From protected at yahoo.fr Sat Mar 1 18:03:07 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Sat, 01 Mar 2008 18:03:07 -0500 Subject: [Palabres] Re: Le BDP-Gabon Nouveau tient son premier meeting politique à Libreville Message-ID: Chers compatriotes, Vous vous trompez sur mes intentions, par ignorance de mon parcours. Autrement vous vous seriez rendu compte que je n'entretiens aucune relation avec aucun des représentants du régime politique en place au Gabon. Au contraire, toute ma démarche a consisté à me libérer des contraintes que ce régime peut imposer de manière illégitime. Tout au long de mon parcours et de mes recherches, je me suis rendu compte que le rôle du locataire de la présidence de la république correspond à celui d'un épouvantail qu'on place au milieu de la plantation pour attirer l'attention et effrayer les oiseaux. Connaissez vous des mesures qu'il ait maîtrisé dans un sens favorable ou au non pour le gabon? J'ai fait le choix de ne pas me laisser prendre à ce jeu. Je prefère identifier les véritables acteurs socio-économiques qui, au Gabon, exercent une réelle influence sur le cours de ma vie et celle de nos concitoyens. Je crois que c'est en exerçant un impact sur ces personnes que je pourrais priver ce que vous estimez être le pouvoir actuel de la puissance de sa capacité de nuisance et éventuellement infléchir le cours de notre histoire économique. Croyez bien que je n'ai pas cessé d'observer les joutes politiques depuis notre accession à l'independance. Des nouvelles personalités s'affirment aussi du coté du régime politique en place que du côté de l'opposition. Au final, ce sont les mêmes "causes" qui semblent l'emporter le rapport de force politique. Je vous demande simplement de prendre du recul et d'aller toucher prioritairement ce qui constitue les fondations de se semblant de pouvoir. Depuis quelques années, je ne cesse de faire des voyages au Gabon pour des raisons familiales ou pour investir. Je n'ai pas cessé de rencontrer des entraves, mais à aucun moment, je n'ai vu le président de la république exercer directement la moindre influence sur mes opérations. Ce sont au contraire des personnes qui sont directement concernées par le bénéfice de ces investissements qui sont ls premières à les saboter. Autant commencer par balayer à l'échelle la plus basse et remonter progressivement. Je ne crois pas que nous nous opposons sur les objectifs. Je pense que nous divergences portent sur les méthodes et moyens. Je ne peux rester davantage. Je vous lirai certainement à partir de mardi. Cordialement MANGASS MANAGEMENT Christian MAYANDJI Directeur Cabinet Conseils & Ingénierie Economie d'entreprise - Affaires Projets de développement durable ----- Message d'origine ---- De : moundanga guy martial À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Vendredi, 29 Février 2008, 16h02mn 58s Objet : Re : [palabres] Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ Après avoir parcourue votre exposé avec beaucoup d'attention car je tiens cameme a vous rappeller que certains points sont bien fondés;mais je m'insurge totalement sur cette vision des choses consistant a faire de la pire et simple diversion et cela aussi peux se comprendre monsieur. Car la constation premiere que j'ai eu a faire c'est que votre position se focalise sur l'économie du gabon c'est vraie une telle réalité économique relate de façon lympide notre gabon. Toutefois,vous deviez comprendre que dans un pays on ne peux pas dissocier le politique de l'économie pour la simple raison que les mesures économiques sont plus ou moins prisent par les politiciens ou je crois l'économiste ferait des propositions aux polititiens qui eux vont soient approuver ou désapprouver car si vous l'aviez compris et bien le politique c'est le pouvoir alors très cher compatriote le jeux sur lequel vous vous etes lancé a vouloir défendre le systeme sur lequel vous appartenez puisque je vois que vous n'hésitiez pas a laisser vos coordonnées très rusé ça monsieur le directeur .Mais soyez en sure que cette diversion n'a plus pour longtemps Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages > ___________________________________________________________ > > > > Je reste encore étonné par la personnalisation du débat politique au Gabon. Par ce type de comportement, nous avons tendance à laisser croire que l'ensemble de nos malheurs provient de la mauvaise inspiration d'un individu. A contrario, on pourait penser que tout ce qui nous arrive de bien est le fait de la bonne volonté d'un homme providentiel, une sorte de taumaturge. > Je refuse de ceder à cette forme de schématisation du fonctionnement de la république gabonaise. J'ai tendance à penser que la république gabonaise est un système qui connait des disfonctionnements des dysfonctionnements exploités par un certain nombre de personnes. Je ne crois pas qu'il suffise d'éliminer ou de changer de personnes pour les dysfonctionnements soient résorbés. Il faut