourg à l’heure où il écrit ce message. Ceux qui connaissent un minimum les distances qui séparent les pays européens et qui ont encore leur permis de conduire (non encore retiré pour cause de conduite en état d’ivresse éthylique, en provenance de chez « Jean-Jean » à maison-Alfort) peuvent facilement vérifier (par mappy.com) que la distance qui sépare Bruxelles (où notre faux opposant me localise) au moiLuxembourg (où le saoulard attitré de Saint-Denis dis m’avoir vu émigré – ce qui est juste) est d’au moins 300 kilomètres, donc non-reliable en moins de deux heures, et que cette réalité basique n’a d’aucune demi mesure rien à voir avec ce que raconte ce potentiel fou de grand-frère Ekoga. Et ceux qui veulent s’en convaincre peuvent toujours me joindre à partir de mon GSM, que détiennent ceux des frères qui me connaissent bien. Frère Ekoga, en toute fraternité, va à Mélen te soigner, cher Jean. Fais au moins honneur à ce Saint Prophète, JEAN, dont tu usurpes si maladroitement le nom. Surtout, dans ton futur lit de malade mental, n’oublie pas de lire son « Apocalypse », tout en suivant les conseils que t’a donnée notre bienheureuse sÅ“ur Félicité Vincent ce soir. Je te rendrai visite lors de ma prochaine arrivée au Gabon, dans peu. Repose-toi, le docteur M… t’apportera dans bientôt un peu d’insuline pour tes vieux nerfs. Ton Frère Edzodzomo, ah pardon, Sylvain NDONG, qui t’aime quand-même… De : Simeon EKOGA Envoyé : jeudi 2 octobre 2008 21:31 À : Sylvain Ndong Objet : Re : Re : Nationalité d'Ekoga Sylvain Ndong, petit frère, ressaisis toi, il n'est pas trop tard. Je continue de te dire - publiquement - que tu es mon frère. Dans toutes les familles, il y a des problèmes, des palabres. Je ne te tiens pas rigueur. Tu m'as poignardé dans le dos, ce n'est pas grave, je ne suis pas mort; c'est l'essentiel. En plus, en tant que grand frère et homme politique, je me dois, non seulement de te protéger, mais de te comprendre et de pardonner. Fais juste amende honorable. Tu n'es pas un maquisard, pourquoi fonces tu dans la bêtise? Tu es une valeur pour notre pays, tu as du te tromper, qui ne se trompe pas ou ne s'est pas trompé sur cette terre? Allez bonne soirée, je suis au dessus de tout ça, n'aie pas honte de ce que tu as fait, ça fait partie de la vie ! ----- Message d'origine ---- De : Simeon EKOGA À : Sylvain Ndong Envoyé le : Jeudi, 2 Octobre 2008, 21h17mn 37s Objet : Re : Nationalité d'Ekoga Voila le faux "Edzodzomo Ela" devenu tout d'un coup "Bruno Vecarte"; écrivant de la même machine, en fait du même ordinateur depuis la belgique, dont l'IP est : 212.3.242.68 Regardez bien ci dessous, cette fois ci, il n'a écrit qu' à son maître, son gourou qui l'a conduit dans cette galère. Moi, je vais en faire copies aux autres de la mailing list fabriquée par le faussaire du net lui même. Je continue de dire que je ne vais jamais plus me lancer dans ce jeu de gamins. Localisation géographique par IP - IP geographical localization 212.3.242.68 - BE - BELGIUM wilbur.contactoffice.net. Le serveur whois.ripe.net à retourné l'information suivante : % This is the RIPE Whois query server #1. % The objects are in RPSL format. % % Rights restricted by copyright. % See http://www.ripe.net/db/copyright.html % Note: This output has been filtered. % To receive output for a database update, use the "-B" flag. % Information related to '212.3.242.64 - 212.3.242.127' inetnum: 212.3.242.64 - 212.3.242.127 netname: CONTACTOFFICE-BE descr: Contact Office Group descr: Brussels country: BE admin-c: BLB37-RIPE tech-c: LTHM status: ASSIGNED PA mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered role: LEVEL3 Hostmaster address: Level (3) Communications address: 100 Leman Street address: London address: E1 8EU phone: +44-20-7864-4444 remarks: trouble: 24 Hour Call +44-08000-927-729 remarks: trouble: Abuse reports to abuse at eu.level3.net admin-c: STUD1-RIPE admin-c: DT16-RIPE admin-c: JF2595-RIPE admin-c: NZ74-RIPE tech-c: LTEE nic-hdl: LTHM remarks: Peering issues to peering at eu.level3.net mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered abuse-mailbox: abuse at eu.level3.net person: BRICE LE BLEVENNEC address: Brussels phone: +32 2 340 32 32 nic-hdl: BLB37-RIPE mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered % Information related to '212.3.224.0/19AS9057' route: 212.3.224.0/19 descr: Level 3 RIPE block origin: AS9057 remarks: Abuse reports to abuse at eu.level3.net remarks: Peering contact is peering at eu.level3.net mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered ----- Message d'origine ---- De : Vecarte Bruno À : p.o.b Envoyé le : Jeudi, 2 Octobre 2008, 21h03mn 38s Objet : Nationalité d'Ekoga Pour publication sur le Nganga. Mais attends que je t'envoie les documents originaux (en JPEG); ce sont ceux là qui ont les infos authentiques. Bruno Vecarte ----------------------------------------------------- Professional Virtual Office http://www.contactoffice.com From protected at gmail.com Fri Oct 3 12:25:28 2008 From: protected at gmail.com (Sylvain Ndong) Date: Fri, 03 Oct 2008 12:25:28 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Nationalité d'Ekoga Message-ID: Grand-frère Siméon (en âge, mais non en intelligence, ni en esprit et encore moins en sagesse), Paul OKILI BOYER, ton ancien ami et « frère », m’a récemment confié, au cours d’un entretien téléphonique, qu’il finira bien par te rendre FOU ; non par le « poison » ou le « mercenariat » comme tu le vilipendes, mais par la SEULE supériorité d’intelligence qu’il a sur toi, pour avoir fait des études de haut niveau à Saint-Cyr, au moment où tes copains sans abris et toi de Saint-Denis vous abonniez à l’alcool et à l’odontol. En toute honnêteté, je suis de plus en plus porté à croire que tu commences à manifester les signes pathologiques d’une paranoïa liée à sa prédication, car franchement, je ne reconnais plus le Siméon Jean Francis EKOGA, chez qui je me suis rendu ce dimanche de juillet 2008, avec mes deux petites filles, lui remettre, à la cuisine de son appartement, les quelques dizaines d’euros promis, grâce auxquels il allait pouvoir faire survivre son site Internet www.rdpg.org. Te rappelles-tu cher Siméon, que c’est toi-même qui affirmait sur ces mêmes mails, que Sylvain NDONG que je suis, avait, après Bruxelles en Belgique, émigré au Luxembourg avec toute sa famille, pour raisons professionnelles. Quelle elle donc cette « panne d’inspiration de l’âme », ce « manque de cervelle » ou d’hypophyse, qui te fait ce jour penser que le même Sylvain Ndong peut détenir, dans les méandres mentales de ton cerveau en bouillie, le don d’ubiquité qui le permettrait d’écrire, à 21H03, un message de Bruxelles, et y répondre, à 21h57 (heure de mon ordinateur ici au Grand Dûcher) au Luxembourg. En tout cas, vous l’aurez constater mes frères et soeurs, seul un esprit en phase d’être sublimé par la folie, peut synthétiser pareilles inepties. Sylvain NDONG est bel bien au Grand Dûcher du Luxembourg à l’heure où il écrit ce message. Ceux qui connaissent un minimum les distances qui séparent les pays européens et qui ont encore leur permis de conduire (non encore retiré au saoulard pour cause de conduite en état d’ivresse éthylique, en provenance de chez « Jean-Jean » à maison-Alfort) peuvent facilement vérifier (par mappy.com) que la distance qui sépare Bruxelles (où notre faux opposant me localise) au Grand Dûcher du Luxembourg (où le saoulard attitré de Saint-Denis dis m’avoir vu émigrer – ce qui est juste) est d’au moins 300 kilomètres, donc non-reliable en moins de deux heure ; et que cette réalité basique n’a d’aucune demi mesure rien à voir avec ce que raconte ce potentiel grand-frère fou Ekoga. Et ceux qui veulent s’en convaincre peuvent toujours me joindre à partir de mon GSM, que détiennent ceux des frères qui me connaissent bien. Frère Ekoga, en toute fraternité, demande à la communauté (comme tu sais si bien le faire) de cotiser pour toi, et va à Mélen te soigner. Fais au moins honneur à ce Saint Prophète, JEAN, dont tu usurpes si maladroitement le nom. Et, surtout, dans ton futur lit de malade mental, n’oublie pas de lire son « Apocalypse », tout en suivant les conseils que t’a donnée notre bienheureuse sÅ“ur Félicité Vincent ce soir. Je te rendrai visite lors de ma prochaine arrivée au Gabon, dans peu. Repose-toi, le docteur M… t’apportera dans bientôt un peu d’insuline pour tes vieux nerfs. Ton Frère Edzodzomo, ah pardon, Sylvain NDONG, qui t’aime quand-même… Envoyé : jeudi 2 octobre 2008 21:31 À : Sylvain Ndong Objet : Re : Re : Nationalité d'Ekoga Sylvain Ndong, petit frère, ressaisis toi, il n'est pas trop tard. Je continue de te dire - publiquement - que tu es mon frère. Dans toutes les familles, il y a des problèmes, des palabres. Je ne te tiens pas rigueur. Tu m'as poignardé dans le dos, ce n'est pas grave, je ne suis pas mort; c'est l'essentiel. En plus, en tant que grand frère et homme politique, je me dois, non seulement de te protéger, mais de te comprendre et de pardonner. Fais juste amende honorable. Tu n'es pas un maquisard, pourquoi fonces tu dans la bêtise? Tu es une valeur pour notre pays, tu as du te tromper, qui ne se trompe pas ou ne s'est pas trompé sur cette terre? Allez bonne soirée, je suis au dessus de tout ça, n'aie pas honte de ce que tu as fait, ça fait partie de la vie ! ----- Message d'origine ---- De : Simeon EKOGA À : Sylvain Ndong Envoyé le : Jeudi, 2 Octobre 2008, 21h17mn 37s Objet : Re : Nationalité d'Ekoga Voila le faux "Edzodzomo Ela" devenu tout d'un coup "Bruno Vecarte"; écrivant de la même machine, en fait du même ordinateur depuis la belgique, dont l'IP est : 212.3.242.68 Regardez bien ci dessous, cette fois ci, il n'a écrit qu' à son maître, son gourou qui l'a conduit dans cette galère. Moi, je vais en faire copies aux autres de la mailing list fabriquée par le faussaire du net lui même. Je continue de dire que je ne vais jamais plus me lancer dans ce jeu de gamins.http://mail.yimg.com/us.yimg.com/i/mesg/tsmileys2/04.gifhttp://mail.yimg.com/us.yimg.com/i/mesg/tsmileys2/09.gifhttp://mail.yimg.com/us.yimg.com/i/mesg/tsmileys2/03.gif Localisation géographique par IP - IP geographical localization 212.3.242.68 - BE - BELGIUM wilbur.contactoffice.net. Le serveur whois.ripe.net à retourné l'information suivante : % This is the RIPE Whois query server #1. % The objects are in RPSL format. % % Rights restricted by copyright. % See http://www.ripe.net/db/copyright.html % Note: This output has been filtered. % To receive output for a database update, use the "-B" flag. % Information related to '212.3.242.64 - 212.3.242.127' inetnum: 212.3.242.64 - 212.3.242.127 netname: CONTACTOFFICE-BE descr: Contact Office Group descr: Brussels country: BE admin-c: BLB37-RIPE tech-c: LTHM status: ASSIGNED PA mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered role: LEVEL3 Hostmaster address: Level (3) Communications address: 100 Leman Street address: London address: E1 8EU phone: +44-20-7864-4444 remarks: trouble: 24 Hour Call +44-08000-927-729 remarks: trouble: Abuse reports to abuse at eu.level3.net admin-c: STUD1-RIPE admin-c: DT16-RIPE admin-c: JF2595-RIPE admin-c: NZ74-RIPE tech-c: LTEE nic-hdl: LTHM remarks: Peering issues to peering at eu.level3.net mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered abuse-mailbox: abuse at eu.level3.net person: BRICE LE BLEVENNEC address: Brussels phone: +32 2 340 32 32 nic-hdl: BLB37-RIPE mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered % Information related to '212.3.224.0/19AS9057' route: 212.3.224.0/19 descr: Level 3 RIPE block origin: AS9057 remarks: Abuse reports to abuse at eu.level3.net remarks: Peering contact is peering at eu.level3.net mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered ----- Message d'origine ---- De : Vecarte Bruno À : p.o.b Envoyé le : Jeudi, 2 Octobre 2008, 21h03mn 38s Objet : Nationalité d'Ekoga Pour publication sur le Nganga. Mais attends que je t'envoie les documents originaux (en JPEG); ce sont ceux là qui ont les infos authentiques. Bruno Vecarte ----------------------------------------------------- Professional Virtual Office http://www.contactoffice.com From protected at gmail.com Fri Oct 3 12:27:35 2008 From: protected at gmail.com (Paul Okili-Boyer) Date: Fri, 03 Oct 2008 12:27:35 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Annonce Officielle Message-ID: Christian MAYANDJI, Il n'y a que les Gredins en priorité qui ont été concernés , bien sur qu'avec tous les pseudos que Siméon EKOGA prenait Il a fallu faire la preuve de bons sens , mais avec 5 boites emails qui avaient sa signature électronique a cause de redirection ou de "parking" de mails , la cause a été vite entendue. La plainte envers ce "Filou" a été amplifiée de son propre fait et s'Il croyait qu'en insultant ma famille plus bas que terre , Lui un français , seulement français, ayant répudié la Nationalité que Nos Pères et Mères avaient conquis après 130 ans de Colonisation , Il allait me faire peur,.................... ......Zélé ho.......M'aré go fala ........Anyembié n'diena mié Il est coincé comme une sardine en boite. quand envers les compatriotes Gabonais ,je m'excuse de la Folie de ce Personnage aussi débile et insulteur qui n'a jamais eu le respect des individus et qui a cherché la guerre , Hé bien Il l'a eue , Elle se continuera jusqu'a son effacement complet de la mémoire de la diaspora. J'ai pardonné deux fois ses insultes envers ma Mère , je ne pardonnerais pas trois fois , a mon époque a Bessieux on disait de ce genre de personnage , "Il fait le farot" alors maintenant Il va finir de FAROTER. Moi aussi j'ai quitté le BDP en 2003 , mais contrairement a Lui , qui a essayé de me mettre sur le dos ,toutes ces fadaises et ses Diffamations........Jamais je n'ai tué un être Humain alors que lui a voulu par deux fois assassiner daniel MENGARA-MINKO nous en avons la preuve , et celle qui peux le répeter est encore vivante et propose d'etre témoin en cas de procès. Voila cher frère , mais je profite aussi de ce post pour vous féliciter pour la pertinence de vos argumentaires Politique , peut être devrais je dire .....Analyses ou Synthèses.... en tout cas ,vous apportez aussi une Le 2 octobre 2008 16:11, Christian MAYANDJI a écrit : ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Cher compatriote, Cher Paul, Vous avez été dans votre droit et vous l'avez exercé. Je ne crois pas qu'il y ait qui que ce soit qui puisse vous le reprocher. Je voudrais espérer que cette action puisse servir d'enseignement pour ceux qui, à nouveau, seraient tentés par des tels excès. Chacun aura compris que la liberté d'expression s'arrête lorsqu'elle porte atteinte à l'intégrité de chacun. Nul ne peut etre à l'abri du droit. Je voudrais simplement espérer que sur la liste des 25 adresses électroniques ne figurent que celles des personnes qui vous ont attaqué et non celles de tout venant participant aux débats sur le forum. Pouvez vous me rassurer sur le fait que mon adresse e-mail n'ait pas été concerné par votre démarche? Merci et salutations cordiales. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Jeu 2.10.08, Paul Okili-Boyer a écrit : De: Paul Okili-Boyer Objet: [BDPalabres] Re: Annonce Officielle À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Jeudi 2 Octobre 2008, 3h33 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Il n'y a aucune animosité de ma part dans le fait que mes avocats aient demandés a faire ouvrir certaines boites mails sous controle d'Huissiers et avec l'aval du président du Tribunal. Suite a celà beaucoup de choses néfastes ont été trouvée a l'encontre de Siméon J F Ekoga et de ses nombreux et connus Pseudos. Que ceux qui par erreur ont été génés qu'Ils m'excusent , sinon Ils ont aussi moyen en écrivant a la C.N.I.L. de demander réparation si cela a mis en cause leur Vie privée. Je n'ai pas eu tous les résultats , mais d'apres mon avocat celà est explosif , vis a vis du "promoteur " du Site AGORA. Donc les plaintes ont été amplifiées a son encontre , Il faut que les Arrivistes, et Diffamateurs soient condamnés très sévèrement....et la cela va etre le cas pour ce Monsieur. quand a l'article du Nganga a ce lien http://okili.fr Il devient de ce fait caduc et je ferais proceder a un rectificatif A l'encontre de Monsieur le Président Mamboundou de l'U.P.G. ,de Mr et Mme Mouloungui , et de Monsieeur Sylvain Ndong j'ai retiré mes Plaintes grace à la médiation de Mr Guy Roger Biwagou , de Monsieur Sylvain Ndong , et aux très sages conseils d'un Homme de Respect le Docteur Mengara Minko ..que je remercie fortement , car si Un jour la Diaspora se concentre et se réunifie pour être plus forte , Il en sera un des premiers qui aura montré le Cheminement. Paul Okili-Boyer From protected at gmail.com Fri Oct 3 12:31:12 2008 From: protected at gmail.com (Sylvain Ndong) Date: Fri, 03 Oct 2008 12:31:12 -0400 Subject: [BDPalabres] Nous tenons ENFIN la Vraie Nationalité de Siméon Jean Francis EKOGA, président du RDPG. Message-ID: Cher Siméon, Parlons peu, mais parlons vrai. Déjà, je promets désormais, d'user d'un langage un peu plus décent, d'abord vis-à-vis de l'aîné que tu restes malgré tout pour moi ; ensuite pour honorer mon éducation, mes traditions et toutes ces initiations ancestrales dans lesquelles j'ai eu à prêter quelque peu "serment" ; et aussi, par respect pour tous ceux qui nous lisent [silencieusement] dans cette "bagarre" épicée, romanesque, mais profondément fraternelle ; car, pour moi qui ai fait mon CP1 à l'école Catholique de Missanga à Ndjolé Centre, les meilleures amitiés se sont souvent recoltées, quasi-systématiquement, à la suite d'échanges de quelques coups de poings, à l'arrière cour de récréation de l'école. C'est la rasion pour laquelle je n'ai jamais fui la dispute ; que ce soit avec mes frères, mes amis, et même mes collègues et adversaires politiques. Richard Moulomba, qui est en copie de ces échanges, peut te le témoigner, lui avec qui j'ai souvent eu des échanges francs, parfois même derrangeantes, dans le cadre de l'amélioration des structures internes de notre parti l'UPG. Je voudrais commencer par te dire Bravo ! Bravo, parce que j'ai trouvé particulièrement brillant (chose rare venant de mon frère, excuses-moi), le fait pour toi de reconnaître ENFIN, ci-dessous et publiquement, ta si sécrete et mystérieuse citoyenneté française. Citoyenneté française que tu n'a cessé de cacher depuis la création de ton RDPG en 2003 jusqu'à ce jour. Heureusement, chose merveilleuse, nous ne sommes qu'à 3 (trois), à en connaître les véritables raisons. Car étant un homme de parole, en cure d'amélioration je l'avoue, j'avais solonnellement décidé, dans un récent post, de ne plus poursuivre ma procédure de dénonciation du faux opposant gabonais que tu étais en secret en ces temps-là. Et pour ceux qui ne le savent pas et qui découvrent probablement héberlués cette nuée de transparence qui plane soudain sur ta tête, il aurait fallu leur notifier également que ce soudain regain de vérité, affiché par cette prompte reconnaissance de ta citoyenneté française, ne tient qu'à une et une seule menace : la menace d'un homme, Paul OKILI-BOYER, à qui j'ai promis, dans une correspondance à trois, de fournir les documents originaux (en JPG) que tu m'envoyas pour falsification (hachage des informations sensibles de la main levée instruite contre Petit-Lambert OVONO, sur l'état civil, et conversion des fichiers en vue de leur publication sur le site de l'UPG - comme chacun le verra dans les documents finaux ci-joints). Sachant Paul Okili-Boyer personnellement remonté contre toi, et anticipant son intention d'en faire une large publication dans les espaces médiatiques du monde entier, tu nous sors tout à coup, tel un vieux prêtre excommunié, un verset civil sur la véritable citoyenneté de l'"opposant en chef de la diaspora" (d'après ses propres termes). Que nénni ! Tu sais, je voudrais dans un premier temps que tu sâches que je tiens toujours mes promesses jusqu'au bout. J'avais décidé de ne pas te dénoncer et c'est ce que j'qi fqit. Car jusqu'à ce jour, les documents originux que tu m'vais envoyé sont toujours à ma disposition ; je ne les ai jamais envoyé à OKILI, étant donné que c'est ce que j'avais décidé et écrit à la face du monde. Et comme je te l'ai longtemps répété lors de nos échanges, je suis un ver de terre, qui creuse, creuse, et finit toujours par trouver son logis. Je t'ai poussé à la faute ; oui Sim', je t'ai poussé à te dénoncer, sans avoir eu besoin d'user de mon droit de savoir. Saurais-tu m'applaudir, cher frère ? Car, de par ma pression, sans avoir été obligé de trahir mon sermon, je viens de te faire révéler à la face du monde ce que tu ne voulais pas que les gens sachent, et que tu gardais comme la prunelle de tes yeux ; raison pour laquelle tu m'avais demandé, au téléphone, de barrer les informations sensibles qui sont dans les fichiers ci-joints. Ceux qui nous lisent ajouteront à mon crédit que Sylvain Ndong n'affirme rien pour le plaisir de ses fantasmes. J'avais dit ici, sur cet espace, que je démontrerai à la face du monde la véritable citoyenneté de Siméon Jean Francis EKOGA, qui se reclamme chef de l'opposition de la diaspora GABONAISE en exil, alors qu'il est, ni plus ni moins, qu'un simple CITOYEN FRANCAIS ; le GABON, NOTRE BEAU PAYS, n'admettant point la double-nationalié. Comprends-tu la gravité des tes déclarations ci-dessous, et que j'ai volontairement mis en rouge, mon cher Siméon : J'ai la nationalité Française et fier d'avoir ce passeport que tu n'auras jamais. Ah grand-frère ! Sans vouloir t'insulter (comme promis), permets-moi juste de répéter cette belle phrase que nous enseigna en classe de troisième notre professeur de mathématiques, monsieur Adama : "Quand on est né bête, ce n'est pas pour un jour." Ecoute-toi toi même Siméon : "J'ai la nationalité framçaise et fier d'avoir ce passeport que tu n'auras jamais." Je tais là notre discussion d'aujourd'hui ; car comme lors d'une homélie lithurgique, je voudrais laisser le temps à tous les "fidèles" Gabonais qui se battent du nord au sud pour l'émergence citoyenne de NOTRE pays le GABON, le soin de méditer sur cette valeureuse confession de la part de celui qui se reclamme être le numéro d'entre eux. Bien de choses à toi, Sylvain NDONG ----- Original Message ----- From: Simeon EKOGA To: Sylvain Ndong ; Sent: Friday, October 03, 2008 2:26 PM Subject: Re : Re : Nationalité d'Ekoga Sylvain mon frère, Tu n'as rien de nouveau contre moi. Tu fais comme les autres avant toi; calomnies, mensonges, et que sais je encore? Tu remarques bien que ça n'a rien fait à ma vie. Tu comprends pourquoi je n'ai jamais voulu répondre positivement à aucune de tes questions ou proposition à cheminer politiquement avec moi ? Je t'avais toujours dit que l'homme est un traître en puissance pour l'autre et que je ne pouvais alors me confier à toi. Tu réalises bien aujourd'hui que si tu me connaissais, tu m'aurais abattu ? Mais là tu baves, tu trépignes d'impatience pour réussir à m'ébranler... Tout ne reposant que sur du FAUX, cela n'aura aucun impact sur moi. Personne ne sait rien sur moi (travail etc...), là ce ne sont que des spéculations des uns et des autres... Si quelqu'un savait vraiment quelque chose sur moi, il l'aurait brandi publiquement depuis ? (Rires). Je ne suis pas né hier mon petit, je te voyais venir depuis le départ. J'avais très vite déceler ton côté "opportuniste" lors de nos premiers contacts. Rappelle toi de nos conversations, j'étais toujours très réservé, je n'allais jamais jusqu'au bout d'une idée, d'une phrase, malgré ton insistance, tes promesses de fidélité etc. Là tu es perdu, tu n'as plus d'issue politique! Pendant que vous fouillez dans les poubelles, moi je parais dans la presse internationale. Interview sur 5 pages dans un grand journal planétaire. Toi, tu n'y arriveras jamais !Je viens de faire une interview à France 2 (tv) sur les biens de Bongo en France qui va bientôt paraître. (Rires) Tu as fait le mauvais choix mon cher, moi j'avance ! Tu as du faire croire à ceux qui veulent me faire la peau que tu connaissais bien? Bien évidemment, c'est archi faux ! Tu ne m'as pas rencontré physiquement plus de 4 fois. Ehh, gabonais, pitié ! Commence par réussir à renouveler tes papiers là où tu es actuellement à Bruxelles. J'ai la nationalité Française et fier d'avoir ce passeport que tu n'auras jamais...et que tu désires ardemment avoir pour te sortir de la clandestinité dans laquelle tu es actuellement ! Tu es foncièrement jaloux et envieux : ça va te perdre ! Tu as honte et ne peux plus intervenir en tant que Sylvain Ndong, le sans papier. C'est parce que j'ai la nationalité Française que le Gabon sombre dans l'abîme? Tu n'as rien, plus rien à dire...! Moi j'avance pendant que vous "bloguez" sur des sites qu'aucun homme sérieux, aucun décideur politique ou économique ne pourra visiter. Tu vas mourir quand tu verras le journal où j'accorde une interview sur 5 pages? Jaloux ! Je ne parle pas au "sans papier". Sois à jour et on se revoit sans faute... Continue à t'amuser, tu sais pourtant que je suis un homme des "réseaux"... Rira bien qui rira le dernier... A partir de maintenant, fais attention aux contrôles de police. "Nous" allons te montrer qu'on ici est en Europe... A plus mon frère Judas Iscariot, le félon ! Fraternellement ----- Message d'origine ---- De : Sylvain Ndong À : Simeon EKOGA Envoyé le : Jeudi, 2 Octobre 2008, 22h26mn 49s Objet : RE: Re : Nationalité d'Ekoga Grand-frère Siméon (en âge, mais non en intelligence, ni en esprit et encore moins en sagesse), Paul OKILI BOYER, ton ancien ami et « frère », m’a récemment confié, au cours d’un entretien téléphonique, qu’il finira bien par te rendre FOU ; non par le « poison » ou le « mercenariat », mais par la SEULE supériorité d’intelligence qu’il a sur toi, pour avoir fait des études de haut niveau (Sain-Cyr), au moment où toi et tes copains sans abris de Saint-Denis, vous abonniez à l’alcool et à l’odontol. En toute honnêteté, je suis de plus en plus porté à croire que tu commences à manifester les signes pathologiques d’une paranoïa liée à sa prédication, car, en toute honnêteté, je ne reconnais plus le Siméon Jean Francis EKOGA, chez qui je me suis rendu ce dimanche de juillet 2008, avec mes deux petites filles, lui remettre, à la cuisine de son appartement, les quelques dizaines d’euros promis, grâce auxquels il allait pouvoir e survivre son site Internet www.rdpg.org. Te rappelles-tu cher Siméon, que c’est toi-même qui affirmait sur ces mêmes mails, que Sylvain NDONG que je suis, avait, après Bruxelles en Belgique, émigré au Luxembourg avec toute sa famille, pour raisons professionnelles. Quelle « panne d’inspiration de l’âme », quelle « manque de cervelle » ou d’hypophyse, te fait en ce jour penser que le même Sylvain Ndong peut détenir, dans les méandres mentales de son cerveau en bouillie, le don d’ubiquité, qui le permettrait d’écrire, à 21H03, un message de Bruxelles, et y répondre, à 21h57 (heure de mon ordinateur ici au Grand Dûcher) au Luxembourg. En tout cas, vous l’aurez constater mes frères, seul un esprit en phase d’être sublimé par la folie, peut synthétiser pareilles inepties. Sylvain NDONG est bel bien au Grand Dûcher du Luxembourg à l’heure où il écrit ce message. Ceux qui connaissent un minimum les distances qui séparent les pays européens et qui ont encore leur permis de conduire (non encore retiré pour cause de conduite en état d’ivresse éthylique, en provenance de chez « Jean-Jean » à maison-Alfort) peuvent facilement vérifier (par mappy.com) que la distance qui sépare Bruxelles (où notre faux opposant me localise) au moiLuxembourg (où le saoulard attitré de Saint-Denis dis m’avoir vu émigré – ce qui est juste) est d’au moins 300 kilomètres, donc non-reliable en moins de deux heures, et que cette réalité basique n’a d’aucune demi mesure rien à voir avec ce que raconte ce potentiel fou de grand-frère Ekoga. Et ceux qui veulent s’en convaincre peuvent toujours me joindre à partir de mon GSM, que détiennent ceux des frères qui me connaissent bien. Frère Ekoga, en toute fraternité, va à Mélen te soigner, cher Jean. Fais au moins honneur à ce Saint Prophète, JEAN, dont tu usurpes si maladroitement le nom. Surtout, dans ton futur lit de malade mental, n’oublie pas de lire son « Apocalypse », tout en suivant les conseils que t’a donnée notre bienheureuse sÅ“ur Félicité Vincent ce soir. Je te rendrai visite lors de ma prochaine arrivée au Gabon, dans peu. Repose-toi, le docteur M… t’apportera dans bientôt un peu d’insuline pour tes vieux nerfs. Ton Frère Edzodzomo, ah pardon, Sylvain NDONG, qui t’aime quand-même… Envoyé : jeudi 2 octobre 2008 21:31 À : Sylvain Ndong Objet : Re : Re : Nationalité d'Ekoga Sylvain Ndong, petit frère, ressaisis toi, il n'est pas trop tard. Je continue de te dire - publiquement - que tu es mon frère. Dans toutes les familles, il y a des problèmes, des palabres. Je ne te tiens pas rigueur. Tu m'as poignardé dans le dos, ce n'est pas grave, je ne suis pas mort; c'est l'essentiel. En plus, en tant que grand frère et homme politique, je me dois, non seulement de te protéger, mais de te comprendre et de pardonner. Fais juste amende honorable. Tu n'es pas un maquisard, pourquoi fonces tu dans la bêtise? Tu es une valeur pour notre pays, tu as du te tromper, qui ne se trompe pas ou ne s'est pas trompé sur cette terre? Allez bonne soirée, je suis au dessus de tout ça, n'aie pas honte de ce que tu as fait, ça fait partie de la vie ! ----- Message d'origine ---- De : Simeon EKOGA À : Sylvain Ndong Envoyé le : Jeudi, 2 Octobre 2008, 21h17mn 37s Objet : Re : Nationalité d'Ekoga Voila le faux "Edzodzomo Ela" devenu tout d'un coup "Bruno Vecarte"; écrivant de la même machine, en fait du même ordinateur depuis la belgique, dont l'IP est : 212.3.242.68 Regardez bien ci dessous, cette fois ci, il n'a écrit qu' à son maître, son gourou qui l'a conduit dans cette galère. Moi, je vais en faire copies aux autres de la mailing list fabriquée par le faussaire du net lui même. Je continue de dire que je ne vais jamais plus me lancer dans ce jeu de gamins. Localisation géographique par IP - IP geographical localization 212.3.242.68 - BE - BELGIUM wilbur.contactoffice.net. Le serveur whois.ripe.net à retourné l'information suivante : % This is the RIPE Whois query server #1. % The objects are in RPSL format. % % Rights restricted by copyright. % See http://www.ripe.net/db/copyright.html % Note: This output has been filtered. % To receive output for a database update, use the "-B" flag. % Information related to '212.3.242.64 - 212.3.242.127' inetnum: 212.3.242.64 - 212.3.242.127 netname: CONTACTOFFICE-BE descr: Contact Office Group descr: Brussels country: BE admin-c: BLB37-RIPE tech-c: LTHM status: ASSIGNED PA mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered role: LEVEL3 Hostmaster address: Level (3) Communications address: 100 Leman Street address: London address: E1 8EU phone: +44-20-7864-4444 remarks: trouble: 24 Hour Call +44-08000-927-729 remarks: trouble: Abuse reports to abuse at eu.level3.net admin-c: STUD1-RIPE admin-c: DT16-RIPE admin-c: JF2595-RIPE admin-c: NZ74-RIPE tech-c: LTEE nic-hdl: LTHM remarks: Peering issues to peering at eu.level3.net mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered abuse-mailbox: abuse at eu.level3.net person: BRICE LE BLEVENNEC address: Brussels phone: +32 2 340 32 32 nic-hdl: BLB37-RIPE mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered % Information related to '212.3.224.0/19AS9057' route: 212.3.224.0/19 descr: Level 3 RIPE block origin: AS9057 remarks: Abuse reports to abuse at eu.level3.net remarks: Peering contact is peering at eu.level3.net mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered ----- Message d'origine ---- De : Vecarte Bruno À : p.o.b Envoyé le : Jeudi, 2 Octobre 2008, 21h03mn 38s Objet : Nationalité d'Ekoga Pour publication sur le Nganga. Mais attends que je t'envoie les documents originaux (en JPEG); ce sont ceux là qui ont les infos authentiques. Bruno Vecarte ----------------------------------------------------- Professional Virtual Office http://www.contactoffice.com From protected at yahoo.fr Sun Oct 5 13:17:36 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Sun, 05 Oct 2008 13:17:36 -0400 Subject: [BDPalabres] Fw : J'ai un message pour vous.... Message-ID: Chers compatriotes, Je reçois des messages assez incohérents d'une certaine Sima Mvé Estelle. Quelqu'un pourrait-il me dire de qui il s'agit. A l'évidence, cette personne ne veut pas se présenter - et mes recherches sur internet ne donnent rien - mais me suggère des initiatives à prendre sur le forum bdp. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Ven 3.10.08, Sima Mve Estelle a écrit : De: Sima Mve Estelle Objet: J'ai un message pour vous.... À: cmayandji at yahoo.fr Date: Vendredi 3 Octobre 2008, 12h24 Bonjour mon frère, Suite à votre demande est un frangin anonyme m'a demandé de te donner les adresses des personnes ci-dessous qui sauront t'aider (financer à prevoir peut être) dans ton projet de site !!!! Il veut rester anonyme et neutre dans la communauté mais bon tu peux voir par toi-même de qui il s'agit : ??? Sylvain Ndong : expert informaticien (à travailler à mettre en mettre les sites de pas mal de gabonais...) NB : ne dites surtour pas comment vous avez eu leur contact !!!!!!!!!!!!! très important !!!! Ferry edgar : expert info oye.feredgar at noos.fr From protected at yahoo.fr Sun Oct 5 13:18:27 2008 From: protected at yahoo.fr (Alice Vincent) Date: Sun, 05 Oct 2008 13:18:27 -0400 Subject: [BDPalabres] Les vignerons homicides Message-ID: Mes chers frères, mes chers compatriotes, vous êtes tous les chrétiens ! Dimanche 5 octobre 2008, on lira l'Evangile selon Saint Matthieu Chapitre 21:33-43 Ecoutez une autre Parabole : il y avait un propriétaire qui planta une vigne, l'entoura d'une clôture, y creusa un pressoir et y bâtit une tour ; puis il la donna en fermage à des vignerons et partit en voyage. Quand le temps des fruits approcha, il envoya ses serviteurs aux vignerons pour recevoir les fruits qui lui revenaient. Mais les vignerons saisirent ces serviteurs ; l'un, ils le rouèrent de coups ; un autre, ils le lapidèrent. Finalement, il leur envoya son fils, en se disant : ''Ils respecteront mon fils.'' Mais les vignerons, voyant le fils, se dirent entre eux ; ''C'est l'héritier. Venez ! Tuons-le et emparons-nous de l'héritage.'' Ils se saisirent de lui, le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent. Eh bien ! Lorsque viendra le maître de vigne, que fera-t-il à ces vignerons ? Il lui répondirent : '' Il fera périr misérablement ces misérables, et il donnera la vigne en fermage à d'autres vignerons.'' Jésus leur dit : ''N'avez-vous jamais lu dans les écritures : ''La pierre qu'ont rejetée les bâtisseurs, c'est elle qui est devenue la pierre angulaire." Aussi, je vous le déclare : le royaume de Dieu vous sera enlevé, et il sera donné à une nation qui en produira les fruits. J'ai souligné en rouge, pour votre compréhension du texte et vos propres recherche pour donner sens. Le temps des fruits - la vérité des êtres. Commentaire de Félicité VINCENT C'est l'histoire d'une vigne qui plonge ses racines dans la mémoire prophétique, dans le chant de la vigne d'Isaïe 5:1-7 Jésus reprend l'Evangile de Matthieu pour répondre au violent conflit qui l'oppose aux autorités Juives, s'y révélant dans la figure du fils comme dernier envoyé du Père et mettant ainsi ses auditeurs face à la gravité de leur comportement. Sous la plume de Matthieu, elle devient un vibrant appel à la responsabilité et au choix de chacun, dans le contexte d'un jugement imminent. Pour nous, elle reste d'une vivante actualité, car elle retrace la douleureuse histoire de l'amour de Dieu pour nous. Sans cesse offert. Sans cesse Bafoué. Mes salutations fraternelles à Sylvain Ndong, continue à lire la Bible ! Et toi Siméon, que ton Dieu bénisse le Gabon est où ? Cette Parabole est l'histoire d'un amour insensé, celui de Dieu pour l'humanité. Un amour plus grand que la violence des hommes et qui seul pouvait y faire pièce. Oui à l'union de mon peuple, oui à l'amour et au pardon. Très amicalement à vous Félicité VINCENT From protected at yahoo.com Sun Oct 5 14:48:10 2008 From: protected at yahoo.com (Juliette AbandoKwe) Date: Sun, 05 Oct 2008 14:48:10 -0400 Subject: [BDPalabres] Où est le problème d'être double national!? Message-ID: Cher Monsieur Ndong, Votre Monsieur El Hadj Omar Bongo Odimba, roi du Gabon, détient un passeport français, gracieusement offert par l'Elysée, et tout le monde le sait! Si vous n'en êtes pas informé, il vous faut combler cette lacune rapidement. ça serait utile pour vos futurs argumentaires! Ce qui veut dire que la double nationalité est donc autorisée au Gabon! Suivez mon regard... Moi par exemple, j'ai trois nationalités légalement, car les trois pays dont je suis citoyenne acceptent la double nationalité. Si vous êtes jaloux parce que vous n'avez que la nationalité gabonaise, il ne faut que vous en prendre à vous-même! Finalement, n'avoir qu'une nationalité n'est pas si grave! Et d'ailleurs ce sujet de la gabonité que vous essayez d'importer à grand peine, est un thème déjà bien fatigué! A bon entendeur! PS. Monsieur Ndong, vous devriez faire l'effort de sortir de votre petite boîte à chaussures, ça vous ferait du bien de prendre l'air! Car politiquement franchement, vous êtes très loin d'être au point dans les discussions auxquelles vous participez! Vos arguments sont très cheap..... Visitez www.juliette.abandokwe.over-blog.com _________________________________________________________________________________________________________ Une civilisation qui s’avère incapable de résoudre les problèmes que suscite son fonctionnement est une civilisation décadente. Aimé Césaire --- En date de : Ven 3.10.08, Sylvain Ndong a écrit : De: Sylvain Ndong Objet: [BDPalabres] Nous tenons ENFIN la Vraie Nationalité de Siméon Jean Francis EKOGA, président du RDPG. À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Vendredi 3 Octobre 2008, 16h31 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Cher Siméon, Parlons peu, mais parlons vrai. Déjà, je promets désormais, d'user d'un langage un peu plus décent, d'abord vis-à-vis de l'aîné que tu restes malgré tout pour moi ; ensuite pour honorer mon éducation, mes traditions et toutes ces initiations ancestrales dans lesquelles j'ai eu à prêter quelque peu "serment" ; et aussi, par respect pour tous ceux qui nous lisent [silencieusement] dans cette "bagarre" épicée, romanesque, mais profondément fraternelle ; car, pour moi qui ai fait mon CP1 à l'école Catholique de Missanga à Ndjolé Centre, les meilleures amitiés se sont souvent recoltées, quasi-systématiquement, à la suite d'échanges de quelques coups de poings, à l'arrière cour de récréation de l'école. C'est la rasion pour laquelle je n'ai jamais fui la dispute ; que ce soit avec mes frères, mes amis, et même mes collègues et adversaires politiques. Richard Moulomba, qui est en copie de ces échanges, peut te le témoigner, lui avec qui j'ai souvent eu des échanges francs, parfois même derrangeantes, dans le cadre de l'amélioration des structures internes de notre parti l'UPG. Je voudrais commencer par te dire Bravo ! Bravo, parce que j'ai trouvé particulièrement brillant (chose rare venant de mon frère, excuses-moi), le fait pour toi de reconnaître ENFIN, ci-dessous et publiquement, ta si sécrete et mystérieuse citoyenneté française. Citoyenneté française que tu n'a cessé de cacher depuis la création de ton RDPG en 2003 jusqu'à ce jour. Heureusement, chose merveilleuse, nous ne sommes qu'à 3 (trois), à en connaître les véritables raisons. Car étant un homme de parole, en cure d'amélioration je l'avoue, j'avais solonnellement décidé, dans un récent post, de ne plus poursuivre ma procédure de dénonciation du faux opposant gabonais que tu étais en secret en ces temps-là. Et pour ceux qui ne le savent pas et qui découvrent probablement héberlués cette nuée de transparence qui plane soudain sur ta tête, il aurait fallu leur notifier également que ce soudain regain de vérité, affiché par cette prompte reconnaissance de ta citoyenneté française, ne tient qu'à une et une seule menace : la menace d'un homme, Paul OKILI-BOYER, à qui j'ai promis, dans une correspondance à trois, de fournir les documents originaux (en JPG) que tu m'envoyas pour falsification (hachage des informations sensibles de la main levée instruite contre Petit-Lambert OVONO, sur l'état civil, et conversion des fichiers en vue de leur publication sur le site de l'UPG - comme chacun le verra dans les documents finaux ci-joints). Sachant Paul Okili-Boyer personnellement remonté contre toi, et anticipant son intention d'en faire une large publication dans les espaces médiatiques du monde entier, tu nous sors tout à coup, tel un vieux prêtre excommunié, un verset civil sur la véritable citoyenneté de l'"opposant en chef de la diaspora" (d'après ses propres termes). Que nénni ! Tu sais, je voudrais dans un premier temps que tu sâches que je tiens toujours mes promesses jusqu'au bout. J'avais décidé de ne pas te dénoncer et c'est ce que j'qi fqit. Car jusqu'à ce jour, les documents originux que tu m'vais envoyé sont toujours à ma disposition ; je ne les ai jamais envoyé à OKILI, étant donné que c'est ce que j'avais décidé et écrit à la face du monde. Et comme je te l'ai longtemps répété lors de nos échanges, je suis un ver de terre, qui creuse, creuse, et finit toujours par trouver son logis. Je t'ai poussé à la faute ; oui Sim', je t'ai poussé à te dénoncer, sans avoir eu besoin d'user de mon droit de savoir. Saurais-tu m'applaudir, cher frère ? Car, de par ma pression, sans avoir été obligé de trahir mon sermon, je viens de te faire révéler à la face du monde ce que tu ne voulais pas que les gens sachent, et que tu gardais comme la prunelle de tes yeux ; raison pour laquelle tu m'avais demandé, au téléphone, de barrer les informations sensibles qui sont dans les fichiers ci-joints. Ceux qui nous lisent ajouteront à mon crédit que Sylvain Ndong n'affirme rien pour le plaisir de ses fantasmes. J'avais dit ici, sur cet espace, que je démontrerai à la face du monde la véritable citoyenneté de Siméon Jean Francis EKOGA, qui se reclamme chef de l'opposition de la diaspora GABONAISE en exil, alors qu'il est, ni plus ni moins, qu'un simple CITOYEN FRANCAIS ; le GABON, NOTRE BEAU PAYS, n'admettant point la double-nationalié. Comprends-tu la gravité des tes déclarations ci-dessous, et que j'ai volontairement mis en rouge, mon cher Siméon : J'ai la nationalité Française et fier d'avoir ce passeport que tu n'auras jamais. Ah grand-frère ! Sans vouloir t'insulter (comme promis), permets-moi juste de répéter cette belle phrase que nous enseigna en classe de troisième notre professeur de mathématiques, monsieur Adama : "Quand on est né bête, ce n'est pas pour un jour." Ecoute-toi toi même Siméon : "J'ai la nationalité framçaise et fier d'avoir ce passeport que tu n'auras jamais." Je tais là notre discussion d'aujourd'hui ; car comme lors d'une homélie lithurgique, je voudrais laisser le temps à tous les "fidèles" Gabonais qui se battent du nord au sud pour l'émergence citoyenne de NOTRE pays le GABON, le soin de méditer sur cette valeureuse confession de la part de celui qui se reclamme être le numéro d'entre eux. Bien de choses à toi, Sylvain NDONG ----- Original Message ----- From: Simeon EKOGA To: Sylvain Ndong ; Sent: Friday, October 03, 2008 2:26 PM Subject: Re : Re : Nationalité d'Ekoga Sylvain mon frère, Tu n'as rien de nouveau contre moi. Tu fais comme les autres avant toi; calomnies, mensonges, et que sais je encore? Tu remarques bien que ça n'a rien fait à ma vie. Tu comprends pourquoi je n'ai jamais voulu répondre positivement à aucune de tes questions ou proposition à cheminer politiquement avec moi ? Je t'avais toujours dit que l'homme est un traître en puissance pour l'autre et que je ne pouvais alors me confier à toi. Tu réalises bien aujourd'hui que si tu me connaissais, tu m'aurais abattu ? Mais là tu baves, tu trépignes d'impatience pour réussir à m'ébranler... Tout ne reposant que sur du FAUX, cela n'aura aucun impact sur moi. Personne ne sait rien sur moi (travail etc...), là ce ne sont que des spéculations des uns et des autres... Si quelqu'un savait vraiment quelque chose sur moi, il l'aurait brandi publiquement depuis ? (Rires). Je ne suis pas né hier mon petit, je te voyais venir depuis le départ. J'avais très vite déceler ton côté "opportuniste" lors de nos premiers contacts. Rappelle toi de nos conversations, j'étais toujours très réservé, je n'allais jamais jusqu'au bout d'une idée, d'une phrase, malgré ton insistance, tes promesses de fidélité etc. Là tu es perdu, tu n'as plus d'issue politique! Pendant que vous fouillez dans les poubelles, moi je parais dans la presse internationale. Interview sur 5 pages dans un grand journal planétaire. Toi, tu n'y arriveras jamais !Je viens de faire une interview à France 2 (tv) sur les biens de Bongo en France qui va bientôt paraître. (Rires) Tu as fait le mauvais choix mon cher, moi j'avance ! Tu as du faire croire à ceux qui veulent me faire la peau que tu connaissais bien? Bien évidemment, c'est archi faux ! Tu ne m'as pas rencontré physiquement plus de 4 fois. Ehh, gabonais, pitié ! Commence par réussir à renouveler tes papiers là où tu es actuellement à Bruxelles. J'ai la nationalité Française et fier d'avoir ce passeport que tu n'auras jamais...et que tu désires ardemment avoir pour te sortir de la clandestinité dans laquelle tu es actuellement ! Tu es foncièrement jaloux et envieux : ça va te perdre ! Tu as honte et ne peux plus intervenir en tant que Sylvain Ndong, le sans papier. C'est parce que j'ai la nationalité Française que le Gabon sombre dans l'abîme? Tu n'as rien, plus rien à dire...! Moi j'avance pendant que vous "bloguez" sur des sites qu'aucun homme sérieux, aucun décideur politique ou économique ne pourra visiter. Tu vas mourir quand tu verras le journal où j'accorde une interview sur 5 pages? Jaloux ! Je ne parle pas au "sans papier". Sois à jour et on se revoit sans faute... Continue à t'amuser, tu sais pourtant que je suis un homme des "réseaux"... Rira bien qui rira le dernier... A partir de maintenant, fais attention aux contrôles de police. "Nous" allons te montrer qu'on ici est en Europe... A plus mon frère Judas Iscariot, le félon ! Fraternellement ----- Message d'origine ---- De : Sylvain Ndong À : Simeon EKOGA Envoyé le : Jeudi, 2 Octobre 2008, 22h26mn 49s Objet : RE: Re : Nationalité d'Ekoga Grand-frère Siméon (en âge, mais non en intelligence, ni en esprit et encore moins en sagesse), Paul OKILI BOYER, ton ancien ami et « frère », m’a récemment confié, au cours d’un entretien téléphonique, qu’il finira bien par te rendre FOU ; non par le « poison » ou le « mercenariat », mais par la SEULE supériorité d’intelligence qu’il a sur toi, pour avoir fait des études de haut niveau (Sain-Cyr), au moment où toi et tes copains sans abris de Saint-Denis, vous abonniez à l’alcool et à l’odontol. En toute honnêteté, je suis de plus en plus porté à croire que tu commences à manifester les signes pathologiques d’une paranoïa liée à sa prédication, car, en toute honnêteté, je ne reconnais plus le Siméon Jean Francis EKOGA, chez qui je me suis rendu ce dimanche de juillet 2008, avec mes deux petites filles, lui remettre, à la cuisine de son appartement, les quelques dizaines d’euros promis, grâce auxquels il allait pouvoir e survivre son site Internet www.rdpg.org. Te rappelles-tu cher Siméon, que c’est toi-même qui affirmait sur ces mêmes mails, que Sylvain NDONG que je suis, avait, après Bruxelles en Belgique, émigré au Luxembourg avec toute sa famille, pour raisons professionnelles. Quelle « panne d’inspiration de l’âme », quelle « manque de cervelle » ou d’hypophyse, te fait en ce jour penser que le même Sylvain Ndong peut détenir, dans les méandres mentales de son cerveau en bouillie, le don d’ubiquité, qui le permettrait d’écrire, à 21H03, un message de Bruxelles, et y répondre, à 21h57 (heure de mon ordinateur ici au Grand Dûcher) au Luxembourg. En tout cas, vous l’aurez constater mes frères, seul un esprit en phase d’être sublimé par la folie, peut synthétiser pareilles inepties. Sylvain NDONG est bel bien au Grand Dûcher du Luxembourg à l’heure où il écrit ce message. Ceux qui connaissent un minimum les distances qui séparent les pays européens et qui ont encore leur permis de conduire (non encore retiré pour cause de conduite en état d’ivresse éthylique, en provenance de chez « Jean-Jean » à maison-Alfort) peuvent facilement vérifier (par mappy.com) que la distance qui sépare Bruxelles (où notre faux opposant me localise) au moiLuxembourg (où le saoulard attitré de Saint-Denis dis m’avoir vu émigré – ce qui est juste) est d’au moins 300 kilomètres, donc non-reliable en moins de deux heures, et que cette réalité basique n’a d’aucune demi mesure rien à voir avec ce que raconte ce potentiel fou de grand-frère Ekoga. Et ceux qui veulent s’en convaincre peuvent toujours me joindre à partir de mon GSM, que détiennent ceux des frères qui me connaissent bien. Frère Ekoga, en toute fraternité, va à Mélen te soigner, cher Jean. Fais au moins honneur à ce Saint Prophète, JEAN, dont tu usurpes si maladroitement le nom. Surtout, dans ton futur lit de malade mental, n’oublie pas de lire son « Apocalypse », tout en suivant les conseils que t’a donnée notre bienheureuse sÅ“ur Félicité Vincent ce soir. Je te rendrai visite lors de ma prochaine arrivée au Gabon, dans peu. Repose-toi, le docteur M… t’apportera dans bientôt un peu d’insuline pour tes vieux nerfs. Ton Frère Edzodzomo, ah pardon, Sylvain NDONG, qui t’aime quand-même… Envoyé : jeudi 2 octobre 2008 21:31 À : Sylvain Ndong Objet : Re : Re : Nationalité d'Ekoga Sylvain Ndong, petit frère, ressaisis toi, il n'est pas trop tard. Je continue de te dire - publiquement - que tu es mon frère. Dans toutes les familles, il y a des problèmes, des palabres. Je ne te tiens pas rigueur. Tu m'as poignardé dans le dos, ce n'est pas grave, je ne suis pas mort; c'est l'essentiel. En plus, en tant que grand frère et homme politique, je me dois, non seulement de te protéger, mais de te comprendre et de pardonner. Fais juste amende honorable. Tu n'es pas un maquisard, pourquoi fonces tu dans la bêtise? Tu es une valeur pour notre pays, tu as du te tromper, qui ne se trompe pas ou ne s'est pas trompé sur cette terre? Allez bonne soirée, je suis au dessus de tout ça, n'aie pas honte de ce que tu as fait, ça fait partie de la vie ! ----- Message d'origine ---- De : Simeon EKOGA À : Sylvain Ndong Envoyé le : Jeudi, 2 Octobre 2008, 21h17mn 37s Objet : Re : Nationalité d'Ekoga Voila le faux "Edzodzomo Ela" devenu tout d'un coup "Bruno Vecarte"; écrivant de la même machine, en fait du même ordinateur depuis la belgique, dont l'IP est : 212.3.242.68 Regardez bien ci dessous, cette fois ci, il n'a écrit qu' à son maître, son gourou qui l'a conduit dans cette galère. Moi, je vais en faire copies aux autres de la mailing list fabriquée par le faussaire du net lui même. Je continue de dire que je ne vais jamais plus me lancer dans ce jeu de gamins. Localisation géographique par IP - IP geographical localization 212.3.242.68 - BE - BELGIUM wilbur.contactoffice.net. Le serveur whois.ripe.net à retourné l'information suivante : % This is the RIPE Whois query server #1. % The objects are in RPSL format. % % Rights restricted by copyright. % See http://www.ripe.net/db/copyright.html % Note: This output has been filtered. % To receive output for a database update, use the "-B" flag. % Information related to '212.3.242.64 - 212.3.242.127' inetnum: 212.3.242.64 - 212.3.242.127 netname: CONTACTOFFICE-BE descr: Contact Office Group descr: Brussels country: BE admin-c: BLB37-RIPE tech-c: LTHM status: ASSIGNED PA mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered role: LEVEL3 Hostmaster address: Level (3) Communications address: 100 Leman Street address: London address: E1 8EU phone: +44-20-7864-4444 remarks: trouble: 24 Hour Call +44-08000-927-729 remarks: trouble: Abuse reports to abuse at eu.level3.net admin-c: STUD1-RIPE admin-c: DT16-RIPE admin-c: JF2595-RIPE admin-c: NZ74-RIPE tech-c: LTEE nic-hdl: LTHM remarks: Peering issues to peering at eu.level3.net mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered abuse-mailbox: abuse at eu.level3.net person: BRICE LE BLEVENNEC address: Brussels phone: +32 2 340 32 32 nic-hdl: BLB37-RIPE mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered % Information related to '212.3.224.0/19AS9057' route: 212.3.224.0/19 descr: Level 3 RIPE block origin: AS9057 remarks: Abuse reports to abuse at eu.level3.net remarks: Peering contact is peering at eu.level3.net mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered ----- Message d'origine ---- De : Vecarte Bruno À : p.o.b Envoyé le : Jeudi, 2 Octobre 2008, 21h03mn 38s Objet : Nationalité d'Ekoga Pour publication sur le Nganga. Mais attends que je t'envoie les documents originaux (en JPEG); ce sont ceux là qui ont les infos authentiques. Bruno Vecarte From protected at yahoo.fr Sun Oct 5 14:49:48 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Sun, 05 Oct 2008 14:49:48 -0400 Subject: [BDPalabres] Parlons Projets, capitaux, investissements, valeurs, stratégie... Message-ID: Je vous remercie pour vos compliments. Je vous ai lancé un appel, quelques suggestions auxquelles vous n'avez pas repondu. Pourtant cela pourrait changer sérieusement la donne. Je vous renouvelle cet appel en vous demandant de laisser le droit s'exprimer et de passer désormais à la politique du concret. Parlons bien. A Bessieux, Raponda, Val Marie, on enseigne des valeurs qui font qu'un homme sache se distinguer aussi bien par sa tenue que par les fruits de travail. Vous avez déjà tout dit à vos camarades, vous avez fait ce qu'il fallait. Maintenant je vous invite à consacrer votre intelligence vers plus d'efficacité. Soyez dignes de vos oncles, tantes, parents qui ont été les premiers Gabonais à créer, disposer et diriger des chantiers forestiers et bien d'autres établissements économiques. C'est de cette façon que nous pouvons montrer au pouvoir politique qu'il est possible de faire mieux. Concentrez vous sur vos compétences et apportez nous des solutions pour équiper 2 millions de Gabonais en matériel informatique. Autrement, étant donné que vous êtes de la côte et peut-être également petit-fils de pecheur - comme moi - aidez moi à faire le sourcing des établissements industriels qui fournissent au moindre cout le matériel nécessaire au développement de ce type d'activité dans notre pays. Il y a beaucoup d'autres activités vers lesquelles chaque Gabonais de la Diaspora peut s'investir. Je travaille également sur la recherche des engrais, des semences et plants ou des alevins. En réalité, certains fournisseurs sont trouvés. Je continue à affiner mes recherches et à préparer les dispositions logistiques. Vous savez, la politique ce n'est pas toujours le fait d'aller défier ceux qui - comme des crabes - ont creusé leurs trous dans les marécages. En allant les y rejoindre, vous finissez par vous enfoncer dans les sables mouvants. Quant à eux, ils ressortent tranquillement et continuent leurs bonhommes de chemin. La politique, cela peut etre le fait de réaliser les espoirs que nos pères et mères, nos soeurs et frères ont mis en nous. Essayez de vous rappeller de ce à quoi vous pensiez quand vous étiez plus jeune. Croyez vous que vos ambitions étaient de conquérir la Présidence de la République après avoir échangé des échanges aussi discourtois? Imaginez vous en train de gouverner avec des hommes qui échangent des propos aussi désobligeants? Il fut une époque où le reve d'accéder à la Présidence correspondait à une reconnaissance des qualités humaines qui nous rendaient exemplaire et qui nous conféraient une autorité acceptée par les autres. L'image que nous sommes en train de donner, c'est comme si accéder au pouvoir est le fruit d'une bataille de crabes qui échoit au survivant. Soyons précis, je ne vous demande pas de devenir des hommes d'affaires, mais de vous concentrer sur des questions de politique économique ou sociale ; d'y apporter des reponses alternatives parce que là que la population attend la diaspora et ses responsables. Je vous quitte avec l'espoir que vous finirez par donner une suite favorable à mon appel. P.S. Merci pour le petit mots en langue myéné. J'ai rigolé à me rompre. Cela m'a rappellé des souvenirs d'enfance. Salutations cordiales. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Ven 3.10.08, Paul Okili-Boyer a écrit : De: Paul Okili-Boyer Objet: [BDPalabres] Re: Annonce Officielle À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Vendredi 3 Octobre 2008, 18h27 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Christian MAYANDJI, Il n'y a que les Gredins en priorité qui ont été concernés , bien sur qu'avec tous les pseudos que Siméon EKOGA prenait Il a fallu faire la preuve de bons sens , mais avec 5 boites emails qui avaient sa signature électronique a cause de redirection ou de "parking" de mails , la cause a été vite entendue. La plainte envers ce "Filou" a été amplifiée de son propre fait et s'Il croyait qu'en insultant ma famille plus bas que terre , Lui un français , seulement français, ayant répudié la Nationalité que Nos Pères et Mères avaient conquis après 130 ans de Colonisation , Il allait me faire peur,.................... ......Zélé ho.......M'aré go fala ........Anyembié n'diena mié Il est coincé comme une sardine en boite. quand envers les compatriotes Gabonais ,je m'excuse de la Folie de ce Personnage aussi débile et insulteur qui n'a jamais eu le respect des individus et qui a cherché la guerre , Hé bien Il l'a eue , Elle se continuera jusqu'a son effacement complet de la mémoire de la diaspora. J'ai pardonné deux fois ses insultes envers ma Mère , je ne pardonnerais pas trois fois , a mon époque a Bessieux on disait de ce genre de personnage , "Il fait le farot" alors maintenant Il va finir de FAROTER. Moi aussi j'ai quitté le BDP en 2003 , mais contrairement a Lui , qui a essayé de me mettre sur le dos ,toutes ces fadaises et ses Diffamations........Jamais je n'ai tué un être Humain alors que lui a voulu par deux fois assassiner daniel MENGARA-MINKO nous en avons la preuve , et celle qui peux le répeter est encore vivante et propose d'etre témoin en cas de procès. Voila cher frère , mais je profite aussi de ce post pour vous féliciter pour la pertinence de vos argumentaires Politique , peut être devrais je dire .....Analyses ou Synthèses.... en tout cas ,vous apportez aussi une Le 2 octobre 2008 16:11, Christian MAYANDJI a écrit : ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Cher compatriote, Cher Paul, Vous avez été dans votre droit et vous l'avez exercé. Je ne crois pas qu'il y ait qui que ce soit qui puisse vous le reprocher. Je voudrais espérer que cette action puisse servir d'enseignement pour ceux qui, à nouveau, seraient tentés par des tels excès. Chacun aura compris que la liberté d'expression s'arrête lorsqu'elle porte atteinte à l'intégrité de chacun. Nul ne peut etre à l'abri du droit. Je voudrais simplement espérer que sur la liste des 25 adresses électroniques ne figurent que celles des personnes qui vous ont attaqué et non celles de tout venant participant aux débats sur le forum. Pouvez vous me rassurer sur le fait que mon adresse e-mail n'ait pas été concerné par votre démarche? Merci et salutations cordiales. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Jeu 2.10.08, Paul Okili-Boyer a écrit : De: Paul Okili-Boyer Objet: [BDPalabres] Re: Annonce Officielle À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Jeudi 2 Octobre 2008, 3h33 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Il n'y a aucune animosité de ma part dans le fait que mes avocats aient demandés a faire ouvrir certaines boites mails sous controle d'Huissiers et avec l'aval du président du Tribunal. Suite a celà beaucoup de choses néfastes ont été trouvée a l'encontre de Siméon J F Ekoga et de ses nombreux et connus Pseudos. Que ceux qui par erreur ont été génés qu'Ils m'excusent , sinon Ils ont aussi moyen en écrivant a la C.N.I.L. de demander réparation si cela a mis en cause leur Vie privée. Je n'ai pas eu tous les résultats , mais d'apres mon avocat celà est explosif , vis a vis du "promoteur " du Site AGORA. Donc les plaintes ont été amplifiées a son encontre , Il faut que les Arrivistes, et Diffamateurs soient condamnés très sévèrement....et la cela va etre le cas pour ce Monsieur. quand a l'article du Nganga a ce lien http://okili.fr Il devient de ce fait caduc et je ferais proceder a un rectificatif A l'encontre de Monsieur le Président Mamboundou de l'U.P.G. ,de Mr et Mme Mouloungui , et de Monsieeur Sylvain Ndong j'ai retiré mes Plaintes grace à la médiation de Mr Guy Roger Biwagou , de Monsieur Sylvain Ndong , et aux très sages conseils d'un Homme de Respect le Docteur Mengara Minko ..que je remercie fortement , car si Un jour la Diaspora se concentre et se réunifie pour être plus forte , Il en sera un des premiers qui aura montré le Cheminement. Paul Okili-Boyer From protected at yahoo.fr Sun Oct 5 14:51:56 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Sun, 05 Oct 2008 14:51:56 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Tr : Re : Re : Nationalité d'Ekoga Message-ID: A nos chers Siméon et Sylvain, Depuis que vous vous disputez à propos de la citoyenneté et des faux papiers ou de residence luxembourgeoise/bruxelloise ou d'hebergement de site internet, nous n'arrivons pas à comprendre quel est le fond du problème qui vous oppose, qui s'étale devant et s'étend à toute la communauté. Serait-il possible de trouver des juges de paix au près desquels il serait possible de vider vos sacs et de permettre à toutes la communauté de vous voir reprendre la route plus sereinement ? Croyez bien que nous avons de l'affection pour tous. Les secrets que vous sortez finissent par nous éclabousser. Prennez le temps d'y refléchir. A votre place, je serai heureux de trouver quelqu'un qui vienne me calmer et m'aider à passer à autre chose. Essayer de trouver une sortie de crise!!! Salutations cordiales. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Ven 3.10.08, Simeon EKOGA a écrit : De: Simeon EKOGA Objet: [BDPalabres] Re: Tr : Re : Re : Nationalité d'Ekoga À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Vendredi 3 Octobre 2008, 18h16 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ ----- Message transféré ---- De : Simeon EKOGA À : Sylvain Ndong Objet : Re : Re : Nationalité d'Ekoga Sylvain Ndong, pour confondre le "fou" Ekoga, communique de suite à tes "amis" un numéro de téléphone fixe au Luxembourg où ils pourront te joindre. Tu n'y es pas, tu séjournes actuellement à Bruxelles, où tu cherches à refaire ta carte de séjour, tu es actuellement sans papiers en Europe. En fait, pourquoi ne ferais tu pas tes papiers de séjour au Luxembourg où tu résides et prétends travailler? Je suis un homme de réseaux mon petit, "nous" t'avons à l'oeil ! Tu ne pèses pas lourd . Sylvain Ndong, tu t'es fait passer pour Edzodzomo Ela hier soir - par la méthode "fishing depuis un ordinateur à Bruxelles - pour m'insulter, c'est LAMENTABLE ! Tu es devenu un FAUSSAIRE .Tu es à Bruxelles avec un téléphone portable du Luxembourg en "roamaing" *. On y va ! C'est dur quand est pris dans la nasse. Ce n'est pas un jeu de "bambins" la politique. Sylvan Ndong, pour exister "politiquement" et te faire remarqer par le régime, il te faut quotidiennement insulter Ekoga et le mettre en copie aux Pdgistes, aux membres de l'ambassade du gabon, aux membres d'associations pro Bongo de France et au journal de Samuel Mbaye qui tout d'un coup est devenu ton référentiel ? Actions vouées à l'échec, résultat = zéro SE * ROAMING, Itinérance en français. Service proposé par les opérateurs de téléphonie mobile pour permettre l'accès à leurs services depuis l'étranger. ----- Message d'origine ---- De : Sylvain Ndong À : Simeon EKOGA Objet : RE: Re : Nationalité d'Ekoga Grand-frère Siméon (en âge, mais non en intelligence, ni en esprit et encore moins en sagesse), Paul OKILI BOYER, ton ancien ami et « frère », m’a récemment confié, au cours d’un entretien téléphonique, qu’il finira bien par te rendre FOU ; non par le « poison » ou le « mercenariat », mais par la SEULE supériorité d’intelligence qu’il a sur toi, pour avoir fait des études de haut niveau (Sain-Cyr), au moment où toi et tes copains sans abris de Saint-Denis, vous abonniez à l’alcool et à l’odontol. En toute honnêteté, je suis de plus en plus porté à croire que tu commences à manifester les signes pathologiques d’une paranoïa liée à sa prédication, car, en toute honnêteté, je ne reconnais plus le Siméon Jean Francis EKOGA, chez qui je me suis rendu ce dimanche de juillet 2008, avec mes deux petites filles, lui remettre, à la cuisine de son appartement, les quelques dizaines d’euros promis, grâce auxquels il allait pouvoir e survivre son site Internet www.rdpg.org. Te rappelles-tu cher Siméon, que c’est toi-même qui affirmait sur ces mêmes mails, que Sylvain NDONG que je suis, avait, après Bruxelles en Belgique, émigré au Luxembourg avec toute sa famille, pour raisons professionnelles. Quelle « panne d’inspiration de l’âme », quelle « manque de cervelle » ou d’hypophyse, te fait en ce jour penser que le même Sylvain Ndong peut détenir, dans les méandres mentales de son cerveau en bouillie, le don d’ubiquité, qui le permettrait d’écrire, à 21H03, un message de Bruxelles, et y répondre, à 21h57 (heure de mon ordinateur ici au Grand Dûcher) au Luxembourg. En tout cas, vous l’aurez constater mes frères, seul un esprit en phase d’être sublimé par la folie, peut synthétiser pareilles inepties. Sylvain NDONG est bel bien au Grand Dûcher du Luxembourg à l’heure où il écrit ce message. Ceux qui connaissent un minimum les distances qui séparent les pays européens et qui ont encore leur permis de conduire (non encore retiré pour cause de conduite en état d’ivresse éthylique, en provenance de chez « Jean-Jean » à maison-Alfort) peuvent facilement vérifier (par mappy.com) que la distance qui sépare Bruxelles (où notre faux opposant me localise) au moiLuxembourg (où le saoulard attitré de Saint-Denis dis m’avoir vu émigré – ce qui est juste) est d’au moins 300 kilomètres, donc non-reliable en moins de deux heures, et que cette réalité basique n’a d’aucune demi mesure rien à voir avec ce que raconte ce potentiel fou de grand-frère Ekoga. Et ceux qui veulent s’en convaincre peuvent toujours me joindre à partir de mon GSM, que détiennent ceux des frères qui me connaissent bien. Frère Ekoga, en toute fraternité, va à Mélen te soigner, cher Jean. Fais au moins honneur à ce Saint Prophète, JEAN, dont tu usurpes si maladroitement le nom. Surtout, dans ton futur lit de malade mental, n’oublie pas de lire son « Apocalypse », tout en suivant les conseils que t’a donnée notre bienheureuse sÅ“ur Félicité Vincent ce soir. Je te rendrai visite lors de ma prochaine arrivée au Gabon, dans peu. Repose-toi, le docteur M… t’apportera dans bientôt un peu d’insuline pour tes vieux nerfs. Ton Frère Edzodzomo, ah pardon, Sylvain NDONG, qui t’aime quand-même… De : Simeon EKOGA Envoyé : jeudi 2 octobre 2008 21:31 À : Sylvain Ndong Objet : Re : Re : Nationalité d'Ekoga Sylvain Ndong, petit frère, ressaisis toi, il n'est pas trop tard. Je continue de te dire - publiquement - que tu es mon frère. Dans toutes les familles, il y a des problèmes, des palabres. Je ne te tiens pas rigueur. Tu m'as poignardé dans le dos, ce n'est pas grave, je ne suis pas mort; c'est l'essentiel. En plus, en tant que grand frère et homme politique, je me dois, non seulement de te protéger, mais de te comprendre et de pardonner. Fais juste amende honorable. Tu n'es pas un maquisard, pourquoi fonces tu dans la bêtise? Tu es une valeur pour notre pays, tu as du te tromper, qui ne se trompe pas ou ne s'est pas trompé sur cette terre? Allez bonne soirée, je suis au dessus de tout ça, n'aie pas honte de ce que tu as fait, ça fait partie de la vie ! ----- Message d'origine ---- De : Simeon EKOGA À : Sylvain Ndong Envoyé le : Jeudi, 2 Octobre 2008, 21h17mn 37s Objet : Re : Nationalité d'Ekoga Voila le faux "Edzodzomo Ela" devenu tout d'un coup "Bruno Vecarte"; écrivant de la même machine, en fait du même ordinateur depuis la belgique, dont l'IP est : 212.3.242.68 Regardez bien ci dessous, cette fois ci, il n'a écrit qu' à son maître, son gourou qui l'a conduit dans cette galère. Moi, je vais en faire copies aux autres de la mailing list fabriquée par le faussaire du net lui même. Je continue de dire que je ne vais jamais plus me lancer dans ce jeu de gamins. Localisation géographique par IP - IP geographical localization 212.3.242.68 - BE - BELGIUM wilbur.contactoffice.net. Le serveur whois.ripe.net à retourné l'information suivante : % This is the RIPE Whois query server #1. % The objects are in RPSL format. % % Rights restricted by copyright. % See http://www.ripe.net/db/copyright.html % Note: This output has been filtered. % To receive output for a database update, use the "-B" flag. % Information related to '212.3.242.64 - 212.3.242.127' inetnum: 212.3.242.64 - 212.3.242.127 netname: CONTACTOFFICE-BE descr: Contact Office Group descr: Brussels country: BE admin-c: BLB37-RIPE tech-c: LTHM status: ASSIGNED PA mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered role: LEVEL3 Hostmaster address: Level (3) Communications address: 100 Leman Street address: London address: E1 8EU phone: +44-20-7864-4444 remarks: trouble: 24 Hour Call +44-08000-927-729 remarks: trouble: Abuse reports to abuse at eu.level3.net admin-c: STUD1-RIPE admin-c: DT16-RIPE admin-c: JF2595-RIPE admin-c: NZ74-RIPE tech-c: LTEE nic-hdl: LTHM remarks: Peering issues to peering at eu.level3.net mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered abuse-mailbox: abuse at eu.level3.net person: BRICE LE BLEVENNEC address: Brussels phone: +32 2 340 32 32 nic-hdl: BLB37-RIPE mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered % Information related to '212.3.224.0/19AS9057' route: 212.3.224.0/19 descr: Level 3 RIPE block origin: AS9057 remarks: Abuse reports to abuse at eu.level3.net remarks: Peering contact is peering at eu.level3.net mnt-by: LEVEL3-MNT source: RIPE # Filtered ----- Message d'origine ---- De : Vecarte Bruno À : p.o.b Envoyé le : Jeudi, 2 Octobre 2008, 21h03mn 38s Objet : Nationalité d'Ekoga Pour publication sur le Nganga. Mais attends que je t'envoie les documents originaux (en JPEG); ce sont ceux là qui ont les infos authentiques. Bruno Vecarte From protected at orange.fr Sun Oct 5 14:59:20 2008 From: protected at orange.fr (Paul Okili-Boyer) Date: Sun, 05 Oct 2008 14:59:20 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Tr : Re : Re : Nationalité d'Ekoga Message-ID: Mon probleme Monsieur Ekoga c'est que moi je ne vais pas finir en prison comme Vous et dans tres peu de temps vous allez vous y trouver , je fais confiance a la Police et a la justice de votre pays , et au cours du procés que vous avez au fesses je vous plaint ce n'est pas votre création de blogs diffamatoires http://paulboyerbradel.ivoire-blog.com/cela est juste le reflet de votre mort prochaine comme dit si justement mon avocat, qui vont vous empechez de vous trouver en prison et votre fille en famille d'acceuil ou a la dass. Amusez vous bien au cas ou vous ne le saviez pas moi je me tord de rire a voir vos créations de blogs un peu partout , car cela ne fait qu'amplifier la notion de recidive avant que vous ne passiez devant le juge. Dommage pour votre Vie politique , elle n'aura jamais lieue , lisez les journaux gabonais de cette semaine .de plus j'ai entendu parler d'une autre plainte nous allons rire , car ne croyez pas que les Politiques gabonais vont parler de vous , vous etes trop insignifiant pour eux Vous ne verrez jamais un de mes enfants ,vous toucher ,Ils risqueraient de se salir, Nous faisons confiance a la justice gabonaise et française et vous allez en subir les effets ....vous allez comprendre votre douleur. Mes avocats qui eux sont payés pour tout prendre sur le net vont vous montrer ce que c'est que la justice dans votre pays. malheureusement avec votre boulot de WATCH vous ne pouvez meme pas vous payer un avocat. Monsieur weber a été très content d'avoir de vos nouvelles vous en aurez a dire. Vos maigres et petits salaires risquent de ne memes pas suffire a payer les indemnités auquels vous allez etre condamné. Au fait vous ignorez que pour etre Watch , il faut un casier judiciaire vierge , et ne pas etre condamné pour une affaire de délation , de corruption , de diffamations .....