réfléchir autrement : Il faut par exemple commencer à dissocier les disfonctionnements d'ordre économique des dysfonctionnements d'ordre politique. Les deux types de disfonctionnement ont des interactions et un impact dans la vie des populations gabonaises, mais elles ne sont pas de même nature, et n'ont ni les mêmes causes, ni la même ampleur : > - les dysfonctionnement de type politique ont pour objet le fait d'avoir entravé l'expression du libre exercice du droit de vote; > - les disfonctionnements de type économique porte sur la difficulté d'accès des gabonais à la propriété et à toute la plénitude de son exercice. > En s'attaquant uniquement aux dysfonctionnement de type politique, on croit pouvoir traiter par la même occasion l'ensemble des problèmes du Gabon. Je crois que c'est tout simplement une erreur de diagnostic : les problèmes des populations gabonaises ne proviennent pas uniquement de l'Etat, et en l'occurence de la présidence de la république. Ils me paraissent être surtout le fait d'un déséquilibre entre les différentes catégories socio-économiques qui se font formées tout au long du processus d'expansion capitaliste au Gabon. > Il est aussi le fait d'une économie qui n'a pas encore effectué sa révolution. En effet et au moment où les pays émergents accèdent à l'économie de marché et à la société de consommation, nous avons hérité d'une économie qui reste encore caractérisé par le prélèvement des ressources naturelles et par la mise en place d'un vaste système de distribution de produits par des opérateurs - cas de la CFAO au Gabon - qui s'interdisent de mettre en place un système de production locale de produits primaires ou transformés ayant vocation à alimenter le marché international. > Je crois que nous pourrons inverser la tendance lorsque nous aurons nous mêmes envie de reprendre les rênes de notre économie et développer les activités créatrices de richesses à l'international. > Je ne peux m'étendre pour cette fois mais je souhaite alimenter un débat avec l'espoir de susciter des initiatives individuelles portant sur des objectifs accessibles. > > MANGASS MANAGEMENT > Christian MAYANDJI > Directeur > Cabinet Conseils & Ingénierie > Economie d'entreprise - Affaires > Projets de développement durable > > > ----- Message d'origine ---- > De : BDP-Gabon Nouveau > À : bdpalabres at bdpgabon.org > Envoyé le : Vendredi, 22 Février 2008, 17h43mn 35s > Objet : Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville > > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages > ___________________________________________________________ > > Communiqué: Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville > http://www.bdpgabon.org/content/view/6031/39/ > (BDP-Gabon Nouveau, 19 février 2008) - Le BDP-Gabon Nouveau, mouvement politique d'opposition radicale au régime Bongo a tenu sa deuxième conférence de presse "déjeuner de presse" avec les journalistes à Libreville samedi 16 février 2008 à 10h00 du matin au restaurant Le Calypso. > > > BDP-Gabon Nouveau: Discours du Dr. Daniel Mengara lors de la Conférence de presse du samedi 16 février 2008 à Libreville > http://www.bdpgabon.org/content/view/6029/39/ > (BDP-Gabon Nouveau, 19 février 2008) - Le BDP-Gabon Nouveau, mouvement politique d'opposition radicale au régime Bongo a tenu sa deuxième conférence de presse "déjeuner de presse" avec les journalistes à Libreville samedi 16 février 2008 à 10h00 du matin au restaurant Le Calypso. Voici la version texte du discours audio du Dr. Daniel Mengara passé devant les journalistes. > > > BDP-Gabon Nouveau: Discours de Monsieur Paskhal Nkoulou lors de la Conférence de presse du samedi 16 février 2008 à Libreville > http://www.bdpgabon.org/content/view/6030/39/ > (BDP-Gabon Nouveau, 19 février 2008) - Le BDP-Gabon Nouveau, mouvement politique d'opposition radicale au régime Bongo a tenu sa deuxième conférence de presse "déjeuner de presse" avec les journalistes à Libreville samedi 16 février 2008 à 10h00 du matin au restaurant Le Calypso. Voici le texte du discours lu par Monsieur Paskhal Nkoulou, Coordonnateur National. > > > Gabon: Omar Bongo, Mba Obame et le bongoïsme : jusqu’où ira la politique de liberté d'expression mesurée au pourcentage? > http://www.bdpgabon.org/content/view/5744/39/ > (BDP-Gabon Nouveau, 16 janvier 2008) - En décrétant, ce 9 janvier, la suspension des ONG gabonaises pour ce qu’il a appelé des pourcentages exagérés de « propos politiques » qui vont au-delà de ce qui leur est autorisé de par leur statut d’associations à caractère non politique, Mba Obame a, encore une fois, révélé au monde la nature foncièrement animalière du régime Bongo, et confirmé ce qu’il est désormais aujourd’hui convenu d’appeler la dictature bongoïste au Gabon. From protected at hotmail.com Sat Mar 1 18:10:24 2008 From: protected at hotmail.com (Magloire O) Date: Sat, 01 Mar 2008 18:10:24 -0500 Subject: Vendredi 29 Février 2008 Message-ID: Vendredi 29 Février 2008 Françafrique: "Le ton a changé" Propos recueillis par Marianne ENAULT leJDD.fr Dans un discours prononcé depuis le Cap, en Afrique du Sud, Nicolas Sarkozy a semble-t-il engagé la rupture avec la Françafrique. Du moins dans la forme. Philippe Mayol, responsable du département Afrique au sein du CCFD* et co-auteur du Livre Blanc pour une politique de la France en Afrique responsable et transparente, réagit aux propos du chef de l'Etat français pour le JDD.fr. Aux côtés du président sud-africain, Nicolas Sarkozy a promis de réexaminer la présence militaire française en Afrique. (Reuters) Qu'avez-vous pensé du discours du Cap de Nicolas Sarkozy? Les mesures annoncées, telles que la renégociation de tous les accords militaires de la France en Afrique ou la publication du contenu de ces textes, sont assez encourageantes. Ça va dans le bon sens. Il faut tout remettre à plat. Le Parlement français sera désormais associé à la redéfinition de la politique de la France en Afrique. Cela fait plusieurs années qu'on se bat pour obtenir que le Parlement soit au coeur de la politique étrangère frrançaise. Nicolas Sarkozy a également évoqué le rôle de l'Europe en Afrique. Il est nécessaire d'avoir une vraie politique de l'Europe en Afrique. Mais attention, s'il s'agit d'une énième réforme de la politique de la France en Afrique, ça n'a pas de sens. La stratégie doit désormais être définie au sein de l'Union européenne. Constatez-vous une évolution entre le discours de Dakar, qui avait vu notamment Nicolas Sarkozy évoquer un homme africain "pas assez entré dans l'histoire", et le discours du Cap? C'est en tout cas un vrai changement dans la forme. Le ton a changé. C'est une manière de se rattraper, non pas par rapport au discours de Dakar, mais par rapport aux critiques émises sur la politique menée par la France en Afrique durant les premiers mois de la présidence Sarkozy. Je pense notamment aux premiers chefs d'Etats reçus par le président français [le Gabonais Omar Bongo et le Tchadien Idriss Déby, ndlr]. La rupture annoncée pendant la campagne électorale tardait à venir. Selon vous, que doit-il se passer désormais? On attend avec impatience les prochaines étapes. C'est un discours assez fort. Nous attendons maintenant que le président français passe aux actes. Il faut qu'un calendrier précis soit mis en place. Il faut répondre aux questions du qui, du quand et du comment. Il s'agit tout d'abord de gérer le dossier tchadien. Il faut que toute la lumière soit faite sur le rôle exact des forces françaises pendant le conflit au Tchad [Paris a répété à plusieurs reprises que l'armée française n'était pas intervenue directement sur le terrain, ce que plusieurs sources démentent, ndlr]. Le Parlement doit se saisir de cette question. Il faut mettre en place une mission d'information parlementaire. "Il faut maintenant des actes" Le discours de Nicolas Sarkozy n'est-il pas en contradiction justement avec l'attitude de la France pendant le conflit au Tchad? Oui, c'est pourquoi il faut faire toute la lumière sur cet épisode. La confusion règne dans ce dossier. Or, c'est justement ce que Sarkozy dénonce dans ce discours. Il parle de "transparence". On l'attend. Il ne suffit pas de dire que la France ne va plus être le gendarme de l'Afrique. Ce n'est pas une nouveauté, cela a déjà été annoncé dans le discours de la Baule [prononcé par François Mitterrand le 20 juin 1990, ndlr]. Idem pour le redéploiement des forces françaises en Afrique. Il faut maintenant des actes. Il faut que la volonté affichée par Nicolas Sarkozy se traduise dans les faits. Lors d'une conférence au Centre d'accueil de la presse étrangère, le 14 février dernier, votre Plateforme citoyenne semblait attendre beaucoup de cette nouvelle visite en Afrique. Etes-vous satisfait? Notre grand regret concerne le Tchad. Nicolas Sarkozy ne dit pas ce que la France veut faire au Tchad. Nous sommes très inquiets quant au sort réservé aux deux opposants [qui ont disparu après l'assaut rebelle, ndlr]. Avant l'Afrique du Sud, Sarkozy était au Tchad. On attendait des déclarations. Mais sa communication sur le sujet n'a pas été aussi forte que ce que l'on espérait. Il a évoqué une enquête internationale. Mais il y a un décalage par rapport à l'urgence de la situation actuelle. Nous devons savoir ce qu'ils sont devenus. Après la disparition de ces deux opposants, on ne peut pas repartir comme avant avec le Tchad. Il faut revoir la politique de la France dans ce pays. Sarkozy doit désormais être en cohérence avec son discours. Dans son discours, le président évoque peu les questions de bonne gouvernance, de lutte contre la corruption, etc. Est-ce un recul? Il y a une absence de volonté sur ces sujets. Il n'y a pas de demande de plus forte démocratisation des Etats africains. La question est rapidement évoquée en fin de discours. Cela manque un peu de force. Le président a par ailleurs peu évoqué la question de l'aide au développement. Il n'a pas précisé l'engagement de la France à consacrer 0,7% de son PIB à cette question. Il n'a pas expliqué comment la France comptait désormais gérer ses relations avec les Etats non-démocratiques. Il n'a pas évoqué la question des biens mal acquis, de la dette odieuse. Sur ces sujets, il n'y a pas de réponse. *Philippe Mayol est responsable du département Afrique du Comité Catholique Contre la Faim et pour le Développement (CCFD) et co-auteur du Livre Blanc pour une politique de la France en Afrique responsable et transparente. From protected at yahoo.fr Sat Mar 1 18:08:32 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Sat, 01 Mar 2008 18:08:32 -0500 Subject: [Palabres] Re: Le BDP-Gabon Nouveau tient son premier meeting politique à Libreville Message-ID: J'ai beaucoup de respect pour M. MENGARA comme pour tous ceux qui affiche leur courage et leur détermination politique. J'estime simplement qu'on ne peut faire efficacement de la politique et , surtout, agir au profit des populations en créant un site depuis les USA et en pratiquant des conférences de presse par téléphone. En tant que leader politique, M. MENGARA doit se poser en exemple et donner confiance à ses militants sur le terrain. C'est ainsi que les plus grands leaders se sont imposés comme des interlocuteurs crédibles. Je n'ai jamais exclu la "politique" des enjeux de combat de l'opposition. Je crois plutôt que ce sont nos "politiques" - y compris ceux issus de l'opposition - qui l'ont exclu. Je tiens à rappeller qu'on ne peut gagner un combat politique sans assurer à son mouvement et aux populations que l'on souhaite libérer une certaine indépendance économique vis à vis de ceux qu'on dénonce comme bourreaux de ces populations. Je vous renvoie à tous les mouvements politiques de libération en Amérique latine, en Afrique. Ceux sont des mouvements qui se sont constitué comme des Etats en formation et qui ne laissent rien au hasard. Je crois que c'est la raison pour laquelle en Afrique australe et centrale (rwanda, ouganda, angola...) ou dans le delta du niger (Nigéria) ces mouvements ont fini par être écoutés. Il n'y a qu'au gabon où on croit qu'il suffit de s'afficher par internet pour changer quoi que ce soit. Je ne suis pas un idéologue, mais je tiens compte du contexte capitaliste dans lequel nous vivons. Ce ne sont pas toujours les droits de l'homme qui triomphent ou qui font pencher la balance; mais j'ai l'impression les soutiens des pouvoirs autocratiques commencent à refléchir à leur stratégie lorsque les risques de remise en cause des profits ou même de la viabilité des activités en place s'accroissent. Cela fait 40 ans que nous nous battons et cela ne bouge pas. Il faut apprendre à frapper là cela fait mal : au portefeuille des soutiens des pouvoirs illégitimes. Ne pas tenir compte de cette réalité me parait naïf. Pourquoi M. MENGARA - de sa retraite au USA - ne va t-il pas négocier les achats d'avions de transport de troupes ou d'attaque ainsi que des bateaux pour une opération aéro-navale sur la présidence et les points stratégiques de la république ? Faut - il les énumérer ? Dans la plupart des cas, ils se trouvent à peine à moins de 11 kilomètres de la côte. Pourquoi ne lance t-il pas des programmes d'aides alimentaire, scolaire ou en matère de santé aux populations en difficultés au Gabon? Nombreux sont ceux qui, comme moi, n'hésiterions pas à l'aider plutot que d'assister aux invectives de tous ceux qui se targuent d'être des opposants. Lorsqu'on se proclament partisans du changement, il ne faut pas attendre d'accéder au pouvoir pour amorcer ce changement. Il faut commencer même dans la clandestinité. Franchement, je ne sais pas ce qu'être bongoïste. Ma foi ne me fixe que Dieu, et jalais aucun homme, comme modèle ainsi que l'infini comme perspective. MANGASS MANAGEMENT Christian MAYANDJI Directeur Cabinet Conseils & Ingénierie Economie d'entreprise - Affaires Projets de développement durable ----- Message d'origine ---- De : Zéro Fautes À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Vendredi, 29 Février 2008, 16h31mn 55s Objet : Re : [palabres] Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ Oui, mais on voit que ton travail sur tes programmes souffre de limitations. Si tu analyses tes projets comme tu analyses le Gabon, je plains tes clients. le problème avec toi c'est que tu crois être le premier à avoir élaboré toutes les théories politiques et économiques du monde. Tu n'arrives même pas à voir la contradiction fondamentale dans ta propre démarche. 1) Tu accuses l'analyse du Dr. Mengara d'être partielle car elle met trop l'accent sur les personnes et la politique. 2) Tu recommandes donc d'abandonner le politique pour s'occuper d'économie. Seulement, par ton approche partielle du problème, tu retombes dans les travers que tu reproches au Dr., c'est à dire que tu abandonnes totalement la mpolitique pour axer ton argument sur l'économie, sans tenir compte de la responsabilité que les hommes ont sur l'économie, surtout dans un pays comme le Gabon avec des pilleurs comme Bongo. Tu te berces de l'illusion que les changements viendront tous seuls même si la dictature est en place Frère, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, ta diuctature est en place depuis 40 ans. Combien de preuve te faut-il encore pour te montrer que dictature et progrès économique ne vont pas ensemble? Si c'était possible, ton Gabao serait déjà un Koweit. malheureusement pour toi, les hommes politiques que tu veux laisser de côté boivent toute la richesse du gabon aux dépends de tout le monde. Là où ta théorie meurt est que tu oublies que ce n'est pas l'économie qui fait les hommes mais les hommes l'économie. Pour qu'une économie soit fonctionnelle, elle dépend entièrement des actes des hommes. Démocratiser, rejeter la dictature, donc les hommes, est une meilleure garantie de succès économique que laisser les pilleurs en place alors même que ce sont ces pilleurs qui tuent l'économie. Encore une fois, le jour où tu le comprendras, on pourra mieux discuter. Pour le moment, ton statut de grand directeur que tu affiches souffre de bongoïsme. Tu sembles être un défenseur du statut quo bongoiste. je t'aurais mieux compris si tu arguais que pour changer le pays, il faut le faire à deux niveaux parallèles: changer les hommes et changer les mentalités polluées par ces hommes pour responsabiliser les Gabonais. Malheureusement, ton approche consiste à dire: Ce n'est pas la faute de Bongo si le Gabon est comme ça. Laissez-le continuer à piller et débrouillez-vous avec des illusions. Mais je te dis déjà, avec l'exemple précédemment cité, que la dictature tue même les initiatives que tu crois pouvoir appliquer indépendamment du changement politique. Voilà. Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages > ___________________________________________________________ > > > > Cher compatriote, > > Le combat contre une dictature ne passe pas nécessairement par de la véhémence verbale ou par le dénigrement de ses interlocuteurs. Je crois effectivement qu'il est possible de faire la révolution économique - ou la REVOLUTION - au sein d'une dictature et je pense même que c'est une condition fondamentale pour obtenir le renversement du rapport de forces aboutissant à la disparition de cette dictature et à la restauration des libertés ou des initiatives individuelles. > > Le rapport que vous entretenez avec le président de la République gabonaise s'apparente à la relation qu'un enfant entretient avec une figure paternaliste. Vous criez un peu plus fort que les autres dans l'espoir d'attirer l'attention de ce père apparemment inaccessible avec l'espoir, quelque fois vain, d'en obtenir un avantage, une friandise. > > Quand on veut se libérer, il faut aller un plus loin en commençant par analyser les causes profondes des échecs successifs des actions menées jusqu'à ce jour. Il faut surtout essayer de comprendre pourquoi toutes ses invectives n'interessent plus que leurs auteurs et un parterre de plus en plus réduit d'individus. La REVOLUTION au Gabon, quelqu'en soit sa nature, a besoin de s'appuyer sur des actions mieux réfléchies autour des stratégies plus efficaces que le dénigrement. In fine, QU'EST CE QUE VOUS CHANGEZ? Uniquement remplacer un individu à la place d'un autre autre : vous n'obtiendrez qu'un ravalement de façade et le renouvellement ou le prolongement d'une dictature. Je crois qu'il faut (re) analyser le fonction de notre Etat et de nos structures socio-économiques pour être en mesure de construire un système ou chacun trouve sa place dans le respect de sa liberté d'initiative. > > Les gabonais ont besoins de leaders un peu plus conséquents et surtout pragmatiques : Ils ont besoin d'être entrainés par des personnes qui se donnent les moyens de leurs actions et qui vont ouvertement jusqu'au bout de leurs objectifs. Nous avons besoin de leaders qui gagnent le respect de leurs idées sur le terrain et non d'intellectuels en mal de public captif. Qu'est ce qu'être "docteur" de nos jours si on n'est pas capable d'apporter les solutions les plus élémentaires aux problèmes courants que se posent nos concitoyens. > > Je ne suis pas un fanatique des débats idéologiques. Je prefère travailler sur des programmes-projets avec des objectifs précis en terme de performance, délais et (économies) de coûts. Ne soyez pas étonné si je ne vous suis pas sur la voie des débats stériles. > Cordialement. > MANGASS MANAGEMENT > Christian MAYANDJI > Directeur > Cabinet Conseils & Ingénierie > Economie d'entreprise - Affaires > Projets de développement durable > > > Zéro Fautes wrote: >> ___________________________________________________________ >> Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages >> ___________________________________________________________ >> >> >> >> C'est justememt parce que tu ne comprends rien à l'interaction intime entre économie et politique que tu ne sais pas ce que tu dis. C'est comme Mba Obame qui essaie de limiter l'expression politique des ONG sans comprendre que leur expresion est forcément politique. Comme le démontre le Dr. Mengara, limiter la liberté d'expression à un journaliste c'est tuer l'entreprise qui emploie le journaliste. Un journal est une entreprise privée créée par un citoyen privé pour la survie économique. Ce n'est pas un hobby. Le propriétaire d'un journal est avant tout un chef d'entreprise avec des employés. Quand on imite ou cesure la liberté d'expression, on tue le journal, donc l'entreprise qui fait vivre des familles. Le jour où tu comprendras comment la dictature est foncièrement un système anti-économie, tu pourras revenir nous endormir avec ton approche totalement bongoïste de l'économie. Peut-être comprendras-tu les vertus inaliénables de la démocratie comme facteur de promotion du bien-être et du progrès. Pour toi, on peut avoir une dictature en place et réussir la révolution économique au Gabon, hein? From protected at yahoo.fr Sun Mar 2 18:43:47 2008 From: protected at yahoo.fr (moundanga guy martial) Date: Sun, 02 Mar 2008 18:43:47 -0500 Subject: [Palabres] Re: Le BDP-Gabon Nouveau tient son premier meeting politique à Libreville Message-ID: très chers CHRISTIAN MAYANDJI je comprends que par votre réaction que nos objectifs sont les memes cependant les usages qu'il faut mettre en place pour mener a bien cet objectif nous diffèrent .toutefois ,pour le cas du gabon je pense qu' il va falloir comprendre que la racine principale est bongo et aucun probleme ne peut etre résolu si et seulement si il occupe le pouvoir executif ne nous trompons pas de cible si non je dirai encore que vous vouler tout simplement sémer de la diversion pure et simple .car si une racine empeche a l'arbre de mieux s'épanouir qu'on s'en débarasse au lieu de deraciner celles qui sont a l'exterieur qui ne presentent aucune menace .Donc encore une fois je vous exhorte d'avoir les pieds et yeux sur la situation réelle de notre gabon mon compatriote car la situation est plus que grave ,c'est inimaginable qu'une personne comme omar bongo puisse penser que dans un pays comme le notre rien que lui et sa famille doivent régner dépuis une quarentaine d'années ,cela doit s'arreter avec ou sans l'opposant qui est mengara .Je crois que c'est normale qu'un jeune comme MENGARA qui a assez de courage puisse publiquement manifester ses convictions politiques les autres soit disant opposants nous connaissons de quel coté ou ils se trouvent actuellement .alors trouver le faite qu'il discute a distance ou organise une conférence de presse avec la presse gabonaise au téléphone est une faiblesse est dommage ,car ce systeme est pret a tout pour se péréniser au pouvoir s'il faille oter la vie d'un leader politique assez génant ils le feront ,et actuellement ils ont une autre stratégie c'est toujours tenter de corrompre les opposants qui de nos jours sont tous trempé dans le systeme ,et quand un opposant résiste a cette méthode ils reviennent l'ancienne c'est s'en débarrasser physiquement de celui qu'ils trouvent génant.Alors monsieur voici un peu caneva de la situation politique du systeme gabonais alors arreter de raconter des propos qui n'ont a rien avoir avec la réalité ou je pense que vous etes la pour nous divertir ,je pense que tout etre humain a un bon sens de ce faite faite agir de temps en temps le votre de meme que votre bonne foie car jusque la tous ces principes et valeurs n'ont plus de place dans les entrailles de ceux qui dirigent notre pays a l'occurrence au premier rang monsieur BONGOOOO .ah oui c'est vrai il ya encore la bonne fois lui puisque désormais nous allons avoir une basilique c'est dommage voici encore une autre diversion MR CHRISTAIN vous l'économiste penser vous vraiment que la construction d'une basilique qui va couter des milliards de fcfa au contribuable gabonais est une priorité pour le gabon quand je sais que les routes n'y sont presque pas bien contruitent ou demandent a etre modernisées car en tant qu'économiste vous connaissez l'impact que peux avoir une économie dans un pays ayant de bons moyens de communication tels que la route? sur cette interrogation je vous envoie a revoir votre position et bonne journée car je crois a un gabon prospère ,,juste ,et compétitif. Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages > ___________________________________________________________ > > > > J'ai beaucoup de respect pour M. MENGARA comme pour tous ceux qui affiche leur courage et leur détermination politique. > J'estime simplement qu'on ne peut faire efficacement de la politique et , surtout, agir au profit des populations en créant un site depuis les USA et en pratiquant des conférences de presse par téléphone. > En tant que leader politique, M. MENGARA doit se poser en exemple et donner confiance à ses militants sur le terrain. C'est ainsi que les plus grands leaders se sont imposés comme des interlocuteurs crédibles. > Je n'ai jamais exclu la "politique" des enjeux de combat de l'opposition. Je crois plutôt que ce sont nos "politiques" - y compris ceux issus de l'opposition - qui l'ont exclu. Je tiens à rappeller qu'on ne peut gagner un combat politique sans assurer à son mouvement et aux populations que l'on souhaite libérer une certaine indépendance économique vis à vis de ceux qu'on dénonce comme bourreaux de ces populations. > Je vous renvoie à tous les mouvements politiques de libération en Amérique latine, en Afrique. Ceux sont des mouvements qui se sont constitué comme des Etats en formation et qui ne laissent rien au hasard. Je crois que c'est la raison pour laquelle en Afrique australe et centrale (rwanda, ouganda, angola...) ou dans le delta du niger (Nigéria) ces mouvements ont fini par être écoutés. Il n'y a qu'au gabon où on croit qu'il suffit de s'afficher par internet pour changer quoi que ce soit. > Je ne suis pas un idéologue, mais je tiens compte du contexte capitaliste dans lequel nous vivons. Ce ne sont pas toujours les droits de l'homme qui triomphent ou qui font pencher la balance; mais j'ai l'impression les soutiens des pouvoirs autocratiques commencent à refléchir à leur stratégie lorsque les risques de remise en cause des profits ou même de la viabilité des activités en place s'accroissent. > Cela fait 40 ans que nous nous battons et cela ne bouge pas. Il faut apprendre à frapper là cela fait mal : au portefeuille des soutiens des pouvoirs illégitimes. > Ne pas tenir compte de cette réalité me parait naïf. Pourquoi M. MENGARA - de sa retraite au USA - ne va t-il pas négocier les achats d'avions de transport de troupes ou d'attaque ainsi que des bateaux pour une opération aéro-navale sur la présidence et les points stratégiques de la république ? Faut - il les énumérer ? Dans la plupart des cas, ils se trouvent à peine à moins de 11 kilomètres de la côte. > Pourquoi ne lance t-il pas des programmes d'aides alimentaire, scolaire ou en matère de santé aux populations en difficultés au Gabon? > Nombreux sont ceux qui, comme moi, n'hésiterions pas à l'aider plutot que d'assister aux invectives de tous ceux qui se targuent d'être des opposants. > Lorsqu'on se proclament partisans du changement, il ne faut pas attendre d'accéder au pouvoir pour amorcer ce changement. Il faut commencer même dans la clandestinité. > Franchement, je ne sais pas ce qu'être bongoïste. Ma foi ne me fixe que Dieu, et jalais aucun homme, comme modèle ainsi que l'infini comme perspective. > > > > MANGASS MANAGEMENT > Christian MAYANDJI > Directeur > Cabinet Conseils & Ingénierie > Economie d'entreprise - Affaires > Projets de développement durable > > > ----- Message d'origine ---- > De : Zéro Fautes > À : bdpalabres at bdpgabon.org > Envoyé le : Vendredi, 29 Février 2008, 16h31mn 55s > Objet : Re : [palabres] Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville > > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages > ___________________________________________________________ > > Oui, mais on voit que ton travail sur tes programmes souffre de limitations. Si tu analyses tes projets comme tu analyses le Gabon, je plains tes clients. > > le problème avec toi c'est que tu crois être le premier à avoir élaboré toutes les théories politiques et économiques du monde. Tu n'arrives même pas à voir la contradiction fondamentale dans ta propre démarche. > > 1) Tu accuses l'analyse du Dr. Mengara d'être partielle car elle met trop l'accent sur les personnes et la politique. > > 2) Tu recommandes donc d'abandonner le politique pour s'occuper d'économie. > > Seulement, par ton approche partielle du problème, tu retombes dans les travers que tu reproches au Dr., c'est à dire que tu abandonnes totalement la mpolitique pour axer ton argument sur l'économie, sans tenir compte de la responsabilité que les hommes ont sur l'économie, surtout dans un pays comme le Gabon avec des pilleurs comme Bongo. Tu te berces de l'illusion que les changements viendront tous seuls même si la dictature est en place > > Frère, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, ta diuctature est en place depuis 40 ans. Combien de preuve te faut-il encore pour te montrer que dictature et progrès économique ne vont pas ensemble? Si c'était possible, ton Gabao serait déjà un Koweit. malheureusement pour toi, les hommes politiques que tu veux laisser de côté boivent toute la richesse du gabon aux dépends de tout le monde. > > Là où ta théorie meurt est que tu oublies que ce n'est pas l'économie qui fait les hommes mais les hommes l'économie. Pour qu'une économie soit fonctionnelle, elle dépend entièrement des actes des hommes. Démocratiser, rejeter la dictature, donc les hommes, est une meilleure garantie de succès économique que laisser les pilleurs en place alors même que ce sont ces pilleurs qui tuent l'économie. > > Encore une fois, le jour où tu le comprendras, on pourra mieux discuter. Pour le moment, ton statut de grand directeur que tu affiches souffre de bongoïsme. Tu sembles être un défenseur du statut quo bongoiste. je t'aurais mieux compris si tu arguais que pour changer le pays, il faut le faire à deux niveaux parallèles: changer les hommes et changer les mentalités polluées par ces hommes pour responsabiliser les Gabonais. Malheureusement, ton approche consiste à dire: Ce n'est pas la faute de Bongo si le Gabon est comme ça. Laissez-le continuer à piller et débrouillez-vous avec des illusions. > > Mais je te dis déjà, avec l'exemple précédemment cité, que la dictature tue même les initiatives que tu crois pouvoir appliquer indépendamment du changement politique. > > Voilà. > > > Christian MAYANDJI wrote: >> ___________________________________________________________ >> Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages >> ___________________________________________________________ >> >> >> >> Cher compatriote, >> >> Le combat contre une dictature ne passe pas nécessairement par de la véhémence verbale ou par le dénigrement de ses interlocuteurs. Je crois effectivement qu'il est possible de faire la révolution économique - ou la REVOLUTION - au sein d'une dictature et je pense même que c'est une condition fondamentale pour obtenir le renversement du rapport de forces aboutissant à la disparition de cette dictature et à la restauration des libertés ou des initiatives individuelles. >> >> Le rapport que vous entretenez avec le président de la République gabonaise s'apparente à la relation qu'un enfant entretient avec une figure paternaliste. Vous criez un peu plus fort que les autres dans l'espoir d'attirer l'attention de ce père apparemment inaccessible avec l'espoir, quelque fois vain, d'en obtenir un avantage, une friandise. >> >> Quand on veut se libérer, il faut aller un plus loin en commençant par analyser les causes profondes des échecs successifs des actions menées jusqu'à ce jour. Il faut surtout essayer de comprendre pourquoi toutes ses invectives n'interessent plus que leurs auteurs et un parterre de plus en plus réduit d'individus. La REVOLUTION au Gabon, quelqu'en soit sa nature, a besoin de s'appuyer sur des actions mieux réfléchies autour des stratégies plus efficaces que le dénigrement. In fine, QU'EST CE QUE VOUS CHANGEZ? Uniquement remplacer un individu à la place d'un autre autre : vous n'obtiendrez qu'un ravalement de façade et le renouvellement ou le prolongement d'une dictature. Je crois qu'il faut (re) analyser le fonction de notre Etat et de nos structures socio-économiques pour être en mesure de construire un système ou chacun trouve sa place dans le respect de sa liberté d'initiative. >> >> Les gabonais ont besoins de leaders un peu plus conséquents et surtout pragmatiques : Ils ont besoin d'être entrainés par des personnes qui se donnent les moyens de leurs actions et qui vont ouvertement jusqu'au bout de leurs objectifs. Nous avons besoin de leaders qui gagnent le respect de leurs idées sur le terrain et non d'intellectuels en mal de public captif. Qu'est ce qu'être "docteur" de nos jours si on n'est pas capable d'apporter les solutions les plus élémentaires aux problèmes courants que se posent nos concitoyens. >> >> Je ne suis pas un fanatique des débats idéologiques. Je prefère travailler sur des programmes-projets avec des objectifs précis en terme de performance, délais et (économies) de coûts. Ne soyez pas étonné si je ne vous suis pas sur la voie des débats stériles. >> Cordialement. >> MANGASS MANAGEMENT >> Christian MAYANDJI >> Directeur >> Cabinet Conseils & Ingénierie >> Economie d'entreprise - Affaires >> Projets de développement durable >> >> >> Zéro Fautes wrote: >>> ___________________________________________________________ >>> Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages >>> ___________________________________________________________ >>> >>> >>> >>> C'est justememt parce que tu ne comprends rien à l'interaction intime entre économie et politique que tu ne sais pas ce que tu dis. C'est comme Mba Obame qui essaie de limiter l'expression politique des ONG sans comprendre que leur expresion est forcément politique. Comme le démontre le Dr. Mengara, limiter la liberté d'expression à un journaliste c'est tuer l'entreprise qui emploie le journaliste. Un journal est une entreprise privée créée par un citoyen privé pour la survie économique. Ce n'est pas un hobby. Le propriétaire d'un journal est avant tout un chef d'entreprise avec des employés. Quand on imite ou cesure la liberté d'expression, on tue le journal, donc l'entreprise qui fait vivre des familles. Le jour où tu comprendras comment la dictature est foncièrement un système anti-économie, tu pourras revenir nous endormir avec ton approche totalement bongoïste de l'économie. Peut-être comprendras-tu les vertus inaliénables de la démocratie comme facteur de promotion du bien-être et du progrès. Pour toi, on peut avoir une dictature en place et réussir la révolution économique au Gabon, hein?