ça va etre très dur pour vous les temps qui arrivent, après la prison , peut etre irez vous sous les ponts a Paris, ou un gabonais en passant vous donnera 1 ou 2 euros pour aller boire un verre a saint denis au bistrot , votre salon de travail. > Message du 03/10/08 18:22 > De : "Simeon EKOGA" > A : bdpalabres at bdpgabon.org > Copie à : > Objet : [BDPalabres] Re: Tr : Re : Re : Nationalité d'Ekoga > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. > ___________________________________________________________ > > > > [ (pas de nom de fichier) (8.5 Ko) ] > [ (pas de nom de fichier) (0.3 Ko) ] Paul Okili Boyer =========== =========== =========== 0033 468 723 731 From protected at aol.com Sun Oct 5 15:00:37 2008 From: protected at aol.com (Patit Pierre) Date: Sun, 05 Oct 2008 15:00:37 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Tr : Re : Re : Nationalité d'Ekoga Message-ID: Bonjour esse un genre de dialogue utile ? a la cause qui est le changement au gabon ?? esse avec ce genre de bla bla bla " des mon frére par çi ou par la" excusé moi nous esperont de la part d opposants ou suposé l étre ? ? un autre dialogue , cordialement votre B.O From protected at yahoo.fr Sun Oct 5 15:04:02 2008 From: protected at yahoo.fr (Simeon EKOGA) Date: Sun, 05 Oct 2008 15:04:02 -0400 Subject: [BDPalabres] Pleurs d'un homme perdu : Sylvain Ndong Message-ID: Sylvain Ndong, Je viens de lire ton torchon, j'ai cru que c'etait un collégien quittant son village de Ndjolé pour Libreville qui m'écrivait. Quelle tristesse ! Juste les mots d'un gabonais qui veut montrer qu'il roule en mercedès. Le casting a été un échec, il n y a qu'un malade comme "le loup blanc" qui te soutiendrait dans une telle idiotie. Connais tu le nombre de gabonais (silencieux) qui roulent dans des marques plus luxueuses que "mercedes", sans se faire voir ? Tu es trop jeune pour chercher autre chose dans la vie... Tu veux juste briller au sein de la diaspora, toutes les stratégies sont bonnes : déprécier un individu, se vanter, mentir et se mentir à soi même, puis jouer à la victime; c'est vieux comme le monde, cette stratégie qu'emploie aussi ton nouvel allié "le loup blanc". A la même période déjà, l'année dernière; tu avais eu une chaude empoignade sur le web avec Daniel Mengara. Ce que j'avais retenu de toi à cette période, c'était de m'avoir appelé tout joyeux, parce que le mythique journal Le Nganga avait repris vos échanges. Tu m'avais dit ceci : "je suis devenu un homme politique important, le Nganga parle de moi...il a repris mes échanges avec Mengara..." . J'étais très amusé à cette époque, j'avais compris que tu ne recherchais qu'une reconnaissance politique, car le prestigieux poste de représentant upg Bénélux ne te suffisait plus; il n y a rien à faire, on est pas visible et le sacré Mouloungui te fait désormais ombrage. Il faut innover, le mercenariat politique peut rapporter gros... Le conseil que je peux te prodiguer, et beaucoup n'ont pas eu le courage de te le dire : "en politique, tu vaux zéro...", tu as beaucoup à apprendre avant de revenir sur la scène. Ce que l'on retient de toi, honnêtement; c'est un homme qui veut coûte que coûte exister : il est prêt à tout pour le faire. Alors : * tu vas déjà nous dire que tu touches 900€/semaine *que tu as payé le site du Rdpg menacé de fermeture et quand je viens annoncer à la communauté qu'un hébergement internet ne vaut que 100€/an, donc que tu m'aurais donné 8,33€/mois, tu as vite fait de changer pour parler de la nationalité française de Ekoga etc... * tu as brillé par l'insulte pure envers ton contradicteur, sans pour autant chercher à le convaincre par l'argumentaire, malgré tous les diplômes que tu prétends avoir. En fait, on s'est vite aperçu qu'on a affaire à un arriviste doublé d'opportunisme chronique. Il y a encore quelque chose d'amusant, c'est que tout le monde a compris que tu as créé le blog des 10 gabonais de la diaspora, pour mieux te vendre toi même. Certains de tes propres amis ont refusé d'y faire partie. Qui consulte ce genre de blog ? Des tarés ! En fait, peux tu dire publiquement aujourd'hui pourquoi tu insultes en NON STOP Ekoga depuis plusieurs semaines, et étrangement depuis ton retour du Gabon, où tu y as séjourné en catimini? Dans l'insulte et la manipulation, tout y passé; ma fille de 14 ans menacé de viol, et tous les autres mensonges que tu as pu tisser. Alors pour la suite, essaye d'apporter des preuves à l'américaine sur la vie de Ekoga au lieu de ne raconter que des fables, ça devient lassant ? Tes amis en ont honte et me l'ont dit. Si je les suivais, je ne devrais même plus te répondre. Mais on est entre NOUS, il faut se dire la VERITE et arrêter de se mentir. Si Ekoga se réclame le chef de l'opposition de la diaspora, petit jaloux, cherche à faire mieux que lui, innove, publie, vas vers la presse, fais connaître ton projet pour le Gabon etc... Au lieu d'aboyer en longueur de journée, à te pavaner et à jouer au paon...! Et insulter Ekoga, tu es trop jeune pour te tromper de la sorte ! Âme perdue et en mal de reconnaissance... J'ai vu que tu as mis en copie à tes insanités Eugenie Diecki, elle travaille à Africa numéro 1 (Paris), demande lui de participer à une de ses émissions, et tu te feras peut être connaître, je ne suis pas un stranpontin pour toi jeune homme? Ton journal de référence, le Nganga peut te donner la parole pour que tu parles de ce que tu souhaites pour le Gabon et les gabonais, ce n'est pas Ekoga ton projet de société quand même? Vraiment triste pour mes amis de l'Upg à qui tu n'as jamais dit montré ton sulfureux PASSAGE au PDG dont tu détiens une carte de membre ! Je t'ai poussé à bout et le monde peut constater aujourd'hui qui est Sylvain Ndong. Il vient de nous démontrer pendant plusieurs semaines qui il est, et cela va bien te servir pour la suite, tu verras. Merci de nous montrer la mercedès : le fruit de la félonie, de la forfaiture ! Le régime gabonais paye cash (voir date sur l'assurance...) ça du être l'avance sur les opérations de déstabilisation qui sont entrain d'échouer lamentablement? Quelqu'un qui se réclame "responsable" de l'Upg Benelux et qui vient de faire plus d'un mois au Gabon, sans avoir rencontré un seul membre de son parti politique, mais a été plusieurs fois aperçu du côté de l'avenue de Cointet (suivez mon regard), bizarre bizarre...? Homme d'affaires à Bruxelles ou au Luxembourg? On commence par se perdre dans cette affaire ! Merci pour les photos, elles sont belles, surtout le maillot gabonais... Tu l'as acheté lors du voyage en clando au gabon? Te connaissant aussi un peu faussaire, tout peut se faire par "scan" (scanner) mon petit, une petite "rectif" sur les papelards, quelques clics de souris et le tour est joué Tu viens déjà de nous démontrer il y a quelques jours tes talents de faussaire en informatqiue, où tu as utilisé la méthode appelée "hameçonnage" ou fishing qui consiste à écrire à quelqu'un en utilisant un émail appartenant à un tiers (autrui). Tu l'as fait avec le mail de Edzodzomo Ela Martin. Je t'ai vite démasqué, le watch connait un peu l'informatique ! Allez bon dimanche, âme en peine et perdue ! C'est très bon, peux tu dans la foulée aussi prouver tout ce que tu dis sur EKOGA, là sur le net (photos en tenue de watch, contrat de travail, fiche de paie, preuves photographiques au moins de son ivrognerie... ? Tu as pris de l'argent à des personnes faisant croire que tu connaissais très bien EKOGA et que tu pouvais le faire taire. Tu devras leur rembourser leur pognon, puisque Ekoga parle toujours et accorde des interviews à des chaines de télé, de radio et des journaux? Ce régime ne blague pas, ne pense pas que tu les a roulé...Il te faudra passer à la caisse pour le remboursement. Sans raison évidente, depuis ton retour du Gabon; c'est matin, midi et soir Ekoga çi, Ekoga ça... Et les souffrances du peuple gabonais dans tout ça? Comme les autres, tu remets ton pyjama et tu vas dormir. Ekoga reste debout, il veille ! A qui le tour très prochainement ? Fraternnellement SE P.s : pendant qu'on y est qui a répondu à votre "annonce" de recrutement sur votre blog ...? Ils n'ont pas le temps de lire ce genre de conneries de CV. Ils ont plus de temps au pillage et à donner des miettes à des gens comme toi et à ton complice, le vieux blanc qui est une prostituée politique. Allez, essayez de trouver autre chose, ça pourra marcher ! From protected at yahoo.fr Sun Oct 5 15:05:06 2008 From: protected at yahoo.fr (Sylvain Ndong) Date: Sun, 05 Oct 2008 15:05:06 -0400 Subject: [BDPalabres] Ekoga K.O Message-ID: Cher Gardien de nuit Ekoga, Tout ce que j'ai dit est vérifiable, cher aigri. Tu n'as rien, RIEN, RIEN, RIEN ! Sans femme, sans carte bleue, sans salaire décent. Tu manges de hamburgers tous les jours que Dieu fait, quelle misère ! J'ai écrit à tous les autres que je ne te répondrai plus sur le net ; c'est un conseil de ma femme. Peux-tu demander à ta femme de te donner quelques conseils avant d'écrire des conneries dignes d'un homme qui sait sa vie désormais sans avenir. Tu es FINI Ekoga, fini, fini, fini. Tu n'as plus rien, même ton avenir en tant que français ne te prévoit rien de bon. Au mieux, tu resteras watch toute la vie, au pire, tu toucheras le RMI. Et au Gabon c'est même plus la peine puisque tu n'es plus gabonais. Donc, quel avenir te reste-t-il cher grand-frère qui a négligé si maladroitement ses études. Tu sais, TU AS bientôt 60 ANS et sans diplôme reconnu, que penses-tu que l'administration fera encore de toi, hein ? Rien, Nada, Zéro. Les mêmes amis parisiens dont tu parles aujourdhui, sais-tu ce qu'ils m'ont longtemps dit de TOI ? Si tu savais... Mon droit de discretion m'impose de ne pas les nommer. Tu fais du bruit sur Internet pour essayer de jouer les interessants afin d'espérer être appelé par les gens de Libreville pour re-rencontrer Bongo et toucher d'autres millions, qu'une femme sénégalaise, qui t'avait cocuffié d'ailleurs, t'avait auparavant escroqué. C'est mal barré mon vieux ! Dans cette vie, il faut avoir le diplôme pour gagner sa vie correctement comme Sylvain NDONG le fait depuis que je suis venu en Europe en 2000 ; et tes fameux amis le savent TOUS. Je viens de te faire la preuve par l'envers de ce que je suis à tous tes amis parisiens de l'ombre et toi (ceux auxquels ce message ferait mal dans leur coeur se reconnaîtront comme faisant partie du lot). Car j'ai réalisé, par la seule force de mon savoir, mon "European Dream" (j'espère que tu sais au moins lire cette simple phrase d'anglais) ! Tu vois, même l'honnêteté ne t'habite pas, et tu oses, du haut pourtant de ton âge de cinquantenaire révolu, me faire la morale, sous la bénédiction de tes soi disant nouveaux amis. Si tu êtes au moins un homme avec des couilles (vu que tu es incapable de garder une femme à la maison), tu aurais au moins, comme le ferait un homme de probité, diffuser tout aussi mon message sur ton fameux forum d'âme en panne d'inspiration Agora. Tu publies ta seule réponse en croyant me salir ; mais c'est dommage ; je suis indigeste, mon cher Watch ; même sans mon message sur Agora (qui ne vaut d'ailleurs plus rien), Sylvain NDONG ferait le démonstration de sa valeur nationale par la seule force de son intelligence et de ses facultés, et n'y toi le pauvre gardien de nuit, ni qui que ce soit n'empêchera ce destin de s'accomplir. Toutes les informations que j'ai volontairement étalée sont VERIFIABLES. Ce que tes nouveaux amis de Paris et toi devrez désormais faire, c'est de prendre vos téléphones, pour espérer assouvir vos malheureux âmes d'aigris. Pauvres Diables va ! La seule profession qui te reste c'est d'être un délateur invétéré. C'est tout ce qui te reste en tout cas, car tu es comme un garçon que j'avais sérieusement corrigé au CP2 et qui, alors même que j'étais sur lui en train de le rouer de coups, trouvait encore la force (ou plutôt le vampire) d'oser dire : "enlevez-le sur moi, sinon je vais me fâcher". Une histoire de fou ! Pour finir, tu as un ver dans le cerveau mon cher Siméon ; toutes ces aigreurs-là (gardien de nuit, sans femme à la maison, élevant seul sa fille, sans diplômes et fauché, etc.) te rendent petit à petit fou ; et n'oublie pas ce que je t'ai dit un jour : la folie est un poison lent. Prends le temps de prendre rendez-vous dans un centre psychiatrique pour aller te faire diagnostiquer. C'est comme le cancer, plus tôt tu le dépistes, mieux c'est pour une éventuelle gairison ; même si pour ton cas, nous avons de bonnes raisons de désespérer... Bonne chance grand-frère Sylvain NDONG Fils de Ndjolé et Fier de l'Etre. From protected at yahoo.fr Sun Oct 5 18:43:22 2008 From: protected at yahoo.fr (Sylvain Ndong) Date: Sun, 05 Oct 2008 18:43:22 -0400 Subject: Démonstration à l'américaine (à l'endroit de Siméon Jans Francis Ekoga) Message-ID: Paul, Bonjour Je viens de lire ton message et je m'en vais t'emboîter le pas en faisant une petite démonstration, à l'instar des rappeurs américains, en clouant le bec à ce gardien de nuit d'Ekoga, qui ne fait que salir, salir, salir, par des mensonges dignes d'un disciple de Satan, qui susurre dans les oreilles des enfants de Dieu des insanités, avec pour seul but de leur faire perdre leur foi. Depuis que je connais ce bonhomme aigris, que n'ai-je pas lu sur Daniel MENGARA, sur Bruno ELLA-NGUEMA, sur Félicité VINCENT, sur Petit LAMBERT-OVONO, sur Rodrigue MALEKOU, sur Jean ENGONE AKOGHE, sur Michel EKEKANG, sur Paul OKILI-BOYER, etc. et maintenant sur Sylvain NDONG, et toujours avec LA même hargne, LA même noirceur d'esprit, dont la volonté intérieure est de faire passer les autres pour des moins que rien, et lui, le gardien de nuit, le Watch de Saint-Denis, s’illustrant comme le meilleur d'entre nous tous. Je n'ai jamais vu de toute ma vie une personne qui collectionne autant d'accrochages que ce miséreux monsieur d'EKOGA Jean Siméon. D'aucuns se diront sans doute que ce sont tous les autres cités ci-dessus qui ont probablement eu tord, ou ont été systématiquement "envieux" de son "avancée" (quelle avancée même) en tant qu'improbable "opposant gabonais" de la diaspora. Mais aujourd'hui, à y bien regarder, en observant attentivement les parcours personnels, les niveaux d'études, les pédigrées et les statut sociaux de toutes ces personnes qui ont été salies par ce gardien de nuit d'Ekoga [ partir de mon pays pour venir être Watch en France, quelle honte ! ], on pourrait aisément comprendre quel a été systématiquement le moteur, chez cet individu, de toute cette aigreur : la REALITE. Cette réalité qui place ce bonhomme bien en dessous de tous ceux qu'ils s'acharnent, avec son instrument de délation, le "fameux Agora", d’écorner insidieusement la personnalité. Tout y passe, injures, calomnies, faux et usage de faux, usurpation d'identité, manipulations d'informations... Ces dernières trouvailles en date, c'est de me faire passer, moi Sylvain NDONG, digne fils de mon père, de ma mère, digne citoyen de mon BEAU pays LE GABON, dont je suis FIER de détenir ENCORE ET TOUJOURS le passeport... comme un vulgaire faussaire à deux balles. Tu t'es trompé de cible Ekoga, car MOI NDONG Sylvain je suis un pur de chez pur, un vrai fils de Sion, ma mère Patrie. Tu sais quoi, je vais te faire une petite démonstration à l'américaine, à toi et à tes petits copains du cercle des ngandaistes éthyliques de Paris, dont je peux te donner un à un les noms, AIGRIS et JALOUX que vous êtes TOUS de savoir et de voir certaines choses que réalisent le digne fils de mon PAYS que je suis. Je vous connais UN à UN, vous qui avez constitué un petit comité d'AIGRIS autour de ma personne, en vilipendant des torchons d'informations sur mon compte, et dont votre nouveau porte-parole Ekoga s'amuse par la suite de diffuser sur sa radio "Agora". Je vais vous le faire à l'envers, à la manière des rappeurs américains. Voici mon mini-portrait, que chacun de vous pourra par la suite imprimer comme l'abécédaire du self-made-man authentique, au dessus de vos lits d’hypocrites et d'aigris que vous êtes tous, et dont ce gardien de nuit SANS FEMME A LA MAISON d'Ekoga, se veut être le porte-voix. Pauvres et malheureux types que vous êtes tous va ! Primo : Dans le mini-portrait que j'avais fourni à la demande (judicieuse) de notre frère Tsir-Ella, qui voulait que chacun de nous fasse preuve de transparence en donnant clairement son parcours (le gardien de nuit d'Ekoga ne s'est toujours pas présenté à ce jour, car il n'a rien à nous soumettre comme compétences), j'avais eu à mentionner certains éléments concernant ma profession, en tant que chef d'entreprise. Je vous donne ce jour, en supplément de mon mini-cv et pour vérification, mon numéro d'entreprise (TVA) en Belgique, que chacun de vous pourra aisément vérifier en se renseignant auprès du Moniteur Belge Numéro d’entreprise appartenant à monsieur Sylvain NDONG : BE. 892.062.577. Aussi, après qu'il se serait renseigné dès demain auprès des autorités belges sur l'existence de MA société, je voudrais par la suite que notre cher gardien de nuit sache que pour être administrateur d'une société en Europe, il faudrait justifier au minimum d'un diplôme de gestion d'entreprise ; et que, mieux, en étant chef d'une entreprise européenne, vous avez la latitude de travailler ou que vous voulez dans l'espace Schengen, et y obtenir, sur la base d'un contrat de travail signé avec une société tiers, le droit d'y séjourner. Monsieur le gardien de nuit a affirmé haut et fort ici, après avoir cuvé une dame-jeanne de vin-rouge avec ses amis "informateurs" de Paris (que je connais tous un à un), que Sylvain NDONG, digne citoyen gabonais et chef d'une entreprise européenne, j'étais désormais sans papiers en Europe et que je n'ai jamais travaillé ni habité au Luxembourg. Aigreur et Jalousie quand tu nous tiens TOUS. Ci-joints, mes chers amis, vous trouverez en doc_1 et doc_2, une copie de mon PASSEPORT GABONAIS (que certains ont échangé "avec fierté" contre un passeport français pour avoir la chance d'être... Watch et de toucher le RMI - ah mon Dieu !) et une copie de mon TITRE DE SEJOUR A JOUR LUXEMBOURGEOIS, renouvelable chaque année comme partout ailleurs, et comme il en sera question ici le 5 novembre de cette année. « Sylvain NDONG est désormais clandestin en Europe », titrait notre gardien de nuit et saoulard d'Ekoga, à la une de son désormais journal à calomnies Agora. Quelle honte auras-tu Ekoga, en voyant ces papiers, toi et tes amis... mon Dieu ! Heureusement qu'en étant comme je vous connais, la honte ne vous habite plus... Ah ah, on va bien rigoler. Je convie solennellement TOUS CEUX qui le souhaitent prendre la liberté de vérifier une à une TOUTES LES INFORMATIONS que je vais vous fournir exclusivement dans ce mail, non par orgeuil personnel, mais par soucis de VERITE et de CONFUSION d'un AIGRIS (ensemble avec d'autres aigris de Paris), qui se sont donnés pour mission de salir les autres sur le net, en usant de mensonges, de calomnies et de manipulations... Jugez de vous-mêmes mes frères et sÅ“urs ! Secundo : Ce bonhomme d’Ekoga a affirmé qu'un certain Ella Mintsa Hervé, m'aurait confié une voiture avec laquelle j’aurais roulé durant un an à Bruxelles. Mon Dieu, mais d'"où sortent tous ces acrobates" ; comme chantait Cabrel dans son morceau "la Corrida" ? Ekoga, tu as été CHEZ MOI, dans Ma Maison à Bruxelles, où je vivais avec femme et enfants. Tu as vu où j'habitais. Etait-ce la maison de quelqu'un qui roule dans des voitures pourries des uns et des autres ? Renseigne-toi auprès de tes copains de Paris, ceux-là mêmes qui te donnent tes infos pourries ; ils te diront dans quoi je n'ai cessé d'habiter et de rouler depuis que je suis entré ici en Europe le 27 octobre 2000, il y a 8 (huit) ans aujourd'hui, embauché depuis le Gabon, à peine mon diplôme (obtenu dans MON PAYS, à l'Institut Africain d'Informatique) en poche. Oui cher Ekoga, je serai expressément immodeste aujourd’hui, juste pour te montrer qui je suis MOI Sylvain NDONG. Je fais partie de ces rares Gabonais qui peuvent se vanter d'avoir été embauché depuis le GABON (contrat de travail et billet d’avion envoyé depuis Paris à Libreville), à venir travailler dans l'une des plus grandes sociétés d'Europe, sans avoir suivi une seule heure de cours dans une université européenne. Voilà le DESTIN d'un homme mon cher ; voila LA TRAÇABILITE d'un self-made-man que je suis et qui est fier de sa réussite. Et comme je sais que la mentalité animalisée de certains de nos compatriotes est réfractaire à la réussite des autres frères, surtout quand cette réussite leur semble quelque peu « injuste », je voudrais que tu renseignes bien sur moi, sur Sylvain NDONG que je suis et tu me sauras. Dès mon arrivée à Bruxelles en 2005, je me suis doté d'une Opel Zafira de 7 places (achetée neuve chez le concessionnaire Dayton Opel – info vérifiable), que j'ai par la suite envoyé dans mon pays, et qui me sert à ce jour de voiture personnelle lors de mes vacances au Gabon, d'où je suis d’ailleurs revenu il y a à peine deux mois (5 août), comme tu le verras dans le tampon faisant foi sur la feuille de mon passeport. Et aujourd'hui, depuis que je travaille au Luxembourg (voir le statut SALARIE sur mon titre de séjour luxembourgeois – information elle aussi véritable), je roule en Mercedes Classe C-220, achetée avec le fruit de MON TRAVAIL (et non en se vendant à Bongo) et de MON SAVOIR, comme tu le verras dans les photos ci-jointes doc_3 à doc_6 (prises ce matin, après ma séance de footing, devant l'entrée de mon appartement luxembourgeois). Une copie de la carte grise et de la fiche d'assurance doc_7 et doc_8 (informations vérifiables elles-aussi auprès de Mercédès Luxembourg, vendeur Miguel Dos Santos) de ma voiture y sont également joints. Etant donné tes nouveaux élans d'assassin et d'empoisonneur politique (Cf. Okili, sur ta tentative d’empoisonnement de Daniel Mengara du BDP lors du congrès de Bordeaux), j'ai volontairement barré mon adresse du Luxembourg, où un certain Watch affirmait récemment encore que je n'habitais pas. J'espère au moins que tu sais que tu ne peux pas immatriculer un véhicule dans aucun pays du monde si tu ne possèdes un droit de séjour dans ce pays. Ce sont sûrement des notions qui t'échappent désormais, vu qu'avoir une voiture, sans d'abord passer voir yaya Bongo au bord de mer, est devenu pour toi un rêve inaccessible. Voilà, que ceux qui verront dans cet étalage de ma vie privée comme étant de l'orgueil, veuillent bien comprendre que mon soucis résidait essentiellement dans le but de laver tous ces affronts que ce détestable monsieur d'Ekoga ne cesse de vomir du ma personne et sur d’autres compatriotes, dans le seul but de les discréditer et se donner de lui une image de seigneur. Sylvain NDONG, je n'ai jamais été un homme des "m'as-tu vu" ; j'ai toujours fait de la discrétion une loi de vie, car ma confession chrétienne m'a permis de prendre toutes les choses de cette terre comme étant éphémères. Mais il est de temps en temps impérieux que l'on sorte de nos réserves, juste le temps de battre en bref tous ces escadrons du malheur, qui ont pour mission d'Å“uvrer perpétuellement à l'anéantissement de toute énergie et de toute personnalité qui aiderait à faire éclore un idéal de vie pour lequel certains d'entre nous se battent en ce qui concerne notre pays, et contre l’avènement duquel ces mercenaires sont pour la plupart payés. Pour ma part, ce débat avec Siméon Jean Francis Ekoga prend définitivement fin aujourd'hui. J'ai fait mon devoir de démontrer à la face du monde qu'Ekoga, qui revendiquait haut et fort être le "chef" de l'opposition gabonaise de la diaspora », n'en était en tout cas pas digne, vu qu'il avait volontairement troqué sa nationalité gabonaise contre le française, qu'il se dit jusqu'à présent encore "fier de détenir", au mépris de la fierté nationale pour laquelle certains de nous se battent et dont le crédo se veut êtres ce que le président Léon Mba affirmait : Gabon D’Abord. Donc de par ce seul fait, j’ai tenu à démontrer à tous que Siméon Jean Francis Ekoga, désormais citoyen français, se disqualifiait de facto des congrégations qui s'érigeraient dans l'affirmation de notre combat pour une république GABONAISE plus épanouie. Ekoga s'étant de lui-même dénoncé, et sachant notre Belle République Gabonaise non signataire de la charte de double-nationalité, et encore plus quand le concerné avoue avoir délibérément renoncé à la première, le met de ce fait hors jeu pour nos prochaines organisations. L'époque des débats stériles étant clos par la démonstration, celui d'un autre temps, le temps de la réflexion, avec comme point de mire l'affirmation d'une diaspora gabonaise plus sereine, et plus que jamais débarrassée de ses faussaires, usurpateurs et tous ces espions qui veulent la faire indéfiniment tourner en rond, est venu. C'est dans cette perspective que je m'adresserai prochainement et dorénavant, à mes VRAIS CONCITOYENS, FRERES et SÅ’URS de lutte GABONAIS. Bien à vous, Sylvain NDONG From protected at yahoo.fr Sun Oct 5 19:38:02 2008 From: protected at yahoo.fr (Ali Baba Mamal) Date: Sun, 05 Oct 2008 19:38:02 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Ekoga K.O Message-ID: Je suis un ami proche de Siméon Ekoga, mais je suis obligé d'avouer qu'il y a pas mal de choses vraies dans ce que Sylvain Ndong écrit. - C'est connu ici à Paris, Ekoga boit beaucoup. C;est la boisson qui le rend un peu bizarre quand il a bu. Il parle beaucoup et dit n'importe quoi. et il distribue l'argent n'importe comment. - la femme sénéalaise qu'il avait a fait cocu Siméon, et au passage, a demandé le divorce en mettant Siméon dehors. L'argemnt de 260 million que Siméon avait reçu de Bongo en 2003 a fini dans les mains de la sénégalaise qui demndait les gardes d'enfant et l'appartement que Siméon avait à Paris à cette époque. Elle a pris tout l'arget. Depuis, Siméon rame et est devenu pauvre malgré les 260 millions. je dis tout ça juste parce que je n'aime pas les mensonges quand je le slis. Tout ce que Siméon dit de lui est faux. Il dit qu'il ne boit pas alors que nous savons tous à Paris q'il boit beaucoup. Ne suivez pas trop. A son age qui approche la soixantaine, il est comme les vieux gabonais qui cherchennt à attirer l'attention de Bongo à la fin de leur vie, pour aller manger. Suivez mon regard. Dans quelque temps, si Bongo la'eppele pour devenir ministre, il va partir. C'est ce qu'il espère. Il me l'adit lui-même. Il ma'vait invité à aller rencontrer Bongo en 2003 quand il a rahi le BDP. J'avais refusé. Regardez bien partout. Qui est vraiment ami avec Siméon aujourd'hui? Personne. Tous les gens avec qui il est allé au Gabon pour rouler Bongo et prendre 260 million, ils sont où aujourd'hui? Il les a tous roulés dans la boue et ils l'ont fui. En 5 ans, où est le parti qu'il a promis? Même pas un membre. On ne sait pas qui il a au RDPG avec lui, c'est parce qu'il n'y a personne avec lui, Les gens qui cotoient Ekoga comprennent tout de suite que c'est un menteur et un opportuniste. Tous les gens qui étaient ses amis (Sylvain Ndong, Malékou, Ovono Lambert, Cyrille Ona, Okili Boyé, et j;en passe), ils sont où aujourd'hui? Ils ont tous fui l'oppotunniste qui roule tous ses amis dans la boue. Quand un homme ne peut s'entendre avec personne, ne vous posez pas la question sur qui cet homme est. IL est dangeruex. IL a roulé le mengara du BDP, roulé Sylvain Ndong, roulé Malékou, roulé le vieux Angouey avec qui il a rencontré Bongo, Oikili Boyer, roulé tout le monde, Un vrai montre cet Ekoga. Et quand on vous dit que Ekoga est un leader de parti politique qui n'arrive même pas à payer son site interndet de son parti bidon, il faut le croire, c'est un opportunniste. IL avait même acheté une meercedes quand il est devenu chef de cellule BDP avec l'argent donné par Adzé pour espionner le BDP. C'est son ancien ami Okili qui dit ça vu que c'est avec Okili boyer qu'il sont roulé Bongo en déclarant la fin du BDP du pauvre Mengara. Et maintenant Okili dit qu'Ekoga voulait tuer Mengara. Tssuoo, pauvre gabon. Ekoga est un homme qui n'est pas fréquentable. Tout le monde l'afui. Son parti n'a aucun membre. Quand avez-vous vu Ekoga tenir une réunion de parti depuis qu'il a créé son RDOG avorté en 2003. Rien, m$me pas un congrës comme le BDP a fait à paris et à Bordeaux. Rien. Ekoga Siméon est un faussaire à la solde de Bongo. Tout le monde le sait depuis 2003. Les questions de nationalité que les Sylvain Ndont évoquent sont de faux problèmes. Le vrai problëme c'est la roublardise d'Ekoga qui a roulé tout le monde dans la boue en encaissant 260 million de chez Bongo pour tuer Daniel mengara et le BDP. Même ça, il a raté, comme il a raté l'histoire de de son RDPG mort né. Il rate tout, Siméon, sa vie, sa femme sénégalaise et sa fausserie politique. Un raté. je suis un anaynyme ami d'Ekoga. Je voualsis juste dire la vérité. Ali Baba n'est pas mon vrai nom. Sylvain Ndong a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. > ___________________________________________________________ > > > > Cher Gardien de nuit Ekoga, > > Tout ce que j'ai dit est vérifiable, cher aigri. > > Tu n'as rien, RIEN, RIEN, RIEN ! Sans femme, sans carte bleue, sans salaire décent. Tu manges de hamburgers tous les jours que Dieu fait, quelle misère ! J'ai écrit à tous les autres que je ne te répondrai plus sur le net ; c'est un conseil de ma femme. Peux-tu demander à ta femme de te donner quelques conseils avant d'écrire des conneries dignes d'un homme qui sait sa vie désormais sans avenir. Tu es FINI Ekoga, fini, fini, fini. Tu n'as plus rien, même ton avenir en tant que français ne te prévoit rien de bon. Au mieux, tu resteras watch toute la vie, au pire, tu toucheras le RMI. > > Et au Gabon c'est même plus la peine puisque tu n'es plus gabonais. Donc, quel avenir te reste-t-il cher grand-frère qui a négligé si maladroitement ses études. Tu sais, TU AS bientôt 60 ANS et sans diplôme reconnu, que penses-tu que l'administration fera encore de toi, hein ? Rien, Nada, Zéro. Les mêmes amis parisiens dont tu parles aujourdhui, sais-tu ce qu'ils m'ont longtemps dit de TOI ? Si tu savais... Mon droit de discretion m'impose de ne pas les nommer. > > Tu fais du bruit sur Internet pour essayer de jouer les interessants afin d'espérer être appelé par les gens de Libreville pour re-rencontrer Bongo et toucher d'autres millions, qu'une femme sénégalaise, qui t'avait cocuffié d'ailleurs, t'avait auparavant escroqué. C'est mal barré mon vieux ! Dans cette vie, il faut avoir le diplôme pour gagner sa vie correctement comme Sylvain NDONG le fait depuis que je suis venu en Europe en 2000 ; et tes fameux amis le savent TOUS. > > Je viens de te faire la preuve par l'envers de ce que je suis à tous tes amis parisiens de l'ombre et toi (ceux auxquels ce message ferait mal dans leur coeur se reconnaîtront comme faisant partie du lot). Car j'ai réalisé, par la seule force de mon savoir, mon "European Dream" (j'espère que tu sais au moins lire cette simple phrase d'anglais) ! > > Tu vois, même l'honnêteté ne t'habite pas, et tu oses, du haut pourtant de ton âge de cinquantenaire révolu, me faire la morale, sous la bénédiction de tes soi disant nouveaux amis. Si tu êtes au moins un homme avec des couilles (vu que tu es incapable de garder une femme à la maison), tu aurais au moins, comme le ferait un homme de probité, diffuser tout aussi mon message sur ton fameux forum d'âme en panne d'inspiration Agora. Tu publies ta seule réponse en croyant me salir ; mais c'est dommage ; je suis indigeste, mon cher Watch ; même sans mon message sur Agora (qui ne vaut d'ailleurs plus rien), Sylvain NDONG ferait le démonstration de sa valeur nationale par la seule force de son intelligence et de ses facultés, et n'y toi le pauvre gardien de nuit, ni qui que ce soit n'empêchera ce destin de s'accomplir. > > Toutes les informations que j'ai volontairement étalée sont VERIFIABLES. Ce que tes nouveaux amis de Paris et toi devrez désormais faire, c'est de prendre vos téléphones, pour espérer assouvir vos malheureux âmes d'aigris. Pauvres Diables va ! > > La seule profession qui te reste c'est d'être un délateur invétéré. C'est tout ce qui te reste en tout cas, car tu es comme un garçon que j'avais sérieusement corrigé au CP2 et qui, alors même que j'étais sur lui en train de le rouer de coups, trouvait encore la force (ou plutôt le vampire) d'oser dire : "enlevez-le sur moi, sinon je vais me fâcher". Une histoire de fou ! > > Pour finir, tu as un ver dans le cerveau mon cher Siméon ; toutes ces aigreurs-là (gardien de nuit, sans femme à la maison, élevant seul sa fille, sans diplômes et fauché, etc.) te rendent petit à petit fou ; et n'oublie pas ce que je t'ai dit un jour : la folie est un poison lent. Prends le temps de prendre rendez-vous dans un centre psychiatrique pour aller te faire diagnostiquer. C'est comme le cancer, plus tôt tu le dépistes, mieux c'est pour une éventuelle gairison ; même si pour ton cas, nous avons de bonnes raisons de désespérer... > > Bonne chance grand-frère > > Sylvain NDONG > Fils de Ndjolé et Fier de l'Etre. > > From protected at yahoo.com Tue Oct 7 15:12:41 2008 From: protected at yahoo.com (GaboniK) Date: Tue, 07 Oct 2008 15:12:41 -0400 Subject: [BDPalabres] L'endettement : un sérieux levier de croissance Message-ID: Pour un Gabon en marche ... GaboniK : la dynamique économico-fiancière et sociétale au coeur de nos stratégies L'endettement : Un sérieux levier de croissance ... L’endettement, quel horreur pour le commun des mortels !!! Allez ne confondons par Surendettement et Endettement…Dans l’entendement collectif la confusion est souvent forte, c’est un sérieux frein même au développement de nos économies…Car si l’initiative, l’idée, est au cÅ“ur de l’innovation gardons bien en mémoire que l’endettement (financement) est le levier de sa réalisation…. Le surendettement est un état d’endettement au delà de ses capacités potentielles de remboursement, au delà de ses ressources propres, de ses ressources futures mobilisables dans le moyen terme. Dans le cas d’une entreprise cela conduit inévitablement à l’insolvabilité, à la cessation de paiement ou le redressement judiciaire (procédure collective) conduisant in fine au pire des cas à la cessation d’activité… L’entreprise peut s’endetter pour de multiples raisons, financement au delà de ses fonds propres (FP), financement de son besoin en fond de roulement, d’exploitation, cette latence entre les engagements décaissables dans l’immédiat et les recettes futures mobilisables…L’endettement contrôlé permet donc à une entreprise de sortir d’une impasse de latence de trésorerie, de financer des projets rentables et porteurs tout en maitrisant sa capacité d’autofinancement (CAF), en s’assurant des part de marché (PDM) et donc des bénéfices futures renforçant sa CAF, ses fonds propres…. L’ingénierie financière a fait des merveilles ces derniers temps même si par ces temps de crise des « subprimes » bien des choses restent à revoir en matière de contrôle et de régulation des fonds d’investissement…Une des recettes géniales, à l’origine d’ailleurs de la crise dans sa mauvaise utilisation, est le levier de la dette, le financement par levée de fonds (LBO)…Le développement des opérations financières (LBO, Fusion-acquisition, marchés dérivés) a été au cÅ“ur du développement spectaculaire de la finance mondiale et donc le moteur de la mondialisation…Elle a généré des montagnes gigantesques de profit à travers la planète. Les banques se sont fortement financiarisées, avec le découplage entre banque commercial (de détail) et banques de financement-investissement (BFI) même si une reconfiguration du paysage bancaire post-subprime ramène au développement des banques universelles capable de supporter avec plus de sérénité les soubresauts…. La formule magique et barbare appliquée: Rf = Re + (Re –Rd)D/K…. oh là il n’y a rien de bien compliqué !!! Pour résumer, la rentabilité financière, celle attendue par les actionnaires, est d’autant plus importante que la rentabilité globale (économique) de l’entreprise est supérieure aux taux d’intérêts d’emprunts !!! Tout ceci multiplié d’autant plus par l’effet de levier « D /K »…Tant que la rentabilité économique est supérieure à celle de la dette on a donc intérêt à emprunter et plus l’emprunt démultiplie le gain à l’arrivée…Seulement voilà cela n’est possible que tant que la rentabilité économique est supérieure, en cas de retournement de cycle pour X raisons mal maitrisées et non préparées on assiste alors à un véritable levier de la mort !!! D’où la fameuse crise des subprimes, le levier a été poussé à l’extrême sans s’assurer en face la rentabilité effective : on a prêté en masse à des gens insolvables d’où le levier de la mort !!! Entre deux extrêmes il n’y a point de salut, l’endettement est au cÅ“ur du développement des économies, elle finance et irrigue les initiatives en accélérant leur réalisation…à condition bien sûr de prendre des mesures prudentielles de solvabilité…. Le silence tue ... Par complaisance ou par indifférence nous retardons (le progrès) ou accélérons (notre déclin) encore un peu plus... Chacun, d'où qu'il soit, doit et se doit d'apporter sa pierre à l'édifice Gabon... GaboniK pour un Gabon en marche http://10gabonais.bloguez.com/ http://gabonik.blogs.continentalnews.fr/ Copyright © diasporagabonaise From protected at yahoo.fr Tue Oct 7 15:13:53 2008 From: protected at yahoo.fr (OWONO Gervais) Date: Tue, 07 Oct 2008 15:13:53 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Ekoga K.O Message-ID: rou la la la !!! ça vole bas par ici. tous aux abris. --- En date de : Lun 6.10.08, Ali Baba Mamal a écrit : De: Ali Baba Mamal Objet: [BDPalabres] Re: Ekoga K.O À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Lundi 6 Octobre 2008, 1h38 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Je suis un ami proche de Siméon Ekoga, mais je suis obligé d'avouer qu'il y a pas mal de choses vraies dans ce que Sylvain Ndong écrit. - C'est connu ici à Paris, Ekoga boit beaucoup. C;est la boisson qui le rend un peu bizarre quand il a bu. Il parle beaucoup et dit n'importe quoi. et il distribue l'argent n'importe comment. - la femme sénéalaise qu'il avait a fait cocu Siméon, et au passage, a demandé le divorce en mettant Siméon dehors. L'argemnt de 260 million que Siméon avait reçu de Bongo en 2003 a fini dans les mains de la sénégalaise qui demndait les gardes d'enfant et l'appartement que Siméon avait à Paris à cette époque. Elle a pris tout l'arget. Depuis, Siméon rame et est devenu pauvre malgré les 260 millions. je dis tout ça juste parce que je n'aime pas les mensonges quand je le slis. Tout ce que Siméon dit de lui est faux. Il dit qu'il ne boit pas alors que nous savons tous à Paris q'il boit beaucoup. Ne suivez pas trop. A son age qui approche la soixantaine, il est comme les vieux gabonais qui cherchennt à attirer l'attention de Bongo à la fin de leur vie, pour aller manger. Suivez mon regard. Dans quelque temps, si Bongo la'eppele pour devenir ministre, il va partir. C'est ce qu'il espère. Il me l'adit lui-même. Il ma'vait invité à aller rencontrer Bongo en 2003 quand il a rahi le BDP. J'avais refusé. Regardez bien partout. Qui est vraiment ami avec Siméon aujourd'hui? Personne. Tous les gens avec qui il est allé au Gabon pour rouler Bongo et prendre 260 million, ils sont où aujourd'hui? Il les a tous roulés dans la boue et ils l'ont fui. En 5 ans, où est le parti qu'il a promis? Même pas un membre. On ne sait pas qui il a au RDPG avec lui, c'est parce qu'il n'y a personne avec lui, Les gens qui cotoient Ekoga comprennent tout de suite que c'est un menteur et un opportuniste. Tous les gens qui étaient ses amis (Sylvain Ndong, Malékou, Ovono Lambert, Cyrille Ona, Okili Boyé, et j;en passe), ils sont où aujourd'hui? Ils ont tous fui l'oppotunniste qui roule tous ses amis dans la boue. Quand un homme ne peut s'entendre avec personne, ne vous posez pas la question sur qui cet homme est. IL est dangeruex. IL a roulé le mengara du BDP, roulé Sylvain Ndong, roulé Malékou, roulé le vieux Angouey avec qui il a rencontré Bongo, Oikili Boyer, roulé tout le monde, Un vrai montre cet Ekoga. Et quand on vous dit que Ekoga est un leader de parti politique qui n'arrive même pas à payer son site interndet de son parti bidon, il faut le croire, c'est un opportunniste. IL avait même acheté une meercedes quand il est devenu chef de cellule BDP avec l'argent donné par Adzé pour espionner le BDP. C'est son ancien ami Okili qui dit ça vu que c'est avec Okili boyer qu'il sont roulé Bongo en déclarant la fin du BDP du pauvre Mengara. Et maintenant Okili dit qu'Ekoga voulait tuer Mengara. Tssuoo, pauvre gabon. Ekoga est un homme qui n'est pas fréquentable. Tout le monde l'afui. Son parti n'a aucun membre. Quand avez-vous vu Ekoga tenir une réunion de parti depuis qu'il a créé son RDOG avorté en 2003. Rien, m$me pas un congrës comme le BDP a fait à paris et à Bordeaux. Rien. Ekoga Siméon est un faussaire à la solde de Bongo. Tout le monde le sait depuis 2003. Les questions de nationalité que les Sylvain Ndont évoquent sont de faux problèmes. Le vrai problëme c'est la roublardise d'Ekoga qui a roulé tout le monde dans la boue en encaissant 260 million de chez Bongo pour tuer Daniel mengara et le BDP. Même ça, il a raté, comme il a raté l'histoire de de son RDPG mort né. Il rate tout, Siméon, sa vie, sa femme sénégalaise et sa fausserie politique. Un raté. je suis un anaynyme ami d'Ekoga. Je voualsis juste dire la vérité. Ali Baba n'est pas mon vrai nom. Sylvain Ndong a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. > ___________________________________________________________ > > > > Cher Gardien de nuit Ekoga, > > Tout ce que j'ai dit est vérifiable, cher aigri. > > Tu n'as rien, RIEN, RIEN, RIEN ! Sans femme, sans carte bleue, sans salaire décent. Tu manges de hamburgers tous les jours que Dieu fait, quelle misère ! J'ai écrit à tous les autres que je ne te répondrai plus sur le net ; c'est un conseil de ma femme. Peux-tu demander à ta femme de te donner quelques conseils avant d'écrire des conneries dignes d'un homme qui sait sa vie désormais sans avenir. Tu es FINI Ekoga, fini, fini, fini. Tu n'as plus rien, même ton avenir en tant que français ne te prévoit rien de bon. Au mieux, tu resteras watch toute la vie, au pire, tu toucheras le RMI. > > Et au Gabon c'est même plus la peine puisque tu n'es plus gabonais. Donc, quel avenir te reste-t-il cher grand-frère qui a négligé si maladroitement ses études. Tu sais, TU AS bientôt 60 ANS et sans diplôme reconnu, que penses-tu que l'administration fera encore de toi, hein ? Rien, Nada, Zéro. Les mêmes amis parisiens dont tu parles aujourdhui, sais-tu ce qu'ils m'ont longtemps dit de TOI ? Si tu savais... Mon droit de discretion m'impose de ne pas les nommer. > > Tu fais du bruit sur Internet pour essayer de jouer les interessants afin d'espérer être appelé par les gens de Libreville pour re-rencontrer Bongo et toucher d'autres millions, qu'une femme sénégalaise, qui t'avait cocuffié d'ailleurs, t'avait auparavant escroqué. C'est mal barré mon vieux ! Dans cette vie, il faut avoir le diplôme pour gagner sa vie correctement comme Sylvain NDONG le fait depuis que je suis venu en Europe en 2000 ; et tes fameux amis le savent TOUS. > > Je viens de te faire la preuve par l'envers de ce que je suis à tous tes amis parisiens de l'ombre et toi (ceux auxquels ce message ferait mal dans leur coeur se reconnaîtront comme faisant partie du lot). Car j'ai réalisé, par la seule force de mon savoir, mon "European Dream" (j'espère que tu sais au moins lire cette simple phrase d'anglais) ! > > Tu vois, même l'honnêteté ne t'habite pas, et tu oses, du haut pourtant de ton âge de cinquantenaire révolu, me faire la morale, sous la bénédiction de tes soi disant nouveaux amis. Si tu êtes au moins un homme avec des couilles (vu que tu es incapable de garder une femme à la maison), tu aurais au moins, comme le ferait un homme de probité, diffuser tout aussi mon message sur ton fameux forum d'âme en panne d'inspiration Agora. Tu publies ta seule réponse en croyant me salir ; mais c'est dommage ; je suis indigeste, mon cher Watch ; même sans mon message sur Agora (qui ne vaut d'ailleurs plus rien), Sylvain NDONG ferait le démonstration de sa valeur nationale par la seule force de son intelligence et de ses facultés, et n'y toi le pauvre gardien de nuit, ni qui que ce soit n'empêchera ce destin de s'accomplir. > > Toutes les informations que j'ai volontairement étalée sont VERIFIABLES. Ce que tes nouveaux amis de Paris et toi devrez désormais faire, c'est de prendre vos téléphones, pour espérer assouvir vos malheureux âmes d'aigris. Pauvres Diables va ! > > La seule profession qui te reste c'est d'être un délateur invétéré. C'est tout ce qui te reste en tout cas, car tu es comme un garçon que j'avais sérieusement corrigé au CP2 et qui, alors même que j'étais sur lui en train de le rouer de coups, trouvait encore la force (ou plutôt le vampire) d'oser dire : "enlevez-le sur moi, sinon je vais me fâcher". Une histoire de fou ! > > Pour finir, tu as un ver dans le cerveau mon cher Siméon ; toutes ces aigreurs-là (gardien de nuit, sans femme à la maison, élevant seul sa fille, sans diplômes et fauché, etc.) te rendent petit à petit fou ; et n'oublie pas ce que je t'ai dit un jour : la folie est un poison lent. Prends le temps de prendre rendez-vous dans un centre psychiatrique pour aller te faire diagnostiquer. C'est comme le cancer, plus tôt tu le dépistes, mieux c'est pour une éventuelle gairison ; même si pour ton cas, nous avons de bonnes raisons de désespérer... > > Bonne chance grand-frère > > Sylvain NDONG > Fils de Ndjolé et Fier de l'Etre. > > From protected at yahoo.fr Tue Oct 7 15:19:28 2008 From: protected at yahoo.fr (Sylvain Ndong) Date: Tue, 07 Oct 2008 15:19:28 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Nationalité d'Ekoga Message-ID: Cher Edzodzomo ou Ekoga, peu importe… Passez-moi le terme, mais je vous trouve vraiment pitoyables tous les deux pour vos âges. Avez vu comparé vos âges à celui de Sylvain NDONG contre lequel vous avez décidé de créer désormais un tandem de choc ? Avez-vous pensé à vos enfants, qui liront ces enfantillages de « gamins » soixantenaires en train de jouer sur Internet ? Je vous le dit, si je pouvais ne fut-ce qu’imaginer, dans mes rêves les plus fous, mon père ou quelqu’autre notable gabonais (que vous faites chacun de vous pour moi), s’illustrer dans vos désormais rôles de gamins aux cheveux blancs, je le renierais de suite. Cher Edzodzomo, vu que je ne vous connais pas, que je ne vous ai jamais rencontré ; il ne peut, pour ce qui nous concerne en tout cas, n’exister que trois scénarios : - Soit, je vous ai emprunter 450 euros, par l’intermédiaire d’Ekoga (votre apparent complice) ou de quelqu’un d’autre – ce qui est mathématiquement plus qu’improbable, Sylvain Ndong ne devant à aucun gabonais quoi que ce soit… - Soit, vous avez sollicité de moi un service informatique, lié à mes compétences, que je vous ai facturé 450 euros, et que vous estimez à ce jour ne pas vous satisfaire – ce qui est votre droit absolu d’éventuel client… - Ou alors, compte-tenu de ce que vous semblez savoir sur ma vie, et en lisant ce qu’il en est de la vôtre, vous voudriez (comme je l’ai fait pour votre nouveau complice Ekoga), que je vous trouva un peu d’argent pour votre lutte, que je trouve d’ailleurs noble, quoi que manquant quelque peu de stratégie… Pour ce qui est de la troisième hypothèse, par laquelle je commencerais, je voudrais, solennellement, devant tout ceux qui nous lisent ici, demander à monsieur Siméon Jean Francis Ekoga, de bien vouloir vous remettre la moitié des sommes que j’avais déjà consenti pour son cas, dans le cadre du financement de son site Internet www.rdpg.org, menacé de fermeture. Et si il s’avère que ce soit la deuxième hypothèse qui soit à l’origine de vos incessants pleurs sur Internet, je vous serai gré de bien vouloir vous adresser aux autorités judiciaires compétentes, qui sauront peut-être trouver une issue favorable à notre apparent malentendu, car tout le reste (comme vous ou Ekoga ne cessez de le faire depuis que j’ai solennellement démasqué sa vraie citoyenneté française) ne constituera que du vent, avec aucune issue légale plausible. Et vous pourriez toujours pleurez comme vous le faites sans que résultat. C’est un conseil de juriste, qu’il me semble que vous êtes apparemment… Mais si vous voulez, vous pourriez toujours continuer comme vous le faites tous les deux ; du moment que cela me fait un peu de pub gratuite pour à peine 450 euros jour ! Car il m’aurait sans douter débourser un peu plus, pour voir mon nom sans cesse dans la PRESSE gabonaise, comme c’est le cas en ce moment pour 450 euros, sur le fameux forum d’ « une âme en panne d’inspiration » Siméon Ekoga (ce n’est pas moi mais Le Nganga qui l’a dit – sinon on va encore dire, comme je l’ai lu quelque part, que j’insulte les vieux) . Mais pour redevenir tout à fait sérieux, je demande instamment à Siméon Ekoga, de bien vouloir remettre une partie de l’argent que je lui avait remis à notre grand-frère Edzodzomo, pour l’aider aussi dans son combat politique, car je ne peux pas me diviser en deux pour venir en aide au aînés. Ekoga, tu sais bien que je t’ai remis de l’argent pour ton site, OUI ou NON ? Alors, aide aussi le vieux Edzodzomo, en attendant qu’il porte plainte pour se faire rembourser ses hypothétiques 450 euros. Car il ne suffit pas de jouer les colporteurs et les délateurs comme tu aimes à le faire depuis 2003 sur ton Agora. Le jeune Sylvain NDONG t’a aidé, pendant que tu étais en difficulté ; alors, toi étant aussi plus jeune que le vieux, et visiblement très « concerné » par ses problèmes de finances, tu te dois de l’aider, comme je l’ai fait pour toi. Ne soit pas égoïste grand-frère ; le vieux est venu se plaindre à toi, comme quand tu étais venu à moi, tu te dois aussi de l’aider. Et même, si tu as besoin d’un coup de main, Paul Okili m’a dit qu’il pourrait s’associer à toi, lui qui a également fait pas mal de western-union à quelques compatriotes gabonais de la diaspora en difficulté. Nous attendons ta réaction, Sim’… De : Martin Edzodzomo-Ela À : Paul Okili-Boyer Objet : RE: Re : Nationalité d'Ekoga Cher compatriote, Quel spectacle offrez-vous donc au monde par cette querelle inutile et malsaine entre vous 'prétendu diaspora gabonaise'? De grâce arrêtez cette histoire qui n'honore personne et qui éclabousse pitoyablement le lettré gabonais que vous êtes les uns et les autres. Quelque soit vos divergences et vos conflits personnelles, ce n''est pas ce que votre pays attends de vous, et les autres vous regardent. Cette histoire entre vous Sylvain NDONG et Siméon EKOGA ne vous honore pas, pas du tout cher compatriote, et encore moins votre pays, notre pays le Gabon qui souffre tant et qui a besoin de tous ses enfants pour le sortir du trou noir dans lequel va bientôt le laisser Omar BONGO ONDIMBA. Transcendez vos haines personnelles, vos conflits d'intérêt pour l'amour du pays ainsi que son honneur et sa dignité. Patriotiquement votre Martin EDZODZOMO ELA From: p.o.b Subject: Re: Re : Nationalité d'Ekoga Date: Fri, 3 Oct 2008 18:36:24 +0200 Mon cher Sylvain, Ne t'inquiete pas , nous n'avons aucunement besoin des documents originaux. Dans le cadre de la Plainte déposée contre Siméon Ekoga, vu sa forfaiture , ses mensonges ,Il est quand même des serieuses preuves de délations , de diffamations , d'outrages et de dénonciations calomnieuses , et mêmes d'Insultes a caractères racistes. Mon avocat a pris contact avec L'Officier de Police Judiciaire Franck weber du Commissariat Central de Police de Saint Denis, et va demander dans la journée a avoir état des mains courantes de la journée du 10/05/2008 dans le cadre de l'avancée d'une affaire de justice. Donc ne t'embete pas avec celà , la diffamation de cet individu est finie . Le Commissariat est obligé de déférer aux injonctions de justice, et comme Il n'y a que MOI et MOI seul qui peut retirer cette plainte envers ce filou , et que je ne retirerais jamais cette plainte envers un tel personnage , reste Zen. J'ai retiré ma Plainte contre Pierre mamboundou , contre les epoux Mouloungui , contre toi même , a ta demande et après intervention de Monsieur Richard Mouloumba Secrétaire Général de l'UPG , mais envers une personne a qui j'avais pardonné deux fois , jamais il n'y aura de pardon , et la justice du Pays de Monsieur Siméon Ekoga , aura loisir de comdamner ce ressortissant Français vu sa forfaiture et ses délits passibles de sanctions pénales. Laissons la justice faire son travail. Paul Okili-Boyer NB : les differentes Loi sur la Double nationalité obligent le ressortissant a ne se prevaloir que de la nationalité Française en france , et Gabonaise au gabon , raison pour laquelle le ressortissant bi-national Franco-gabonais est astreint a etre immatriculé aupres du Consulat Général du Gabon en France et doit avoir une carte d'Identité consulaire s'Il réside en france et veut faire etat de sa double nationalite, en cas de vote ,de recenssement, , mais doit obligatoirement etre en possession de ses pieces d'Identitées gabonaise s'Il vient a Voyager dans le second Pays le Gabon. Raison pour laquelle aussi je t'envoie copie de ma piece d'Identitée nationale gabonaise celle après mon incarcération a ma sortie de PRISON POLITIQUE ainsi que de mon actuelle carte d'Identitée consulaire , prouvant que je suis connu comme gabonais en france .. Pas comme l'autre TAUPE qui n'as aucune piece d'Identitée Gabonaise , et qui n'est nullement reconnu comme gabonais de la diaspora , mais seulement comme un français né a OYEM au Gabon. (Voir code de la nationalité) > Message du 03/10/08 16:28 > De : 'Sylvain Ndong' > A : 'Simeon EKOGA' > Objet : Re: Re : Nationalité d'Ekoga > > Cher Siméon, Parlons peu, mais parlons vrai. > Déjà, je promets désormais, d'user d'un langage un peu plus décent, d'abord vis-à-vis de l'aîné que tu restes malgré tout pour moi ; puis pour honorer mon éducation, mes traditions et toutes ces initiations ancestrales dans lesquelles j'ai eu à prêter 'serment' ; et aussi par respect pour tout ceux qui nous lisent [silencieusement] dans cette 'bagarre' épicée, romanesque, mais profondément fraternelle ; car, pour moi qui ai fait mon CP1 à l'école Catholique de Missanga à Ndjolé Centre, les meilleurs amitiés se sont souvent recolter, quasi-systématiquement, à la suite d'échanges de quelques coups de poing, à l'arrière cour de récréation de l'école. C'est la rasion pour laquelle je n'ai jamais fui la dispute ; que ce soit avec mes copains, mes amis, et même mes collègues et adversaires politiques. Richard Moulomba, qui est en copie de ces échanges, peut te le témoigner, lui avec qui j'ai souvent eu des échanges francs, parfois même derrangeantes, dans le cadre de l'amélioration des structures internes de notre parti l'UPG. Je voudrais commencer par te dire Bravo ! Bravo, parce que j'ai trouvé particulièrement brillant (chose rare venant de mon frère, excuses-moi), le fait pour toi de reconnaître ENFIN, ci-dessou et publiquement, ta si sécrete et mystérieuse citoyenneté française ; citoyenneté que tu n'a cessé de cacher depuis la création de ton RDPG jusqu'ici. Heureusement, chose merveilleuse, nous ne sommes qu'à 3 (trois), en en connaître les véritables raisons ; car étant un homme de parole, en cure d'amélioration je l'avoue, j'avais solonnellement décidé dans un récent post de ne plus poursuivre ma procédure de dénonciation du faux opposant gabonais que tu étais en secret en ces temps-là. Et pour ceux qui ne le savent pas, et qui découvrent probablement héberlués cette nuée de transparence qui plane soudain sur ta tête, il aurait fallu leur notifier également que ce soudain regain de vérité, affiché par cette prompte reconnaissance de ta citoyenneté française, ne tient qu'à une et une seule menace : la menace d'un homme, Paul OKILI-BOYER, à qui j'ai promis, dans une correspondace à trois, de fournir les documents originaux (en JPG) que tu m'envoyas pour falsification (hachage des informations sensibles de la main levée instruite contre Petit-Lambert OVONO, sur l'état civil, et conversion des fichiers en vue de leur publication sur le site de l'UPG - comme chacun le verra dans les documents finaux ci-joint). Sachant Paul Okili-Boyer personnellement remonté contre toi, et anticipant son intention d'en faire une large publication dans les espaces médiatiques du monde entier, tu nous sors tout à coup, comme le ferait un vieux prêtre excommunié, un verset civil sur la véritable citoyenneté de l''opposant en chef de la diaspora' (d'après ses propres termes). Que nénni ! Tu sais, et comme je te l'ai longtemps répété lors de nos échanges, je suis un ver de terre, qui creuse, creuse, et finit toujours par trouver son logis. Saurais-tu m'applaudir, cher frère ? Car, de par ma pression, sans avoir été obligé de trahir mon sermon, je viens de te faire révéler à la face du monde ce que tu ne voulais pas que les gens sachent, et que tu gardais comme la prunelle de tes yeux ; raison pour laquelle tu m'avais demandé, au téléphone, de barrer les informations sensibles qui sont dans les fichiers ci-joints. Ceux qui nous lisent ajouteront à mon crédit que Sylvain Ndong n'affirme rien pour le plaisir de ses fantasmes. J'avais dit ici, sur cet espace, que je démontrerai à la face du monde la véritable citoyenneté de Siméon Jean Francis Ekoga, qui se reclamme chef de l'opposition de la diaspora GABONAISE en exil, alors qu'il est, ni plus ni moins, qu'un simple CITOYEN FRANCAIS ; le GABON NOTRE PAYS, n'admettant point la double-nationalié. Comprends-tu la gravité des tes déclarations ci-dessous, et que j'ai volontairement mis en rouge, mon cher Siméon : J'ai la nationalité Française et fier d'avoir ce passeport que tu n'auras jamais. Ah grand-frère ! Sans vouloir t'insulter (comme promis), permets-moi juste de répéter cette belle phrase que nous enseigna en classe de troisième notre professeur de mathématiques, monsieur Adama : 'Quand on est né bête, ce n'est pas pour un jour.' Ecoute-toi toi même Siméon : 'J'ai la nationalité framçaise et fier d'avoir ce passeport que tu n'auras jamais.' Je tais là notre discussion d'aujourd'hui ; car comme lors d'une homélie lithurgique, je voudrais laisser le temps à tous les 'fidèles' Gabonais qui se battent du nord au sud pour l'émergence citoyenne de NOTRE pays le GABON, le soin de méditer sur cette valeureuse confession de la part de celui qui se reclamme être le numéro d'entre eux. Bien de choses à toi, Sylvain NDONG ----- Original Message ----- From: Simeon EKOGA Sent: Friday, October 03, 2008 2:26 PM Subject: Re : Re : Nationalité d'Ekoga > > Sylvain mon frère, > > Tu n'as rien de nouveau contre moi. Tu fais comme les autres avant toi; calomnies, mensonges, et que sais je encore? Tu remarques bien que ça n'a rien fait à ma vie. > > Tu comprends pourquoi je n'ai jamais voulu répondre positivement à aucune de tes questions ou proposition à cheminer politiquement avec moi ? > > Je t'avais toujours dit que l'homme est un traître en puissance pour l'autre et que je ne pouvais alors me confier à toi. Tu réalises bien aujourd'hui que si tu me connaissais, tu m'aurais abattu ? Mais là tu baves, tu trépignes d'impatience pour réussir à m'ébranler... Tout ne reposant que sur du FAUX, cela n'aura aucun impact sur moi. > > Personne ne sait rien sur moi (travail etc...), là ce ne sont que des spéculations des uns et des autres... Si quelqu'un savait vraiment quelque chose sur moi, il l'aurait brandi publiquement depuis ? (Rires). Je ne suis pas né hier mon petit, je te voyais venir depuis le départ. J'avais très vite déceler ton côté 'opportuniste' lors de nos premiers contacts. Rappelle toi de nos conversations, j'étais toujours très réservé, je n'allais jamais jusqu'au bout d'une idée, d'une phrase, malgré ton insistance, tes promesses de fidélité etc. Là tu es perdu, tu n'as plus d'issue politique! > > Pendant que vous fouillez dans les poubelles, moi je parais dans la presse internationale. Interview sur 5 pages dans un grand journal planétaire. Toi, tu n'y arriveras jamais !Je viens de faire une interview à France 2 (tv) sur les biens de Bongo en France qui va bientôt paraître. (Rires) > > Tu as fait le mauvais choix mon cher, moi j'avance ! Tu as du faire croire à ceux qui veulent me faire la peau que tu connaissais bien? Bien évidemment, c'est archi faux ! Tu ne m'as pas rencontré physiquement plus de 4 fois. Ehh, gabonais, pitié ! > > Commence par réussir à renouveler tes papiers là où tu es actuellement à Bruxelles. J'ai la nationalité Française et fier d'avoir ce passeport que tu n'auras jamais...et que tu désires ardemment avoir pour te sortir de la clandestinité dans laquelle tu es actuellement ! > > Tu es foncièrement jaloux et envieux : ça va te perdre ! Tu as honte et ne peux plus intervenir en tant que Sylvain Ndong, le sans papier. > > C'est parce que j'ai la nationalité Française que le Gabon sombre dans l'abîme? Tu n'as rien, plus rien à dire...! > > Moi j'avance pendant que vous 'bloguez' sur des sites qu'aucun homme sérieux, aucun décideur politique ou économique ne pourra visiter. > > Tu vas mourir quand tu verras le journal où j'accorde une interview sur 5 pages? Jaloux ! > > Je ne parle pas au 'sans papier'. Sois à jour et on se revoit sans faute... Continue à t'amuser, tu sais pourtant que je suis un homme des 'réseaux'... Rira bien qui rira le dernier... A partir de maintenant, fais attention aux contrôles de police. 'Nous' allons te montrer qu'on ici est en Europe... > > A plus mon frère Judas Iscariot, le félon ! > > Fraternellement > > ----- Message d'origine ---- > De : Sylvain Ndong > À : Simeon EKOGA ; biwagou70 at yahoo.com; dmengara at bdpgabon.org; tsir.ella at wanadoo.fr; aristidekombila at yahoo.fr; petitlamberto at yahoo.fr; simeon_ekoga at yahoo.fr; biwagou70 at yahoo.com; dmengara at bdpgabon.org; tsir.ella at wanadoo.fr; aristidekombila at yahoo.fr; petitlamberto at yahoo.fr; sndong at free.fr; gabonaisdefrance at gmail.com; dieckyeugenie at yahoo.fr; moudjegou at yahoo.fr; extern.rodrigue.angoue at europcar.com; m.edzodzomo-ela at hotmail.fr; smendome at yahoo.fr; cngangha at yahoo.fr; desireatomondo at gmail.com; d.tahiroaperano at free.fr; maneolivier at yahoo.fr; vmp47 at hotmail.com; mendou31 at hotmail.com; p.o.b at orange.fr; petitlamberto at yahoo.fr; simekoga at rdpg.org; ndongbm at yahoo.fr; lepaka65 at yahoo.fr; jbnyonda at yahoo.fr; onacyrille at yahoo.fr; angoue_malekou at yahoo.fr; contactmgd at gmail.com; moukoumbi at hotmail.com; pdiamond at libero.it; mouibak at yahoo.fr; ondondong at yahoo.fr > Envoyé le : Jeudi, 2 Octobre 2008, 22h26mn 49s > Objet : RE: Re : Nationalité d'Ekoga > > Grand-frère Siméon (en âge, mais non en intelligence, ni en esprit et encore moins en sagesse), Paul OKILI BOYER, ton ancien ami et « frère », m’a récemment confié, au cours d’un entretien téléphonique, qu’il finira bien par te rendre FOU ; non par le « poison » ou le « mercenariat », mais par la SEULE supériorité d’intelligence qu’il a sur toi, pour avoir fait des études de haut niveau (Sain-Cyr), au moment où toi et tes copains sans abris de Saint-Denis, vous abonniez à l’alcool et à l’odontol. En toute honnêteté, je suis de plus en plus porté à croire que tu commences à manifester les signes pathologiques d’une paranoïa liée à sa prédication, car, en toute honnêteté, je ne reconnais plus le Siméon Jean Francis EKOGA, chez qui je me suis rendu ce dimanche de juillet 2008, avec mes deux petites filles, lui remettre, à la cuisine de son appartement, les quelques dizaines d’euros promis, grâce auxquels il allait pouvoir e survivre son site Internet www.rdpg.org. Te rappelles-tu cher Siméon, que c’est toi-même qui affirmait sur ces mêmes mails, que Sylvain NDONG que je suis, avait, après Bruxelles en Belgique, émigré au Luxembourg avec toute sa famille, pour raisons professionnelles. Quelle « panne d’inspiration de l’âme », quelle « manque de cervelle » ou d’hypophyse, te fait en ce jour penser que le même Sylvain Ndong peut détenir, dans les méandres mentales de son cerveau en bouillie, le don d’ubiquité, qui le permettrait d’écrire, à 21H03, un message de Bruxelles, et y répondre, à 21h57 (heure de mon ordinateur ici au Grand Dûcher) au Luxembourg. En tout cas, vous l’aurez constater mes frères, seul un esprit en phase d’être sublimé par la folie, peut synthétiser pareilles inepties Sylvain NDONG est bel bien au Grand Dûcher du Luxembourg à l’heure où il écrit ce message. Ceux qui connaissent un minimum les distances qui séparent les pays européens et qui ont encore leur permis de conduire (non encore retiré pour cause de conduite en état d’ivresse éthylique, en provenance de chez « Jean-Jean » à maison-Alfort) peuvent facilement vérifier (par mappy.com) que la distance qui sépare Bruxelles (où notre faux opposant me localise) au moiLuxembourg (où le saoulard attitré de Saint-Denis dis m’avoir vu émigré – ce qui est juste) est d’au moins 300 kilomètres, donc non-reliable en moins de deux heures, et que cette réalité basique n’a d’aucune demi mesure rien à voir avec ce que raconte ce potentiel fou de grand-frère Ekoga. Et ceux qui veulent s’en convaincre peuvent toujours me joindre à partir de mon GSM, que détiennent ceux des frères qui me connaissent bien. Frère Ekoga, en toute fraternité, va à Mélen te soigner, cher Jean. Fais au moins honneur à ce Saint Prophète, JEAN, dont tu usurpes si maladroitement le nom. Surtout, dans ton futur lit de malade mental, n’oublie pas de lire son « Apocalypse », tout en suivant les conseils que t’a donnée notre bienheureuse sÅ“ur Félicité Vincent ce soir. Je te rendrai visite lors de ma prochaine arrivée au Gabon, dans peu. Repose-toi, le docteur M… t’apportera dans bientôt un peu d’insuline pour tes vieux nerfs. Ton Frère Edzodzomo, ah pardon, Sylvain NDONG, qui t’aime quand-même… Envoyé : jeudi 2 octobre 2008 21:31 > À : Sylvain Ndong > Objet : Re : Re : Nationalité d'Ekoga Sylvain Ndong, petit frère, ressaisis toi, il n'est pas trop tard. Je continue de te dire - publiquement - que tu es mon frère. Dans toutes les familles, il y a des problèmes, des palabres. Je ne te tiens pas rigueur. Tu m'as poignardé dans le dos, ce n'est pas grave, je ne suis pas mort; c'est l'essentiel. En plus, en tant que grand frère et homme politique, je me dois, non seulement de te protéger, mais de te comprendre et de pardonner. Fais juste amende honorable. Tu n'es pas un maquisard, pourquoi fonces tu dans la bêtise? Tu es une valeur pour notre pays, tu as du te tromper, qui ne se trompe pas ou ne s'est pas trompé sur cette terre? Allez bonne soirée, je suis au dessus de tout ça, n'aie pas honte de ce que tu as fait, ça fait partie de la vie ! ----- Message d'origine ---- > De : Simeon EKOGA > Objet : Re : Nationalité d'Ekoga > Voila le faux 'Edzodzomo Ela' devenu tout d'un coup 'Bruno Vecarte'; écrivant de la même machine, en fait du même ordinateur depuis la belgique, dont l'IP est : 212.3.242.68 Regardez bien ci dessous, cette fois ci, il n'a écrit qu' à son maître, son gourou qui l'a conduit dans cette galère. Moi, je vais en faire copies aux autres de la mailing list fabriquée par le faussaire du net lui même. Je continue de dire que je ne vais jamais plus me lancer dans ce jeu de gamins.http://mail.yimg.com/us.yimg.com/i/mesg/tsmileys2/04.gifhttp://mail.yimg.com/us.yimg.com/i/mesg/tsmileys2/09.gifhttp://mail.yimg.com/us.yimg.com/i/mesg/tsmileys2/03.gif Localisation géographique par IP - IP geographical localization 212.3.242.68 - BE - BELGIUM > wilbur.contactoffice.net. Le serveur whois.ripe.net à retourné l'information suivante : % This is the RIPE Whois query server #1. > % The objects are in RPSL format. > % > % Rights restricted by copyright. > % See http://www.ripe.net/db/copyright.html > > % Note: This output has been filtered. > % To receive output for a database update, use the '-B' flag. > > % Information related to '212.3.242.64 - 212.3.242.127' > > inetnum: 212.3.242.64 - 212.3.242.127 > netname: CONTACTOFFICE-BE > descr: Contact Office Group > descr: Brussels > country: BE > admin-c: BLB37-RIPE > tech-c: LTHM > status: ASSIGNED PA > mnt-by: LEVEL3-MNT > source: RIPE # Filtered > > role: LEVEL3 Hostmaster > address: Level (3) Communications > address: 100 Leman Street > address: London > address: E1 8EU > phone: +44-20-7864-4444 > remarks: trouble: 24 Hour Call +44-08000-927-729 > remarks: trouble: Abuse reports to abuse at eu.level3.net > admin-c: STUD1-RIPE > admin-c: DT16-RIPE > admin-c: JF2595-RIPE > admin-c: NZ74-RIPE > tech-c: LTEE > nic-hdl: LTHM > remarks: Peering issues to peering at eu.level3.net > mnt-by: LEVEL3-MNT > source: RIPE # Filtered > abuse-mailbox: abuse at eu.level3.net > > person: BRICE LE BLEVENNEC > address: Brussels > phone: +32 2 340 32 32 > nic-hdl: BLB37-RIPE > mnt-by: LEVEL3-MNT > source: RIPE # Filtered > > % Information related to '212.3.224.0/19AS9057' > > route: 212.3.224.0/19 > descr: Level 3 RIPE block > origin: AS9057 > remarks: Abuse reports to abuse at eu.level3.net > remarks: Peering contact is peering at eu.level3.net > mnt-by: LEVEL3-MNT > source: RIPE # Filtered ----- Message d'origine ---- > De : Vecarte Bruno > Envoyé le : Jeudi, 2 Octobre 2008, 21h03mn 38s > Objet : Nationalité d'Ekoga > > Pour publication sur le Nganga. > Mais attends que je t'envoie les documents originaux (en JPEG); ce sont ceux là qui ont les infos authentiques. > > Bruno Vecarte > -------------- ------------------------- > Professional Virtual Office > http://www.contactoffice.com From protected at yahoo.fr Tue Oct 7 15:21:23 2008 From: protected at yahoo.fr (Lauréna Zamba) Date: Tue, 07 Oct 2008 15:21:23 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Ekoga K.O Message-ID: salut monsieur ali baba ou qui que vous soyez j'ai lu toute votre critique a propos d'un EKOGA moi je trouve que vous etes un peu injuste monsieur EKOGA etait juste ambitieux et pour cela DIEU lui a puni avec tous que vous dites a propos de lui il est malade ,seule avec sa fille, mange des hamburgers tout les jours la peine ne vaut de lui souhaiter plus de malheur plus qu'aparament vous souffez aussi mais vous ne le savez pas!!!! --- En date de : Dim 5.10.08, Ali Baba Mamal a écrit : De: Ali Baba Mamal Objet: [BDPalabres] Re: Ekoga K.O À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Dimanche 5 Octobre 2008, 23h38 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Je suis un ami proche de Siméon Ekoga, mais je suis obligé d'avouer qu'il y a pas mal de choses vraies dans ce que Sylvain Ndong écrit. - C'est connu ici à Paris, Ekoga boit beaucoup. C;est la boisson qui le rend un peu bizarre quand il a bu. Il parle beaucoup et dit n'importe quoi. et il distribue l'argent n'importe comment. - la femme sénéalaise qu'il avait a fait cocu Siméon, et au passage, a demandé le divorce en mettant Siméon dehors. L'argemnt de 260 million que Siméon avait reçu de Bongo en 2003 a fini dans les mains de la sénégalaise qui demndait les gardes d'enfant et l'appartement que Siméon avait à Paris à cette époque. Elle a pris tout l'arget. Depuis, Siméon rame et est devenu pauvre malgré les 260 millions. je dis tout ça juste parce que je n'aime pas les mensonges quand je le slis. Tout ce que Siméon dit de lui est faux. Il dit qu'il ne boit pas alors que nous savons tous à Paris q'il boit beaucoup. Ne suivez pas trop. A son age qui approche la soixantaine, il est comme les vieux gabonais qui cherchennt à attirer l'attention de Bongo à la fin de leur vie, pour aller manger. Suivez mon regard. Dans quelque temps, si Bongo la'eppele pour devenir ministre, il va partir. C'est ce qu'il espère. Il me l'adit lui-même. Il ma'vait invité à aller rencontrer Bongo en 2003 quand il a rahi le BDP. J'avais refusé. Regardez bien partout. Qui est vraiment ami avec Siméon aujourd'hui? Personne. Tous les gens avec qui il est allé au Gabon pour rouler Bongo et prendre 260 million, ils sont où aujourd'hui? Il les a tous roulés dans la boue et ils l'ont fui. En 5 ans, où est le parti qu'il a promis? Même pas un membre. On ne sait pas qui il a au RDPG avec lui, c'est parce qu'il n'y a personne avec lui, Les gens qui cotoient Ekoga comprennent tout de suite que c'est un menteur et un opportuniste. Tous les gens qui étaient ses amis (Sylvain Ndong, Malékou, Ovono Lambert, Cyrille Ona, Okili Boyé, et j;en passe), ils sont où aujourd'hui? Ils ont tous fui l'oppotunniste qui roule tous ses amis dans la boue. Quand un homme ne peut s'entendre avec personne, ne vous posez pas la question sur qui cet homme est. IL est dangeruex. IL a roulé le mengara du BDP, roulé Sylvain Ndong, roulé Malékou, roulé le vieux Angouey avec qui il a rencontré Bongo, Oikili Boyer, roulé tout le monde, Un vrai montre cet Ekoga. Et quand on vous dit que Ekoga est un leader de parti politique qui n'arrive même pas à payer son site interndet de son parti bidon, il faut le croire, c'est un opportunniste. IL avait même acheté une meercedes quand il est devenu chef de cellule BDP avec l'argent donné par Adzé pour espionner le BDP. C'est son ancien ami Okili qui dit ça vu que c'est avec Okili boyer qu'il sont roulé Bongo en déclarant la fin du BDP du pauvre Mengara. Et maintenant Okili dit qu'Ekoga voulait tuer Mengara. Tssuoo, pauvre gabon. Ekoga est un homme qui n'est pas fréquentable. Tout le monde l'afui. Son parti n'a aucun membre. Quand avez-vous vu Ekoga tenir une réunion de parti depuis qu'il a créé son RDOG avorté en 2003. Rien, m$me pas un congrës comme le BDP a fait à paris et à Bordeaux. Rien. Ekoga Siméon est un faussaire à la solde de Bongo. Tout le monde le sait depuis 2003. Les questions de nationalité que les Sylvain Ndont évoquent sont de faux problèmes. Le vrai problëme c'est la roublardise d'Ekoga qui a roulé tout le monde dans la boue en encaissant 260 million de chez Bongo pour tuer Daniel mengara et le BDP. Même ça, il a raté, comme il a raté l'histoire de de son RDPG mort né. Il rate tout, Siméon, sa vie, sa femme sénégalaise et sa fausserie politique. Un raté. je suis un anaynyme ami d'Ekoga. Je voualsis juste dire la vérité. Ali Baba n'est pas mon vrai nom. Sylvain Ndong a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. > ___________________________________________________________ > > > > Cher Gardien de nuit Ekoga, > > Tout ce que j'ai dit est vérifiable, cher aigri. > > Tu n'as rien, RIEN, RIEN, RIEN ! Sans femme, sans carte bleue, sans salaire décent. Tu manges de hamburgers tous les jours que Dieu fait, quelle misère ! J'ai écrit à tous les autres que je ne te répondrai plus sur le net ; c'est un conseil de ma femme. Peux-tu demander à ta femme de te donner quelques conseils avant d'écrire des conneries dignes d'un homme qui sait sa vie désormais sans avenir.. Tu es FINI Ekoga, fini, fini, fini. Tu n'as plus rien, même ton avenir en tant que français ne te prévoit rien de bon. Au mieux, tu resteras watch toute la vie, au pire, tu toucheras le RMI. > > Et au Gabon c'est même plus la peine puisque tu n'es plus gabonais. Donc, quel avenir te reste-t-il cher grand-frère qui a négligé si maladroitement ses études. Tu sais, TU AS bientôt 60 ANS et sans diplôme reconnu, que penses-tu que l'administration fera encore de toi, hein ? Rien, Nada, Zéro. Les mêmes amis parisiens dont tu parles aujourdhui, sais-tu ce qu'ils m'ont longtemps dit de TOI ? Si tu savais... Mon droit de discretion m'impose de ne pas les nommer. > > Tu fais du bruit sur Internet pour essayer de jouer les interessants afin d'espérer être appelé par les gens de Libreville pour re-rencontrer Bongo et toucher d'autres millions, qu'une femme sénégalaise, qui t'avait cocuffié d'ailleurs, t'avait auparavant escroqué. C'est mal barré mon vieux ! Dans cette vie, il faut avoir le diplôme pour gagner sa vie correctement comme Sylvain NDONG le fait depuis que je suis venu en Europe en 2000 ; et tes fameux amis le savent TOUS. > > Je viens de te faire la preuve par l'envers de ce que je suis à tous tes amis parisiens de l'ombre et toi (ceux auxquels ce message ferait mal dans leur coeur se reconnaîtront comme faisant partie du lot). Car j'ai réalisé, par la seule force de mon savoir, mon "European Dream" (j'espère que tu sais au moins lire cette simple phrase d'anglais) ! > > Tu vois, même l'honnêteté ne t'habite pas, et tu oses, du haut pourtant de ton âge de cinquantenaire révolu, me faire la morale, sous la bénédiction de tes soi disant nouveaux amis. Si tu êtes au moins un homme avec des couilles (vu que tu es incapable de garder une femme à la maison), tu aurais au moins, comme le ferait un homme de probité, diffuser tout aussi mon message sur ton fameux forum d'âme en panne d'inspiration Agora. Tu publies ta seule réponse en croyant me salir ; mais c'est dommage ; je suis indigeste, mon cher Watch ; même sans mon message sur Agora (qui ne vaut d'ailleurs plus rien), Sylvain NDONG ferait le démonstration de sa valeur nationale par la seule force de son intelligence et de ses facultés, et n'y toi le pauvre gardien de nuit, ni qui que ce soit n'empêchera ce destin de s'accomplir. > > Toutes les informations que j'ai volontairement étalée sont VERIFIABLES. Ce que tes nouveaux amis de Paris et toi devrez désormais faire, c'est de prendre vos téléphones, pour espérer assouvir vos malheureux âmes d'aigris. Pauvres Diables va ! > > La seule profession qui te reste c'est d'être un délateur invétéré. C'est tout ce qui te reste en tout cas, car tu es comme un garçon que j'avais sérieusement corrigé au CP2 et qui, alors même que j'étais sur lui en train de le rouer de coups, trouvait encore la force (ou plutôt le vampire) d'oser dire : "enlevez-le sur moi, sinon je vais me fâcher". Une histoire de fou ! > > Pour finir, tu as un ver dans le cerveau mon cher Siméon ; toutes ces aigreurs-là (gardien de nuit, sans femme à la maison, élevant seul sa fille, sans diplômes et fauché, etc.) te rendent petit à petit fou ; et n'oublie pas ce que je t'ai dit un jour : la folie est un poison lent. Prends le temps de prendre rendez-vous dans un centre psychiatrique pour aller te faire diagnostiquer. C'est comme le cancer, plus tôt tu le dépistes, mieux c'est pour une éventuelle gairison ; même si pour ton cas, nous avons de bonnes raisons de désespérer... > > Bonne chance grand-frère > > Sylvain NDONG > Fils de Ndjolé et Fier de l'Etre. > > From protected at yahoo.fr Tue Oct 7 15:22:53 2008 From: protected at yahoo.fr (Mbadinga David) Date: Tue, 07 Oct 2008 15:22:53 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Ekoga K.O Message-ID: Chers amis, J'ai des nausées à la lecture de pareilles inepties qui ne grandissent pas leurs auteurs. Il va falloir cesser de m'inonder de vos messages qui me perdent inutilement du temps et me désolent par leur bassesse. Le combat pour la liberté est ailleurs. Il n'est ni dans l'invective, ni dans le claironnage, sauf à vouloir distraire ou détourner l'attention des gabonais. A qui profitent ces comportements blâmables et indignes? Merci --- En date de : Dim 5.10.08, Sylvain Ndong a écrit : > > De: Sylvain Ndong > > Objet: [BDPalabres] Ekoga K.O > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > Date: Dimanche 5 Octobre 2008, 21h05 > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. > > Vos messages apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, > > répondez tout simplement aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces > > jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. > > ___________________________________________________________ > > > > Cher Gardien de nuit Ekoga, > > > > Tout ce que j'ai dit est vérifiable, cher aigri. > > > > Tu n'as rien, RIEN, RIEN, RIEN ! Sans femme, sans carte > > bleue, sans salaire décent. Tu manges de hamburgers tous > > les jours que Dieu fait, quelle misère ! J'ai écrit à > > tous les autres que je ne te répondrai plus sur le net ; > > c'est un conseil de ma femme. Peux-tu demander à ta > > femme de te donner quelques conseils avant d'écrire des > > conneries dignes d'un homme qui sait sa vie désormais > > sans avenir. Tu es FINI Ekoga, fini, fini, fini. Tu n'as > > plus rien, même ton avenir en tant que français ne te > > prévoit rien de bon. Au mieux, tu resteras watch toute la > > vie, au pire, tu toucheras le RMI. > > > > Et au Gabon c'est même plus la peine puisque tu > > n'es plus gabonais. Donc, quel avenir te reste-t-il cher > > grand-frère qui a négligé si maladroitement ses études. > > Tu sais, TU AS bientôt 60 ANS et sans diplôme reconnu, que > > penses-tu que l'administration fera encore de toi, hein > > ? Rien, Nada, Zéro. Les mêmes amis parisiens dont tu > > parles aujourdhui, sais-tu ce qu'ils m'ont longtemps > > dit de TOI ? Si tu savais... Mon droit de discretion > > m'impose de ne pas les nommer. > > > > Tu fais du bruit sur Internet pour essayer de jouer les > > interessants afin d'espérer être appelé par les gens > > de Libreville pour re-rencontrer Bongo et toucher > > d'autres millions, qu'une femme sénégalaise, qui > > t'avait cocuffié d'ailleurs, t'avait auparavant > > escroqué. C'est mal barré mon vieux ! Dans cette vie, > > il faut avoir le diplôme pour gagner sa vie correctement > > comme Sylvain NDONG le fait depuis que je suis venu en > > Europe en 2000 ; et tes fameux amis le savent TOUS. > > > > Je viens de te faire la preuve par l'envers de ce que > > je suis à tous tes amis parisiens de l'ombre et toi > > (ceux auxquels ce message ferait mal dans leur coeur se > > reconnaîtront comme faisant partie du lot). Car j'ai > > réalisé, par la seule force de mon savoir, mon > > "European Dream" (j'espère que tu sais au > > moins lire cette simple phrase d'anglais) ! > > > > Tu vois, même l'honnêteté ne t'habite pas, et tu > > oses, du haut pourtant de ton âge de cinquantenaire > > révolu, me faire la morale, sous la bénédiction de tes > > soi disant nouveaux amis. Si tu êtes au moins un homme avec > > des couilles (vu que tu es incapable de garder une femme à > > la maison), tu aurais au moins, comme le ferait un homme de > > probité, diffuser tout aussi mon message sur ton fameux > > forum d'âme en panne d'inspiration Agora. Tu > > publies ta seule réponse en croyant me salir ; mais > > c'est dommage ; je suis indigeste, mon cher Watch ; > > même sans mon message sur Agora (qui ne vaut d'ailleurs > > plus rien), Sylvain NDONG ferait le démonstration de sa > > valeur nationale par la seule force de son intelligence et > > de ses facultés, et n'y toi le pauvre gardien de nuit, > > ni qui que ce soit n'empêchera ce destin de > > s'accomplir. > > > > Toutes les informations que j'ai volontairement > > étalée sont VERIFIABLES. Ce que tes nouveaux amis de Paris > > et toi devrez désormais faire, c'est de prendre vos > > téléphones, pour espérer assouvir vos malheureux âmes > > d'aigris. Pauvres Diables va ! > > > > La seule profession qui te reste c'est d'être un > > délateur invétéré. C'est tout ce qui te reste en > > tout cas, car tu es comme un garçon que j'avais > > sérieusement corrigé au CP2 et qui, alors même que > > j'étais sur lui en train de le rouer de coups, trouvait > > encore la force (ou plutôt le vampire) d'oser dire : > > "enlevez-le sur moi, sinon je vais me fâcher". > > Une histoire de fou ! > > > > Pour finir, tu as un ver dans le cerveau mon cher Siméon ; > > toutes ces aigreurs-là (gardien de nuit, sans femme à la > > maison, élevant seul sa fille, sans diplômes et fauché, > > etc.) te rendent petit à petit fou ; et n'oublie pas ce > > que je t'ai dit un jour : la folie est un poison lent. > > Prends le temps de prendre rendez-vous dans un centre > > psychiatrique pour aller te faire diagnostiquer. C'est > > comme le cancer, plus tôt tu le dépistes, mieux c'est > > pour une éventuelle gairison ; même si pour ton cas, nous > > avons de bonnes raisons de désespérer... > > > > Bonne chance grand-frère > > > > Sylvain NDONG > > Fils de Ndjolé et Fier de l'Etre. From protected at bdpgabon.org Tue Oct 7 15:25:27 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Tue, 07 Oct 2008 15:25:27 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon: Omar Bongo doit payer ! Message-ID: Le 1er juillet dernier, les deux ténors du barreau de Libreville dépêchés par Omar Bongo en Gironde avaient multiplié lors de l’audience les propos à l’emporte-pièce. Ces mots haut en couleur n’ont pas pour autant tiré d’affaire le chef d’Etat gabonais. Pour lire l’article, Bongo condamné à Bordeaux: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/10/01/gabon-omar-bongo-doit-payer/ From protected at bdpgabon.org Tue Oct 7 15:38:01 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Tue, 07 Oct 2008 15:38:01 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon: Omar Bongo doit payer ! Message-ID: Le 1er juillet dernier, les deux ténors du barreau de Libreville dépêchés par Omar Bongo en Gironde avaient multiplié lors de l’audience les propos à l’emporte-pièce. Ces mots haut en couleur n’ont pas pour autant tiré d’affaire le chef d’Etat gabonais. Pour lire l’article, Bongo condamné à Bordeaux: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/10/01/gabon-omar-bongo-doit-payer/ From protected at aol.com Thu Oct 9 01:18:49 2008 From: protected at aol.com (Patitpierre) Date: Thu, 09 Oct 2008 01:18:49 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Nationalité d'Ekoga Message-ID: Je suis stupefait de voir de tel dialogue ? c est vraiment primaire , en plus le racisme est roi , parsque il est francais sa vous derange ! mais n étes vous pas pas , vous méme en france pour tout les avantages que vous bénéficié comme les autre , car pour vous ne plus avoir la nationalité gabonaise est un handicape ?? comme dirait ABO c est une "pélézentéri" pour faire du nationalisme ont va chez soit au gabon est ont la ferme ont se contente des 5.000 CFA daide ?? est la tout les jours tu peut hurler avec ceux qui crévent de faim la bas vive notre gabon pays de réve , soins gratuis , ! smig a 500.000 F CFA ! sans parler des restots du coeur ou vous étes en permanence en revenant du secour catholique ? allez va bande de comiques la finlande qui a elle 300.000 habitants ! qui a eu moin de richese que nous est un pays riche prospére propre organisé etc.... vous étes quand méme juste devant le zimbawé de mugabé ! ou un caranbar coute 5 milliards ? pauvres africains que nous somme le monde est plier en deux méme en quatre a voir est a lire nos conneries , soyez sage en france pour ne pas vous faire virer ! sinon c est mont bouet ? From protected at gmail.com Thu Oct 9 01:20:15 2008 From: protected at gmail.com (Petit Léon MBA-MINKO) Date: Thu, 09 Oct 2008 01:20:15 -0400 Subject: [BDPalabres] Bongo préfère Ali à Pascaline... Message-ID: Le tout récent remaniement ministériel du Gabon est révélateur à plus d’un point de ce qui se prépare en coulisse concernant la succession au sommet de l’Etat du doyen des présidents africains, Omar Bongo Ondimba. Victime d’un grave malaise le week-end dernier dans sa villa de la sablière, le chef de l’Etat gabonais, dont les signes de fatigue et de lassitude sont de plus en plus perceptibles, a tenu à montrer une fois de plus à tous les courtisans de son trône, avec quelle fermeté il tenait encore le gouvernail de « son » petit pays le Gabon, dont il est à la tête depuis 1967. Divisé entre deux mamelles de son propre sein, qui ne cachent d’ailleurs plus leurs intentions dans la course au palais du bord de mer, le patriarche vient de donner, à travers ce remaniement, un léger et non moins négligeable avantage au camp des appellistes, dirigé par son fils Ali Bongo (49 ans), ministre de la défense, et composé des noms tels André Mba Obame (intérieur), René Ndemezo’o (sports) ou encore Blaise Louembet (finances) ; une nouvelle configuration qui ne fera certainement pas les affaires du couple Toungui/Mferry Bongo, lequel, par ce remaniement, vient de perdre un portefeuille central, qui ne manquera de constituer un large trou lors des décomptes finaux. Fidèle à ses contemporains (Eyadéma, Hassan II, Kabila,…), et fin connaisseur des us et traditions bantu, Bongo vient de renforcer la vieille coutume africaine qui recommande à tout patriarche, dans une perspective de lègue de l’héritage familial, le soin de préférer un fils à une fille, les filles étant en finalement destinées à aller en mariage, donc appelées à servir une famille exogène. Reste à savoir si le peuple Gabonais, de plus en plus marginalisé dans le partage des ressources de ce riche émirat du golf de Guinée, saura approuver le choix de son doyen de président. D’autant plus que d’autres noms, tels Mba Abessolo, Mamboundou, Ogoulinguendé, Kombila ou encore Oyé Mba sont de plus en plus cité dans les officines et les salons feutrés de la belle capitale du pays, Libreville. Petit-Léon Mba Minko From protected at hotmail.fr Thu Oct 9 01:21:33 2008 From: protected at hotmail.fr (Appolinaire KOULAMA) Date: Thu, 09 Oct 2008 05:21:33 -0000 Subject: Sans objet Message-ID: GABON : BONGO REMANIE LE GOUVERNEMENT (liste des nouveaux ministres) Message-Id: Sender: Date: Thu, 09 Oct 2008 01:21:33 -0400 X-Mailman-Approved-At: Thu, 09 Oct 2008 01:23:02 -0400 Subject: [BDPalabres] GABON: BONGO REMANIE SON GOUVERNEMENT X-BeenThere: bdpalabres at bdpgabon.org X-Mailman-Version: 2.1.11.cp2 Precedence: list Reply-To: Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau X-List-Received-Date: Thu, 09 Oct 2008 05:21:33 -0000 Linternationalmagazine.com , publié le 08/10/2008 La nouvelle équipe est marquée par l’arrivée de Paul Toungui, gendre du chef de l’Etat au portefeuille des Affaires étrangères jusque-là occupé par Laure Olga Gondjout qui avait remplacé à ce poste Jean Ping, parti à l’Union africaine (UA). Le loyal Casimir OYE MBA reste au ministère très sensible des Mines, du Pétrole et des Hydrocarbures et Ali BONGO ONDIMBA à la Défense nationale. Gabon : Bongo remanie le Gouvernement (liste des nouveaux ministres) Selon le communiqué officiel du gouvernement rendu public, mercredi matin, le gouvernement de Jean Eyeghe Ndong remanié est marqué par les départs de Mouiri Boussougou, ministre délégué au Transport et à l’Aviation civile et de Faustin Boukoubi, ancien ministre de l’Agriculture et du Développement rural, élu Secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG-au pouvoir) le 21 septembre dernier à l’issue du Congrès de ce parti majoritaire qui fêtait les 40 ans de sa création. Le nouveau gouvernement compte 43 membres, y compris le Premier ministre, chef du gouvernement, Jean Eyeghe Ndong, en poste depuis le 28 décembre 2007. On note l’arrivée de quatre nouveau ministres, dont celui de l’Economie, des Finances, du Budget et de la Privatisation, Blaise Loembé, qui occupait jusque-là le poste très convoité de Trésorier payeur général (TPG). L’ancien ministre de l’Economie et des Finances, Paul Toungui, gendre du chef de l’Etat Omar Bongo Ondimba, prend le portefeuille des Affaires étrangères jusque-là occupé par Laure Olga Gondjout qui avait remplacé à ce poste Jean Ping, parti à l’Union africaine (UA). Mme Gondjout, qui était arrivée au ministère des Affaires étrangères, de la Coopération, de la Francophonie et de l’Intégration régionale, le 4 février dernier, est désormais ministre de la Communication, des Postes, des Télécommunications et des Nouvelles technologies de l’Information, poste qu’elle avait déjà occupé après le remaniement ministériel du 28 décembre 2007. Autre changement, Paul Biyoghe Mba, ministre du Commerce, du Développement industriel, chargé du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD), va occuper le portefeuille de l’Agriculture et du Développement rural, alors que l’ancien ministre de la Communication, des Postes, des Télécommunications et des Nouvelles technologies de l’Information, Jean Boniface Asselé, est nommé ministre des Transports et de l’Aviation civile. Enfin, Mme Angélique Ngoma, ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, échange son portefeuille avec celui de Me Denise Makam’ne, anciennement ministre des Affaires sociales, de la Solidarité, de la Famille, chargée de la Promotion de la femme, de la Protection de la Veuve et de l’Orphelin et de la Lutte contre le Sida. Composition du nouveau Gouvernement Premier ministre, chef du gouvernement, Jean EYEGHE NDONG Vice-premiers ministres Vice-Premier ministre, ministre de l’Environnement, de la Protection de la Nature et du Développement durable, Mme Georgette KOKO. Vice-Premier ministre, ministre de la Culture, des Arts, de l’Education populaire, de la Refondation et des Droits de l’Homme, M. Paul MBA ABESSOLO. Vice-Premier ministre, ministre du Contrôle d’Etat, des Inspections, de la Lutte contre la corruption et de la Lutte contre l’Enrichissement illicite, Mme Honorine DOSSOU NAKI. Ministres d’État Ministre d’Etat, ministre des Mines, en charge du Pétrole, des Hydrocarbures, de l’Energie, des Ressources hydrauliques et de la Promotion des Energies nouvelles, M. Casimir OYE MBA. Ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération, de la Francophonie et de l’Intégration régionale, M. Paul TOUNGUI. Ministres Ministre de la Marine marchande et des équipements portuaires, M. Jacques ADIAHENOT. Ministre de l’Aménagement du territoire et de la Ville, chargé de l’Artisanat et de l’Evaluation des politiques publiques, M. Pierre Claver MAGANGA MOUSSAVOU. Ministre du Tourisme et des Parcs nationaux, M. Idriss NGARI. Ministre de la Défense nationale, M. Ali BONGO ONDIMBA. Ministre de l’Intérieur, de la Décentralisation, des Collectivités locales, chargé de la Sécurité et de l’Immigration, M. André MBA OBAME. Ministre de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Insertion professionnelle des jeunes, professeur Pierre André KOMBILA. Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et du Développement rural, M. Paul BIYOGHE MBA. Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Prévoyance sociale, M. Jean-François NDONGOU. Ministre des Transports et de l’Aviation civile, M. Jean Boniface ASSELE. Ministre de la Planification et de la Programmation du développement, M. Richard Auguste ONOUVIET. Ministre de l’Economie forestière, des Eaux et de la Pêche, M. Emile DOUMBA. Ministre de la Jeunesse, des Sports et Loisirs, chargé de la Vie associative, porte-parole du gouvernement, M. René NDEMEZO’O OBIANG. Ministre de la Justice, garde des Sceaux, M. Martin MABALA. Ministre des Affaires sociales, de la Solidarité, de la Famille, chargé de la Promotion de la femme, de la Protection de la veuve et de l’orphelin, de la Lutte contre le Sida, Mme Angélique NGOMA. Ministre de l’Economie, des Finances, du Budget et de le Privatisation, M. Blaise LOUEMBET. Ministre de l’Education nationale et de l’Instruction civique, M. Michel MENGA M’ESSONE. Ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Me Denise MEKAM’NE. Ministre de l’Enseignement supérieur, M. Dieudonné PAMBO. Ministre de la Recherche scientifique et du Développement technologique, professeur Albert ONDO OSSA. Ministre de la Communication, de la Poste, des Télécommunications et des Nouvelles technologies de l’Information, Mme Laure Olga GONDJOUT. Ministre des Travaux publics, des Infrastructures et de la Construction, M. Flavien NZIENGUI NZOUNDOU. Ministre des Petites et moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de la Lutte contre la Pauvreté, M. Vincent ESSONO MENGUE. Ministre du Commerce, du Développement industriel, chargé du NEPAD, M. Patrice TONDA. Ministre du Logement, de l’Habitat et de l’Urbanisme, M. Josué MBADINGA. Ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Etat, chargé des Relations avec le Parlement et des institutions constitutionnelles, M. Alain MENSAH ZOGUELET. MINISTRES DELEGUES Ministre délégué auprès du Vice-Premier ministre, ministre de l’Environnement et du Développement durable et de la Protection de la nature, M. Christ NGUEMBI. Ministre délégué auprès du ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération, de la Francophonie et de l’Intégration régionale, M. Noël Nelson MESSONE. Ministre délégué auprès du ministre d’Etat, ministre des Mines en charge du Pétrole, des Hydrocarbures, de l’Energie, des Ressources hydrauliques et de la Promotion des Energies nouvelles, M. Sylvain MOMOADJAMBO. Ministres délégués auprès du ministre de l’Economie, des Finances, du Budget et de la Privatisation, M. Charles Mba et Mme Solange MABIGNATH. Ministre délégué auprès du ministre de la Planification et de la Programmation du Développement, M. Célestin BAYOGHA. Ministre délégué auprès du ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales, chargé de la Sécurité et de l’Immigration, M. Philipe NZIENGUI MAYILA. Ministre délégué auprès du ministre de l’Economie forestière, des Eaux et de la Pêche, M. Hugues Alexandre BARRO CHAMBRIER. Ministre délégué auprès du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, M. Jean-Marie KOUMBA SOUVI. Ministre délégué auprès du ministre des Travaux publics, des Infrastructures et de la Construction, M. Norbert DIRAMBA. Ministre délégué auprès du ministre du Commerce, du Développement industriel, chargé du NEPAD, M. Fabien OVONO NGOUA. Ministre délégué auprès du ministre des Petites et moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de la Lutte contre la Pauvreté, M. Alexis BOUTAMBA. Ministre délégué auprès du ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Etat, chargé des Relations avec le Parlement et des institutions constitutionnelles, Mme Gisèle EYANG NTOUTOUME. From protected at yahoo.fr Sat Oct 11 20:10:43 2008 From: protected at yahoo.fr (Mbembou PENDEGOYE Nicodeme) Date: Sat, 11 Oct 2008 20:10:43 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Ekoga K.O Message-ID: Bonjour à tous, Je partage mot pour mot les remarques de Monsieur MBADINGA. ----- Message d'origine ---- De : Mbadinga David À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Mardi, 7 Octobre 2008, 21h22mn 53s Objet : [BDPalabres] Re: Ekoga K.O ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Chers amis, J'ai des nausées à la lecture de pareilles inepties qui ne grandissent pas leurs auteurs. Il va falloir cesser de m'inonder de vos messages qui me perdent inutilement du temps et me désolent par leur bassesse. Le combat pour la liberté est ailleurs. Il n'est ni dans l'invective, ni dans le claironnage, sauf à vouloir distraire ou détourner l'attention des gabonais. A qui profitent ces comportements blâmables et indignes? Merci --- En date de : Dim 5.10.08, Sylvain Ndong a écrit : > > De: Sylvain Ndong > > Objet: [BDPalabres] Ekoga K.O > > À: bdpalabres at bdpgabon..org > > Date: Dimanche 5 Octobre 2008, 21h05 > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. > > Vos messages apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, > > répondez tout simplement aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces > > jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. > > ___________________________________________________________ > > > > Cher Gardien de nuit Ekoga, > > > > Tout ce que j'ai dit est vérifiable, cher aigri. > > > > Tu n'as rien, RIEN, RIEN, RIEN ! Sans femme, sans carte > > bleue, sans salaire décent. Tu manges de hamburgers tous > > les jours que Dieu fait, quelle misère ! J'ai écrit à > > tous les autres que je ne te répondrai plus sur le net ; > > c'est un conseil de ma femme. Peux-tu demander à ta > > femme de te donner quelques conseils avant d'écrire des > > conneries dignes d'un homme qui sait sa vie désormais > > sans avenir. Tu es FINI Ekoga, fini, fini, fini. Tu n'as > > plus rien, même ton avenir en tant que français ne te > > prévoit rien de bon. Au mieux, tu resteras watch toute la > > vie, au pire, tu toucheras le RMI. > > > > Et au Gabon c'est même plus la peine puisque tu > > n'es plus gabonais. Donc, quel avenir te reste-t-il cher > > grand-frère qui a négligé si maladroitement ses études. > > Tu sais, TU AS bientôt 60 ANS et sans diplôme reconnu, que > > penses-tu que l'administration fera encore de toi, hein > > ? Rien, Nada, Zéro. Les mêmes amis parisiens dont tu > > parles aujourdhui, sais-tu ce qu'ils m'ont longtemps > > dit de TOI ? Si tu savais... Mon droit de discretion > > m'impose de ne pas les nommer. > > > > Tu fais du bruit sur Internet pour essayer de jouer les > > interessants afin d'espérer être appelé par les gens > > de Libreville pour re-rencontrer Bongo et toucher > > d'autres millions, qu'une femme sénégalaise, qui > > t'avait cocuffié d'ailleurs, t'avait auparavant > > escroqué. C'est mal barré mon vieux ! Dans cette vie, > > il faut avoir le diplôme pour gagner sa vie correctement > > comme Sylvain NDONG le fait depuis que je suis venu en > > Europe en 2000 ; et tes fameux amis le savent TOUS. > > > > Je viens de te faire la preuve par l'envers de ce que > > je suis à tous tes amis parisiens de l'ombre et toi > > (ceux auxquels ce message ferait mal dans leur coeur se > > reconnaîtront comme faisant partie du lot). Car j'ai > > réalisé, par la seule force de mon savoir, mon > > "European Dream" (j'espère que tu sais au > > moins lire cette simple phrase d'anglais) ! > > > > Tu vois, même l'honnêteté ne t'habite pas, et tu > > oses, du haut pourtant de ton âge de cinquantenaire > > révolu, me faire la morale, sous la bénédiction de tes > > soi disant nouveaux amis. Si tu êtes au moins un homme avec > > des couilles (vu que tu es incapable de garder une femme à > > la maison), tu aurais au moins, comme le ferait un homme de > > probité, diffuser tout aussi mon message sur ton fameux > > forum d'âme en panne d'inspiration Agora. Tu > > publies ta seule réponse en croyant me salir ; mais > > c'est dommage ; je suis indigeste, mon cher Watch ; > > même sans mon message sur Agora (qui ne vaut d'ailleurs > > plus rien), Sylvain NDONG ferait le démonstration de sa > > valeur nationale par la seule force de son intelligence et > > de ses facultés, et n'y toi le pauvre gardien de nuit, > > ni qui que ce soit n'empêchera ce destin de > > s'accomplir. > > > > Toutes les informations que j'ai volontairement > > étalée sont VERIFIABLES. Ce que tes nouveaux amis de Paris > > et toi devrez désormais faire, c'est de prendre vos > > téléphones, pour espérer assouvir vos malheureux âmes > > d'aigris. Pauvres Diables va ! > > > > La seule profession qui te reste c'est d'être un > > délateur invétéré. C'est tout ce qui te reste en > > tout cas, car tu es comme un garçon que j'avais > > sérieusement corrigé au CP2 et qui, alors même que > > j'étais sur lui en train de le rouer de coups, trouvait > > encore la force (ou plutôt le vampire) d'oser dire : > > "enlevez-le sur moi, sinon je vais me fâcher". > > Une histoire de fou ! > > > > Pour finir, tu as un ver dans le cerveau mon cher Siméon ; > > toutes ces aigreurs-là (gardien de nuit, sans femme à la > > maison, élevant seul sa fille, sans diplômes et fauché, > > etc.) te rendent petit à petit fou ; et n'oublie pas ce > > que je t'ai dit un jour : la folie est un poison lent. > > Prends le temps de prendre rendez-vous dans un centre > > psychiatrique pour aller te faire diagnostiquer. C'est > > comme le cancer, plus tôt tu le dépistes, mieux c'est > > pour une éventuelle gairison ; même si pour ton cas, nous > > avons de bonnes raisons de désespérer... > > > > Bonne chance grand-frère > > > > Sylvain NDONG > > Fils de Ndjolé et Fier de l'Etre. From protected at yahoo.fr Sat Oct 11 20:11:57 2008 From: protected at yahoo.fr (christian mba) Date: Sat, 11 Oct 2008 20:11:57 -0400 Subject: [BDPalabres] Bongo préfère Ali à Pascaline... Message-ID: Madame, Monsieur, Si le Gabon veut sortir de l'abîme, soutenez le Pr. Kombila. C'est digne fils du pays qui mérite d'être à la tête de notre cher pays, le Gabon. ----- Message d'origine ---- De : Petit Léon MBA-MINKO À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Jeudi, 9 Octobre 2008, 7h20mn 15s Objet : [BDPalabres] Bongo préfère Ali à Pascaline... Le tout récent remaniement ministériel du Gabon est révélateur à plus d’un point de ce qui se prépare en coulisse concernant la succession au sommet de l’Etat du doyen des présidents africains, Omar Bongo Ondimba. Victime d’un grave malaise le week-end dernier dans sa villa de la sablière, le chef de l’Etat gabonais, dont les signes de fatigue et de lassitude sont de plus en plus perceptibles, a tenu à montrer une fois de plus à tous les courtisans de son trône, avec quelle fermeté il tenait encore le gouvernail de « son » petit pays le Gabon, dont il est à la tête depuis 1967. Divisé entre deux mamelles de son propre sein, qui ne cachent d’ailleurs plus leurs intentions dans la course au palais du bord de mer, le patriarche vient de donner, à travers ce remaniement, un léger et non moins négligeable avantage au camp des appellistes, dirigé par son fils Ali Bongo (49 ans), ministre de la défense, et composé des noms tels André Mba Obame (intérieur), René Ndemezo’o (sports) ou encore Blaise Louembet (finances) ; une nouvelle configuration qui ne fera certainement pas les affaires du couple Toungui/Mferry Bongo, lequel, par ce remaniement, vient de perdre un portefeuille central, qui ne manquera de constituer un large trou lors des décomptes finaux. Fidèle à ses contemporains (Eyadéma, Hassan II, Kabila,…), et fin connaisseur des us et traditions bantu, Bongo vient de renforcer la vieille coutume africaine qui recommande à tout patriarche, dans une perspective de lègue de l’héritage familial, le soin de préférer un fils à une fille, les filles étant en finalement destinées à aller en mariage, donc appelées à servir une famille exogène. Reste à savoir si le peuple Gabonais, de plus en plus marginalisé dans le partage des ressources de ce riche émirat du golf de Guinée, saura approuver le choix de son doyen de président. D’autant plus que d’autres noms, tels Mba Abessolo, Mamboundou, Ogoulinguendé, Kombila ou encore Oyé Mba sont de plus en plus cité dans les officines et les salons feutrés de la belle capitale du pays, Libreville. Petit-Léon Mba Minko From protected at yahoo.fr Sat Oct 11 20:12:54 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Sat, 11 Oct 2008 20:12:54 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Nationalité d'Ekoga/aidez nous à vous aider!!!! Message-ID: Cher Appolinaire, Si, en France, je m'approvisionnais au resto du coeur ou au Secours catholique, je n'en aurai pas honte. A moins d'être schizophrène, on ne peut pas à la fois se plaindre de vivre avec 5000 cfa par mois, dénoncer tous ceux qui acceptent le moindre concours financier du Président de la République et se moquer de ceux qui - dans la diaspora - ont trouvé des solutions alternatives, y compris en bénéficiant de l'aide alimentaire. Dieu Merci, je n'en suis pas encore là, mais on ne sait jamais. Je participe à ces activités humanitaires pour collecter et distribuer les produits alimentaires. C'est une excellente école de la vie où on apprend la modestie en priorité, le sens pratique de l'organisation et de l'intiative privé. Je me suis rendu compte qu'en s'organisant entre soi, on peut se passer de l'intervention du Gouvernement sur tous les sujets de notre existence. J'aimerai que vous arriviez à conquérir une telle autonomie. Je peux vous assurer qu'en vivant avec un tel état d'esprit avec des personnes qui pourraient le partager au Gabon, je ne vivrais pas avec 5000 frs par mois et je n'aurais pas besoin d'attendre - apparemment comme vous - les revenus distribués par l'Etat pour avoir une vie aisée. La vie d'un certain nombre d'expatriés au Gabon en témoignent. Je suis convaincu que les équipes du Secours Catholique ou du Resto du coeur sont capables d'apporter bien plus rapidement des solutions très concrètes et efficaces à la gestion des problèmes basiques des Gabonais "qui souffrent" que les membres des Gouvernements successifs, les Hauts - fonctionnaires des départements ministériels auxquels vous appartennez certainement. On n'a pas besoin d'aller faire POLYTEC ou HEC et développer des grandes théories mathématiques ou économiques pour traiter ces problèmes remettre des personnes comme vous au VRAI TRAVAIL ORGANISE ET RENTABLE devrait suffire. Je dois vous préciser que les équipes de nombreuses organisations humanitaires sont constitués pour une forte proportion par des cadres dirigeants et moyens ou des chefs d'entreprises en poste ou à la retraite. Dans les pays occidentaux, c'est une tradition fortement ancrée pour des hommes aisés - y compris des millionnaires, un peu rarement des milliardaires - de consacrer une partie de leurs temps non professionnels à se consacrer à un projet humanitaire. Je précise que lorsque je ne suis pas au Secours Catholique ou au Resto du Coeur, je fais du SOURCING, c'est à dire de la recherche d'équipement ou de divers produits aux meilleures conditions d'achats. Je négocie également les meilleures conditions de financement et de couverture de risques. J'aurai souhaité le faire avec et pour des Gabonais, vous êtes apparemment trop occupé à vous dénigrer et je ne souhaite pas participer à cette auto-destruction. Se consacrer à des projets humanitaires me paraît une manière saine d'utiliser son temps en le consacrant à l'allègement de la misère plutôt que d'aller s'imbiber de REGAB ou de faire le PAON au près des petites filles oisives du quartier. Cela permet, en EUROPE, à certaines de ces personnes RESPONSABLES de prendre la mesure réelle des difficultés des populations de leurs pays et - dans les cercles appropriés, notamment au niveau politique - d'influencer les prises de décision adaptées aux problèmes posées. Martin HIRSCH, Haut Commissaire de la République Française et qui a mis au point le financement du RSA (en remplacement du RMI) a fait ses études à l'ENA puis a fait le choix d'aller travailler avec l'association EMMAUS avant d'être sollicité par Nicolas SARKOSY, Président de la République Française. Bernard KOUCHNER, medecin de formation et actuellement excellent MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES DE SON PAYS, est passé par cette expérience. Il ne faut pas AJOUTER L'OBSCURANTISME A L'IGNORANCE. Mon cher ami, tout le monde ne rêve pas - en faisant des études - d'aller sillonner les couloirs de d'une Présidence de la République ou de la Primature et quémander des postes au Chef de l'Etat. Je vous demande, en conséquence de faire preuve de moins d'ironie et de plus de responsabilité dans vos propos. Aussi (Haut-) fonctionnaire ou cadre que vous pouvez être au Gabon, je pense - qu'un certain nombre de Gabonais de la Diaspora - peut vous offrir un salaire décent avec le montant de la part des revenus que nous consacrons à notre budget domestique. Vous dénoncez les derniers débordements de quelques individus sur le forum et je partage votre point de vue mais ne mélanger pas les genres. Vous commettriez des erreurs d'analyse qui ne me semblent pas être de votre niveau. Pour ma part, je milite pour que s'établissent des ponts - des cercles vertueux - de collaboration entre les Gabonais de la diaspora et ceux qui sont restés sur le Territoire national. Au lieu de nous stigmatiser, c'est de cette manière que nous pourrons améliorer notre situation commune, celle de certains pans de la société et de l'économie gabonaise. Dans les pays frontaliers, les diaspora se fait mieux respecter et participe fortement à l'épanouissement de leurs pays respectifs. La diaspora du Cameroun, des 2 Congos, des pays de l'Afrique de l'Ouest et Australe,.. ont acquis leurs lettres de noblesse grâce à la reconnaissance du rôle qu'elle joue par les institutions internationales et les pays d'accueil mais aussi à l'écoute et la collaboration des populations de ces pays. Je ne compte pas le nombre de missions en provenance des USA, du Canada qui se sont monté grâce aux efforts de conscientisation de cette diaspora. Vous ne pouvez imaginez le nombre d'agences de transferts d'argentsou de gestion de transport de marchandises, les entrepôts gérés par les ressortissants de ces pays. Notre NATIONALISME consiste à faire comme eux dans l'intérêt de notre pays plutôt que de rentrer "brailler" ainsi que vous nous le suggérez si bénoitement. Vous manquez sans doute d'inspiration. Au lieu de dénigrer les actions des membres de la diaspora, les populations de ces pays expriment leurs désirs et accueillent avec beaucoup d'intérêt les fruits du travail fourni par les membres de cette diaspora. C'est sans doute ainsi que les populations des pays pré-cités ont réussi à traverser les périodes les plus sombres de leurs brèves Histoires; ces périodes où, n'exploitant pas encore le pétrole et les mines ou malgré cela, les gouvernements de ces pays n'avaient pas les moyens de s'occuper de toute la population. La situation de nombre de ces pays a changé pendant que le Gabon s'enfonce dans un système fait d'artifices. Il faut que vous comprenniez que - quand bien même - on expulserait quelques Gabonais de la France, il y en aurait d'autres qui fairaient le chemin inverse vers la France ou dans d'autres pays occidentaux ou d'ailleurs. Il ne s'agit pas de faits isolés mais d'une tendance qui s'amorce et se développe en profondeur. Les communautés de la Diaspora gabonaise sont amenés à jouer un rôle de plus en plus important - comme au Mali - y compris pour payer vos salaires. IL FAUT COMPTER ET TRAVAILLER AVEC LA DIASPORA, QUELQUE SOIT SA COMPOSITION, AU LIEU DE LA COMBATTRE. Vous savez, certain d'entre nous ont intégré des multinationales. D'autresont monté des centrales d'achat depuis longtemps et travaillent avec les supermarchés des pays occidentaux. Ils restent ceux qui s'efforcent avec persévérance de construire des filières commerciales avec notre pays. Vous devriez considérer cela comme étant des opportunités et vous mettre au travail pour nous aider à construire ces filières, à expédier des produits gabonais à vendre en détail dans les rayons de ces magasins ou en gros dans les entrepôts. Vous pouvez également travailler avec nous au développement des flux touristiques. Il n'y a pas de raison que cela se passe ainsi et aussi bien au Cameroun voisin, mais que cela paraisse si difficile au Gabon. Nous devons faire ENSEMBLE des efforts, Ce serait notre façon conjointe d'anticiper les prochaines crises provoquées par la baisse des revenus de la rente pétrolière et minière AINSI QUE LE FOSSE QUI SE CREUSE ENTRE LES CATEGORIES SOCIALES - PROFESSIONNELLES. LE CYNISME QUE VOUS AFFICHEZ EST STERILE ET DESTRUCTEUR. Au lieu de cela, vous ne vous rendez pas compte que vous perdez votre temps en prennant des airs entendus et vous nous faites perdre le notre avec vos sous-entendus. Vous vous montrez arrogant mais je vous promet de PARTAGER une petite Régab AVEC VOUS lors de mon prochain séjour. En attendant, veuillez recevoir mes salutations cordiales. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Jeu 9.10.08, Patitpierre a écrit : De: Patitpierre Objet: [BDPalabres] Re : Nationalité d'Ekoga À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Jeudi 9 Octobre 2008, 7h18 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Je suis stupefait de voir de tel dialogue ? c est vraiment primaire , en plus le racisme est roi , parsque il est francais sa vous derange ! mais n étes vous pas pas , vous méme en france pour tout les avantages que vous bénéficié comme les autre , car pour vous ne plus avoir la nationalité gabonaise est un handicape ?? comme dirait ABO c est une "pélézentéri" pour faire du nationalisme ont va chez soit au gabon est ont la ferme ont se contente des 5.000 CFA daide ?? est la tout les jours tu peut hurler avec ceux qui crévent de faim la bas vive notre gabon pays de réve , soins gratuis , ! smig a 500.000 F CFA ! sans parler des restots du coeur ou vous étes en permanence en revenant du secour catholique ? allez va bande de comiques la finlande qui a elle 300.000 habitants ! qui a eu moin de richese que nous est un pays riche prospére propre organisé etc.... vous étes quand méme juste devant le zimbawé de mugabé ! ou un caranbar coute 5 milliards ? pauvres africains que nous somme le monde est plier en deux méme en quatre a voir est a lire nos conneries , soyez sage en france pour ne pas vous faire virer ! sinon c est mont bouet ? From protected at yahoo.com Sat Oct 11 20:14:12 2008 From: protected at yahoo.com (Mon Gabon) Date: Sat, 11 Oct 2008 20:14:12 -0400 Subject: [BDPalabres] Okili Boyer : au coeur d'un complot pour decapiter la diaspora gabonaise Message-ID: Bonjour, Comme l'indique le titre Okili Boyer est un imposteur, un espion à la solde du regime dont la mission actuellement est de travailler au d emantellement des reseaux de la diaspora gabonaise...Je suis un agent republicain travaillant pour le ministère de l'intérieur ... Très au fait des nombreux echanges, de ce qui se prepare en vue bie nsûr d'une transition douteuse au gabon je ne puis que par sens patriotique réagir même dans cette affaire d'entourloupe il y a peu d'innocents.... En effet Mr Okili, fauché de son état, a trouvé la parade pour se faire du fric en proposant ses services afin de definitivement livrer sur un plateau l'ensemble du réseau de la diaspora, tous les individus anonymes intervenant dans les forums...De démasquer l'ensemble des anonymes...Ils ont donc monté le coup de la diffamtion contre sa personne relayé par la presse nationale en l'occurence le nganga à la solde du regime pour donner plus de poids à sa demarche de denonciation calomnieuse vis à vis des autorités française... Mr Okili etant français, calomnier de partout même dans des journaux il a eu tout le loisir de porter plainte afin de demander l'ouverture des comptes mails de pas mal de gabonais ... En gros je cite les mails : Mengara (un peu difficile car USA), Malekou, Sylvain Ndong , Ekoga et l'ensemble des principaux leaders. Au total Mr Okili a presente une liste 50 mails !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! La justice française devant des preuves aussi lourde de diffamation, monté de toutes pièces par eux, est en train de l'autoriser avec le concours de la police judiciaire d'ouvrir les mails !!!!!!! Ils ont commencé !!!!!! Brave gabonais , faite attention, Mr Okili n'est qu'un traite, un homme acculé cherchant sa derniere sortie !!! From protected at hotmail.fr Sat Oct 11 20:17:11 2008 From: protected at hotmail.fr (Appolinaire KOULAMA) Date: Sat, 11 Oct 2008 20:17:11 -0400 Subject: [BDPalabres] INFO OU INTOX: INFORMATION CONFIDENTIELLE. Message-ID: Excellence Monsieur le Président du Gabon, Je me permets très affectueusement de vous écrire ces quelques mots pour vous faire part d'une vision étrange qui m'habite depuis quelque temps. J'ai longtemps hésité avant de me décider à vous écrire. Je dois vous avouer que je ne suis ni un voyant ni un prédicateur, mais cette étrange vision qui m'habite de façon insistante et répétée dans mon sommeil depuis quelque temps est assez effrayante. En effet, il m'est apparu à plusieurs reprises dans mon sommeil que votre illustre beau-père nourrit secrètement l'ambition de devenir le plus grand et le plus puissant chef d'Etat de tous les temps au niveau de l'Afrique centrale. Denis Sassou-Nguesso est en effet un homme aux ambitions hégémoniques et dévorantes. Depuis un certain temps, petit à petit et insidieusement, en votre cher et bien-aimé beau-père, le sentiment de confiance s'est mué en méfiance, en hypocrisie, voire en perfidie envers vous. Depuis qu'il est revenu au pouvoir en 1997, il a vite oublié que c'est grâce à son même bienfaiteur de beau-fils, le Président Omar Bongo, qu’il a retrouvé son fauteuil de chef d'Etat; et il ne rêve plus que d'une seule chose: Devenir le plus grand.. Il est évident qu'étant lui-même Président du Congo, un pays très riche en pétrole, et ayant une fille qui est la première dame du Gabon, lui aussi pays producteur de pétrole, Denis Sassou-Nguesso apparaît incontestablement aux yeux de nombreux observateurs africains et occidentaux comme l'homme le plus influent et le plus puissant de la sous-région. Sa famille est sans conteste la plus puissante de la sous région car elle règne en quelque sorte sur les deux Etats du Congo et du Gabon voisin. Et d'ailleurs n'est-il pas devenu lui aussi Grand-Maître de sa propre Loge maçonnique en l'espace de 5 années seulement après son retour au pouvoir? Avec une production pétrolière en hausse exponentielle et le baril à plus de 100 dollars, il est devenu très riche et très puissant, et il est beaucoup plus jeune que vous, alors il veut prendre très vite la place de "gardien du temple africain" qui, selon lui, lui reviendra de toute façon de facto sitôt après votre mort. Aussi, il rêve chaque jour de votre rapide disparition, qui l'élèvera ainsi au firmament du règne, de la puissance et de la gloire éternelle. J'ai tenu à vous écrire afin de vous faire part de cette vision qui s'est révélée à moi. J'ai décidé de le faire pour être en paix avec ma conscience car je pense très sincèrement que toute autorité vient de Dieu, et que par conséquent il est indécent de la part de Denis Sassou-Nguesso de nourrir des ambitions hégémoniques démesurées au point de vouloir la disparition rapide de quelqu'un qui au fond ne lui aura finalement fait que du bien toute sa vie durant. C'est pourquoi je pense que si vous voulez demeurer très longtemps après votre mort, le plus grand homme de l’Afrique centrale comme Félix Houphouët Boigny est resté le plus grand de l’Afrique de l’Ouest, ou encore comme le roi Hassan II du Maroc est resté le plus grand du Maghreb, alors vous devriez impérativement aider les congolais à virer Sassou-Nguesso dès 2009. Alors bien sûr, je n'ai fait que vous informer pour libérer ma conscience de ce fardeau, pour le reste, il vous appartient en toute lucidité et en toute connaissance de cause d'analyser et de décider de ce qu'il y a lieu de faire ou pas. Vous souhaitant une bonne santé et une longue vie, je vous prie de croire, excellence Monsieur le Président, en l’assurance de ma considération respectueuse. Jean-Christophe Léyouamé-Letiémy From protected at hotmail.com Sun Oct 12 09:51:06 2008 From: protected at hotmail.com (oscar kombila) Date: Sun, 12 Oct 2008 09:51:06 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: INFO OU INTOX: INFORMATION CONFIDENTIELLE. Message-ID: > To: bdpalabres at bdpgabon.org > From: protected at hotmail.fr > Date: Sat, 11 Oct 2008 20:17:11 -0400 > Subject: [BDPalabres] INFO OU INTOX: INFORMATION CONFIDENTIELLE. > From protected at yahoo.fr Mon Oct 13 01:01:53 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Mon, 13 Oct 2008 01:01:53 -0400 Subject: [BDPalabres] REUNION DE LA DIASPORA Message-ID: Chers compatriotes de la diaspora, Chers sympathisants du BDP Gabob Nouveau et aux membres de tous les autres partis, Dr MENGARA, J'ai l'impression que les évènements devaient aller en s'accélérant et nous devrions nous retrouver - très prochainement - avec des nouveaux responsables aux plus hauts niveaux de responsabilité de la République Gabonaise : il s'agira sans doute de personnalités de notre génération. Cette accélération pourrait amener les mêmes à rester une nouvelle fois en marge des décisions concernant l'orientation de la gestion de notre pays. Je crois qu'après s'être si bien déchiré, il serait interessant que les ressortissants gabonais puissent se retrouver à TOULOUSE ou, accessoirement, à Paris pour échanger leurs points de vue et définir une démarche collective qui soit cohérente et qui puisse péser. Il serait temps de délivrer un nouveau message de soutien et de solidarité aux populations gabonaises. Il y a tellement de sujets à aborder : - la crise financière et ses repercutions sur le Gabon. - la transition économique : de l'extraversion à l'autosiffisance, cette orientation économique est-elle encore d'actualité? - la transition politique : la diaspora est - elle condamnée à jouer le rôle de spectatrice? Cette rencontre pourra être tout simplement l'occasion de sympathiser au delà de nos divergences. Je vous prie de bien vouloir me faire savoir votre point de vue et vous adresse mes cordiales salutations. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Dim 12.10.08, christian mba a écrit : De: christian mba Objet: [BDPalabres] Bongo préfère Ali à Pascaline... À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Dimanche 12 Octobre 2008, 2h11 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Madame, Monsieur, Si le Gabon veut sortir de l'abîme, soutenez le Pr. Kombila. C'est digne fils du pays qui mérite d'être à la tête de notre cher pays, le Gabon. ----- Message d'origine ---- De : Petit Léon MBA-MINKO À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Jeudi, 9 Octobre 2008, 7h20mn 15s Objet : [BDPalabres] Bongo préfère Ali à Pascaline... Le tout récent remaniement ministériel du Gabon est révélateur à plus d’un point de ce qui se prépare en coulisse concernant la succession au sommet de l’Etat du doyen des présidents africains, Omar Bongo Ondimba. Victime d’un grave malaise le week-end dernier dans sa villa de la sablière, le chef de l’Etat gabonais, dont les signes de fatigue et de lassitude sont de plus en plus perceptibles, a tenu à montrer une fois de plus à tous les courtisans de son trône, avec quelle fermeté il tenait encore le gouvernail de « son » petit pays le Gabon, dont il est à la tête depuis 1967. Divisé entre deux mamelles de son propre sein, qui ne cachent d’ailleurs plus leurs intentions dans la course au palais du bord de mer, le patriarche vient de donner, à travers ce remaniement, un léger et non moins négligeable avantage au camp des appellistes, dirigé par son fils Ali Bongo (49 ans), ministre de la défense, et composé des noms tels André Mba Obame (intérieur), René Ndemezo’o (sports) ou encore Blaise Louembet (finances) ; une nouvelle configuration qui ne fera certainement pas les affaires du couple Toungui/Mferry Bongo, lequel, par ce remaniement, vient de perdre un portefeuille central, qui ne manquera de constituer un large trou lors des décomptes finaux. Fidèle à ses contemporains (Eyadéma, Hassan II, Kabila,…), et fin connaisseur des us et traditions bantu, Bongo vient de renforcer la vieille coutume africaine qui recommande à tout patriarche, dans une perspective de lègue de l’héritage familial, le soin de préférer un fils à une fille, les filles étant en finalement destinées à aller en mariage, donc appelées à servir une famille exogène. Reste à savoir si le peuple Gabonais, de plus en plus marginalisé dans le partage des ressources de ce riche émirat du golf de Guinée, saura approuver le choix de son doyen de président. D’autant plus que d’autres noms, tels Mba Abessolo, Mamboundou, Ogoulinguendé, Kombila ou encore Oyé Mba sont de plus en plus cité dans les officines et les salons feutrés de la belle capitale du pays, Libreville. Petit-Léon Mba Minko From protected at yahoo.fr Mon Oct 13 01:04:17 2008 From: protected at yahoo.fr (felicite vincent) Date: Mon, 13 Oct 2008 01:04:17 -0400 Subject: [BDPalabres] Lettre d'information Message-ID: Lettre d’information d’UNIFANG de la diaspora gabonaise en France Chères lectrices, chers lecteurs, La lettre d’information trimestrielle d’UNIFANG de la diaspora gabonaise en France parait en cet automne 2008 pour la première fois. L’objectif de cette publication est à la fois interne et externe. Interne, car elle sert de lien entre les gabonais de France et permet à tous de s’informer des activités et des projets en cours, en complément du site internet mis en place dès cet été. Interne encore, afin de faire connaître nos actions et réflexions aux Gabonais situés au Gabon ou hors du Gabon, informations qui, espérons le, pourront modestement contribuer à la vie du Cercle de réflexion d’UNIFANG et de son projet. Externe, parce que l’idée centrale de l’éclosion du Cercle de réflexion d’UNIFANG est l’ouverture aux autres. Cette lettre permettra d’entretenir le lien avec nos nombreux sympathisants, avec les citoyens gabonais vivant en France, et pourquoi pas de leur donner envie de nous rejoindre. Externe encore, car la reconnaissance d’UNIFANG en France passe par l’information des associations gabonaises ou franco-gabonaise, des partis politiques français ou gabonais, des autorités consulaires. Répondre à cette nécessité, c’est aussi le sens de cette lettre. Beaucoup d’objectifs pour un vecteur d’information, certes. Le temps nous montrera comment évoluera cette lettre. Celle-ci est la vôtre, et elle sera une tribune pour vos idées et commentaires. Pour ce premier numéro, le Cercle de Réflexion d’UNIFANG se présente : nous avons fait le choix, dans le cadre de la mise en place de nos structures internes, de favoriser la subsidiarité et la transversalité dans les travaux. Aussi sommes-nous organisés à la fois en 4 groupes locaux, permettant une proximité géographique des bénévoles du Cercle de réflexion d’UNIFANG, pour s’informer et se former, et en 4 groupes transversaux, organisés en réseau et travaillant sur des thèmes choisis, pour réfléchir et participer au débat d’idées. Cette lettre est enfin l’occasion pour informer des débats se déroulant au sein du Cercle de Réflexion d’UNIFANG et de mettre l’accent sur l’activité pour la création d’un élu à l’Assemblée pour des Gabonais de l’Etranger. Je vous souhaite bonne lecture et un agréable automne. Votre humble serviteur, Félicité VINCENT From protected at bdpgabon.org Mon Oct 13 01:17:49 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Mon, 13 Oct 2008 01:17:49 -0400 Subject: [BDPalabres] Communiqué: Le Dr. Okoué Edou se rallie au BDP-Gabon Nouveau Message-ID: Le BDP-Gabon Nouveau est heureux d’accueillir en ses structures le Dr. Jacques Janvier Rop’s Okoué Edou. Démissionnaire de l’UPG depuis le 2 juin 2008, date à laquelle il adressa dans une lettre ses adieux à l’UPG où il servait de Conseiller de Pierre Mamboundou aux affaires économiques, le Dr. Okoué Edou rejoint aujourd’hui le BDP-Gabon Nouveau à un moment crucial: face à un Gabon de plus en plus pris en otage par les forces bongoïstes qui le traumatisent depuis 41 ans, le BDP-Gabon Nouveau, seul mouvement de politique radicale au Gabon, s’annonce plus que jamais comme le mouvement de tous les Gabonais qui pensent que Bongo Doit Partir. Le Dr. Okoué Edou n’a pas quitté l’UPG par querelle personnelle avec Pierre Mamboundou. Il l’a quitté suite à l’amer constat qui fut le sien de constater la perte de l’idéal radical qui, jadis, fut le leitmotiv de l’UPG. Cet idéal, il l’a retrouvé au sein du BDP-Gabon Nouveau, un mouvement qui, dès sa création, a posé comme équation obligatoire pour un changement véritable au Gabon le départ immédiat d’Omar Bongo du pouvoir. Lire la lettre: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/10/13/communique-le-dr-okoue-edou-se-rallie-au-bdp-gabon-nouveau/ From protected at yahoo.fr Mon Oct 13 20:59:21 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Mon, 13 Oct 2008 20:59:21 -0400 Subject: [BDPalabres] LES UNIVERSITES DE LA DIASPORA Message-ID: Chers compatriotes, Il me parait important d'instituer des rencontres entre les membres de la diaspora - de tous bord politique et de différentes formes d'action - dans une ville, un pays ou un autre. Ces rencontres pouraaient avoir pour objet de faire le point les actions que nous pouvons mener pour améliorer les conditions de nos concitoyens aussi bien sur le plan socio-économique que du fonctionnement des institutions de la République. Je pense qu'en attendant la réalisation des objectifs des uns et des autres - entre autres, accéder au pouvoir - il y a des actes responsables que nous pouvons poser collectivement dans chacune de nos collectivités territoriales. Cette démarche est dictée par le souci de mettre un peu plus de cohérence et d'efficacité dans nos actions et nos discours. Je reste dans les mêmes dispositions d'esprit et vous adresse mes salutions cordiales. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Lun 13.10.08, Christian MAYANDJI a écrit : De: Christian MAYANDJI Objet: [BDPalabres] REUNION DE LA DIASPORA À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Lundi 13 Octobre 2008, 7h01 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Chers compatriotes de la diaspora, Chers sympathisants du BDP Gabob Nouveau et aux membres de tous les autres partis, Dr MENGARA, J'ai l'impression que les évènements devaient aller en s'accélérant et nous devrions nous retrouver - très prochainement - avec des nouveaux responsables aux plus hauts niveaux de responsabilité de la République Gabonaise : il s'agira sans doute de personnalités de notre génération. Cette accélération pourrait amener les mêmes à rester une nouvelle fois en marge des décisions concernant l'orientation de la gestion de notre pays. Je crois qu'après s'être si bien déchiré, il serait interessant que les ressortissants gabonais puissent se retrouver à TOULOUSE ou, accessoirement, à Paris pour échanger leurs points de vue et définir une démarche collective qui soit cohérente et qui puisse péser. Il serait temps de délivrer un nouveau message de soutien et de solidarité aux populations gabonaises. Il y a tellement de sujets à aborder : - la crise financière et ses repercutions sur le Gabon. - la transition économique : de l'extraversion à l'autosiffisance, cette orientation économique est-elle encore d'actualité? - la transition politique : la diaspora est - elle condamnée à jouer le rôle de spectatrice? Cette rencontre pourra être tout simplement l'occasion de sympathiser au delà de nos divergences. Je vous prie de bien vouloir me faire savoir votre point de vue et vous adresse mes cordiales salutations. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Dim 12.10.08, christian mba a écrit : De: christian mba Objet: [BDPalabres] Bongo préfère Ali à Pascaline... À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Dimanche 12 Octobre 2008, 2h11 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Madame, Monsieur, Si le Gabon veut sortir de l'abîme, soutenez le Pr. Kombila. C'est digne fils du pays qui mérite d'être à la tête de notre cher pays, le Gabon. ----- Message d'origine ---- De : Petit Léon MBA-MINKO À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Jeudi, 9 Octobre 2008, 7h20mn 15s Objet : [BDPalabres] Bongo préfère Ali à Pascaline... Le tout récent remaniement ministériel du Gabon est révélateur à plus d’un point de ce qui se prépare en coulisse concernant la succession au sommet de l’Etat du doyen des présidents africains, Omar Bongo Ondimba. Victime d’un grave malaise le week-end dernier dans sa villa de la sablière, le chef de l’Etat gabonais, dont les signes de fatigue et de lassitude sont de plus en plus perceptibles, a tenu à montrer une fois de plus à tous les courtisans de son trône, avec quelle fermeté il tenait encore le gouvernail de « son » petit pays le Gabon, dont il est à la tête depuis 1967. Divisé entre deux mamelles de son propre sein, qui ne cachent d’ailleurs plus leurs intentions dans la course au palais du bord de mer, le patriarche vient de donner, à travers ce remaniement, un léger et non moins négligeable avantage au camp des appellistes, dirigé par son fils Ali Bongo (49 ans), ministre de la défense, et composé des noms tels André Mba Obame (intérieur), René Ndemezo’o (sports) ou encore Blaise Louembet (finances) ; une nouvelle configuration qui ne fera certainement pas les affaires du couple Toungui/Mferry Bongo, lequel, par ce remaniement, vient de perdre un portefeuille central, qui ne manquera de constituer un large trou lors des décomptes finaux. Fidèle à ses contemporains (Eyadéma, Hassan II, Kabila,…), et fin connaisseur des us et traditions bantu, Bongo vient de renforcer la vieille coutume africaine qui recommande à tout patriarche, dans une perspective de lègue de l’héritage familial, le soin de préférer un fils à une fille, les filles étant en finalement destinées à aller en mariage, donc appelées à servir une famille exogène. Reste à savoir si le peuple Gabonais, de plus en plus marginalisé dans le partage des ressources de ce riche émirat du golf de Guinée, saura approuver le choix de son doyen de président. D’autant plus que d’autres noms, tels Mba Abessolo, Mamboundou, Ogoulinguendé, Kombila ou encore Oyé Mba sont de plus en plus cité dans les officines et les salons feutrés de la belle capitale du pays, Libreville. Petit-Léon Mba Minko From protected at yahoo.fr Mon Oct 13 21:01:21 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Mon, 13 Oct 2008 21:01:21 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Communiqué: Le Dr. Okoué Edou se rallie au BDP-Gabon Nouveau Message-ID: Chers compatriotes, Pour des sympathisants du BDP Gabon Nouveau comme nous autres, la nouvelle du ralliement du Dr OKOUE EDOU nous réjouit. Spécialiste de l'économie et des finances internationales, j'espère qu'il pourra, aux côtés du Dr MENGARA et tsir' Ella, contribuer à rendre visible - au delà des principes - la vision et la stratégie économique du mouvement BDP. Nous avons besoin de voir un mouvement qui prenne ses responsabilités en allant rencontrer des leaders des organisations internationales, des puissances régionales ou mondiales et - même - des multinationales exerçant la moindre influence sur le Gabon. Nous avons besoin de personnalités au sein d'un mouvement qui soient en mesure de concevoir, de construire et de faire fonctionner des unités opérationnelles sur le terrain. Le Dr OKOUE EDOU me semble avoir le profil pour concevoir, construire et animer cet aspect du programme politique que le BDP se doit de nous proposer. J'ai envie d'espérer que le Dr EKOUE EDOU ne sera pas uniquement un conseiller "silencieux", le "nègre" ou un porteur de la parole du "chef" comme nous l'avons quelque fois regretté dans le fonctionnement des partis politiques dont nous dénonçons le comportement. J'espère que nous avons trouvé une personnalité qui pourra nous éclairer sur l'impact des évènements économiques de dimension internationale sur la structure de notre économie. Je veux également croire qu'il pourra nous aider à comprendre comment de n'importe quelle collectivité territoriale de notre pays, nous pouvons construire des filières économiques qui nous permettraient de tirer le meilleur partie de l'évolution des marchés internationaux. Je souhaite la bienvenue au Dr EKOUE EDOU dans la sphère du BDP et pourquoi pas, au travail.. l!!!! Félicitation au Dr MENGARA et à son équipe pour cette recrue de choix. Salutations cordiales. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Lun 13.10.08, BDP-Gabon Nouveau a écrit : De: BDP-Gabon Nouveau Objet: [BDPalabres] Communiqué: Le Dr. Okoué Edou se rallie au BDP-Gabon Nouveau À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Lundi 13 Octobre 2008, 7h17 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Le BDP-Gabon Nouveau est heureux d’accueillir en ses structures le Dr. Jacques Janvier Rop’s Okoué Edou. Démissionnaire de l’UPG depuis le 2 juin 2008, date à laquelle il adressa dans une lettre ses adieux à l’UPG où il servait de Conseiller de Pierre Mamboundou aux affaires économiques, le Dr. Okoué Edou rejoint aujourd’hui le BDP-Gabon Nouveau à un moment crucial: face à un Gabon de plus en plus pris en otage par les forces bongoïstes qui le traumatisent depuis 41 ans, le BDP-Gabon Nouveau, seul mouvement de politique radicale au Gabon, s’annonce plus que jamais comme le mouvement de tous les Gabonais qui pensent que Bongo Doit Partir. Le Dr. Okoué Edou n’a pas quitté l’UPG par querelle personnelle avec Pierre Mamboundou. Il l’a quitté suite à l’amer constat qui fut le sien de constater la perte de l’idéal radical qui, jadis, fut le leitmotiv de l’UPG. Cet idéal, il l’a retrouvé au sein du BDP-Gabon Nouveau, un mouvement qui, dès sa création, a posé comme équation obligatoire pour un changement véritable au Gabon le départ immédiat d’Omar Bongo du pouvoir. Lire la lettre: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/10/13/communique-le-dr-okoue-edou-se-rallie-au-bdp-gabon-nouveau/ From protected at gmail.com Mon Oct 13 21:06:14 2008 From: protected at gmail.com (Sylvain Ndong) Date: Mon, 13 Oct 2008 21:06:14 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: REUNION DE LA DIASPORA Message-ID: Je partage entièrement ce point de vue de notre compatriote Christian Mayandji. L'inventaire des ressources humaines que cumule notre Diaspora gabonaise aujourd'hui devrait normalement interpeller les individualités qui la compose, de montrer qu'ils sont véritablement capables, au-delà des conflits de personnes qui y subsistent, de mériter la destinée de notre pays demain. Voici 41 ans que Bongo et ses amis se retrouvent chaque semaine, pour organiser et renforcer l'emprise qu'ils ont chaque jour un peu plus sur notre pays et sur le quotidien de notre pays. Que manque-t-il donc à leurs semblables que nous sommes, dans la forme comme dans le fond, le jour comme la nuit, pour organiser et renforcer à notre tour ce beau rêve que notre Diaspora caresse pour notre Nation ??? -----Message d'origine----- De : bdpalabres-bounces at bdpgabon.org [mailto:bdpalabres-bounces at bdpgabon.org] De la part de Christian MAYANDJI Envoyé : lundi 13 octobre 2008 07:02 À : bdpalabres at bdpgabon.org Objet : [BDPalabres] REUNION DE LA DIASPORA Chers compatriotes de la diaspora, Chers sympathisants du BDP Gabob Nouveau et aux membres de tous les autres partis, Dr MENGARA, J'ai l'impression que les évènements devaient aller en s'accélérant et nous devrions nous retrouver - très prochainement - avec des nouveaux responsables aux plus hauts niveaux de responsabilité de la République Gabonaise : il s'agira sans doute de personnalités de notre génération. Cette accélération pourrait amener les mêmes à rester une nouvelle fois en marge des décisions concernant l'orientation de la gestion de notre pays. Je crois qu'après s'être si bien déchiré, il serait interessant que les ressortissants gabonais puissent se retrouver à TOULOUSE ou, accessoirement, à Paris pour échanger leurs points de vue et définir une démarche collective qui soit cohérente et qui puisse péser. Il serait temps de délivrer un nouveau message de soutien et de solidarité aux populations gabonaises. Il y a tellement de sujets à aborder : - la crise financière et ses repercutions sur le Gabon. - la transition économique : de l'extraversion à l'autosiffisance, cette orientation économique est-elle encore d'actualité? - la transition politique : la diaspora est - elle condamnée à jouer le rôle de spectatrice? Cette rencontre pourra être tout simplement l'occasion de sympathiser au delà de nos divergences. Je vous prie de bien vouloir me faire savoir votre point de vue et vous adresse mes cordiales salutations. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE From protected at bdpgabon.org Mon Oct 13 22:22:11 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Mon, 13 Oct 2008 22:22:11 -0400 Subject: [BDPalabres] La société civile gabonaise porte plainte contre le Procureur de la république Message-ID: Le Réseau Gabonais de Bonne Gouvernance (ROLGB) présidé par M. Georges MPAGA, (Tel. +241 – 07 51 99 32) , l’ONG AFRIQUE-HORIZONS, présidé par M. Alain MOUPOPA (Tel. +241 06 73 34 73), Marc ONA ESSANGUI, Président de Brainforest (+241 07 29 41 40) agissant comme acteurs de la Société Civile au Gabon, pour latransparence et la bonne gouvernance, ont porté plainte vendredi 10 octobre contre M. Alaba Fall Bosco, Procureur de la République du Gabon et neveu du Président Omar Bongo Ondimba, devant la nouvelle Commission Nationale de Lutte contre l’enrichissement illicite. Lire la suite: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/10/13/le-collectif-des-organisations-libres-de-la-societe-civile-gabonaise-porte-plainte-contre-le-procureur-de-la-republique/ From protected at yahoo.fr Tue Oct 14 13:22:10 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Tue, 14 Oct 2008 13:22:10 -0400 Subject: [BDPalabres] Tr : Tr : plainte pour une bonne gouvernance au Gabon Message-ID: L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite ----- Message transféré ---- De : Nanangka Tony <> À : loeil Envoyé le : Lundi, 13 Octobre 2008, 17h48mn 42s Objet : Tr : plainte pour une bonne gouvernance au Gabon COLLECTIF DES ORGANISATIONS LIBRES DE LA SOCIETE CIVILE GABONAISE Libreville, le 13 octobre 2008 Communiqué de presse Plainte des acteurs de la Société Civile contre le Procureur de la République Gabonaise devant la Commission Nationale de Lutte contre l’enrichissement illicite Le Réseau Gabonais de Bonne Gouvernance (ROLGB) présidé par M. Georges MPAGA, (Tel. +241 – 07 51 99 32) , l’ONG AFRIQUE-HORIZONS, présidé par M. Alain MOUPOPA (Tel. +241 06 73 34 73), Marc ONA ESSANGUI, Président de Brainforest (+241 07 29 41 40) agissant comme acteurs de la Société Civile au Gabon, pour la transparence et la bonne gouvernance, ont porté plainte vendredi 10 octobre contre M. Alaba Fall Bosco, Procureur de la République du Gabon et neveu du Président Omar Bongo Ondimba, devant la nouvelle Commission Nationale de Lutte contre l’enrichissement illicite. Invoquant les articles 28 , 2 et 3 de la Loi no 2/2003 sur l'enrichissement illicite, La Société Civile a porté plainte : - pour enrichissement illicite contre monsieur ALABA Fall Bosco, Procureur de la République Gabonaise ; - pour complicité d’enrichissement illicite et recel contre Angue Kpako Constant, et consorts. L’hypothèse de l’existence d’un sérieux problème posé par des avoirs bancaires somptueux (dépôts en liquides versés en 24h totalisants près de 330 millions de francs Cfa soit près de 500 000 € ou encore $ 800 000 ) du Procureur de la République auto-proclamé « chef de la justice » dans les différentes opération « mains propres » diligentés, après le discours du président Omar Bongo Ondimba contre la corruption en décembre 2007, incommensurable avec son statut de fonctionnaire et son traitement mensuel ( 1 250 000 cfa soit € 1900 ) est de nature à décrédibiliser durablement les engagements du Gabon en faveur de la bonne gouvernance devant la communauté internationale. La Société Civile gabonaise organise une conférence de presse sur son dépôt de plainte ce Mardi 14 octobre au siège de Brainforest à Libreville. Elle y expliquera les tenants et les aboutissants de cette affaire à partir de 10 h. Contacts presse Pour Brainforest Marc ONA ESSANGUI +241 07 29 4140 France : +33 (0) 668 097 358 S/C Germain Mba ROLBG Georges MPAGA NDLR: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/10/14/details-de-la-plainte-de-la-societe-civile-gabonaise-contre-alaba-fall-procureur-de-la-republique/ From protected at yahoo.fr Tue Oct 14 13:23:52 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Tue, 14 Oct 2008 13:23:52 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: La société civile gabonaise porte plainte contre le Procureur de la république Message-ID: 13 octobre 2008 GABON : plainte pour enrichissement illicite. A Monsieur le Président de la Commission Nationale de Lutte contre l’enrichissement illicite Libreville Objet : plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite Monsieur le Président Conformément à l’article 28 de la Loi n°2/2003 du 02 juin 2003 portant création, organisation et fonctionnement de la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite, qui dispose : « En matière d’investigation, la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite est saisie soit de sa propre initiative, soit par le Commissaire de gouvernement, soit par toute autre autorité administrative ou par toute personne intéressée ». Nous, Réseau Gabonais de Bonne Gouvernance (ROLGB) présidé par M. Georges MPAGA, (Tel. +241 - 07 51 99 32) et nous, AFRIQUE-HORIZONS, présidé par M. Alain MOUPOPA (Tel. +241 06 73 34 73), Marc ONA ESSANGUI, Président de Brainforest (+241 07294140) qui agissons en tant qu’acteurs de la Société Civile au Gabon, pour la transparence et la lutte contre la corruption. Avons l’honneur de venir, respectueusement, auprès de votre Institution porter plainte pour les faits suivants : Courant juin 2008, nous avons reçu par courriel et par voie postale le relevé du compte bancaire no 00012374602-53 ouvert auprès de la BGFIBANK Libreville, qui indiquait des avoirs bancaires importants appartenant à un certain ALABA Fall Bosco, suivis de graphiques, d’analyses et de commentaires dignes d’un travail d’expert. Nous avons pensé qu’il s’agissait de tracts comme il est malheureusement de coutume dans notre pays. Cependant, le niveau de précision et la qualité des analyses contenues dans ces documents ont attiré notre attention car nous avons pensé qu’il pouvait bien s’agir du célèbre et bien connu ALABA Fall Bosco qui occupe les fonctions de Procureur de la République auprès du Tribunal de Première Instance de Libreville, et qui a le statut de magistrat et donc de fonctionnaire auprès du Ministère de la Justice de la République du Gabon. Dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » a publié un long article intitulé « Le secret bancaire dévoyé - BGFI et le compte d’Alaba ! » dans lequel il faisait état de « la publication et la large diffusion de relevés bancaires du Procureur de la République » et révélait au grand jour la violation du secret bancaire « qui empoisonne désormais l’atmosphère entre la BGFI et un client tout particulier Alaba Bosco Fall... » . C’est ainsi que nous avons pris conscience que nous étions en possession de relevés bancaires qui très probablement étaient ceux du Procureur de la République Alaba Fall Bosco. Notre présomption s’est renforcée lorsque le rédacteur de l’article a indiqué « Contrairement à d’autres personnalités, nous pensons que le solde truqué à fin janvier 2008 chiffré à 200.793.974 FCFA apparaît modeste » et qu’il a donné une liste d’informations (sur lesquelles nous revenons plus loin) qui semblait venir en réponse aux questions posées par le travail digne d’un expert que nous avions initialement pris pour un tract. L’hypothèse de l’existence d’un sérieux problème posé par les avoirs bancaires d’un Procureur de la République, incommensurable avec son statut de fonctionnaire et son traitement mensuel se faisait plus précise. Telle a été notre surprise de constater que dans la même période, M. Alaba FALL BOSCO, Procureur de la République de son état, confirmait expressément être le titulaire dudit compte en portant plainte contre Mademoiselle Marlene Rapontchombo, ex-employée de la BGFIBANK qu’il soupçonnait d’être à l’origine de cette divulgation, ceci conduisant à sa mise sous mandat de dépôt le 17 juillet 2008. Alors que dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » parlait de « solde truqué » nous avons noté qu’à ce jour, ni M. Alaba FALL BOSCO et ni la BGFIBANK n’ont jamais contesté de quelque manière que ce soit les informations contenues dans les relevés bancaires litigieux, notamment que le solde au 13 février 2008 s’élevait à 200.793.974 FCFA. Que si M. Alaba FALL BOSCO fait preuve depuis lors d’une nervosité extrême, c’est bien parce qu’il a conscience que son compte présente un solde créditeur et a enregistré des opérations très certainement incompatibles avec son statut de fonctionnaire de justice et son traitement mensuel. Ainsi, nous n’avons plus de doute sur l’authenticité des relevés bancaires que nous avons reçus et des informations qu’ils comportent couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008. On peut lire que, M. Alaba FALL BOSCO a perçu dans son compte sur la période de référence, un traitement mensuel net de 1.295.252 FCFA qui lui a été versé régulièrement à date fixe, en général dans la dernière semaine du mois. Nous avons été grandement surpris de constater que sur la période allant de juillet 2007 à janvier 2008, ledit compte présentait un solde créditeur constamment supérieur à plus de 200 fois le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO alors qu’en début d’année 2007 ledit compte courant n’enregistrait que le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO à son crédit et les retraits y afférents à son débit. Ainsi, les avoirs de M. Alaba FALL BOSCO, ont connu un accroissement subit et vertigineux qui ne pouvait qu’attirer notre curiosité. Après une lecture attentive de ce relevé de compte nous avons constaté que cette augmentation des avoirs de M. Alaba FALL BOSCO au cours de l’année 2007, provenait de trois (3) versements en espèces effectués le 12 mars 2007 pour 29.740.000 FCFA, le 31 juillet 2007 pour 200.000.000 FCFA, et le 1er août 2007 pour 100..000.000 FCFA. Tous ces versements ayant été effectués par un tiers, le dénommé Angue KPAKO Constant. C’est ainsi que nous posons plusieurs questions essentielles : - quelle est l’origine de ces importantes sommes d’argent totalisant 329.740.000 FCFA qui ont été remises en espèces sur le compte du Procureur de la République ? - quelles raisons pourraient expliquer le dépôt en espèces de la somme faramineuse de 300.000.000 FCFA en l’espace de deux jours sur le compte du Procureur de la République ? - quelle est la nature de la relation entre M. Alaba FALL BOSCO et le dénommé Angue KPAKO Constant qui conduit ce dernier à faire des versements en espèces très importants sur le compte du Procureur de la République ? Nous nous sommes reportés sur les pistes suggérées par l’hebdomadaire « Le NGANGA » dans son édition du 23 juillet 2008 ou encore sur le site Internet de Croissance saine environnement : www.croissancesaine.org Quelles sont ces pistes ? M. Alaba et son épouse détiendraient un patrimoine immobilier - 27 maisons - qui leur rapporteraient sept (07) fois son salaire, c’est-à-dire environ 8.400.000 F CFA par mois. Alors nous posons la question : comment se fait-il que du 1er janvier 2007 au 13 février 2008 soit une période de plus de douze mois, le compte n’ait jamais reçu le moindre versement par chèque ou espèces, trois dépôts ci-dessus mentionnés et des salaires mensuels ? - Ainsi, M. Alaba aurait réussi le miracle de collecter le 31 juillet 2007 et en espèces, l’équivalent de 40 mois de loyers de son supposé patrimoine immobilier. M. Alaba serait-il donc propriétaire d’un quartier entier de Libreville ? Et comment aurait-il réussi une telle prouesse avec son traitement de fonctionnaire ? Cette thèse nous apparaît très peu crédible. - M. Alaba serait le responsable d’un Club de football et d’un Club de handball qui reçoivent, respectivement, des Fédérations gabonaises des subventions à hauteur de 50.000.000 F CFA et 26.000.000 FCFA par an. Même si cela était vrai, cela est très insuffisant pour expliquer l’origine de la rondelette somme de 329.740.000 FCFA versées en espèces sur son compte. De plus, cette thèse nous apparaît très peu crédible et de surcroît facilement vérifiable auprès des comptables de ces fédérations sportives. Et pourquoi ces clubs utiliseraient-ils le compte personnel de leur Président alors qu’elles sont des associations avec une personnalité juridique propre ? M. Alaba serait-il ignorant des stipulations du Code Pénal gabonais qui nous éclaire sur les risques encourus en cas de confusion de patrimoine -délit de détournement de deniers publics- ? - M. Alaba serait le petit-fils ou neveu de monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, et à ce titre, il reçoit des largesses de sa part comme il le fait pour certains ministres. Combien aurait-il reçu, quand, où et pourquoi ? Si d’un coup de baguette magique, M. Alaba recevait dans une année, de la part de son illustre parent, une largesse en espèces représentant trois-cent (300) fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire, n’y aurait-il pas lieu de se poser toute sorte de questions ? Si largesse il y avait, il conviendrait de vérifier si monsieur Bosco Alaba Fall a déclaré auprès des Impôts les dons qu’il aurait reçus de la part de son bienfaiteur monsieur le Président de la République. En définitive, malgré nos efforts inlassables, nous n’avons pas pu trouver de raison valable qui puisse expliquer l’accroissement subit et vertigineux des avoirs bancaires du procureur ALABA Fall Bosco. Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est fonctionnaire de l’Etat gabonais et qu’à ce titre, il est un justiciable de la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite ; Qu’en effet, l’article 3 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 instituant un régime de prévention et de répression de l’enrichissement illicite en République Gabonaise stipule que : « les dispositions de la présente Loi s’appliquent à tout dépositaire de l’autorité de l’Etat : Autorité politique, Autorité administrative, Agent public, ainsi que tout préposé statutaire ou occasionnel de l’Etat, des collectivités locales, des établissements publics ou parapublics » ; Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est magistrat, et de surcroît Procureur de la République ; Qu’à ce titre, il est un agent public au sens de la Loi et qu’il est donc susceptible de se voir appliquer la présente Loi ; Considérant que l’article 2 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 dispose la chose suivante : « Au sens de la présente Loi, est considéré comme enrichissement illicite le fait, pour tout dépositaire de l’autorité de l’Etat, de réaliser ou de tenter de réaliser des profits personnels ou d’obtenir tout autre avantage de toute nature : - au moyen d’actes de corruption active ou passive, de concussion, de fraude, de détournement ou de soustraction frauduleuse de deniers publics ou de biens publics, d’abus de pouvoir, de trafic d’influence, de prise illégale d’intérêts ou de tout autre procédé illicite...etc. Est également considéré comme enrichissement illicite l’augmentation significative du patrimoine de tout dépositaire de l’autorité de l’Etat que celui-ci ne peut raisonnablement justifier par rapport aux revenus qu’il a légitimement perçus ». Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco, au vu de ses relevés de compte bancaire couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008, qui ont été distribués à toute la population gabonaise, a, sur son compte courant n°00012374602-53 ouvert dans les livres de la BGFI BANK, fait verser en espèces par un tiers le dénommé Angue Kpako Constant, les sommes faramineuses de 200.000..000 F cfa, le 31 juillet 2007 et 100.000.000, le 1er août 2007, soit au total en l’espace de deux jours près de 300 fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire ; Que nous avons avec beaucoup de sérieux, récolté ici et là des arguments qui pouvaient être des moyens d’explication de l’augmentation vertigineuse et subite des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Qu’en tout état de cause, tous les arguments que nous récolté et analysé ci-dessus ne permettaient pas de justifier l’origine licite de l’augmentation subite et vertigineuse des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Considérant que les dépôts en espèces ci-dessus relatés constituent, n’en point en douter, le délit d’enrichissement illicite ; Considérant que le versement en espèces sur le compte bancaire est un moyen permettant de créer une rupture dans la traçabilité de l’origine des fonds ; Considérant que l’usage systématique d’un tiers pour faire des dépôts en espèces aussi important est un moyen visant la non identification du bénéficiaire du dépôt, à savoir monsieur Alaba Fall Bosco qui est un homme public aisément reconnaissable s’il se présente au guichet d’une banque de la place de Libreville ; Considérant que la BGFIBANK a méconnu les dispositions du Règlement 01/03-CEMAC-UMAC du 04 avril 2003 portant prévention et répression du blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme en Afrique Centrale, en assurant l’opération de dépôt de ces sommes sur le compte de monsieur Alaba Fall Bosco sans se renseigner sur leur origine, et de cette manière assurant leur blanchiment ; Nous venons porter plainte : - pour enrichissement illicite contre monsieur ALABA Fall Bosco, Procureur de la République ; - pour complicité d’enrichissement illicite et recel Angue Kpako Constant, et consorts. Cette plainte ne devra pas étonner monsieur ALABA qui le 13 février 2008 se proclamant « gardien du droit pénal », dans l’interview qu’il accordait au Journal « L’Union », avait déclaré ceci : « Tous les citoyens étant égaux devant la Loi, tous les gabonais doivent désormais intégrer qu’en ce qui concerne le parquet de la République, l’heure des traitements de faveur est terminée, et que la Justice se fera, au niveau du Tribunal, sans tenir compte des origines et du statut des individus... La Nation que nous construisons ne peut plus s’accommoder de tels errements. C’est du passé, et s’il y a encore des citoyens qui pensent être des intouchables, au-dessus de la loi, qu’ils se détrompent dès aujourd’hui ». Mieux, le ministre de l’Intérieur dans l’interview donné sur RFI -journal RFI Afrique 6h30-7h00 GMT du 31 /07/2008- annonçait ceci en réponse à l’interrogation du journaliste : « ...il n’y a t il pas tout de même une volonté des autorités de mettre le couvercle sur les affaires de corruption qu’il peut y avoir dans le pays... » André Mba Obame répondait ceci : « ...le gouvernement à travers des organismes spécialisés est entrain de mener une vaste campagne contre la corruption...Il y a une commission qui a été mise en place contre l’enrichissement illicite donc laissons tout ce monde là faire le travail... ». Considérant le discours du Président de la République prononcé à l’occasion des quarante (40) ans de son accession à la magistrature suprême, le 01 décembre 2007, à travers lequel il dénonçait : « la course pour l’enrichissement illicite devenue trop forte, l’affairisme, la corruption, la politisation outrancière et le népotisme qui ont gangrené les pouvoirs publics » tout en fustigeant le comportement de certains magistrats véreux qui seront sanctionnés ; Considérant la campagne actuelle de lutte contre la corruption menée par le Ministère du contrôle d’Etat chargé de la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite ; Considérant le rôle joué par les magistrats dans le système gouvernemental d’éradication de la corruption et de l’enrichissement illicite dans notre pays ; Considérant l’obligation pour Monsieur Bosco ALABA FALL de fournir à la Justice les éclaircissements et de lever toute équivoque sur la provenance des importantes sommes d’argent (300 millions) versées en espèces dans son compte BGFIBANK en deux jours, en violation du règlement bancaire exigeant une justification pour tout versement dépassant cinq (5) millions de francs cfa ; Considérant la nécessité de préserver l’intégrité et la probité de la justice gabonaise lorsque l’un de ses acteurs est incriminé ; Nous formons le vÅ“u que la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite mette tous les moyens en Å“uvre afin de donner à la présente plainte la plus haute attention. Les signataires Pour Brainforest Georges MPAGA, ROLBG, Georges MPAGA, AFRIQUE-HORIZON Alain MOUPOPA L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite NDLR: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/10/14/details-de-la-plainte-de-la-societe-civile-gabonaise-contre-alaba-fall-procureur-de-la-republique/ From protected at yahoo.fr Tue Oct 14 13:25:13 2008 From: protected at yahoo.fr (Echos Dunord) Date: Tue, 14 Oct 2008 13:25:13 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: La société civile gabonaise porte plainte contre le Procureur de la république Message-ID: Tb, on vous soutient. Quelles sont les chances pour qu'une telle plainte aboutisse? --- En date de : Mar 14.10.08, BDP-Gabon Nouveau a écrit : De: BDP-Gabon Nouveau Objet: [BDPalabres] La société civile gabonaise porte plainte contre le Procureur de la république À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Mardi 14 Octobre 2008, 4h22 Le Réseau Gabonais de Bonne Gouvernance (ROLGB) présidé par M. Georges MPAGA, (Tel. +241 – 07 51 99 32) , l’ONG AFRIQUE-HORIZONS, présidé par M. Alain MOUPOPA (Tel. +241 06 73 34 73), Marc ONA ESSANGUI, Président de Brainforest (+241 07 29 41 40) agissant comme acteurs de la Société Civile au Gabon, pour latransparence et la bonne gouvernance, ont porté plainte vendredi 10 octobre contre M. Alaba Fall Bosco, Procureur de la République du Gabon et neveu du Président Omar Bongo Ondimba, devant la nouvelle Commission Nationale de Lutte contre l’enrichissement illicite. Lire la suite: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/10/13/le-collectif-des-organisations-libres-de-la-societe-civile-gabonaise-porte-plainte-contre-le-procureur-de-la-republique/ From protected at yahoo.fr Tue Oct 14 13:29:37 2008 From: protected at yahoo.fr (Sylvain Ndong) Date: Tue, 14 Oct 2008 13:29:37 -0400 Subject: [BDPalabres] RE: Opportunité professionnelle Gabon Message-ID: Hello, Je viens de lire comme vous que de nouvelles opportunités d’embauche s’ouvrent pour les cadres gabonais de la diaspora. Je trouve cette initiative louable, car elle donne au pays une rare occasion de faire massivement acquisition de ses talents dispersés dans l’hexagone. Je trouve juste dommage, après avoir parcouru le journal « Agora » de notre frère Jean Siméon Ekoga ce matin, que Shell Gabon n’ait pas prévu de lancer, dans la même offre, des opportunités pour ceux qui veulent simplement être Gardiens de nuit ! Enfin, ce serait sûrement pour une prochaine fois ! Mon ami se reconnaîtra. > Message du 13/10/08 13:26 > De : "ANDREAS Nathalie" > A : "lamaison.dugabon" > Copie à : > Objet : Opportunité professionnelle Gabon > > Bonjour, Nous travaillons actuellement pour les plus grands opérateurs pétroliers du Gabon et cherchons à enrichir notre base de données candidats pour des recrutements urgents de cadres gabonais. Nous serions heureux de recevoir rapidement des candidatures gabonaises que cela pourrait intéresser. Nous vous remercions de transférer ce message à votre réseau de contacts gabonais exclusivement. Vous trouverez en PJ la liste d’offre d’emploi à pourvoir. Les recrutements se font sur le mois d’octobre et début novembre en France mais pour les étudiants en cours de formation leur intégration en entreprise pourrait se faire à l’issue de l’obtention de leur diplôme en fonction de leur choix. Dans l’attente de vous lire, Cordialement, Nathalie Andreas > Selection & Evaluation Consultant > Direction Marketing & Technique > Tel : +33 (0)1 34 24 42 41 Port: +33(0)6 23 09 03 99 > Fax : +33 (0)1 34 22 62 98 > n.andreas at spie.com SPIE Oil & Gas ServicesParc Saint-Christophe - Pôle Edison95863 Cergy Pontoise Cedex - Francewww.spie.com > From protected at yahoo.com Thu Oct 16 22:50:02 2008 From: protected at yahoo.com (Gabonais Diaspora) Date: Thu, 16 Oct 2008 22:50:02 -0400 Subject: [BDPalabres] Du Nouveau pour le site des 10 Gabonais de la Diaspora... Message-ID: Chers compatriotes, Les temps approchent, où le Gabon fera son grand toilettage politique, dont le dernier remonte au 2 décembre 1967, date de la prise de fonction d'Albert Bernard (Omar) Bongo, l'actuel président de notre pays.. Pour ce grand rendez-vous, auquel tout citoyen gabonais devra prendre part, nous avons voulu sélectionner pour vous, comme cela a été fait par nos confrères de "Jeune Afrique", concernant les "100 hommes clé du Gabon", ceux de nos compatriotes "visibles", qui contribuent au rayonnement de notre Diaspora, hors du territoire national. Cette liste de compatriotes, régulièrement mis à jour, est désormais consultable sur un nouveau site Internet, plus accessible et offrant plus d'interactivité. Vous pourrez désormais poster vos commentaires. http://gabon.typepad.fr/ Nous vous souhaitons dores et déjà une bonne navigation. Le Collectif "Diaspora Gabonaise" gabonaisdiaspora at yahoo.com From protected at yahoo.fr Thu Oct 16 23:06:51 2008 From: protected at yahoo.fr (Tchilo Ngwemyene) Date: Thu, 16 Oct 2008 23:06:51 -0400 Subject: [BDPalabres] plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite Message-ID: 13 octobre 2008 GABON : plainte pour enrichissement illicite. A Monsieur le Président de la Commission Nationale de Lutte contre l’enrichissement illicite Libreville Objet : plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite Monsieur le Président Conformément à l’article 28 de la Loi n°2/2003 du 02 juin 2003 portant création, organisation et fonctionnement de la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite, qui dispose : « En matière d’investigation, la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite est saisie soit de sa propre initiative, soit par le Commissaire de gouvernement, soit par toute autre autorité administrative ou par toute personne intéressée ». Nous, Réseau Gabonais de Bonne Gouvernance (ROLGB) présidé par M. Georges MPAGA, (Tel. +241 - 07 51 99 32) et nous, AFRIQUE-HORIZONS, présidé par M. Alain MOUPOPA (Tel. +241 06 73 34 73), Marc ONA ESSANGUI, Président de Brainforest (+241 07294140) qui agissons en tant qu’acteurs de la Société Civile au Gabon, pour la transparence et la lutte contre la corruption. Avons l’honneur de venir, respectueusement, auprès de votre Institution porter plainte pour les faits suivants : Courant juin 2008, nous avons reçu par courriel et par voie postale le relevé du compte bancaire no 00012374602-53 ouvert auprès de la BGFIBANK Libreville, qui indiquait des avoirs bancaires importants appartenant à un certain ALABA Fall Bosco, suivis de graphiques, d’analyses et de commentaires dignes d’un travail d’expert. Nous avons pensé qu’il s’agissait de tracts comme il est malheureusement de coutume dans notre pays. Cependant, le niveau de précision et la qualité des analyses contenues dans ces documents ont attiré notre attention car nous avons pensé qu’il pouvait bien s’agir du célèbre et bien connu ALABA Fall Bosco qui occupe les fonctions de Procureur de la République auprès du Tribunal de Première Instance de Libreville, et qui a le statut de magistrat et donc de fonctionnaire auprès du Ministère de la Justice de la République du Gabon. Dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » a publié un long article intitulé « Le secret bancaire dévoyé - BGFI et le compte d’Alaba ! » dans lequel il faisait état de « la publication et la large diffusion de relevés bancaires du Procureur de la République » et révélait au grand jour la violation du secret bancaire « qui empoisonne désormais l’atmosphère entre la BGFI et un client tout particulier Alaba Bosco Fall... » . C’est ainsi que nous avons pris conscience que nous étions en possession de relevés bancaires qui très probablement étaient ceux du Procureur de la République Alaba Fall Bosco. Notre présomption s’est renforcée lorsque le rédacteur de l’article a indiqué « Contrairement à d’autres personnalités, nous pensons que le solde truqué à fin janvier 2008 chiffré à 200.793.974 FCFA apparaît modeste » et qu’il a donné une liste d’informations (sur lesquelles nous revenons plus loin) qui semblait venir en réponse aux questions posées par le travail digne d’un expert que nous avions initialement pris pour un tract. L’hypothèse de l’existence d’un sérieux problème posé par les avoirs bancaires d’un Procureur de la République, incommensurable avec son statut de fonctionnaire et son traitement mensuel se faisait plus précise. Telle a été notre surprise de constater que dans la même période, M. Alaba FALL BOSCO, Procureur de la République de son état, confirmait expressément être le titulaire dudit compte en portant plainte contre Mademoiselle Marlene Rapontchombo, ex-employée de la BGFIBANK qu’il soupçonnait d’être à l’origine de cette divulgation, ceci conduisant à sa mise sous mandat de dépôt le 17 juillet 2008. Alors que dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » parlait de « solde truqué » nous avons noté qu’à ce jour, ni M. Alaba FALL BOSCO et ni la BGFIBANK n’ont jamais contesté de quelque manière que ce soit les informations contenues dans les relevés bancaires litigieux, notamment que le solde au 13 février 2008 s’élevait à 200.793.974 FCFA. Que si M. Alaba FALL BOSCO fait preuve depuis lors d’une nervosité extrême, c’est bien parce qu’il a conscience que son compte présente un solde créditeur et a enregistré des opérations très certainement incompatibles avec son statut de fonctionnaire de justice et son traitement mensuel. Ainsi, nous n’avons plus de doute sur l’authenticité des relevés bancaires que nous avons reçus et des informations qu’ils comportent couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008. On peut lire que, M. Alaba FALL BOSCO a perçu dans son compte sur la période de référence, un traitement mensuel net de 1.295.252 FCFA qui lui a été versé régulièrement à date fixe, en général dans la dernière semaine du mois. Nous avons été grandement surpris de constater que sur la période allant de juillet 2007 à janvier 2008, ledit compte présentait un solde créditeur constamment supérieur à plus de 200 fois le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO alors qu’en début d’année 2007 ledit compte courant n’enregistrait que le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO à son crédit et les retraits y afférents à son débit. Ainsi, les avoirs de M. Alaba FALL BOSCO, ont connu un accroissement subit et vertigineux qui ne pouvait qu’attirer notre curiosité. Après une lecture attentive de ce relevé de compte nous avons constaté que cette augmentation des avoirs de M. Alaba FALL BOSCO au cours de l’année 2007, provenait de trois (3) versements en espèces effectués le 12 mars 2007 pour 29.740.000 FCFA, le 31 juillet 2007 pour 200.000.000 FCFA, et le 1er août 2007 pour 100.000.000 FCFA. Tous ces versements ayant été effectués par un tiers, le dénommé Angue KPAKO Constant. C’est ainsi que nous posons plusieurs questions essentielles : - quelle est l’origine de ces importantes sommes d’argent totalisant 329.740.000 FCFA qui ont été remises en espèces sur le compte du Procureur de la République ? - quelles raisons pourraient expliquer le dépôt en espèces de la somme faramineuse de 300.000.000 FCFA en l’espace de deux jours sur le compte du Procureur de la République ? - quelle est la nature de la relation entre M. Alaba FALL BOSCO et le dénommé Angue KPAKO Constant qui conduit ce dernier à faire des versements en espèces très importants sur le compte du Procureur de la République ? Nous nous sommes reportés sur les pistes suggérées par l’hebdomadaire « Le NGANGA » dans son édition du 23 juillet 2008 ou encore sur le site Internet de Croissance saine environnement : www..croissancesaine.org Quelles sont ces pistes ? M. Alaba et son épouse détiendraient un patrimoine immobilier - 27 maisons - qui leur rapporteraient sept (07) fois son salaire, c’est-à-dire environ 8.400.000 F CFA par mois. Alors nous posons la question : comment se fait-il que du 1er janvier 2007 au 13 février 2008 soit une période de plus de douze mois, le compte n’ait jamais reçu le moindre versement par chèque ou espèces, trois dépôts ci-dessus mentionnés et des salaires mensuels ? - Ainsi, M. Alaba aurait réussi le miracle de collecter le 31 juillet 2007 et en espèces, l’équivalent de 40 mois de loyers de son supposé patrimoine immobilier. M. Alaba serait-il donc propriétaire d’un quartier entier de Libreville ? Et comment aurait-il réussi une telle prouesse avec son traitement de fonctionnaire ? Cette thèse nous apparaît très peu crédible. - M. Alaba serait le responsable d’un Club de football et d’un Club de handball qui reçoivent, respectivement, des Fédérations gabonaises des subventions à hauteur de 50.000.000 F CFA et 26.000.000 FCFA par an. Même si cela était vrai, cela est très insuffisant pour expliquer l’origine de la rondelette somme de 329.740.000 FCFA versées en espèces sur son compte. De plus, cette thèse nous apparaît très peu crédible et de surcroît facilement vérifiable auprès des comptables de ces fédérations sportives. Et pourquoi ces clubs utiliseraient-ils le compte personnel de leur Président alors qu’elles sont des associations avec une personnalité juridique propre ? M. Alaba serait-il ignorant des stipulations du Code Pénal gabonais qui nous éclaire sur les risques encourus en cas de confusion de patrimoine -délit de détournement de deniers publics- ? - M. Alaba serait le petit-fils ou neveu de monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, et à ce titre, il reçoit des largesses de sa part comme il le fait pour certains ministres. Combien aurait-il reçu, quand, où et pourquoi ? Si d’un coup de baguette magique, M. Alaba recevait dans une année, de la part de son illustre parent, une largesse en espèces représentant trois-cent (300) fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire, n’y aurait-il pas lieu de se poser toute sorte de questions ? Si largesse il y avait, il conviendrait de vérifier si monsieur Bosco Alaba Fall a déclaré auprès des Impôts les dons qu’il aurait reçus de la part de son bienfaiteur monsieur le Président de la République. En définitive, malgré nos efforts inlassables, nous n’avons pas pu trouver de raison valable qui puisse expliquer l’accroissement subit et vertigineux des avoirs bancaires du procureur ALABA Fall Bosco. Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est fonctionnaire de l’Etat gabonais et qu’à ce titre, il est un justiciable de la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite ; Qu’en effet, l’article 3 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 instituant un régime de prévention et de répression de l’enrichissement illicite en République Gabonaise stipule que : « les dispositions de la présente Loi s’appliquent à tout dépositaire de l’autorité de l’Etat : Autorité politique, Autorité administrative, Agent public, ainsi que tout préposé statutaire ou occasionnel de l’Etat, des collectivités locales, des établissements publics ou parapublics » ; Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est magistrat, et de surcroît Procureur de la République ; Qu’à ce titre, il est un agent public au sens de la Loi et qu’il est donc susceptible de se voir appliquer la présente Loi ; Considérant que l’article 2 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 dispose la chose suivante : « Au sens de la présente Loi, est considéré comme enrichissement illicite le fait, pour tout dépositaire de l’autorité de l’Etat, de réaliser ou de tenter de réaliser des profits personnels ou d’obtenir tout autre avantage de toute nature : - au moyen d’actes de corruption active ou passive, de concussion, de fraude, de détournement ou de soustraction frauduleuse de deniers publics ou de biens publics, d’abus de pouvoir, de trafic d’influence, de prise illégale d’intérêts ou de tout autre procédé illicite...etc. Est également considéré comme enrichissement illicite l’augmentation significative du patrimoine de tout dépositaire de l’autorité de l’Etat que celui-ci ne peut raisonnablement justifier par rapport aux revenus qu’il a légitimement perçus ». Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco, au vu de ses relevés de compte bancaire couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008, qui ont été distribués à toute la population gabonaise, a, sur son compte courant n°00012374602-53 ouvert dans les livres de la BGFI BANK, fait verser en espèces par un tiers le dénommé Angue Kpako Constant, les sommes faramineuses de 200.000.000 F cfa, le 31 juillet 2007 et 100.000.000, le 1er août 2007, soit au total en l’espace de deux jours près de 300 fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire ; Que nous avons avec beaucoup de sérieux, récolté ici et là des arguments qui pouvaient être des moyens d’explication de l’augmentation vertigineuse et subite des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Qu’en tout état de cause, tous les arguments que nous récolté et analysé ci-dessus ne permettaient pas de justifier l’origine licite de l’augmentation subite et vertigineuse des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Considérant que les dépôts en espèces ci-dessus relatés constituent, n’en point en douter, le délit d’enrichissement illicite ; Considérant que le versement en espèces sur le compte bancaire est un moyen permettant de créer une rupture dans la traçabilité de l’origine des fonds ; Considérant que l’usage systématique d’un tiers pour faire des dépôts en espèces aussi important est un moyen visant la non identification du bénéficiaire du dépôt, à savoir monsieur Alaba Fall Bosco qui est un homme public aisément reconnaissable s’il se présente au guichet d’une banque de la place de Libreville ; Considérant que la BGFIBANK a méconnu les dispositions du Règlement 01/03-CEMAC-UMAC du 04 avril 2003 portant prévention et répression du blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme en Afrique Centrale, en assurant l’opération de dépôt de ces sommes sur le compte de monsieur Alaba Fall Bosco sans se renseigner sur leur origine, et de cette manière assurant leur blanchiment ; Nous venons porter plainte : - pour enrichissement illicite contre monsieur ALABA Fall Bosco, Procureur de la République ; - pour complicité d’enrichissement illicite et recel Angue Kpako Constant, et consorts. Cette plainte ne devra pas étonner monsieur ALABA qui le 13 février 2008 se proclamant « gardien du droit pénal », dans l’interview qu’il accordait au Journal « L’Union », avait déclaré ceci : « Tous les citoyens étant égaux devant la Loi, tous les gabonais doivent désormais intégrer qu’en ce qui concerne le parquet de la République, l’heure des traitements de faveur est terminée, et que la Justice se fera, au niveau du Tribunal, sans tenir compte des origines et du statut des individus... La Nation que nous construisons ne peut plus s’accommoder de tels errements. C’est du passé, et s’il y a encore des citoyens qui pensent être des intouchables, au-dessus de la loi, qu’ils se détrompent dès aujourd’hui ». Mieux, le ministre de l’Intérieur dans l’interview donné sur RFI -journal RFI Afrique 6h30-7h00 GMT du 31 /07/2008- annonçait ceci en réponse à l’interrogation du journaliste : « ...il n’y a t il pas tout de même une volonté des autorités de mettre le couvercle sur les affaires de corruption qu’il peut y avoir dans le pays.... » André Mba Obame répondait ceci : « ....le gouvernement à travers des organismes spécialisés est entrain de mener une vaste campagne contre la corruption...Il y a une commission qui a été mise en place contre l’enrichissement illicite donc laissons tout ce monde là faire le travail... ». Considérant le discours du Président de la République prononcé à l’occasion des quarante (40) ans de son accession à la magistrature suprême, le 01 décembre 2007, à travers lequel il dénonçait : « la course pour l’enrichissement illicite devenue trop forte, l’affairisme, la corruption, la politisation outrancière et le népotisme qui ont gangrené les pouvoirs publics » tout en fustigeant le comportement de certains magistrats véreux qui seront sanctionnés ; Considérant la campagne actuelle de lutte contre la corruption menée par le Ministère du contrôle d’Etat chargé de la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite ; Considérant le rôle joué par les magistrats dans le système gouvernemental d’éradication de la corruption et de l’enrichissement illicite dans notre pays ; Considérant l’obligation pour Monsieur Bosco ALABA FALL de fournir à la Justice les éclaircissements et de lever toute équivoque sur la provenance des importantes sommes d’argent (300 millions) versées en espèces dans son compte BGFIBANK en deux jours, en violation du règlement bancaire exigeant une justification pour tout versement dépassant cinq (5) millions de francs cfa ; Considérant la nécessité de préserver l’intégrité et la probité de la justice gabonaise lorsque l’un de ses acteurs est incriminé ; Nous formons le vÅ“u que la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite mette tous les moyens en Å“uvre afin de donner à la présente plainte la plus haute attention. Les signataires Pour Brainforest Georges MPAGA, ROLBG, Georges MPAGA, AFRIQUE-HORIZON Alain MOUPOPA From protected at yahoo.fr Thu Oct 16 23:06:51 2008 From: protected at yahoo.fr (Tchilo Ngwemyene) Date: Thu, 16 Oct 2008 23:06:51 -0400 Subject: [BDPalabres] plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- 13 octobre 2008 GABON : plainte pour enrichissement illicite. A Monsieur le Président de la Commission Nationale de Lutte contre l’enrichissement illicite Libreville Objet : plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite Monsieur le Président Conformément à l’article 28 de la Loi n°2/2003 du 02 juin 2003 portant création, organisation et fonctionnement de la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite, qui dispose : « En matière d’investigation, la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite est saisie soit de sa propre initiative, soit par le Commissaire de gouvernement, soit par toute autre autorité administrative ou par toute personne intéressée ». Nous, Réseau Gabonais de Bonne Gouvernance (ROLGB) présidé par M. Georges MPAGA, (Tel. +241 - 07 51 99 32) et nous, AFRIQUE-HORIZONS, présidé par M. Alain MOUPOPA (Tel. +241 06 73 34 73), Marc ONA ESSANGUI, Président de Brainforest (+241 07294140) qui agissons en tant qu’acteurs de la Société Civile au Gabon, pour la transparence et la lutte contre la corruption. Avons l’honneur de venir, respectueusement, auprès de votre Institution porter plainte pour les faits suivants : Courant juin 2008, nous avons reçu par courriel et par voie postale le relevé du compte bancaire no 00012374602-53 ouvert auprès de la BGFIBANK Libreville, qui indiquait des avoirs bancaires importants appartenant à un certain ALABA Fall Bosco, suivis de graphiques, d’analyses et de commentaires dignes d’un travail d’expert. Nous avons pensé qu’il s’agissait de tracts comme il est malheureusement de coutume dans notre pays. Cependant, le niveau de précision et la qualité des analyses contenues dans ces documents ont attiré notre attention car nous avons pensé qu’il pouvait bien s’agir du célèbre et bien connu ALABA Fall Bosco qui occupe les fonctions de Procureur de la République auprès du Tribunal de Première Instance de Libreville, et qui a le statut de magistrat et donc de fonctionnaire auprès du Ministère de la Justice de la République du Gabon. Dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » a publié un long article intitulé « Le secret bancaire dévoyé - BGFI et le compte d’Alaba ! » dans lequel il faisait état de « la publication et la large diffusion de relevés bancaires du Procureur de la République » et révélait au grand jour la violation du secret bancaire « qui empoisonne désormais l’atmosphère entre la BGFI et un client tout particulier Alaba Bosco Fall... » . C’est ainsi que nous avons pris conscience que nous étions en possession de relevés bancaires qui très probablement étaient ceux du Procureur de la République Alaba Fall Bosco. Notre présomption s’est renforcée lorsque le rédacteur de l’article a indiqué « Contrairement à d’autres personnalités, nous pensons que le solde truqué à fin janvier 2008 chiffré à 200.793.974 FCFA apparaît modeste » et qu’il a donné une liste d’informations (sur lesquelles nous revenons plus loin) qui semblait venir en réponse aux questions posées par le travail digne d’un expert que nous avions initialement pris pour un tract. L’hypothèse de l’existence d’un sérieux problème posé par les avoirs bancaires d’un Procureur de la République, incommensurable avec son statut de fonctionnaire et son traitement mensuel se faisait plus précise. Telle a été notre surprise de constater que dans la même période, M. Alaba FALL BOSCO, Procureur de la République de son état, confirmait expressément être le titulaire dudit compte en portant plainte contre Mademoiselle Marlene Rapontchombo, ex-employée de la BGFIBANK qu’il soupçonnait d’être à l’origine de cette divulgation, ceci conduisant à sa mise sous mandat de dépôt le 17 juillet 2008. Alors que dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » parlait de « solde truqué » nous avons noté qu’à ce jour, ni M. Alaba FALL BOSCO et ni la BGFIBANK n’ont jamais contesté de quelque manière que ce soit les informations contenues dans les relevés bancaires litigieux, notamment que le solde au 13 février 2008 s’élevait à 200.793.974 FCFA. Que si M. Alaba FALL BOSCO fait preuve depuis lors d’une nervosité extrême, c’est bien parce qu’il a conscience que son compte présente un solde créditeur et a enregistré des opérations très certainement incompatibles avec son statut de fonctionnaire de justice et son traitement mensuel. Ainsi, nous n’avons plus de doute sur l’authenticité des relevés bancaires que nous avons reçus et des informations qu’ils comportent couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008. On peut lire que, M. Alaba FALL BOSCO a perçu dans son compte sur la période de référence, un traitement mensuel net de 1.295.252 FCFA qui lui a été versé régulièrement à date fixe, en général dans la dernière semaine du mois. Nous avons été grandement surpris de constater que sur la période allant de juillet 2007 à janvier 2008, ledit compte présentait un solde créditeur constamment supérieur à plus de 200 fois le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO alors qu’en début d’année 2007 ledit compte courant n’enregistrait que le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO à son crédit et les retraits y afférents à son débit. Ainsi, les avoirs de M. Alaba FALL BOSCO, ont connu un accroissement subit et vertigineux qui ne pouvait qu’attirer notre curiosité. Après une lecture attentive de ce relevé de compte nous avons constaté que cette augmentation des avoirs de M. Alaba FALL BOSCO au cours de l’année 2007, provenait de trois (3) versements en espèces effectués le 12 mars 2007 pour 29.740.000 FCFA, le 31 juillet 2007 pour 200.000.000 FCFA, et le 1er août 2007 pour 100.000.000 FCFA. Tous ces versements ayant été effectués par un tiers, le dénommé Angue KPAKO Constant. C’est ainsi que nous posons plusieurs questions essentielles : - quelle est l’origine de ces importantes sommes d’argent totalisant 329.740.000 FCFA qui ont été remises en espèces sur le compte du Procureur de la République ? - quelles raisons pourraient expliquer le dépôt en espèces de la somme faramineuse de 300.000.000 FCFA en l’espace de deux jours sur le compte du Procureur de la République ? - quelle est la nature de la relation entre M. Alaba FALL BOSCO et le dénommé Angue KPAKO Constant qui conduit ce dernier à faire des versements en espèces très importants sur le compte du Procureur de la République ? Nous nous sommes reportés sur les pistes suggérées par l’hebdomadaire « Le NGANGA » dans son édition du 23 juillet 2008 ou encore sur le site Internet de Croissance saine environnement : www..croissancesaine.org Quelles sont ces pistes ? M. Alaba et son épouse détiendraient un patrimoine immobilier - 27 maisons - qui leur rapporteraient sept (07) fois son salaire, c’est-à-dire environ 8.400.000 F CFA par mois. Alors nous posons la question : comment se fait-il que du 1er janvier 2007 au 13 février 2008 soit une période de plus de douze mois, le compte n’ait jamais reçu le moindre versement par chèque ou espèces, trois dépôts ci-dessus mentionnés et des salaires mensuels ? - Ainsi, M. Alaba aurait réussi le miracle de collecter le 31 juillet 2007 et en espèces, l’équivalent de 40 mois de loyers de son supposé patrimoine immobilier. M. Alaba serait-il donc propriétaire d’un quartier entier de Libreville ? Et comment aurait-il réussi une telle prouesse avec son traitement de fonctionnaire ? Cette thèse nous apparaît très peu crédible. - M. Alaba serait le responsable d’un Club de football et d’un Club de handball qui reçoivent, respectivement, des Fédérations gabonaises des subventions à hauteur de 50.000.000 F CFA et 26.000.000 FCFA par an. Même si cela était vrai, cela est très insuffisant pour expliquer l’origine de la rondelette somme de 329.740.000 FCFA versées en espèces sur son compte. De plus, cette thèse nous apparaît très peu crédible et de surcroît facilement vérifiable auprès des comptables de ces fédérations sportives. Et pourquoi ces clubs utiliseraient-ils le compte personnel de leur Président alors qu’elles sont des associations avec une personnalité juridique propre ? M. Alaba serait-il ignorant des stipulations du Code Pénal gabonais qui nous éclaire sur les risques encourus en cas de confusion de patrimoine -délit de détournement de deniers publics- ? - M. Alaba serait le petit-fils ou neveu de monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, et à ce titre, il reçoit des largesses de sa part comme il le fait pour certains ministres. Combien aurait-il reçu, quand, où et pourquoi ? Si d’un coup de baguette magique, M. Alaba recevait dans une année, de la part de son illustre parent, une largesse en espèces représentant trois-cent (300) fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire, n’y aurait-il pas lieu de se poser toute sorte de questions ? Si largesse il y avait, il conviendrait de vérifier si monsieur Bosco Alaba Fall a déclaré auprès des Impôts les dons qu’il aurait reçus de la part de son bienfaiteur monsieur le Président de la République. En définitive, malgré nos efforts inlassables, nous n’avons pas pu trouver de raison valable qui puisse expliquer l’accroissement subit et vertigineux des avoirs bancaires du procureur ALABA Fall Bosco. Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est fonctionnaire de l’Etat gabonais et qu’à ce titre, il est un justiciable de la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite ; Qu’en effet, l’article 3 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 instituant un régime de prévention et de répression de l’enrichissement illicite en République Gabonaise stipule que : « les dispositions de la présente Loi s’appliquent à tout dépositaire de l’autorité de l’Etat : Autorité politique, Autorité administrative, Agent public, ainsi que tout préposé statutaire ou occasionnel de l’Etat, des collectivités locales, des établissements publics ou parapublics » ; Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est magistrat, et de surcroît Procureur de la République ; Qu’à ce titre, il est un agent public au sens de la Loi et qu’il est donc susceptible de se voir appliquer la présente Loi ; Considérant que l’article 2 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 dispose la chose suivante : « Au sens de la présente Loi, est considéré comme enrichissement illicite le fait, pour tout dépositaire de l’autorité de l’Etat, de réaliser ou de tenter de réaliser des profits personnels ou d’obtenir tout autre avantage de toute nature : - au moyen d’actes de corruption active ou passive, de concussion, de fraude, de détournement ou de soustraction frauduleuse de deniers publics ou de biens publics, d’abus de pouvoir, de trafic d’influence, de prise illégale d’intérêts ou de tout autre procédé illicite...etc. Est également considéré comme enrichissement illicite l’augmentation significative du patrimoine de tout dépositaire de l’autorité de l’Etat que celui-ci ne peut raisonnablement justifier par rapport aux revenus qu’il a légitimement perçus ». Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco, au vu de ses relevés de compte bancaire couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008, qui ont été distribués à toute la population gabonaise, a, sur son compte courant n°00012374602-53 ouvert dans les livres de la BGFI BANK, fait verser en espèces par un tiers le dénommé Angue Kpako Constant, les sommes faramineuses de 200.000.000 F cfa, le 31 juillet 2007 et 100.000.000, le 1er août 2007, soit au total en l’espace de deux jours près de 300 fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire ; Que nous avons avec beaucoup de sérieux, récolté ici et là des arguments qui pouvaient être des moyens d’explication de l’augmentation vertigineuse et subite des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Qu’en tout état de cause, tous les arguments que nous récolté et analysé ci-dessus ne permettaient pas de justifier l’origine licite de l’augmentation subite et vertigineuse des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Considérant que les dépôts en espèces ci-dessus relatés constituent, n’en point en douter, le délit d’enrichissement illicite ; Considérant que le versement en espèces sur le compte bancaire est un moyen permettant de créer une rupture dans la traçabilité de l’origine des fonds ; Considérant que l’usage systématique d’un tiers pour faire des dépôts en espèces aussi important est un moyen visant la non identification du bénéficiaire du dépôt, à savoir monsieur Alaba Fall Bosco qui est un homme public aisément reconnaissable s’il se présente au guichet d’une banque de la place de Libreville ; Considérant que la BGFIBANK a méconnu les dispositions du Règlement 01/03-CEMAC-UMAC du 04 avril 2003 portant prévention et répression du blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme en Afrique Centrale, en assurant l’opération de dépôt de ces sommes sur le compte de monsieur Alaba Fall Bosco sans se renseigner sur leur origine, et de cette manière assurant leur blanchiment ; Nous venons porter plainte : - pour enrichissement illicite contre monsieur ALABA Fall Bosco, Procureur de la République ; - pour complicité d’enrichissement illicite et recel Angue Kpako Constant, et consorts. Cette plainte ne devra pas étonner monsieur ALABA qui le 13 février 2008 se proclamant « gardien du droit pénal », dans l’interview qu’il accordait au Journal « L’Union », avait déclaré ceci : « Tous les citoyens étant égaux devant la Loi, tous les gabonais doivent désormais intégrer qu’en ce qui concerne le parquet de la République, l’heure des traitements de faveur est terminée, et que la Justice se fera, au niveau du Tribunal, sans tenir compte des origines et du statut des individus... La Nation que nous construisons ne peut plus s’accommoder de tels errements. C’est du passé, et s’il y a encore des citoyens qui pensent être des intouchables, au-dessus de la loi, qu’ils se détrompent dès aujourd’hui ». Mieux, le ministre de l’Intérieur dans l’interview donné sur RFI -journal RFI Afrique 6h30-7h00 GMT du 31 /07/2008- annonçait ceci en réponse à l’interrogation du journaliste : « ...il n’y a t il pas tout de même une volonté des autorités de mettre le couvercle sur les affaires de corruption qu’il peut y avoir dans le pays.... » André Mba Obame répondait ceci : « ....le gouvernement à travers des organismes spécialisés est entrain de mener une vaste campagne contre la corruption...Il y a une commission qui a été mise en place contre l’enrichissement illicite donc laissons tout ce monde là faire le travail... ». Considérant le discours du Président de la République prononcé à l’occasion des quarante (40) ans de son accession à la magistrature suprême, le 01 décembre 2007, à travers lequel il dénonçait : « la course pour l’enrichissement illicite devenue trop forte, l’affairisme, la corruption, la politisation outrancière et le népotisme qui ont gangrené les pouvoirs publics » tout en fustigeant le comportement de certains magistrats véreux qui seront sanctionnés ; Considérant la campagne actuelle de lutte contre la corruption menée par le Ministère du contrôle d’Etat chargé de la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite ; Considérant le rôle joué par les magistrats dans le système gouvernemental d’éradication de la corruption et de l’enrichissement illicite dans notre pays ; Considérant l’obligation pour Monsieur Bosco ALABA FALL de fournir à la Justice les éclaircissements et de lever toute équivoque sur la provenance des importantes sommes d’argent (300 millions) versées en espèces dans son compte BGFIBANK en deux jours, en violation du règlement bancaire exigeant une justification pour tout versement dépassant cinq (5) millions de francs cfa ; Considérant la nécessité de préserver l’intégrité et la probité de la justice gabonaise lorsque l’un de ses acteurs est incriminé ; Nous formons le vÅ“u que la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite mette tous les moyens en Å“uvre afin de donner à la présente plainte la plus haute attention. Les signataires Pour Brainforest Georges MPAGA, ROLBG, Georges MPAGA, AFRIQUE-HORIZON Alain MOUPOPA -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at yahoo.com Thu Oct 16 22:50:02 2008 From: protected at yahoo.com (Gabonais Diaspora) Date: Thu, 16 Oct 2008 22:50:02 -0400 Subject: [BDPalabres] Du Nouveau pour le site des 10 Gabonais de la Diaspora... Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- Chers compatriotes, Les temps approchent, où le Gabon fera son grand toilettage politique, dont le dernier remonte au 2 décembre 1967, date de la prise de fonction d'Albert Bernard (Omar) Bongo, l'actuel président de notre pays.. Pour ce grand rendez-vous, auquel tout citoyen gabonais devra prendre part, nous avons voulu sélectionner pour vous, comme cela a été fait par nos confrères de "Jeune Afrique", concernant les "100 hommes clé du Gabon", ceux de nos compatriotes "visibles", qui contribuent au rayonnement de notre Diaspora, hors du territoire national. Cette liste de compatriotes, régulièrement mis à jour, est désormais consultable sur un nouveau site Internet, plus accessible et offrant plus d'interactivité. Vous pourrez désormais poster vos commentaires. http://gabon.typepad.fr/ Nous vous souhaitons dores et déjà une bonne navigation. Le Collectif "Diaspora Gabonaise" gabonaisdiaspora at yahoo.com -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at hotmail.fr Sun Oct 19 08:55:38 2008 From: protected at hotmail.fr (Nathalie Berthon) Date: Sun, 19 Oct 2008 08:55:38 -0400 Subject: [BDPalabres] Un opposant gabonais de nationalité française? Message-ID: uite a un article qui est paru dans un journal Sénégalais et Africain NEW AFRICAN , je me suis sentie obligée de réagir envers la redaction de cette revue , ainsi qu'envers les autorités françaises pour que la vérité soit enfin vraiment révélée: teneur de mon envoi: en piece jointe ,l'article du Journal le Nganga... (actuellement au gabon Je serais en France dans deux semaines , pour que ma présence soit effective dans le cadre de la Plainte déposées) A beau mentir qui vient de loin. Un article paru dans le journal gabonais 'Le Nganga' d'hier 16 Octobre2008 , explique qui est vraiment Siméon Jean francis Ekoga (citoyenfrançais ) qui aujourd'hui est en plus des plaintes déposées contre Luipour Diffamations et Outrages ...vient d'écoper d'une plainte (au pénal) pour tentative d'altération de documents officiels ......(tentativede falsification d'un document officiel élaboré par le Commissariat desaint denis)....preuves ont été déposées au Tribunal en vue del'instruction de cette plainte avec convocation de l'officier de Policejudiciaire ayant été a l'origine du document .....les preuvescertifiées conformes ont été bien entendues envoyées aussi a NEWAFRICANà Dakar ainsi qu'a tous les journaux gabonais a libreville. En france un autre envoi a été fait avec les documents certifiésconformes ,a Jeune Afrique , Ambassade du gabon , Bakchich.info,Caisses allocations familiales de saint denis, Préfecture de police ,Commissariat central de saint denis,.Office central d'habitation aloyer modéré , Ministère de l'intérieur , Renseignements généraux (ruecambacérés a paris) Nathalie Berthon érité soit enfin vraiment révélée: teneur de mon envoi: From protected at yahoo.fr Sun Oct 19 08:56:49 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Sun, 19 Oct 2008 08:56:49 -0400 Subject: [BDPalabres] Sarko en Afrique Message-ID: Sarko en Afrique Antoine Glaser, Stephen Smith éd. PLON 208 pages 19 € 124,63 FF Autopsie d'un gâchis par Vincent Hugeux Un nouveau livre d'Antoine Glaser et Stephen Smith décrit le revirement de Nicolas Sarkozy sur le continent noir. Implacable. Même pas drôle. Voilà un essai dont aucun initié de l'échiquier franco-africain ne peut réfuter sérieusement la thèse. Celle-ci tient en un mot, qui surgit dès la page 9: régression. Chroniqueurs aguerris du tango ambigu que dansent depuis des lustres l'ancienne métropole coloniale et le continent noir, Antoine Glaser et Stephen Smith décryptent d'une plume implacable et souvent ironique la trahison par Nicolas Sarkozy de ses promesses de rupture avec les turpitudes d'hier. Quitte à endosser un costume un peu ample pour lui, un personnage incarne cette duperie: Robert Bourgi, inusable gardien du musée vivant de la «Françafrique», dont le retour en grâce aura sonné le glas des espérances de ceux qui, jusqu'au coeur de l'Elysée, ont voulu y croire. L'emprise insolite du Gabonais Omar Bongo, le calamiteux discours de Dakar (juillet 2007), l'immigration choisie, l'épopée avortée de l'Eufor, cette force plus française qu'européenne campant aux portes du Darfour soudanais, les dessous, en ces temps de procès de l'Angolagate, du laborieux rabibochage avec Luanda, les heurs et malheurs des hommes d'affaires en cour à l'Elysée: tout y passe ou presque. Le déclin irréversible de l'engagement tricolore Le livre, on l'aura compris, vaut bien mieux que son titre, étonnamment plat. Car les Lapierre et Collins de l'Afrique contemporaine mettent aussi en évidence le caractère dérisoire de manoeuvres d'antichambre qui masquent mal le déclin irréversible de l'engagement tricolore dans l'ex- «pré carré». Il arrive pourtant qu'affleure une légère déception. Notamment lorsque les auteurs évoquent sur le mode allusif les coulisses de l'affaire Borrel - ce magistrat assassiné à Djibouti en octobre 1995 - ou la disparition en avril 2004, à Abidjan, du journaliste franco-canadien Guy-André Kieffer, ils en écrivent trop ou pas assez. De même, l'analyse de l'idée intime que Sarko se fait du continent aurait gagné à être plus fouillée. Le héraut de la rupture avait 2 ans quand retentit le gong des indépendances. Il a donc en main tous les atouts pour solder le legs colonial. Navrant gâchis. L'oeil qui voit tout....seul Dieu est notre limite From protected at gmail.com Sun Oct 19 08:57:57 2008 From: protected at gmail.com (Petit Léon MBA-MINKO) Date: Sun, 19 Oct 2008 08:57:57 -0400 Subject: [BDPalabres] Pourquoi continuer à aimer la France... Message-ID: Comment continuer à aimer la France, le "pays des droits de l'homme (blanc)", alors qu'elle demeure jusqu'à ce jour la seule puissante mondiale à entretenir une cour plétorienne des plus détestables dictateurs de la planête ? Dans les grands rassemblements de la Francophonie (kermesses où l'on distribue des gâteaux aux meilleurs élèves dictateurs), où la France trône au sommet en tant qu'ancienne puissance coloniale (pas entièrement repentie diront certains), au milieu des pires autocrates de la planête, un siècle d'exploitation et de répression peut-il expliquer les maux que trimballent encore de nombreux pays afraicains aujourd'hui? Qu'est-ce qui explique que certains s'en tirent plutôt bien alors que d'autres ont un dossier pitoyable? Ficelles tirées par la métropole et le «grand ordre mondial» ou élites locales corrompues? Les vieux dictateurs seraient-ils plus accommodants, moins gênants et... plus démocratiques? Car un bref tour de piste des visiteurs attendus dans la ville du 400e révèle que de nombreux chefs d'État sont d'abord arrivés au pouvoir par un putsch. Si certains ont été «élus» depuis, avec des scores à la 95 %, leur maintien en place relève souvent de la force brute, du népotisme et de la cleptocratie, très souvent encouragés et soutenus par la France. Le doyen Pour débuter l'examen des mains de fer, il faut inévitablement passer par le doyen des chefs africains, l'illustre Omar Bongo. Ce dernier, au pouvoir depuis 1967 et ne cachant pas son désir de gouverner à vie, n'a que faire des éloges posthumes : il a rebaptisé sa ville de naissance Bongoville et l'université de la capitale porte son nom. Toutes ces années au pouvoir lui auront valu plus que ces auto-hommages : on dit que Bongo est l'un des chefs d'État les plus fortunés de la planète. II est toujours bien en vue dans la «Françafrique» et malgré la «rupture» prêchée par Sarkozy, le président français s'est assuré de maintenir de solides liens avec l'ancienne colonie. «Omar Bongo est le doyen des chefs d'État et, en Afrique, le doyen, cela compte», a déclaré Sarkozy lors d'une visite officielle au Gabon en juillet 2007, selon Le Monde. Si Omar Bongo vient à Québec, les deux hommes pourront certes s'échanger une poignée de main chaleureuse. Le contesté Selon différents sites camerounais, le président du Cameroun, Paul Biya, pourrait faire l'objet de contestations à Québec. On rapporte que son personnel serait actif au Canada pour sonder la communauté camerounaise et récolter des appuis afin d'offrir à M. Biya un «accueil chaleureux». Mais cet homme politique n'est pas porté dans tous les cÅ“urs. Au pouvoir depuis 1982, il a provoqué de violentes émeutes plus tôt cette année lorsqu'il a décidé de briguer un autre mandat en 2011. On peut donc lire sur Internet que «plusieurs Camerounais du Canada comptent profiter du séjour de Paul Biya au Canada pour lui réclamer des réponses sur les questions liées à la décrépitude du Cameroun». Le pire La Guinée équatoriale de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo figure parmi les pays les plus mal en point du monde. Nguema Mbasogo est arrivé au pouvoir en 1979 en assassinant son propre oncle. Depuis, il a été élu en 2002, mais avec un score de 97 %. Malgré des réserves de pétrole qui en font le troisième pays producteur en Afrique, les habitants de la Guinée équatoriale sont des plus pauvres. La raison est fort simple : le pays se classe 168e sur 180 sur l'échelle de corruption de l'organisme Transparency International. Les héritiers La Francophonie, malgré ses principes de démocratie, n'est pas exempte de princes héritiers. Étrangement, c'est probablement un vrai prince, descendant d'un vrai roi dans un régime monarchiste, qui a amené son pays à faire le plus de progrès en devenant le nouveau souverain, le roi Mohammed VI du Maroc. Quant aux faux princes, il faut désigner Joseph Kabila en République démocratique du Congo, ayant succédé à son père Laurent-Désiré Kabila, assassiné en 2001. Bien qu'élu en 2006 dans des élections ayant marqué un pas vers l'avant, Kabila fils n'a pu instaurer un climat de bonne entente et il est accusé de ne tolérer aucune opposition. Le pays est déchiré par des conflits armés internes, largement motivés par ses immenses ressources naturelles. L'autre prince est Faure Gnassingbe du Togo. Placé au pouvoir par l'armée en 2005 après la mort de son père, Eyadema, qui avait dirigé le pays durant 38 ans, il a été «élu» la même année dans un processus marqué de violences. Les crimes commis par le pouvoir dans cet épisode demeurent impunis. Quant à Hosni Mubarak, à la tête de l'Égypte depuis 1981, on soupçonne qu'il lèguera le pouvoir à son fils Gamal. Non les moindres Plusieurs autres dirigeants de pays membres de la Francophonie ne donnent pas leur place en matière de mauvaise gouvernance, de répression des droits fondamentaux et de corruption. Le Congo Brazzaville de Denis Sassou-Nguesso se classe 141e sur 150 dans l'évaluation de la démocratie de WorldAudit.org. Paul Kagame, aux commandes du Rwanda, est loin de faire l'unanimité dans ce pays traumatisé par la rivalité ethnique. Lors de sa visite à Montréal en 2006, des membres de la communauté rwandaise l'avaient accueilli avec une brique et un fanal. Idriss Déby du Tchad est arrivé au pouvoir par un coup d'État en 1990. À deux reprises, dernièrement, son régime, menacé par des rebelles, a été protégé par une intervention de l'armée française. Ben Ali en Tunisie, Blaise Compaore au Burkina Faso et Lansana Conte en Guinée ne donnent pas leur place non plus, littéralement. Ces hommes sont au pouvoir depuis respectivement 1987, 1987 et 1984. Ben Ali est, selon Reporters sans frontière, un «prédateur» de la liberté de la presse. Petite anecdote québecquoise... Alors que le protocole ne prévoit que le président de la république plus quatre collaborateurs, certaines délégations africaines affichent de 40 à 80 personnes, suscitant la surprise des organisateurs canadiens du 12ème Sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) qui se tient samedi et dimanche à Québec, au Canada. Selon une source digne de foi, la délégation gabonaise au sommet compte 80 personnes tandis la délégation de la RD Congo est annoncée avec 60 personnes. La délégation nigérienne compte 30 personnes alors que celle du Congo ne compte pas moins de 40 personnes. "C’est à ne pas croire : deux tiers de membres de certaines délégations n’ont rien à faire au sommet. Ce sont des membres de la clientèle politique", s’est emporté un journaliste congolais présent au Sommet. Une trentaine de chefs d’Etat africains est attendue à ce 12ème Sommet francophone qui examinera, entre autres, la situation financière internationale, les questions environnementales ainsi que les crises dans l’espace francophone. From protected at yahoo.fr Sun Oct 19 08:59:51 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Sun, 19 Oct 2008 08:59:51 -0400 Subject: [BDPalabres] LE CAPITALISME TOUCHE T-IL A SA FIN (ARTICLE DE LE MONDE) Message-ID: Signataire du manifeste du Forum social de Porto Alegre ("Douze propositions pour un autre monde possible"), en 2005, vous êtes considéré comme l'un des inspirateurs du mouvement altermondialiste. Vous avez fondé et dirigé le Centre Fernand-Braudel pour l'étude de l'économie des systèmes historiques et des civilisations de l'université de l'Etat de New York, à Binghamton. Comment replacez-vous la crise économique et financière actuelle dans le "temps long" de l'histoire du capitalisme ? Lire la suite l'article Photos/Vidéos liées "Le capitalisme touche à sa fin" Agrandir la photo Immanuel Wallerstein : Fernand Braudel (1902-1985) distinguait le temps de la "longue durée", qui voit se succéder dans l'histoire humaine des systèmes régissant les rapports de l'homme à son environnement matériel, et, à l'intérieur de ces phases, le temps des cycles longs conjoncturels, décrits par des économistes comme Nicolas Kondratieff (1982-1930) ou Joseph Schumpeter (1883-1950). Nous sommes aujourd'hui clairement dans une phase B d'un cycle de Kondratieff qui a commencé il y a trente à trente-cinq ans, après une phase A qui a été la plus longue (de 1945 à 1975) des cinq cents ans d'histoire du système capitaliste. Dans une phase A, le profit est généré par la production matérielle, industrielle ou autre ; dans une phase B, le capitalisme doit, pour continuer à générer du profit, se financiariser et se réfugier dans la spéculation. Depuis plus de trente ans, les entreprises, les Etats et les ménages s'endettent, massivement. Nous sommes aujourd'hui dans la dernière partie d'une phase B de Kondratieff, lorsque le déclin virtuel devient réel, et que les bulles explosent les unes après les autres : les faillites se multiplient, la concentration du capital augmente, le chômage progresse, et l'économie connaît une situation de déflation réelle. Mais, aujourd'hui, ce moment du cycle conjoncturel coïncide avec, et par conséquent aggrave, une période de transition entre deux systèmes de longue durée. Je pense en effet que nous sommes entrés depuis trente ans dans la phase terminale du système capitaliste. Ce qui différencie fondamentalement cette phase de la succession ininterrompue des cycles conjoncturels antérieurs, c'est que le capitalisme ne parvient plus à "faire système", au sens où l'entend le physicien et chimiste Ilya Prigogine (1917-2003) : quand un système, biologique, chimique ou social, dévie trop et trop souvent de sa situation de stabilité, il ne parvient plus à retrouver l'équilibre, et l'on assiste alors à une bifurcation. La situation devient chaotique, incontrôlable pour les forces qui la dominaient jusqu'alors, et l'on voit émerger une lutte, non plus entre les tenants et les adversaires du système, mais entre tous les acteurs pour déterminer ce qui va le remplacer. Je réserve l'usage du mot "crise" à ce type de période. Eh bien, nous sommes en crise. Le capitalisme touche à sa fin. Pourquoi ne s'agirait-il pas plutôt d'une nouvelle mutation du capitalisme, qui a déjà connu, après tout, le passage du capitalisme marchand au capitalisme industriel, puis du capitalisme industriel au capitalisme financier ? Le capitalisme est omnivore, il capte le profit là où il est le plus important à un moment donné ; il ne se contente pas de petits profits marginaux ; au contraire, il les maximise en constituant des monopoles - il a encore essayé de le faire dernièrement dans les biotechnologies et les technologies de l'information. Mais je pense que les possibilités d'accumulation réelle du système ont atteint leurs limites. Le capitalisme, depuis sa naissance dans la seconde moitié du XVIe siècle, se nourrit du différentiel de richesse entre un centre, où convergent les profits, et des périphéries (pas forcément géographiques) de plus en plus appauvries. A cet égard, le rattrapage économique de l'Asie de l'Est, de l'Inde, de l'Amérique latine, constitue un défi insurmontable pour "l'économie-monde" créée par l'Occident, qui ne parvient plus à contrôler les coûts de l'accumulation. Les trois courbes mondiales des prix de la main-d'oeuvre, des matières premières et des impôts sont partout en forte hausse depuis des décennies. La courte période néolibérale qui est en train de s'achever n'a inversé que provisoirement la tendance : à la fin des années 1990, ces coûts étaient certes moins élevés qu'en 1970, mais ils étaient bien plus importants qu'en 1945. En fait, la dernière période d'accumulation réelle - les "trente glorieuses" - n'a été possible que parce que les Etats keynésiens ont mis leurs forces au service du capital. Mais, là encore, la limite a été atteinte ! Y a-t-il des précédents à la phase actuelle, telle que vous la décrivez ? Il y en a eu beaucoup dans l'histoire de l'humanité, contrairement à ce que renvoie la représentation, forgée au milieu du XIXe siècle, d'un progrès continu et inévitable, y compris dans sa version marxiste. Je préfère me cantonner à la thèse de la possibilité du progrès, et non à son inéluctabilité. Certes, le capitalisme est le système qui a su produire, de façon extraordinaire et remarquable, le plus de biens et de richesses. Mais il faut aussi regarder la somme des pertes - pour l'environnement, pour les sociétés - qu'il a engendrées. Le seul bien, c'est celui qui permet d'obtenir pour le plus grand nombre une vie rationnelle et intelligente. Cela dit, la crise la plus récente similaire à celle d'aujourd'hui est l'effondrement du système féodal en Europe, entre les milieux du XVe et du XVIe siècle, et son remplacement par le système capitaliste. Cette période, qui culmine avec les guerres de religion, voit s'effondrer l'emprise des autorités royales, seigneuriales et religieuses sur les plus riches communautés paysannes et sur les villes. C'est là que se construisent, par tâtonnements successifs et de façon inconsciente, des solutions inattendues dont le succès finira par "faire système" en s'étendant peu à peu, sous la forme du capitalisme. Combien de temps la transition actuelle devrait-elle durer, et sur quoi pourrait-elle déboucher ? La période de destruction de valeur qui clôt la phase B d'un cycle Kondratieff dure généralement de deux à cinq ans avant que les conditions d'entrée dans une phase A, lorsqu'un profit réel peut de nouveau être tiré de nouvelles productions matérielles décrites par Schumpeter, sont réunies. Mais le fait que cette phase corresponde actuellement à une crise de système nous a fait entrer dans une période de chaos politique durant laquelle les acteurs dominants, à la tête des entreprises et des Etats occidentaux, vont faire tout ce qu'il est techniquement possible pour retrouver l'équilibre, mais il est fort probable qu'ils n'y parviendront pas. Les plus intelligents, eux, ont déjà compris qu'il fallait mettre en place quelque chose d'entièrement nouveau. Mais de multiples acteurs agissent déjà, de façon désordonnée et inconsciente, pour faire émerger de nouvelles solutions, sans que l'on sache encore quel système sortira de ces tâtonnements. Nous sommes dans une période, assez rare, où la crise et l'impuissance des puissants laissent une place au libre arbitre de chacun : il existe aujourd'hui un laps de temps pendant lequel nous avons chacun la possibilité d'influencer l'avenir par notre action individuelle. Mais comme cet avenir sera la somme du nombre incalculable de ces actions, il est absolument impossible de prévoir quel modèle s'imposera finalement. Dans dix ans, on y verra peut-être plus clair ; dans trente ou quarante ans, un nouveau système aura émergé. Je crois qu'il est tout aussi possible de voir s'installer un système d'exploitation hélas encore plus violent que le capitalisme, que de voir au contraire se mettre en place un modèle plus égalitaire et redistributif. Les mutations antérieures du capitalisme ont souvent débouché sur un déplacement du centre de "l'économie-monde", par exemple depuis le Bassin méditerranéen vers la côte Atlantique de l'Europe, puis vers celle des Etats-Unis ? Le système à venir sera-t-il centré sur la Chine ? La crise que nous vivons correspond aussi à la fin d'un cycle politique, celui de l'hégémonie américaine, entamée également dans les années 1970. Les Etats-Unis resteront un acteur important, mais ils ne pourront plus jamais reconquérir leur position dominante face à la multiplication des centres de pouvoir, avec l'Europe occidentale, la Chine, le Brésil, l'Inde. Un nouveau pouvoir hégémonique, si l'on s'en réfère au temps long braudélien, peut mettre encore cinquante ans pour s'imposer. Mais j'ignore lequel. En attendant, les conséquences politiques de la crise actuelle seront énormes, dans la mesure où les maîtres du système vont tenter de trouver des boucs émissaires à l'effondrement de leur hégémonie. Je pense que la moitié du peuple américain n'acceptera pas ce qui est en train de se passer. Les conflits internes vont donc s'exacerber aux Etats-Unis, qui sont en passe de devenir le pays du monde le plus instable politiquement. Et n'oubliez pas que nous, les Américains, nous sommes tous armés... MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Ven 17.10.08, Tchilo Ngwemyene a écrit : De: Tchilo Ngwemyene Objet: [BDPalabres] plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Vendredi 17 Octobre 2008, 5h06 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ 13 octobre 2008 GABON : plainte pour enrichissement illicite. A Monsieur le Président de la Commission Nationale de Lutte contre l’enrichissement illicite Libreville Objet : plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite Monsieur le Président Conformément à l’article 28 de la Loi n°2/2003 du 02 juin 2003 portant création, organisation et fonctionnement de la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite, qui dispose : « En matière d’investigation, la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite est saisie soit de sa propre initiative, soit par le Commissaire de gouvernement, soit par toute autre autorité administrative ou par toute personne intéressée ». Nous, Réseau Gabonais de Bonne Gouvernance (ROLGB) présidé par M. Georges MPAGA, (Tel. +241 - 07 51 99 32) et nous, AFRIQUE-HORIZONS, présidé par M. Alain MOUPOPA (Tel. +241 06 73 34 73), Marc ONA ESSANGUI, Président de Brainforest (+241 07294140) qui agissons en tant qu’acteurs de la Société Civile au Gabon, pour la transparence et la lutte contre la corruption. Avons l’honneur de venir, respectueusement, auprès de votre Institution porter plainte pour les faits suivants : Courant juin 2008, nous avons reçu par courriel et par voie postale le relevé du compte bancaire no 00012374602-53 ouvert auprès de la BGFIBANK Libreville, qui indiquait des avoirs bancaires importants appartenant à un certain ALABA Fall Bosco, suivis de graphiques, d’analyses et de commentaires dignes d’un travail d’expert. Nous avons pensé qu’il s’agissait de tracts comme il est malheureusement de coutume dans notre pays. Cependant, le niveau de précision et la qualité des analyses contenues dans ces documents ont attiré notre attention car nous avons pensé qu’il pouvait bien s’agir du célèbre et bien connu ALABA Fall Bosco qui occupe les fonctions de Procureur de la République auprès du Tribunal de Première Instance de Libreville, et qui a le statut de magistrat et donc de fonctionnaire auprès du Ministère de la Justice de la République du Gabon. Dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » a publié un long article intitulé « Le secret bancaire dévoyé - BGFI et le compte d’Alaba ! » dans lequel il faisait état de « la publication et la large diffusion de relevés bancaires du Procureur de la République » et révélait au grand jour la violation du secret bancaire « qui empoisonne désormais l’atmosphère entre la BGFI et un client tout particulier Alaba Bosco Fall... » . C’est ainsi que nous avons pris conscience que nous étions en possession de relevés bancaires qui très probablement étaient ceux du Procureur de la République Alaba Fall Bosco. Notre présomption s’est renforcée lorsque le rédacteur de l’article a indiqué « Contrairement à d’autres personnalités, nous pensons que le solde truqué à fin janvier 2008 chiffré à 200.793.974 FCFA apparaît modeste » et qu’il a donné une liste d’informations (sur lesquelles nous revenons plus loin) qui semblait venir en réponse aux questions posées par le travail digne d’un expert que nous avions initialement pris pour un tract. L’hypothèse de l’existence d’un sérieux problème posé par les avoirs bancaires d’un Procureur de la République, incommensurable avec son statut de fonctionnaire et son traitement mensuel se faisait plus précise. Telle a été notre surprise de constater que dans la même période, M. Alaba FALL BOSCO, Procureur de la République de son état, confirmait expressément être le titulaire dudit compte en portant plainte contre Mademoiselle Marlene Rapontchombo, ex-employée de la BGFIBANK qu’il soupçonnait d’être à l’origine de cette divulgation, ceci conduisant à sa mise sous mandat de dépôt le 17 juillet 2008. Alors que dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » parlait de « solde truqué » nous avons noté qu’à ce jour, ni M. Alaba FALL BOSCO et ni la BGFIBANK n’ont jamais contesté de quelque manière que ce soit les informations contenues dans les relevés bancaires litigieux, notamment que le solde au 13 février 2008 s’élevait à 200.793.974 FCFA. Que si M. Alaba FALL BOSCO fait preuve depuis lors d’une nervosité extrême, c’est bien parce qu’il a conscience que son compte présente un solde créditeur et a enregistré des opérations très certainement incompatibles avec son statut de fonctionnaire de justice et son traitement mensuel. Ainsi, nous n’avons plus de doute sur l’authenticité des relevés bancaires que nous avons reçus et des informations qu’ils comportent couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008. On peut lire que, M. Alaba FALL BOSCO a perçu dans son compte sur la période de référence, un traitement mensuel net de 1.295.252 FCFA qui lui a été versé régulièrement à date fixe, en général dans la dernière semaine du mois. Nous avons été grandement surpris de constater que sur la période allant de juillet 2007 à janvier 2008, ledit compte présentait un solde créditeur constamment supérieur à plus de 200 fois le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO alors qu’en début d’année 2007 ledit compte courant n’enregistrait que le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO à son crédit et les retraits y afférents à son débit. Ainsi, les avoirs de M. Alaba FALL BOSCO, ont connu un accroissement subit et vertigineux qui ne pouvait qu’attirer notre curiosité. Après une lecture attentive de ce relevé de compte nous avons constaté que cette augmentation des avoirs de M. Alaba FALL BOSCO au cours de l’année 2007, provenait de trois (3) versements en espèces effectués le 12 mars 2007 pour 29.740.000 FCFA, le 31 juillet 2007 pour 200.000.000 FCFA, et le 1er août 2007 pour 100.000.000 FCFA. Tous ces versements ayant été effectués par un tiers, le dénommé Angue KPAKO Constant. C’est ainsi que nous posons plusieurs questions essentielles : - quelle est l’origine de ces importantes sommes d’argent totalisant 329.740.000 FCFA qui ont été remises en espèces sur le compte du Procureur de la République ? - quelles raisons pourraient expliquer le dépôt en espèces de la somme faramineuse de 300.000.000 FCFA en l’espace de deux jours sur le compte du Procureur de la République ? - quelle est la nature de la relation entre M. Alaba FALL BOSCO et le dénommé Angue KPAKO Constant qui conduit ce dernier à faire des versements en espèces très importants sur le compte du Procureur de la République ? Nous nous sommes reportés sur les pistes suggérées par l’hebdomadaire « Le NGANGA » dans son édition du 23 juillet 2008 ou encore sur le site Internet de Croissance saine environnement : www..croissancesaine.org Quelles sont ces pistes ? M. Alaba et son épouse détiendraient un patrimoine immobilier - 27 maisons - qui leur rapporteraient sept (07) fois son salaire, c’est-à-dire environ 8.400.000 F CFA par mois. Alors nous posons la question : comment se fait-il que du 1er janvier 2007 au 13 février 2008 soit une période de plus de douze mois, le compte n’ait jamais reçu le moindre versement par chèque ou espèces, trois dépôts ci-dessus mentionnés et des salaires mensuels ? - Ainsi, M. Alaba aurait réussi le miracle de collecter le 31 juillet 2007 et en espèces, l’équivalent de 40 mois de loyers de son supposé patrimoine immobilier. M. Alaba serait-il donc propriétaire d’un quartier entier de Libreville ? Et comment aurait-il réussi une telle prouesse avec son traitement de fonctionnaire ? Cette thèse nous apparaît très peu crédible. - M. Alaba serait le responsable d’un Club de football et d’un Club de handball qui reçoivent, respectivement, des Fédérations gabonaises des subventions à hauteur de 50.000.000 F CFA et 26.000.000 FCFA par an. Même si cela était vrai, cela est très insuffisant pour expliquer l’origine de la rondelette somme de 329.740.000 FCFA versées en espèces sur son compte. De plus, cette thèse nous apparaît très peu crédible et de surcroît facilement vérifiable auprès des comptables de ces fédérations sportives. Et pourquoi ces clubs utiliseraient-ils le compte personnel de leur Président alors qu’elles sont des associations avec une personnalité juridique propre ? M. Alaba serait-il ignorant des stipulations du Code Pénal gabonais qui nous éclaire sur les risques encourus en cas de confusion de patrimoine -délit de détournement de deniers publics- ? - M. Alaba serait le petit-fils ou neveu de monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, et à ce titre, il reçoit des largesses de sa part comme il le fait pour certains ministres. Combien aurait-il reçu, quand, où et pourquoi ? Si d’un coup de baguette magique, M. Alaba recevait dans une année, de la part de son illustre parent, une largesse en espèces représentant trois-cent (300) fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire, n’y aurait-il pas lieu de se poser toute sorte de questions ? Si largesse il y avait, il conviendrait de vérifier si monsieur Bosco Alaba Fall a déclaré auprès des Impôts les dons qu’il aurait reçus de la part de son bienfaiteur monsieur le Président de la République. En définitive, malgré nos efforts inlassables, nous n’avons pas pu trouver de raison valable qui puisse expliquer l’accroissement subit et vertigineux des avoirs bancaires du procureur ALABA Fall Bosco. Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est fonctionnaire de l’Etat gabonais et qu’à ce titre, il est un justiciable de la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite ; Qu’en effet, l’article 3 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 instituant un régime de prévention et de répression de l’enrichissement illicite en République Gabonaise stipule que : « les dispositions de la présente Loi s’appliquent à tout dépositaire de l’autorité de l’Etat : Autorité politique, Autorité administrative, Agent public, ainsi que tout préposé statutaire ou occasionnel de l’Etat, des collectivités locales, des établissements publics ou parapublics » ; Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est magistrat, et de surcroît Procureur de la République ; Qu’à ce titre, il est un agent public au sens de la Loi et qu’il est donc susceptible de se voir appliquer la présente Loi ; Considérant que l’article 2 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 dispose la chose suivante : « Au sens de la présente Loi, est considéré comme enrichissement illicite le fait, pour tout dépositaire de l’autorité de l’Etat, de réaliser ou de tenter de réaliser des profits personnels ou d’obtenir tout autre avantage de toute nature : - au moyen d’actes de corruption active ou passive, de concussion, de fraude, de détournement ou de soustraction frauduleuse de deniers publics ou de biens publics, d’abus de pouvoir, de trafic d’influence, de prise illégale d’intérêts ou de tout autre procédé illicite...etc. Est également considéré comme enrichissement illicite l’augmentation significative du patrimoine de tout dépositaire de l’autorité de l’Etat que celui-ci ne peut raisonnablement justifier par rapport aux revenus qu’il a légitimement perçus ». Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco, au vu de ses relevés de compte bancaire couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008, qui ont été distribués à toute la population gabonaise, a, sur son compte courant n°00012374602-53 ouvert dans les livres de la BGFI BANK, fait verser en espèces par un tiers le dénommé Angue Kpako Constant, les sommes faramineuses de 200.000.000 F cfa, le 31 juillet 2007 et 100.000.000, le 1er août 2007, soit au total en l’espace de deux jours près de 300 fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire ; Que nous avons avec beaucoup de sérieux, récolté ici et là des arguments qui pouvaient être des moyens d’explication de l’augmentation vertigineuse et subite des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Qu’en tout état de cause, tous les arguments que nous récolté et analysé ci-dessus ne permettaient pas de justifier l’origine licite de l’augmentation subite et vertigineuse des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Considérant que les dépôts en espèces ci-dessus relatés constituent, n’en point en douter, le délit d’enrichissement illicite ; Considérant que le versement en espèces sur le compte bancaire est un moyen permettant de créer une rupture dans la traçabilité de l’origine des fonds ; Considérant que l’usage systématique d’un tiers pour faire des dépôts en espèces aussi important est un moyen visant la non identification du bénéficiaire du dépôt, à savoir monsieur Alaba Fall Bosco qui est un homme public aisément reconnaissable s’il se présente au guichet d’une banque de la place de Libreville ; Considérant que la BGFIBANK a méconnu les dispositions du Règlement 01/03-CEMAC-UMAC du 04 avril 2003 portant prévention et répression du blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme en Afrique Centrale, en assurant l’opération de dépôt de ces sommes sur le compte de monsieur Alaba Fall Bosco sans se renseigner sur leur origine, et de cette manière assurant leur blanchiment ; Nous venons porter plainte : - pour enrichissement illicite contre monsieur ALABA Fall Bosco, Procureur de la République ; - pour complicité d’enrichissement illicite et recel Angue Kpako Constant, et consorts. Cette plainte ne devra pas étonner monsieur ALABA qui le 13 février 2008 se proclamant « gardien du droit pénal », dans l’interview qu’il accordait au Journal « L’Union », avait déclaré ceci : « Tous les citoyens étant égaux devant la Loi, tous les gabonais doivent désormais intégrer qu’en ce qui concerne le parquet de la République, l’heure des traitements de faveur est terminée, et que la Justice se fera, au niveau du Tribunal, sans tenir compte des origines et du statut des individus... La Nation que nous construisons ne peut plus s’accommoder de tels errements. C’est du passé, et s’il y a encore des citoyens qui pensent être des intouchables, au-dessus de la loi, qu’ils se détrompent dès aujourd’hui ». Mieux, le ministre de l’Intérieur dans l’interview donné sur RFI -journal RFI Afrique 6h30-7h00 GMT du 31 /07/2008- annonçait ceci en réponse à l’interrogation du journaliste : « ...il n’y a t il pas tout de même une volonté des autorités de mettre le couvercle sur les affaires de corruption qu’il peut y avoir dans le pays.... » André Mba Obame répondait ceci : « ....le gouvernement à travers des organismes spécialisés est entrain de mener une vaste campagne contre la corruption...Il y a une commission qui a été mise en place contre l’enrichissement illicite donc laissons tout ce monde là faire le travail... ». Considérant le discours du Président de la République prononcé à l’occasion des quarante (40) ans de son accession à la magistrature suprême, le 01 décembre 2007, à travers lequel il dénonçait : « la course pour l’enrichissement illicite devenue trop forte, l’affairisme, la corruption, la politisation outrancière et le népotisme qui ont gangrené les pouvoirs publics » tout en fustigeant le comportement de certains magistrats véreux qui seront sanctionnés ; Considérant la campagne actuelle de lutte contre la corruption menée par le Ministère du contrôle d’Etat chargé de la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite ; Considérant le rôle joué par les magistrats dans le système gouvernemental d’éradication de la corruption et de l’enrichissement illicite dans notre pays ; Considérant l’obligation pour Monsieur Bosco ALABA FALL de fournir à la Justice les éclaircissements et de lever toute équivoque sur la provenance des importantes sommes d’argent (300 millions) versées en espèces dans son compte BGFIBANK en deux jours, en violation du règlement bancaire exigeant une justification pour tout versement dépassant cinq (5) millions de francs cfa ; Considérant la nécessité de préserver l’intégrité et la probité de la justice gabonaise lorsque l’un de ses acteurs est incriminé ; Nous formons le vÅ“u que la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite mette tous les moyens en Å“uvre afin de donner à la présente plainte la plus haute attention. Les signataires Pour Brainforest Georges MPAGA, ROLBG, Georges MPAGA, AFRIQUE-HORIZON Alain MOUPOPA From protected at hotmail.fr Sun Oct 19 09:01:47 2008 From: protected at hotmail.fr (jea nestor Moungomo) Date: Sun, 19 Oct 2008 09:01:47 -0400 Subject: [BDPalabres] 2AEG (Aide et Action Pour les Enfants du Gabon) Message-ID: Chers compatriotes, Gabonais d’origine et d’adoption c’est avec un réel plaisir que je viens vers vous. Nous sommes tous une génération d'hommes et de femmes qui veulent être acteurs d'un présent et d'un futur meilleurs, épris des énergies formidables, des solidarités inventives et des générosités discrètes. En effet avec un groupe d’amis, j’ai mis en place, en Janvier 2008 une structure humanitaire denommer 2AEG (Aide et Action pour Les Enfants du Gabon). Pour éviter le mélange du genre, cette structure a pour objectifs d’aider les Enfants du Gabon dans les domaines tels que : la santé, l’éducation, le sport, le developpement rural et la communication. Pour lancer cette structure au Gabon, des actions dans le sport ont été orgainisées l’été 2008 à Mouila avec l’appui des clubs de Valenciennes Football Club et de Lyon Handball. 2AEG (Aide et Action pour les Enfants du Gabon) se résume comme une structure humanitaire au cÅ“ur du developpment pour combattre les fléaux du sous developpement. Nous faisons appel à toutes les bonnes volontés qui veulent Å“uvrer avec nous dans cette aventure noble et humaine pour les Enfants du Gabon. Cordialement : Jean Nestor Moungomo Pour nous contacter Monsieur Moungomo Jean Nestor Président fondateur de 2AEG : 06 13 99 99 58. 2AEG (Aide et Action pour Les Enfants du Gabon) 2-4 Place Henri Barbusse 92300 Levallois Perret 2AEG Enregistrement à la préfecture des Hauts de seine Le 7 Janvier 2008 N°19030922 Référence DJO Journal officiel du 02/02/2008 N°02155 Moungomo Jean Nestor 2 Place Henry Barbusse 92300 Levallois Perret portable : 06 13 99 99 58 Moungomo Jean Nestor Diplômé en management et marketing de sport Diplômé en Gestion des Organisations sportives Technicien de l'éducation populaire Educateur Sportif Pour Tous Entraineur d'athlétisme. From protected at hotmail.fr Sun Oct 19 09:01:47 2008 From: protected at hotmail.fr (jea nestor Moungomo) Date: Sun, 19 Oct 2008 09:01:47 -0400 Subject: [BDPalabres] 2AEG (Aide et Action Pour les Enfants du Gabon) Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- Chers compatriotes, Gabonais d’origine et d’adoption c’est avec un réel plaisir que je viens vers vous. Nous sommes tous une génération d'hommes et de femmes qui veulent être acteurs d'un présent et d'un futur meilleurs, épris des énergies formidables, des solidarités inventives et des générosités discrètes. En effet avec un groupe d’amis, j’ai mis en place, en Janvier 2008 une structure humanitaire denommer 2AEG (Aide et Action pour Les Enfants du Gabon). Pour éviter le mélange du genre, cette structure a pour objectifs d’aider les Enfants du Gabon dans les domaines tels que : la santé, l’éducation, le sport, le developpement rural et la communication. Pour lancer cette structure au Gabon, des actions dans le sport ont été orgainisées l’été 2008 à Mouila avec l’appui des clubs de Valenciennes Football Club et de Lyon Handball. 2AEG (Aide et Action pour les Enfants du Gabon) se résume comme une structure humanitaire au cÅ“ur du developpment pour combattre les fléaux du sous developpement. Nous faisons appel à toutes les bonnes volontés qui veulent Å“uvrer avec nous dans cette aventure noble et humaine pour les Enfants du Gabon. Cordialement : Jean Nestor Moungomo Pour nous contacter Monsieur Moungomo Jean Nestor Président fondateur de 2AEG : 06 13 99 99 58. 2AEG (Aide et Action pour Les Enfants du Gabon) 2-4 Place Henri Barbusse 92300 Levallois Perret 2AEG Enregistrement à la préfecture des Hauts de seine Le 7 Janvier 2008 N°19030922 Référence DJO Journal officiel du 02/02/2008 N°02155 Moungomo Jean Nestor 2 Place Henry Barbusse 92300 Levallois Perret portable : 06 13 99 99 58 Moungomo Jean Nestor Diplômé en management et marketing de sport Diplômé en Gestion des Organisations sportives Technicien de l'éducation populaire Educateur Sportif Pour Tous Entraineur d'athlétisme. -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at yahoo.com Thu Oct 16 22:50:02 2008 From: protected at yahoo.com (Gabonais Diaspora) Date: Thu, 16 Oct 2008 22:50:02 -0400 Subject: [BDPalabres] Du Nouveau pour le site des 10 Gabonais de la Diaspora... Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- Chers compatriotes, Les temps approchent, où le Gabon fera son grand toilettage politique, dont le dernier remonte au 2 décembre 1967, date de la prise de fonction d'Albert Bernard (Omar) Bongo, l'actuel président de notre pays.. Pour ce grand rendez-vous, auquel tout citoyen gabonais devra prendre part, nous avons voulu sélectionner pour vous, comme cela a été fait par nos confrères de "Jeune Afrique", concernant les "100 hommes clé du Gabon", ceux de nos compatriotes "visibles", qui contribuent au rayonnement de notre Diaspora, hors du territoire national. Cette liste de compatriotes, régulièrement mis à jour, est désormais consultable sur un nouveau site Internet, plus accessible et offrant plus d'interactivité. Vous pourrez désormais poster vos commentaires. http://gabon.typepad.fr/ Nous vous souhaitons dores et déjà une bonne navigation. Le Collectif "Diaspora Gabonaise" gabonaisdiaspora at yahoo.com -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at gmail.com Sun Oct 19 08:57:57 2008 From: protected at gmail.com (Petit Léon MBA-MINKO) Date: Sun, 19 Oct 2008 08:57:57 -0400 Subject: [BDPalabres] Pourquoi continuer à aimer la France... Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- Comment continuer à aimer la France, le "pays des droits de l'homme (blanc)", alors qu'elle demeure jusqu'à ce jour la seule puissante mondiale à entretenir une cour plétorienne des plus détestables dictateurs de la planête ? Dans les grands rassemblements de la Francophonie (kermesses où l'on distribue des gâteaux aux meilleurs élèves dictateurs), où la France trône au sommet en tant qu'ancienne puissance coloniale (pas entièrement repentie diront certains), au milieu des pires autocrates de la planête, un siècle d'exploitation et de répression peut-il expliquer les maux que trimballent encore de nombreux pays afraicains aujourd'hui? Qu'est-ce qui explique que certains s'en tirent plutôt bien alors que d'autres ont un dossier pitoyable? Ficelles tirées par la métropole et le «grand ordre mondial» ou élites locales corrompues? Les vieux dictateurs seraient-ils plus accommodants, moins gênants et... plus démocratiques? Car un bref tour de piste des visiteurs attendus dans la ville du 400e révèle que de nombreux chefs d'État sont d'abord arrivés au pouvoir par un putsch. Si certains ont été «élus» depuis, avec des scores à la 95 %, leur maintien en place relève souvent de la force brute, du népotisme et de la cleptocratie, très souvent encouragés et soutenus par la France. Le doyen Pour débuter l'examen des mains de fer, il faut inévitablement passer par le doyen des chefs africains, l'illustre Omar Bongo. Ce dernier, au pouvoir depuis 1967 et ne cachant pas son désir de gouverner à vie, n'a que faire des éloges posthumes : il a rebaptisé sa ville de naissance Bongoville et l'université de la capitale porte son nom. Toutes ces années au pouvoir lui auront valu plus que ces auto-hommages : on dit que Bongo est l'un des chefs d'État les plus fortunés de la planète. II est toujours bien en vue dans la «Françafrique» et malgré la «rupture» prêchée par Sarkozy, le président français s'est assuré de maintenir de solides liens avec l'ancienne colonie. «Omar Bongo est le doyen des chefs d'État et, en Afrique, le doyen, cela compte», a déclaré Sarkozy lors d'une visite officielle au Gabon en juillet 2007, selon Le Monde. Si Omar Bongo vient à Québec, les deux hommes pourront certes s'échanger une poignée de main chaleureuse. Le contesté Selon différents sites camerounais, le président du Cameroun, Paul Biya, pourrait faire l'objet de contestations à Québec. On rapporte que son personnel serait actif au Canada pour sonder la communauté camerounaise et récolter des appuis afin d'offrir à M. Biya un «accueil chaleureux». Mais cet homme politique n'est pas porté dans tous les cÅ“urs. Au pouvoir depuis 1982, il a provoqué de violentes émeutes plus tôt cette année lorsqu'il a décidé de briguer un autre mandat en 2011. On peut donc lire sur Internet que «plusieurs Camerounais du Canada comptent profiter du séjour de Paul Biya au Canada pour lui réclamer des réponses sur les questions liées à la décrépitude du Cameroun». Le pire La Guinée équatoriale de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo figure parmi les pays les plus mal en point du monde. Nguema Mbasogo est arrivé au pouvoir en 1979 en assassinant son propre oncle. Depuis, il a été élu en 2002, mais avec un score de 97 %. Malgré des réserves de pétrole qui en font le troisième pays producteur en Afrique, les habitants de la Guinée équatoriale sont des plus pauvres. La raison est fort simple : le pays se classe 168e sur 180 sur l'échelle de corruption de l'organisme Transparency International. Les héritiers La Francophonie, malgré ses principes de démocratie, n'est pas exempte de princes héritiers. Étrangement, c'est probablement un vrai prince, descendant d'un vrai roi dans un régime monarchiste, qui a amené son pays à faire le plus de progrès en devenant le nouveau souverain, le roi Mohammed VI du Maroc. Quant aux faux princes, il faut désigner Joseph Kabila en République démocratique du Congo, ayant succédé à son père Laurent-Désiré Kabila, assassiné en 2001. Bien qu'élu en 2006 dans des élections ayant marqué un pas vers l'avant, Kabila fils n'a pu instaurer un climat de bonne entente et il est accusé de ne tolérer aucune opposition. Le pays est déchiré par des conflits armés internes, largement motivés par ses immenses ressources naturelles. L'autre prince est Faure Gnassingbe du Togo. Placé au pouvoir par l'armée en 2005 après la mort de son père, Eyadema, qui avait dirigé le pays durant 38 ans, il a été «élu» la même année dans un processus marqué de violences. Les crimes commis par le pouvoir dans cet épisode demeurent impunis. Quant à Hosni Mubarak, à la tête de l'Égypte depuis 1981, on soupçonne qu'il lèguera le pouvoir à son fils Gamal. Non les moindres Plusieurs autres dirigeants de pays membres de la Francophonie ne donnent pas leur place en matière de mauvaise gouvernance, de répression des droits fondamentaux et de corruption. Le Congo Brazzaville de Denis Sassou-Nguesso se classe 141e sur 150 dans l'évaluation de la démocratie de WorldAudit.org. Paul Kagame, aux commandes du Rwanda, est loin de faire l'unanimité dans ce pays traumatisé par la rivalité ethnique. Lors de sa visite à Montréal en 2006, des membres de la communauté rwandaise l'avaient accueilli avec une brique et un fanal. Idriss Déby du Tchad est arrivé au pouvoir par un coup d'État en 1990. À deux reprises, dernièrement, son régime, menacé par des rebelles, a été protégé par une intervention de l'armée française. Ben Ali en Tunisie, Blaise Compaore au Burkina Faso et Lansana Conte en Guinée ne donnent pas leur place non plus, littéralement. Ces hommes sont au pouvoir depuis respectivement 1987, 1987 et 1984. Ben Ali est, selon Reporters sans frontière, un «prédateur» de la liberté de la presse. Petite anecdote québecquoise... Alors que le protocole ne prévoit que le président de la république plus quatre collaborateurs, certaines délégations africaines affichent de 40 à 80 personnes, suscitant la surprise des organisateurs canadiens du 12ème Sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) qui se tient samedi et dimanche à Québec, au Canada. Selon une source digne de foi, la délégation gabonaise au sommet compte 80 personnes tandis la délégation de la RD Congo est annoncée avec 60 personnes. La délégation nigérienne compte 30 personnes alors que celle du Congo ne compte pas moins de 40 personnes. "C’est à ne pas croire : deux tiers de membres de certaines délégations n’ont rien à faire au sommet. Ce sont des membres de la clientèle politique", s’est emporté un journaliste congolais présent au Sommet. Une trentaine de chefs d’Etat africains est attendue à ce 12ème Sommet francophone qui examinera, entre autres, la situation financière internationale, les questions environnementales ainsi que les crises dans l’espace francophone. -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at yahoo.fr Sun Oct 19 08:56:49 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Sun, 19 Oct 2008 08:56:49 -0400 Subject: [BDPalabres] Sarko en Afrique Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. 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Chroniqueurs aguerris du tango ambigu que dansent depuis des lustres l'ancienne métropole coloniale et le continent noir, Antoine Glaser et Stephen Smith décryptent d'une plume implacable et souvent ironique la trahison par Nicolas Sarkozy de ses promesses de rupture avec les turpitudes d'hier. Quitte à endosser un costume un peu ample pour lui, un personnage incarne cette duperie: Robert Bourgi, inusable gardien du musée vivant de la «Françafrique», dont le retour en grâce aura sonné le glas des espérances de ceux qui, jusqu'au coeur de l'Elysée, ont voulu y croire. L'emprise insolite du Gabonais Omar Bongo, le calamiteux discours de Dakar (juillet 2007), l'immigration choisie, l'épopée avortée de l'Eufor, cette force plus française qu'européenne campant aux portes du Darfour soudanais, les dessous, en ces temps de procès de l'Angolagate, du laborieux rabibochage avec Luanda, les heurs et malheurs des hommes d'affaires en cour à l'Elysée: tout y passe ou presque. Le déclin irréversible de l'engagement tricolore Le livre, on l'aura compris, vaut bien mieux que son titre, étonnamment plat. Car les Lapierre et Collins de l'Afrique contemporaine mettent aussi en évidence le caractère dérisoire de manoeuvres d'antichambre qui masquent mal le déclin irréversible de l'engagement tricolore dans l'ex- «pré carré». Il arrive pourtant qu'affleure une légère déception. Notamment lorsque les auteurs évoquent sur le mode allusif les coulisses de l'affaire Borrel - ce magistrat assassiné à Djibouti en octobre 1995 - ou la disparition en avril 2004, à Abidjan, du journaliste franco-canadien Guy-André Kieffer, ils en écrivent trop ou pas assez. De même, l'analyse de l'idée intime que Sarko se fait du continent aurait gagné à être plus fouillée. Le héraut de la rupture avait 2 ans quand retentit le gong des indépendances. Il a donc en main tous les atouts pour solder le legs colonial. Navrant gâchis. L'oeil qui voit tout....seul Dieu est notre limite -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at hotmail.fr Sun Oct 19 08:55:38 2008 From: protected at hotmail.fr (Nathalie Berthon) Date: Sun, 19 Oct 2008 08:55:38 -0400 Subject: [BDPalabres] Un opposant gabonais de nationalité française? Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. 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Un article paru dans le journal gabonais 'Le Nganga' d'hier 16 Octobre2008 , explique qui est vraiment Siméon Jean francis Ekoga (citoyenfrançais ) qui aujourd'hui est en plus des plaintes déposées contre Luipour Diffamations et Outrages ...vient d'écoper d'une plainte (au pénal) pour tentative d'altération de documents officiels ......(tentativede falsification d'un document officiel élaboré par le Commissariat desaint denis)....preuves ont été déposées au Tribunal en vue del'instruction de cette plainte avec convocation de l'officier de Policejudiciaire ayant été a l'origine du document .....les preuvescertifiées conformes ont été bien entendues envoyées aussi a NEWAFRICANà Dakar ainsi qu'a tous les journaux gabonais a libreville. En france un autre envoi a été fait avec les documents certifiésconformes ,a Jeune Afrique , Ambassade du gabon , Bakchich.info,Caisses allocations familiales de saint denis, Préfecture de police ,Commissariat central de saint denis,.Office central d'habitation aloyer modéré , Ministère de l'intérieur , Renseignements généraux (ruecambacérés a paris) Nathalie Berthon érité soit enfin vraiment révélée: teneur de mon envoi: -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at yahoo.fr Sun Oct 19 08:59:51 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Sun, 19 Oct 2008 08:59:51 -0400 Subject: [BDPalabres] LE CAPITALISME TOUCHE T-IL A SA FIN (ARTICLE DE LE MONDE) Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. 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Lire la suite l'article Photos/Vidéos liées "Le capitalisme touche à sa fin" Agrandir la photo Immanuel Wallerstein : Fernand Braudel (1902-1985) distinguait le temps de la "longue durée", qui voit se succéder dans l'histoire humaine des systèmes régissant les rapports de l'homme à son environnement matériel, et, à l'intérieur de ces phases, le temps des cycles longs conjoncturels, décrits par des économistes comme Nicolas Kondratieff (1982-1930) ou Joseph Schumpeter (1883-1950). Nous sommes aujourd'hui clairement dans une phase B d'un cycle de Kondratieff qui a commencé il y a trente à trente-cinq ans, après une phase A qui a été la plus longue (de 1945 à 1975) des cinq cents ans d'histoire du système capitaliste. Dans une phase A, le profit est généré par la production matérielle, industrielle ou autre ; dans une phase B, le capitalisme doit, pour continuer à générer du profit, se financiariser et se réfugier dans la spéculation. Depuis plus de trente ans, les entreprises, les Etats et les ménages s'endettent, massivement. Nous sommes aujourd'hui dans la dernière partie d'une phase B de Kondratieff, lorsque le déclin virtuel devient réel, et que les bulles explosent les unes après les autres : les faillites se multiplient, la concentration du capital augmente, le chômage progresse, et l'économie connaît une situation de déflation réelle. Mais, aujourd'hui, ce moment du cycle conjoncturel coïncide avec, et par conséquent aggrave, une période de transition entre deux systèmes de longue durée. Je pense en effet que nous sommes entrés depuis trente ans dans la phase terminale du système capitaliste. Ce qui différencie fondamentalement cette phase de la succession ininterrompue des cycles conjoncturels antérieurs, c'est que le capitalisme ne parvient plus à "faire système", au sens où l'entend le physicien et chimiste Ilya Prigogine (1917-2003) : quand un système, biologique, chimique ou social, dévie trop et trop souvent de sa situation de stabilité, il ne parvient plus à retrouver l'équilibre, et l'on assiste alors à une bifurcation. La situation devient chaotique, incontrôlable pour les forces qui la dominaient jusqu'alors, et l'on voit émerger une lutte, non plus entre les tenants et les adversaires du système, mais entre tous les acteurs pour déterminer ce qui va le remplacer. Je réserve l'usage du mot "crise" à ce type de période. Eh bien, nous sommes en crise. Le capitalisme touche à sa fin. Pourquoi ne s'agirait-il pas plutôt d'une nouvelle mutation du capitalisme, qui a déjà connu, après tout, le passage du capitalisme marchand au capitalisme industriel, puis du capitalisme industriel au capitalisme financier ? Le capitalisme est omnivore, il capte le profit là où il est le plus important à un moment donné ; il ne se contente pas de petits profits marginaux ; au contraire, il les maximise en constituant des monopoles - il a encore essayé de le faire dernièrement dans les biotechnologies et les technologies de l'information. Mais je pense que les possibilités d'accumulation réelle du système ont atteint leurs limites. Le capitalisme, depuis sa naissance dans la seconde moitié du XVIe siècle, se nourrit du différentiel de richesse entre un centre, où convergent les profits, et des périphéries (pas forcément géographiques) de plus en plus appauvries. A cet égard, le rattrapage économique de l'Asie de l'Est, de l'Inde, de l'Amérique latine, constitue un défi insurmontable pour "l'économie-monde" créée par l'Occident, qui ne parvient plus à contrôler les coûts de l'accumulation. Les trois courbes mondiales des prix de la main-d'oeuvre, des matières premières et des impôts sont partout en forte hausse depuis des décennies. La courte période néolibérale qui est en train de s'achever n'a inversé que provisoirement la tendance : à la fin des années 1990, ces coûts étaient certes moins élevés qu'en 1970, mais ils étaient bien plus importants qu'en 1945. En fait, la dernière période d'accumulation réelle - les "trente glorieuses" - n'a été possible que parce que les Etats keynésiens ont mis leurs forces au service du capital. Mais, là encore, la limite a été atteinte ! Y a-t-il des précédents à la phase actuelle, telle que vous la décrivez ? Il y en a eu beaucoup dans l'histoire de l'humanité, contrairement à ce que renvoie la représentation, forgée au milieu du XIXe siècle, d'un progrès continu et inévitable, y compris dans sa version marxiste. Je préfère me cantonner à la thèse de la possibilité du progrès, et non à son inéluctabilité. Certes, le capitalisme est le système qui a su produire, de façon extraordinaire et remarquable, le plus de biens et de richesses. Mais il faut aussi regarder la somme des pertes - pour l'environnement, pour les sociétés - qu'il a engendrées. Le seul bien, c'est celui qui permet d'obtenir pour le plus grand nombre une vie rationnelle et intelligente. Cela dit, la crise la plus récente similaire à celle d'aujourd'hui est l'effondrement du système féodal en Europe, entre les milieux du XVe et du XVIe siècle, et son remplacement par le système capitaliste. Cette période, qui culmine avec les guerres de religion, voit s'effondrer l'emprise des autorités royales, seigneuriales et religieuses sur les plus riches communautés paysannes et sur les villes. C'est là que se construisent, par tâtonnements successifs et de façon inconsciente, des solutions inattendues dont le succès finira par "faire système" en s'étendant peu à peu, sous la forme du capitalisme. Combien de temps la transition actuelle devrait-elle durer, et sur quoi pourrait-elle déboucher ? La période de destruction de valeur qui clôt la phase B d'un cycle Kondratieff dure généralement de deux à cinq ans avant que les conditions d'entrée dans une phase A, lorsqu'un profit réel peut de nouveau être tiré de nouvelles productions matérielles décrites par Schumpeter, sont réunies. Mais le fait que cette phase corresponde actuellement à une crise de système nous a fait entrer dans une période de chaos politique durant laquelle les acteurs dominants, à la tête des entreprises et des Etats occidentaux, vont faire tout ce qu'il est techniquement possible pour retrouver l'équilibre, mais il est fort probable qu'ils n'y parviendront pas. Les plus intelligents, eux, ont déjà compris qu'il fallait mettre en place quelque chose d'entièrement nouveau. Mais de multiples acteurs agissent déjà, de façon désordonnée et inconsciente, pour faire émerger de nouvelles solutions, sans que l'on sache encore quel système sortira de ces tâtonnements. Nous sommes dans une période, assez rare, où la crise et l'impuissance des puissants laissent une place au libre arbitre de chacun : il existe aujourd'hui un laps de temps pendant lequel nous avons chacun la possibilité d'influencer l'avenir par notre action individuelle. Mais comme cet avenir sera la somme du nombre incalculable de ces actions, il est absolument impossible de prévoir quel modèle s'imposera finalement. Dans dix ans, on y verra peut-être plus clair ; dans trente ou quarante ans, un nouveau système aura émergé. Je crois qu'il est tout aussi possible de voir s'installer un système d'exploitation hélas encore plus violent que le capitalisme, que de voir au contraire se mettre en place un modèle plus égalitaire et redistributif. Les mutations antérieures du capitalisme ont souvent débouché sur un déplacement du centre de "l'économie-monde", par exemple depuis le Bassin méditerranéen vers la côte Atlantique de l'Europe, puis vers celle des Etats-Unis ? Le système à venir sera-t-il centré sur la Chine ? La crise que nous vivons correspond aussi à la fin d'un cycle politique, celui de l'hégémonie américaine, entamée également dans les années 1970. Les Etats-Unis resteront un acteur important, mais ils ne pourront plus jamais reconquérir leur position dominante face à la multiplication des centres de pouvoir, avec l'Europe occidentale, la Chine, le Brésil, l'Inde. Un nouveau pouvoir hégémonique, si l'on s'en réfère au temps long braudélien, peut mettre encore cinquante ans pour s'imposer. Mais j'ignore lequel. En attendant, les conséquences politiques de la crise actuelle seront énormes, dans la mesure où les maîtres du système vont tenter de trouver des boucs émissaires à l'effondrement de leur hégémonie. Je pense que la moitié du peuple américain n'acceptera pas ce qui est en train de se passer. Les conflits internes vont donc s'exacerber aux Etats-Unis, qui sont en passe de devenir le pays du monde le plus instable politiquement. Et n'oubliez pas que nous, les Américains, nous sommes tous armés... MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Ven 17.10.08, Tchilo Ngwemyene a écrit : De: Tchilo Ngwemyene Objet: [BDPalabres] plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Vendredi 17 Octobre 2008, 5h06 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ 13 octobre 2008 GABON : plainte pour enrichissement illicite. A Monsieur le Président de la Commission Nationale de Lutte contre l’enrichissement illicite Libreville Objet : plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite Monsieur le Président Conformément à l’article 28 de la Loi n°2/2003 du 02 juin 2003 portant création, organisation et fonctionnement de la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite, qui dispose : « En matière d’investigation, la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite est saisie soit de sa propre initiative, soit par le Commissaire de gouvernement, soit par toute autre autorité administrative ou par toute personne intéressée ». Nous, Réseau Gabonais de Bonne Gouvernance (ROLGB) présidé par M. Georges MPAGA, (Tel. +241 - 07 51 99 32) et nous, AFRIQUE-HORIZONS, présidé par M. Alain MOUPOPA (Tel. +241 06 73 34 73), Marc ONA ESSANGUI, Président de Brainforest (+241 07294140) qui agissons en tant qu’acteurs de la Société Civile au Gabon, pour la transparence et la lutte contre la corruption. Avons l’honneur de venir, respectueusement, auprès de votre Institution porter plainte pour les faits suivants : Courant juin 2008, nous avons reçu par courriel et par voie postale le relevé du compte bancaire no 00012374602-53 ouvert auprès de la BGFIBANK Libreville, qui indiquait des avoirs bancaires importants appartenant à un certain ALABA Fall Bosco, suivis de graphiques, d’analyses et de commentaires dignes d’un travail d’expert. Nous avons pensé qu’il s’agissait de tracts comme il est malheureusement de coutume dans notre pays. Cependant, le niveau de précision et la qualité des analyses contenues dans ces documents ont attiré notre attention car nous avons pensé qu’il pouvait bien s’agir du célèbre et bien connu ALABA Fall Bosco qui occupe les fonctions de Procureur de la République auprès du Tribunal de Première Instance de Libreville, et qui a le statut de magistrat et donc de fonctionnaire auprès du Ministère de la Justice de la République du Gabon. Dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » a publié un long article intitulé « Le secret bancaire dévoyé - BGFI et le compte d’Alaba ! » dans lequel il faisait état de « la publication et la large diffusion de relevés bancaires du Procureur de la République » et révélait au grand jour la violation du secret bancaire « qui empoisonne désormais l’atmosphère entre la BGFI et un client tout particulier Alaba Bosco Fall... » . C’est ainsi que nous avons pris conscience que nous étions en possession de relevés bancaires qui très probablement étaient ceux du Procureur de la République Alaba Fall Bosco. Notre présomption s’est renforcée lorsque le rédacteur de l’article a indiqué « Contrairement à d’autres personnalités, nous pensons que le solde truqué à fin janvier 2008 chiffré à 200.793.974 FCFA apparaît modeste » et qu’il a donné une liste d’informations (sur lesquelles nous revenons plus loin) qui semblait venir en réponse aux questions posées par le travail digne d’un expert que nous avions initialement pris pour un tract. L’hypothèse de l’existence d’un sérieux problème posé par les avoirs bancaires d’un Procureur de la République, incommensurable avec son statut de fonctionnaire et son traitement mensuel se faisait plus précise. Telle a été notre surprise de constater que dans la même période, M. Alaba FALL BOSCO, Procureur de la République de son état, confirmait expressément être le titulaire dudit compte en portant plainte contre Mademoiselle Marlene Rapontchombo, ex-employée de la BGFIBANK qu’il soupçonnait d’être à l’origine de cette divulgation, ceci conduisant à sa mise sous mandat de dépôt le 17 juillet 2008. Alors que dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » parlait de « solde truqué » nous avons noté qu’à ce jour, ni M. Alaba FALL BOSCO et ni la BGFIBANK n’ont jamais contesté de quelque manière que ce soit les informations contenues dans les relevés bancaires litigieux, notamment que le solde au 13 février 2008 s’élevait à 200.793.974 FCFA. Que si M. Alaba FALL BOSCO fait preuve depuis lors d’une nervosité extrême, c’est bien parce qu’il a conscience que son compte présente un solde créditeur et a enregistré des opérations très certainement incompatibles avec son statut de fonctionnaire de justice et son traitement mensuel. Ainsi, nous n’avons plus de doute sur l’authenticité des relevés bancaires que nous avons reçus et des informations qu’ils comportent couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008. On peut lire que, M. Alaba FALL BOSCO a perçu dans son compte sur la période de référence, un traitement mensuel net de 1.295.252 FCFA qui lui a été versé régulièrement à date fixe, en général dans la dernière semaine du mois. Nous avons été grandement surpris de constater que sur la période allant de juillet 2007 à janvier 2008, ledit compte présentait un solde créditeur constamment supérieur à plus de 200 fois le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO alors qu’en début d’année 2007 ledit compte courant n’enregistrait que le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO à son crédit et les retraits y afférents à son débit. Ainsi, les avoirs de M. Alaba FALL BOSCO, ont connu un accroissement subit et vertigineux qui ne pouvait qu’attirer notre curiosité. Après une lecture attentive de ce relevé de compte nous avons constaté que cette augmentation des avoirs de M. Alaba FALL BOSCO au cours de l’année 2007, provenait de trois (3) versements en espèces effectués le 12 mars 2007 pour 29.740.000 FCFA, le 31 juillet 2007 pour 200.000.000 FCFA, et le 1er août 2007 pour 100.000.000 FCFA. Tous ces versements ayant été effectués par un tiers, le dénommé Angue KPAKO Constant. C’est ainsi que nous posons plusieurs questions essentielles : - quelle est l’origine de ces importantes sommes d’argent totalisant 329.740.000 FCFA qui ont été remises en espèces sur le compte du Procureur de la République ? - quelles raisons pourraient expliquer le dépôt en espèces de la somme faramineuse de 300.000.000 FCFA en l’espace de deux jours sur le compte du Procureur de la République ? - quelle est la nature de la relation entre M. Alaba FALL BOSCO et le dénommé Angue KPAKO Constant qui conduit ce dernier à faire des versements en espèces très importants sur le compte du Procureur de la République ? Nous nous sommes reportés sur les pistes suggérées par l’hebdomadaire « Le NGANGA » dans son édition du 23 juillet 2008 ou encore sur le site Internet de Croissance saine environnement : www..croissancesaine.org Quelles sont ces pistes ? M. Alaba et son épouse détiendraient un patrimoine immobilier - 27 maisons - qui leur rapporteraient sept (07) fois son salaire, c’est-à-dire environ 8.400.000 F CFA par mois. Alors nous posons la question : comment se fait-il que du 1er janvier 2007 au 13 février 2008 soit une période de plus de douze mois, le compte n’ait jamais reçu le moindre versement par chèque ou espèces, trois dépôts ci-dessus mentionnés et des salaires mensuels ? - Ainsi, M. Alaba aurait réussi le miracle de collecter le 31 juillet 2007 et en espèces, l’équivalent de 40 mois de loyers de son supposé patrimoine immobilier. M. Alaba serait-il donc propriétaire d’un quartier entier de Libreville ? Et comment aurait-il réussi une telle prouesse avec son traitement de fonctionnaire ? Cette thèse nous apparaît très peu crédible. - M. Alaba serait le responsable d’un Club de football et d’un Club de handball qui reçoivent, respectivement, des Fédérations gabonaises des subventions à hauteur de 50.000.000 F CFA et 26.000.000 FCFA par an. Même si cela était vrai, cela est très insuffisant pour expliquer l’origine de la rondelette somme de 329.740.000 FCFA versées en espèces sur son compte. De plus, cette thèse nous apparaît très peu crédible et de surcroît facilement vérifiable auprès des comptables de ces fédérations sportives. Et pourquoi ces clubs utiliseraient-ils le compte personnel de leur Président alors qu’elles sont des associations avec une personnalité juridique propre ? M. Alaba serait-il ignorant des stipulations du Code Pénal gabonais qui nous éclaire sur les risques encourus en cas de confusion de patrimoine -délit de détournement de deniers publics- ? - M. Alaba serait le petit-fils ou neveu de monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, et à ce titre, il reçoit des largesses de sa part comme il le fait pour certains ministres. Combien aurait-il reçu, quand, où et pourquoi ? Si d’un coup de baguette magique, M. Alaba recevait dans une année, de la part de son illustre parent, une largesse en espèces représentant trois-cent (300) fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire, n’y aurait-il pas lieu de se poser toute sorte de questions ? Si largesse il y avait, il conviendrait de vérifier si monsieur Bosco Alaba Fall a déclaré auprès des Impôts les dons qu’il aurait reçus de la part de son bienfaiteur monsieur le Président de la République. En définitive, malgré nos efforts inlassables, nous n’avons pas pu trouver de raison valable qui puisse expliquer l’accroissement subit et vertigineux des avoirs bancaires du procureur ALABA Fall Bosco. Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est fonctionnaire de l’Etat gabonais et qu’à ce titre, il est un justiciable de la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite ; Qu’en effet, l’article 3 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 instituant un régime de prévention et de répression de l’enrichissement illicite en République Gabonaise stipule que : « les dispositions de la présente Loi s’appliquent à tout dépositaire de l’autorité de l’Etat : Autorité politique, Autorité administrative, Agent public, ainsi que tout préposé statutaire ou occasionnel de l’Etat, des collectivités locales, des établissements publics ou parapublics » ; Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est magistrat, et de surcroît Procureur de la République ; Qu’à ce titre, il est un agent public au sens de la Loi et qu’il est donc susceptible de se voir appliquer la présente Loi ; Considérant que l’article 2 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 dispose la chose suivante : « Au sens de la présente Loi, est considéré comme enrichissement illicite le fait, pour tout dépositaire de l’autorité de l’Etat, de réaliser ou de tenter de réaliser des profits personnels ou d’obtenir tout autre avantage de toute nature : - au moyen d’actes de corruption active ou passive, de concussion, de fraude, de détournement ou de soustraction frauduleuse de deniers publics ou de biens publics, d’abus de pouvoir, de trafic d’influence, de prise illégale d’intérêts ou de tout autre procédé illicite...etc. Est également considéré comme enrichissement illicite l’augmentation significative du patrimoine de tout dépositaire de l’autorité de l’Etat que celui-ci ne peut raisonnablement justifier par rapport aux revenus qu’il a légitimement perçus ». Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco, au vu de ses relevés de compte bancaire couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008, qui ont été distribués à toute la population gabonaise, a, sur son compte courant n°00012374602-53 ouvert dans les livres de la BGFI BANK, fait verser en espèces par un tiers le dénommé Angue Kpako Constant, les sommes faramineuses de 200.000.000 F cfa, le 31 juillet 2007 et 100.000.000, le 1er août 2007, soit au total en l’espace de deux jours près de 300 fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire ; Que nous avons avec beaucoup de sérieux, récolté ici et là des arguments qui pouvaient être des moyens d’explication de l’augmentation vertigineuse et subite des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Qu’en tout état de cause, tous les arguments que nous récolté et analysé ci-dessus ne permettaient pas de justifier l’origine licite de l’augmentation subite et vertigineuse des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Considérant que les dépôts en espèces ci-dessus relatés constituent, n’en point en douter, le délit d’enrichissement illicite ; Considérant que le versement en espèces sur le compte bancaire est un moyen permettant de créer une rupture dans la traçabilité de l’origine des fonds ; Considérant que l’usage systématique d’un tiers pour faire des dépôts en espèces aussi important est un moyen visant la non identification du bénéficiaire du dépôt, à savoir monsieur Alaba Fall Bosco qui est un homme public aisément reconnaissable s’il se présente au guichet d’une banque de la place de Libreville ; Considérant que la BGFIBANK a méconnu les dispositions du Règlement 01/03-CEMAC-UMAC du 04 avril 2003 portant prévention et répression du blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme en Afrique Centrale, en assurant l’opération de dépôt de ces sommes sur le compte de monsieur Alaba Fall Bosco sans se renseigner sur leur origine, et de cette manière assurant leur blanchiment ; Nous venons porter plainte : - pour enrichissement illicite contre monsieur ALABA Fall Bosco, Procureur de la République ; - pour complicité d’enrichissement illicite et recel Angue Kpako Constant, et consorts. Cette plainte ne devra pas étonner monsieur ALABA qui le 13 février 2008 se proclamant « gardien du droit pénal », dans l’interview qu’il accordait au Journal « L’Union », avait déclaré ceci : « Tous les citoyens étant égaux devant la Loi, tous les gabonais doivent désormais intégrer qu’en ce qui concerne le parquet de la République, l’heure des traitements de faveur est terminée, et que la Justice se fera, au niveau du Tribunal, sans tenir compte des origines et du statut des individus... La Nation que nous construisons ne peut plus s’accommoder de tels errements. C’est du passé, et s’il y a encore des citoyens qui pensent être des intouchables, au-dessus de la loi, qu’ils se détrompent dès aujourd’hui ». Mieux, le ministre de l’Intérieur dans l’interview donné sur RFI -journal RFI Afrique 6h30-7h00 GMT du 31 /07/2008- annonçait ceci en réponse à l’interrogation du journaliste : « ...il n’y a t il pas tout de même une volonté des autorités de mettre le couvercle sur les affaires de corruption qu’il peut y avoir dans le pays.... » André Mba Obame répondait ceci : « ....le gouvernement à travers des organismes spécialisés est entrain de mener une vaste campagne contre la corruption...Il y a une commission qui a été mise en place contre l’enrichissement illicite donc laissons tout ce monde là faire le travail... ». Considérant le discours du Président de la République prononcé à l’occasion des quarante (40) ans de son accession à la magistrature suprême, le 01 décembre 2007, à travers lequel il dénonçait : « la course pour l’enrichissement illicite devenue trop forte, l’affairisme, la corruption, la politisation outrancière et le népotisme qui ont gangrené les pouvoirs publics » tout en fustigeant le comportement de certains magistrats véreux qui seront sanctionnés ; Considérant la campagne actuelle de lutte contre la corruption menée par le Ministère du contrôle d’Etat chargé de la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite ; Considérant le rôle joué par les magistrats dans le système gouvernemental d’éradication de la corruption et de l’enrichissement illicite dans notre pays ; Considérant l’obligation pour Monsieur Bosco ALABA FALL de fournir à la Justice les éclaircissements et de lever toute équivoque sur la provenance des importantes sommes d’argent (300 millions) versées en espèces dans son compte BGFIBANK en deux jours, en violation du règlement bancaire exigeant une justification pour tout versement dépassant cinq (5) millions de francs cfa ; Considérant la nécessité de préserver l’intégrité et la probité de la justice gabonaise lorsque l’un de ses acteurs est incriminé ; Nous formons le vÅ“u que la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite mette tous les moyens en Å“uvre afin de donner à la présente plainte la plus haute attention. Les signataires Pour Brainforest Georges MPAGA, ROLBG, Georges MPAGA, AFRIQUE-HORIZON Alain MOUPOPA -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at yahoo.fr Thu Oct 16 23:06:51 2008 From: protected at yahoo.fr (Tchilo Ngwemyene) Date: Thu, 16 Oct 2008 23:06:51 -0400 Subject: [BDPalabres] plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. 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A Monsieur le Président de la Commission Nationale de Lutte contre l’enrichissement illicite Libreville Objet : plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite Monsieur le Président Conformément à l’article 28 de la Loi n°2/2003 du 02 juin 2003 portant création, organisation et fonctionnement de la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite, qui dispose : « En matière d’investigation, la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite est saisie soit de sa propre initiative, soit par le Commissaire de gouvernement, soit par toute autre autorité administrative ou par toute personne intéressée ». Nous, Réseau Gabonais de Bonne Gouvernance (ROLGB) présidé par M. Georges MPAGA, (Tel. +241 - 07 51 99 32) et nous, AFRIQUE-HORIZONS, présidé par M. Alain MOUPOPA (Tel. +241 06 73 34 73), Marc ONA ESSANGUI, Président de Brainforest (+241 07294140) qui agissons en tant qu’acteurs de la Société Civile au Gabon, pour la transparence et la lutte contre la corruption. Avons l’honneur de venir, respectueusement, auprès de votre Institution porter plainte pour les faits suivants : Courant juin 2008, nous avons reçu par courriel et par voie postale le relevé du compte bancaire no 00012374602-53 ouvert auprès de la BGFIBANK Libreville, qui indiquait des avoirs bancaires importants appartenant à un certain ALABA Fall Bosco, suivis de graphiques, d’analyses et de commentaires dignes d’un travail d’expert. Nous avons pensé qu’il s’agissait de tracts comme il est malheureusement de coutume dans notre pays. Cependant, le niveau de précision et la qualité des analyses contenues dans ces documents ont attiré notre attention car nous avons pensé qu’il pouvait bien s’agir du célèbre et bien connu ALABA Fall Bosco qui occupe les fonctions de Procureur de la République auprès du Tribunal de Première Instance de Libreville, et qui a le statut de magistrat et donc de fonctionnaire auprès du Ministère de la Justice de la République du Gabon. Dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » a publié un long article intitulé « Le secret bancaire dévoyé - BGFI et le compte d’Alaba ! » dans lequel il faisait état de « la publication et la large diffusion de relevés bancaires du Procureur de la République » et révélait au grand jour la violation du secret bancaire « qui empoisonne désormais l’atmosphère entre la BGFI et un client tout particulier Alaba Bosco Fall... » . C’est ainsi que nous avons pris conscience que nous étions en possession de relevés bancaires qui très probablement étaient ceux du Procureur de la République Alaba Fall Bosco. Notre présomption s’est renforcée lorsque le rédacteur de l’article a indiqué « Contrairement à d’autres personnalités, nous pensons que le solde truqué à fin janvier 2008 chiffré à 200.793.974 FCFA apparaît modeste » et qu’il a donné une liste d’informations (sur lesquelles nous revenons plus loin) qui semblait venir en réponse aux questions posées par le travail digne d’un expert que nous avions initialement pris pour un tract. L’hypothèse de l’existence d’un sérieux problème posé par les avoirs bancaires d’un Procureur de la République, incommensurable avec son statut de fonctionnaire et son traitement mensuel se faisait plus précise. Telle a été notre surprise de constater que dans la même période, M. Alaba FALL BOSCO, Procureur de la République de son état, confirmait expressément être le titulaire dudit compte en portant plainte contre Mademoiselle Marlene Rapontchombo, ex-employée de la BGFIBANK qu’il soupçonnait d’être à l’origine de cette divulgation, ceci conduisant à sa mise sous mandat de dépôt le 17 juillet 2008. Alors que dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » parlait de « solde truqué » nous avons noté qu’à ce jour, ni M. Alaba FALL BOSCO et ni la BGFIBANK n’ont jamais contesté de quelque manière que ce soit les informations contenues dans les relevés bancaires litigieux, notamment que le solde au 13 février 2008 s’élevait à 200.793.974 FCFA. Que si M. Alaba FALL BOSCO fait preuve depuis lors d’une nervosité extrême, c’est bien parce qu’il a conscience que son compte présente un solde créditeur et a enregistré des opérations très certainement incompatibles avec son statut de fonctionnaire de justice et son traitement mensuel. Ainsi, nous n’avons plus de doute sur l’authenticité des relevés bancaires que nous avons reçus et des informations qu’ils comportent couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008. On peut lire que, M. Alaba FALL BOSCO a perçu dans son compte sur la période de référence, un traitement mensuel net de 1.295.252 FCFA qui lui a été versé régulièrement à date fixe, en général dans la dernière semaine du mois. Nous avons été grandement surpris de constater que sur la période allant de juillet 2007 à janvier 2008, ledit compte présentait un solde créditeur constamment supérieur à plus de 200 fois le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO alors qu’en début d’année 2007 ledit compte courant n’enregistrait que le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO à son crédit et les retraits y afférents à son débit. Ainsi, les avoirs de M. Alaba FALL BOSCO, ont connu un accroissement subit et vertigineux qui ne pouvait qu’attirer notre curiosité. Après une lecture attentive de ce relevé de compte nous avons constaté que cette augmentation des avoirs de M. Alaba FALL BOSCO au cours de l’année 2007, provenait de trois (3) versements en espèces effectués le 12 mars 2007 pour 29.740.000 FCFA, le 31 juillet 2007 pour 200.000.000 FCFA, et le 1er août 2007 pour 100.000.000 FCFA. Tous ces versements ayant été effectués par un tiers, le dénommé Angue KPAKO Constant. C’est ainsi que nous posons plusieurs questions essentielles : - quelle est l’origine de ces importantes sommes d’argent totalisant 329.740.000 FCFA qui ont été remises en espèces sur le compte du Procureur de la République ? - quelles raisons pourraient expliquer le dépôt en espèces de la somme faramineuse de 300.000.000 FCFA en l’espace de deux jours sur le compte du Procureur de la République ? - quelle est la nature de la relation entre M. Alaba FALL BOSCO et le dénommé Angue KPAKO Constant qui conduit ce dernier à faire des versements en espèces très importants sur le compte du Procureur de la République ? Nous nous sommes reportés sur les pistes suggérées par l’hebdomadaire « Le NGANGA » dans son édition du 23 juillet 2008 ou encore sur le site Internet de Croissance saine environnement : www..croissancesaine.org Quelles sont ces pistes ? M. Alaba et son épouse détiendraient un patrimoine immobilier - 27 maisons - qui leur rapporteraient sept (07) fois son salaire, c’est-à-dire environ 8.400.000 F CFA par mois. Alors nous posons la question : comment se fait-il que du 1er janvier 2007 au 13 février 2008 soit une période de plus de douze mois, le compte n’ait jamais reçu le moindre versement par chèque ou espèces, trois dépôts ci-dessus mentionnés et des salaires mensuels ? - Ainsi, M. Alaba aurait réussi le miracle de collecter le 31 juillet 2007 et en espèces, l’équivalent de 40 mois de loyers de son supposé patrimoine immobilier. M. Alaba serait-il donc propriétaire d’un quartier entier de Libreville ? Et comment aurait-il réussi une telle prouesse avec son traitement de fonctionnaire ? Cette thèse nous apparaît très peu crédible. - M. Alaba serait le responsable d’un Club de football et d’un Club de handball qui reçoivent, respectivement, des Fédérations gabonaises des subventions à hauteur de 50.000.000 F CFA et 26.000.000 FCFA par an. Même si cela était vrai, cela est très insuffisant pour expliquer l’origine de la rondelette somme de 329.740.000 FCFA versées en espèces sur son compte. De plus, cette thèse nous apparaît très peu crédible et de surcroît facilement vérifiable auprès des comptables de ces fédérations sportives. Et pourquoi ces clubs utiliseraient-ils le compte personnel de leur Président alors qu’elles sont des associations avec une personnalité juridique propre ? M. Alaba serait-il ignorant des stipulations du Code Pénal gabonais qui nous éclaire sur les risques encourus en cas de confusion de patrimoine -délit de détournement de deniers publics- ? - M. Alaba serait le petit-fils ou neveu de monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, et à ce titre, il reçoit des largesses de sa part comme il le fait pour certains ministres. Combien aurait-il reçu, quand, où et pourquoi ? Si d’un coup de baguette magique, M. Alaba recevait dans une année, de la part de son illustre parent, une largesse en espèces représentant trois-cent (300) fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire, n’y aurait-il pas lieu de se poser toute sorte de questions ? Si largesse il y avait, il conviendrait de vérifier si monsieur Bosco Alaba Fall a déclaré auprès des Impôts les dons qu’il aurait reçus de la part de son bienfaiteur monsieur le Président de la République. En définitive, malgré nos efforts inlassables, nous n’avons pas pu trouver de raison valable qui puisse expliquer l’accroissement subit et vertigineux des avoirs bancaires du procureur ALABA Fall Bosco. Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est fonctionnaire de l’Etat gabonais et qu’à ce titre, il est un justiciable de la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite ; Qu’en effet, l’article 3 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 instituant un régime de prévention et de répression de l’enrichissement illicite en République Gabonaise stipule que : « les dispositions de la présente Loi s’appliquent à tout dépositaire de l’autorité de l’Etat : Autorité politique, Autorité administrative, Agent public, ainsi que tout préposé statutaire ou occasionnel de l’Etat, des collectivités locales, des établissements publics ou parapublics » ; Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est magistrat, et de surcroît Procureur de la République ; Qu’à ce titre, il est un agent public au sens de la Loi et qu’il est donc susceptible de se voir appliquer la présente Loi ; Considérant que l’article 2 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 dispose la chose suivante : « Au sens de la présente Loi, est considéré comme enrichissement illicite le fait, pour tout dépositaire de l’autorité de l’Etat, de réaliser ou de tenter de réaliser des profits personnels ou d’obtenir tout autre avantage de toute nature : - au moyen d’actes de corruption active ou passive, de concussion, de fraude, de détournement ou de soustraction frauduleuse de deniers publics ou de biens publics, d’abus de pouvoir, de trafic d’influence, de prise illégale d’intérêts ou de tout autre procédé illicite...etc. Est également considéré comme enrichissement illicite l’augmentation significative du patrimoine de tout dépositaire de l’autorité de l’Etat que celui-ci ne peut raisonnablement justifier par rapport aux revenus qu’il a légitimement perçus ». Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco, au vu de ses relevés de compte bancaire couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008, qui ont été distribués à toute la population gabonaise, a, sur son compte courant n°00012374602-53 ouvert dans les livres de la BGFI BANK, fait verser en espèces par un tiers le dénommé Angue Kpako Constant, les sommes faramineuses de 200.000.000 F cfa, le 31 juillet 2007 et 100.000.000, le 1er août 2007, soit au total en l’espace de deux jours près de 300 fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire ; Que nous avons avec beaucoup de sérieux, récolté ici et là des arguments qui pouvaient être des moyens d’explication de l’augmentation vertigineuse et subite des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Qu’en tout état de cause, tous les arguments que nous récolté et analysé ci-dessus ne permettaient pas de justifier l’origine licite de l’augmentation subite et vertigineuse des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Considérant que les dépôts en espèces ci-dessus relatés constituent, n’en point en douter, le délit d’enrichissement illicite ; Considérant que le versement en espèces sur le compte bancaire est un moyen permettant de créer une rupture dans la traçabilité de l’origine des fonds ; Considérant que l’usage systématique d’un tiers pour faire des dépôts en espèces aussi important est un moyen visant la non identification du bénéficiaire du dépôt, à savoir monsieur Alaba Fall Bosco qui est un homme public aisément reconnaissable s’il se présente au guichet d’une banque de la place de Libreville ; Considérant que la BGFIBANK a méconnu les dispositions du Règlement 01/03-CEMAC-UMAC du 04 avril 2003 portant prévention et répression du blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme en Afrique Centrale, en assurant l’opération de dépôt de ces sommes sur le compte de monsieur Alaba Fall Bosco sans se renseigner sur leur origine, et de cette manière assurant leur blanchiment ; Nous venons porter plainte : - pour enrichissement illicite contre monsieur ALABA Fall Bosco, Procureur de la République ; - pour complicité d’enrichissement illicite et recel Angue Kpako Constant, et consorts. Cette plainte ne devra pas étonner monsieur ALABA qui le 13 février 2008 se proclamant « gardien du droit pénal », dans l’interview qu’il accordait au Journal « L’Union », avait déclaré ceci : « Tous les citoyens étant égaux devant la Loi, tous les gabonais doivent désormais intégrer qu’en ce qui concerne le parquet de la République, l’heure des traitements de faveur est terminée, et que la Justice se fera, au niveau du Tribunal, sans tenir compte des origines et du statut des individus... La Nation que nous construisons ne peut plus s’accommoder de tels errements. C’est du passé, et s’il y a encore des citoyens qui pensent être des intouchables, au-dessus de la loi, qu’ils se détrompent dès aujourd’hui ». Mieux, le ministre de l’Intérieur dans l’interview donné sur RFI -journal RFI Afrique 6h30-7h00 GMT du 31 /07/2008- annonçait ceci en réponse à l’interrogation du journaliste : « ...il n’y a t il pas tout de même une volonté des autorités de mettre le couvercle sur les affaires de corruption qu’il peut y avoir dans le pays.... » André Mba Obame répondait ceci : « ....le gouvernement à travers des organismes spécialisés est entrain de mener une vaste campagne contre la corruption...Il y a une commission qui a été mise en place contre l’enrichissement illicite donc laissons tout ce monde là faire le travail... ». Considérant le discours du Président de la République prononcé à l’occasion des quarante (40) ans de son accession à la magistrature suprême, le 01 décembre 2007, à travers lequel il dénonçait : « la course pour l’enrichissement illicite devenue trop forte, l’affairisme, la corruption, la politisation outrancière et le népotisme qui ont gangrené les pouvoirs publics » tout en fustigeant le comportement de certains magistrats véreux qui seront sanctionnés ; Considérant la campagne actuelle de lutte contre la corruption menée par le Ministère du contrôle d’Etat chargé de la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite ; Considérant le rôle joué par les magistrats dans le système gouvernemental d’éradication de la corruption et de l’enrichissement illicite dans notre pays ; Considérant l’obligation pour Monsieur Bosco ALABA FALL de fournir à la Justice les éclaircissements et de lever toute équivoque sur la provenance des importantes sommes d’argent (300 millions) versées en espèces dans son compte BGFIBANK en deux jours, en violation du règlement bancaire exigeant une justification pour tout versement dépassant cinq (5) millions de francs cfa ; Considérant la nécessité de préserver l’intégrité et la probité de la justice gabonaise lorsque l’un de ses acteurs est incriminé ; Nous formons le vÅ“u que la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite mette tous les moyens en Å“uvre afin de donner à la présente plainte la plus haute attention. Les signataires Pour Brainforest Georges MPAGA, ROLBG, Georges MPAGA, AFRIQUE-HORIZON Alain MOUPOPA -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at bdpgabon.org Tue Oct 21 02:04:07 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:04:07 -0400 Subject: [BDPalabres] ROMAN: Le chant des chimpanzés (Auteur: Daniel Mengara) Message-ID: Le chant des chimpanzés Daniel Mengara Le chant des chimpanzés est le récit d’un jeune garçon de dix ans qui, caché sous un lit, voit sa mère et ses deux petites sÅ“urs sauvagement assassinées par des soldats venus nuitamment arrêter son père. Ayant par miracle échappé aux soldats, le jeune garçon découvre dix ans plus tard que son père est toujours vivant, quoique gardé secrètement prisonnier dans les geôles du Grand Camarade Président Trebla Dranreb Ognob, un dictateur sanguinaire qui règne d’une poigne de fer sur le pays imaginaire de Bibulu depuis quarante ans. S’ensuit alors un échange épistolaire clandestin entre père et fils qui mènera peu à peu, au travers de réflexions et de questionnements philosophiques, à une prise de conscience par le jeune homme des grands maux culturels et politiques qui ruinent l’Afrique. A la fin, au moment où la tension monte pour révéler un pays dévasté par les turbulences révolutionnaires, un seul choix s’impose au peuple : le chant des chimpanzés. Le chant des chimpanzés offre au lecteur un nouveau regard sur le continent africain. C’est un regard qui, sans ambages, décortique et illumine les errements despotiques qui, en Afrique postcoloniale, ont condamné les peuples et les nations à des misères inexplicables. C’est enfin un regard qui, au travers d’un récit violent animé par un style d’écriture brutal et subversif, accuse, condamne et se porte résolument vers l’avenir. INFORMATION ACHAT Editions L’Harmattan, ISBN : 978-2-296-03524-9 - Publication octobre 2008 • 244 pages - 22 Euros Alapage.com, ISBN : 978-2-296-03524-9 - Publication octobre 2008 • 244 pages - 20,90 Euros Amazon.Fr, ISBN : 978-2-296-03524-9 - Publication octobre 2008 • 244 pages - 20,90 Euros LIRE LA SUITE: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/10/21/gabon-nouveau-roman-le-chant-des-chimpanzes-auteur-daniel-mengara/ From protected at yahoo.fr Tue Oct 21 02:05:52 2008 From: protected at yahoo.fr (Alice Vincent) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:05:52 -0400 Subject: [BDPalabres] Soutien au Dr Mengara comme Président du Gabon Message-ID: Chers compatriotes, Daniel Mengara comme président, en novembre 2012, nous allons élire un président pour nous diriger au cours d'une période périlleuse et restaurer une foi commune dans un objectif national. Le meilleur candidat pour accomplir cela est Daniel Mengara. Le Cercle de Réflexion UNIFANG est fier de lui apporter aujourd'hui son soutien pour devenir président du Gabon. Beaucoup de Gabonais affirment qu'ils ne se sentent pas à l'aise avec Mengara. Il est assez nouveau pour eux, il vit aux USA. Nous pouvons les rassurer. Nous connaissons Mengara depuis qu'il s'est lancé en politique il y a une dizaine d'années. Nous l'avons observé, travaillé avec lui, nous l'avons critiqué (...) nous avons une confiance immense dans sa rigueur intellectuelle, son sens moral et sa capacité à prendre des décisions justes, réfléchies et prudentes. Il est prêt ! Bien cordialement à vous chers compatriotes. La commission thématique d'experts http://unifang.over-blog.com/ From protected at yahoo.fr Tue Oct 21 02:08:47 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:08:47 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE Message-ID: Cher Appolinaire Noël KOULAMA, Je crois pas que le pétrole, pas plus que les autres ressources des activités d'extraction, soit une quelconque malédiction pour l'Afrique. Je suis Gabonais né à Port-Gentil, la ville du pétrole et, j'ai consacré une part non négligeable à l'étude des activités d'extraction dans le cadre de recherches en Histoire économique. J'ai démarré mon activité de recherche avec la même opinion que la votre. Mais en identifiant les dysfonctionnements spécifiques de l'économie gabonaise - sans doute comparable à celle du Congo et d'autres pays africains - j'ai réalisé que le modèle économique utilisé par les entreprises d'extraction pétrolière et minière pour valoriser et commercialiser l'objet principal de leurs activités aurait pu très rapidement servir d'exemple à nos Etats respectifs, à nos collectivités territoriales et même aux candidats nationaux à l'initiative privé pour développer des secteurs d'activités parallèles. Vous avez sans doute entendu parler la démarche du benchmarking en management et en marketing. Les entreprises spécialisées dans l'activité pétrolière pourrait être le modèle idéal d'inspiration. En réalité, que font ces entreprises? Elles ont identifié un produit d'intérêt stratégique à l'échelle internationale. Elles savent que - compte tenu du modèle de production actuelle fortement dependante de l'énergie produite par des combustibles rares ou d'accès difficile - les économies nationales des pays industriels aussi bien que des pays en développement sont en position de forte demande. Elles ne font qu'extraire la ressource - sous forme de produit brut - là où les conditions de fournitures sont les plus favorables et vont la livrer - sous forme de produits finis - là où la demande est à la fois la plus solvable et forte. Il n'y a rien d'étrange à cela même si nous nous sentons particulièrement concernés et lésés. peut - être pouvions nous le faire nous-même avec cette ressource. Sinon et à defaut, nous pouvons nous en inspirer pour selectionner d'autres ressources à partir desquelles nous pouvons créer d'autres filières dont le fonctionnement peut être calqué sur le modèle d'organisation : collecter la ressource - sous forme de produit brut - dans les conditions les plus favorables, selectionner un marché demandeur et solvable, assurer la livraison dans des condtions aussi favorables. le reste pourrait relever de la stratégie de financement de l'investissement, de la gestion du cycle et des risques d'exploitation de la filière considérée, ainsi que de l'optimisation de la trésorerie générée par le retour sur investissement. Comment procèdent ces entreprises ? En fait - contrairement l'image qu'elles véhiculent et à nos voeux de favoriser l'implantation des industries industriallisantes - l'activité de ces entreprises n'est pas industrielle. Elles en ont le mode de fonctionnement pour les aspects relevant du tertiaire et de la gestion logistique. Elles évitent de s'investir dans des activités de transformation lourdes ou raffinés dans les pays où les conditions d'exploitation - notamment les coûts - sont difficiles à maîtriser ou à rentabiliser sur le long terme, les pays éloignés des marchés cibles ou susceptibles de générer des doublons avec des unités présentant des meilleures conditions d'exploitation. L'essentiel de leurs investissements immobilisés - en dehors de toute demande pressante - consiste en des batiments administratifs imposants et facilement reconvertibles en centre d'affraires en cas de départ ou en entrepôts abritant le matériel de recherche ou d'extraction et facilement démontable pour être projeté sur un autre théatre d'opérations. le métier de ces entreprises est celui d'intégrateur d'activités : elles font appel à d'autres entreprises pour réaliser les opérations conçues par elles et placées sous leurs contrôle. Les activités de Bouyghes et de Bolloré relèvent de la même logique d'organisation. Les principaux facteurs clé de succès de ces entreprises sont : - la qualité de la signature garantie initialement par les Etats des pays d'origine, puis par l'épargne générée par les activités précédentes et placée et enfin des sociétés d'assurances pour la couverture de différentes classes de risques; la qualité de signature sert à lever les ressources financières au près des apporteurs de capitaux (marchés boursiers, institutions bancaires, sociétés financières..) ; - un réseaux de fournisseurs, de prestataires et de filiales qui leur permettent de sous-traiter la plus grande partie de leurs activités ainsi que de variabiliser les coûts du donneur d'ordre ou de la société-mère ; - un catalogue précis et renouvellé des équipements, consommables ainsi que des nouvelles technologies; - un repertoire affiné des compétences nécessaires aux ressources humaines affectées à la gestion des différents niveaux d'activités; - une bonne connaissance des marchés-cibles permettant d'anticiper l'évolution des réseaux et différents débouchés commerciaux, donc d'assurer l'autofinancement des activités ; - d'un réseau d'ingenierie interne ou externalisée qui conçoit le savoir-faire et contrôle l'exécution des opérations, gère la mémoire technique, réalisent les montages - financiers, juridiques et techniques pour le compte de l'entreprise; - une capacité de communication qui leur permettent de développer leur notoriété ainsi qu'une image favorable - pour impression - aussi bien au près des dirigeants pourvoyeurs de nouveaux marchés, des ressources humaines candidates ou employées, qu'au près des populations bénéficiaires de leurs implantation. Nous pouvons inclure les opérations de prise en charge des soins de santé, d'hébergement et de restauration ou des actions sociales et et de loisirs dans ces opérations de communication. - un levier de mobilisation d'unités de sécurité opérationnelle et de gestion de système d'information chaque fois que les conditions juridiques sont réunis pour leur permettre d'intervenir directement ou par externalisation. Je crois que c'est à ce niveau que les Etats-hotes - en concurrence avec les sociétés privées - doivent justifier leur revenus. Ces entreprises gèrent essentiellement des fonctions managériales (finances, ressources humaines, communication, ingenierie, commercialisation) . Pour les autres facteurs clé de succès, Elles ont pris l'habitude d'externaliser la gestion des fonctions correspondantes notamment dans le cadre de certains processus principaux ou de support. Les revenus tirés des activités d'une entreprise sont distribués entre quatre catégories d'acteurs en échanges des prestations fournies ou des contraintes juridiques : l'Etat, les actionnaires, les fournisseurs de biens et prestations, les ressources humaines, le réseaux commercial. En fait, nous agissons sur ces entreprises en exerçant une pression à travers les Etat agissant en tant que puissance publique ou en tant qu'actionnaires. Nous essayons de nous imposer en tant que ressources humaines en essayant de la rendre la plus locale possible. Pourtant une analyse de la valeur de ces entreprises peut montrer que l'essentiel de la valeur créée dépent davantage de l'intervention des fournisseurs des biens et des prestations ainsi que de l'efficacité du réseau commercial sur les marchés-cibles. Or ces deux catégories sont controlées pratiquement à cent pour cent par des opérateurs de nationalité différente des pays-hotes. Bien que la repartition de la valeur créée par les entreprises soit contractuelle et non mécanique, on peut aisément constater que la plus grande partie de la valeur créée va à ceux qui en apporte la plus grande contribution. C'est à dire au réseau commercial, aux fournisseurs, aux actionnaires publiques et privés, à l'Etat, aux ressources humaines expatriées et accessoirement, locales. Lorsqu'on observe l'activité pétrolière sous cet angle, on peut se rendre compte que notre malédiction n'est pas de posséder le pétrole, il est plutôt de ne pas savoir l'exploiter, ou du moins de ne pas savoir contôler sa valorisation. l'action que les représentants les plus actifs de nos populations mènent n'et peut-être pas vain, mais il me paraît au moins insuffisant sinon mal orienté. Dans tous les pays ayant accepté le mode de régulation libérale - ou à l'extrême capitaliste - la valeur créée revient en priorité aux propriétaires et promoteurs de l'activité, ensuite à ceux qui y ont apporté la plus forte contribution. Le combat que mène nos populations risquent de ne pas être longtemps légitime à moins que le pouvoir de nuisance occasionné par l'usage des armes ne puissent inverser la tendance. Dans ce cas, les revenus distribués à la population viendrait remunérer le prix de la sécurité et non le financement d'une opération en vue de re-équilibrer la repartition des richesses en faveur des plus pauvres et précaires. Il faut bien comprendre que dans la mentalité capitaliste, la pauvreté et la précarité n'ont jamais été un facteur d'attraction de revenus, mais plutot de rejet. Au regard de ce que j'ai exposé plus haut, il me parait important de bien repositionner notre présence dans les différents niveaux des filières d'activités car le rapport de force physique ne sera pas toujours un argument durable dans le contexte capitaliste. A quel titre les populations locales souhaitent-elles tirer profit des retombées du pétrole? Serait ce en tant que propriétaire? Cette position pourrait être légitime si l'on privilégie - en antropologie juridique - le droit du premier occupant au dépens du droit du plus fort ou droit positif (droit transmis par l'administration colonial aux Etats post-coloniaux). Dans ce cas et surtout pour que le principe prenne la force d'une loi, et non d'une règle exceptionnelle en faveur de certaines populations ou catégories socio-professionnelles, il faudrait rechercher la reforme du système foncier afin que les populations locales puissent avoir enfin des droits collectifs ou individuels chaque fois qu'une entreprise se propose de développer une activité économique dans leur localité et, même, en toute circonstances. Une telle mesure verrait naître une multiplicité de propriétaires auxquelle les entreprises - respectant les règles du libéralisme ou du capitalisme - devraient rendre compte. Cette mesure ne serait pas iconoclaste. Les citoyens américains en ont bénéficié au moment de l'exploitation du pétrole. Les citoyens indiens d'amérique utilisent cette disposition chaque fois qu'une société se propose d'exploiter une quelconque opportunité dans leurs reserves. Dans un lieu moins attendue - du fait de la représentation qu'on a de l'attachement à une vision traditionnelle de la vie par les aborigènes d'australie - une entreprise française spécialisée dans l'exploitation de l'uranium s'est vue obligé de payer des redevances autant au gouvernement qu'aux habitants de la reserves aborigène. la présentation d'une revendication sous cette forme permettrait de lever une mobilisation nationale alors qu'aujourd'hui ces reventications ressemblent plutôt à des revendications identitaires ou corporatistes. En attendant qu'une telle reforme se mettent en oeuvre, il convient que la pression que les populations puissent exercer sur les entreprises d'extration serait leur imposer de faire systématiquement appel un opérateur local pour les fournitures de biens et prestations ou dans la phase de développement du réseau commercial. Il ne s'agit nullement ici d'exclure les opérateurs expatriés des opérations de sous-traitance mais de les obliger à travailler en binômes avec des opérateurs nationaux. l'intérêt pour ces opérateurs nationaux serait alors de recevoir un revenu à capitaliser pour investir ensuite sur le même métier que l'opérateur expatrié ou pour se déployer vers d'autres activités. L'autre intérêt serait également le bénéfice des effets d'apprentissage : en étant impliqué dans la gestion des mêmes activités que l'opérateur expatrié, l'opérateur local ne peut que s'habituer aux usages du secteur d'activité et développer des compétences transférables vers d'autres activités. Nous ne parlerons pas des ressources humaines où des actions se mettent en oeuvre selon différentes modalités et en fonction de la pression exercée par l'Etat-hote ainsi qu'en fonction des besoins des entreprises en compétences. Voila, je vous ai décliné les raisons pour lesquelles je pense que c'est l'incapacité des opérateurs nationaux à fournir des offres compétitives aux entreprises d'extraction pétrolière et minière que l'exploitation du pétrole elle-même. Je crois au contraire que cette activité peut être une formidable opportunité d'apprentissage et d'ouverture de nos activités vers des marchés extérieurs dans le cadre d'un échange équilibré. Je m'excuse de ne pas avoir été complet dans ma présentation mais n'hésitez pas à souligner des points qui nécessitent des compléments de présentation. Merci pour votre attention et salutations cordiales. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Dim 19.10.08, Groupe Africdossier a écrit : De: Groupe Africdossier Objet: LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. À: africdossier at googlegroups.com Date: Dimanche 19 Octobre 2008, 12h55 LA MALEDICTION PERSISITANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. « Les Effets Pervers de l'Or Noir » en Afrique, ne peut être exclut des choix politiques et économiques des Présidents prédateurs de l'or noir et de sa manne, au détriment des peuples et des tribus. Résultat : Pauvreté et troubles sociopolitiques envahissent les sociétés productrices du pétrole. Ainsi, dans l'espace économique africain, des problèmes complexes entiers demeurent, encore, non résolus, où ces Présidents prédateurs utilisent la force, que le débat qui tient compte des revendications concrètes, pour lutter contre la pauvreté et les conflits sociaux à caractère politique. Résultat, une catastrophe s'installe dans la durée. Appolinaire Noël KOULAMA, votre animateur de ce forum, a sélectionné pour vous deux articles ( joints ci-dessous), et deux pays (le Congo-Brazzaville et le Nigeria), deux réalités tout à fait différentes, mais qui aboutissent, toutes les deux dans le fond, à l'appauvrissement des économies, comme si l'or noir est une malédiction. Bonne lecture à tous ! Appolinaire Noël KOULAMA Groupe Africdossier Note : Les titres de chaque article sont du Groupe Africdossier Vous pouvez lire : « Les Effets Pervers de l'Or Noir », un article de la rédaction Africdossier _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ PETROLE AU CONGO-BRAZZAVILLE : QUELS CONTRASTES SOCIAUX ET ECONOMIQUES ? Syndicats et associations de défense des droits des consommateurs dénoncent le renchérissement des prix des produits pétroliers, ainsi que des pénuries récurrentes de carburant malgré une production nationale couvrant largement les besoins du pays. Les Congolais ont connu des moments difficiles ces derniers temps du fait conjugué de la hausse des prix et de la pénurie de carburant entraînant une forte inflation à travers le pays. Le litre d'essence super à la pompe est passé de 500 francs CFA à 1000 francs CFA, puis à 1500 francs CFA... Une situation plutôt difficile à comprendre pour les Congolais, d'autant que leur pays figure parmi les huit grands producteurs de pétrole du continent, selon l'Association des pays producteurs de pétrole d'Afrique (APPA). La production pétrolière du Congo, selon une estimation prévisionnelle fiable, devrait atteindre 93 millions de barils d'ici la fin de l'année 2008, contre un peu plus de 80 millions de barils par an ces dernières années. « Malgré la hausse vertigineuse du baril qui avait atteint le taux record de 140 dollars sur le marché international, les Congolais n'ont rien tiré de cette hausse. » Les syndicats et les associations de défense des droits des consommateurs attribuent principalement deux causes à la hausse des prix et à la pénurie des produits pétroliers : la première raison serait liée à une mauvaise politique de redistribution de la production nationale, puisque la plus importante quantité, soit plus des 2/3 de la production, est exportée. La seconde raison serait liée à une politique fiscale lourde, puisque l'on comptabiliserait pratiquement une dizaine de taxes sur les produits pétroliers. Conséquence de cette lourde taxation, le marché noir s'est fortement développé, en l'occurrence, dans la ville de Pointe-Noire, la métropole économique qui concentre les principaux champs pétrolifères du pays, ainsi qu'à Brazzaville, la capitale qui représente la moitié des besoins nationaux en produits hydrocarbures. EXIGENCE DE LA BONNE GOUVERNANCE. Ces dernières semaines, les stations-service ont été sevrées de carburant, faisant ressortir du « maquis » les revendeurs de produits pétroliers à la criée, les « Kadhafi », qui se sont livrés à la spéculation. De quoi amplifier le courroux des Congolais, d'autant que le gouvernement ne donne aucune explication pour justifier cette hausse. Face à ce que les organisations de la société civile qualifient « d'inacceptable », la coalition « Publiez ce que vous payez » est montée au créneau pour dénoncer la mauvaise gestion de la manne pétrolière, soulignant que « malgré la hausse vertigineuse du baril qui avait atteint le taux record de 140 dollars sur le marché international, les Congolais n'ont rien tiré de cette hausse ». La société civile, qui veut savoir « où vont les surplus occasionnés par la flambée des prix du baril de pétrole », milite d'ailleurs pour qu'un audit soit réalisé sur l'épargne budgétaire dans le compte ouvert depuis quelques années à la Banque centrale, et où il n'y aurait que 139 millions d'euros. Malgré ce contraste, le chef de l'Etat congolais Denis Sassou Nguesso parle plutôt de « perspectives encourageantes » pour l'économie congolaise, dont le pétrole représente, de loin, la principale recette, soit 2/3 des ressources du pays. Après une chute consécutive en 2006 et 2007, où la production s'était stabilisée autour de 80 millions de barils par an, le brut congolais, a confirmé le chef de l'Etat, devrait connaître près de 35% d'augmentation cette année, avec la mise en production, en mai dernier, d'un nouveau champ pétrolier à Moho Bilondo, dans le sud du pays, et dont l'exploitation est assurée par la société française Total & EP. Véritable mamelle nourricière, le Congo attend cette année grâce au pétrole un taux de croissance réel moyen de 9% du produit intérieur brut (PIB), contre 3,7% il y a dix ans. Auteur : Achille MBog PIBASSO, Douala au Cameroun Publié le : 19 octobre 2008 Rubrique : Afrique-économie Source : Les Afriques _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ NIGERIA : LA CRISE DE DELTA RENFORCE LA CRISE SOCIALE ET ECONOMIQUE. Tout le potentiel pétrolier du Nigeria n'approvisionne pas les marchés. La faute à une guérilla qui s'est enlisée dans le delta du fleuve Niger, mais qui paraît encore en mesure d'obtenir en partie justice pour les populations démunies de la région la plus riche du pays. La « guerre du pétrole » du MEND (Mouvement pour l'émancipation du delta du Niger), lancée le 14 septembre 2008, suite à des « attaques non provoquées », n'a duré qu'une semaine. Le 21 septembre, le mouvement de guérilla, qui revendique un meilleur partage des revenus pétroliers, a décrété un cessez-le-feu unilatéral, à la demande, dit-il, de chefs coutumiers et de responsables politiques du delta du Niger. Le MEND, qui fait un usage intensif d'Internet, a expliqué, dans un langage météorologique, qu'il « rétrogradait » la guerre du pétrole qui porte le nom de code « Ouragan Barbarossa » en état d'alerte dite « Vigilance tempête tropicale ». Le MEND, qui se fait le défenseur des Ijaw, une ethnie de 14 millions de personnes, pèse depuis son apparition en 2006 sur la production de pétrole du Nigeria, qui oscille entre 1,8 millions et 2 millions de baril-jour, alors qu'elle était, deux ans plus tôt, de 2,6 mbj. L'insécurité créée par la crise dans le Delta du Niger, avec des attaques, des enlèvements et des sabotages sur terre et en off-shore, ferait perdre, selon les estimations, un quart de la production quotidienne du pays. LES FRUITS DE LA REPRESSION : D'une certaine manière, le Nigeria fait les frais de la répression dont a été victime, dans les années 90, le MOSOP (Mouvement pour la survie du peuple Ogoni) qui militait, par des moyens pacifiques, contre les pratiques prédatrices de la Shell et du gouvernement fédéral (destruction de l'environnement, absence de redistribution de la rente). L'exécution en 1995 du leader de ce mouvement, Ken Saro Wiwa, a favorisé l'émergence de groupes radicaux en lutte contre les compagnies pétrolières et le gouvernement fédéral. Le pourrissement de la situation a provoqué des actions destinées à attirer l'attention internationale sur la crise au Delta qui se mêlent à des pratiques lucratives d'enlèvement touchant aussi bien des Nigérians que des expatriés travaillant pour les entreprises pétrolières. Des spécialistes relèvent que le MEND, qui n'est pas le seul groupe armé du Delta, ne contrôle pas toutes les actions menées par ses troupes. Beaucoup de ses membres se livrent à du banditisme pur et simple, d'où la tendance du gouvernement fédéral à assimiler le MEND à un mouvement de brigandage criminel. A cela se greffe un trafic illégal, qui serait le fait d'hommes politiques influents et qui porterait sur quelque 80 000 barils-jour. La « guerre du pétrole », annoncée le 14 septembre, faisait craindre une extension du champ d'action du MEND, qui ciblait jusque-là la filiale locale de Shell, à d'autres compagnies étrangères comme l'italienne Agip ou l'américaine Chevron. Le cessez-le-feu unilatéral décrété par le MEND a fait baisser la tension. UN KIMBERLY POUR LE PETROLE VOLE ? Des analystes relient les dernières actions du MEND à un marchandage politique avec le gouvernement d'Abuja, qui a décidé de la création d'un ministère pour le delta du Niger. A l'évidence, il s'agit pour le président Yar'Adua d'avoir une prise directe dans l'affectation des ressources pour la région du delta, où les frustrations de la population expliquent largement le développement de la pratique du rapt et des sabotages des installations pétrolières. « Le Ministère coordonnera nos efforts pour relever les défis que présentent le développement des infrastructures, la protection de l'environnement et l'affectation de jeunes à des postes de responsabilité dans la région » a déclaré le président. Cette volonté affichée de prendre en charge les frustrations réelles des populations du delta s'accompagne d'un appel du gouvernement d'Abuja à la mise en place, sur le modèle du processus de Kimberley pour le diamant, d'un mécanisme contre la prolifération du « pétrole du sang » ou « blood oil ». L'appel a été lancé le 11 septembre, lors d'une conférence ouest-africaine sur la transparence dans les transactions pétrolières. Le parallèle entre les diamants, qui ont alimenté les guerres civiles au Liberia et en Sierra Leone, et le pétrole, volé dans le delta du Niger, est significatif. A New York, où il assiste à l'assemblée générale de l'Onu, le ministre des Affaires étrangères Ojo Maduekwe à redemandé une criminalisation internationale de l'achat du brut volé. Encore faut-il convaincre les populations du delta qu'elles gagneront au change. Auteur : Sana HARB, Alger en Algérie Publié le : 19 octobre 2008 Rubrique : Afrique-économie Source : Les Afriques _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Note : Les titres de chaque article sont du Groupe Africdossier Vous pouvez lire : « Les Effets Pervers de l'Or Noir », un article de la rédaction Africdossier __._,_.___ From protected at aol.com Tue Oct 21 02:13:42 2008 From: protected at aol.com (Patitpierre) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:13:42 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Pourquoi continuer à aimer la France... Message-ID: si cela vous convient pas la francophonie , est la françe que vous trainer dans la boue , allorjen suis sur puisque moi méme jen tire le méme profil que vous ici , allor que si nous etions au gabon ? jose pas imaginer , pour le chomage la bas ! les soins !!, la liberté dexpression !! etc....arreter de cracher dans la soupe qui vous engraisse allez respectivement chez vous est parler fang toute la journée qui vous en empéche ? moi je reste en françe pardon ? From protected at aol.com Tue Oct 21 02:14:36 2008 From: protected at aol.com (Patitpierre) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:14:36 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Sarko en Afrique Message-ID: jésus crie ! il a mal de vos critiques !est lamentation regarder est balayée devant votre porte les blancs eux se demerderont sans votre aide , le contraire metonnerait , fort ! hurler au loup de françe est damérique allor que lont devient obése dans ces pays me parait deplacer ? From protected at yahoo.fr Tue Oct 21 02:16:29 2008 From: protected at yahoo.fr (Noël DUBOIS) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:16:29 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : 2AEG (Aide et Action Pour les Enfants du Gabon) Message-ID: Pffff!!!! N'importe quoi! Si on veut aider qui que ce soit au Gabon, il faut changer le système et le parasite qui le dirige depuis 40 ans. Vous êtes sûr que derrière tout ça y'a pas une ambition privée??? Geisha de MILANO --- En date de : Dim 19.10.08, jea nestor Moungomo a écrit : > > De: jea nestor Moungomo > > Objet: [BDPalabres] 2AEG (Aide et Action Pour les Enfants du Gabon) > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > Date: Dimanche 19 Octobre 2008, 15h01 > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. > > Vos messages apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, > > répondez tout simplement aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces > > jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. > > ___________________________________________________________ > > > > Chers compatriotes, > > > > Gabonais d’origine et d’adoption c’est avec un réel > > plaisir que je viens vers vous. > > > > Nous sommes tous une génération d'hommes et de femmes > > qui veulent être acteurs d'un présent et d'un > > futur meilleurs, épris des énergies formidables, des > > solidarités inventives et des générosités discrètes. > > > > En effet avec un groupe d’amis, j’ai mis en place, en > > Janvier 2008 une structure humanitaire denommer 2AEG (Aide > > et Action pour Les Enfants du Gabon). > > > > Pour éviter le mélange du genre, cette structure a pour > > objectifs d’aider les Enfants du Gabon dans les domaines > > tels que : la santé, l’éducation, le sport, le > > developpement rural et la communication. > > > > Pour lancer cette structure au Gabon, des actions dans le > > sport ont été orgainisées l’été 2008 à Mouila avec > > l’appui des clubs de Valenciennes Football Club et de Lyon > > Handball. > > > > 2AEG (Aide et Action pour les Enfants du Gabon) se résume > > comme une structure humanitaire au cÅ“ur du developpment > > pour combattre les fléaux du sous developpement. > > > > Nous faisons appel à toutes les bonnes volontés qui > > veulent Å“uvrer avec nous dans cette aventure noble et > > humaine pour les Enfants du Gabon. > > > > Cordialement : Jean Nestor Moungomo > > > > > > > > Pour nous contacter > > > > Monsieur Moungomo Jean Nestor > > > > Président fondateur de 2AEG : 06 13 99 99 58. > > > > > > > > 2AEG (Aide et Action pour Les Enfants du Gabon) > > > > 2-4 Place Henri Barbusse > > > > 92300 Levallois Perret > > > > > > > > 2AEG > > > > Enregistrement à la préfecture des Hauts de seine > > > > Le 7 Janvier 2008 > > > > N°19030922 > > > > > > > > Référence DJO > > > > Journal officiel du 02/02/2008 > > > > N°02155 > > > > > > Moungomo Jean Nestor > > 2 Place Henry Barbusse 92300 Levallois Perret > > portable : 06 13 99 99 58 > > > > Moungomo Jean Nestor > > Diplômé en management et marketing de sport > > Diplômé en Gestion des Organisations sportives > > Technicien de l'éducation populaire > > Educateur Sportif Pour Tous > > Entraineur d'athlétisme. From protected at bluewin.ch Tue Oct 21 02:18:42 2008 From: protected at bluewin.ch (Afrique Nouvelle) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:18:42 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. Message-ID: Monsieur Mayandji, Cette discussion est intéressante. Je publierai bientôt un livre sur la gestion du pétrole en Afrique et je reprendrai contact avec vous. Mais, comme M. Appolinaire Noël KOULAMA, j'affirme que le pétrole est, dans la mesure où il ne contribue pas au développement du continent, synonyme de malédiction, car il est source de conflits, d'exploitation éhontée, de pillage et de mauvaise gestion. Certains pays africains qui n'ont pas de pétrole pratiquent une "bonne gouvernance" dans le sens d'une meilleure gestion des biens publics que les pays qui en ont. Le Gabon n'a pas suivi un rythme de développement comparable à la quantité de pétrole extrait de ce pays. Le pétrole gabonais a plus enrichi la compagnie Total/ELF et les autorités politiques gabonaises que le peuple gabonais dans son ensemble. De quel côté vous situez-vous, celui du peuple gabonais qui souffre ou du côté du pouvoir ? Je reviendrai vers vous très prochainement. Fweley Diangitukwa Politologue et écrivain congolais (RDC), auteur des ouvrages suivants aux éditions L'Harmattan : - "Qu'est-ce que le pouvoir ?", 2004 - "Géopolitique, intégration régionale et mondialisation", 2006 - "Le règne du mensonge politique en RDC. Qui a tué Kabila ?", 2006 - "Migrations internationales, codéveloppement et coopération décentralisée", avril 2008 - "Les fraudes électorales. Comment on recolonise la RDC", 2007 etc. ----Message d'origine---- De: cmayandji at yahoo.fr Date: 19.10.2008 18:46 À: Copie: "Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau", Objet: Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. Cher Appolinaire Noël KOULAMA, Je crois pas que le pétrole, pas plus que les autres ressources des activités d'extraction, soit une quelconque malédiction pour l'Afrique. Je suis Gabonais né à Port-Gentil, la ville du pétrole et, j'ai consacré une part non négligeable à l'étude des activités d'extraction dans le cadre de recherches en Histoire économique. J'ai démarré mon activité de recherche avec la même opinion que la votre. Mais en identifiant les dysfonctionnements spécifiques de l'économie gabonaise - sans doute comparable à celle du Congo et d'autres pays africains - j'ai réalisé que le modèle économique utilisé par les entreprises d'extraction pétrolière et minière pour valoriser et commercialiser l'objet principal de leurs activités aurait pu très rapidement servir d'exemple à nos Etats respectifs, à nos collectivités territoriales et même aux candidats nationaux à l'initiative privé pour développer des secteurs d'activités parallèles. Vous avez sans doute entendu parler la démarche du benchmarking en management et en marketing. Les entreprises spécialisées dans l'activité pétrolière pourrait être le modèle idéal d'inspiration. En réalité, que font ces entreprises? Elles ont identifié un produit d'intérêt stratégique à l'échelle internationale. Elles savent que - compte tenu du modèle de production actuelle fortement dependante de l'énergie produite par des combustibles rares ou d'accès difficile - les économies nationales des pays industriels aussi bien que des pays en développement sont en position de forte demande. Elles ne font qu'extraire la ressource - sous forme de produit brut - là où les conditions de fournitures sont les plus favorables et vont la livrer - sous forme de produits finis - là où la demande est à la fois la plus solvable et forte. Il n'y a rien d'étrange à cela même si nous nous sentons particulièrement concernés et lésés. peut - être pouvions nous le faire nous-même avec cette ressource. Sinon et à defaut, nous pouvons nous en inspirer pour selectionner d'autres ressources à partir desquelles nous pouvons créer d'autres filières dont le fonctionnement peut être calqué sur le modèle d'organisation : collecter la ressource - sous forme de produit brut - dans les conditions les plus favorables, selectionner un marché demandeur et solvable, assurer la livraison dans des condtions aussi favorables. le reste pourrait relever de la stratégie de financement de l'investissement, de la gestion du cycle et des risques d'exploitation de la filière considérée, ainsi que de l'optimisation de la trésorerie générée par le retour sur investissement. Comment procèdent ces entreprises ? En fait - contrairement l'image qu'elles véhiculent et à nos voeux de favoriser l'implantation des industries industriallisantes - l'activité de ces entreprises n'est pas industrielle. Elles en ont le mode de fonctionnement pour les aspects relevant du tertiaire et de la gestion logistique. Elles évitent de s'investir dans des activités de transformation lourdes ou raffinés dans les pays où les conditions d'exploitation - notamment les coûts - sont difficiles à maîtriser ou à rentabiliser sur le long terme, les pays éloignés des marchés cibles ou susceptibles de générer des doublons avec des unités présentant des meilleures conditions d'exploitation. L'essentiel de leurs investissements immobilisés - en dehors de toute demande pressante - consiste en des batiments administratifs imposants et facilement reconvertibles en centre d'affraires en cas de départ ou en entrepôts abritant le matériel de recherche ou d'extraction et facilement démontable pour être projeté sur un autre théatre d'opérations. le métier de ces entreprises est celui d'intégrateur d'activités : elles font appel à d'autres entreprises pour réaliser les opérations conçues par elles et placées sous leurs contrôle. Les activités de Bouyghes et de Bolloré relèvent de la même logique d'organisation. Les principaux facteurs clé de succès de ces entreprises sont : - la qualité de la signature garantie initialement par les Etats des pays d'origine, puis par l'épargne générée par les activités précédentes et placée et enfin des sociétés d'assurances pour la couverture de différentes classes de risques; la qualité de signature sert à lever les ressources financières au près des apporteurs de capitaux (marchés boursiers, institutions bancaires, sociétés financières..) ; - un réseaux de fournisseurs, de prestataires et de filiales qui leur permettent de sous-traiter la plus grande partie de leurs activités ainsi que de variabiliser les coûts du donneur d'ordre ou de la société-mère ; - un catalogue précis et renouvellé des équipements, consommables ainsi que des nouvelles technologies; - un repertoire affiné des compétences nécessaires aux ressources humaines affectées à la gestion des différents niveaux d'activités; - une bonne connaissance des marchés-cibles permettant d'anticiper l'évolution des réseaux et différents débouchés commerciaux, donc d'assurer l'autofinancement des activités ; - d'un réseau d'ingenierie interne ou externalisée qui conçoit le savoir-faire et contrôle l'exécution des opérations, gère la mémoire technique, réalisent les montages - financiers, juridiques et techniques pour le compte de l'entreprise; - une capacité de communication qui leur permettent de développer leur notoriété ainsi qu'une image favorable - pour impression - aussi bien au près des dirigeants pourvoyeurs de nouveaux marchés, des ressources humaines candidates ou employées, qu'au près des populations bénéficiaires de leurs implantation. Nous pouvons inclure les opérations de prise en charge des soins de santé, d'hébergement et de restauration ou des actions sociales et et de loisirs dans ces opérations de communication. - un levier de mobilisation d'unités de sécurité opérationnelle et de gestion de système d'information chaque fois que les conditions juridiques sont réunis pour leur permettre d'intervenir directement ou par externalisation. Je crois que c'est à ce niveau que les Etats-hotes - en concurrence avec les sociétés privées - doivent justifier leur revenus. Ces entreprises gèrent essentiellement des fonctions managériales (finances, ressources humaines, communication, ingenierie, commercialisation) . Pour les autres facteurs clé de succès, Elles ont pris l'habitude d'externaliser la gestion des fonctions correspondantes notamment dans le cadre de certains processus principaux ou de support. Les revenus tirés des activités d'une entreprise sont distribués entre quatre catégories d'acteurs en échanges des prestations fournies ou des contraintes juridiques : l'Etat, les actionnaires, les fournisseurs de biens et prestations, les ressources humaines, le réseaux commercial. En fait, nous agissons sur ces entreprises en exerçant une pression à travers les Etat agissant en tant que puissance publique ou en tant qu'actionnaires. Nous essayons de nous imposer en tant que ressources humaines en essayant de la rendre la plus locale possible. Pourtant une analyse de la valeur de ces entreprises peut montrer que l'essentiel de la valeur créée dépent davantage de l'intervention des fournisseurs des biens et des prestations ainsi que de l'efficacité du réseau commercial sur les marchés-cibles. Or ces deux catégories sont controlées pratiquement à cent pour cent par des opérateurs de nationalité différente des pays- hotes. Bien que la repartition de la valeur créée par les entreprises soit contractuelle et non mécanique, on peut aisément constater que la plus grande partie de la valeur créée va à ceux qui en apporte la plus grande contribution. C'est à dire au réseau commercial, aux fournisseurs, aux actionnaires publiques et privés, à l'Etat, aux ressources humaines expatriées et accessoirement, locales. Lorsqu'on observe l'activité pétrolière sous cet angle, on peut se rendre compte que notre malédiction n'est pas de posséder le pétrole, il est plutôt de ne pas savoir l'exploiter, ou du moins de ne pas savoir contôler sa valorisation. l'action que les représentants les plus actifs de nos populations mènent n'et peut-être pas vain, mais il me paraît au moins insuffisant sinon mal orienté. Dans tous les pays ayant accepté le mode de régulation libérale - ou à l'extrême capitaliste - la valeur créée revient en priorité aux propriétaires et promoteurs de l'activité, ensuite à ceux qui y ont apporté la plus forte contribution. Le combat que mène nos populations risquent de ne pas être longtemps légitime à moins que le pouvoir de nuisance occasionné par l'usage des armes ne puissent inverser la tendance. Dans ce cas, les revenus distribués à la population viendrait remunérer le prix de la sécurité et non le financement d'une opération en vue de re-équilibrer la repartition des richesses en faveur des plus pauvres et précaires. Il faut bien comprendre que dans la mentalité capitaliste, la pauvreté et la précarité n'ont jamais été un facteur d'attraction de revenus, mais plutot de rejet. Au regard de ce que j'ai exposé plus haut, il me parait important de bien repositionner notre présence dans les différents niveaux des filières d'activités car le rapport de force physique ne sera pas toujours un argument durable dans le contexte capitaliste. A quel titre les populations locales souhaitent-elles tirer profit des retombées du pétrole? Serait ce en tant que propriétaire? Cette position pourrait être légitime si l'on privilégie - en antropologie juridique - le droit du premier occupant au dépens du droit du plus fort ou droit positif (droit transmis par l'administration colonial aux Etats post-coloniaux). Dans ce cas et surtout pour que le principe prenne la force d'une loi, et non d'une règle exceptionnelle en faveur de certaines populations ou catégories socio-professionnelles, il faudrait rechercher la reforme du système foncier afin que les populations locales puissent avoir enfin des droits collectifs ou individuels chaque fois qu'une entreprise se propose de développer une activité économique dans leur localité et, même, en toute circonstances. Une telle mesure verrait naître une multiplicité de propriétaires auxquelle les entreprises - respectant les règles du libéralisme ou du capitalisme - devraient rendre compte. Cette mesure ne serait pas iconoclaste. Les citoyens américains en ont bénéficié au moment de l'exploitation du pétrole. Les citoyens indiens d'amérique utilisent cette disposition chaque fois qu'une société se propose d'exploiter une quelconque opportunité dans leurs reserves. Dans un lieu moins attendue - du fait de la représentation qu'on a de l'attachement à une vision traditionnelle de la vie par les aborigènes d'australie - une entreprise française spécialisée dans l'exploitation de l'uranium s'est vue obligé de payer des redevances autant au gouvernement qu'aux habitants de la reserves aborigène. la présentation d'une revendication sous cette forme permettrait de lever une mobilisation nationale alors qu'aujourd'hui ces reventications ressemblent plutôt à des revendications identitaires ou corporatistes. En attendant qu'une telle reforme se mettent en oeuvre, il convient que la pression que les populations puissent exercer sur les entreprises d'extration serait leur imposer de faire systématiquement appel un opérateur local pour les fournitures de biens et prestations ou dans la phase de développement du réseau commercial. Il ne s'agit nullement ici d'exclure les opérateurs expatriés des opérations de sous-traitance mais de les obliger à travailler en binômes avec des opérateurs nationaux. l'intérêt pour ces opérateurs nationaux serait alors de recevoir un revenu à capitaliser pour investir ensuite sur le même métier que l'opérateur expatrié ou pour se déployer vers d'autres activités. L'autre intérêt serait également le bénéfice des effets d'apprentissage : en étant impliqué dans la gestion des mêmes activités que l'opérateur expatrié, l'opérateur local ne peut que s'habituer aux usages du secteur d'activité et développer des compétences transférables vers d'autres activités. Nous ne parlerons pas des ressources humaines où des actions se mettent en oeuvre selon différentes modalités et en fonction de la pression exercée par l'Etat-hote ainsi qu'en fonction des besoins des entreprises en compétences. Voila, je vous ai décliné les raisons pour lesquelles je pense que c'est l'incapacité des opérateurs nationaux à fournir des offres compétitives aux entreprises d'extraction pétrolière et minière que l'exploitation du pétrole elle- même. Je crois au contraire que cette activité peut être une formidable opportunité d'apprentissage et d'ouverture de nos activités vers des marchés extérieurs dans le cadre d'un échange équilibré. Je m'excuse de ne pas avoir été complet dans ma présentation mais n'hésitez pas à souligner des points qui nécessitent des compléments de présentation. Merci pour votre attention et salutations cordiales. MANGASS TTCChristian MAYANDJIDémarches-GestionFINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATIONVEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLESEUROPE - AFRIQUE --- En date de : Dim 19.10.08, Groupe Africdossier a écrit : De: Groupe Africdossier Objet: LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. À: africdossier at googlegroups.com Date: Dimanche 19 Octobre 2008, 12h55 LA MALEDICTION PERSISITANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. « Les Effets Pervers de l'Or Noir » en Afrique, ne peut être exclut des choix politiques et économiques des Présidents prédateurs de l'or noir et de sa manne, au détriment des peuples et des tribus. Résultat : Pauvreté et troubles sociopolitiques envahissent les sociétés productrices du pétrole. Ainsi, dans l'espace économique africain, des problèmes complexes entiers demeurent, encore, non résolus, où ces Présidents prédateurs utilisent la force, que le débat qui tient compte des revendications concrètes, pour lutter contre la pauvreté et les conflits sociaux à caractère politique. Résultat, une catastrophe s'installe dans la durée. Appolinaire Noël KOULAMA, votre animateur de ce forum, a sélectionné pour vous deux articles ( joints ci-dessous), et deux pays (le Congo-Brazzaville et le Nigeria), deux réalités tout à fait différentes, mais qui aboutissent, toutes les deux dans le fond, à l'appauvrissement des économies, comme si l'or noir est une malédiction. Bonne lecture à tous ! Appolinaire Noël KOULAMA Groupe Africdossier Note : Les titres de chaque article sont du Groupe Africdossier Vous pouvez lire : « Les Effets Pervers de l'Or Noir », un article de la rédaction Africdossier _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ PETROLE AU CONGO-BRAZZAVILLE : QUELS CONTRASTES SOCIAUX ET ECONOMIQUES ? Syndicats et associations de défense des droits des consommateurs dénoncent le renchérissement des prix des produits pétroliers, ainsi que des pénuries récurrentes de carburant malgré une production nationale couvrant largement les besoins du pays. Les Congolais ont connu des moments difficiles ces derniers temps du fait conjugué de la hausse des prix et de la pénurie de carburant entraînant une forte inflation à travers le pays. Le litre d'essence super à la pompe est passé de 500 francs CFA à 1000 francs CFA, puis à 1500 francs CFA... Une situation plutôt difficile à comprendre pour les Congolais, d'autant que leur pays figure parmi les huit grands producteurs de pétrole du continent, selon l'Association des pays producteurs de pétrole d'Afrique (APPA). La production pétrolière du Congo, selon une estimation prévisionnelle fiable, devrait atteindre 93 millions de barils d'ici la fin de l'année 2008, contre un peu plus de 80 millions de barils par an ces dernières années. « Malgré la hausse vertigineuse du baril qui avait atteint le taux record de 140 dollars sur le marché international, les Congolais n'ont rien tiré de cette hausse. » Les syndicats et les associations de défense des droits des consommateurs attribuent principalement deux causes à la hausse des prix et à la pénurie des produits pétroliers : la première raison serait liée à une mauvaise politique de redistribution de la production nationale, puisque la plus importante quantité, soit plus des 2/3 de la production, est exportée. La seconde raison serait liée à une politique fiscale lourde, puisque l'on comptabiliserait pratiquement une dizaine de taxes sur les produits pétroliers. Conséquence de cette lourde taxation, le marché noir s'est fortement développé, en l'occurrence, dans la ville de Pointe-Noire, la métropole économique qui concentre les principaux champs pétrolifères du pays, ainsi qu'à Brazzaville, la capitale qui représente la moitié des besoins nationaux en produits hydrocarbures. EXIGENCE DE LA BONNE GOUVERNANCE. Ces dernières semaines, les stations-service ont été sevrées de carburant, faisant ressortir du « maquis » les revendeurs de produits pétroliers à la criée, les « Kadhafi », qui se sont livrés à la spéculation. De quoi amplifier le courroux des Congolais, d'autant que le gouvernement ne donne aucune explication pour justifier cette hausse. Face à ce que les organisations de la société civile qualifient « d'inacceptable », la coalition « Publiez ce que vous payez » est montée au créneau pour dénoncer la mauvaise gestion de la manne pétrolière, soulignant que « malgré la hausse vertigineuse du baril qui avait atteint le taux record de 140 dollars sur le marché international, les Congolais n'ont rien tiré de cette hausse ». La société civile, qui veut savoir « où vont les surplus occasionnés par la flambée des prix du baril de pétrole », milite d'ailleurs pour qu'un audit soit réalisé sur l'épargne budgétaire dans le compte ouvert depuis quelques années à la Banque centrale, et où il n'y aurait que 139 millions d'euros. Malgré ce contraste, le chef de l'Etat congolais Denis Sassou Nguesso parle plutôt de « perspectives encourageantes » pour l'économie congolaise, dont le pétrole représente, de loin, la principale recette, soit 2/3 des ressources du pays. Après une chute consécutive en 2006 et 2007, où la production s'était stabilisée autour de 80 millions de barils par an, le brut congolais, a confirmé le chef de l'Etat, devrait connaître près de 35% d'augmentation cette année, avec la mise en production, en mai dernier, d'un nouveau champ pétrolier à Moho Bilondo, dans le sud du pays, et dont l'exploitation est assurée par la société française Total & EP. Véritable mamelle nourricière, le Congo attend cette année grâce au pétrole un taux de croissance réel moyen de 9% du produit intérieur brut (PIB), contre 3,7% il y a dix ans. Auteur : Achille MBog PIBASSO, Douala au Cameroun Publié le : 19 octobre 2008 Rubrique : Afrique-économie Source : Les Afriques _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ NIGERIA : LA CRISE DE DELTA RENFORCE LA CRISE SOCIALE ET ECONOMIQUE. Tout le potentiel pétrolier du Nigeria n'approvisionne pas les marchés. La faute à une guérilla qui s'est enlisée dans le delta du fleuve Niger, mais qui paraît encore en mesure d'obtenir en partie justice pour les populations démunies de la région la plus riche du pays. La « guerre du pétrole » du MEND (Mouvement pour l'émancipation du delta du Niger), lancée le 14 septembre 2008, suite à des « attaques non provoquées », n'a duré qu'une semaine. Le 21 septembre, le mouvement de guérilla, qui revendique un meilleur partage des revenus pétroliers, a décrété un cessez-le-feu unilatéral, à la demande, dit-il, de chefs coutumiers et de responsables politiques du delta du Niger. Le MEND, qui fait un usage intensif d'Internet, a expliqué, dans un langage météorologique, qu'il « rétrogradait » la guerre du pétrole qui porte le nom de code « Ouragan Barbarossa » en état d'alerte dite « Vigilance tempête tropicale ». Le MEND, qui se fait le défenseur des Ijaw, une ethnie de 14 millions de personnes, pèse depuis son apparition en 2006 sur la production de pétrole du Nigeria, qui oscille entre 1,8 millions et 2 millions de baril-jour, alors qu'elle était, deux ans plus tôt, de 2,6 mbj. L'insécurité créée par la crise dans le Delta du Niger, avec des attaques, des enlèvements et des sabotages sur terre et en off-shore, ferait perdre, selon les estimations, un quart de la production quotidienne du pays. LES FRUITS DE LA REPRESSION : D'une certaine manière, le Nigeria fait les frais de la répression dont a été victime, dans les années 90, le MOSOP (Mouvement pour la survie du peuple Ogoni) qui militait, par des moyens pacifiques, contre les pratiques prédatrices de la Shell et du gouvernement fédéral (destruction de l'environnement, absence de redistribution de la rente). L'exécution en 1995 du leader de ce mouvement, Ken Saro Wiwa, a favorisé l'émergence de groupes radicaux en lutte contre les compagnies pétrolières et le gouvernement fédéral. Le pourrissement de la situation a provoqué des actions destinées à attirer l'attention internationale sur la crise au Delta qui se mêlent à des pratiques lucratives d'enlèvement touchant aussi bien des Nigérians que des expatriés travaillant pour les entreprises pétrolières. Des spécialistes relèvent que le MEND, qui n'est pas le seul groupe armé du Delta, ne contrôle pas toutes les actions menées par ses troupes. Beaucoup de ses membres se livrent à du banditisme pur et simple, d'où la tendance du gouvernement fédéral à assimiler le MEND à un mouvement de brigandage criminel. A cela se greffe un trafic illégal, qui serait le fait d'hommes politiques influents et qui porterait sur quelque 80 000 barils-jour. La « guerre du pétrole », annoncée le 14 septembre, faisait craindre une extension du champ d'action du MEND, qui ciblait jusque-là la filiale locale de Shell, à d'autres compagnies étrangères comme l'italienne Agip ou l'américaine Chevron. Le cessez-le-feu unilatéral décrété par le MEND a fait baisser la tension. UN KIMBERLY POUR LE PETROLE VOLE ? Des analystes relient les dernières actions du MEND à un marchandage politique avec le gouvernement d'Abuja, qui a décidé de la création d'un ministère pour le delta du Niger. A l'évidence, il s'agit pour le président Yar'Adua d'avoir une prise directe dans l'affectation des ressources pour la région du delta, où les frustrations de la population expliquent largement le développement de la pratique du rapt et des sabotages des installations pétrolières. « Le Ministère coordonnera nos efforts pour relever les défis que présentent le développement des infrastructures, la protection de l'environnement et l'affectation de jeunes à des postes de responsabilité dans la région » a déclaré le président. Cette volonté affichée de prendre en charge les frustrations réelles des populations du delta s'accompagne d'un appel du gouvernement d'Abuja à la mise en place, sur le modèle du processus de Kimberley pour le diamant, d'un mécanisme contre la prolifération du « pétrole du sang » ou « blood oil ». L'appel a été lancé le 11 septembre, lors d'une conférence ouest-africaine sur la transparence dans les transactions pétrolières. Le parallèle entre les diamants, qui ont alimenté les guerres civiles au Liberia et en Sierra Leone, et le pétrole, volé dans le delta du Niger, est significatif. A New York, où il assiste à l'assemblée générale de l'Onu, le ministre des Affaires étrangères Ojo Maduekwe à redemandé une criminalisation internationale de l'achat du brut volé. Encore faut-il convaincre les populations du delta qu'elles gagneront au change. Auteur : Sana HARB, Alger en Algérie Publié le : 19 octobre 2008 Rubrique : Afrique-économie Source : Les Afriques _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Note : Les titres de chaque article sont du Groupe Africdossier Vous pouvez lire : « Les Effets Pervers de l'Or Noir », un article de la rédaction Africdossier __._,_.___ . __,_._,___ From protected at yahoo.fr Tue Oct 21 02:22:10 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:22:10 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. Message-ID: J'ai omis de vous envoyé ce document en copie. Je répare mon erreur en vous souhaitant bonne réception et aussi de participer à cet échange. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Lun 20.10.08, Christian MAYANDJI a écrit : De: Christian MAYANDJI Objet: RE: Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. Date: Lundi 20 Octobre 2008, 13h52 M. Fweley Diangitukwa, Je ne sais pas "écrire" et c'est mon drame. Par contre, je m'appuie sur des sources recoupées que je tiens à votre disposition sous la forme d'une documentation qui couvre l'évolution de l'économie gabonaise, par extention celle de quelques autres pays de l'afrique centrale dont le modèle d'organisation s'apparente au Gabon, depuis les premières implantations capitalistes en Afrique centrale au XIXème siècle jusqu'aux années 1990. Pour mon analyse, je m'appuie sur des méthodes tirées des disciplines liées à l'économie-gestion des entreprises (management, finance, droits des affaires, gestion des ressources humaines..). C'est ma deuxième spécialité après l'histoire économique. En fait, je me suis rapidement aperçu qu'en m'appuyant uniquement sur des données macro-économiques - par définition, des données de synthèse - je risquais de (re)découvrir des généralités. C'est souvent ce que je retrouve dans la plupart des ouvrages qui traitent des questions économiques sur les pays de l'afrique, notamment francophone et centrale. J'espère que vos ouvrages échappent à ce constat. Par contre avec l'économie d'entreprise, je m'efforce de découvrir la logique de comportements et les pratiques des opérateurs économiques. Je peux les comparer d'un pays à l'autre, d'un environnement à l'autre. C'est en procédant ainsi que j'en suis arrivé à l'idée que ce n'est pas le produit en lui-même qui est source de "malédiction", mais c'est plutôt notre incapacité à gérer la filière générée par la mise en exploitation de ce produit. Dans cette approche, il n'y a pas de partisans ou des opposants au pouvoir. Il y a simplement une vision différente de la manière dont nous pouvons aborder la gestion de nos ressources. Je dois vous préciser que le sentiment de malédiction du pétrole n'est pas spécifique à l'Afrique. Il a été mis en évidence à travers la notion de "syndrome hollandais". Certains chercheurs ont découvert - au début de l'exploitation du pétrole en Europe du Nord - que l'expansion de cette activité avait pour corolaire la stérilisation des activités environnantes dans le pays d'exploitation. Des études ont été menées pour comprendre les mécanismes de cette désertification. Elles ont permis de prendre des mesures qui ont conduit à des politiques économiques plus équilibrées. Vous savez sans doute que les pays d'Europe du Nord sont en pointe en matière de performance économique, de qualité de vie et d'équilibre sociale. Le même phénomène est visible aux USA dans les sites d'exploitation du pétrole ou d'or mais les dispositions prises en Europe du Nord n'y ont pas été appliquées. Des études ont été également effectuées dans les pays de la péninsule arabique ainsi que sur certains pays africains comme le Nigeria et le Gabon. Certains pays arabes prennent des mesures préventives : la transformation de Dubai en grande place commerciale, la construction de diverses unités touristiques dans cette région participent de cette volonté de prévenir les effets du syndrome hollandais.Il en est de même pour les prises de participations dans des grandes entreprises industrielles, la constitution d'importants patrimoines immobiliers dans les plus importantes places économiques du monde, les opérations de placement des ressources financières dans les principales places boursières. Il faut également vous préciser les pays arabes imposent aux entreprises qui s'implantent ou viennent faire des affaires de travailler - et même partager le savoir-faire avec un opérateur local. C'est également une disposition comparable prise en Chine qui est à l'origine de la faculté des opérateurs chinois à copier les produits occidentaux et même à les concurrencer sur des marchés-cibles. En Afrique, et notamment au Gabon, les études menées sont systématiquement déconsidérées et classées. M. OYE MBA - ancien premier ministre - a été soutenu sa thèse sur la question du pétrole au Gabon. Lors de son passage à la primature, il a tenté de mettre en place quelques mesures timides. Il a été violemment combattu aussi bien par les membres de la majorité que par ceux de l'opposition, y compris par des collègues de l'université qui l'avaient cotoyé depuis le collège Bessieux. Le combat pour le pouvoir et la gestion des intérêts à très court terme couplé à une absence de culture d'entreprise conduit souvent d'éminentes personnalités - du pouvoir et de l'opposition - à faire des choix qui sont nocifs pour l'intérêt général. M. OYE MBA - pour revenir à lui au Gabon dans des ministères où son influence sur les orientations économiques est nul. Du côté de l'opposition, je voudrais rappeller l'assassinat de Joseph RENDJAMBE à l'origine des émeutes de 1990 : c'était l'un des râres économistes gabonais à avoir pris conscience des dispositions à prendre et à avoir la volonté de les mettre en oeuvre en s'appuyant sur la collaboration de la plus large palette de personnalités gabonaises. Nous n'avons cessé d'aller à la dérive. En ce qui concerne le Nigeria, j'ai rencontré l'un des militants du mouvement de revendication qui se développe dans le sud de ce pays dès le début des années 1990. Ma reflexion n'était pas encore assez avancée pour pouvoir contribuer à l'élaboration de leur démarche. Je le regrette mais aujourd'hui je me sens mieux disposé. Je vous ai expliqué que le phénomène de malédiction n'était pas spécifique africain et qu'il n'a pas été géré de la même manière selon les pays. Je crois que la malédiction que vous attribuez au pétrole doit l'être à la faible préparation des Africains à affronter les règles et les effets pervers du capitalisme. Je crois qu'un certain nombre d'Africains sont quelque peu perdus dans un système qu'ils connaissent et maitrise mal le fonctionnement. Le succès - que des pays comme la Côte d'ivoire, le Ghana et sans doute le Burkina Faso pourraient connaitre avec la gestion des produits primaires - - tient certainement au fait que les dirigeants aient permis aux élites locales de travailler en se contentant de s'attacher surtout à créer un environnement favorable à l'éclosion des initiatives provenant des opérateurs locaux et favorisant le développement de la collaboration entre ces derniers et des opérateurs extérieurs. Il faut responsabiliser les opérateurs nationaux. Les populations locales doivent également conquérir leurs droits dans le domaine économique avec la même détermination qu'il le font dans le domaine politique. La conquête de ces droits passe par une meilleure connaissance du mode de fonctionnement de ce qui constitue les unités de base de nos économies : les collectivités territoriales, les entreprises et leurs réseaux. Je vous ai dis que je tiens ma documentation à votre disposition. N'hésitez à prendre contact lorsque vous serez prêt : vous vous rendrez compte que la corrélation des faits n'implique pas nécessairement des relations de causalité entre ces faits. A bientôt avec mes salutations cordiales. MANGASS TTCChristian MAYANDJIDémarches-GestionFINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATIONVEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLESEUROPE - AFRIQUE --- En date de : Lun 20.10.08, afriquenouvelle at bluewin.ch a écrit : De: afriquenouvelle at bluewin.ch Objet: RE: Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. À: cmayandji at yahoo.fr, africdossier at googlegroups.com Cc: "Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau" , diasporagabonaise at yahoo.fr Date: Lundi 20 Octobre 2008, 10h54 Monsieur Mayandji, Cette discussion est intéressante. Je publierai bientôt un livre sur la gestion du pétrole en Afrique et je reprendrai contact avec vous. Mais, comme M. Appolinaire Noël KOULAMA, j'affirme que le pétrole est, dans la mesure où il ne contribue pas au développement du continent, synonyme de malédiction, car il est source de conflits, d'exploitation éhontée, de pillage et de mauvaise gestion. Certains pays africains qui n'ont pas de pétrole pratiquent une "bonne gouvernance" dans le sens d'une meilleure gestion des biens publics que les pays qui en ont. Le Gabon n'a pas suivi un rythme de développement comparable à la quantité de pétrole extrait de ce pays. Le pétrole gabonais a plus enrichi la compagnie Total/ELF et les autorités politiques gabonaises que le peuple gabonais dans son ensemble. De quel côté vous situez-vous, celui du peuple gabonais qui souffre ou du côté du pouvoir ? Je reviendrai vers vous très prochainement. Fweley Diangitukwa Politologue et écrivain congolais (RDC), auteur des ouvrages suivants aux éditions L'Harmattan : - "Qu'est-ce que le pouvoir ?", 2004 - "Géopolitique, intégration régionale et mondialisation", 2006 - "Le règne du mensonge politique en RDC. Qui a tué Kabila ?", 2006 - "Migrations internationales, codéveloppement et coopération décentralisée", avril 2008 - "Les fraudes électorales. Comment on recolonise la RDC", 2007 etc. ----Message d'origine---- De: cmayandji Date: 19.10.2008 18:46 Objet: Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. Cher Appolinaire Noël KOULAMA, Je crois pas que le pétrole, pas plus que les autres ressources des activités d'extraction, soit une quelconque malédiction pour l'Afrique. Je suis Gabonais né à Port-Gentil, la ville du pétrole et, j'ai consacré une part non négligeable à l'étude des activités d'extraction dans le cadre de recherches en Histoire économique. J'ai démarré mon activité de recherche avec la même opinion que la votre. Mais en identifiant les dysfonctionnements spécifiques de l'économie gabonaise - sans doute comparable à celle du Congo et d'autres pays africains - j'ai réalisé que le modèle économique utilisé par les entreprises d'extraction pétrolière et minière pour valoriser et commercialiser l'objet principal de leurs activités aurait pu très rapidement servir d'exemple à nos Etats respectifs, à nos collectivités territoriales et même aux candidats nationaux à l'initiative privé pour développer des secteurs d'activités parallèles. Vous avez sans doute entendu parler la démarche du benchmarking en management et en marketing. Les entreprises spécialisées dans l'activité pétrolière pourrait être le modèle idéal d'inspiration. En réalité, que font ces entreprises? Elles ont identifié un produit d'intérêt stratégique à l'échelle internationale. Elles savent que - compte tenu du modèle de production actuelle fortement dependante de l'énergie produite par des combustibles rares ou d'accès difficile - les économies nationales des pays industriels aussi bien que des pays en développement sont en position de forte demande. Elles ne font qu'extraire la ressource - sous forme de produit brut - là où les conditions de fournitures sont les plus favorables et vont la livrer - sous forme de produits finis - là où la demande est à la fois la plus solvable et forte. Il n'y a rien d'étrange à cela même si nous nous sentons particulièrement concernés et lésés. peut - être pouvions nous le faire nous-même avec cette ressource. Sinon et à defaut, nous pouvons nous en inspirer pour selectionner d'autres ressources à partir desquelles nous pouvons créer d'autres filières dont le fonctionnement peut être calqué sur le modèle d'organisation : collecter la ressource - sous forme de produit brut - dans les conditions les plus favorables, selectionner un marché demandeur et solvable, assurer la livraison dans des condtions aussi favorables. le reste pourrait relever de la stratégie de financement de l'investissement, de la gestion du cycle et des risques d'exploitation de la filière considérée, ainsi que de l'optimisation de la trésorerie générée par le retour sur investissement. Comment procèdent ces entreprises ? En fait - contrairement l'image qu'elles véhiculent et à nos voeux de favoriser l'implantation des industries industriallisantes - l'activité de ces entreprises n'est pas industrielle. Elles en ont le mode de fonctionnement pour les aspects relevant du tertiaire et de la gestion logistique. Elles évitent de s'investir dans des activités de transformation lourdes ou raffinés dans les pays où les conditions d'exploitation - notamment les coûts - sont difficiles à maîtriser ou à rentabiliser sur le long terme, les pays éloignés des marchés cibles ou susceptibles de générer des doublons avec des unités présentant des meilleures conditions d'exploitation. L'essentiel de leurs investissements immobilisés - en dehors de toute demande pressante - consiste en des batiments administratifs imposants et facilement reconvertibles en centre d'affraires en cas de départ ou en entrepôts abritant le matériel de recherche ou d'extraction et facilement démontable pour être projeté sur un autre théatre d'opérations. le métier de ces entreprises est celui d'intégrateur d'activités : elles font appel à d'autres entreprises pour réaliser les opérations conçues par elles et placées sous leurs contrôle. Les activités de Bouyghes et de Bolloré relèvent de la même logique d'organisation. Les principaux facteurs clé de succès de ces entreprises sont : - la qualité de la signature garantie initialement par les Etats des pays d'origine, puis par l'épargne générée par les activités précédentes et placée et enfin des sociétés d'assurances pour la couverture de différentes classes de risques; la qualité de signature sert à lever les ressources financières au près des apporteurs de capitaux (marchés boursiers, institutions bancaires, sociétés financières..) ; - un réseaux de fournisseurs, de prestataires et de filiales qui leur permettent de sous-traiter la plus grande partie de leurs activités ainsi que de variabiliser les coûts du donneur d'ordre ou de la société-mère ; - un catalogue précis et renouvellé des équipements, consommables ainsi que des nouvelles technologies; - un repertoire affiné des compétences nécessaires aux ressources humaines affectées à la gestion des différents niveaux d'activités; - une bonne connaissance des marchés-cibles permettant d'anticiper l'évolution des réseaux et différents débouchés commerciaux, donc d'assurer l'autofinancement des activités ; - d'un réseau d'ingenierie interne ou externalisée qui conçoit le savoir-faire et contrôle l'exécution des opérations, gère la mémoire technique, réalisent les montages - financiers, juridiques et techniques pour le compte de l'entreprise; - une capacité de communication qui leur permettent de développer leur notoriété ainsi qu'une image favorable - pour impression - aussi bien au près des dirigeants pourvoyeurs de nouveaux marchés, des ressources humaines candidates ou employées, qu'au près des populations bénéficiaires de leurs implantation. Nous pouvons inclure les opérations de prise en charge des soins de santé, d'hébergement et de restauration ou des actions sociales et et de loisirs dans ces opérations de communication. - un levier de mobilisation d'unités de sécurité opérationnelle et de gestion de système d'information chaque fois que les conditions juridiques sont réunis pour leur permettre d'intervenir directement ou par externalisation. Je crois que c'est à ce niveau que les Etats-hotes - en concurrence avec les sociétés privées - doivent justifier leur revenus. Ces entreprises gèrent essentiellement des fonctions managériales (finances, ressources humaines, communication, ingenierie, commercialisation) . Pour les autres facteurs clé de succès, Elles ont pris l'habitude d'externaliser la gestion des fonctions correspondantes notamment dans le cadre de certains processus principaux ou de support. Les revenus tirés des activités d'une entreprise sont distribués entre quatre catégories d'acteurs en échanges des prestations fournies ou des contraintes juridiques : l'Etat, les actionnaires, les fournisseurs de biens et prestations, les ressources humaines, le réseaux commercial. En fait, nous agissons sur ces entreprises en exerçant une pression à travers les Etat agissant en tant que puissance publique ou en tant qu'actionnaires. Nous essayons de nous imposer en tant que ressources humaines en essayant de la rendre la plus locale possible. Pourtant une analyse de la valeur de ces entreprises peut montrer que l'essentiel de la valeur créée dépent davantage de l'intervention des fournisseurs des biens et des prestations ainsi que de l'efficacité du réseau commercial sur les marchés-cibles. Or ces deux catégories sont controlées pratiquement à cent pour cent par des opérateurs de nationalité différente des pays- hotes. Bien que la repartition de la valeur créée par les entreprises soit contractuelle et non mécanique, on peut aisément constater que la plus grande partie de la valeur créée va à ceux qui en apporte la plus grande contribution. C'est à dire au réseau commercial, aux fournisseurs, aux actionnaires publiques et privés, à l'Etat, aux ressources humaines expatriées et accessoirement, locales. Lorsqu'on observe l'activité pétrolière sous cet angle, on peut se rendre compte que notre malédiction n'est pas de posséder le pétrole, il est plutôt de ne pas savoir l'exploiter, ou du moins de ne pas savoir contôler sa valorisation. l'action que les représentants les plus actifs de nos populations mènent n'et peut-être pas vain, mais il me paraît au moins insuffisant sinon mal orienté. Dans tous les pays ayant accepté le mode de régulation libérale - ou à l'extrême capitaliste - la valeur créée revient en priorité aux propriétaires et promoteurs de l'activité, ensuite à ceux qui y ont apporté la plus forte contribution. Le combat que mène nos populations risquent de ne pas être longtemps légitime à moins que le pouvoir de nuisance occasionné par l'usage des armes ne puissent inverser la tendance. Dans ce cas, les revenus distribués à la population viendrait remunérer le prix de la sécurité et non le financement d'une opération en vue de re-équilibrer la repartition des richesses en faveur des plus pauvres et précaires. Il faut bien comprendre que dans la mentalité capitaliste, la pauvreté et la précarité n'ont jamais été un facteur d'attraction de revenus, mais plutot de rejet. Au regard de ce que j'ai exposé plus haut, il me parait important de bien repositionner notre présence dans les différents niveaux des filières d'activités car le rapport de force physique ne sera pas toujours un argument durable dans le contexte capitaliste. A quel titre les populations locales souhaitent-elles tirer profit des retombées du pétrole? Serait ce en tant que propriétaire? Cette position pourrait être légitime si l'on privilégie - en antropologie juridique - le droit du premier occupant au dépens du droit du plus fort ou droit positif (droit transmis par l'administration colonial aux Etats post-coloniaux). Dans ce cas et surtout pour que le principe prenne la force d'une loi, et non d'une règle exceptionnelle en faveur de certaines populations ou catégories socio-professionnelles, il faudrait rechercher la reforme du système foncier afin que les populations locales puissent avoir enfin des droits collectifs ou individuels chaque fois qu'une entreprise se propose de développer une activité économique dans leur localité et, même, en toute circonstances. Une telle mesure verrait naître une multiplicité de propriétaires auxquelle les entreprises - respectant les règles du libéralisme ou du capitalisme - devraient rendre compte. Cette mesure ne serait pas iconoclaste. Les citoyens américains en ont bénéficié au moment de l'exploitation du pétrole. Les citoyens indiens d'amérique utilisent cette disposition chaque fois qu'une société se propose d'exploiter une quelconque opportunité dans leurs reserves. Dans un lieu moins attendue - du fait de la représentation qu'on a de l'attachement à une vision traditionnelle de la vie par les aborigènes d'australie - une entreprise française spécialisée dans l'exploitation de l'uranium s'est vue obligé de payer des redevances autant au gouvernement qu'aux habitants de la reserves aborigène. la présentation d'une revendication sous cette forme permettrait de lever une mobilisation nationale alors qu'aujourd'hui ces reventications ressemblent plutôt à des revendications identitaires ou corporatistes. En attendant qu'une telle reforme se mettent en oeuvre, il convient que la pression que les populations puissent exercer sur les entreprises d'extration serait leur imposer de faire systématiquement appel un opérateur local pour les fournitures de biens et prestations ou dans la phase de développement du réseau commercial. Il ne s'agit nullement ici d'exclure les opérateurs expatriés des opérations de sous-traitance mais de les obliger à travailler en binômes avec des opérateurs nationaux. l'intérêt pour ces opérateurs nationaux serait alors de recevoir un revenu à capitaliser pour investir ensuite sur le même métier que l'opérateur expatrié ou pour se déployer vers d'autres activités. L'autre intérêt serait également le bénéfice des effets d'apprentissage : en étant impliqué dans la gestion des mêmes activités que l'opérateur expatrié, l'opérateur local ne peut que s'habituer aux usages du secteur d'activité et développer des compétences transférables vers d'autres activités. Nous ne parlerons pas des ressources humaines où des actions se mettent en oeuvre selon différentes modalités et en fonction de la pression exercée par l'Etat-hote ainsi qu'en fonction des besoins des entreprises en compétences. Voila, je vous ai décliné les raisons pour lesquelles je pense que c'est l'incapacité des opérateurs nationaux à fournir des offres compétitives aux entreprises d'extraction pétrolière et minière que l'exploitation du pétrole elle- même. Je crois au contraire que cette activité peut être une formidable opportunité d'apprentissage et d'ouverture de nos activités vers des marchés extérieurs dans le cadre d'un échange équilibré. Je m'excuse de ne pas avoir été complet dans ma présentation mais n'hésitez pas à souligner des points qui nécessitent des compléments de présentation. Merci pour votre attention et salutations cordiales. MANGASS TTCChristian MAYANDJIDémarches-GestionFINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATIONVEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLESEUROPE - AFRIQUE --- En date de : Dim 19.10.08, Groupe Africdossier a écrit : De: Groupe Africdossier Objet: LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. À: Date: Dimanche 19 Octobre 2008, 12h55 LA MALEDICTION PERSISITANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. « Les Effets Pervers de l'Or Noir » en Afrique, ne peut être exclut des choix politiques et économiques des Présidents prédateurs de l'or noir et de sa manne, au détriment des peuples et des tribus. Résultat : Pauvreté et troubles sociopolitiques envahissent les sociétés productrices du pétrole. Ainsi, dans l'espace économique africain, des problèmes complexes entiers demeurent, encore, non résolus, où ces Présidents prédateurs utilisent la force, que le débat qui tient compte des revendications concrètes, pour lutter contre la pauvreté et les conflits sociaux à caractère politique. Résultat, une catastrophe s'installe dans la durée. Appolinaire Noël KOULAMA, votre animateur de ce forum, a sélectionné pour vous deux articles ( joints ci-dessous), et deux pays (le Congo-Brazzaville et le Nigeria), deux réalités tout à fait différentes, mais qui aboutissent, toutes les deux dans le fond, à l'appauvrissement des économies, comme si l'or noir est une malédiction. Bonne lecture à tous ! Appolinaire Noël KOULAMA Groupe Africdossier Note : Les titres de chaque article sont du Groupe Africdossier Vous pouvez lire : « Les Effets Pervers de l'Or Noir », un article de la rédaction Africdossier _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ PETROLE AU CONGO-BRAZZAVILLE : QUELS CONTRASTES SOCIAUX ET ECONOMIQUES ? Syndicats et associations de défense des droits des consommateurs dénoncent le renchérissement des prix des produits pétroliers, ainsi que des pénuries récurrentes de carburant malgré une production nationale couvrant largement les besoins du pays. Les Congolais ont connu des moments difficiles ces derniers temps du fait conjugué de la hausse des prix et de la pénurie de carburant entraînant une forte inflation à travers le pays. Le litre d'essence super à la pompe est passé de 500 francs CFA à 1000 francs CFA, puis à 1500 francs CFA... Une situation plutôt difficile à comprendre pour les Congolais, d'autant que leur pays figure parmi les huit grands producteurs de pétrole du continent, selon l'Association des pays producteurs de pétrole d'Afrique (APPA). La production pétrolière du Congo, selon une estimation prévisionnelle fiable, devrait atteindre 93 millions de barils d'ici la fin de l'année 2008, contre un peu plus de 80 millions de barils par an ces dernières années. « Malgré la hausse vertigineuse du baril qui avait atteint le taux record de 140 dollars sur le marché international, les Congolais n'ont rien tiré de cette hausse. » Les syndicats et les associations de défense des droits des consommateurs attribuent principalement deux causes à la hausse des prix et à la pénurie des produits pétroliers : la première raison serait liée à une mauvaise politique de redistribution de la production nationale, puisque la plus importante quantité, soit plus des 2/3 de la production, est exportée. La seconde raison serait liée à une politique fiscale lourde, puisque l'on comptabiliserait pratiquement une dizaine de taxes sur les produits pétroliers. Conséquence de cette lourde taxation, le marché noir s'est fortement développé, en l'occurrence, dans la ville de Pointe-Noire, la métropole économique qui concentre les principaux champs pétrolifères du pays, ainsi qu'à Brazzaville, la capitale qui représente la moitié des besoins nationaux en produits hydrocarbures. EXIGENCE DE LA BONNE GOUVERNANCE. Ces dernières semaines, les stations-service ont été sevrées de carburant, faisant ressortir du « maquis » les revendeurs de produits pétroliers à la criée, les « Kadhafi », qui se sont livrés à la spéculation. De quoi amplifier le courroux des Congolais, d'autant que le gouvernement ne donne aucune explication pour justifier cette hausse. Face à ce que les organisations de la société civile qualifient « d'inacceptable », la coalition « Publiez ce que vous payez » est montée au créneau pour dénoncer la mauvaise gestion de la manne pétrolière, soulignant que « malgré la hausse vertigineuse du baril qui avait atteint le taux record de 140 dollars sur le marché international, les Congolais n'ont rien tiré de cette hausse ». La société civile, qui veut savoir « où vont les surplus occasionnés par la flambée des prix du baril de pétrole », milite d'ailleurs pour qu'un audit soit réalisé sur l'épargne budgétaire dans le compte ouvert depuis quelques années à la Banque centrale, et où il n'y aurait que 139 millions d'euros. Malgré ce contraste, le chef de l'Etat congolais Denis Sassou Nguesso parle plutôt de « perspectives encourageantes » pour l'économie congolaise, dont le pétrole représente, de loin, la principale recette, soit 2/3 des ressources du pays. Après une chute consécutive en 2006 et 2007, où la production s'était stabilisée autour de 80 millions de barils par an, le brut congolais, a confirmé le chef de l'Etat, devrait connaître près de 35% d'augmentation cette année, avec la mise en production, en mai dernier, d'un nouveau champ pétrolier à Moho Bilondo, dans le sud du pays, et dont l'exploitation est assurée par la société française Total & EP. Véritable mamelle nourricière, le Congo attend cette année grâce au pétrole un taux de croissance réel moyen de 9% du produit intérieur brut (PIB), contre 3,7% il y a dix ans. Auteur : Achille MBog PIBASSO, Douala au Cameroun Publié le : 19 octobre 2008 Rubrique : Afrique-économie Source : Les Afriques _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ NIGERIA : LA CRISE DE DELTA RENFORCE LA CRISE SOCIALE ET ECONOMIQUE. Tout le potentiel pétrolier du Nigeria n'approvisionne pas les marchés. La faute à une guérilla qui s'est enlisée dans le delta du fleuve Niger, mais qui paraît encore en mesure d'obtenir en partie justice pour les populations démunies de la région la plus riche du pays. La « guerre du pétrole » du MEND (Mouvement pour l'émancipation du delta du Niger), lancée le 14 septembre 2008, suite à des « attaques non provoquées », n'a duré qu'une semaine. Le 21 septembre, le mouvement de guérilla, qui revendique un meilleur partage des revenus pétroliers, a décrété un cessez-le-feu unilatéral, à la demande, dit-il, de chefs coutumiers et de responsables politiques du delta du Niger. Le MEND, qui fait un usage intensif d'Internet, a expliqué, dans un langage météorologique, qu'il « rétrogradait » la guerre du pétrole qui porte le nom de code « Ouragan Barbarossa » en état d'alerte dite « Vigilance tempête tropicale ». Le MEND, qui se fait le défenseur des Ijaw, une ethnie de 14 millions de personnes, pèse depuis son apparition en 2006 sur la production de pétrole du Nigeria, qui oscille entre 1,8 millions et 2 millions de baril-jour, alors qu'elle était, deux ans plus tôt, de 2,6 mbj. L'insécurité créée par la crise dans le Delta du Niger, avec des attaques, des enlèvements et des sabotages sur terre et en off-shore, ferait perdre, selon les estimations, un quart de la production quotidienne du pays. LES FRUITS DE LA REPRESSION : D'une certaine manière, le Nigeria fait les frais de la répression dont a été victime, dans les années 90, le MOSOP (Mouvement pour la survie du peuple Ogoni) qui militait, par des moyens pacifiques, contre les pratiques prédatrices de la Shell et du gouvernement fédéral (destruction de l'environnement, absence de redistribution de la rente). L'exécution en 1995 du leader de ce mouvement, Ken Saro Wiwa, a favorisé l'émergence de groupes radicaux en lutte contre les compagnies pétrolières et le gouvernement fédéral. Le pourrissement de la situation a provoqué des actions destinées à attirer l'attention internationale sur la crise au Delta qui se mêlent à des pratiques lucratives d'enlèvement touchant aussi bien des Nigérians que des expatriés travaillant pour les entreprises pétrolières. Des spécialistes relèvent que le MEND, qui n'est pas le seul groupe armé du Delta, ne contrôle pas toutes les actions menées par ses troupes. Beaucoup de ses membres se livrent à du banditisme pur et simple, d'où la tendance du gouvernement fédéral à assimiler le MEND à un mouvement de brigandage criminel. A cela se greffe un trafic illégal, qui serait le fait d'hommes politiques influents et qui porterait sur quelque 80 000 barils-jour. La « guerre du pétrole », annoncée le 14 septembre, faisait craindre une extension du champ d'action du MEND, qui ciblait jusque-là la filiale locale de Shell, à d'autres compagnies étrangères comme l'italienne Agip ou l'américaine Chevron. Le cessez-le-feu unilatéral décrété par le MEND a fait baisser la tension. UN KIMBERLY POUR LE PETROLE VOLE ? Des analystes relient les dernières actions du MEND à un marchandage politique avec le gouvernement d'Abuja, qui a décidé de la création d'un ministère pour le delta du Niger. A l'évidence, il s'agit pour le président Yar'Adua d'avoir une prise directe dans l'affectation des ressources pour la région du delta, où les frustrations de la population expliquent largement le développement de la pratique du rapt et des sabotages des installations pétrolières. « Le Ministère coordonnera nos efforts pour relever les défis que présentent le développement des infrastructures, la protection de l'environnement et l'affectation de jeunes à des postes de responsabilité dans la région » a déclaré le président. Cette volonté affichée de prendre en charge les frustrations réelles des populations du delta s'accompagne d'un appel du gouvernement d'Abuja à la mise en place, sur le modèle du processus de Kimberley pour le diamant, d'un mécanisme contre la prolifération du « pétrole du sang » ou « blood oil ». L'appel a été lancé le 11 septembre, lors d'une conférence ouest-africaine sur la transparence dans les transactions pétrolières. Le parallèle entre les diamants, qui ont alimenté les guerres civiles au Liberia et en Sierra Leone, et le pétrole, volé dans le delta du Niger, est significatif. A New York, où il assiste à l'assemblée générale de l'Onu, le ministre des Affaires étrangères Ojo Maduekwe à redemandé une criminalisation internationale de l'achat du brut volé. Encore faut-il convaincre les populations du delta qu'elles gagneront au change. Auteur : Sana HARB, Alger en Algérie Publié le : 19 octobre 2008 Rubrique : Afrique-économie Source : Les Afriques _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Note : Les titres de chaque article sont du Groupe Africdossier Vous pouvez lire : « Les Effets Pervers de l'Or Noir », un article de la rédaction Africdossier From protected at gmail.com Tue Oct 21 02:23:43 2008 From: protected at gmail.com (MGD GABON) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:23:43 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Du Nouveau pour le site des 10 Gabonais de la Diaspora... Message-ID: Vous etes stupides! connaissez vous tous les gabonais de la disporat? ceux qui sont multi-millionaires aux canada et aux usa, et qui ne sont pas dans vos stupidites? Les ignorants peuvent bien se delecter dans l'ignorance! 2008/10/16 Gabonais Diaspora ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Chers compatriotes, Les temps approchent, où le Gabon fera son grand toilettage politique, dont le dernier remonte au 2 décembre 1967, date de la prise de fonction d'Albert Bernard (Omar) Bongo, l'actuel président de notre pays.. Pour ce grand rendez-vous, auquel tout citoyen gabonais devra prendre part, nous avons voulu sélectionner pour vous, comme cela a été fait par nos confrères de "Jeune Afrique", concernant les "100 hommes clé du Gabon", ceux de nos compatriotes "visibles", qui contribuent au rayonnement de notre Diaspora, hors du territoire national. Cette liste de compatriotes, régulièrement mis à jour, est désormais consultable sur un nouveau site Internet, plus accessible et offrant plus d'interactivité. Vous pourrez désormais poster vos commentaires. http://gabon.typepad.fr/ Nous vous souhaitons dores et déjà une bonne navigation. Le Collectif "Diaspora Gabonaise" From protected at gmail.com Tue Oct 21 02:25:19 2008 From: protected at gmail.com (Sylvain Ndong) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:25:19 -0400 Subject: [BDPalabres] TR: LA FRANCE A FRIC EN VIDEO. Message-ID: -----Message d'origine----- De la part de Groupe Africdossier Envoyé : lundi 20 octobre 2008 20:05 À : Africdossier Objet : LA FRANCE A FRIC EN VIDEO. LA FRANCE A FRIC EN VIDEO. Nous connaissons, La France-Afrique La Françafrique Découvrons la France à Fric, au moyen d’un tube critique sur les rôles De la France en Afrique. Attention, les musiciens ne sont pas des noirs, mais des blancs. Pour voir et écouter la France à Fric, cliquez sur : http://www.youtube.com/watch?v=SUx8Kyc_04w EN AVANT GOÛT: EXTRAIT DE LA CHANSON FRANCE A FRIC. Allons enfants de la patrie Il est temps d'apprendre la vrai histoire Celle qui encore aujourd'hui Ramène des milliards d'euros aux pouvoirs Afrika Afrika La France t'aime Afrika Afrika La France te ken Afrika Afrika ce continent saigne Afrika Afrika il y a trop de problème France mon pays mais pas mes atouts En soutenant le Soudan ou le Zaïre Mobutu France mon pays mais pas mon combat J'n'ai pas tué abdala ni soutenu Eyadema Ni le Tchad de Déby pour l'clan des Zaghawas J'ai pas mis au Cameroun en place Paul Biya J'décimme pas la forêt comme le groupe Bolloré Et j'n'ai aucun intérêt dans l'génocide rwandais G. L. N. F. tiens d'autres illuminazi à la tête de Elf D.G.S.E. on a aussi notre C I A pour qu'ils se tiennent mieux On me parle d'immigration mais jamais de la BNP De la Société Générale ou du crédit Lyonnais Qui fond des millions d'euros en Afrique sur le pétrole Anéantissent le Congo d'autre le Sierra Leone L'indépendance de l'Afrique personne n'en veut Surtout pas les démocratie d'Europe qui ferment les yeux La banque Conti au Luxembourg affilié à Paris Bas Avait comme client Houphouet Boigny ou Bokassa Dirigé par Nadhmi auchi pote de Pasqua C'est banque à financé Radio qui tuas rwanda Eh Négro c'est Fonky Babtout qui rappe l'infos Elevé au poulet braisé sauce mafi de Bamako Charles de Gaule donna l'indépendance à Afrika Mais mis en place Jacques Fauccart qui les niquas Me raconte pas tes histoires je sais de quoi j'parle Trafiques de femme d'armes trafique de came Tu veux de la poésie écoute mon flow Ici c'est Rockin Squat le relais d'l'info Les Mittérants on toujours cautionné les dictatures Celles de Sassou Nguesso où celle d'autre ordures O.T.A.N. on dirait qu'ils sont tous de mèche pour qu'l'Afrique saigne Forestiers Rougier l'exploitation du bois continue de la tuée Pour voir et écouter la France à Fric, cliquez sur : http://www.youtube.com/watch?v=SUx8Kyc_04w From protected at bdpgabon.org Tue Oct 21 02:04:07 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:04:07 -0400 Subject: [BDPalabres] ROMAN: Le chant des chimpanzés (Auteur: Daniel Mengara) Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- Le chant des chimpanzés Daniel Mengara Le chant des chimpanzés est le récit d’un jeune garçon de dix ans qui, caché sous un lit, voit sa mère et ses deux petites sÅ“urs sauvagement assassinées par des soldats venus nuitamment arrêter son père. Ayant par miracle échappé aux soldats, le jeune garçon découvre dix ans plus tard que son père est toujours vivant, quoique gardé secrètement prisonnier dans les geôles du Grand Camarade Président Trebla Dranreb Ognob, un dictateur sanguinaire qui règne d’une poigne de fer sur le pays imaginaire de Bibulu depuis quarante ans. S’ensuit alors un échange épistolaire clandestin entre père et fils qui mènera peu à peu, au travers de réflexions et de questionnements philosophiques, à une prise de conscience par le jeune homme des grands maux culturels et politiques qui ruinent l’Afrique. A la fin, au moment où la tension monte pour révéler un pays dévasté par les turbulences révolutionnaires, un seul choix s’impose au peuple : le chant des chimpanzés. Le chant des chimpanzés offre au lecteur un nouveau regard sur le continent africain. C’est un regard qui, sans ambages, décortique et illumine les errements despotiques qui, en Afrique postcoloniale, ont condamné les peuples et les nations à des misères inexplicables. C’est enfin un regard qui, au travers d’un récit violent animé par un style d’écriture brutal et subversif, accuse, condamne et se porte résolument vers l’avenir. INFORMATION ACHAT Editions L’Harmattan, ISBN : 978-2-296-03524-9 - Publication octobre 2008 • 244 pages - 22 Euros Alapage.com, ISBN : 978-2-296-03524-9 - Publication octobre 2008 • 244 pages - 20,90 Euros Amazon.Fr, ISBN : 978-2-296-03524-9 - Publication octobre 2008 • 244 pages - 20,90 Euros LIRE LA SUITE: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/10/21/gabon-nouveau-roman-le-chant-des-chimpanzes-auteur-daniel-mengara/ -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at yahoo.com Thu Oct 16 22:50:02 2008 From: protected at yahoo.com (Gabonais Diaspora) Date: Thu, 16 Oct 2008 22:50:02 -0400 Subject: [BDPalabres] Du Nouveau pour le site des 10 Gabonais de la Diaspora... Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. 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Pour ce grand rendez-vous, auquel tout citoyen gabonais devra prendre part, nous avons voulu sélectionner pour vous, comme cela a été fait par nos confrères de "Jeune Afrique", concernant les "100 hommes clé du Gabon", ceux de nos compatriotes "visibles", qui contribuent au rayonnement de notre Diaspora, hors du territoire national. Cette liste de compatriotes, régulièrement mis à jour, est désormais consultable sur un nouveau site Internet, plus accessible et offrant plus d'interactivité. Vous pourrez désormais poster vos commentaires. http://gabon.typepad.fr/ Nous vous souhaitons dores et déjà une bonne navigation. 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Pour lancer cette structure au Gabon, des actions dans le sport ont été orgainisées l’été 2008 à Mouila avec l’appui des clubs de Valenciennes Football Club et de Lyon Handball. 2AEG (Aide et Action pour les Enfants du Gabon) se résume comme une structure humanitaire au cÅ“ur du developpment pour combattre les fléaux du sous developpement. Nous faisons appel à toutes les bonnes volontés qui veulent Å“uvrer avec nous dans cette aventure noble et humaine pour les Enfants du Gabon. Cordialement : Jean Nestor Moungomo Pour nous contacter Monsieur Moungomo Jean Nestor Président fondateur de 2AEG : 06 13 99 99 58. 2AEG (Aide et Action pour Les Enfants du Gabon) 2-4 Place Henri Barbusse 92300 Levallois Perret 2AEG Enregistrement à la préfecture des Hauts de seine Le 7 Janvier 2008 N°19030922 Référence DJO Journal officiel du 02/02/2008 N°02155 Moungomo Jean Nestor 2 Place Henry Barbusse 92300 Levallois Perret portable : 06 13 99 99 58 Moungomo Jean Nestor Diplômé en management et marketing de sport Diplômé en Gestion des Organisations sportives Technicien de l'éducation populaire Educateur Sportif Pour Tous Entraineur d'athlétisme. -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at yahoo.fr Thu Oct 16 23:06:51 2008 From: protected at yahoo.fr (Tchilo Ngwemyene) Date: Thu, 16 Oct 2008 23:06:51 -0400 Subject: [BDPalabres] plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. 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A Monsieur le Président de la Commission Nationale de Lutte contre l’enrichissement illicite Libreville Objet : plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite Monsieur le Président Conformément à l’article 28 de la Loi n°2/2003 du 02 juin 2003 portant création, organisation et fonctionnement de la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite, qui dispose : « En matière d’investigation, la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite est saisie soit de sa propre initiative, soit par le Commissaire de gouvernement, soit par toute autre autorité administrative ou par toute personne intéressée ». Nous, Réseau Gabonais de Bonne Gouvernance (ROLGB) présidé par M. Georges MPAGA, (Tel. +241 - 07 51 99 32) et nous, AFRIQUE-HORIZONS, présidé par M. Alain MOUPOPA (Tel. +241 06 73 34 73), Marc ONA ESSANGUI, Président de Brainforest (+241 07294140) qui agissons en tant qu’acteurs de la Société Civile au Gabon, pour la transparence et la lutte contre la corruption. Avons l’honneur de venir, respectueusement, auprès de votre Institution porter plainte pour les faits suivants : Courant juin 2008, nous avons reçu par courriel et par voie postale le relevé du compte bancaire no 00012374602-53 ouvert auprès de la BGFIBANK Libreville, qui indiquait des avoirs bancaires importants appartenant à un certain ALABA Fall Bosco, suivis de graphiques, d’analyses et de commentaires dignes d’un travail d’expert. Nous avons pensé qu’il s’agissait de tracts comme il est malheureusement de coutume dans notre pays. Cependant, le niveau de précision et la qualité des analyses contenues dans ces documents ont attiré notre attention car nous avons pensé qu’il pouvait bien s’agir du célèbre et bien connu ALABA Fall Bosco qui occupe les fonctions de Procureur de la République auprès du Tribunal de Première Instance de Libreville, et qui a le statut de magistrat et donc de fonctionnaire auprès du Ministère de la Justice de la République du Gabon. Dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » a publié un long article intitulé « Le secret bancaire dévoyé - BGFI et le compte d’Alaba ! » dans lequel il faisait état de « la publication et la large diffusion de relevés bancaires du Procureur de la République » et révélait au grand jour la violation du secret bancaire « qui empoisonne désormais l’atmosphère entre la BGFI et un client tout particulier Alaba Bosco Fall... » . C’est ainsi que nous avons pris conscience que nous étions en possession de relevés bancaires qui très probablement étaient ceux du Procureur de la République Alaba Fall Bosco. Notre présomption s’est renforcée lorsque le rédacteur de l’article a indiqué « Contrairement à d’autres personnalités, nous pensons que le solde truqué à fin janvier 2008 chiffré à 200.793.974 FCFA apparaît modeste » et qu’il a donné une liste d’informations (sur lesquelles nous revenons plus loin) qui semblait venir en réponse aux questions posées par le travail digne d’un expert que nous avions initialement pris pour un tract. L’hypothèse de l’existence d’un sérieux problème posé par les avoirs bancaires d’un Procureur de la République, incommensurable avec son statut de fonctionnaire et son traitement mensuel se faisait plus précise. Telle a été notre surprise de constater que dans la même période, M. Alaba FALL BOSCO, Procureur de la République de son état, confirmait expressément être le titulaire dudit compte en portant plainte contre Mademoiselle Marlene Rapontchombo, ex-employée de la BGFIBANK qu’il soupçonnait d’être à l’origine de cette divulgation, ceci conduisant à sa mise sous mandat de dépôt le 17 juillet 2008. Alors que dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » parlait de « solde truqué » nous avons noté qu’à ce jour, ni M. Alaba FALL BOSCO et ni la BGFIBANK n’ont jamais contesté de quelque manière que ce soit les informations contenues dans les relevés bancaires litigieux, notamment que le solde au 13 février 2008 s’élevait à 200.793.974 FCFA. Que si M. Alaba FALL BOSCO fait preuve depuis lors d’une nervosité extrême, c’est bien parce qu’il a conscience que son compte présente un solde créditeur et a enregistré des opérations très certainement incompatibles avec son statut de fonctionnaire de justice et son traitement mensuel. Ainsi, nous n’avons plus de doute sur l’authenticité des relevés bancaires que nous avons reçus et des informations qu’ils comportent couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008. On peut lire que, M. Alaba FALL BOSCO a perçu dans son compte sur la période de référence, un traitement mensuel net de 1.295.252 FCFA qui lui a été versé régulièrement à date fixe, en général dans la dernière semaine du mois. Nous avons été grandement surpris de constater que sur la période allant de juillet 2007 à janvier 2008, ledit compte présentait un solde créditeur constamment supérieur à plus de 200 fois le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO alors qu’en début d’année 2007 ledit compte courant n’enregistrait que le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO à son crédit et les retraits y afférents à son débit. Ainsi, les avoirs de M. Alaba FALL BOSCO, ont connu un accroissement subit et vertigineux qui ne pouvait qu’attirer notre curiosité. Après une lecture attentive de ce relevé de compte nous avons constaté que cette augmentation des avoirs de M. Alaba FALL BOSCO au cours de l’année 2007, provenait de trois (3) versements en espèces effectués le 12 mars 2007 pour 29.740.000 FCFA, le 31 juillet 2007 pour 200.000.000 FCFA, et le 1er août 2007 pour 100.000.000 FCFA. Tous ces versements ayant été effectués par un tiers, le dénommé Angue KPAKO Constant. C’est ainsi que nous posons plusieurs questions essentielles : - quelle est l’origine de ces importantes sommes d’argent totalisant 329.740.000 FCFA qui ont été remises en espèces sur le compte du Procureur de la République ? - quelles raisons pourraient expliquer le dépôt en espèces de la somme faramineuse de 300.000.000 FCFA en l’espace de deux jours sur le compte du Procureur de la République ? - quelle est la nature de la relation entre M. Alaba FALL BOSCO et le dénommé Angue KPAKO Constant qui conduit ce dernier à faire des versements en espèces très importants sur le compte du Procureur de la République ? Nous nous sommes reportés sur les pistes suggérées par l’hebdomadaire « Le NGANGA » dans son édition du 23 juillet 2008 ou encore sur le site Internet de Croissance saine environnement : www..croissancesaine.org Quelles sont ces pistes ? M. Alaba et son épouse détiendraient un patrimoine immobilier - 27 maisons - qui leur rapporteraient sept (07) fois son salaire, c’est-à-dire environ 8.400.000 F CFA par mois. Alors nous posons la question : comment se fait-il que du 1er janvier 2007 au 13 février 2008 soit une période de plus de douze mois, le compte n’ait jamais reçu le moindre versement par chèque ou espèces, trois dépôts ci-dessus mentionnés et des salaires mensuels ? - Ainsi, M. Alaba aurait réussi le miracle de collecter le 31 juillet 2007 et en espèces, l’équivalent de 40 mois de loyers de son supposé patrimoine immobilier. M. Alaba serait-il donc propriétaire d’un quartier entier de Libreville ? Et comment aurait-il réussi une telle prouesse avec son traitement de fonctionnaire ? Cette thèse nous apparaît très peu crédible. - M. Alaba serait le responsable d’un Club de football et d’un Club de handball qui reçoivent, respectivement, des Fédérations gabonaises des subventions à hauteur de 50.000.000 F CFA et 26.000.000 FCFA par an. Même si cela était vrai, cela est très insuffisant pour expliquer l’origine de la rondelette somme de 329.740.000 FCFA versées en espèces sur son compte. De plus, cette thèse nous apparaît très peu crédible et de surcroît facilement vérifiable auprès des comptables de ces fédérations sportives. Et pourquoi ces clubs utiliseraient-ils le compte personnel de leur Président alors qu’elles sont des associations avec une personnalité juridique propre ? M. Alaba serait-il ignorant des stipulations du Code Pénal gabonais qui nous éclaire sur les risques encourus en cas de confusion de patrimoine -délit de détournement de deniers publics- ? - M. Alaba serait le petit-fils ou neveu de monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, et à ce titre, il reçoit des largesses de sa part comme il le fait pour certains ministres. Combien aurait-il reçu, quand, où et pourquoi ? Si d’un coup de baguette magique, M. Alaba recevait dans une année, de la part de son illustre parent, une largesse en espèces représentant trois-cent (300) fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire, n’y aurait-il pas lieu de se poser toute sorte de questions ? Si largesse il y avait, il conviendrait de vérifier si monsieur Bosco Alaba Fall a déclaré auprès des Impôts les dons qu’il aurait reçus de la part de son bienfaiteur monsieur le Président de la République. En définitive, malgré nos efforts inlassables, nous n’avons pas pu trouver de raison valable qui puisse expliquer l’accroissement subit et vertigineux des avoirs bancaires du procureur ALABA Fall Bosco. Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est fonctionnaire de l’Etat gabonais et qu’à ce titre, il est un justiciable de la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite ; Qu’en effet, l’article 3 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 instituant un régime de prévention et de répression de l’enrichissement illicite en République Gabonaise stipule que : « les dispositions de la présente Loi s’appliquent à tout dépositaire de l’autorité de l’Etat : Autorité politique, Autorité administrative, Agent public, ainsi que tout préposé statutaire ou occasionnel de l’Etat, des collectivités locales, des établissements publics ou parapublics » ; Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est magistrat, et de surcroît Procureur de la République ; Qu’à ce titre, il est un agent public au sens de la Loi et qu’il est donc susceptible de se voir appliquer la présente Loi ; Considérant que l’article 2 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 dispose la chose suivante : « Au sens de la présente Loi, est considéré comme enrichissement illicite le fait, pour tout dépositaire de l’autorité de l’Etat, de réaliser ou de tenter de réaliser des profits personnels ou d’obtenir tout autre avantage de toute nature : - au moyen d’actes de corruption active ou passive, de concussion, de fraude, de détournement ou de soustraction frauduleuse de deniers publics ou de biens publics, d’abus de pouvoir, de trafic d’influence, de prise illégale d’intérêts ou de tout autre procédé illicite...etc. Est également considéré comme enrichissement illicite l’augmentation significative du patrimoine de tout dépositaire de l’autorité de l’Etat que celui-ci ne peut raisonnablement justifier par rapport aux revenus qu’il a légitimement perçus ». Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco, au vu de ses relevés de compte bancaire couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008, qui ont été distribués à toute la population gabonaise, a, sur son compte courant n°00012374602-53 ouvert dans les livres de la BGFI BANK, fait verser en espèces par un tiers le dénommé Angue Kpako Constant, les sommes faramineuses de 200.000.000 F cfa, le 31 juillet 2007 et 100.000.000, le 1er août 2007, soit au total en l’espace de deux jours près de 300 fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire ; Que nous avons avec beaucoup de sérieux, récolté ici et là des arguments qui pouvaient être des moyens d’explication de l’augmentation vertigineuse et subite des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Qu’en tout état de cause, tous les arguments que nous récolté et analysé ci-dessus ne permettaient pas de justifier l’origine licite de l’augmentation subite et vertigineuse des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Considérant que les dépôts en espèces ci-dessus relatés constituent, n’en point en douter, le délit d’enrichissement illicite ; Considérant que le versement en espèces sur le compte bancaire est un moyen permettant de créer une rupture dans la traçabilité de l’origine des fonds ; Considérant que l’usage systématique d’un tiers pour faire des dépôts en espèces aussi important est un moyen visant la non identification du bénéficiaire du dépôt, à savoir monsieur Alaba Fall Bosco qui est un homme public aisément reconnaissable s’il se présente au guichet d’une banque de la place de Libreville ; Considérant que la BGFIBANK a méconnu les dispositions du Règlement 01/03-CEMAC-UMAC du 04 avril 2003 portant prévention et répression du blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme en Afrique Centrale, en assurant l’opération de dépôt de ces sommes sur le compte de monsieur Alaba Fall Bosco sans se renseigner sur leur origine, et de cette manière assurant leur blanchiment ; Nous venons porter plainte : - pour enrichissement illicite contre monsieur ALABA Fall Bosco, Procureur de la République ; - pour complicité d’enrichissement illicite et recel Angue Kpako Constant, et consorts. Cette plainte ne devra pas étonner monsieur ALABA qui le 13 février 2008 se proclamant « gardien du droit pénal », dans l’interview qu’il accordait au Journal « L’Union », avait déclaré ceci : « Tous les citoyens étant égaux devant la Loi, tous les gabonais doivent désormais intégrer qu’en ce qui concerne le parquet de la République, l’heure des traitements de faveur est terminée, et que la Justice se fera, au niveau du Tribunal, sans tenir compte des origines et du statut des individus... La Nation que nous construisons ne peut plus s’accommoder de tels errements. C’est du passé, et s’il y a encore des citoyens qui pensent être des intouchables, au-dessus de la loi, qu’ils se détrompent dès aujourd’hui ». Mieux, le ministre de l’Intérieur dans l’interview donné sur RFI -journal RFI Afrique 6h30-7h00 GMT du 31 /07/2008- annonçait ceci en réponse à l’interrogation du journaliste : « ...il n’y a t il pas tout de même une volonté des autorités de mettre le couvercle sur les affaires de corruption qu’il peut y avoir dans le pays.... » André Mba Obame répondait ceci : « ....le gouvernement à travers des organismes spécialisés est entrain de mener une vaste campagne contre la corruption...Il y a une commission qui a été mise en place contre l’enrichissement illicite donc laissons tout ce monde là faire le travail... ». Considérant le discours du Président de la République prononcé à l’occasion des quarante (40) ans de son accession à la magistrature suprême, le 01 décembre 2007, à travers lequel il dénonçait : « la course pour l’enrichissement illicite devenue trop forte, l’affairisme, la corruption, la politisation outrancière et le népotisme qui ont gangrené les pouvoirs publics » tout en fustigeant le comportement de certains magistrats véreux qui seront sanctionnés ; Considérant la campagne actuelle de lutte contre la corruption menée par le Ministère du contrôle d’Etat chargé de la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite ; Considérant le rôle joué par les magistrats dans le système gouvernemental d’éradication de la corruption et de l’enrichissement illicite dans notre pays ; Considérant l’obligation pour Monsieur Bosco ALABA FALL de fournir à la Justice les éclaircissements et de lever toute équivoque sur la provenance des importantes sommes d’argent (300 millions) versées en espèces dans son compte BGFIBANK en deux jours, en violation du règlement bancaire exigeant une justification pour tout versement dépassant cinq (5) millions de francs cfa ; Considérant la nécessité de préserver l’intégrité et la probité de la justice gabonaise lorsque l’un de ses acteurs est incriminé ; Nous formons le vÅ“u que la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite mette tous les moyens en Å“uvre afin de donner à la présente plainte la plus haute attention. Les signataires Pour Brainforest Georges MPAGA, ROLBG, Georges MPAGA, AFRIQUE-HORIZON Alain MOUPOPA -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at yahoo.fr Sun Oct 19 08:59:51 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Sun, 19 Oct 2008 08:59:51 -0400 Subject: [BDPalabres] LE CAPITALISME TOUCHE T-IL A SA FIN (ARTICLE DE LE MONDE) Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- Signataire du manifeste du Forum social de Porto Alegre ("Douze propositions pour un autre monde possible"), en 2005, vous êtes considéré comme l'un des inspirateurs du mouvement altermondialiste. Vous avez fondé et dirigé le Centre Fernand-Braudel pour l'étude de l'économie des systèmes historiques et des civilisations de l'université de l'Etat de New York, à Binghamton. Comment replacez-vous la crise économique et financière actuelle dans le "temps long" de l'histoire du capitalisme ? Lire la suite l'article Photos/Vidéos liées "Le capitalisme touche à sa fin" Agrandir la photo Immanuel Wallerstein : Fernand Braudel (1902-1985) distinguait le temps de la "longue durée", qui voit se succéder dans l'histoire humaine des systèmes régissant les rapports de l'homme à son environnement matériel, et, à l'intérieur de ces phases, le temps des cycles longs conjoncturels, décrits par des économistes comme Nicolas Kondratieff (1982-1930) ou Joseph Schumpeter (1883-1950). Nous sommes aujourd'hui clairement dans une phase B d'un cycle de Kondratieff qui a commencé il y a trente à trente-cinq ans, après une phase A qui a été la plus longue (de 1945 à 1975) des cinq cents ans d'histoire du système capitaliste. Dans une phase A, le profit est généré par la production matérielle, industrielle ou autre ; dans une phase B, le capitalisme doit, pour continuer à générer du profit, se financiariser et se réfugier dans la spéculation. Depuis plus de trente ans, les entreprises, les Etats et les ménages s'endettent, massivement. Nous sommes aujourd'hui dans la dernière partie d'une phase B de Kondratieff, lorsque le déclin virtuel devient réel, et que les bulles explosent les unes après les autres : les faillites se multiplient, la concentration du capital augmente, le chômage progresse, et l'économie connaît une situation de déflation réelle. Mais, aujourd'hui, ce moment du cycle conjoncturel coïncide avec, et par conséquent aggrave, une période de transition entre deux systèmes de longue durée. Je pense en effet que nous sommes entrés depuis trente ans dans la phase terminale du système capitaliste. Ce qui différencie fondamentalement cette phase de la succession ininterrompue des cycles conjoncturels antérieurs, c'est que le capitalisme ne parvient plus à "faire système", au sens où l'entend le physicien et chimiste Ilya Prigogine (1917-2003) : quand un système, biologique, chimique ou social, dévie trop et trop souvent de sa situation de stabilité, il ne parvient plus à retrouver l'équilibre, et l'on assiste alors à une bifurcation. La situation devient chaotique, incontrôlable pour les forces qui la dominaient jusqu'alors, et l'on voit émerger une lutte, non plus entre les tenants et les adversaires du système, mais entre tous les acteurs pour déterminer ce qui va le remplacer. Je réserve l'usage du mot "crise" à ce type de période. Eh bien, nous sommes en crise. Le capitalisme touche à sa fin. Pourquoi ne s'agirait-il pas plutôt d'une nouvelle mutation du capitalisme, qui a déjà connu, après tout, le passage du capitalisme marchand au capitalisme industriel, puis du capitalisme industriel au capitalisme financier ? Le capitalisme est omnivore, il capte le profit là où il est le plus important à un moment donné ; il ne se contente pas de petits profits marginaux ; au contraire, il les maximise en constituant des monopoles - il a encore essayé de le faire dernièrement dans les biotechnologies et les technologies de l'information. Mais je pense que les possibilités d'accumulation réelle du système ont atteint leurs limites. Le capitalisme, depuis sa naissance dans la seconde moitié du XVIe siècle, se nourrit du différentiel de richesse entre un centre, où convergent les profits, et des périphéries (pas forcément géographiques) de plus en plus appauvries. A cet égard, le rattrapage économique de l'Asie de l'Est, de l'Inde, de l'Amérique latine, constitue un défi insurmontable pour "l'économie-monde" créée par l'Occident, qui ne parvient plus à contrôler les coûts de l'accumulation. Les trois courbes mondiales des prix de la main-d'oeuvre, des matières premières et des impôts sont partout en forte hausse depuis des décennies. La courte période néolibérale qui est en train de s'achever n'a inversé que provisoirement la tendance : à la fin des années 1990, ces coûts étaient certes moins élevés qu'en 1970, mais ils étaient bien plus importants qu'en 1945. En fait, la dernière période d'accumulation réelle - les "trente glorieuses" - n'a été possible que parce que les Etats keynésiens ont mis leurs forces au service du capital. Mais, là encore, la limite a été atteinte ! Y a-t-il des précédents à la phase actuelle, telle que vous la décrivez ? Il y en a eu beaucoup dans l'histoire de l'humanité, contrairement à ce que renvoie la représentation, forgée au milieu du XIXe siècle, d'un progrès continu et inévitable, y compris dans sa version marxiste. Je préfère me cantonner à la thèse de la possibilité du progrès, et non à son inéluctabilité. Certes, le capitalisme est le système qui a su produire, de façon extraordinaire et remarquable, le plus de biens et de richesses. Mais il faut aussi regarder la somme des pertes - pour l'environnement, pour les sociétés - qu'il a engendrées. Le seul bien, c'est celui qui permet d'obtenir pour le plus grand nombre une vie rationnelle et intelligente. Cela dit, la crise la plus récente similaire à celle d'aujourd'hui est l'effondrement du système féodal en Europe, entre les milieux du XVe et du XVIe siècle, et son remplacement par le système capitaliste. Cette période, qui culmine avec les guerres de religion, voit s'effondrer l'emprise des autorités royales, seigneuriales et religieuses sur les plus riches communautés paysannes et sur les villes. C'est là que se construisent, par tâtonnements successifs et de façon inconsciente, des solutions inattendues dont le succès finira par "faire système" en s'étendant peu à peu, sous la forme du capitalisme. Combien de temps la transition actuelle devrait-elle durer, et sur quoi pourrait-elle déboucher ? La période de destruction de valeur qui clôt la phase B d'un cycle Kondratieff dure généralement de deux à cinq ans avant que les conditions d'entrée dans une phase A, lorsqu'un profit réel peut de nouveau être tiré de nouvelles productions matérielles décrites par Schumpeter, sont réunies. Mais le fait que cette phase corresponde actuellement à une crise de système nous a fait entrer dans une période de chaos politique durant laquelle les acteurs dominants, à la tête des entreprises et des Etats occidentaux, vont faire tout ce qu'il est techniquement possible pour retrouver l'équilibre, mais il est fort probable qu'ils n'y parviendront pas. Les plus intelligents, eux, ont déjà compris qu'il fallait mettre en place quelque chose d'entièrement nouveau. Mais de multiples acteurs agissent déjà, de façon désordonnée et inconsciente, pour faire émerger de nouvelles solutions, sans que l'on sache encore quel système sortira de ces tâtonnements. Nous sommes dans une période, assez rare, où la crise et l'impuissance des puissants laissent une place au libre arbitre de chacun : il existe aujourd'hui un laps de temps pendant lequel nous avons chacun la possibilité d'influencer l'avenir par notre action individuelle. Mais comme cet avenir sera la somme du nombre incalculable de ces actions, il est absolument impossible de prévoir quel modèle s'imposera finalement. Dans dix ans, on y verra peut-être plus clair ; dans trente ou quarante ans, un nouveau système aura émergé. Je crois qu'il est tout aussi possible de voir s'installer un système d'exploitation hélas encore plus violent que le capitalisme, que de voir au contraire se mettre en place un modèle plus égalitaire et redistributif. Les mutations antérieures du capitalisme ont souvent débouché sur un déplacement du centre de "l'économie-monde", par exemple depuis le Bassin méditerranéen vers la côte Atlantique de l'Europe, puis vers celle des Etats-Unis ? Le système à venir sera-t-il centré sur la Chine ? La crise que nous vivons correspond aussi à la fin d'un cycle politique, celui de l'hégémonie américaine, entamée également dans les années 1970. Les Etats-Unis resteront un acteur important, mais ils ne pourront plus jamais reconquérir leur position dominante face à la multiplication des centres de pouvoir, avec l'Europe occidentale, la Chine, le Brésil, l'Inde. Un nouveau pouvoir hégémonique, si l'on s'en réfère au temps long braudélien, peut mettre encore cinquante ans pour s'imposer. Mais j'ignore lequel. En attendant, les conséquences politiques de la crise actuelle seront énormes, dans la mesure où les maîtres du système vont tenter de trouver des boucs émissaires à l'effondrement de leur hégémonie. Je pense que la moitié du peuple américain n'acceptera pas ce qui est en train de se passer. Les conflits internes vont donc s'exacerber aux Etats-Unis, qui sont en passe de devenir le pays du monde le plus instable politiquement. Et n'oubliez pas que nous, les Américains, nous sommes tous armés... MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Ven 17.10.08, Tchilo Ngwemyene a écrit : De: Tchilo Ngwemyene Objet: [BDPalabres] plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Vendredi 17 Octobre 2008, 5h06 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ 13 octobre 2008 GABON : plainte pour enrichissement illicite. A Monsieur le Président de la Commission Nationale de Lutte contre l’enrichissement illicite Libreville Objet : plainte à Commission Nationale de lutte contre l’enrichissement illicite Monsieur le Président Conformément à l’article 28 de la Loi n°2/2003 du 02 juin 2003 portant création, organisation et fonctionnement de la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite, qui dispose : « En matière d’investigation, la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite est saisie soit de sa propre initiative, soit par le Commissaire de gouvernement, soit par toute autre autorité administrative ou par toute personne intéressée ». Nous, Réseau Gabonais de Bonne Gouvernance (ROLGB) présidé par M. Georges MPAGA, (Tel. +241 - 07 51 99 32) et nous, AFRIQUE-HORIZONS, présidé par M. Alain MOUPOPA (Tel. +241 06 73 34 73), Marc ONA ESSANGUI, Président de Brainforest (+241 07294140) qui agissons en tant qu’acteurs de la Société Civile au Gabon, pour la transparence et la lutte contre la corruption. Avons l’honneur de venir, respectueusement, auprès de votre Institution porter plainte pour les faits suivants : Courant juin 2008, nous avons reçu par courriel et par voie postale le relevé du compte bancaire no 00012374602-53 ouvert auprès de la BGFIBANK Libreville, qui indiquait des avoirs bancaires importants appartenant à un certain ALABA Fall Bosco, suivis de graphiques, d’analyses et de commentaires dignes d’un travail d’expert. Nous avons pensé qu’il s’agissait de tracts comme il est malheureusement de coutume dans notre pays. Cependant, le niveau de précision et la qualité des analyses contenues dans ces documents ont attiré notre attention car nous avons pensé qu’il pouvait bien s’agir du célèbre et bien connu ALABA Fall Bosco qui occupe les fonctions de Procureur de la République auprès du Tribunal de Première Instance de Libreville, et qui a le statut de magistrat et donc de fonctionnaire auprès du Ministère de la Justice de la République du Gabon. Dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » a publié un long article intitulé « Le secret bancaire dévoyé - BGFI et le compte d’Alaba ! » dans lequel il faisait état de « la publication et la large diffusion de relevés bancaires du Procureur de la République » et révélait au grand jour la violation du secret bancaire « qui empoisonne désormais l’atmosphère entre la BGFI et un client tout particulier Alaba Bosco Fall... » . C’est ainsi que nous avons pris conscience que nous étions en possession de relevés bancaires qui très probablement étaient ceux du Procureur de la République Alaba Fall Bosco. Notre présomption s’est renforcée lorsque le rédacteur de l’article a indiqué « Contrairement à d’autres personnalités, nous pensons que le solde truqué à fin janvier 2008 chiffré à 200.793.974 FCFA apparaît modeste » et qu’il a donné une liste d’informations (sur lesquelles nous revenons plus loin) qui semblait venir en réponse aux questions posées par le travail digne d’un expert que nous avions initialement pris pour un tract. L’hypothèse de l’existence d’un sérieux problème posé par les avoirs bancaires d’un Procureur de la République, incommensurable avec son statut de fonctionnaire et son traitement mensuel se faisait plus précise. Telle a été notre surprise de constater que dans la même période, M. Alaba FALL BOSCO, Procureur de la République de son état, confirmait expressément être le titulaire dudit compte en portant plainte contre Mademoiselle Marlene Rapontchombo, ex-employée de la BGFIBANK qu’il soupçonnait d’être à l’origine de cette divulgation, ceci conduisant à sa mise sous mandat de dépôt le 17 juillet 2008. Alors que dans son édition du 23 juillet 2008, l’hebdomadaire « Le NGANGA » parlait de « solde truqué » nous avons noté qu’à ce jour, ni M. Alaba FALL BOSCO et ni la BGFIBANK n’ont jamais contesté de quelque manière que ce soit les informations contenues dans les relevés bancaires litigieux, notamment que le solde au 13 février 2008 s’élevait à 200.793.974 FCFA. Que si M. Alaba FALL BOSCO fait preuve depuis lors d’une nervosité extrême, c’est bien parce qu’il a conscience que son compte présente un solde créditeur et a enregistré des opérations très certainement incompatibles avec son statut de fonctionnaire de justice et son traitement mensuel. Ainsi, nous n’avons plus de doute sur l’authenticité des relevés bancaires que nous avons reçus et des informations qu’ils comportent couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008. On peut lire que, M. Alaba FALL BOSCO a perçu dans son compte sur la période de référence, un traitement mensuel net de 1.295.252 FCFA qui lui a été versé régulièrement à date fixe, en général dans la dernière semaine du mois. Nous avons été grandement surpris de constater que sur la période allant de juillet 2007 à janvier 2008, ledit compte présentait un solde créditeur constamment supérieur à plus de 200 fois le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO alors qu’en début d’année 2007 ledit compte courant n’enregistrait que le traitement mensuel de M. Alaba FALL BOSCO à son crédit et les retraits y afférents à son débit. Ainsi, les avoirs de M. Alaba FALL BOSCO, ont connu un accroissement subit et vertigineux qui ne pouvait qu’attirer notre curiosité. Après une lecture attentive de ce relevé de compte nous avons constaté que cette augmentation des avoirs de M. Alaba FALL BOSCO au cours de l’année 2007, provenait de trois (3) versements en espèces effectués le 12 mars 2007 pour 29.740.000 FCFA, le 31 juillet 2007 pour 200.000.000 FCFA, et le 1er août 2007 pour 100.000.000 FCFA. Tous ces versements ayant été effectués par un tiers, le dénommé Angue KPAKO Constant. C’est ainsi que nous posons plusieurs questions essentielles : - quelle est l’origine de ces importantes sommes d’argent totalisant 329.740.000 FCFA qui ont été remises en espèces sur le compte du Procureur de la République ? - quelles raisons pourraient expliquer le dépôt en espèces de la somme faramineuse de 300.000.000 FCFA en l’espace de deux jours sur le compte du Procureur de la République ? - quelle est la nature de la relation entre M. Alaba FALL BOSCO et le dénommé Angue KPAKO Constant qui conduit ce dernier à faire des versements en espèces très importants sur le compte du Procureur de la République ? Nous nous sommes reportés sur les pistes suggérées par l’hebdomadaire « Le NGANGA » dans son édition du 23 juillet 2008 ou encore sur le site Internet de Croissance saine environnement : www..croissancesaine.org Quelles sont ces pistes ? M. Alaba et son épouse détiendraient un patrimoine immobilier - 27 maisons - qui leur rapporteraient sept (07) fois son salaire, c’est-à-dire environ 8.400.000 F CFA par mois. Alors nous posons la question : comment se fait-il que du 1er janvier 2007 au 13 février 2008 soit une période de plus de douze mois, le compte n’ait jamais reçu le moindre versement par chèque ou espèces, trois dépôts ci-dessus mentionnés et des salaires mensuels ? - Ainsi, M. Alaba aurait réussi le miracle de collecter le 31 juillet 2007 et en espèces, l’équivalent de 40 mois de loyers de son supposé patrimoine immobilier. M. Alaba serait-il donc propriétaire d’un quartier entier de Libreville ? Et comment aurait-il réussi une telle prouesse avec son traitement de fonctionnaire ? Cette thèse nous apparaît très peu crédible. - M. Alaba serait le responsable d’un Club de football et d’un Club de handball qui reçoivent, respectivement, des Fédérations gabonaises des subventions à hauteur de 50.000.000 F CFA et 26.000.000 FCFA par an. Même si cela était vrai, cela est très insuffisant pour expliquer l’origine de la rondelette somme de 329.740.000 FCFA versées en espèces sur son compte. De plus, cette thèse nous apparaît très peu crédible et de surcroît facilement vérifiable auprès des comptables de ces fédérations sportives. Et pourquoi ces clubs utiliseraient-ils le compte personnel de leur Président alors qu’elles sont des associations avec une personnalité juridique propre ? M. Alaba serait-il ignorant des stipulations du Code Pénal gabonais qui nous éclaire sur les risques encourus en cas de confusion de patrimoine -délit de détournement de deniers publics- ? - M. Alaba serait le petit-fils ou neveu de monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, et à ce titre, il reçoit des largesses de sa part comme il le fait pour certains ministres. Combien aurait-il reçu, quand, où et pourquoi ? Si d’un coup de baguette magique, M. Alaba recevait dans une année, de la part de son illustre parent, une largesse en espèces représentant trois-cent (300) fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire, n’y aurait-il pas lieu de se poser toute sorte de questions ? Si largesse il y avait, il conviendrait de vérifier si monsieur Bosco Alaba Fall a déclaré auprès des Impôts les dons qu’il aurait reçus de la part de son bienfaiteur monsieur le Président de la République. En définitive, malgré nos efforts inlassables, nous n’avons pas pu trouver de raison valable qui puisse expliquer l’accroissement subit et vertigineux des avoirs bancaires du procureur ALABA Fall Bosco. Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est fonctionnaire de l’Etat gabonais et qu’à ce titre, il est un justiciable de la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite ; Qu’en effet, l’article 3 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 instituant un régime de prévention et de répression de l’enrichissement illicite en République Gabonaise stipule que : « les dispositions de la présente Loi s’appliquent à tout dépositaire de l’autorité de l’Etat : Autorité politique, Autorité administrative, Agent public, ainsi que tout préposé statutaire ou occasionnel de l’Etat, des collectivités locales, des établissements publics ou parapublics » ; Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco est magistrat, et de surcroît Procureur de la République ; Qu’à ce titre, il est un agent public au sens de la Loi et qu’il est donc susceptible de se voir appliquer la présente Loi ; Considérant que l’article 2 de la Loi n°2/2003 du 07 mai 2003 dispose la chose suivante : « Au sens de la présente Loi, est considéré comme enrichissement illicite le fait, pour tout dépositaire de l’autorité de l’Etat, de réaliser ou de tenter de réaliser des profits personnels ou d’obtenir tout autre avantage de toute nature : - au moyen d’actes de corruption active ou passive, de concussion, de fraude, de détournement ou de soustraction frauduleuse de deniers publics ou de biens publics, d’abus de pouvoir, de trafic d’influence, de prise illégale d’intérêts ou de tout autre procédé illicite...etc. Est également considéré comme enrichissement illicite l’augmentation significative du patrimoine de tout dépositaire de l’autorité de l’Etat que celui-ci ne peut raisonnablement justifier par rapport aux revenus qu’il a légitimement perçus ». Considérant que monsieur ALABA Fall Bosco, au vu de ses relevés de compte bancaire couvrant la période allant du 1er janvier 2007 au 13 février 2008, qui ont été distribués à toute la population gabonaise, a, sur son compte courant n°00012374602-53 ouvert dans les livres de la BGFI BANK, fait verser en espèces par un tiers le dénommé Angue Kpako Constant, les sommes faramineuses de 200.000.000 F cfa, le 31 juillet 2007 et 100.000.000, le 1er août 2007, soit au total en l’espace de deux jours près de 300 fois son traitement mensuel ou plus de 25 ans de salaire ; Que nous avons avec beaucoup de sérieux, récolté ici et là des arguments qui pouvaient être des moyens d’explication de l’augmentation vertigineuse et subite des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Qu’en tout état de cause, tous les arguments que nous récolté et analysé ci-dessus ne permettaient pas de justifier l’origine licite de l’augmentation subite et vertigineuse des avoirs de monsieur ALABA Fall Bosco ; Considérant que les dépôts en espèces ci-dessus relatés constituent, n’en point en douter, le délit d’enrichissement illicite ; Considérant que le versement en espèces sur le compte bancaire est un moyen permettant de créer une rupture dans la traçabilité de l’origine des fonds ; Considérant que l’usage systématique d’un tiers pour faire des dépôts en espèces aussi important est un moyen visant la non identification du bénéficiaire du dépôt, à savoir monsieur Alaba Fall Bosco qui est un homme public aisément reconnaissable s’il se présente au guichet d’une banque de la place de Libreville ; Considérant que la BGFIBANK a méconnu les dispositions du Règlement 01/03-CEMAC-UMAC du 04 avril 2003 portant prévention et répression du blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme en Afrique Centrale, en assurant l’opération de dépôt de ces sommes sur le compte de monsieur Alaba Fall Bosco sans se renseigner sur leur origine, et de cette manière assurant leur blanchiment ; Nous venons porter plainte : - pour enrichissement illicite contre monsieur ALABA Fall Bosco, Procureur de la République ; - pour complicité d’enrichissement illicite et recel Angue Kpako Constant, et consorts. Cette plainte ne devra pas étonner monsieur ALABA qui le 13 février 2008 se proclamant « gardien du droit pénal », dans l’interview qu’il accordait au Journal « L’Union », avait déclaré ceci : « Tous les citoyens étant égaux devant la Loi, tous les gabonais doivent désormais intégrer qu’en ce qui concerne le parquet de la République, l’heure des traitements de faveur est terminée, et que la Justice se fera, au niveau du Tribunal, sans tenir compte des origines et du statut des individus... La Nation que nous construisons ne peut plus s’accommoder de tels errements. C’est du passé, et s’il y a encore des citoyens qui pensent être des intouchables, au-dessus de la loi, qu’ils se détrompent dès aujourd’hui ». Mieux, le ministre de l’Intérieur dans l’interview donné sur RFI -journal RFI Afrique 6h30-7h00 GMT du 31 /07/2008- annonçait ceci en réponse à l’interrogation du journaliste : « ...il n’y a t il pas tout de même une volonté des autorités de mettre le couvercle sur les affaires de corruption qu’il peut y avoir dans le pays.... » André Mba Obame répondait ceci : « ....le gouvernement à travers des organismes spécialisés est entrain de mener une vaste campagne contre la corruption...Il y a une commission qui a été mise en place contre l’enrichissement illicite donc laissons tout ce monde là faire le travail... ». Considérant le discours du Président de la République prononcé à l’occasion des quarante (40) ans de son accession à la magistrature suprême, le 01 décembre 2007, à travers lequel il dénonçait : « la course pour l’enrichissement illicite devenue trop forte, l’affairisme, la corruption, la politisation outrancière et le népotisme qui ont gangrené les pouvoirs publics » tout en fustigeant le comportement de certains magistrats véreux qui seront sanctionnés ; Considérant la campagne actuelle de lutte contre la corruption menée par le Ministère du contrôle d’Etat chargé de la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite ; Considérant le rôle joué par les magistrats dans le système gouvernemental d’éradication de la corruption et de l’enrichissement illicite dans notre pays ; Considérant l’obligation pour Monsieur Bosco ALABA FALL de fournir à la Justice les éclaircissements et de lever toute équivoque sur la provenance des importantes sommes d’argent (300 millions) versées en espèces dans son compte BGFIBANK en deux jours, en violation du règlement bancaire exigeant une justification pour tout versement dépassant cinq (5) millions de francs cfa ; Considérant la nécessité de préserver l’intégrité et la probité de la justice gabonaise lorsque l’un de ses acteurs est incriminé ; Nous formons le vÅ“u que la Commission Nationale de la Lutte Contre l’Enrichissement Illicite mette tous les moyens en Å“uvre afin de donner à la présente plainte la plus haute attention. Les signataires Pour Brainforest Georges MPAGA, ROLBG, Georges MPAGA, AFRIQUE-HORIZON Alain MOUPOPA -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at hotmail.fr Sun Oct 19 08:55:38 2008 From: protected at hotmail.fr (Nathalie Berthon) Date: Sun, 19 Oct 2008 08:55:38 -0400 Subject: [BDPalabres] Un opposant gabonais de nationalité française? Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- uite a un article qui est paru dans un journal Sénégalais et Africain NEW AFRICAN , je me suis sentie obligée de réagir envers la redaction de cette revue , ainsi qu'envers les autorités françaises pour que la vérité soit enfin vraiment révélée: teneur de mon envoi: en piece jointe ,l'article du Journal le Nganga... (actuellement au gabon Je serais en France dans deux semaines , pour que ma présence soit effective dans le cadre de la Plainte déposées) A beau mentir qui vient de loin. Un article paru dans le journal gabonais 'Le Nganga' d'hier 16 Octobre2008 , explique qui est vraiment Siméon Jean francis Ekoga (citoyenfrançais ) qui aujourd'hui est en plus des plaintes déposées contre Luipour Diffamations et Outrages ...vient d'écoper d'une plainte (au pénal) pour tentative d'altération de documents officiels ......(tentativede falsification d'un document officiel élaboré par le Commissariat desaint denis)....preuves ont été déposées au Tribunal en vue del'instruction de cette plainte avec convocation de l'officier de Policejudiciaire ayant été a l'origine du document .....les preuvescertifiées conformes ont été bien entendues envoyées aussi a NEWAFRICANà Dakar ainsi qu'a tous les journaux gabonais a libreville. En france un autre envoi a été fait avec les documents certifiésconformes ,a Jeune Afrique , Ambassade du gabon , Bakchich.info,Caisses allocations familiales de saint denis, Préfecture de police ,Commissariat central de saint denis,.Office central d'habitation aloyer modéré , Ministère de l'intérieur , Renseignements généraux (ruecambacérés a paris) Nathalie Berthon érité soit enfin vraiment révélée: teneur de mon envoi: -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at yahoo.fr Sun Oct 19 08:56:49 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Sun, 19 Oct 2008 08:56:49 -0400 Subject: [BDPalabres] Sarko en Afrique Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- Sarko en Afrique Antoine Glaser, Stephen Smith éd. PLON 208 pages 19 € 124,63 FF Autopsie d'un gâchis par Vincent Hugeux Un nouveau livre d'Antoine Glaser et Stephen Smith décrit le revirement de Nicolas Sarkozy sur le continent noir. Implacable. Même pas drôle. Voilà un essai dont aucun initié de l'échiquier franco-africain ne peut réfuter sérieusement la thèse. Celle-ci tient en un mot, qui surgit dès la page 9: régression. Chroniqueurs aguerris du tango ambigu que dansent depuis des lustres l'ancienne métropole coloniale et le continent noir, Antoine Glaser et Stephen Smith décryptent d'une plume implacable et souvent ironique la trahison par Nicolas Sarkozy de ses promesses de rupture avec les turpitudes d'hier. Quitte à endosser un costume un peu ample pour lui, un personnage incarne cette duperie: Robert Bourgi, inusable gardien du musée vivant de la «Françafrique», dont le retour en grâce aura sonné le glas des espérances de ceux qui, jusqu'au coeur de l'Elysée, ont voulu y croire. L'emprise insolite du Gabonais Omar Bongo, le calamiteux discours de Dakar (juillet 2007), l'immigration choisie, l'épopée avortée de l'Eufor, cette force plus française qu'européenne campant aux portes du Darfour soudanais, les dessous, en ces temps de procès de l'Angolagate, du laborieux rabibochage avec Luanda, les heurs et malheurs des hommes d'affaires en cour à l'Elysée: tout y passe ou presque. Le déclin irréversible de l'engagement tricolore Le livre, on l'aura compris, vaut bien mieux que son titre, étonnamment plat. Car les Lapierre et Collins de l'Afrique contemporaine mettent aussi en évidence le caractère dérisoire de manoeuvres d'antichambre qui masquent mal le déclin irréversible de l'engagement tricolore dans l'ex- «pré carré». Il arrive pourtant qu'affleure une légère déception. Notamment lorsque les auteurs évoquent sur le mode allusif les coulisses de l'affaire Borrel - ce magistrat assassiné à Djibouti en octobre 1995 - ou la disparition en avril 2004, à Abidjan, du journaliste franco-canadien Guy-André Kieffer, ils en écrivent trop ou pas assez. De même, l'analyse de l'idée intime que Sarko se fait du continent aurait gagné à être plus fouillée. Le héraut de la rupture avait 2 ans quand retentit le gong des indépendances. Il a donc en main tous les atouts pour solder le legs colonial. Navrant gâchis. L'oeil qui voit tout....seul Dieu est notre limite -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at gmail.com Sun Oct 19 08:57:57 2008 From: protected at gmail.com (Petit Léon MBA-MINKO) Date: Sun, 19 Oct 2008 08:57:57 -0400 Subject: [BDPalabres] Pourquoi continuer à aimer la France... Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- Comment continuer à aimer la France, le "pays des droits de l'homme (blanc)", alors qu'elle demeure jusqu'à ce jour la seule puissante mondiale à entretenir une cour plétorienne des plus détestables dictateurs de la planête ? Dans les grands rassemblements de la Francophonie (kermesses où l'on distribue des gâteaux aux meilleurs élèves dictateurs), où la France trône au sommet en tant qu'ancienne puissance coloniale (pas entièrement repentie diront certains), au milieu des pires autocrates de la planête, un siècle d'exploitation et de répression peut-il expliquer les maux que trimballent encore de nombreux pays afraicains aujourd'hui? Qu'est-ce qui explique que certains s'en tirent plutôt bien alors que d'autres ont un dossier pitoyable? Ficelles tirées par la métropole et le «grand ordre mondial» ou élites locales corrompues? Les vieux dictateurs seraient-ils plus accommodants, moins gênants et... plus démocratiques? Car un bref tour de piste des visiteurs attendus dans la ville du 400e révèle que de nombreux chefs d'État sont d'abord arrivés au pouvoir par un putsch. Si certains ont été «élus» depuis, avec des scores à la 95 %, leur maintien en place relève souvent de la force brute, du népotisme et de la cleptocratie, très souvent encouragés et soutenus par la France. Le doyen Pour débuter l'examen des mains de fer, il faut inévitablement passer par le doyen des chefs africains, l'illustre Omar Bongo. Ce dernier, au pouvoir depuis 1967 et ne cachant pas son désir de gouverner à vie, n'a que faire des éloges posthumes : il a rebaptisé sa ville de naissance Bongoville et l'université de la capitale porte son nom. Toutes ces années au pouvoir lui auront valu plus que ces auto-hommages : on dit que Bongo est l'un des chefs d'État les plus fortunés de la planète. II est toujours bien en vue dans la «Françafrique» et malgré la «rupture» prêchée par Sarkozy, le président français s'est assuré de maintenir de solides liens avec l'ancienne colonie. «Omar Bongo est le doyen des chefs d'État et, en Afrique, le doyen, cela compte», a déclaré Sarkozy lors d'une visite officielle au Gabon en juillet 2007, selon Le Monde. Si Omar Bongo vient à Québec, les deux hommes pourront certes s'échanger une poignée de main chaleureuse. Le contesté Selon différents sites camerounais, le président du Cameroun, Paul Biya, pourrait faire l'objet de contestations à Québec. On rapporte que son personnel serait actif au Canada pour sonder la communauté camerounaise et récolter des appuis afin d'offrir à M. Biya un «accueil chaleureux». Mais cet homme politique n'est pas porté dans tous les cÅ“urs. Au pouvoir depuis 1982, il a provoqué de violentes émeutes plus tôt cette année lorsqu'il a décidé de briguer un autre mandat en 2011. On peut donc lire sur Internet que «plusieurs Camerounais du Canada comptent profiter du séjour de Paul Biya au Canada pour lui réclamer des réponses sur les questions liées à la décrépitude du Cameroun». Le pire La Guinée équatoriale de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo figure parmi les pays les plus mal en point du monde. Nguema Mbasogo est arrivé au pouvoir en 1979 en assassinant son propre oncle. Depuis, il a été élu en 2002, mais avec un score de 97 %. Malgré des réserves de pétrole qui en font le troisième pays producteur en Afrique, les habitants de la Guinée équatoriale sont des plus pauvres. La raison est fort simple : le pays se classe 168e sur 180 sur l'échelle de corruption de l'organisme Transparency International. Les héritiers La Francophonie, malgré ses principes de démocratie, n'est pas exempte de princes héritiers. Étrangement, c'est probablement un vrai prince, descendant d'un vrai roi dans un régime monarchiste, qui a amené son pays à faire le plus de progrès en devenant le nouveau souverain, le roi Mohammed VI du Maroc. Quant aux faux princes, il faut désigner Joseph Kabila en République démocratique du Congo, ayant succédé à son père Laurent-Désiré Kabila, assassiné en 2001. Bien qu'élu en 2006 dans des élections ayant marqué un pas vers l'avant, Kabila fils n'a pu instaurer un climat de bonne entente et il est accusé de ne tolérer aucune opposition. Le pays est déchiré par des conflits armés internes, largement motivés par ses immenses ressources naturelles. L'autre prince est Faure Gnassingbe du Togo. Placé au pouvoir par l'armée en 2005 après la mort de son père, Eyadema, qui avait dirigé le pays durant 38 ans, il a été «élu» la même année dans un processus marqué de violences. Les crimes commis par le pouvoir dans cet épisode demeurent impunis. Quant à Hosni Mubarak, à la tête de l'Égypte depuis 1981, on soupçonne qu'il lèguera le pouvoir à son fils Gamal. Non les moindres Plusieurs autres dirigeants de pays membres de la Francophonie ne donnent pas leur place en matière de mauvaise gouvernance, de répression des droits fondamentaux et de corruption. Le Congo Brazzaville de Denis Sassou-Nguesso se classe 141e sur 150 dans l'évaluation de la démocratie de WorldAudit.org. Paul Kagame, aux commandes du Rwanda, est loin de faire l'unanimité dans ce pays traumatisé par la rivalité ethnique. Lors de sa visite à Montréal en 2006, des membres de la communauté rwandaise l'avaient accueilli avec une brique et un fanal. Idriss Déby du Tchad est arrivé au pouvoir par un coup d'État en 1990. À deux reprises, dernièrement, son régime, menacé par des rebelles, a été protégé par une intervention de l'armée française. Ben Ali en Tunisie, Blaise Compaore au Burkina Faso et Lansana Conte en Guinée ne donnent pas leur place non plus, littéralement. Ces hommes sont au pouvoir depuis respectivement 1987, 1987 et 1984. Ben Ali est, selon Reporters sans frontière, un «prédateur» de la liberté de la presse. Petite anecdote québecquoise... Alors que le protocole ne prévoit que le président de la république plus quatre collaborateurs, certaines délégations africaines affichent de 40 à 80 personnes, suscitant la surprise des organisateurs canadiens du 12ème Sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) qui se tient samedi et dimanche à Québec, au Canada. Selon une source digne de foi, la délégation gabonaise au sommet compte 80 personnes tandis la délégation de la RD Congo est annoncée avec 60 personnes. La délégation nigérienne compte 30 personnes alors que celle du Congo ne compte pas moins de 40 personnes. "C’est à ne pas croire : deux tiers de membres de certaines délégations n’ont rien à faire au sommet. Ce sont des membres de la clientèle politique", s’est emporté un journaliste congolais présent au Sommet. Une trentaine de chefs d’Etat africains est attendue à ce 12ème Sommet francophone qui examinera, entre autres, la situation financière internationale, les questions environnementales ainsi que les crises dans l’espace francophone. -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at yahoo.fr Tue Oct 21 02:05:52 2008 From: protected at yahoo.fr (Alice Vincent) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:05:52 -0400 Subject: [BDPalabres] Soutien au Dr Mengara comme Président du Gabon Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. 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Nous connaissons Mengara depuis qu'il s'est lancé en politique il y a une dizaine d'années. Nous l'avons observé, travaillé avec lui, nous l'avons critiqué (...) nous avons une confiance immense dans sa rigueur intellectuelle, son sens moral et sa capacité à prendre des décisions justes, réfléchies et prudentes. Il est prêt ! Bien cordialement à vous chers compatriotes. La commission thématique d'experts http://unifang.over-blog.com/ -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at yahoo.fr Tue Oct 21 02:08:47 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:08:47 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- Cher Appolinaire Noël KOULAMA, Je crois pas que le pétrole, pas plus que les autres ressources des activités d'extraction, soit une quelconque malédiction pour l'Afrique. Je suis Gabonais né à Port-Gentil, la ville du pétrole et, j'ai consacré une part non négligeable à l'étude des activités d'extraction dans le cadre de recherches en Histoire économique. J'ai démarré mon activité de recherche avec la même opinion que la votre. Mais en identifiant les dysfonctionnements spécifiques de l'économie gabonaise - sans doute comparable à celle du Congo et d'autres pays africains - j'ai réalisé que le modèle économique utilisé par les entreprises d'extraction pétrolière et minière pour valoriser et commercialiser l'objet principal de leurs activités aurait pu très rapidement servir d'exemple à nos Etats respectifs, à nos collectivités territoriales et même aux candidats nationaux à l'initiative privé pour développer des secteurs d'activités parallèles. Vous avez sans doute entendu parler la démarche du benchmarking en management et en marketing. Les entreprises spécialisées dans l'activité pétrolière pourrait être le modèle idéal d'inspiration. En réalité, que font ces entreprises? Elles ont identifié un produit d'intérêt stratégique à l'échelle internationale. Elles savent que - compte tenu du modèle de production actuelle fortement dependante de l'énergie produite par des combustibles rares ou d'accès difficile - les économies nationales des pays industriels aussi bien que des pays en développement sont en position de forte demande. Elles ne font qu'extraire la ressource - sous forme de produit brut - là où les conditions de fournitures sont les plus favorables et vont la livrer - sous forme de produits finis - là où la demande est à la fois la plus solvable et forte. Il n'y a rien d'étrange à cela même si nous nous sentons particulièrement concernés et lésés. peut - être pouvions nous le faire nous-même avec cette ressource. Sinon et à defaut, nous pouvons nous en inspirer pour selectionner d'autres ressources à partir desquelles nous pouvons créer d'autres filières dont le fonctionnement peut être calqué sur le modèle d'organisation : collecter la ressource - sous forme de produit brut - dans les conditions les plus favorables, selectionner un marché demandeur et solvable, assurer la livraison dans des condtions aussi favorables. le reste pourrait relever de la stratégie de financement de l'investissement, de la gestion du cycle et des risques d'exploitation de la filière considérée, ainsi que de l'optimisation de la trésorerie générée par le retour sur investissement. Comment procèdent ces entreprises ? En fait - contrairement l'image qu'elles véhiculent et à nos voeux de favoriser l'implantation des industries industriallisantes - l'activité de ces entreprises n'est pas industrielle. Elles en ont le mode de fonctionnement pour les aspects relevant du tertiaire et de la gestion logistique. Elles évitent de s'investir dans des activités de transformation lourdes ou raffinés dans les pays où les conditions d'exploitation - notamment les coûts - sont difficiles à maîtriser ou à rentabiliser sur le long terme, les pays éloignés des marchés cibles ou susceptibles de générer des doublons avec des unités présentant des meilleures conditions d'exploitation. L'essentiel de leurs investissements immobilisés - en dehors de toute demande pressante - consiste en des batiments administratifs imposants et facilement reconvertibles en centre d'affraires en cas de départ ou en entrepôts abritant le matériel de recherche ou d'extraction et facilement démontable pour être projeté sur un autre théatre d'opérations. le métier de ces entreprises est celui d'intégrateur d'activités : elles font appel à d'autres entreprises pour réaliser les opérations conçues par elles et placées sous leurs contrôle. Les activités de Bouyghes et de Bolloré relèvent de la même logique d'organisation. Les principaux facteurs clé de succès de ces entreprises sont : - la qualité de la signature garantie initialement par les Etats des pays d'origine, puis par l'épargne générée par les activités précédentes et placée et enfin des sociétés d'assurances pour la couverture de différentes classes de risques; la qualité de signature sert à lever les ressources financières au près des apporteurs de capitaux (marchés boursiers, institutions bancaires, sociétés financières..) ; - un réseaux de fournisseurs, de prestataires et de filiales qui leur permettent de sous-traiter la plus grande partie de leurs activités ainsi que de variabiliser les coûts du donneur d'ordre ou de la société-mère ; - un catalogue précis et renouvellé des équipements, consommables ainsi que des nouvelles technologies; - un repertoire affiné des compétences nécessaires aux ressources humaines affectées à la gestion des différents niveaux d'activités; - une bonne connaissance des marchés-cibles permettant d'anticiper l'évolution des réseaux et différents débouchés commerciaux, donc d'assurer l'autofinancement des activités ; - d'un réseau d'ingenierie interne ou externalisée qui conçoit le savoir-faire et contrôle l'exécution des opérations, gère la mémoire technique, réalisent les montages - financiers, juridiques et techniques pour le compte de l'entreprise; - une capacité de communication qui leur permettent de développer leur notoriété ainsi qu'une image favorable - pour impression - aussi bien au près des dirigeants pourvoyeurs de nouveaux marchés, des ressources humaines candidates ou employées, qu'au près des populations bénéficiaires de leurs implantation. Nous pouvons inclure les opérations de prise en charge des soins de santé, d'hébergement et de restauration ou des actions sociales et et de loisirs dans ces opérations de communication. - un levier de mobilisation d'unités de sécurité opérationnelle et de gestion de système d'information chaque fois que les conditions juridiques sont réunis pour leur permettre d'intervenir directement ou par externalisation. Je crois que c'est à ce niveau que les Etats-hotes - en concurrence avec les sociétés privées - doivent justifier leur revenus. Ces entreprises gèrent essentiellement des fonctions managériales (finances, ressources humaines, communication, ingenierie, commercialisation) . Pour les autres facteurs clé de succès, Elles ont pris l'habitude d'externaliser la gestion des fonctions correspondantes notamment dans le cadre de certains processus principaux ou de support. Les revenus tirés des activités d'une entreprise sont distribués entre quatre catégories d'acteurs en échanges des prestations fournies ou des contraintes juridiques : l'Etat, les actionnaires, les fournisseurs de biens et prestations, les ressources humaines, le réseaux commercial. En fait, nous agissons sur ces entreprises en exerçant une pression à travers les Etat agissant en tant que puissance publique ou en tant qu'actionnaires. Nous essayons de nous imposer en tant que ressources humaines en essayant de la rendre la plus locale possible. Pourtant une analyse de la valeur de ces entreprises peut montrer que l'essentiel de la valeur créée dépent davantage de l'intervention des fournisseurs des biens et des prestations ainsi que de l'efficacité du réseau commercial sur les marchés-cibles. Or ces deux catégories sont controlées pratiquement à cent pour cent par des opérateurs de nationalité différente des pays-hotes. Bien que la repartition de la valeur créée par les entreprises soit contractuelle et non mécanique, on peut aisément constater que la plus grande partie de la valeur créée va à ceux qui en apporte la plus grande contribution. C'est à dire au réseau commercial, aux fournisseurs, aux actionnaires publiques et privés, à l'Etat, aux ressources humaines expatriées et accessoirement, locales. Lorsqu'on observe l'activité pétrolière sous cet angle, on peut se rendre compte que notre malédiction n'est pas de posséder le pétrole, il est plutôt de ne pas savoir l'exploiter, ou du moins de ne pas savoir contôler sa valorisation. l'action que les représentants les plus actifs de nos populations mènent n'et peut-être pas vain, mais il me paraît au moins insuffisant sinon mal orienté. Dans tous les pays ayant accepté le mode de régulation libérale - ou à l'extrême capitaliste - la valeur créée revient en priorité aux propriétaires et promoteurs de l'activité, ensuite à ceux qui y ont apporté la plus forte contribution. Le combat que mène nos populations risquent de ne pas être longtemps légitime à moins que le pouvoir de nuisance occasionné par l'usage des armes ne puissent inverser la tendance. Dans ce cas, les revenus distribués à la population viendrait remunérer le prix de la sécurité et non le financement d'une opération en vue de re-équilibrer la repartition des richesses en faveur des plus pauvres et précaires. Il faut bien comprendre que dans la mentalité capitaliste, la pauvreté et la précarité n'ont jamais été un facteur d'attraction de revenus, mais plutot de rejet. Au regard de ce que j'ai exposé plus haut, il me parait important de bien repositionner notre présence dans les différents niveaux des filières d'activités car le rapport de force physique ne sera pas toujours un argument durable dans le contexte capitaliste. A quel titre les populations locales souhaitent-elles tirer profit des retombées du pétrole? Serait ce en tant que propriétaire? Cette position pourrait être légitime si l'on privilégie - en antropologie juridique - le droit du premier occupant au dépens du droit du plus fort ou droit positif (droit transmis par l'administration colonial aux Etats post-coloniaux). Dans ce cas et surtout pour que le principe prenne la force d'une loi, et non d'une règle exceptionnelle en faveur de certaines populations ou catégories socio-professionnelles, il faudrait rechercher la reforme du système foncier afin que les populations locales puissent avoir enfin des droits collectifs ou individuels chaque fois qu'une entreprise se propose de développer une activité économique dans leur localité et, même, en toute circonstances. Une telle mesure verrait naître une multiplicité de propriétaires auxquelle les entreprises - respectant les règles du libéralisme ou du capitalisme - devraient rendre compte. Cette mesure ne serait pas iconoclaste. Les citoyens américains en ont bénéficié au moment de l'exploitation du pétrole. Les citoyens indiens d'amérique utilisent cette disposition chaque fois qu'une société se propose d'exploiter une quelconque opportunité dans leurs reserves. Dans un lieu moins attendue - du fait de la représentation qu'on a de l'attachement à une vision traditionnelle de la vie par les aborigènes d'australie - une entreprise française spécialisée dans l'exploitation de l'uranium s'est vue obligé de payer des redevances autant au gouvernement qu'aux habitants de la reserves aborigène. la présentation d'une revendication sous cette forme permettrait de lever une mobilisation nationale alors qu'aujourd'hui ces reventications ressemblent plutôt à des revendications identitaires ou corporatistes. En attendant qu'une telle reforme se mettent en oeuvre, il convient que la pression que les populations puissent exercer sur les entreprises d'extration serait leur imposer de faire systématiquement appel un opérateur local pour les fournitures de biens et prestations ou dans la phase de développement du réseau commercial. Il ne s'agit nullement ici d'exclure les opérateurs expatriés des opérations de sous-traitance mais de les obliger à travailler en binômes avec des opérateurs nationaux. l'intérêt pour ces opérateurs nationaux serait alors de recevoir un revenu à capitaliser pour investir ensuite sur le même métier que l'opérateur expatrié ou pour se déployer vers d'autres activités. L'autre intérêt serait également le bénéfice des effets d'apprentissage : en étant impliqué dans la gestion des mêmes activités que l'opérateur expatrié, l'opérateur local ne peut que s'habituer aux usages du secteur d'activité et développer des compétences transférables vers d'autres activités. Nous ne parlerons pas des ressources humaines où des actions se mettent en oeuvre selon différentes modalités et en fonction de la pression exercée par l'Etat-hote ainsi qu'en fonction des besoins des entreprises en compétences. Voila, je vous ai décliné les raisons pour lesquelles je pense que c'est l'incapacité des opérateurs nationaux à fournir des offres compétitives aux entreprises d'extraction pétrolière et minière que l'exploitation du pétrole elle-même. Je crois au contraire que cette activité peut être une formidable opportunité d'apprentissage et d'ouverture de nos activités vers des marchés extérieurs dans le cadre d'un échange équilibré. Je m'excuse de ne pas avoir été complet dans ma présentation mais n'hésitez pas à souligner des points qui nécessitent des compléments de présentation. Merci pour votre attention et salutations cordiales. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Dim 19.10.08, Groupe Africdossier a écrit : De: Groupe Africdossier Objet: LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. À: africdossier at googlegroups.com Date: Dimanche 19 Octobre 2008, 12h55 LA MALEDICTION PERSISITANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. « Les Effets Pervers de l'Or Noir » en Afrique, ne peut être exclut des choix politiques et économiques des Présidents prédateurs de l'or noir et de sa manne, au détriment des peuples et des tribus. Résultat : Pauvreté et troubles sociopolitiques envahissent les sociétés productrices du pétrole. Ainsi, dans l'espace économique africain, des problèmes complexes entiers demeurent, encore, non résolus, où ces Présidents prédateurs utilisent la force, que le débat qui tient compte des revendications concrètes, pour lutter contre la pauvreté et les conflits sociaux à caractère politique. Résultat, une catastrophe s'installe dans la durée. Appolinaire Noël KOULAMA, votre animateur de ce forum, a sélectionné pour vous deux articles ( joints ci-dessous), et deux pays (le Congo-Brazzaville et le Nigeria), deux réalités tout à fait différentes, mais qui aboutissent, toutes les deux dans le fond, à l'appauvrissement des économies, comme si l'or noir est une malédiction. Bonne lecture à tous ! Appolinaire Noël KOULAMA Groupe Africdossier Note : Les titres de chaque article sont du Groupe Africdossier Vous pouvez lire : « Les Effets Pervers de l'Or Noir », un article de la rédaction Africdossier _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ PETROLE AU CONGO-BRAZZAVILLE : QUELS CONTRASTES SOCIAUX ET ECONOMIQUES ? Syndicats et associations de défense des droits des consommateurs dénoncent le renchérissement des prix des produits pétroliers, ainsi que des pénuries récurrentes de carburant malgré une production nationale couvrant largement les besoins du pays. Les Congolais ont connu des moments difficiles ces derniers temps du fait conjugué de la hausse des prix et de la pénurie de carburant entraînant une forte inflation à travers le pays. Le litre d'essence super à la pompe est passé de 500 francs CFA à 1000 francs CFA, puis à 1500 francs CFA... Une situation plutôt difficile à comprendre pour les Congolais, d'autant que leur pays figure parmi les huit grands producteurs de pétrole du continent, selon l'Association des pays producteurs de pétrole d'Afrique (APPA). La production pétrolière du Congo, selon une estimation prévisionnelle fiable, devrait atteindre 93 millions de barils d'ici la fin de l'année 2008, contre un peu plus de 80 millions de barils par an ces dernières années. « Malgré la hausse vertigineuse du baril qui avait atteint le taux record de 140 dollars sur le marché international, les Congolais n'ont rien tiré de cette hausse. » Les syndicats et les associations de défense des droits des consommateurs attribuent principalement deux causes à la hausse des prix et à la pénurie des produits pétroliers : la première raison serait liée à une mauvaise politique de redistribution de la production nationale, puisque la plus importante quantité, soit plus des 2/3 de la production, est exportée. La seconde raison serait liée à une politique fiscale lourde, puisque l'on comptabiliserait pratiquement une dizaine de taxes sur les produits pétroliers. Conséquence de cette lourde taxation, le marché noir s'est fortement développé, en l'occurrence, dans la ville de Pointe-Noire, la métropole économique qui concentre les principaux champs pétrolifères du pays, ainsi qu'à Brazzaville, la capitale qui représente la moitié des besoins nationaux en produits hydrocarbures. EXIGENCE DE LA BONNE GOUVERNANCE. Ces dernières semaines, les stations-service ont été sevrées de carburant, faisant ressortir du « maquis » les revendeurs de produits pétroliers à la criée, les « Kadhafi », qui se sont livrés à la spéculation. De quoi amplifier le courroux des Congolais, d'autant que le gouvernement ne donne aucune explication pour justifier cette hausse. Face à ce que les organisations de la société civile qualifient « d'inacceptable », la coalition « Publiez ce que vous payez » est montée au créneau pour dénoncer la mauvaise gestion de la manne pétrolière, soulignant que « malgré la hausse vertigineuse du baril qui avait atteint le taux record de 140 dollars sur le marché international, les Congolais n'ont rien tiré de cette hausse ». La société civile, qui veut savoir « où vont les surplus occasionnés par la flambée des prix du baril de pétrole », milite d'ailleurs pour qu'un audit soit réalisé sur l'épargne budgétaire dans le compte ouvert depuis quelques années à la Banque centrale, et où il n'y aurait que 139 millions d'euros. Malgré ce contraste, le chef de l'Etat congolais Denis Sassou Nguesso parle plutôt de « perspectives encourageantes » pour l'économie congolaise, dont le pétrole représente, de loin, la principale recette, soit 2/3 des ressources du pays. Après une chute consécutive en 2006 et 2007, où la production s'était stabilisée autour de 80 millions de barils par an, le brut congolais, a confirmé le chef de l'Etat, devrait connaître près de 35% d'augmentation cette année, avec la mise en production, en mai dernier, d'un nouveau champ pétrolier à Moho Bilondo, dans le sud du pays, et dont l'exploitation est assurée par la société française Total & EP. Véritable mamelle nourricière, le Congo attend cette année grâce au pétrole un taux de croissance réel moyen de 9% du produit intérieur brut (PIB), contre 3,7% il y a dix ans. Auteur : Achille MBog PIBASSO, Douala au Cameroun Publié le : 19 octobre 2008 Rubrique : Afrique-économie Source : Les Afriques _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ NIGERIA : LA CRISE DE DELTA RENFORCE LA CRISE SOCIALE ET ECONOMIQUE. Tout le potentiel pétrolier du Nigeria n'approvisionne pas les marchés. La faute à une guérilla qui s'est enlisée dans le delta du fleuve Niger, mais qui paraît encore en mesure d'obtenir en partie justice pour les populations démunies de la région la plus riche du pays. La « guerre du pétrole » du MEND (Mouvement pour l'émancipation du delta du Niger), lancée le 14 septembre 2008, suite à des « attaques non provoquées », n'a duré qu'une semaine. Le 21 septembre, le mouvement de guérilla, qui revendique un meilleur partage des revenus pétroliers, a décrété un cessez-le-feu unilatéral, à la demande, dit-il, de chefs coutumiers et de responsables politiques du delta du Niger. Le MEND, qui fait un usage intensif d'Internet, a expliqué, dans un langage météorologique, qu'il « rétrogradait » la guerre du pétrole qui porte le nom de code « Ouragan Barbarossa » en état d'alerte dite « Vigilance tempête tropicale ». Le MEND, qui se fait le défenseur des Ijaw, une ethnie de 14 millions de personnes, pèse depuis son apparition en 2006 sur la production de pétrole du Nigeria, qui oscille entre 1,8 millions et 2 millions de baril-jour, alors qu'elle était, deux ans plus tôt, de 2,6 mbj. L'insécurité créée par la crise dans le Delta du Niger, avec des attaques, des enlèvements et des sabotages sur terre et en off-shore, ferait perdre, selon les estimations, un quart de la production quotidienne du pays. LES FRUITS DE LA REPRESSION : D'une certaine manière, le Nigeria fait les frais de la répression dont a été victime, dans les années 90, le MOSOP (Mouvement pour la survie du peuple Ogoni) qui militait, par des moyens pacifiques, contre les pratiques prédatrices de la Shell et du gouvernement fédéral (destruction de l'environnement, absence de redistribution de la rente). L'exécution en 1995 du leader de ce mouvement, Ken Saro Wiwa, a favorisé l'émergence de groupes radicaux en lutte contre les compagnies pétrolières et le gouvernement fédéral. Le pourrissement de la situation a provoqué des actions destinées à attirer l'attention internationale sur la crise au Delta qui se mêlent à des pratiques lucratives d'enlèvement touchant aussi bien des Nigérians que des expatriés travaillant pour les entreprises pétrolières. Des spécialistes relèvent que le MEND, qui n'est pas le seul groupe armé du Delta, ne contrôle pas toutes les actions menées par ses troupes. Beaucoup de ses membres se livrent à du banditisme pur et simple, d'où la tendance du gouvernement fédéral à assimiler le MEND à un mouvement de brigandage criminel. A cela se greffe un trafic illégal, qui serait le fait d'hommes politiques influents et qui porterait sur quelque 80 000 barils-jour. La « guerre du pétrole », annoncée le 14 septembre, faisait craindre une extension du champ d'action du MEND, qui ciblait jusque-là la filiale locale de Shell, à d'autres compagnies étrangères comme l'italienne Agip ou l'américaine Chevron. Le cessez-le-feu unilatéral décrété par le MEND a fait baisser la tension. UN KIMBERLY POUR LE PETROLE VOLE ? Des analystes relient les dernières actions du MEND à un marchandage politique avec le gouvernement d'Abuja, qui a décidé de la création d'un ministère pour le delta du Niger. A l'évidence, il s'agit pour le président Yar'Adua d'avoir une prise directe dans l'affectation des ressources pour la région du delta, où les frustrations de la population expliquent largement le développement de la pratique du rapt et des sabotages des installations pétrolières. « Le Ministère coordonnera nos efforts pour relever les défis que présentent le développement des infrastructures, la protection de l'environnement et l'affectation de jeunes à des postes de responsabilité dans la région » a déclaré le président. Cette volonté affichée de prendre en charge les frustrations réelles des populations du delta s'accompagne d'un appel du gouvernement d'Abuja à la mise en place, sur le modèle du processus de Kimberley pour le diamant, d'un mécanisme contre la prolifération du « pétrole du sang » ou « blood oil ». L'appel a été lancé le 11 septembre, lors d'une conférence ouest-africaine sur la transparence dans les transactions pétrolières. Le parallèle entre les diamants, qui ont alimenté les guerres civiles au Liberia et en Sierra Leone, et le pétrole, volé dans le delta du Niger, est significatif. A New York, où il assiste à l'assemblée générale de l'Onu, le ministre des Affaires étrangères Ojo Maduekwe à redemandé une criminalisation internationale de l'achat du brut volé. Encore faut-il convaincre les populations du delta qu'elles gagneront au change. Auteur : Sana HARB, Alger en Algérie Publié le : 19 octobre 2008 Rubrique : Afrique-économie Source : Les Afriques _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Note : Les titres de chaque article sont du Groupe Africdossier Vous pouvez lire : « Les Effets Pervers de l'Or Noir », un article de la rédaction Africdossier __._,_.___ -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at aol.com Tue Oct 21 02:13:42 2008 From: protected at aol.com (Patitpierre) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:13:42 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Pourquoi continuer à aimer la France... Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. 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Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- Monsieur Mayandji, Cette discussion est intéressante. Je publierai bientôt un livre sur la gestion du pétrole en Afrique et je reprendrai contact avec vous. Mais, comme M. Appolinaire Noël KOULAMA, j'affirme que le pétrole est, dans la mesure où il ne contribue pas au développement du continent, synonyme de malédiction, car il est source de conflits, d'exploitation éhontée, de pillage et de mauvaise gestion. Certains pays africains qui n'ont pas de pétrole pratiquent une "bonne gouvernance" dans le sens d'une meilleure gestion des biens publics que les pays qui en ont. Le Gabon n'a pas suivi un rythme de développement comparable à la quantité de pétrole extrait de ce pays. Le pétrole gabonais a plus enrichi la compagnie Total/ELF et les autorités politiques gabonaises que le peuple gabonais dans son ensemble. De quel côté vous situez-vous, celui du peuple gabonais qui souffre ou du côté du pouvoir ? Je reviendrai vers vous très prochainement. Fweley Diangitukwa Politologue et écrivain congolais (RDC), auteur des ouvrages suivants aux éditions L'Harmattan : - "Qu'est-ce que le pouvoir ?", 2004 - "Géopolitique, intégration régionale et mondialisation", 2006 - "Le règne du mensonge politique en RDC. Qui a tué Kabila ?", 2006 - "Migrations internationales, codéveloppement et coopération décentralisée", avril 2008 - "Les fraudes électorales. Comment on recolonise la RDC", 2007 etc. ----Message d'origine---- De: cmayandji at yahoo.fr Date: 19.10.2008 18:46 À: Copie: "Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau", Objet: Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. Cher Appolinaire Noël KOULAMA, Je crois pas que le pétrole, pas plus que les autres ressources des activités d'extraction, soit une quelconque malédiction pour l'Afrique. Je suis Gabonais né à Port-Gentil, la ville du pétrole et, j'ai consacré une part non négligeable à l'étude des activités d'extraction dans le cadre de recherches en Histoire économique. J'ai démarré mon activité de recherche avec la même opinion que la votre. Mais en identifiant les dysfonctionnements spécifiques de l'économie gabonaise - sans doute comparable à celle du Congo et d'autres pays africains - j'ai réalisé que le modèle économique utilisé par les entreprises d'extraction pétrolière et minière pour valoriser et commercialiser l'objet principal de leurs activités aurait pu très rapidement servir d'exemple à nos Etats respectifs, à nos collectivités territoriales et même aux candidats nationaux à l'initiative privé pour développer des secteurs d'activités parallèles. Vous avez sans doute entendu parler la démarche du benchmarking en management et en marketing. Les entreprises spécialisées dans l'activité pétrolière pourrait être le modèle idéal d'inspiration. En réalité, que font ces entreprises? Elles ont identifié un produit d'intérêt stratégique à l'échelle internationale. Elles savent que - compte tenu du modèle de production actuelle fortement dependante de l'énergie produite par des combustibles rares ou d'accès difficile - les économies nationales des pays industriels aussi bien que des pays en développement sont en position de forte demande. Elles ne font qu'extraire la ressource - sous forme de produit brut - là où les conditions de fournitures sont les plus favorables et vont la livrer - sous forme de produits finis - là où la demande est à la fois la plus solvable et forte. Il n'y a rien d'étrange à cela même si nous nous sentons particulièrement concernés et lésés. peut - être pouvions nous le faire nous-même avec cette ressource. Sinon et à defaut, nous pouvons nous en inspirer pour selectionner d'autres ressources à partir desquelles nous pouvons créer d'autres filières dont le fonctionnement peut être calqué sur le modèle d'organisation : collecter la ressource - sous forme de produit brut - dans les conditions les plus favorables, selectionner un marché demandeur et solvable, assurer la livraison dans des condtions aussi favorables. le reste pourrait relever de la stratégie de financement de l'investissement, de la gestion du cycle et des risques d'exploitation de la filière considérée, ainsi que de l'optimisation de la trésorerie générée par le retour sur investissement. Comment procèdent ces entreprises ? En fait - contrairement l'image qu'elles véhiculent et à nos voeux de favoriser l'implantation des industries industriallisantes - l'activité de ces entreprises n'est pas industrielle. Elles en ont le mode de fonctionnement pour les aspects relevant du tertiaire et de la gestion logistique. Elles évitent de s'investir dans des activités de transformation lourdes ou raffinés dans les pays où les conditions d'exploitation - notamment les coûts - sont difficiles à maîtriser ou à rentabiliser sur le long terme, les pays éloignés des marchés cibles ou susceptibles de générer des doublons avec des unités présentant des meilleures conditions d'exploitation. L'essentiel de leurs investissements immobilisés - en dehors de toute demande pressante - consiste en des batiments administratifs imposants et facilement reconvertibles en centre d'affraires en cas de départ ou en entrepôts abritant le matériel de recherche ou d'extraction et facilement démontable pour être projeté sur un autre théatre d'opérations. le métier de ces entreprises est celui d'intégrateur d'activités : elles font appel à d'autres entreprises pour réaliser les opérations conçues par elles et placées sous leurs contrôle. Les activités de Bouyghes et de Bolloré relèvent de la même logique d'organisation. Les principaux facteurs clé de succès de ces entreprises sont : - la qualité de la signature garantie initialement par les Etats des pays d'origine, puis par l'épargne générée par les activités précédentes et placée et enfin des sociétés d'assurances pour la couverture de différentes classes de risques; la qualité de signature sert à lever les ressources financières au près des apporteurs de capitaux (marchés boursiers, institutions bancaires, sociétés financières..) ; - un réseaux de fournisseurs, de prestataires et de filiales qui leur permettent de sous-traiter la plus grande partie de leurs activités ainsi que de variabiliser les coûts du donneur d'ordre ou de la société-mère ; - un catalogue précis et renouvellé des équipements, consommables ainsi que des nouvelles technologies; - un repertoire affiné des compétences nécessaires aux ressources humaines affectées à la gestion des différents niveaux d'activités; - une bonne connaissance des marchés-cibles permettant d'anticiper l'évolution des réseaux et différents débouchés commerciaux, donc d'assurer l'autofinancement des activités ; - d'un réseau d'ingenierie interne ou externalisée qui conçoit le savoir-faire et contrôle l'exécution des opérations, gère la mémoire technique, réalisent les montages - financiers, juridiques et techniques pour le compte de l'entreprise; - une capacité de communication qui leur permettent de développer leur notoriété ainsi qu'une image favorable - pour impression - aussi bien au près des dirigeants pourvoyeurs de nouveaux marchés, des ressources humaines candidates ou employées, qu'au près des populations bénéficiaires de leurs implantation. Nous pouvons inclure les opérations de prise en charge des soins de santé, d'hébergement et de restauration ou des actions sociales et et de loisirs dans ces opérations de communication. - un levier de mobilisation d'unités de sécurité opérationnelle et de gestion de système d'information chaque fois que les conditions juridiques sont réunis pour leur permettre d'intervenir directement ou par externalisation. Je crois que c'est à ce niveau que les Etats-hotes - en concurrence avec les sociétés privées - doivent justifier leur revenus. Ces entreprises gèrent essentiellement des fonctions managériales (finances, ressources humaines, communication, ingenierie, commercialisation) . Pour les autres facteurs clé de succès, Elles ont pris l'habitude d'externaliser la gestion des fonctions correspondantes notamment dans le cadre de certains processus principaux ou de support. Les revenus tirés des activités d'une entreprise sont distribués entre quatre catégories d'acteurs en échanges des prestations fournies ou des contraintes juridiques : l'Etat, les actionnaires, les fournisseurs de biens et prestations, les ressources humaines, le réseaux commercial. En fait, nous agissons sur ces entreprises en exerçant une pression à travers les Etat agissant en tant que puissance publique ou en tant qu'actionnaires. Nous essayons de nous imposer en tant que ressources humaines en essayant de la rendre la plus locale possible. Pourtant une analyse de la valeur de ces entreprises peut montrer que l'essentiel de la valeur créée dépent davantage de l'intervention des fournisseurs des biens et des prestations ainsi que de l'efficacité du réseau commercial sur les marchés-cibles. Or ces deux catégories sont controlées pratiquement à cent pour cent par des opérateurs de nationalité différente des pays- hotes. Bien que la repartition de la valeur créée par les entreprises soit contractuelle et non mécanique, on peut aisément constater que la plus grande partie de la valeur créée va à ceux qui en apporte la plus grande contribution. C'est à dire au réseau commercial, aux fournisseurs, aux actionnaires publiques et privés, à l'Etat, aux ressources humaines expatriées et accessoirement, locales. Lorsqu'on observe l'activité pétrolière sous cet angle, on peut se rendre compte que notre malédiction n'est pas de posséder le pétrole, il est plutôt de ne pas savoir l'exploiter, ou du moins de ne pas savoir contôler sa valorisation. l'action que les représentants les plus actifs de nos populations mènent n'et peut-être pas vain, mais il me paraît au moins insuffisant sinon mal orienté. Dans tous les pays ayant accepté le mode de régulation libérale - ou à l'extrême capitaliste - la valeur créée revient en priorité aux propriétaires et promoteurs de l'activité, ensuite à ceux qui y ont apporté la plus forte contribution. Le combat que mène nos populations risquent de ne pas être longtemps légitime à moins que le pouvoir de nuisance occasionné par l'usage des armes ne puissent inverser la tendance. Dans ce cas, les revenus distribués à la population viendrait remunérer le prix de la sécurité et non le financement d'une opération en vue de re-équilibrer la repartition des richesses en faveur des plus pauvres et précaires. Il faut bien comprendre que dans la mentalité capitaliste, la pauvreté et la précarité n'ont jamais été un facteur d'attraction de revenus, mais plutot de rejet. Au regard de ce que j'ai exposé plus haut, il me parait important de bien repositionner notre présence dans les différents niveaux des filières d'activités car le rapport de force physique ne sera pas toujours un argument durable dans le contexte capitaliste. A quel titre les populations locales souhaitent-elles tirer profit des retombées du pétrole? Serait ce en tant que propriétaire? Cette position pourrait être légitime si l'on privilégie - en antropologie juridique - le droit du premier occupant au dépens du droit du plus fort ou droit positif (droit transmis par l'administration colonial aux Etats post-coloniaux). Dans ce cas et surtout pour que le principe prenne la force d'une loi, et non d'une règle exceptionnelle en faveur de certaines populations ou catégories socio-professionnelles, il faudrait rechercher la reforme du système foncier afin que les populations locales puissent avoir enfin des droits collectifs ou individuels chaque fois qu'une entreprise se propose de développer une activité économique dans leur localité et, même, en toute circonstances. Une telle mesure verrait naître une multiplicité de propriétaires auxquelle les entreprises - respectant les règles du libéralisme ou du capitalisme - devraient rendre compte. Cette mesure ne serait pas iconoclaste. Les citoyens américains en ont bénéficié au moment de l'exploitation du pétrole. Les citoyens indiens d'amérique utilisent cette disposition chaque fois qu'une société se propose d'exploiter une quelconque opportunité dans leurs reserves. Dans un lieu moins attendue - du fait de la représentation qu'on a de l'attachement à une vision traditionnelle de la vie par les aborigènes d'australie - une entreprise française spécialisée dans l'exploitation de l'uranium s'est vue obligé de payer des redevances autant au gouvernement qu'aux habitants de la reserves aborigène. la présentation d'une revendication sous cette forme permettrait de lever une mobilisation nationale alors qu'aujourd'hui ces reventications ressemblent plutôt à des revendications identitaires ou corporatistes. En attendant qu'une telle reforme se mettent en oeuvre, il convient que la pression que les populations puissent exercer sur les entreprises d'extration serait leur imposer de faire systématiquement appel un opérateur local pour les fournitures de biens et prestations ou dans la phase de développement du réseau commercial. Il ne s'agit nullement ici d'exclure les opérateurs expatriés des opérations de sous-traitance mais de les obliger à travailler en binômes avec des opérateurs nationaux. l'intérêt pour ces opérateurs nationaux serait alors de recevoir un revenu à capitaliser pour investir ensuite sur le même métier que l'opérateur expatrié ou pour se déployer vers d'autres activités. L'autre intérêt serait également le bénéfice des effets d'apprentissage : en étant impliqué dans la gestion des mêmes activités que l'opérateur expatrié, l'opérateur local ne peut que s'habituer aux usages du secteur d'activité et développer des compétences transférables vers d'autres activités. Nous ne parlerons pas des ressources humaines où des actions se mettent en oeuvre selon différentes modalités et en fonction de la pression exercée par l'Etat-hote ainsi qu'en fonction des besoins des entreprises en compétences. Voila, je vous ai décliné les raisons pour lesquelles je pense que c'est l'incapacité des opérateurs nationaux à fournir des offres compétitives aux entreprises d'extraction pétrolière et minière que l'exploitation du pétrole elle- même. Je crois au contraire que cette activité peut être une formidable opportunité d'apprentissage et d'ouverture de nos activités vers des marchés extérieurs dans le cadre d'un échange équilibré. Je m'excuse de ne pas avoir été complet dans ma présentation mais n'hésitez pas à souligner des points qui nécessitent des compléments de présentation. Merci pour votre attention et salutations cordiales. MANGASS TTCChristian MAYANDJIDémarches-GestionFINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATIONVEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLESEUROPE - AFRIQUE --- En date de : Dim 19.10.08, Groupe Africdossier a écrit : De: Groupe Africdossier Objet: LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. À: africdossier at googlegroups.com Date: Dimanche 19 Octobre 2008, 12h55 LA MALEDICTION PERSISITANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. « Les Effets Pervers de l'Or Noir » en Afrique, ne peut être exclut des choix politiques et économiques des Présidents prédateurs de l'or noir et de sa manne, au détriment des peuples et des tribus. Résultat : Pauvreté et troubles sociopolitiques envahissent les sociétés productrices du pétrole. Ainsi, dans l'espace économique africain, des problèmes complexes entiers demeurent, encore, non résolus, où ces Présidents prédateurs utilisent la force, que le débat qui tient compte des revendications concrètes, pour lutter contre la pauvreté et les conflits sociaux à caractère politique. Résultat, une catastrophe s'installe dans la durée. Appolinaire Noël KOULAMA, votre animateur de ce forum, a sélectionné pour vous deux articles ( joints ci-dessous), et deux pays (le Congo-Brazzaville et le Nigeria), deux réalités tout à fait différentes, mais qui aboutissent, toutes les deux dans le fond, à l'appauvrissement des économies, comme si l'or noir est une malédiction. Bonne lecture à tous ! Appolinaire Noël KOULAMA Groupe Africdossier Note : Les titres de chaque article sont du Groupe Africdossier Vous pouvez lire : « Les Effets Pervers de l'Or Noir », un article de la rédaction Africdossier _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ PETROLE AU CONGO-BRAZZAVILLE : QUELS CONTRASTES SOCIAUX ET ECONOMIQUES ? Syndicats et associations de défense des droits des consommateurs dénoncent le renchérissement des prix des produits pétroliers, ainsi que des pénuries récurrentes de carburant malgré une production nationale couvrant largement les besoins du pays. Les Congolais ont connu des moments difficiles ces derniers temps du fait conjugué de la hausse des prix et de la pénurie de carburant entraînant une forte inflation à travers le pays. Le litre d'essence super à la pompe est passé de 500 francs CFA à 1000 francs CFA, puis à 1500 francs CFA... Une situation plutôt difficile à comprendre pour les Congolais, d'autant que leur pays figure parmi les huit grands producteurs de pétrole du continent, selon l'Association des pays producteurs de pétrole d'Afrique (APPA). La production pétrolière du Congo, selon une estimation prévisionnelle fiable, devrait atteindre 93 millions de barils d'ici la fin de l'année 2008, contre un peu plus de 80 millions de barils par an ces dernières années. « Malgré la hausse vertigineuse du baril qui avait atteint le taux record de 140 dollars sur le marché international, les Congolais n'ont rien tiré de cette hausse. » Les syndicats et les associations de défense des droits des consommateurs attribuent principalement deux causes à la hausse des prix et à la pénurie des produits pétroliers : la première raison serait liée à une mauvaise politique de redistribution de la production nationale, puisque la plus importante quantité, soit plus des 2/3 de la production, est exportée. La seconde raison serait liée à une politique fiscale lourde, puisque l'on comptabiliserait pratiquement une dizaine de taxes sur les produits pétroliers. Conséquence de cette lourde taxation, le marché noir s'est fortement développé, en l'occurrence, dans la ville de Pointe-Noire, la métropole économique qui concentre les principaux champs pétrolifères du pays, ainsi qu'à Brazzaville, la capitale qui représente la moitié des besoins nationaux en produits hydrocarbures. EXIGENCE DE LA BONNE GOUVERNANCE. Ces dernières semaines, les stations-service ont été sevrées de carburant, faisant ressortir du « maquis » les revendeurs de produits pétroliers à la criée, les « Kadhafi », qui se sont livrés à la spéculation. De quoi amplifier le courroux des Congolais, d'autant que le gouvernement ne donne aucune explication pour justifier cette hausse. Face à ce que les organisations de la société civile qualifient « d'inacceptable », la coalition « Publiez ce que vous payez » est montée au créneau pour dénoncer la mauvaise gestion de la manne pétrolière, soulignant que « malgré la hausse vertigineuse du baril qui avait atteint le taux record de 140 dollars sur le marché international, les Congolais n'ont rien tiré de cette hausse ». La société civile, qui veut savoir « où vont les surplus occasionnés par la flambée des prix du baril de pétrole », milite d'ailleurs pour qu'un audit soit réalisé sur l'épargne budgétaire dans le compte ouvert depuis quelques années à la Banque centrale, et où il n'y aurait que 139 millions d'euros. Malgré ce contraste, le chef de l'Etat congolais Denis Sassou Nguesso parle plutôt de « perspectives encourageantes » pour l'économie congolaise, dont le pétrole représente, de loin, la principale recette, soit 2/3 des ressources du pays. Après une chute consécutive en 2006 et 2007, où la production s'était stabilisée autour de 80 millions de barils par an, le brut congolais, a confirmé le chef de l'Etat, devrait connaître près de 35% d'augmentation cette année, avec la mise en production, en mai dernier, d'un nouveau champ pétrolier à Moho Bilondo, dans le sud du pays, et dont l'exploitation est assurée par la société française Total & EP. Véritable mamelle nourricière, le Congo attend cette année grâce au pétrole un taux de croissance réel moyen de 9% du produit intérieur brut (PIB), contre 3,7% il y a dix ans. Auteur : Achille MBog PIBASSO, Douala au Cameroun Publié le : 19 octobre 2008 Rubrique : Afrique-économie Source : Les Afriques _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ NIGERIA : LA CRISE DE DELTA RENFORCE LA CRISE SOCIALE ET ECONOMIQUE. Tout le potentiel pétrolier du Nigeria n'approvisionne pas les marchés. La faute à une guérilla qui s'est enlisée dans le delta du fleuve Niger, mais qui paraît encore en mesure d'obtenir en partie justice pour les populations démunies de la région la plus riche du pays. La « guerre du pétrole » du MEND (Mouvement pour l'émancipation du delta du Niger), lancée le 14 septembre 2008, suite à des « attaques non provoquées », n'a duré qu'une semaine. Le 21 septembre, le mouvement de guérilla, qui revendique un meilleur partage des revenus pétroliers, a décrété un cessez-le-feu unilatéral, à la demande, dit-il, de chefs coutumiers et de responsables politiques du delta du Niger. Le MEND, qui fait un usage intensif d'Internet, a expliqué, dans un langage météorologique, qu'il « rétrogradait » la guerre du pétrole qui porte le nom de code « Ouragan Barbarossa » en état d'alerte dite « Vigilance tempête tropicale ». Le MEND, qui se fait le défenseur des Ijaw, une ethnie de 14 millions de personnes, pèse depuis son apparition en 2006 sur la production de pétrole du Nigeria, qui oscille entre 1,8 millions et 2 millions de baril-jour, alors qu'elle était, deux ans plus tôt, de 2,6 mbj. L'insécurité créée par la crise dans le Delta du Niger, avec des attaques, des enlèvements et des sabotages sur terre et en off-shore, ferait perdre, selon les estimations, un quart de la production quotidienne du pays. LES FRUITS DE LA REPRESSION : D'une certaine manière, le Nigeria fait les frais de la répression dont a été victime, dans les années 90, le MOSOP (Mouvement pour la survie du peuple Ogoni) qui militait, par des moyens pacifiques, contre les pratiques prédatrices de la Shell et du gouvernement fédéral (destruction de l'environnement, absence de redistribution de la rente). L'exécution en 1995 du leader de ce mouvement, Ken Saro Wiwa, a favorisé l'émergence de groupes radicaux en lutte contre les compagnies pétrolières et le gouvernement fédéral. Le pourrissement de la situation a provoqué des actions destinées à attirer l'attention internationale sur la crise au Delta qui se mêlent à des pratiques lucratives d'enlèvement touchant aussi bien des Nigérians que des expatriés travaillant pour les entreprises pétrolières. Des spécialistes relèvent que le MEND, qui n'est pas le seul groupe armé du Delta, ne contrôle pas toutes les actions menées par ses troupes. Beaucoup de ses membres se livrent à du banditisme pur et simple, d'où la tendance du gouvernement fédéral à assimiler le MEND à un mouvement de brigandage criminel. A cela se greffe un trafic illégal, qui serait le fait d'hommes politiques influents et qui porterait sur quelque 80 000 barils-jour. La « guerre du pétrole », annoncée le 14 septembre, faisait craindre une extension du champ d'action du MEND, qui ciblait jusque-là la filiale locale de Shell, à d'autres compagnies étrangères comme l'italienne Agip ou l'américaine Chevron. Le cessez-le-feu unilatéral décrété par le MEND a fait baisser la tension. UN KIMBERLY POUR LE PETROLE VOLE ? Des analystes relient les dernières actions du MEND à un marchandage politique avec le gouvernement d'Abuja, qui a décidé de la création d'un ministère pour le delta du Niger. A l'évidence, il s'agit pour le président Yar'Adua d'avoir une prise directe dans l'affectation des ressources pour la région du delta, où les frustrations de la population expliquent largement le développement de la pratique du rapt et des sabotages des installations pétrolières. « Le Ministère coordonnera nos efforts pour relever les défis que présentent le développement des infrastructures, la protection de l'environnement et l'affectation de jeunes à des postes de responsabilité dans la région » a déclaré le président. Cette volonté affichée de prendre en charge les frustrations réelles des populations du delta s'accompagne d'un appel du gouvernement d'Abuja à la mise en place, sur le modèle du processus de Kimberley pour le diamant, d'un mécanisme contre la prolifération du « pétrole du sang » ou « blood oil ». L'appel a été lancé le 11 septembre, lors d'une conférence ouest-africaine sur la transparence dans les transactions pétrolières. Le parallèle entre les diamants, qui ont alimenté les guerres civiles au Liberia et en Sierra Leone, et le pétrole, volé dans le delta du Niger, est significatif. A New York, où il assiste à l'assemblée générale de l'Onu, le ministre des Affaires étrangères Ojo Maduekwe à redemandé une criminalisation internationale de l'achat du brut volé. Encore faut-il convaincre les populations du delta qu'elles gagneront au change. Auteur : Sana HARB, Alger en Algérie Publié le : 19 octobre 2008 Rubrique : Afrique-économie Source : Les Afriques _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Note : Les titres de chaque article sont du Groupe Africdossier Vous pouvez lire : « Les Effets Pervers de l'Or Noir », un article de la rédaction Africdossier __._,_.___ . __,_._,___ -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at yahoo.fr Tue Oct 21 02:16:29 2008 From: protected at yahoo.fr (Noël DUBOIS) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:16:29 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : 2AEG (Aide et Action Pour les Enfants du Gabon) Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- Pffff!!!! N'importe quoi! Si on veut aider qui que ce soit au Gabon, il faut changer le système et le parasite qui le dirige depuis 40 ans. Vous êtes sûr que derrière tout ça y'a pas une ambition privée??? Geisha de MILANO --- En date de : Dim 19.10.08, jea nestor Moungomo a écrit : > > De: jea nestor Moungomo > > Objet: [BDPalabres] 2AEG (Aide et Action Pour les Enfants du Gabon) > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > Date: Dimanche 19 Octobre 2008, 15h01 > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. > > Vos messages apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, > > répondez tout simplement aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces > > jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. > > ___________________________________________________________ > > > > Chers compatriotes, > > > > Gabonais d’origine et d’adoption c’est avec un réel > > plaisir que je viens vers vous. > > > > Nous sommes tous une génération d'hommes et de femmes > > qui veulent être acteurs d'un présent et d'un > > futur meilleurs, épris des énergies formidables, des > > solidarités inventives et des générosités discrètes. > > > > En effet avec un groupe d’amis, j’ai mis en place, en > > Janvier 2008 une structure humanitaire denommer 2AEG (Aide > > et Action pour Les Enfants du Gabon). > > > > Pour éviter le mélange du genre, cette structure a pour > > objectifs d’aider les Enfants du Gabon dans les domaines > > tels que : la santé, l’éducation, le sport, le > > developpement rural et la communication. > > > > Pour lancer cette structure au Gabon, des actions dans le > > sport ont été orgainisées l’été 2008 à Mouila avec > > l’appui des clubs de Valenciennes Football Club et de Lyon > > Handball. > > > > 2AEG (Aide et Action pour les Enfants du Gabon) se résume > > comme une structure humanitaire au cÅ“ur du developpment > > pour combattre les fléaux du sous developpement. > > > > Nous faisons appel à toutes les bonnes volontés qui > > veulent Å“uvrer avec nous dans cette aventure noble et > > humaine pour les Enfants du Gabon. > > > > Cordialement : Jean Nestor Moungomo > > > > > > > > Pour nous contacter > > > > Monsieur Moungomo Jean Nestor > > > > Président fondateur de 2AEG : 06 13 99 99 58. > > > > > > > > 2AEG (Aide et Action pour Les Enfants du Gabon) > > > > 2-4 Place Henri Barbusse > > > > 92300 Levallois Perret > > > > > > > > 2AEG > > > > Enregistrement à la préfecture des Hauts de seine > > > > Le 7 Janvier 2008 > > > > N°19030922 > > > > > > > > Référence DJO > > > > Journal officiel du 02/02/2008 > > > > N°02155 > > > > > > Moungomo Jean Nestor > > 2 Place Henry Barbusse 92300 Levallois Perret > > portable : 06 13 99 99 58 > > > > Moungomo Jean Nestor > > Diplômé en management et marketing de sport > > Diplômé en Gestion des Organisations sportives > > Technicien de l'éducation populaire > > Educateur Sportif Pour Tous > > Entraineur d'athlétisme. -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at gmail.com Tue Oct 21 02:23:43 2008 From: protected at gmail.com (MGD GABON) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:23:43 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Du Nouveau pour le site des 10 Gabonais de la Diaspora... Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- Vous etes stupides! connaissez vous tous les gabonais de la disporat? ceux qui sont multi-millionaires aux canada et aux usa, et qui ne sont pas dans vos stupidites? Les ignorants peuvent bien se delecter dans l'ignorance! 2008/10/16 Gabonais Diaspora ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Chers compatriotes, Les temps approchent, où le Gabon fera son grand toilettage politique, dont le dernier remonte au 2 décembre 1967, date de la prise de fonction d'Albert Bernard (Omar) Bongo, l'actuel président de notre pays.. Pour ce grand rendez-vous, auquel tout citoyen gabonais devra prendre part, nous avons voulu sélectionner pour vous, comme cela a été fait par nos confrères de "Jeune Afrique", concernant les "100 hommes clé du Gabon", ceux de nos compatriotes "visibles", qui contribuent au rayonnement de notre Diaspora, hors du territoire national. Cette liste de compatriotes, régulièrement mis à jour, est désormais consultable sur un nouveau site Internet, plus accessible et offrant plus d'interactivité. Vous pourrez désormais poster vos commentaires. http://gabon.typepad.fr/ Nous vous souhaitons dores et déjà une bonne navigation. Le Collectif "Diaspora Gabonaise" -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at yahoo.fr Tue Oct 21 02:22:10 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:22:10 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. 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Par contre, je m'appuie sur des sources recoupées que je tiens à votre disposition sous la forme d'une documentation qui couvre l'évolution de l'économie gabonaise, par extention celle de quelques autres pays de l'afrique centrale dont le modèle d'organisation s'apparente au Gabon, depuis les premières implantations capitalistes en Afrique centrale au XIXème siècle jusqu'aux années 1990. Pour mon analyse, je m'appuie sur des méthodes tirées des disciplines liées à l'économie-gestion des entreprises (management, finance, droits des affaires, gestion des ressources humaines..). C'est ma deuxième spécialité après l'histoire économique. En fait, je me suis rapidement aperçu qu'en m'appuyant uniquement sur des données macro-économiques - par définition, des données de synthèse - je risquais de (re)découvrir des généralités. C'est souvent ce que je retrouve dans la plupart des ouvrages qui traitent des questions économiques sur les pays de l'afrique, notamment francophone et centrale. J'espère que vos ouvrages échappent à ce constat. Par contre avec l'économie d'entreprise, je m'efforce de découvrir la logique de comportements et les pratiques des opérateurs économiques. Je peux les comparer d'un pays à l'autre, d'un environnement à l'autre. C'est en procédant ainsi que j'en suis arrivé à l'idée que ce n'est pas le produit en lui-même qui est source de "malédiction", mais c'est plutôt notre incapacité à gérer la filière générée par la mise en exploitation de ce produit. Dans cette approche, il n'y a pas de partisans ou des opposants au pouvoir. Il y a simplement une vision différente de la manière dont nous pouvons aborder la gestion de nos ressources. Je dois vous préciser que le sentiment de malédiction du pétrole n'est pas spécifique à l'Afrique. Il a été mis en évidence à travers la notion de "syndrome hollandais". Certains chercheurs ont découvert - au début de l'exploitation du pétrole en Europe du Nord - que l'expansion de cette activité avait pour corolaire la stérilisation des activités environnantes dans le pays d'exploitation. Des études ont été menées pour comprendre les mécanismes de cette désertification. Elles ont permis de prendre des mesures qui ont conduit à des politiques économiques plus équilibrées. Vous savez sans doute que les pays d'Europe du Nord sont en pointe en matière de performance économique, de qualité de vie et d'équilibre sociale. Le même phénomène est visible aux USA dans les sites d'exploitation du pétrole ou d'or mais les dispositions prises en Europe du Nord n'y ont pas été appliquées. Des études ont été également effectuées dans les pays de la péninsule arabique ainsi que sur certains pays africains comme le Nigeria et le Gabon. Certains pays arabes prennent des mesures préventives : la transformation de Dubai en grande place commerciale, la construction de diverses unités touristiques dans cette région participent de cette volonté de prévenir les effets du syndrome hollandais.Il en est de même pour les prises de participations dans des grandes entreprises industrielles, la constitution d'importants patrimoines immobiliers dans les plus importantes places économiques du monde, les opérations de placement des ressources financières dans les principales places boursières. Il faut également vous préciser les pays arabes imposent aux entreprises qui s'implantent ou viennent faire des affaires de travailler - et même partager le savoir-faire avec un opérateur local. C'est également une disposition comparable prise en Chine qui est à l'origine de la faculté des opérateurs chinois à copier les produits occidentaux et même à les concurrencer sur des marchés-cibles. En Afrique, et notamment au Gabon, les études menées sont systématiquement déconsidérées et classées. M. OYE MBA - ancien premier ministre - a été soutenu sa thèse sur la question du pétrole au Gabon. Lors de son passage à la primature, il a tenté de mettre en place quelques mesures timides. Il a été violemment combattu aussi bien par les membres de la majorité que par ceux de l'opposition, y compris par des collègues de l'université qui l'avaient cotoyé depuis le collège Bessieux. Le combat pour le pouvoir et la gestion des intérêts à très court terme couplé à une absence de culture d'entreprise conduit souvent d'éminentes personnalités - du pouvoir et de l'opposition - à faire des choix qui sont nocifs pour l'intérêt général. M. OYE MBA - pour revenir à lui au Gabon dans des ministères où son influence sur les orientations économiques est nul. Du côté de l'opposition, je voudrais rappeller l'assassinat de Joseph RENDJAMBE à l'origine des émeutes de 1990 : c'était l'un des râres économistes gabonais à avoir pris conscience des dispositions à prendre et à avoir la volonté de les mettre en oeuvre en s'appuyant sur la collaboration de la plus large palette de personnalités gabonaises. Nous n'avons cessé d'aller à la dérive. En ce qui concerne le Nigeria, j'ai rencontré l'un des militants du mouvement de revendication qui se développe dans le sud de ce pays dès le début des années 1990. Ma reflexion n'était pas encore assez avancée pour pouvoir contribuer à l'élaboration de leur démarche. Je le regrette mais aujourd'hui je me sens mieux disposé. Je vous ai expliqué que le phénomène de malédiction n'était pas spécifique africain et qu'il n'a pas été géré de la même manière selon les pays. Je crois que la malédiction que vous attribuez au pétrole doit l'être à la faible préparation des Africains à affronter les règles et les effets pervers du capitalisme. Je crois qu'un certain nombre d'Africains sont quelque peu perdus dans un système qu'ils connaissent et maitrise mal le fonctionnement. Le succès - que des pays comme la Côte d'ivoire, le Ghana et sans doute le Burkina Faso pourraient connaitre avec la gestion des produits primaires - - tient certainement au fait que les dirigeants aient permis aux élites locales de travailler en se contentant de s'attacher surtout à créer un environnement favorable à l'éclosion des initiatives provenant des opérateurs locaux et favorisant le développement de la collaboration entre ces derniers et des opérateurs extérieurs. Il faut responsabiliser les opérateurs nationaux. Les populations locales doivent également conquérir leurs droits dans le domaine économique avec la même détermination qu'il le font dans le domaine politique. La conquête de ces droits passe par une meilleure connaissance du mode de fonctionnement de ce qui constitue les unités de base de nos économies : les collectivités territoriales, les entreprises et leurs réseaux. Je vous ai dis que je tiens ma documentation à votre disposition. N'hésitez à prendre contact lorsque vous serez prêt : vous vous rendrez compte que la corrélation des faits n'implique pas nécessairement des relations de causalité entre ces faits. A bientôt avec mes salutations cordiales. MANGASS TTCChristian MAYANDJIDémarches-GestionFINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATIONVEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLESEUROPE - AFRIQUE --- En date de : Lun 20.10.08, afriquenouvelle at bluewin.ch a écrit : De: afriquenouvelle at bluewin.ch Objet: RE: Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. À: cmayandji at yahoo.fr, africdossier at googlegroups.com Cc: "Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau" , diasporagabonaise at yahoo.fr Date: Lundi 20 Octobre 2008, 10h54 Monsieur Mayandji, Cette discussion est intéressante. Je publierai bientôt un livre sur la gestion du pétrole en Afrique et je reprendrai contact avec vous. Mais, comme M. Appolinaire Noël KOULAMA, j'affirme que le pétrole est, dans la mesure où il ne contribue pas au développement du continent, synonyme de malédiction, car il est source de conflits, d'exploitation éhontée, de pillage et de mauvaise gestion. Certains pays africains qui n'ont pas de pétrole pratiquent une "bonne gouvernance" dans le sens d'une meilleure gestion des biens publics que les pays qui en ont. Le Gabon n'a pas suivi un rythme de développement comparable à la quantité de pétrole extrait de ce pays. Le pétrole gabonais a plus enrichi la compagnie Total/ELF et les autorités politiques gabonaises que le peuple gabonais dans son ensemble. De quel côté vous situez-vous, celui du peuple gabonais qui souffre ou du côté du pouvoir ? Je reviendrai vers vous très prochainement. Fweley Diangitukwa Politologue et écrivain congolais (RDC), auteur des ouvrages suivants aux éditions L'Harmattan : - "Qu'est-ce que le pouvoir ?", 2004 - "Géopolitique, intégration régionale et mondialisation", 2006 - "Le règne du mensonge politique en RDC. Qui a tué Kabila ?", 2006 - "Migrations internationales, codéveloppement et coopération décentralisée", avril 2008 - "Les fraudes électorales. Comment on recolonise la RDC", 2007 etc. ----Message d'origine---- De: cmayandji Date: 19.10.2008 18:46 Objet: Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. Cher Appolinaire Noël KOULAMA, Je crois pas que le pétrole, pas plus que les autres ressources des activités d'extraction, soit une quelconque malédiction pour l'Afrique. Je suis Gabonais né à Port-Gentil, la ville du pétrole et, j'ai consacré une part non négligeable à l'étude des activités d'extraction dans le cadre de recherches en Histoire économique. J'ai démarré mon activité de recherche avec la même opinion que la votre. Mais en identifiant les dysfonctionnements spécifiques de l'économie gabonaise - sans doute comparable à celle du Congo et d'autres pays africains - j'ai réalisé que le modèle économique utilisé par les entreprises d'extraction pétrolière et minière pour valoriser et commercialiser l'objet principal de leurs activités aurait pu très rapidement servir d'exemple à nos Etats respectifs, à nos collectivités territoriales et même aux candidats nationaux à l'initiative privé pour développer des secteurs d'activités parallèles. Vous avez sans doute entendu parler la démarche du benchmarking en management et en marketing. Les entreprises spécialisées dans l'activité pétrolière pourrait être le modèle idéal d'inspiration. En réalité, que font ces entreprises? Elles ont identifié un produit d'intérêt stratégique à l'échelle internationale. Elles savent que - compte tenu du modèle de production actuelle fortement dependante de l'énergie produite par des combustibles rares ou d'accès difficile - les économies nationales des pays industriels aussi bien que des pays en développement sont en position de forte demande. Elles ne font qu'extraire la ressource - sous forme de produit brut - là où les conditions de fournitures sont les plus favorables et vont la livrer - sous forme de produits finis - là où la demande est à la fois la plus solvable et forte. Il n'y a rien d'étrange à cela même si nous nous sentons particulièrement concernés et lésés. peut - être pouvions nous le faire nous-même avec cette ressource. Sinon et à defaut, nous pouvons nous en inspirer pour selectionner d'autres ressources à partir desquelles nous pouvons créer d'autres filières dont le fonctionnement peut être calqué sur le modèle d'organisation : collecter la ressource - sous forme de produit brut - dans les conditions les plus favorables, selectionner un marché demandeur et solvable, assurer la livraison dans des condtions aussi favorables. le reste pourrait relever de la stratégie de financement de l'investissement, de la gestion du cycle et des risques d'exploitation de la filière considérée, ainsi que de l'optimisation de la trésorerie générée par le retour sur investissement. Comment procèdent ces entreprises ? En fait - contrairement l'image qu'elles véhiculent et à nos voeux de favoriser l'implantation des industries industriallisantes - l'activité de ces entreprises n'est pas industrielle. Elles en ont le mode de fonctionnement pour les aspects relevant du tertiaire et de la gestion logistique. Elles évitent de s'investir dans des activités de transformation lourdes ou raffinés dans les pays où les conditions d'exploitation - notamment les coûts - sont difficiles à maîtriser ou à rentabiliser sur le long terme, les pays éloignés des marchés cibles ou susceptibles de générer des doublons avec des unités présentant des meilleures conditions d'exploitation. L'essentiel de leurs investissements immobilisés - en dehors de toute demande pressante - consiste en des batiments administratifs imposants et facilement reconvertibles en centre d'affraires en cas de départ ou en entrepôts abritant le matériel de recherche ou d'extraction et facilement démontable pour être projeté sur un autre théatre d'opérations. le métier de ces entreprises est celui d'intégrateur d'activités : elles font appel à d'autres entreprises pour réaliser les opérations conçues par elles et placées sous leurs contrôle. Les activités de Bouyghes et de Bolloré relèvent de la même logique d'organisation. Les principaux facteurs clé de succès de ces entreprises sont : - la qualité de la signature garantie initialement par les Etats des pays d'origine, puis par l'épargne générée par les activités précédentes et placée et enfin des sociétés d'assurances pour la couverture de différentes classes de risques; la qualité de signature sert à lever les ressources financières au près des apporteurs de capitaux (marchés boursiers, institutions bancaires, sociétés financières..) ; - un réseaux de fournisseurs, de prestataires et de filiales qui leur permettent de sous-traiter la plus grande partie de leurs activités ainsi que de variabiliser les coûts du donneur d'ordre ou de la société-mère ; - un catalogue précis et renouvellé des équipements, consommables ainsi que des nouvelles technologies; - un repertoire affiné des compétences nécessaires aux ressources humaines affectées à la gestion des différents niveaux d'activités; - une bonne connaissance des marchés-cibles permettant d'anticiper l'évolution des réseaux et différents débouchés commerciaux, donc d'assurer l'autofinancement des activités ; - d'un réseau d'ingenierie interne ou externalisée qui conçoit le savoir-faire et contrôle l'exécution des opérations, gère la mémoire technique, réalisent les montages - financiers, juridiques et techniques pour le compte de l'entreprise; - une capacité de communication qui leur permettent de développer leur notoriété ainsi qu'une image favorable - pour impression - aussi bien au près des dirigeants pourvoyeurs de nouveaux marchés, des ressources humaines candidates ou employées, qu'au près des populations bénéficiaires de leurs implantation. Nous pouvons inclure les opérations de prise en charge des soins de santé, d'hébergement et de restauration ou des actions sociales et et de loisirs dans ces opérations de communication. - un levier de mobilisation d'unités de sécurité opérationnelle et de gestion de système d'information chaque fois que les conditions juridiques sont réunis pour leur permettre d'intervenir directement ou par externalisation. Je crois que c'est à ce niveau que les Etats-hotes - en concurrence avec les sociétés privées - doivent justifier leur revenus. Ces entreprises gèrent essentiellement des fonctions managériales (finances, ressources humaines, communication, ingenierie, commercialisation) . Pour les autres facteurs clé de succès, Elles ont pris l'habitude d'externaliser la gestion des fonctions correspondantes notamment dans le cadre de certains processus principaux ou de support. Les revenus tirés des activités d'une entreprise sont distribués entre quatre catégories d'acteurs en échanges des prestations fournies ou des contraintes juridiques : l'Etat, les actionnaires, les fournisseurs de biens et prestations, les ressources humaines, le réseaux commercial. En fait, nous agissons sur ces entreprises en exerçant une pression à travers les Etat agissant en tant que puissance publique ou en tant qu'actionnaires. Nous essayons de nous imposer en tant que ressources humaines en essayant de la rendre la plus locale possible. Pourtant une analyse de la valeur de ces entreprises peut montrer que l'essentiel de la valeur créée dépent davantage de l'intervention des fournisseurs des biens et des prestations ainsi que de l'efficacité du réseau commercial sur les marchés-cibles. Or ces deux catégories sont controlées pratiquement à cent pour cent par des opérateurs de nationalité différente des pays- hotes. Bien que la repartition de la valeur créée par les entreprises soit contractuelle et non mécanique, on peut aisément constater que la plus grande partie de la valeur créée va à ceux qui en apporte la plus grande contribution. C'est à dire au réseau commercial, aux fournisseurs, aux actionnaires publiques et privés, à l'Etat, aux ressources humaines expatriées et accessoirement, locales. Lorsqu'on observe l'activité pétrolière sous cet angle, on peut se rendre compte que notre malédiction n'est pas de posséder le pétrole, il est plutôt de ne pas savoir l'exploiter, ou du moins de ne pas savoir contôler sa valorisation. l'action que les représentants les plus actifs de nos populations mènent n'et peut-être pas vain, mais il me paraît au moins insuffisant sinon mal orienté. Dans tous les pays ayant accepté le mode de régulation libérale - ou à l'extrême capitaliste - la valeur créée revient en priorité aux propriétaires et promoteurs de l'activité, ensuite à ceux qui y ont apporté la plus forte contribution. Le combat que mène nos populations risquent de ne pas être longtemps légitime à moins que le pouvoir de nuisance occasionné par l'usage des armes ne puissent inverser la tendance. Dans ce cas, les revenus distribués à la population viendrait remunérer le prix de la sécurité et non le financement d'une opération en vue de re-équilibrer la repartition des richesses en faveur des plus pauvres et précaires. Il faut bien comprendre que dans la mentalité capitaliste, la pauvreté et la précarité n'ont jamais été un facteur d'attraction de revenus, mais plutot de rejet. Au regard de ce que j'ai exposé plus haut, il me parait important de bien repositionner notre présence dans les différents niveaux des filières d'activités car le rapport de force physique ne sera pas toujours un argument durable dans le contexte capitaliste. A quel titre les populations locales souhaitent-elles tirer profit des retombées du pétrole? Serait ce en tant que propriétaire? Cette position pourrait être légitime si l'on privilégie - en antropologie juridique - le droit du premier occupant au dépens du droit du plus fort ou droit positif (droit transmis par l'administration colonial aux Etats post-coloniaux). Dans ce cas et surtout pour que le principe prenne la force d'une loi, et non d'une règle exceptionnelle en faveur de certaines populations ou catégories socio-professionnelles, il faudrait rechercher la reforme du système foncier afin que les populations locales puissent avoir enfin des droits collectifs ou individuels chaque fois qu'une entreprise se propose de développer une activité économique dans leur localité et, même, en toute circonstances. Une telle mesure verrait naître une multiplicité de propriétaires auxquelle les entreprises - respectant les règles du libéralisme ou du capitalisme - devraient rendre compte. Cette mesure ne serait pas iconoclaste. Les citoyens américains en ont bénéficié au moment de l'exploitation du pétrole. Les citoyens indiens d'amérique utilisent cette disposition chaque fois qu'une société se propose d'exploiter une quelconque opportunité dans leurs reserves. Dans un lieu moins attendue - du fait de la représentation qu'on a de l'attachement à une vision traditionnelle de la vie par les aborigènes d'australie - une entreprise française spécialisée dans l'exploitation de l'uranium s'est vue obligé de payer des redevances autant au gouvernement qu'aux habitants de la reserves aborigène. la présentation d'une revendication sous cette forme permettrait de lever une mobilisation nationale alors qu'aujourd'hui ces reventications ressemblent plutôt à des revendications identitaires ou corporatistes. En attendant qu'une telle reforme se mettent en oeuvre, il convient que la pression que les populations puissent exercer sur les entreprises d'extration serait leur imposer de faire systématiquement appel un opérateur local pour les fournitures de biens et prestations ou dans la phase de développement du réseau commercial. Il ne s'agit nullement ici d'exclure les opérateurs expatriés des opérations de sous-traitance mais de les obliger à travailler en binômes avec des opérateurs nationaux. l'intérêt pour ces opérateurs nationaux serait alors de recevoir un revenu à capitaliser pour investir ensuite sur le même métier que l'opérateur expatrié ou pour se déployer vers d'autres activités. L'autre intérêt serait également le bénéfice des effets d'apprentissage : en étant impliqué dans la gestion des mêmes activités que l'opérateur expatrié, l'opérateur local ne peut que s'habituer aux usages du secteur d'activité et développer des compétences transférables vers d'autres activités. Nous ne parlerons pas des ressources humaines où des actions se mettent en oeuvre selon différentes modalités et en fonction de la pression exercée par l'Etat-hote ainsi qu'en fonction des besoins des entreprises en compétences. Voila, je vous ai décliné les raisons pour lesquelles je pense que c'est l'incapacité des opérateurs nationaux à fournir des offres compétitives aux entreprises d'extraction pétrolière et minière que l'exploitation du pétrole elle- même. Je crois au contraire que cette activité peut être une formidable opportunité d'apprentissage et d'ouverture de nos activités vers des marchés extérieurs dans le cadre d'un échange équilibré. Je m'excuse de ne pas avoir été complet dans ma présentation mais n'hésitez pas à souligner des points qui nécessitent des compléments de présentation. Merci pour votre attention et salutations cordiales. MANGASS TTCChristian MAYANDJIDémarches-GestionFINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATIONVEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLESEUROPE - AFRIQUE --- En date de : Dim 19.10.08, Groupe Africdossier a écrit : De: Groupe Africdossier Objet: LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. À: Date: Dimanche 19 Octobre 2008, 12h55 LA MALEDICTION PERSISITANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. « Les Effets Pervers de l'Or Noir » en Afrique, ne peut être exclut des choix politiques et économiques des Présidents prédateurs de l'or noir et de sa manne, au détriment des peuples et des tribus. Résultat : Pauvreté et troubles sociopolitiques envahissent les sociétés productrices du pétrole. Ainsi, dans l'espace économique africain, des problèmes complexes entiers demeurent, encore, non résolus, où ces Présidents prédateurs utilisent la force, que le débat qui tient compte des revendications concrètes, pour lutter contre la pauvreté et les conflits sociaux à caractère politique. Résultat, une catastrophe s'installe dans la durée. Appolinaire Noël KOULAMA, votre animateur de ce forum, a sélectionné pour vous deux articles ( joints ci-dessous), et deux pays (le Congo-Brazzaville et le Nigeria), deux réalités tout à fait différentes, mais qui aboutissent, toutes les deux dans le fond, à l'appauvrissement des économies, comme si l'or noir est une malédiction. Bonne lecture à tous ! Appolinaire Noël KOULAMA Groupe Africdossier Note : Les titres de chaque article sont du Groupe Africdossier Vous pouvez lire : « Les Effets Pervers de l'Or Noir », un article de la rédaction Africdossier _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ PETROLE AU CONGO-BRAZZAVILLE : QUELS CONTRASTES SOCIAUX ET ECONOMIQUES ? Syndicats et associations de défense des droits des consommateurs dénoncent le renchérissement des prix des produits pétroliers, ainsi que des pénuries récurrentes de carburant malgré une production nationale couvrant largement les besoins du pays. Les Congolais ont connu des moments difficiles ces derniers temps du fait conjugué de la hausse des prix et de la pénurie de carburant entraînant une forte inflation à travers le pays. Le litre d'essence super à la pompe est passé de 500 francs CFA à 1000 francs CFA, puis à 1500 francs CFA... Une situation plutôt difficile à comprendre pour les Congolais, d'autant que leur pays figure parmi les huit grands producteurs de pétrole du continent, selon l'Association des pays producteurs de pétrole d'Afrique (APPA). La production pétrolière du Congo, selon une estimation prévisionnelle fiable, devrait atteindre 93 millions de barils d'ici la fin de l'année 2008, contre un peu plus de 80 millions de barils par an ces dernières années. « Malgré la hausse vertigineuse du baril qui avait atteint le taux record de 140 dollars sur le marché international, les Congolais n'ont rien tiré de cette hausse. » Les syndicats et les associations de défense des droits des consommateurs attribuent principalement deux causes à la hausse des prix et à la pénurie des produits pétroliers : la première raison serait liée à une mauvaise politique de redistribution de la production nationale, puisque la plus importante quantité, soit plus des 2/3 de la production, est exportée. La seconde raison serait liée à une politique fiscale lourde, puisque l'on comptabiliserait pratiquement une dizaine de taxes sur les produits pétroliers. Conséquence de cette lourde taxation, le marché noir s'est fortement développé, en l'occurrence, dans la ville de Pointe-Noire, la métropole économique qui concentre les principaux champs pétrolifères du pays, ainsi qu'à Brazzaville, la capitale qui représente la moitié des besoins nationaux en produits hydrocarbures. EXIGENCE DE LA BONNE GOUVERNANCE. Ces dernières semaines, les stations-service ont été sevrées de carburant, faisant ressortir du « maquis » les revendeurs de produits pétroliers à la criée, les « Kadhafi », qui se sont livrés à la spéculation. De quoi amplifier le courroux des Congolais, d'autant que le gouvernement ne donne aucune explication pour justifier cette hausse. Face à ce que les organisations de la société civile qualifient « d'inacceptable », la coalition « Publiez ce que vous payez » est montée au créneau pour dénoncer la mauvaise gestion de la manne pétrolière, soulignant que « malgré la hausse vertigineuse du baril qui avait atteint le taux record de 140 dollars sur le marché international, les Congolais n'ont rien tiré de cette hausse ». La société civile, qui veut savoir « où vont les surplus occasionnés par la flambée des prix du baril de pétrole », milite d'ailleurs pour qu'un audit soit réalisé sur l'épargne budgétaire dans le compte ouvert depuis quelques années à la Banque centrale, et où il n'y aurait que 139 millions d'euros. Malgré ce contraste, le chef de l'Etat congolais Denis Sassou Nguesso parle plutôt de « perspectives encourageantes » pour l'économie congolaise, dont le pétrole représente, de loin, la principale recette, soit 2/3 des ressources du pays. Après une chute consécutive en 2006 et 2007, où la production s'était stabilisée autour de 80 millions de barils par an, le brut congolais, a confirmé le chef de l'Etat, devrait connaître près de 35% d'augmentation cette année, avec la mise en production, en mai dernier, d'un nouveau champ pétrolier à Moho Bilondo, dans le sud du pays, et dont l'exploitation est assurée par la société française Total & EP. Véritable mamelle nourricière, le Congo attend cette année grâce au pétrole un taux de croissance réel moyen de 9% du produit intérieur brut (PIB), contre 3,7% il y a dix ans. Auteur : Achille MBog PIBASSO, Douala au Cameroun Publié le : 19 octobre 2008 Rubrique : Afrique-économie Source : Les Afriques _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ NIGERIA : LA CRISE DE DELTA RENFORCE LA CRISE SOCIALE ET ECONOMIQUE. Tout le potentiel pétrolier du Nigeria n'approvisionne pas les marchés. La faute à une guérilla qui s'est enlisée dans le delta du fleuve Niger, mais qui paraît encore en mesure d'obtenir en partie justice pour les populations démunies de la région la plus riche du pays. La « guerre du pétrole » du MEND (Mouvement pour l'émancipation du delta du Niger), lancée le 14 septembre 2008, suite à des « attaques non provoquées », n'a duré qu'une semaine. Le 21 septembre, le mouvement de guérilla, qui revendique un meilleur partage des revenus pétroliers, a décrété un cessez-le-feu unilatéral, à la demande, dit-il, de chefs coutumiers et de responsables politiques du delta du Niger. Le MEND, qui fait un usage intensif d'Internet, a expliqué, dans un langage météorologique, qu'il « rétrogradait » la guerre du pétrole qui porte le nom de code « Ouragan Barbarossa » en état d'alerte dite « Vigilance tempête tropicale ». Le MEND, qui se fait le défenseur des Ijaw, une ethnie de 14 millions de personnes, pèse depuis son apparition en 2006 sur la production de pétrole du Nigeria, qui oscille entre 1,8 millions et 2 millions de baril-jour, alors qu'elle était, deux ans plus tôt, de 2,6 mbj. L'insécurité créée par la crise dans le Delta du Niger, avec des attaques, des enlèvements et des sabotages sur terre et en off-shore, ferait perdre, selon les estimations, un quart de la production quotidienne du pays. LES FRUITS DE LA REPRESSION : D'une certaine manière, le Nigeria fait les frais de la répression dont a été victime, dans les années 90, le MOSOP (Mouvement pour la survie du peuple Ogoni) qui militait, par des moyens pacifiques, contre les pratiques prédatrices de la Shell et du gouvernement fédéral (destruction de l'environnement, absence de redistribution de la rente). L'exécution en 1995 du leader de ce mouvement, Ken Saro Wiwa, a favorisé l'émergence de groupes radicaux en lutte contre les compagnies pétrolières et le gouvernement fédéral. Le pourrissement de la situation a provoqué des actions destinées à attirer l'attention internationale sur la crise au Delta qui se mêlent à des pratiques lucratives d'enlèvement touchant aussi bien des Nigérians que des expatriés travaillant pour les entreprises pétrolières. Des spécialistes relèvent que le MEND, qui n'est pas le seul groupe armé du Delta, ne contrôle pas toutes les actions menées par ses troupes. Beaucoup de ses membres se livrent à du banditisme pur et simple, d'où la tendance du gouvernement fédéral à assimiler le MEND à un mouvement de brigandage criminel. A cela se greffe un trafic illégal, qui serait le fait d'hommes politiques influents et qui porterait sur quelque 80 000 barils-jour. La « guerre du pétrole », annoncée le 14 septembre, faisait craindre une extension du champ d'action du MEND, qui ciblait jusque-là la filiale locale de Shell, à d'autres compagnies étrangères comme l'italienne Agip ou l'américaine Chevron. Le cessez-le-feu unilatéral décrété par le MEND a fait baisser la tension. UN KIMBERLY POUR LE PETROLE VOLE ? Des analystes relient les dernières actions du MEND à un marchandage politique avec le gouvernement d'Abuja, qui a décidé de la création d'un ministère pour le delta du Niger. A l'évidence, il s'agit pour le président Yar'Adua d'avoir une prise directe dans l'affectation des ressources pour la région du delta, où les frustrations de la population expliquent largement le développement de la pratique du rapt et des sabotages des installations pétrolières. « Le Ministère coordonnera nos efforts pour relever les défis que présentent le développement des infrastructures, la protection de l'environnement et l'affectation de jeunes à des postes de responsabilité dans la région » a déclaré le président. Cette volonté affichée de prendre en charge les frustrations réelles des populations du delta s'accompagne d'un appel du gouvernement d'Abuja à la mise en place, sur le modèle du processus de Kimberley pour le diamant, d'un mécanisme contre la prolifération du « pétrole du sang » ou « blood oil ». L'appel a été lancé le 11 septembre, lors d'une conférence ouest-africaine sur la transparence dans les transactions pétrolières. Le parallèle entre les diamants, qui ont alimenté les guerres civiles au Liberia et en Sierra Leone, et le pétrole, volé dans le delta du Niger, est significatif. A New York, où il assiste à l'assemblée générale de l'Onu, le ministre des Affaires étrangères Ojo Maduekwe à redemandé une criminalisation internationale de l'achat du brut volé. Encore faut-il convaincre les populations du delta qu'elles gagneront au change. Auteur : Sana HARB, Alger en Algérie Publié le : 19 octobre 2008 Rubrique : Afrique-économie Source : Les Afriques _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Note : Les titres de chaque article sont du Groupe Africdossier Vous pouvez lire : « Les Effets Pervers de l'Or Noir », un article de la rédaction Africdossier -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at gmail.com Tue Oct 21 02:25:19 2008 From: protected at gmail.com (Sylvain Ndong) Date: Tue, 21 Oct 2008 02:25:19 -0400 Subject: [BDPalabres] TR: LA FRANCE A FRIC EN VIDEO. Message-ID: ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ -------------- section suivante -------------- -----Message d'origine----- De la part de Groupe Africdossier Envoyé : lundi 20 octobre 2008 20:05 À : Africdossier Objet : LA FRANCE A FRIC EN VIDEO. LA FRANCE A FRIC EN VIDEO. Nous connaissons, La France-Afrique La Françafrique Découvrons la France à Fric, au moyen d’un tube critique sur les rôles De la France en Afrique. Attention, les musiciens ne sont pas des noirs, mais des blancs. Pour voir et écouter la France à Fric, cliquez sur : http://www.youtube.com/watch?v=SUx8Kyc_04w EN AVANT GOÛT: EXTRAIT DE LA CHANSON FRANCE A FRIC. Allons enfants de la patrie Il est temps d'apprendre la vrai histoire Celle qui encore aujourd'hui Ramène des milliards d'euros aux pouvoirs Afrika Afrika La France t'aime Afrika Afrika La France te ken Afrika Afrika ce continent saigne Afrika Afrika il y a trop de problème France mon pays mais pas mes atouts En soutenant le Soudan ou le Zaïre Mobutu France mon pays mais pas mon combat J'n'ai pas tué abdala ni soutenu Eyadema Ni le Tchad de Déby pour l'clan des Zaghawas J'ai pas mis au Cameroun en place Paul Biya J'décimme pas la forêt comme le groupe Bolloré Et j'n'ai aucun intérêt dans l'génocide rwandais G. L. N. F. tiens d'autres illuminazi à la tête de Elf D.G.S.E. on a aussi notre C I A pour qu'ils se tiennent mieux On me parle d'immigration mais jamais de la BNP De la Société Générale ou du crédit Lyonnais Qui fond des millions d'euros en Afrique sur le pétrole Anéantissent le Congo d'autre le Sierra Leone L'indépendance de l'Afrique personne n'en veut Surtout pas les démocratie d'Europe qui ferment les yeux La banque Conti au Luxembourg affilié à Paris Bas Avait comme client Houphouet Boigny ou Bokassa Dirigé par Nadhmi auchi pote de Pasqua C'est banque à financé Radio qui tuas rwanda Eh Négro c'est Fonky Babtout qui rappe l'infos Elevé au poulet braisé sauce mafi de Bamako Charles de Gaule donna l'indépendance à Afrika Mais mis en place Jacques Fauccart qui les niquas Me raconte pas tes histoires je sais de quoi j'parle Trafiques de femme d'armes trafique de came Tu veux de la poésie écoute mon flow Ici c'est Rockin Squat le relais d'l'info Les Mittérants on toujours cautionné les dictatures Celles de Sassou Nguesso où celle d'autre ordures O.T.A.N. on dirait qu'ils sont tous de mèche pour qu'l'Afrique saigne Forestiers Rougier l'exploitation du bois continue de la tuée Pour voir et écouter la France à Fric, cliquez sur : http://www.youtube.com/watch?v=SUx8Kyc_04w -------------- section suivante -------------- ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org From protected at hotmail.com Tue Oct 21 11:05:14 2008 From: protected at hotmail.com (oscar kombila) Date: Tue, 21 Oct 2008 11:05:14 -0400 Subject: [BDPalabres] TR: LA FRANCE A FRIC EN VIDEO. Message-ID: > To: bdpalabres at bdpgabon.org > From: protected at gmail.com > Date: Tue, 21 Oct 2008 02:25:19 -0400 > Subject: [BDPalabres] TR: LA FRANCE A FRIC EN VIDEO. > > From protected at aol.com Tue Oct 21 11:06:25 2008 From: protected at aol.com (Patit Pierre) Date: Tue, 21 Oct 2008 11:06:25 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : 2AEG (Aide et Action Pour les Enfants du Gabon) Message-ID: mais oui , mais c est bien sur qu elle arnaque mazouna , miang , miang , From protected at orange.fr Tue Oct 21 11:09:44 2008 From: protected at orange.fr (paulinfo) Date: Tue, 21 Oct 2008 11:09:44 -0400 Subject: [BDPalabres] LE CAPITALISME TOUCHE T-IL A SA FIN (ARTICLEDE LE MONDE) Message-ID: La creation statutaire de la FED en 1913 a été la porte ouverte a toutes les dominations aux USA et dans le Monde toutes les manipulations ont été possibles y compris actuelleemnt par une prolifération de dollars papier non indexé sur des valeurs réelles l'or par ex----ben slomo bernanke se sert aussi de cette puissance a des fins dee guerre de type religieuse- Original Message ----- From: "Christian MAYANDJI" To: Sent: Sunday, October 19, 2008 2:59 PM Subject: [BDPalabres] LE CAPITALISME TOUCHE T-IL A SA FIN (ARTICLEDE LE MONDE) From protected at bdpgabon.org Tue Oct 21 11:16:14 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Tue, 21 Oct 2008 11:16:14 -0400 Subject: [BDPalabres] ROMAN: Le chant des chimpanzés (Auteur: Daniel Mengara) Message-ID: Le chant des chimpanzés Daniel Mengara Le chant des chimpanzés est le récit d’un jeune garçon de dix ans qui, caché sous un lit, voit sa mère et ses deux petites sÅ“urs sauvagement assassinées par des soldats venus nuitamment arrêter son père. Ayant par miracle échappé aux soldats, le jeune garçon découvre dix ans plus tard que son père est toujours vivant, quoique gardé secrètement prisonnier dans les geôles du Grand Camarade Président Trebla Dranreb Ognob, un dictateur sanguinaire qui règne d’une poigne de fer sur le pays imaginaire de Bibulu depuis quarante ans. S’ensuit alors un échange épistolaire clandestin entre père et fils qui mènera peu à peu, au travers de réflexions et de questionnements philosophiques, à une prise de conscience par le jeune homme des grands maux culturels et politiques qui ruinent l’Afrique. A la fin, au moment où la tension monte pour révéler un pays dévasté par les turbulences révolutionnaires, un seul choix s’impose au peuple : le chant des chimpanzés. Le chant des chimpanzés offre au lecteur un nouveau regard sur le continent africain. C’est un regard qui, sans ambages, décortique et illumine les errements despotiques qui, en Afrique postcoloniale, ont condamné les peuples et les nations à des misères inexplicables. C’est enfin un regard qui, au travers d’un récit violent animé par un style d’écriture brutal et subversif, accuse, condamne et se porte résolument vers l’avenir. INFORMATION ACHAT Editions L’Harmattan, ISBN : 978-2-296-03524-9 - Publication octobre 2008 • 244 pages - 22 Euros Alapage.com, ISBN : 978-2-296-03524-9 - Publication octobre 2008 • 244 pages - 20,90 Euros Amazon.Fr, ISBN : 978-2-296-03524-9 - Publication octobre 2008 • 244 pages - 20,90 Euros LIRE LA SUITE: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/10/21/gabon-nouveau-roman-le-chant-des-chimpanzes-auteur-daniel-mengara/ From protected at europcar.com Tue Oct 21 17:17:31 2008 From: protected at europcar.com (Rodrigue Angoue) Date: Tue, 21 Oct 2008 17:17:31 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: ROMAN: Le chant des chimpanzés (Auteur: Daniel Mengara) Message-ID: Toutes mes félicitations cher compatriote pour cette oeuvre que je compte me procurer dans les prochains jours. Patriotiquement, Rodrigue ANGOUE MALEKOU. -----Message d'origine----- De : bdpalabres-bounces at bdpgabon.org [mailto:bdpalabres-bounces at bdpgabon.org] De la part de BDP-Gabon Nouveau Envoyé : mardi 21 octobre 2008 17:16 À : bdpalabres at bdpgabon.org Objet : [BDPalabres] ROMAN: Le chant des chimpanzés (Auteur: Daniel Mengara) From protected at yahoo.fr Sat Oct 25 00:31:25 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Sat, 25 Oct 2008 00:31:25 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. Message-ID: Cher webm, Je voudrais espérer que vous publierez également ma reponse au Professeur Fweley Diangitukwa avec lequel je pense que nous pourrons développer des échanges plus interessants. Il participe à une conférence le samedi à Genève à laquelle il invite aussi des gabonais. Je vous remercie par avance pour cette quête équilibre.Salutations cordiales MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Mar 21.10.08, Afrique Nouvelle a écrit : De: Afrique Nouvelle Objet: [BDPalabres] Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Mardi 21 Octobre 2008, 8h18 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. 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Appolinaire Noël KOULAMA, j'affirme que le pétrole est, dans la mesure où il ne contribue pas au développement du continent, synonyme de malédiction, car il est source de conflits, d'exploitation éhontée, de pillage et de mauvaise gestion. Certains pays africains qui n'ont pas de pétrole pratiquent une "bonne gouvernance" dans le sens d'une meilleure gestion des biens publics que les pays qui en ont. Le Gabon n'a pas suivi un rythme de développement comparable à la quantité de pétrole extrait de ce pays. Le pétrole gabonais a plus enrichi la compagnie Total/ELF et les autorités politiques gabonaises que le peuple gabonais dans son ensemble. De quel côté vous situez-vous, celui du peuple gabonais qui souffre ou du côté du pouvoir ? Je reviendrai vers vous très prochainement. Fweley Diangitukwa Politologue et écrivain congolais (RDC), auteur des ouvrages suivants aux éditions L'Harmattan : - "Qu'est-ce que le pouvoir ?", 2004 - "Géopolitique, intégration régionale et mondialisation", 2006 - "Le règne du mensonge politique en RDC. Qui a tué Kabila ?", 2006 - "Migrations internationales, codéveloppement et coopération décentralisée", avril 2008 - "Les fraudes électorales. Comment on recolonise la RDC", 2007 etc. ----Message d'origine---- De: cmayandji at yahoo.fr Date: 19.10.2008 18:46 À: Copie: "Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau", Objet: Re : LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. Cher Appolinaire Noël KOULAMA, Je crois pas que le pétrole, pas plus que les autres ressources des activités d'extraction, soit une quelconque malédiction pour l'Afrique. Je suis Gabonais né à Port-Gentil, la ville du pétrole et, j'ai consacré une part non négligeable à l'étude des activités d'extraction dans le cadre de recherches en Histoire économique. J'ai démarré mon activité de recherche avec la même opinion que la votre. Mais en identifiant les dysfonctionnements spécifiques de l'économie gabonaise - sans doute comparable à celle du Congo et d'autres pays africains - j'ai réalisé que le modèle économique utilisé par les entreprises d'extraction pétrolière et minière pour valoriser et commercialiser l'objet principal de leurs activités aurait pu très rapidement servir d'exemple à nos Etats respectifs, à nos collectivités territoriales et même aux candidats nationaux à l'initiative privé pour développer des secteurs d'activités parallèles. Vous avez sans doute entendu parler la démarche du benchmarking en management et en marketing. Les entreprises spécialisées dans l'activité pétrolière pourrait être le modèle idéal d'inspiration. En réalité, que font ces entreprises? Elles ont identifié un produit d'intérêt stratégique à l'échelle internationale. Elles savent que - compte tenu du modèle de production actuelle fortement dependante de l'énergie produite par des combustibles rares ou d'accès difficile - les économies nationales des pays industriels aussi bien que des pays en développement sont en position de forte demande. Elles ne font qu'extraire la ressource - sous forme de produit brut - là où les conditions de fournitures sont les plus favorables et vont la livrer - sous forme de produits finis - là où la demande est à la fois la plus solvable et forte. Il n'y a rien d'étrange à cela même si nous nous sentons particulièrement concernés et lésés. peut - être pouvions nous le faire nous-même avec cette ressource. Sinon et à defaut, nous pouvons nous en inspirer pour selectionner d'autres ressources à partir desquelles nous pouvons créer d'autres filières dont le fonctionnement peut être calqué sur le modèle d'organisation : collecter la ressource - sous forme de produit brut - dans les conditions les plus favorables, selectionner un marché demandeur et solvable, assurer la livraison dans des condtions aussi favorables. le reste pourrait relever de la stratégie de financement de l'investissement, de la gestion du cycle et des risques d'exploitation de la filière considérée, ainsi que de l'optimisation de la trésorerie générée par le retour sur investissement. Comment procèdent ces entreprises ? En fait - contrairement l'image qu'elles véhiculent et à nos voeux de favoriser l'implantation des industries industriallisantes - l'activité de ces entreprises n'est pas industrielle. Elles en ont le mode de fonctionnement pour les aspects relevant du tertiaire et de la gestion logistique. Elles évitent de s'investir dans des activités de transformation lourdes ou raffinés dans les pays où les conditions d'exploitation - notamment les coûts - sont difficiles à maîtriser ou à rentabiliser sur le long terme, les pays éloignés des marchés cibles ou susceptibles de générer des doublons avec des unités présentant des meilleures conditions d'exploitation. L'essentiel de leurs investissements immobilisés - en dehors de toute demande pressante - consiste en des batiments administratifs imposants et facilement reconvertibles en centre d'affraires en cas de départ ou en entrepôts abritant le matériel de recherche ou d'extraction et facilement démontable pour être projeté sur un autre théatre d'opérations. le métier de ces entreprises est celui d'intégrateur d'activités : elles font appel à d'autres entreprises pour réaliser les opérations conçues par elles et placées sous leurs contrôle. Les activités de Bouyghes et de Bolloré relèvent de la même logique d'organisation. Les principaux facteurs clé de succès de ces entreprises sont : - la qualité de la signature garantie initialement par les Etats des pays d'origine, puis par l'épargne générée par les activités précédentes et placée et enfin des sociétés d'assurances pour la couverture de différentes classes de risques; la qualité de signature sert à lever les ressources financières au près des apporteurs de capitaux (marchés boursiers, institutions bancaires, sociétés financières..) ; - un réseaux de fournisseurs, de prestataires et de filiales qui leur permettent de sous-traiter la plus grande partie de leurs activités ainsi que de variabiliser les coûts du donneur d'ordre ou de la société-mère ; - un catalogue précis et renouvellé des équipements, consommables ainsi que des nouvelles technologies; - un repertoire affiné des compétences nécessaires aux ressources humaines affectées à la gestion des différents niveaux d'activités; - une bonne connaissance des marchés-cibles permettant d'anticiper l'évolution des réseaux et différents débouchés commerciaux, donc d'assurer l'autofinancement des activités ; - d'un réseau d'ingenierie interne ou externalisée qui conçoit le savoir-faire et contrôle l'exécution des opérations, gère la mémoire technique, réalisent les montages - financiers, juridiques et techniques pour le compte de l'entreprise; - une capacité de communication qui leur permettent de développer leur notoriété ainsi qu'une image favorable - pour impression - aussi bien au près des dirigeants pourvoyeurs de nouveaux marchés, des ressources humaines candidates ou employées, qu'au près des populations bénéficiaires de leurs implantation. Nous pouvons inclure les opérations de prise en charge des soins de santé, d'hébergement et de restauration ou des actions sociales et et de loisirs dans ces opérations de communication. - un levier de mobilisation d'unités de sécurité opérationnelle et de gestion de système d'information chaque fois que les conditions juridiques sont réunis pour leur permettre d'intervenir directement ou par externalisation. Je crois que c'est à ce niveau que les Etats-hotes - en concurrence avec les sociétés privées - doivent justifier leur revenus. Ces entreprises gèrent essentiellement des fonctions managériales (finances, ressources humaines, communication, ingenierie, commercialisation) . Pour les autres facteurs clé de succès, Elles ont pris l'habitude d'externaliser la gestion des fonctions correspondantes notamment dans le cadre de certains processus principaux ou de support. Les revenus tirés des activités d'une entreprise sont distribués entre quatre catégories d'acteurs en échanges des prestations fournies ou des contraintes juridiques : l'Etat, les actionnaires, les fournisseurs de biens et prestations, les ressources humaines, le réseaux commercial. En fait, nous agissons sur ces entreprises en exerçant une pression à travers les Etat agissant en tant que puissance publique ou en tant qu'actionnaires. Nous essayons de nous imposer en tant que ressources humaines en essayant de la rendre la plus locale possible. Pourtant une analyse de la valeur de ces entreprises peut montrer que l'essentiel de la valeur créée dépent davantage de l'intervention des fournisseurs des biens et des prestations ainsi que de l'efficacité du réseau commercial sur les marchés-cibles. Or ces deux catégories sont controlées pratiquement à cent pour cent par des opérateurs de nationalité différente des pays- hotes. Bien que la repartition de la valeur créée par les entreprises soit contractuelle et non mécanique, on peut aisément constater que la plus grande partie de la valeur créée va à ceux qui en apporte la plus grande contribution. C'est à dire au réseau commercial, aux fournisseurs, aux actionnaires publiques et privés, à l'Etat, aux ressources humaines expatriées et accessoirement, locales. Lorsqu'on observe l'activité pétrolière sous cet angle, on peut se rendre compte que notre malédiction n'est pas de posséder le pétrole, il est plutôt de ne pas savoir l'exploiter, ou du moins de ne pas savoir contôler sa valorisation. l'action que les représentants les plus actifs de nos populations mènent n'et peut-être pas vain, mais il me paraît au moins insuffisant sinon mal orienté. Dans tous les pays ayant accepté le mode de régulation libérale - ou à l'extrême capitaliste - la valeur créée revient en priorité aux propriétaires et promoteurs de l'activité, ensuite à ceux qui y ont apporté la plus forte contribution. Le combat que mène nos populations risquent de ne pas être longtemps légitime à moins que le pouvoir de nuisance occasionné par l'usage des armes ne puissent inverser la tendance. Dans ce cas, les revenus distribués à la population viendrait remunérer le prix de la sécurité et non le financement d'une opération en vue de re-équilibrer la repartition des richesses en faveur des plus pauvres et précaires. Il faut bien comprendre que dans la mentalité capitaliste, la pauvreté et la précarité n'ont jamais été un facteur d'attraction de revenus, mais plutot de rejet. Au regard de ce que j'ai exposé plus haut, il me parait important de bien repositionner notre présence dans les différents niveaux des filières d'activités car le rapport de force physique ne sera pas toujours un argument durable dans le contexte capitaliste. A quel titre les populations locales souhaitent-elles tirer profit des retombées du pétrole? Serait ce en tant que propriétaire? Cette position pourrait être légitime si l'on privilégie - en antropologie juridique - le droit du premier occupant au dépens du droit du plus fort ou droit positif (droit transmis par l'administration colonial aux Etats post-coloniaux). Dans ce cas et surtout pour que le principe prenne la force d'une loi, et non d'une règle exceptionnelle en faveur de certaines populations ou catégories socio-professionnelles, il faudrait rechercher la reforme du système foncier afin que les populations locales puissent avoir enfin des droits collectifs ou individuels chaque fois qu'une entreprise se propose de développer une activité économique dans leur localité et, même, en toute circonstances. Une telle mesure verrait naître une multiplicité de propriétaires auxquelle les entreprises - respectant les règles du libéralisme ou du capitalisme - devraient rendre compte. Cette mesure ne serait pas iconoclaste. Les citoyens américains en ont bénéficié au moment de l'exploitation du pétrole. Les citoyens indiens d'amérique utilisent cette disposition chaque fois qu'une société se propose d'exploiter une quelconque opportunité dans leurs reserves. Dans un lieu moins attendue - du fait de la représentation qu'on a de l'attachement à une vision traditionnelle de la vie par les aborigènes d'australie - une entreprise française spécialisée dans l'exploitation de l'uranium s'est vue obligé de payer des redevances autant au gouvernement qu'aux habitants de la reserves aborigène. la présentation d'une revendication sous cette forme permettrait de lever une mobilisation nationale alors qu'aujourd'hui ces reventications ressemblent plutôt à des revendications identitaires ou corporatistes. En attendant qu'une telle reforme se mettent en oeuvre, il convient que la pression que les populations puissent exercer sur les entreprises d'extration serait leur imposer de faire systématiquement appel un opérateur local pour les fournitures de biens et prestations ou dans la phase de développement du réseau commercial. Il ne s'agit nullement ici d'exclure les opérateurs expatriés des opérations de sous-traitance mais de les obliger à travailler en binômes avec des opérateurs nationaux. l'intérêt pour ces opérateurs nationaux serait alors de recevoir un revenu à capitaliser pour investir ensuite sur le même métier que l'opérateur expatrié ou pour se déployer vers d'autres activités. L'autre intérêt serait également le bénéfice des effets d'apprentissage : en étant impliqué dans la gestion des mêmes activités que l'opérateur expatrié, l'opérateur local ne peut que s'habituer aux usages du secteur d'activité et développer des compétences transférables vers d'autres activités. Nous ne parlerons pas des ressources humaines où des actions se mettent en oeuvre selon différentes modalités et en fonction de la pression exercée par l'Etat-hote ainsi qu'en fonction des besoins des entreprises en compétences. Voila, je vous ai décliné les raisons pour lesquelles je pense que c'est l'incapacité des opérateurs nationaux à fournir des offres compétitives aux entreprises d'extraction pétrolière et minière que l'exploitation du pétrole elle- même. Je crois au contraire que cette activité peut être une formidable opportunité d'apprentissage et d'ouverture de nos activités vers des marchés extérieurs dans le cadre d'un échange équilibré. Je m'excuse de ne pas avoir été complet dans ma présentation mais n'hésitez pas à souligner des points qui nécessitent des compléments de présentation. Merci pour votre attention et salutations cordiales. MANGASS TTCChristian MAYANDJIDémarches-GestionFINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATIONVEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLESEUROPE - AFRIQUE --- En date de : Dim 19.10.08, Groupe Africdossier a écrit : De: Groupe Africdossier Objet: LA MALEDICTION PERSISTANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. À: africdossier at googlegroups.com Date: Dimanche 19 Octobre 2008, 12h55 LA MALEDICTION PERSISITANTE DU PETROLE EN AFRIQUE. « Les Effets Pervers de l'Or Noir » en Afrique, ne peut être exclut des choix politiques et économiques des Présidents prédateurs de l'or noir et de sa manne, au détriment des peuples et des tribus. Résultat : Pauvreté et troubles sociopolitiques envahissent les sociétés productrices du pétrole. Ainsi, dans l'espace économique africain, des problèmes complexes entiers demeurent, encore, non résolus, où ces Présidents prédateurs utilisent la force, que le débat qui tient compte des revendications concrètes, pour lutter contre la pauvreté et les conflits sociaux à caractère politique. Résultat, une catastrophe s'installe dans la durée. Appolinaire Noël KOULAMA, votre animateur de ce forum, a sélectionné pour vous deux articles ( joints ci-dessous), et deux pays (le Congo-Brazzaville et le Nigeria), deux réalités tout à fait différentes, mais qui aboutissent, toutes les deux dans le fond, à l'appauvrissement des économies, comme si l'or noir est une malédiction. Bonne lecture à tous ! Appolinaire Noël KOULAMA Groupe Africdossier Note : Les titres de chaque article sont du Groupe Africdossier Vous pouvez lire : « Les Effets Pervers de l'Or Noir », un article de la rédaction Africdossier _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ PETROLE AU CONGO-BRAZZAVILLE : QUELS CONTRASTES SOCIAUX ET ECONOMIQUES ? Syndicats et associations de défense des droits des consommateurs dénoncent le renchérissement des prix des produits pétroliers, ainsi que des pénuries récurrentes de carburant malgré une production nationale couvrant largement les besoins du pays. Les Congolais ont connu des moments difficiles ces derniers temps du fait conjugué de la hausse des prix et de la pénurie de carburant entraînant une forte inflation à travers le pays. Le litre d'essence super à la pompe est passé de 500 francs CFA à 1000 francs CFA, puis à 1500 francs CFA... Une situation plutôt difficile à comprendre pour les Congolais, d'autant que leur pays figure parmi les huit grands producteurs de pétrole du continent, selon l'Association des pays producteurs de pétrole d'Afrique (APPA). La production pétrolière du Congo, selon une estimation prévisionnelle fiable, devrait atteindre 93 millions de barils d'ici la fin de l'année 2008, contre un peu plus de 80 millions de barils par an ces dernières années. « Malgré la hausse vertigineuse du baril qui avait atteint le taux record de 140 dollars sur le marché international, les Congolais n'ont rien tiré de cette hausse. » Les syndicats et les associations de défense des droits des consommateurs attribuent principalement deux causes à la hausse des prix et à la pénurie des produits pétroliers : la première raison serait liée à une mauvaise politique de redistribution de la production nationale, puisque la plus importante quantité, soit plus des 2/3 de la production, est exportée. La seconde raison serait liée à une politique fiscale lourde, puisque l'on comptabiliserait pratiquement une dizaine de taxes sur les produits pétroliers. Conséquence de cette lourde taxation, le marché noir s'est fortement développé, en l'occurrence, dans la ville de Pointe-Noire, la métropole économique qui concentre les principaux champs pétrolifères du pays, ainsi qu'à Brazzaville, la capitale qui représente la moitié des besoins nationaux en produits hydrocarbures. EXIGENCE DE LA BONNE GOUVERNANCE. Ces dernières semaines, les stations-service ont été sevrées de carburant, faisant ressortir du « maquis » les revendeurs de produits pétroliers à la criée, les « Kadhafi », qui se sont livrés à la spéculation. De quoi amplifier le courroux des Congolais, d'autant que le gouvernement ne donne aucune explication pour justifier cette hausse. Face à ce que les organisations de la société civile qualifient « d'inacceptable », la coalition « Publiez ce que vous payez » est montée au créneau pour dénoncer la mauvaise gestion de la manne pétrolière, soulignant que « malgré la hausse vertigineuse du baril qui avait atteint le taux record de 140 dollars sur le marché international, les Congolais n'ont rien tiré de cette hausse ». La société civile, qui veut savoir « où vont les surplus occasionnés par la flambée des prix du baril de pétrole », milite d'ailleurs pour qu'un audit soit réalisé sur l'épargne budgétaire dans le compte ouvert depuis quelques années à la Banque centrale, et où il n'y aurait que 139 millions d'euros. Malgré ce contraste, le chef de l'Etat congolais Denis Sassou Nguesso parle plutôt de « perspectives encourageantes » pour l'économie congolaise, dont le pétrole représente, de loin, la principale recette, soit 2/3 des ressources du pays. Après une chute consécutive en 2006 et 2007, où la production s'était stabilisée autour de 80 millions de barils par an, le brut congolais, a confirmé le chef de l'Etat, devrait connaître près de 35% d'augmentation cette année, avec la mise en production, en mai dernier, d'un nouveau champ pétrolier à Moho Bilondo, dans le sud du pays, et dont l'exploitation est assurée par la société française Total & EP. Véritable mamelle nourricière, le Congo attend cette année grâce au pétrole un taux de croissance réel moyen de 9% du produit intérieur brut (PIB), contre 3,7% il y a dix ans. Auteur : Achille MBog PIBASSO, Douala au Cameroun Publié le : 19 octobre 2008 Rubrique : Afrique-économie Source : Les Afriques _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ NIGERIA : LA CRISE DE DELTA RENFORCE LA CRISE SOCIALE ET ECONOMIQUE. Tout le potentiel pétrolier du Nigeria n'approvisionne pas les marchés. La faute à une guérilla qui s'est enlisée dans le delta du fleuve Niger, mais qui paraît encore en mesure d'obtenir en partie justice pour les populations démunies de la région la plus riche du pays. La « guerre du pétrole » du MEND (Mouvement pour l'émancipation du delta du Niger), lancée le 14 septembre 2008, suite à des « attaques non provoquées », n'a duré qu'une semaine. Le 21 septembre, le mouvement de guérilla, qui revendique un meilleur partage des revenus pétroliers, a décrété un cessez-le-feu unilatéral, à la demande, dit-il, de chefs coutumiers et de responsables politiques du delta du Niger. Le MEND, qui fait un usage intensif d'Internet, a expliqué, dans un langage météorologique, qu'il « rétrogradait » la guerre du pétrole qui porte le nom de code « Ouragan Barbarossa » en état d'alerte dite « Vigilance tempête tropicale ». Le MEND, qui se fait le défenseur des Ijaw, une ethnie de 14 millions de personnes, pèse depuis son apparition en 2006 sur la production de pétrole du Nigeria, qui oscille entre 1,8 millions et 2 millions de baril-jour, alors qu'elle était, deux ans plus tôt, de 2,6 mbj. L'insécurité créée par la crise dans le Delta du Niger, avec des attaques, des enlèvements et des sabotages sur terre et en off-shore, ferait perdre, selon les estimations, un quart de la production quotidienne du pays. LES FRUITS DE LA REPRESSION : D'une certaine manière, le Nigeria fait les frais de la répression dont a été victime, dans les années 90, le MOSOP (Mouvement pour la survie du peuple Ogoni) qui militait, par des moyens pacifiques, contre les pratiques prédatrices de la Shell et du gouvernement fédéral (destruction de l'environnement, absence de redistribution de la rente). L'exécution en 1995 du leader de ce mouvement, Ken Saro Wiwa, a favorisé l'émergence de groupes radicaux en lutte contre les compagnies pétrolières et le gouvernement fédéral. Le pourrissement de la situation a provoqué des actions destinées à attirer l'attention internationale sur la crise au Delta qui se mêlent à des pratiques lucratives d'enlèvement touchant aussi bien des Nigérians que des expatriés travaillant pour les entreprises pétrolières. Des spécialistes relèvent que le MEND, qui n'est pas le seul groupe armé du Delta, ne contrôle pas toutes les actions menées par ses troupes. Beaucoup de ses membres se livrent à du banditisme pur et simple, d'où la tendance du gouvernement fédéral à assimiler le MEND à un mouvement de brigandage criminel. A cela se greffe un trafic illégal, qui serait le fait d'hommes politiques influents et qui porterait sur quelque 80 000 barils-jour. La « guerre du pétrole », annoncée le 14 septembre, faisait craindre une extension du champ d'action du MEND, qui ciblait jusque-là la filiale locale de Shell, à d'autres compagnies étrangères comme l'italienne Agip ou l'américaine Chevron. Le cessez-le-feu unilatéral décrété par le MEND a fait baisser la tension. UN KIMBERLY POUR LE PETROLE VOLE ? Des analystes relient les dernières actions du MEND à un marchandage politique avec le gouvernement d'Abuja, qui a décidé de la création d'un ministère pour le delta du Niger. A l'évidence, il s'agit pour le président Yar'Adua d'avoir une prise directe dans l'affectation des ressources pour la région du delta, où les frustrations de la population expliquent largement le développement de la pratique du rapt et des sabotages des installations pétrolières. « Le Ministère coordonnera nos efforts pour relever les défis que présentent le développement des infrastructures, la protection de l'environnement et l'affectation de jeunes à des postes de responsabilité dans la région » a déclaré le président. Cette volonté affichée de prendre en charge les frustrations réelles des populations du delta s'accompagne d'un appel du gouvernement d'Abuja à la mise en place, sur le modèle du processus de Kimberley pour le diamant, d'un mécanisme contre la prolifération du « pétrole du sang » ou « blood oil ». L'appel a été lancé le 11 septembre, lors d'une conférence ouest-africaine sur la transparence dans les transactions pétrolières. Le parallèle entre les diamants, qui ont alimenté les guerres civiles au Liberia et en Sierra Leone, et le pétrole, volé dans le delta du Niger, est significatif. A New York, où il assiste à l'assemblée générale de l'Onu, le ministre des Affaires étrangères Ojo Maduekwe à redemandé une criminalisation internationale de l'achat du brut volé. Encore faut-il convaincre les populations du delta qu'elles gagneront au change. Auteur : Sana HARB, Alger en Algérie Publié le : 19 octobre 2008 Rubrique : Afrique-économie Source : Les Afriques From protected at yahoo.fr Sat Oct 25 00:34:08 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Sat, 25 Oct 2008 00:34:08 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Du Nouveau pour le site des 10 Gabonais de la Diaspora... Message-ID: Cher compatriote, Avant de traiter qui que ce soit de stupides, il vaut mieux nous dire le montant des ressources financières et/ou des investissements que vos "millionnaires" des USA et du Canada mobilisent en faveurs du Gabon. Je crois que ce site a été constitué pour identifier ceux qui, appelant au changement de comportement dans la diaspora gabonaise, militent pour arrêter la dérive politique et économique du Gabon et non pour faire la publicité de quelques individus certainement performants au plan économique, mais peu impliquées dans les questions de lutte contre la paupérisation des populations de leur pays. J'ai consulté plusieurs sites de fournitures industrielles du Canada, des USA et de l'Asie. Il est clair que les efforts que je préconise pour relancer certains secteurs de l'économie gabonaise sont plus faciles à réaliser depuis ces pays : plus grande facilité aux ressources financières, organisation logistique plus performante et à moindre coûts, plus grande diversités de biens industriels ou de produits de consommation courante à moindre cout ainsi que des intrants agricoles et matériel médicale, moindre contraintes administratives en matière de création d'entreprise et d'initiatives. Il appartient à nos compatriotes de ces pays d'en faire profiter les autres membres de la communauté gabonaise par le développement de réseaux d'activités. Tout le monde saura leur reconnaitre leurs mérites. Les richesses ne sont pas faites pour être étalées sans pudeur, autrement cela démontre une marque de mauvais goût. Cela ne sied pas à la posture de ces leaders auxquels vous vous intéressez. Il faut qu'ils se rendent utiles, sans pour autant verser dans certains aspects stériles ou théoriques du débat qui caractérise quelques fois nos forums..!!!! Merci de nous rappeler à l'ordre, en espérant que vous le fairez avec un peu plus de mesure à l'occasion de votre prochaine intervention. Dans l'attente, je vous adresse mes cordiales et patriotiques salutations. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Mar 21.10.08, MGD GABON a écrit : De: MGD GABON Objet: [BDPalabres] Re : Du Nouveau pour le site des 10 Gabonais de la Diaspora... À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Mardi 21 Octobre 2008, 8h23 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Vous etes stupides! connaissez vous tous les gabonais de la disporat? ceux qui sont multi-millionaires aux canada et aux usa, et qui ne sont pas dans vos stupidites? Les ignorants peuvent bien se delecter dans l'ignorance! 2008/10/16 Gabonais Diaspora ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. ___________________________________________________________ Chers compatriotes, Les temps approchent, où le Gabon fera son grand toilettage politique, dont le dernier remonte au 2 décembre 1967, date de la prise de fonction d'Albert Bernard (Omar) Bongo, l'actuel président de notre pays.. Pour ce grand rendez-vous, auquel tout citoyen gabonais devra prendre part, nous avons voulu sélectionner pour vous, comme cela a été fait par nos confrères de "Jeune Afrique", concernant les "100 hommes clé du Gabon", ceux de nos compatriotes "visibles", qui contribuent au rayonnement de notre Diaspora, hors du territoire national. Cette liste de compatriotes, régulièrement mis à jour, est désormais consultable sur un nouveau site Internet, plus accessible et offrant plus d'interactivité. Vous pourrez désormais poster vos commentaires. http://gabon.typepad.fr/ Nous vous souhaitons dores et déjà une bonne navigation. Le Collectif "Diaspora Gabonaise" From protected at hotmail.com Sat Oct 25 00:36:37 2008 From: protected at hotmail.com (patience ornella bayogha) Date: Sat, 25 Oct 2008 00:36:37 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Pourquoi continuer à aimer la France... Message-ID: il n'y a aucune raison la France est devenu un dépotoir, les noirs n'y sont pas tjrs les bienvenu pourtn c un peu grac à nos richess k leur pays évolu ils son raciste etc. la France n'est rien pour nous il son lache et s défil au moindre peti problème > To: bdpalabres at bdpgabon.org > From: protected at gmail.com > Subject: [BDPalabres] Pourquoi continuer à aimer la France... > Date: Sun, 19 Oct 2008 08:57:57 -0400 > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > - Envoyez vos messages en texte simple. HTML et pièces jointes (images, pages, fichiers) pas acceptés. > ___________________________________________________________ > From protected at yahoo.fr Sat Oct 25 00:39:12 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Sat, 25 Oct 2008 00:39:12 -0400 Subject: [BDPalabres] Ils l'ont fait un sérieux coup de pub Message-ID: Ils l'ont fait un sérieux coup de pub.... http://www.continentalnews.fr/ http://www.continentalnews.fr/actualite/afrique,115/ http://www.continentalnews.fr/actualite/afrique-centrale,63/ L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite From protected at yahoo.fr Sat Oct 25 00:39:58 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Sat, 25 Oct 2008 00:39:58 -0400 Subject: [BDPalabres] les fortunes en Afrique : état des lieux Message-ID: Tracfin, l’organisme antiblanchiment de Bercy, avait écrit au parquet à propos des dirigeants guinéens : "Les flux sont susceptibles de traduire le blanchiment d’un détournement de fonds publics". Quand à la famille Bongo, selon le Sénat américain, elle bénéficierait directement de 8,5 % du budget gabonais (110 millions de dollars par an), mais sans que cette «allocation présidentielle» ne figure dans les comptes de l’Etat. http://www.depresdeloin.eu/socialiste/restituer-aux-citoyens-africains-les-sommes-detournees.html L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite From protected at yahoo.fr Sat Oct 25 00:41:17 2008 From: protected at yahoo.fr (Ndong Mba Julio) Date: Sat, 25 Oct 2008 00:41:17 -0400 Subject: [BDPalabres] Des News...Encore un message de notre frangin Message-ID: Des News...Encore un message de notre frangin http://rousselot.blogs.continentalnews.fr/ From protected at aol.com Tue Oct 28 08:32:27 2008 From: protected at aol.com (Patitpierre) Date: Tue, 28 Oct 2008 08:32:27 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Pourquoi continuer à aimer la France... Message-ID: comment un individu peut t il salir une nation comme la françe qui eberge est nourir 100 fois plus de gabonais , que le gabon des francais ? ils sont des laches dit t il mais lui est une lamentable loque humaine vide de tout sauf de sa connerie est en plus il continue de creuser allor qu il a depasser le rédicule la françe te plait pas inbécile rentre au pays , nous ont y travaille ont respecte ceux qui nous respect ici les individu de ton espéce ne fond que de porter tort a notre pays , est à ces dirigeants ,PR From protected at aol.com Tue Oct 28 08:33:54 2008 From: protected at aol.com (Patitpierre) Date: Tue, 28 Oct 2008 08:33:54 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : les fortunes en Afrique : état des lieux Message-ID: pour un oeil qui voit tout tes loin du compt réel dargent detourner camarade , ecrire des mails qui non aucun sens utile a qu oi bon , va voir loculiste ! ou allor met une lunette de wc ? "opticien-ébéniste" sa te va ? From protected at hotmail.com Tue Oct 28 08:36:33 2008 From: protected at hotmail.com (Magloire Olympio) Date: Tue, 28 Oct 2008 08:36:33 -0400 Subject: [BDPalabres] Sylvanus Olympio: Père de la nation togolaise Message-ID: Sylvanus Olympio: Père de la nation togolaise (par de Godwin TETE) L'histoire du Togo. Quarante-cinq ans après l’inadmissible assassinat politique de Sylvanus Kwami Epiphanio Olympio, des Togolais se demandent encore à quelle valeur apprécier l’incontournable rôle joué par ce héros dans l’histoire de la République Togolaise. À cet égard, ceux qui lui sont les plus favorables parlent de « Père de l’indépendance togolaise ». Pour l’auteur du présent opuscule – témoin privilégié et actif de l’histoire contemporaine du Togo – Sylvanus K. E. Olympio est plus que cela. Pour Godwin Tété, cet homme est, assurément, le Père de la Nation togolaise elle-même. Pour asseoir cette assertion, l’auteur convoque les linéaments majeurs de la vie du héros en considération. Il remonte aux origines socio-biologiques, à l’environnement familio-politique, à la formation académique, à la carrière professionnelle de ce géant. Il revisite son parcours politique, son panafricanisme et son humanisme tout court. Il scrute les causes, les circonstances et les conséquences de sa tragique mort. Il rappelle son indélébile héritage politico-spirituel plus vivace que jamais à l’heure actuelle. L’auteur conclut, enfin, que Sylvanus K. E. Olympio mérite, plus qu’amplement, au Panthéon de la Terre de ses Aïeux, parmi tant d’autres héros, la place réservée au Père de la Nation togolaise. Il n’avait nullement besoin, pour cela, d’être un saint. Têtêvi Godwin TÉTÉ-ADJALOGO est né en 1928. Après des études à Lomé (Togo), à Paris et à Prague (Tchécoslovaquie), il est pendant vingt mois administrateur civil de la fonction publique togolaise. Suite à un stage de quatre mois à l’Institut de Développement Economique de la Banque Mondiale à Washington D.C., il sera, durant vingt et un ans fonctionnaire international des Nations Unies. Il a pris sa retraite en 1984. Il a été membre du Haut Conseil de la République (H.C.R.) togolaise (1991-1992). POUR COMMANDER cette Edition limitée Sylvanus Olympio: Père de la nation togolaise Editions L'HARMATTAN ISBN : 978-2-296-06507-9 Prix: 28,50 € Contacter l'auteur Mr Godwin Tété par email: tgtete at mageos.com par tél: (33) 06 63 13 16 01 From protected at yahoo.fr Tue Oct 28 08:37:51 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Tue, 28 Oct 2008 12:37:51 -0000 Subject: Sans objet Message-ID: Gabon : 13 crimes rituels en un mois Source : AFP Message-Id: Sender: Date: Tue, 28 Oct 2008 08:37:51 -0400 X-Mailman-Approved-At: Tue, 28 Oct 2008 08:44:28 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon : 13 crimes rituels en un mois X-BeenThere: bdpalabres at bdpgabon.org X-Mailman-Version: 2.1.11.cp2 Precedence: list Reply-To: Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau X-List-Received-Date: Tue, 28 Oct 2008 12:37:51 -0000 25/10/2008 | Mise à jour : 15:46 | Commentaires 2 From protected at yahoo.fr Tue Oct 28 08:38:39 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Tue, 28 Oct 2008 08:38:39 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon: 13 crimes rituels depuis septembre, selon une association Message-ID: Il y a 10 heures LIBREVILLE (AFP) — Treize crimes rituels ont été enregistrés au Gabon depuis le mois de septembre, ont affirmé des représentants de la société civile samedi à Libreville, dénonçant une augmentation de ces pratiques et une "banalisation" du phénomène par les autorités. "A Libreville, nous avons totalisé cinq cas, et à l'intérieur du pays, (...) huit cas depuis le mois de septembre", a déclaré lors d'une conférence de presse Jean-Elvis Ebang Ondo, président de l'Association de lutte contre les crimes rituels (ALCR). Ce chiffre pourrait cependant être en deçà de la réalité, l'ALCR ne disposant pas "d'antennes" dans tout le pays, a estimé M. Ebang Ondo, dont le fils de 12 ans a été enlevé, tué et mutilé en mars 2005. Le bilan a été établi sur la base d'informations recueillies par des membres de l'ALCR, a-t-il précisé, regrettant une "banalisation" du phénomène par les autorités. Selon des organisations non-gouvernementales (ONG), les crimes rituels sont pratiqués par des réseaux secrets, pour prélever du sang et certaines parties du corps des victimes (yeux, sourcils, oreilles, sexe, langue, lèvres, bouts de peau), censés offrir jeunesse, santé, richesse, réussite ou pouvoir. Les autorités gabonaises reconnaissent l'existence de crimes rituels mais estiment que leur nombre est bien moindre que celui avancé par les ONG. Interrogé sur le sujet par l'AFP en mars, le ministre de l'Intérieur André Mba Obame avait déclaré: "Ces crimes alimentent la rumeur. Mais les gens ont tendance à considérer chaque cadavre retrouvé, chaque corps un peu abîmé par la mer ou autre chose, comme un crime rituel". Marc Ona Essangui, de l'ONG Brainforest, a fustigé l'inertie de la justice face à ces crimes, ce "qui pousse les auteurs de ces actes à (les) perpétuer". A cause de cette impunité, "nous nous retrouvons dans une insécurité juridique", a-t-il accusé. "Les crimes rituels ont longtemps été dénoncés" au Gabon, mais "jamais élucidés", a souligné Georges Mpaga, président du Réseau des organisations libres de la société civile pour la bonne gouvernance au Gabon (ROLBG), suggérant notamment la création de "brigades d'éveil et de dénonciation".. "Le travail que nous menons nécessite beaucoup de prudence, parce que nous avons en face de nous un système bien organisé, qui nous tend des pièges tout le temps", a encore affirmé M. Ebang Ondo de l'ALCR. Récemment, le quotidien national L'Union a rapporté qu'une quinquagénaire a été tuée et "dépecée" dans un village du nord-ouest du Gabon. Les restes de son corps, auquel manquaient "certaines parties", ont été retrouvés le 13 octobre. L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite From protected at orange.fr Tue Oct 28 08:40:29 2008 From: protected at orange.fr (paulinfo) Date: Tue, 28 Oct 2008 08:40:29 -0400 Subject: [BDPalabres] suite.... Message-ID: ben slomo bernanke prepare la guerre...ISRAEL EST EN JEU From protected at yahoo.fr Tue Oct 28 08:41:26 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Tue, 28 Oct 2008 08:41:26 -0400 Subject: [BDPalabres] NOIR CANADA : UN LIVRE NÉCESSAIRE Message-ID: « L'Union africaine évaluait au même moment à 150 milliards $US la somme annuelle dont les sociétés occidentales privent les États africains en pratiquant l'évasion fiscale ». NOIR CANADA : UN LIVRE NÉCESSAIRE par Laurent Laplante* auteur, commentateur et analyste Nuit blanche, numéro 112, octobre, novembre, décembre 2008 À la lecture de Noir Canada, Pillage, corruption et criminalité en Afrique1, une épithète s'impose : livre nécessaire. Sa visée principale et son utilité virtuelle risquent pourtant de ne pas recevoir l'attention qu'elles méritent en raison de la poursuite lancée par Barrick Gold contre la maison d'édition Écosociété. Dans l'opinion, ce geste crée, en effet, l'impression qu'une certaine entreprise aurifère constitue la cible principale du livre, alors que les questions posées sont d'une autre ampleur et même d'une autre nature. Ne scruter que la conduite d'une société minière en particulier, ce serait faire l'impasse sur une hypothèse honteuse et sidérante : le Canada serait, comme marché boursier ouvert aux sociétés minières, un paradis fiscal où sont suspendues les exigences minimales de la transparence, de l'internalité des coûts, des responsabilités à l'étranger. Que tel soit l'enjeu, le livre l'affirme de façon explicite : « La réglementation stricte de l'activité minière canadienne à l'étranger doit nécessairement s'accompagner de mesures juridiques coercitives ». Il serait dommage que la réaction d'une entreprise induise le public, les médias et les partis politiques en tentation de myopie : la porosité des lois canadiennes est en cause autant et plus que le comportement d'une entreprise isolée. En ce sens, la poursuite enclenchée par Barrick Gold contre Écosociété peut faire diversion. Les chiffres regroupés par Alain Deneault et son équipe proviennent de centaines de sources convergentes ; ils posent durement le problème. Comment expliquer autrement que par le laxisme de la législation canadienne l'hallucinante popularité du TSX de Toronto auprès des entreprises minières ? En libérant les sociétés minières de toute contrainte, le Canada, qui se décrit pourtant, de Paul Martin à Stephen Harper en passant par Jean Chrétien, comme l'ami de l'Afrique, assure l'impunité à ceux qui voudraient s'approprier les ressources du continent noir. « Toronto s'est logiquement trouvée propulsée au rang de capitale financière des sociétés minières. Près de 60 % des sociétés minières s'y trouvent inscrites. On en comptait 1300 à Toronto en 2007. 'C'est deux fois plus que les cinq Bourses concurrentes réunies'. » À lui seul, ce chiffre place dans une clarté déshonorante le laxisme canadien : le pays qui attire 60 % des sociétés minières du monde ne peut être pour elles autre chose qu'un paradis de la complaisance. À en juger par un document cité par Deneault, telle est bien la situation : « Au Canada, il n'existe toujours aucun régime de la responsabilité criminelle de l'entreprise qui tienne les sociétés et leurs dirigeants effectivement responsables d'actes criminels » (Moira Hutchinson, « La perspective des ONG canadiennes sur la responsabilité et la reddition de comptes des entreprises »). Même codée en termes lénifiants, la politique de la Bourse de Toronto se lit comme la latitude accordée d'avance aux entreprises d'ignorer leurs responsabilités. Qu'on en juge : « Les émetteurs [de titres] ne sont pas tenus d'interpréter l'impact qu'auraient des contingences extérieures d'ordre social, économique et politique sur les opérations, sinon que dans la mesure où l'on peut s'attendre à ce que ces contingences extérieures sont susceptibles raisonnablement d'avoir et d'avoir eu une incidence sur leurs affaires et opérations » (« TSX Group, Policy 3.3, Timely Disclosure »). Quand une place boursière se vante de sa complaisance, on s'éloigne des procès d'intention. Le Canada se distingue ainsi des pays qui, comme la Belgique ou l'Allemagne, s'efforcent d'encadrer leurs ressortissants corporatifs jusque dans leurs gestes posés à l'étranger. Il s'aligne plutôt avec les plus permissifs. Sensibles à ce message, les sociétés actives en sol africain recherchent la caution de personnalités canadiennes. De la nébuleuse Barrick Gold, par exemple, Noir Canada écrit ceci : « Son conseil consultatif international a compté des figures éminentes de l'économie, de la finance et de la politique, telles que George Bushsr, Paul Desmaraissr, Brian Mulroney... » Sur cette lancée, le bouquin s'inquiète aussi des comportements que se permettent à l'étranger certaines émanations de l'État canadien ou québécois, comme l'Agence canadienne de développement international (ACDI) ou Hydro-Québec International. Les sociétés inscrites au TSX facilitent ainsi les ponctions financières exercées sur l'Afrique. Ponctions infiniment onéreuses pour le continent noir. « L'Union africaine évaluait au même moment à 150 milliards $US la somme annuelle dont les sociétés occidentales privent les États africains en pratiquant l'évasion fiscale ». Le Forum social mondial tenu à Montréal en janvier 2007 évoquait la situation sans troubler la sérénité des médias ou des milieux politiques. La démesure de ces captations de dividendes ne doit pourtant pas occulter celle des exactions perpétrées à l'endroit des populations africaines : création de milices privées déchaînées les unes contre les autres pour établir l'emprise d'une société minière sur les ressources naturelles, corruption des dirigeants africains, dépossession des mineurs locaux, etc. Répétons-le, comme ne manquent pas de le faire les auteurs de Noir Canada : il s'agit d'allégations. Ajoutons aussitôt que, même si une fraction seulement de ces allégations devait s'avérer, aucun pays civilisé ne peut laisser planer sur lui d'aussi massifs soupçons. Noir Canada n'adopte pas le ton d'une déferlante marxisante. L'équipe a patiemment colligé les documents ; elle fournit minutieusement ses sources. Elle parle d'allégations sans déclarer la cause à jamais entendue. « Ces allégations dont nous faisons la synthèse, lit-on dès le départ, nous ne prétendons pas les fonder au-delà des travaux qui les ont avancées. Et nous avons cité la contrepartie de sociétés visées par ces documents tous déjà rendus publics du moment que celles-ci y avaient également réagi publiquement. » Les auteurs ont assumé leurs responsabilités civiques. La maison d'édition aussi. À quand l'émergence d'une curiosité élémentaire dans les médias et la classe politique ? 1. Alain Deneault, avec Delphine Abadie et William Sacher, Noir Canada, Pillage, corruption et criminalité en Afrique, Écosociété, Montréal, 2008, 352 p. ; 34 $. L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite From protected at yahoo.fr Tue Oct 28 08:42:43 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Tue, 28 Oct 2008 12:42:43 -0000 Subject: [BDPalabres] c'est hard : Gabon : Les bouchers d’Atonda-Simba sous les verrous Message-ID: Gabon : Les bouchers d’Atonda-Simba sous les verrous Message-Id: Sender: Date: Tue, 28 Oct 2008 08:42:43 -0400 X-Mailman-Approved-At: Tue, 28 Oct 2008 08:44:28 -0400 X-BeenThere: bdpalabres at bdpgabon.org X-Mailman-Version: 2.1.11.cp2 Precedence: list Reply-To: Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau X-List-Received-Date: Tue, 28 Oct 2008 12:42:44 -0000 Les bourreaux de Martine Ntsame, une quinquagénaire sauvagement tuée puis complètement mutilée dans la nuit du 12 au 13 octobre au village Atonda-Simba dans le Komo Océan, ont été retrouvés et placés sous mandat de dépôt le 24 octobre à la prison centrale de Libreville. Les quatre coupables, deux gabonais et deux équato-guinéens, seront présentés dans les prochains jours devant le procureur de la République pour meurtre et commerce d’organes humains. Encore sous le choc du drame du 12 octobre dernier, les populations d’Atonda-Simba ont été soulagées d’apprendre l’arrestation et la mise sous mandat de dépôt le 24 octobre dernier des quatre bourreaux de la défunte Martine Ntsame. Jean Claude Mouengha, Baltazar Bié, citoyens gabonais, et leurs complices équato-guinéens, Benjamin Obiang et Tarcisio Ndong, ont été incarcérés à la prison centrale de Libreville, en attendant leur jugement dans quelques jours. Les quatre interpellés ont avoués les faits et même donné force détails sur l’acte barbare opéré dans la nuit du 12 au 13 octobre dernier, dans le petit village d’Atonda-Simba. Les bourreaux auraient reçu une commande d’organes humains depuis Libreville et auraient décider de sacrifier leur voisine, Martine Ntsame, pour satisfaire cette commande. Après avoir partagé quelques verres d’alcool avec la victime, l’instigateur du crime est revenu plus tard dans la nuit au domicile de sa voisine accompagné de ses trois complices. Après avoir étranglé la vielle femme dans son sommeil, alors que son fils sourd muet dormait dans la chambre contiguë, les meurtriers traînent le corps de la victime derrière la maison. Commence alors les basses besognes des «bouchers», qui ont d’abord décapité la victime avant de la dépecée presque entièrement. Ils ont ensuite prélevé la langue, la main droite, le cÅ“ur, les seins. Ils racontent même avoir placé un squelette de chien dans le ventre ouvert de la victime, avant de quitter le village pour rejoindre leur campement établit à quelques encablures. Des restes humains de la victime ont été retrouvés non loin de chez elles quelques heures après la découverte de son corps mutilé au plus haut point. Retrouvés par les éléments de la brigade de gendarmerie du port d’Owendo, les meurtriers ont été placés sous mandat de dépôt à la prison centrale de Libreville et comparaîtront dans quelques jours pour meurtre avec préméditation et commerce d’organes humains. Ces quatre criminels risquent une peine exemplaire au regard de l’appel lancé le 25 octobre par l’Association de lutte contre les crimes rituels (ALCR) pour le durcissement de la justice face à la recrudescence des meurtres rituels. La société civile avait notamment fustigé l'inertie de la justice face à ces crimes, «qui pousse les auteurs de ces actes à (les) perpétuer. (…) A cause de cette impunité, nous nous retrouvons dans une insécurité juridique». Publié le 28-10-2008 Source : Gaboneco.com Auteur : Gaboneco.com L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite From protected at yahoo.fr Thu Oct 30 09:47:36 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Thu, 30 Oct 2008 09:47:36 -0400 Subject: [BDPalabres] Fw : PRINCE JOHNSON: C’EST COMPAORE ET OUPHOUËT QUI ONT FAIT TUER SANKARA. Message-ID: En date de : Mar 28.10.08, Groupe Africdossier a écrit : De: Groupe Africdossier Objet: PRINCE JOHNSON: C’EST COMPAORE ET OUPHOUËT QUI ONT FAIT TUER SANKARA. Date: Mardi 28 Octobre 2008, 6h37 PRINCE JOHNSON : C'EST COMPAORE QUI A FAIT TUER SANKARA, AVEC L'AVAL D'OUPHOUËT-BOIGNY. C'est une exclusivité RFI. Pour la première fois depuis son passage spectaculaire devant la commission Vérité et réconciliation le 29 août, Prince Johnson, l'ancien chef rebelle libérien, a donné des détails ce week-end sur son rôle dans la mort du président burkinabè, tué en octobre 1987. Cette fois-ci c'est au micro de RFI qu'il s'est confié. A l'époque, Prince Johnson s'entraînait au Burkina Faso. Selon lui, la mort de Sankara aurait été décidée par son bras droit et successeur, l'actuel numéro un burkinabè Blaise Compaoré, avec l'aval du président ivoirien de l'époque, Félix Houphouët-Boigny. Blaise Compaoré a toujours démenti avoir joué le moindre rôle dans la mort de Thomas Sankara. Le redoutable chef de guerre libérien Prince Johnson, lors de son audition devant la commission Vérite et réconciliation à Monrovia, le 29 août 2008. (Photo : AFP) Le redoutable chef de guerre libérien Prince Johnson, lors de son audition devant la commission Vérite et réconciliation à Monrovia, le 29 août 2008. Prince Johnson a d'abord rendu hommage à l'ancien président burkinabè, qui pour lui était un homme exceptionnel, aimé par son peuple et par le monde extérieur. Mais il fallait se débarrasser de lui : « La seule option pour notre formation, rester au Burkina puis aller en Libye, était de répondre positivement à la requête de Blaise, c'est-à-dire se débarrasser de Thomas Sankara qui était contre notre présence au Burkina ». A la question de savoir s'il a été facile de se débarrasser de Thomas Sankara, Prince Johnson répond que le vrai maître des lieux à cette époque-là était plutôt l'actuel président : « Franchement, Sankara n'était qu'un chef cérémonial, c'est Blaise Compaoré qui contrôlait tout, les casernes et la garde présidentielle donc il était très facile de s'infiltrer ». Prince Johnson est allé plus loin en citant le nom de l'ancien président ivoirien, Félix Houphouët Boigny : « Il voulait la chute de Sankara pour que nous puissions suivre notre formation et retourner au Liberia pour tuer Doe (Samuel K. Doe, président du Liberia à cette époque, NDLR) parce que Doe a tué son beau-fils, William Tolbert junior... » From protected at yahoo.fr Thu Oct 30 09:49:47 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Thu, 30 Oct 2008 09:49:47 -0400 Subject: [BDPalabres] Tr : ns attendons la suite à donner Message-ID: L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite ----- Message transféré ---- De : libertés gabon À : Envoyé le : Mardi, 28 Octobre 2008, 11h04mn 12s Objet : ns attendons la suite à donner Marlene Rapontchombo, ancienne employée de la BGFI Bank en détention préventive depuis trois mois à la prison centrale de Libreville dans l'Affaire Alaba BGFI Bank a entamé une grêve de la fin depuis mercredi 22 octobre 2008 pour protester contre ce qu'elle considère comme une détention arbitraire sans jugement. From protected at yahoo.fr Thu Oct 30 09:51:37 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Thu, 30 Oct 2008 13:51:37 -0000 Subject: Sans objet Message-ID: AFRIQUE : LA DETTE DE 40 PAYS EST INFERIEURE A LEURS CAPITAUX CACHES A L'ETRANGER. Message-Id: Sender: Date: Thu, 30 Oct 2008 09:51:37 -0400 X-Mailman-Approved-At: Thu, 30 Oct 2008 09:53:09 -0400 Subject: [BDPalabres] LA DETTE DE 40 PAYS EST INFERIEURE A LEURS CAPITAUX CACHES A L'ETRANGER. X-BeenThere: bdpalabres at bdpgabon.org X-Mailman-Version: 2.1.11.cp2 Precedence: list Reply-To: Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau X-List-Received-Date: Thu, 30 Oct 2008 13:51:37 -0000 La dette extérieure totale des 40 pays de l'Afrique sub-saharienne est inférieure de 380 milliards de dollars à ses capitaux déposés à l'étranger. C'est le scandale que révèlent deux chercheurs de l'Université du Massachusetts. Selon un rapport élaboré par deux chercheurs de l'Université du Massachusetts, Amherest, la somme des capitaux cachés à l'étranger par les 40 pays de l'Afrique sub-saharienne pendant la période 1970-2004 est de 607 milliards de dollars. Or la dette étrangère totale de ces pays en 2004 était de 227 milliards de dollars. En d'autres termes, l'Afrique sub-saharienne est un créditeur net vers le reste du monde, au sens où ses activités extérieures, ou le capital caché dans des banques étrangères, dépasse ses passivités extérieures, c'est-à-dire sa dette étrangère. CORRUPTION ET MALVERSATION : Cette dette, rappellent les deux chercheurs, est en bonne partie détenue par ces mêmes banques où sont déposés les fonds soustraits par la corruption et la malversation. La fuite annuelle des capitaux de l'Afrique sub-saharienne a d'autre part une valeur égale à l'aide annuelle au développement que reçoivent ces pays. «Les personnes responsables de la fuite des capitaux sont généralement des membres de l'élite économique et politique locale, qui tirent avantage de leur position privilégiée pour acquérir des fonds et les transférer à l'étranger», affirme le rapport. «L'acquisition et le transfert des capitaux comportent souvent des pratiques juridiquement discutables, parmi lesquelles la falsification de documents commerciaux, l'appropriation indue des gains des exportations, et les pots-de-vin sur les adjudications publiques et sur les contrats du secteur privé», précise-t-il encore. LA FUITE DES CAPITAUX FRAPPE LES PAUVRES : La fuite des capitaux est un délit qui frappe les plus pauvres. Le rapport souligne en effet que les effets négatifs de la fuite des capitaux retombe sur le dos des membres de la société possédant moins. L'impact régressif de la fuite des capitaux est aggravé quand il y a une dévaluation: les riches qui ont des capitaux étrangers ne ressentent pas ses effets, tandis que les pauvres ne jouissent d'aucune protection. Il faut donc mettre au point des stratégies pour rapatrier les capitaux cachés dans des banques étrangères. Quelques signes positifs sont arrivés récemment: les banques suisses ont en effet collaboré pour retrouver la trace des comptes courants de deux dictateurs africains morts il y a quelque temps, le zaïrois Mobutu et le nigérien Abacha. Mais cela n'a eu lieu qu'après une forte pression internationale. L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite From protected at yahoo.fr Fri Oct 31 15:56:00 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Fri, 31 Oct 2008 15:56:00 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: LA DETTE DE 40 PAYS EST INFERIEURE A LEURS CAPITAUX CACHES A L'ETRANGER. Message-ID: Je ne comprend pas l'intéret de l'affirmation de notre fameux "l'oeil" lorsqu'il nous rapporte que la dette de 40 pays est inférieure à leurs capitaux déposés dans les banques à l'étranger. J'imagine qu'il veux nous faire comprendre qu'il s'agit là d'un signe de mauvaise gestion des dirigeants de ces pays. Cela peut donner l'impression d'etre vrais sur un plan moral car "l'oeil" et d'autres compatriotes sub-africains soient distribués comme des petits pains à chacun citoyen. Si Je ne voyais midi uniquement à ma porte, je serais tenté de partager ce sentiment. Mais le monde de la gestion, et encore plus celui de la finance ne tourne pas comme cela. Pour une fois, les dirigeants concernés ont fait preuve de prudence et cette information est - aussi paradoxalement que cela puisse etre un indicateur de bonne gestion financière. Un entreprenneur soucieux d'assurer la perenité de son entreprise n'aurait pas fait mieux. En finance, cela veut dire que ces pays bénéficie d'un effet de levier, autrement dit ils sont capable de lever les fonds nécessaires aux investissements à realiser dans leur pays respectifs. La question qui se posent est celle de savoir 1) si les fonds sont déposés pour le compte des Etats ou pour celui des des personalité politiques. Dans le premier cas, le patrimoine financier reste celui de l'Etat qui, personne juridique distinct, peut en disposer quelque soit l'alternance politique. Dans le deuxième cas, il s'agirait de détournement de fond que les juristes sauront qualifier. Je prefère croire qu'il y a autour de ces dirigeants das cadres suffisamment intelligents que l'opration relève du premier cas. 2) quel est l'affectation des emprunts contractés grâce à ces effets de levier. Pour ce qui me concerne, je ne cesserais jamais de dénoncer les importantes sommes d'argents qui sont affectés au budget de fonctionnement et principlament à la masse salariale. J'estime qu'il y a des secteurs qui sont incontournables : la santé, l'éducation, la sécurité, la justice, la gestion du patrimoine, l'administration territoriale, les affaires étrangères et le fonctionnement des institutions de la république. A coté de cela, de nombreux ministères devraient se convertir en établissements publics et etre géré sur la base d'un contrat fondé à la fois une obligation de moyens et résultat sur périodicité fixé dans le cadre de ces contrats. Les employés de ces établissements ne devraient pas être des fonctionnaires des contractuels : des personnes dont la stratégie de recrutement dépendrait du niveau d'activité de ces secteurs. Les moyens mis à la disposition de ces établissements publics devraient être fonction de leur niveau d'activité. Surtout et par dessus tout, ces établissement publics doivent avoir vocation à être privatisé au de 10 ans d'existence lorsque par le niveau de leurs activités elles peuvent assurer leur perenité et leur développement. Dans le cas contraire, ces établissements doivent être dissouts et les ressources humaines doivent être invités à se reconvertir vers des activités où elles peuvent mieux faire valoir leurs compétences. Il faut reorganiser l'affectation du budget de fonctionnement de l'Etat, sans forcément le comprimer mais l'affecter dans des activités en phase de lancement et non dans des activités en déclin ou considérés comme des "poids morts". En ce qui concerne le budget des investissements. Il me parait important de revisiter certaines stratégies économiques, notamment celle qui consistent à se lancer dans la création de certaines infrastructures économiques au nom de la continuite de l'Etat, sans se préoccuper de la viabilité ou encore de la rentabilité de ces infrastructures. La prise en charge d'une infrastrucure par l'Etat doit s'inscrire dans le cadre du soutien d'une activité en phase de lancement ou de croissance et non pas pour repondre uniquement à des veleités clientélistes. Un dirigeant doit prendre des risques sur sa popularité quitte à mettre en oeuvre un plan de communication pour expliquer le bien fondé de certaines décision. En fait, le principe qui doit prévaloir, c'est que chaque activité doit financer ses propres infrastructures de développement et que les "canards boiteux" soient sacrifiés sur l'autel de la croissance. De toutes façon, il y a le système de l'assistance sociale et des sociétés de bienfaisance qui sont là pour les soutenir en toute humanité. Il faut arrêter avec tous ces rond de cuir qui squattent à longueur de journée les bureaux et qui, à force de s'ennuyer, finissent par faire la cour à leurs secretaires et à passer du bon temp avec elles dans les bureaux. Il ne faut pas dénoncer n'importe quoi sans prendre le temps de s'instruire sur la pertinence de certaine décision. Il lutter contre le gaspillage des ressources ou simplement contre des affectations inappropriées. il faut avoir le courage d'accepter le fait qu'on puisse se tromper et réajuster le tir. Quelque fois, on peut envisager de changer radicalement le mode de fonctionnement en bousculant les habitudes de ceux qui se prennent pour les barons d'un système. Voilà..Voilà..Voilà ce que je pense de cette "bonne" nouvelle. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Jeu 30.10.08, loeil a écrit : De: loeil Objet: [BDPalabres] LA DETTE DE 40 PAYS EST INFERIEURE A LEURS CAPITAUX CACHES A L'ETRANGER. À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Jeudi 30 Octobre 2008, 14h51 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. 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En d'autres termes, l'Afrique sub-saharienne est un créditeur net vers le reste du monde, au sens où ses activités extérieures, ou le capital caché dans des banques étrangères, dépasse ses passivités extérieures, c'est-à-dire sa dette étrangère. CORRUPTION ET MALVERSATION : Cette dette, rappellent les deux chercheurs, est en bonne partie détenue par ces mêmes banques où sont déposés les fonds soustraits par la corruption et la malversation. La fuite annuelle des capitaux de l'Afrique sub-saharienne a d'autre part une valeur égale à l'aide annuelle au développement que reçoivent ces pays. «Les personnes responsables de la fuite des capitaux sont généralement des membres de l'élite économique et politique locale, qui tirent avantage de leur position privilégiée pour acquérir des fonds et les transférer à l'étranger», affirme le rapport. «L'acquisition et le transfert des capitaux comportent souvent des pratiques juridiquement discutables, parmi lesquelles la falsification de documents commerciaux, l'appropriation indue des gains des exportations, et les pots-de-vin sur les adjudications publiques et sur les contrats du secteur privé», précise-t-il encore. LA FUITE DES CAPITAUX FRAPPE LES PAUVRES : La fuite des capitaux est un délit qui frappe les plus pauvres. Le rapport souligne en effet que les effets négatifs de la fuite des capitaux retombe sur le dos des membres de la société possédant moins. L'impact régressif de la fuite des capitaux est aggravé quand il y a une dévaluation: les riches qui ont des capitaux étrangers ne ressentent pas ses effets, tandis que les pauvres ne jouissent d'aucune protection. Il faut donc mettre au point des stratégies pour rapatrier les capitaux cachés dans des banques étrangères. Quelques signes positifs sont arrivés récemment: les banques suisses ont en effet collaboré pour retrouver la trace des comptes courants de deux dictateurs africains morts il y a quelque temps, le zaïrois Mobutu et le nigérien Abacha. Mais cela n'a eu lieu qu'après une forte pression internationale. L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite From protected at yahoo.fr Fri Oct 31 15:56:51 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Fri, 31 Oct 2008 15:56:51 -0400 Subject: [BDPalabres] du jeu et du pain : Les romains le disaient déjà !!! Message-ID: du jeu et du pain : Les romains le disaient déjà !!! Gabon: 140 milliards Francs CFA pour les préparatifs de la CAN 2012 Libreville, 31 octobre (GABONEWS) - Le porte parole du gouvernement, René Ndemezo'Obiang, a annoncé jeudi à Libreville, à l'issue du Conseil des ministres, qu'une enveloppe de 140 milliards de francs CFA est prévue pour des projets de construction d'infrastructures pour l’organisation de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) en 2012. Cette somme va permettre de réaliser des projets à l’instar de la construction ou de la réhabilitation des infrastructures sportives et hôtelières dans le pays. Pour l'année 2009, des budgets de fonctionnement du comité de pilotage et d'organisation sont estimés à hauteur de 500 et de 375 millions de francs CFA. 2, 8 milliards de francs CFA sont prévus en 2009 pour la préparation des équipes nationales de football senior et junior, incluant la préparation des Panthères au second tour des éliminatoires jumelées CAN/Mondiale 2010. http://www.gabonews.ga/actualite/actualites_2007.php?Article=5194 L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite