From protected at yahoo.fr Tue Jan 1 20:06:07 2008 From: protected at yahoo.fr (moundanga guy martial) Date: Tue, 01 Jan 2008 20:06:07 -0500 Subject: [BDPalabres] Re : tristesse Message-ID: très cher ami une seule chose a retenue mon attention dans votre argumentation :c'est quand vous parliez des actions allant a destabiliser le systeme bongo ou lorsque vous parliez aussi de coup d'etat ,pour etre clair avec vous mr ONDO ONDO je partage cet avis car il va falloir qu'a un moment donné que nous jeunes gabonais puissions arriver après maintes refflexions a poser certains actes pré-cités ici. En effet,il n'y a que par la force que bongo prendra conscience de partir du pouvoir et pour répondre a certaines de tes interrogations oui je suis pret a participer ou a comploter un coup d'etat au gabon ,je vais peut etre vous surprendre dans ma démarche mais je vous rassure qu'avec ou sans l'aide des gabonais partisans des discours qui ne changent rien au pays j'arriverai a mes fins ;etudiant en fin de cycle j'ai opté après de rentrer dans la légion pour une formation de deux ans qui me permettrait d'acquérir une certaine formation militaire pour mener a bien mon objectif,et actuellement je fais des allées et retour au moyen orient et en afrique du nord ou je suis en train de tisser des contacts qui me permettrons non seulement d'agager des hommes dignes et de l'armement militaire qui y circule facilement dans ces pays .Voici en bref le caneva et le seul discour que je peux tenir face a la situation du gabon alors puisque que je constate que vous partager les memes idées que moi il ne me reste qu'a vous poser une seule question;etes-vous pret a vous joindre a moi? si oui n'hésiter pas de me contacter et je vous donnerai dans ce cas un rendez-vous pour que nous puissions discuter de vive voix .mais pour ma sécurité je ne pourrai point vous dire dans quel pays ou ville je réside actuellement .nous allons juste rentrer en contact pour l'instant que hors des frontières du pays ou je vis .alors mr voici comment nous devions nous débarasser définivement de ce système et de ce singe de bongo ;oui je suis pret a laisser ma vie car je ne rentrerai jamais exercer au gabon tant que ce systeme est toujours aux commandes de notre pays de peur d'etre contaminé un jour par tous ces maux qui minent notre pays .et de ce fait j'ai decider a ne pas etre un temoin de l'histoire mais plutot a jouer un role d'acteur car les ainés ont été incapable c'est pas pour au tant que nous les jeunes allons aussi baisser les mains .Mais une chose est sure c'est ensemble que nous réussirons;alors arretons les discours mes freres passons aux actes svp car on ne raisonne pas avec une personne comme BONGO il est bete pour prétendre discuter ou debatre avec lui de meme que tous les intellectuels gabonais qui l'entourent aujourd'hui qui ont oublier ce que c'est la honte ;la pudeur ,la dignité ,etc vous imaginer que cette classe ploitique est representer a cette image un carnivore tel que la panthère face a son festin une fois rassasier puis vient la place des vautours que terminer la caracasse de l'animal pris pour festin :et les vautours ici ce sont les ministres vice president,premier ministre,etc et la panthere c'est ondimba bongo et le festin c'est le gabon laisser a la merci d'un grand carnivore qui en fin ce qu'il veux .sur cette petite representation de notre pays je vous laisse aussi a votre maniere d'interpreter ce que vous penser de notre tres cher pays merci Ondo Ndong wrote: > > Franchement, pour répondre à ta question, qu'est ce que tu nous dis d'abord ? Expression sans doute réactionnaire. Mais tu comprends à peu près ou je veux en venir. Tu relates un fait général sans l'avoir analysé. Ce que je pense, sans langue de bois. Le Gabon cesse d'exister après le règne de Bongo. C’est la dernière fois qu’une telle réalité vient de se produire dans ce pays. Le prochain gouvernement sera un gouvernement fantôme, sinon celui d’une nouvelle république. > > Je me situe dans la nouvelle vision politique du Gabon, celle qui s’inscrit dans des actions stratégiques ou tout gabonais est en mesure de devenir un belligérant à par entière. Il y a des méthodes qui existent pour cela et qui ont déjà fait leur preuve. > > Il suffit donc qu’il y a au sein de notre pays, une nouvelle race d’Homme, une race bénit d’une volonté accrue, une race qui ne sait pas conjuguer la politique du ventre, une race, à terme de gens braves. Des personnes qui non seulement ne pensent pas en étant dans leur maison ou ailleurs, mais des gens sur le terrain, des vrais maquisards, capables de déstabiliser tout action venant d’un gouvernement qui ne fournit pas l’énergie qu’on attend... Serais-tu partant cher ami de te joindre à un mouvement extrémiste pour mener des représailles au Gabon?... Je ne suis pas sûr. Voyez-vous, même ceux qui ont été à la tête des mouvements politiques dans notre pays, se sont rallier au gouvernement d’Omar Bongo. > > Des groupes de gabonais ont crée des mouvements politiques, ce qui ne servait à rien en soit, l’idéal selon mes perspectives était de se rassembler en un groupe commun par des approches multiples et bien ficelées, menant à déstabiliser le système Bongoïste. De cet avis inavoué, cela n’a pas pu se produire à cause du « Je » pronom personnel et aussi de se faire remarquer par les dirigeants en place. Cet aspect très simpliste, détruit nous-mêmes gabonais. Ce qui nous reste, c’est la critique facile, les belles-lettres, les formulations multiples. J’en fais autant et je ne suis pas laissé de bord. > > Voyez-vous, lorsqu'on propose par exemple d'aller faire un coup d'Etat au pays, les esprits frémissent, d'autres disent oh, ce n'est pas bon ! A quoi bon se plaindre, lorsque vous savez qu’en votre âme et conscience, la politique de Bongo nuit les intelligences du Gabon ? Hein! A quoi bon se plaindre, lorsque vous savez que vous n’êtes même pas capable d’utiliser d’autres outils en dehors de la bouche pour abattre le système à plein couture. > > Un exemple assez marrant, lorsque Bongo vous fait goutter la soupe, certains viennent faire le spectacle sur le net, en espérant avoir plus de voix. Je vous demande, mes chers amis, laissons de côté cette mentalité qui consiste à sonder les autres. Voyons ailleurs, car le système Bongo n’est plus loin du gouffre. Il a formé un nouveau gouvernement, qu’adviendra les autres qui n’ont pas eu de place au soleil ? Laissons de côté cette manière de penser. > > En me lançant par exemple dans la critique facile, comme j’ai su le mentionné plus haut. Bongo est disons le plus grand parasite du pouvoir, il crée des parasites qui crée eux aussi d’autres parasites, de ces parasites, certains hésitent, justement dû au fait qu'ils n'ont plus de force pour combattre tous les autres parasites. C’est dire en un mot, que tout le monde est affilié au désir du pouvoir. > > Alexandre ONDO NDONG From protected at hotmail.com Wed Jan 2 12:34:27 2008 From: protected at hotmail.com (Mengne) Date: Wed, 02 Jan 2008 12:34:27 -0500 Subject: Gouvernement Eyéghé Ndong Message-ID: L'annonce de la composition du nouveau gouvernement n'a pas comme il fallait s'y attendre tenue ses promesses. Le discours de Bongo le 2 décembre dernier est à mettre sur le compte de la propagande, des incantations et de la communication politique. L'éfficacité d'une équipe gouvernementale, sa capacité à réformer le pays, les espoirs qu'elle peut susciter chez les populations ne se mesure pas au nombre de ses ministres. 41 ministres pour une population d'un peu plus de 1 million d'habitants c'est une anomalie gouvernementale. Papa Bongo peut mieux faire. Le gouvernement n'a peut être plus la grosseur d'un éléphant mais il apparaît toujours aussi gras qu'un sanglier. Autre chose, c'est la grande contradiction d'un point de vue de l'image que dégage l'équipe d'Eyéghé Ndong. Ceux qui dans l'équipe précédente et dans l'esprit même du premier ministre incarnent le mieux les roitelets et le manque de solidarité gouvernementale sont toujours aux affaires et en charge des fonctions régaliennes. On met volontier l'accent sur les têtes qui sont tombées mais celles qui sont restées en raison de leur passif trop lourd annihilent l'effet escompté. Mamboundou était certainement en discussion avec le PR mais n'ayant pas obtenu suffisament de garanties et un poste qui serait l'équivalent d'un super premier ministre ave une marge de manouevre illimitée, il s'est rétracté. Nous considérons que la participation de Mamboundoua au gouvernement de Bongo n'est que différée, par ce que les milliards reçus un peu avant l'été dernier ont scellé un pacte politique dont le dénouement sera in fine l'acceptation par Mamboundou d'un poste ministeriel. Nous ne sommes pas dans la fiction mais dans la projection politique. From protected at hotmail.com Thu Jan 3 12:32:04 2008 From: protected at hotmail.com (Mengne) Date: Thu, 03 Jan 2008 12:32:04 -0500 Subject: [BDPalabres] Re : Gouvernement Eyéghé Ndong Message-ID: Dans la composition de l'équipe gouvernementale Eyéghé Ndong, peu d'éléments laissent présager d'une nouvelle donne en matière de gestion des affaires publiques. La configuration du gouvernement jugée trop grasse par tous les observateurs valide l'idéé selon laquelle, la mécanique républicaine extrêmement bien huilée et qui repose sur l'hyperprésidentialisme freine toute prise d'initiative ministerielle. L'idée de renouvellement, de rafraîchissement du gouvernement n'est pas clairement perçue. Les nouveaux ministres, ces nouvelles têtes n'ont pas de légitimité en elles- mêmes. Ils ne doivent leur présence au gouvernement que par le seul fait du prince. Tous les nouveaux ministres dans leurs premières déclarations publiques en qualité de ministre n'ont pas fait preuve d'innovation majeure. On s'est rapidement rendu compte qu'ils ont été à bonne école, qu'ils sont initiés, voire rompus à la pratique systèmatique, automatique, mécanique des hommages au PR, chef de l'état, chef suprême des armées, président fondateur, grand camarade et grand calif général. La première représentation publique de ces nouveaux ministres laisse clairement apparaître qu'ils ne sont pas portés par de grands idéaux. La participation au gouvernement est essentiellement vécue comme une récompense et un moyen de promotion sociale. La fonction ministerielle est prestigieuse, elle accroît les privilèges,décuple la notoriété, booste la réalisation de projets personnels, favorise l'employabilité et l'épanouissement des membres du clan dans les sphères publique et privée. Un portefeuille ministeriel permet de mieux figurer, il offre une plus grande aura pour assurer la propangande étatique et recruter pour le compte d'organisations serètes les jeunes loups aux dents longues dans le cadre du renouvellement des élites et perpetuer les mécanismes de blocage du fonctionnement de nos institutions. Nous pensons et nous voudrions nous tromper, que ces nouveaux ministres même s'ils se disent conscients de leur tâche n'en ont pas pris la pleine mesure. Ils sont attendus n'ont pas sur leurs déclarations de bonnes intentions, leurs incantations, leur aptitude à rendre hommage au PR mais sur leur capacité d'action, leur capacité à gouverner autrement. La vraie déception de ce gouvernement c'est la présence en son sein et à des fonctions regaliennes d'hommes qui dans la conscience collective, l'opinion publique et dans l'esprit même d'Eyéghé Ndong incarnent les roitelets, les bandits de grands palais. Des hommes qui sont nés à la responsabilité publique sous l'ère de la dictature, qui n'ont pas intégrés les valeurs démocartiques et les nouveaux enjeux de notre société. Jean Eyéghé Ndong doit continuer de traîner les dinosaures du gouvernement comme un boulet. Il souhaitait leur départ du gouvernement, c'était à ses yeux une nécessité impérieuse. Durant la période de tractations, de la réflexion sur les hommes qui animerait l'équipe gouvernementale, le premier ministre nous est apparu dans sa vérité profonde, plus détendu et en phase avec lui même. Mais au moment où il a rendu officielle la composition de son nouveau gouvernement, on a vu un homme réservé presque dubutatif. Peut-être était il déjà habité par la fonction? Mais a t-il durant tout le mois de décembre cessé une seule seconde d'être le premier des ministres? Les interrogations dans la mimique du chef de gouvernement s'expliquent en partie par le fait que l'intellectuel qu'il est, sa réputation de monsieur propre est consciente que l'électrochoc , l'épuration cacique ne s'est pas produite. La déclinaison de l'identité des différents ministres a suscité un malaise national et accentuée la crise de confiance et la défiance. Le rapport de force entre le premier ministre et les principaux ministres ne semble pas favorable au premier. Certains ministres, barrons du régime et aux affaires depuis des lustres, alors même que Eyéghé Ndong n'était pas né à la responsabilité au sein du parti au pouvoir, considèrent tout simplement qu'ils n'ont pas historiquement, politiquement, pécuniairement et maçonniquement de leçons, d'instructions à recevoir de quiconque à l'exception du prince. Les ministres baobab du gouvernement ignorent volontairement le chef du gouvernement, auquel ils ne font presque jamais référence faisant peser sur lui un déficit de légitimité. L'exercice gouvernementale de l'équipe Eyéghé Ndong est extrêment périlleux. Son intélligence et sa crédibilité politque sera son habilité à faire du neuf avec du vieux. From protected at yahoo.fr Thu Jan 3 12:38:24 2008 From: protected at yahoo.fr (moundanga guy martial) Date: Thu, 03 Jan 2008 12:38:24 -0500 Subject: [BDPalabres] Re : tristesse Message-ID: passons aux actes et arretons les discours steriles frere ONDO ONDON ALEXANDRE retiens cette date et tu te rappellera de moi toujours, le 17 aout 2008 au lieu de feter des indépendances les gabonais conjuguerons le verbe pleurer. From protected at yahoo.fr Thu Jan 3 12:40:32 2008 From: protected at yahoo.fr (ONDO NDONG) Date: Thu, 03 Jan 2008 12:40:32 -0500 Subject: [BDPalabres] Re : tristesse Message-ID: Bonjour l'Ami, Je viens de recevoir ton e-mail, et crois-moi, je vais te répondre au moment venu. Cela dit, pour te donner une idée qui me traverse l'esprit, puisque nous en avons déjà pensé à la stratégie d'un départ immédiat de Bongo par tous les moyens possibles. Le BDP, mouvement politique pour lequel je suis membre depuis sa création, a déjà eu à mettre en place avec l'accord d'autres membres, un groupe de la branche armée au nom du MAMBA. Ce groupe a pour vocation de libérer le Gabon pris en otage pas le système Bongoïste. En réalité, toute la démarche que tu proposes et pour laquelle j'y adhère est similaire à celle de ce groupe Armée le MAMBA. A terme si tu veux bien, puisque nous n'avons peur de rien, nous pouvons donc quelque soit la distance, travailler ensemble dans la plus grande transparence sans langue de bois. Il faut justement permettre au pouvoir en place, de savoir qu'ils existent des gabonais qui visent à prendre le pouvoir par tous les moyens possibles, ce qui veut dire, un coup d'Etat n'est pas forcément une étape qui passe obligatoire par le bain de sang, mais il peut se faire par d'autre manière. Le coup d'Etat engendré du bain de sang n'est pas la seule possiblité, mais cela est possible en cas de résistance du pouvoir en place. Ce cas peut donc se faire en dernier recours. S'il t'était donc donné l'occasion d'en parler un peu plus, je prendrai le temps de réfléchir à la stratégie que nous pourrions adopter ensemble. Pour l'instant mettons nous au travail et voiyons les mesures qui peuvent être prise pour venir à bout de ce système. From protected at yahoo.fr Fri Jan 4 01:27:30 2008 From: protected at yahoo.fr (moundanga guy martial) Date: Fri, 04 Jan 2008 01:27:30 -0500 Subject: [BDPalabres] Re : tristesse Message-ID: enfin une réaction satisafaisante ouf sympa de votre part j'attends toutes proposition de votre part . From protected at yahoo.fr Fri Jan 4 13:25:52 2008 From: protected at yahoo.fr (jules ferry) Date: Fri, 04 Jan 2008 13:25:52 -0500 Subject: [BDPalabres] Re : tristesse Message-ID: salut! quelle propositions attendez vous et que contient votre pièce jointe? bonne continuité....... ----- Message d'origine ---- De : moundanga guy martial À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Vendredi, 4 Janvier 2008, 7h27mn 30s Objet : [BDPalabres] Re : tristesse enfin une réaction satisafaisante ouf sympa de votre part j'attends toutes proposition de votre part . From protected at yahoo.fr Fri Jan 4 13:31:13 2008 From: protected at yahoo.fr (Ondo Ndong) Date: Fri, 04 Jan 2008 13:31:13 -0500 Subject: [BDPalabres] Re : tristesse Message-ID: Les discours stériles, les actes stériles ! Ho ! Tu crois vraiment que c'est comme cela que nous allons pouvoir travailler ? Au BDP, lorsque l'on est pressé, on s'est à quoi s'attendre. Si pour toi tout propos venant de Mr ONDO NDONG est stérile, cher Ami, il ne vois pas l'intérêt de poursuivre une discussion avec toi sur des stratégies en matière de destabilisation, encore moins de travailler avecdes fantômes. Evoqer une date du 17 août 2008 n'a rien d'un acte concret, c'est une annonce et non une réalité produite, donc s'il te plaît soyons un peu plus sérieux, beaucoup de gens lisent ce que tu dis. Bien des choses à toi...... ------------------------------- De M. Alexandre ONDO NDONG Artiste Peintre-Anthropologue des Arts Africain site :http://www.artactif.com/ondondong -------------------------------- ----- Message d'origine ---- De : moundanga guy martial À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Jeudi, 3 Janvier 2008, 18h38mn 24s Objet : [BDPalabres] Re : tristesse passons aux actes et arretons les discours steriles frere ONDO ONDON ALEXANDRE retiens cette date et tu te rappellera de moi toujours, le 17 aout 2008 au lieu de feter des indépendances les gabonais conjuguerons le verbe pleurer. From protected at yahoo.fr Fri Jan 4 13:33:04 2008 From: protected at yahoo.fr (casimir obame mezeme) Date: Fri, 04 Jan 2008 13:33:04 -0500 Subject: [BDPalabres] Re : tristesse Message-ID: bjr si l'eventualité d'un coup d'etat par les armes est à exclure de quels autres moyens disponse t-on pour arriver à nos fins? From protected at hotmail.com Fri Jan 4 13:42:57 2008 From: protected at hotmail.com (obame) Date: Fri, 04 Jan 2008 13:42:57 -0500 Subject: [BDPalabres] L'heure est grave Message-ID: Je pense pour ma part que les gabonais sont essoufflés et ne savent comment faire pour que le pouvoir accomplissent des actes allant dans le bon sens. Ces dirigeants n'ont pas l'amour du pays sinon ils n'agiraient pas de la sorte tout en sachant qu'il y a un coup de gueule collectif depuis un bon nombre d'année(arrivent-ils à se regarder dans la glasse chaque jour en se disant je travaille pour mon pays). Bilan zéro et qui sait ce qu'ils ont comme plan tordu. Je ne sais plus quoi dire tellement je suis déçu par nos dirigeants. Je prends un seul exemple la route: ils sont dans l'incapacité depuis 40ans de nous construire des routes dignes de ce pays entre temps il est dit que la route est l'un des facteurs de développement et non les sentiers qui sont rafistolés à tout moment. A force de trop s'investir là dedans on risque d'y laisser notre propre santé.Dans ce pays nous avons fait le constat amer qu'un ministre par exemple ne pose en général des actes que chez lui tout en oubliant qu'il est ministre de la République . Tout développement part d'abord du changement de mentalité et le reste suivra après. En ce moment au pays là majorité d'entre nous font la politique du ventre comment en sommes-nous arrivés là,au point d'oublier et maltraiter nos semblables cela me fait m'inquiète sérieusement. Qu'ils volent en tout cas à mon niveau rien à secouer mais en retour qu'ils posent des actes concrêts tout ce que l'on veut c'est des meilleurs conditions de vie et j'estime que c'est le souhait de tout homme. From protected at bdpgabon.org Fri Jan 4 20:26:04 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Fri, 04 Jan 2008 20:26:04 -0500 Subject: Discours à la nation du Dr. Daniel Mengara Message-ID: Discours à la nation du Dr. Daniel Mengara : « Le gouvernement Eyegue Ndong III est un gouvernement « asamsé », un ramassis de ministres « usagés », incompétents et inutiles pour l'avancement de la patrie » http://www.bdpgabon.org/content/view/5637/39/ Dans le cadre d'un discours programme qui non seulement établit le bilan de la gestion désastreuse que le régime Bongo a faite du Gabon en 40 ans de pouvoir, mais aussi énonce les grands axes de la politique de démocratisation, de réforme et de développement qui devrait être celle du Gabon, le Dr. Daniel Mengara se livre ici sans ambages à une autopsie politique et économique du pays qui devrait faire école dans l'histoire politique du Gabon. From protected at aol.fr Mon Jan 7 14:57:50 2008 From: protected at aol.fr (Bruno Vecarte) Date: Mon, 07 Jan 2008 14:57:50 -0500 Subject: [BDPalabres] Bongo, Meure en Paix... Message-ID: J'ai lu ce matin sur le site de Laure Olga Ngondjout les déclarations de Bongo, qui, entre autres balourdises, a avancé que : « Ce n’est pas le nombre de ministres qui pose problème ». Eh ben, il était temps ! En 40 ans de pouvoir et d'immobilisme, je dois avouer que c'est bien la première fois que je suis d'accord avec lui ; même si je sais parfaitement que nos approches de cette lapalissade restent diamétralement opposées. Car en effet, ce n'est pas le nombre de ministres, pour la plupart ventripotents et incompétents, qui pose problème au Gabon, mais bien lui, Bongo ! Je ne mettrai pas mon doigt au feu pour espérer de lui qu'il ait un seul instant pensé comme moi ; ce serait ma main entière qui brûlerait plutôt ; tellement cet homme est incapable de dormir une nuit et de regarder comme son film "Gabon un jour nouveau (pour le pillage)" afin de se rendre compte que c'est bien lui le responsable du chaos de cet eldorado pétrolier, devenu eldorado carnacier. Les Gabonais ne doivent pas oublier un seul instant que c'est ce président par défaut, installé par la France en 1967 avec l'aide de quelques amis franc-maçons, qui s'est donné pour objectif avec la complicité de sa garde plétorienne faite de cousins, nièces, amis, neveux, filles, fils, etc., de ne laisser au Gabon que steppe et désolation ! Tous ces simulacres d'élan national et de sursaut patriotique de dernière minute, après 40 longues années de pillages, vols et de meurtres, ne sont que de la poudre aux yeux. Malheur donc aux Frères et Soeurs Gabonais qui y verraient une quelconque lueur d'espoir, car un mauvais arbre ne pourra JAMAIS produire de bons fruits, quoi qu'il en sera. De plus, les fétiches et autres reliques que lui apportent chaque jour certains de nos frères et soeurs animalisés, en contre-partie d'une promotion dans ce carnage républicain, ont fait de ce type un diable quasi-immortel. Les gabonais en sont réduits à ce jour à devoir supporter ce monstre et attendre en rongeant leurs ongles qu'il s'en aille ad-patrès, comme tous ses confrères dictateurs (Mobutu, Houphouet, Eyadema, Rawiri, etc.), qui nous fait le bonheur de nous debarrasser le plancher en tirant (malgré eux - ah ah) leur révérence ! Alors, qu'attends-tu donc pour partir à ton tour, Omar Bongo ? En tout cas, que le diable t'emporte avec tous tes complices ! Qu'il emporte avec toi tous ceux et toutes celles qui ont osé prendre un seul FRANC-CFA (dollè) de plus que ce qu'ils auraient mérité par leur travail dans l'argent produit par les richesses puisées dans le sol où sont ensevelies nos ancêtres. Oui que le Diable vous emporte tous ! Car à défaut de prendre les armes pour faire nous-mêmes justice comme cela se fait partout ailleurs, les Gabonais doivent désormais implorer Azraël, l'ange de la mort, pour qu'il vienne vous emporter l'un après l'autre comme cela a commencé il y a peu. Car il y a un peu de TROP maintenant dans ce que tes complices et toi font endurer sauvagement et cyniquement au pauvre peuple Gabonais dont vous savez la patience et la lenteur face à la révolte. Et vous abusez de cet élan de coeur depuis TROP longtemps maintenant. Oui que l'ange de la mort t'emporte en premier, Bongo ! Tu sais, le peuple élu de Dieu (Hébreux) a attendu 400 ans avant de se voir envoyer un Libérateur par Dieu Le Tout Puissant, et amorcer ainsi la décadence de l'empire de Pharaon. Le Gabon étant une terre bénie (car ce n'est pas toi Bongo qui incarne la paix, mais bien l'esprit de sagesse et d'amour du prochain dont chaque Gabonais et Gabonaise est pétri, qui nous donne ce seuil et ce sens du pardon incompressibles, envers l'animalité de ceux de nos frères et soeurs que vous êtes tous) ; ta longévité et la lithanie du pauvre peuple gabonais, qui croupit par ta faute dans la misère et la désolation depuis que tu es au pouvoir, sont à assimilier à la durée de l'esclavage dans le désert égyptien du peuple de Dieu. Ta mort très prochaine actera la délivrance de ce pays et l'édification (enfin) d'une Nation prospère, telle que prévue par tous les ancêtres issus des 57 ethnies de notre pays. Tes complices et toi-même ne font pour l'heure que retarder le Destin du Gabon, mais vos petites existences singulières (chacun de vous n'en ayant qu'une - Dieu merci) ne suffiront JAMAIS à changer ce Destin, et ce malgré tout le vol et le mensonge que vous ne cessez jusqu'alors d'organiser auprès de nos frères et soeurs depuis 40 ans. Votre heure à tous est proche ! Et si ton fils ramené du Biaffra croit dans sa tête rotie au babylys qu'il pourra perpétuer l'oeuvre de Mamon que tu incarnes, c'est que - comme en témoigne ton long règne san relief et tes vraies origines congolaises - c'est que tu n'aurais finalement jamais rien compris à l'AME bien trempée et bien repartie de ce peuple gabonais qui t'entoure. Meure en paix. Vecarte. From protected at yahoo.fr Mon Jan 7 15:01:39 2008 From: protected at yahoo.fr (Biwawou) Date: Mon, 07 Jan 2008 15:01:39 -0500 Subject: [Palabres] Re: Discours à la nation du Dr. Daniel Mengara Message-ID: Je partage totalement l'analyse de la situation dressée par le DR Mengara et suis, on ne peut plus triste de me rendre compte que le problèmes ou devrai je dire, le probleme du Gabon est connu de tous: Bongo. Alors sachant que Bongo est le mal qui nous tue, dès lors la problématique qui doit nous préoccuper consiste à nous demander, comment chasser cet homme du pouvoir? Rien de la brillante stratégie proposée par daniel Mengara Minko ne peut voir le jour si Bongo est encore là et il est unitile de penser que Bongo peut appliquer la démocratie politique au Gabon. On ne change pas à son age. Comment faire en 2008 pour chasser Bongo? Le début de réponse à cette question est le debut de guerison pour le peuple gabonais. Patrotiquement. From protected at yahoo.fr Mon Jan 7 15:06:42 2008 From: protected at yahoo.fr (EUSTACHE NDEMBI) Date: Mon, 07 Jan 2008 15:06:42 -0500 Subject: [Palabres] Re: Le BDP-Gabon Nouveau tient son premier meeting politique à Libreville Message-ID: je vous remercie pour ces informations dont on ne nous fait jamais part.J'ai lu toute la newsletter et toutes les informations étaient pertinentes.Pour ce qui est de l'anniversaire des 40 ans de vole de bongo,et en ce qui me concerne je ne me suis pas vu impliqué et bénéficiaires de fêter cela.Déjâ que j'étais obligé de changer de chaînes ou de mettre un DVD car TOUTES LES CHAINES n'avaient que cela à diffuser alors que ça m'interèssait pas et m'énervait.le pire c'est qu'on a fait croire que tout le Gabon était en fête.Et dans mon établissement les élèves des classes de 4ieme,2nde et 1iere étaient contraints de se rendre au stade omnisport pdt bongo sous le risque d'une exclusion.C'est pire que REGRETABLE salutations chaleureuses BDP-Gabon Nouveau wrote: > A LA UNE > > Communiqué: Le BDP-Gabon Nouveau tient son premier meeting politique à Libreville, au milieu de tentatives de sabotage > http://www.bdpgabon.org/content/view/5524/39/ > (BDP-Gabon Nouveau, 11 décembre 2007) - C'est le samedi 1er décembre dernier que le BDP-Gabon Nouveau a tenu au quartier Kinguélé à Libreville le tout premier meeting politique public du mouvement au Gabon depuis sa création en exil aux Etats-Unis en 1998. Organisé par le Comité de Coordination Nationale qui représente le mouvement au Gabon, le meeting visait à marquer de vive voix son rejet de la célébration par Omar Bongo du 40ème anniversaire de sa dictature sur la nation gabonaise. (+ Photos et Vidéo) > Interview de Monsieur Paskhal Nkoulou, Coordonnateur National du BDP-Gabon Nouveau, sur radio TopFM: "C'est trop facile pour Bongo de jouer les ignorants" > http://www.bdpgabon.org/content/view/5533/39/ > (BDP-Gabon Nouveau, 11 décembre 2007) - C'est le 27 novembre 2007 que Monsieur Paskhal Nkoulou, Coordonnateur National du BDP-Gabon Nouveau, a été interviewé sur les ondes de TopFM, une radio FM de Libreville au Gabon. Monsieur Nkoulou a ainsi participé à une émission interactive organisée par TopFM sur les 40 ans du régime Bongo au Gabon. Lors de cet entretien exclusif, Monsieur Nkoulou a fustigé la prétendue ignorance d'Omar Bongo, un président qui pendant 40 ans prétend ignorer tout de ce que son entourage a fait et qui a plongé le pays dans le marasme social, économique, politique et culturel le plus total. (+ Vidéo!) > > AUTRES TITRES > > Gabon: Ouverture à Libreville de la Conférence en soutien au moratoire sur la peine de mort > http://www.bdpgabon.org/content/view/5525/9/ > Le chef du gouvernement, Jean Eyeghé Ndong, en présence du président de la Cour constitutionnelle, Marie-Madeleine MBorantsuo, des membres du corps diplomatique accrédité au Gabon, des membres du gouvernement ainsi que de la société civile et des partenaires au développement, a ouvert lundi à Libreville, et ce pour deux jours, la "Conférence en soutien au moratoire sur la peine de mort", organisé par le ministère des Affaires étrangères, en collaboration avec l’ONG « Ne touchez pas à Caïn » avec le soutien des Pays-Bas. > > Gabon: Hausse des frais de visa à l’Ambassade des Etats-Unis d’Amérique à Libreville > http://www.bdpgabon.org/content/view/5526/45/ > Les candidats au départ de Libreville pour les Etats-Unis d’Amérique (USA) vont devoir débourser une sérieuse cagnotte en vue de l’obtention du visa d’entrée au pays de l’oncle Sam, a appris GABONEWS des sources diplomatiques américaines. > > Gabon: L’Université des sciences techniques de Masuku au bord d’une nouvelle paralysie > http://www.bdpgabon.org/content/view/5527/9/ > Selon des sources concordantes, les cours seraient gelés à l'Université des sciences et techniques de Masuku (USTM) depuis vendredi dernier et les raisons de la grève seraient bien connues puisqu’il s'agit du non paiement des bourses d'études. En effet, selon cette source, plus de la moitié des boursiers que compte l'USTM n'ont pas retrouvé leurs noms dans les états de bourses affichés la veille pour la perception des allocations d'études samedi dernier. > > Gabon: Le ministre Paul Toungui, lance à Libreville la première émission obligataire de la sous région dénommé « Etat Gabonais 5,50% net 2007 – 2013 » > http://www.bdpgabon.org/content/view/5529/9/ > Dans le cadre du rachat anticipé de sa dette auprès des créanciers du Club de Paris, l’Etat Gabonais, par le biais du ministre d’Etat, de l’Economie, des Finances, du Budget et de la Privatisation, Paul Toungui, a, procédé lundi à Libreville, au lancement d’un emprunt obligataire de cent (100) milliards de francs CFA par un appel public à l’épargne sur le marché financier de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC). > > Gabon : La Bourse de Libreville démarre avec un emprunt de 100 milliards de F CFA > http://www.bdpgabon.org/content/view/5535/9/ > Les souscriptions à l’emprunt obligataire initiées par l’Etat gabonais et dénommée « Etat Gabonais 5,5% 2007-2008 » ont démarré aujourd’hui le lundi 10 décembre. C’est avec cet emprunt record que la Bourse des Valeurs Mobilières de l’Afrique Centrale (BVMAC) et basée à Libreville lance officiellement ses activités. > > Union Africaine : six candidats dont un Ouest-africian toujours en lice pour remplacer Konaré > http://www.bdpgabon.org/content/view/5523/45/ > Six candidats sont toujours en lice pour remplacer le Malien Alpha Omar Konaré à la tête de la Commission de l'Union africaine (U.A), dont un candidat en provenance de la sous région ouest-africaine, a appris Ouestafnews de sources concordantes. En dépit de quelques tractations au niveau diplomatique, aucun de ces candidats n'a encore annoncé son intention de se retirer à quelque semaines du sommet des chefs d'Etats et de gouvernement prévu fin janvier a Addis Abeba, selon les milieux diplomatiques. > > Gabon: Exaspération des Gabonais de France > http://www.bdpgabon.org/content/view/5519/45/ > Devant le refus manifeste de nombreuses administrations publiques françaises de respecter les accords bilatéraux et multilatéraux liant la France au Gabon et surtout ceux liés à l’immigration, les ressortissants gabonais de France envisagent une marche sur Paris pour protester contre cette injustice. > > Bongo et le Gabon : Si le ridicule tuait... > http://www.bdpgabon.org/content/view/5518/9/ > Omar Bongo-Ondimba Les Gabonais qui sont âgés de quarante ans n’ont connu qu’un seul président de toute leur vie. Il s’agit d’Albert Bongo, qui, depuis 1967, a pris le pouvoir après la mort de Léon M’ba. Entre-temps, il est devenu Omar, puis, depuis quelques années, Bongo Ondimba. En ce mois de décembre 2007, soit quatre décennies plus tard, il est toujours là et règne en maître absolu sur le Gabon. > > L'ambassadrice des USA au Gabon présente ses lettres de créance > http://www.bdpgabon.org/content/view/5514/45/ > Nouvel ambassadeur des Etats-Unis au Gabon, Madame Eunice Sharon Reddick, a présenté vendredi à Libreville ses lettres de créance au président Omar Bongo Ondimba. Première femme à occuper ce poste au Gabon, elle a souligné son engagement à favoriser le développement des relations entre les deux pays. > > Gabon: Le président gabonais signe la convention d'exploitation du fer de Bélinga > http://www.bdpgabon.org/content/view/5513/9/ > Le président gabonais Omar Bongo Ondimba a signé jeudi une convention autorisant un consortium chinois à exploiter le gisement de fer de Bélinga, a-t- on appris de source officielle. La convention a également été signée par le Premier ministre gabonais Jean Eyeghe Ndong ainsi que des représentants de la partie chinoise, a rapporté la télévision nationale gabonaise. > > Sentiments mitigés pour les 40 ans de pouvoir de Bongo au Gabon > http://www.bdpgabon.org/content/view/5512/9/ > Sur le front de mer de Libreville, des panneaux géants annoncent le 40e anniversaire de l'accession au pouvoir du président Omar Bongo. Mais dans les bidonvilles qui bordent la capitale gabonaise, les habitants n'y voient pas grand motif de réjouissance. > > Gabon : Les éditeurs et directeurs de publication des journaux privés chez le président du CNC > http://www.bdpgabon.org/content/view/5511/9/ > Au lendemain de leur première rencontre du mois d’octobre dernier, le président du Conseil National de la Communication (CNC), François Engonga Owono, a reçu le 6 décembre dernier les responsables de maisons d’édition et les responsables des journaux privés gabonais afin d’examiner les problèmes relatifs au bon fonctionnement de la presse privée au Gabon. > > Gabon : Les actions gabonaises portées à 25% dans le projet Belinga > http://www.bdpgabon.org/content/view/5508/9/ > Le ministre gabonais des Mines, Richard Auguste Onouviet, a annoncé le 6 décembre dernier à Libreville la décision du Gabon d’augmenter ses actions de 10 à 25% dans le projet d’exploitation du fer de Belinga dont le partenaire majoritaire demeure la Chine. > > Gabon - 40 années d'un régime corrompu soutenu par les gouvernements français > http://www.bdpgabon.org/content/view/5504/9/ > Omar Bongo vient de « fêter » ses quarante ans d'accession au pouvoir au Gabon. Ce dictateur affairiste et corrompu a été installé, en 1967, grâce à l'aide de Jacques Foccart, homme de main du général de Gaulle en Afrique. Ancien membre des services de renseignements français, Bongo a joué, à la tête de ce petit État pétrolier d'Afrique équatoriale, le rôle de chargé de mission pour le compte de la France, et plus précisément pour le compte de la compagnie pétrolière Elf qui avait la mainmise sur les gisements pétroliers du pays. > > Gabon: Leader du FAR (opposition radicale), Léon Mbou Yembi demande au président de la République de « faire partir les éléphants » du prochain gouvernement > http://www.bdpgabon.org/content/view/5520/9/ > Alors que le Premier ministre, Jean Eyéghé Ndong a multiplié, vendredi, des réunions de travail avec certains membres influents de son cabinet, voilà qu’un chef de parti de l’opposition radicale, Léon Mbou Yembi, leader du Front africain pour la reconstruction (FAR), en l’occurrence, y voit un signe patent que d’intenses tractations se poursuivent au « 2 Décembre » en prélude à la composition d’un nouveau gouvernement, et évoque la nécessité d’un changement profond de l’actuelle équipe. > > Gabon : Jean Eyeghé Ndong prêt pour le gouvernement de « vrais patriotes » > http://www.bdpgabon.org/content/view/5500/9/ > Le 5 novembre dernier à Libreville, le premier ministre gabonais Jean Eyeghe Ndong a tenu une conférence de presse, en réponse au discours du chef de l’Etat du 1er décembre dernier, lors de laquelle il a souligné la complexité de la composition du futur gouvernement attendu par le président. > > Gabon: La carte nationale d’identité désormais valable pendant 3 ans > http://www.bdpgabon.org/content/view/5499/9/ > Le Conseil des ministres tenu jeudi au palais de la présidence de la République à Libreville, sous la présidence du chef de l’Etat, Omar Bongo Ondimba, a fixé les modalités d’établissement et de délivrance de la carte nationale d’identité qui sera désormais valable pendant de 3 ans. > > Le Gabon va réduire les membres de son gouvernement > http://www.bdpgabon.org/content/view/5515/9/ > Le Premier ministre gabonais Jean Eyeghé Ndong a annoncé mercredi lors d'une conférence de presse à Libreville qu'il allait réduire les membres de son gouvernement. "Nous avons un gouvernement qu'on qualifie de pléthorique pour un petit pays de prés de 1,5 million d'habitants. Sous l'instruction du chef de l'Etat Omar Bongo Ondimba, nous allons réduire les membres qui constituent le gouvernement", a déclaré Jean Eyéghé Ndong. > > Gabon: Bongo : 40 ans de pouvoir : Les raisons d'un si long règne > http://www.bdpgabon.org/content/view/5516/9/ > M. Omar Bongo Ondimba a envahi les télévisions gabonaises en cette fin d'année. Documentaires, tables-rondes, portraits, chansons louangeuses, etc. Son discours d'anniversaire, d'une durée castriste, a été diffusé en boucle sur toutes les chaines. Il fallait migrer vers une autre planète pour y échapper. Cette inflation télévisuelle sur la personne du chef de l'Etat, trouve sa justification dans la célébration de ses 40 ans de pouvoir sans partage sur ce petit pays d'Afrique centrale. > > Le Gabon porte de 10 à 25%, ses actions dans le projet Bélinga > http://www.bdpgabon.org/content/view/5517/9/ > Le Gabon a décidé d’augmenter ses actions de 10 à 25% dans le projet d’exploitation du fer de Bélinga dont le partenaire majoritaire demeure la Chine, a annoncé jeudi soir à Libreville le ministre gabonais des mines, Richard Auguste Onouviet. From protected at yahoo.fr Tue Jan 8 07:59:39 2008 From: protected at yahoo.fr (moundanga guy martial) Date: Tue, 08 Jan 2008 07:59:39 -0500 Subject: [BDPalabres] Re: Bongo, Meure en Paix... Message-ID: très très frappante votre analyse tellement tout est vraie mon frere et oui encore je suis convaincu que ce système on en veux plus au gabon mais un seul conseil tous ensemble soyons unis en parlant d'une seule voix et ils comprendront que le mur s'est formé car votre interventinon me montre que si tous nous pensons ainsi nous n'entendrons pas un libérateur ou un rédempteur pour sauver ce pays car nous serions nous meme les sauveurs de cette nation . Bruno Vecarte wrote: > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages > ___________________________________________________________ > > > > J'ai lu ce matin sur le site de Laure Olga Ngondjout les déclarations de Bongo, qui, entre autres balourdises, a avancé que : « Ce n’est pas le nombre de ministres qui pose problème ». > Eh ben, il était temps ! En 40 ans de pouvoir et d'immobilisme, je dois avouer que c'est bien la première fois que je suis d'accord avec lui ; même si je sais parfaitement que nos approches de cette lapalissade restent diamétralement opposées. Car en effet, ce n'est pas le nombre de ministres, pour la plupart ventripotents et incompétents, qui pose problème au Gabon, mais bien lui, Bongo ! Je ne mettrai pas mon doigt au feu pour espérer de lui qu'il ait un seul instant pensé comme moi ; ce serait ma main entière qui brûlerait plutôt ; tellement cet homme est incapable de dormir une nuit et de regarder comme son film "Gabon un jour nouveau (pour le pillage)" afin de se rendre compte que c'est bien lui le responsable du chaos de cet eldorado pétrolier, devenu eldorado carnacier. > Les Gabonais ne doivent pas oublier un seul instant que c'est ce président par défaut, installé par la France en 1967 avec l'aide de quelques amis franc-maçons, qui s'est donné pour objectif avec la complicité de sa garde plétorienne faite de cousins, nièces, amis, neveux, filles, fils, etc., de ne laisser au Gabon que steppe et désolation ! Tous ces simulacres d'élan national et de sursaut patriotique de dernière minute, après 40 longues années de pillages, vols et de meurtres, ne sont que de la poudre aux yeux. Malheur donc aux Frères et Soeurs Gabonais qui y verraient une quelconque lueur d'espoir, car un mauvais arbre ne pourra JAMAIS produire de bons fruits, quoi qu'il en sera. > De plus, les fétiches et autres reliques que lui apportent chaque jour certains de nos frères et soeurs animalisés, en contre-partie d'une promotion dans ce carnage républicain, ont fait de ce type un diable quasi-immortel. > Les gabonais en sont réduits à ce jour à devoir supporter ce monstre et attendre en rongeant leurs ongles qu'il s'en aille ad-patrès, comme tous ses confrères dictateurs (Mobutu, Houphouet, Eyadema, Rawiri, etc.), qui nous fait le bonheur de nous debarrasser le plancher en tirant (malgré eux - ah ah) leur révérence ! > Alors, qu'attends-tu donc pour partir à ton tour, Omar Bongo ? > En tout cas, que le diable t'emporte avec tous tes complices ! Qu'il emporte avec toi tous ceux et toutes celles qui ont osé prendre un seul FRANC-CFA (dollè) de plus que ce qu'ils auraient mérité par leur travail dans l'argent produit par les richesses puisées dans le sol où sont ensevelies nos ancêtres. > Oui que le Diable vous emporte tous ! Car à défaut de prendre les armes pour faire nous-mêmes justice comme cela se fait partout ailleurs, les Gabonais doivent désormais implorer Azraël, l'ange de la mort, pour qu'il vienne vous emporter l'un après l'autre comme cela a commencé il y a peu. Car il y a un peu de TROP maintenant dans ce que tes complices et toi font endurer sauvagement et cyniquement au pauvre peuple Gabonais dont vous savez la patience et la lenteur face à la révolte. Et vous abusez de cet élan de coeur depuis TROP longtemps maintenant. Oui que l'ange de la mort t'emporte en premier, Bongo ! > Tu sais, le peuple élu de Dieu (Hébreux) a attendu 400 ans avant de se voir envoyer un Libérateur par Dieu Le Tout Puissant, et amorcer ainsi la décadence de l'empire de Pharaon. Le Gabon étant une terre bénie (car ce n'est pas toi Bongo qui incarne la paix, mais bien l'esprit de sagesse et d'amour du prochain dont chaque Gabonais et Gabonaise est pétri, qui nous donne ce seuil et ce sens du pardon incompressibles, envers l'animalité de ceux de nos frères et soeurs que vous êtes tous) ; ta longévité et la lithanie du pauvre peuple gabonais, qui croupit par ta faute dans la misère et la désolation depuis que tu es au pouvoir, sont à assimilier à la durée de l'esclavage dans le désert égyptien du peuple de Dieu. > Ta mort très prochaine actera la délivrance de ce pays et l'édification (enfin) d'une Nation prospère, telle que prévue par tous les ancêtres issus des 57 ethnies de notre pays. > Tes complices et toi-même ne font pour l'heure que retarder le Destin du Gabon, mais vos petites existences singulières (chacun de vous n'en ayant qu'une - Dieu merci) ne suffiront JAMAIS à changer ce Destin, et ce malgré tout le vol et le mensonge que vous ne cessez jusqu'alors d'organiser auprès de nos frères et soeurs depuis 40 ans. > Votre heure à tous est proche ! > Et si ton fils ramené du Biaffra croit dans sa tête rotie au babylys qu'il pourra perpétuer l'oeuvre de Mamon que tu incarnes, c'est que - comme en témoigne ton long règne san relief et tes vraies origines congolaises - c'est que tu n'aurais finalement jamais rien compris à l'AME bien trempée et bien repartie de ce peuple gabonais qui t'entoure. > Meure en paix. > > Vecarte. From protected at yahoo.fr Wed Jan 9 17:47:35 2008 From: protected at yahoo.fr (mihindou cedric) Date: Wed, 09 Jan 2008 17:47:35 -0500 Subject: [Palabres] Discours à la nation du Dr. Daniel Mengara Message-ID: j'ai accuser reception de ton mgs je crois que nous jeune gabonais devrions predre au serieur le developpement politico-éconimique de notre cher nation le Gabon. En moi sens la jeune gabonaise doit prendre conscience de son devenir en militant dans ce genre de parti qui est le bdp Biwawou wrote: > Je partage totalement l'analyse de la situation dressée par le DR Mengara et suis, on ne peut plus triste de me rendre compte que le problèmes ou devrai je dire, le probleme du Gabon est connu de tous: Bongo. Alors sachant que Bongo est le mal qui nous tue, dès lors la problématique qui doit nous préoccuper consiste à nous demander, comment chasser cet homme du pouvoir? > Rien de la brillante stratégie proposée par daniel Mengara Minko ne peut voir le jour si Bongo est encore là et il est unitile de penser que Bongo peut appliquer la démocratie politique au Gabon. On ne change pas à son age. Comment faire en 2008 pour chasser Bongo? Le début de réponse à cette question est le debut de guerison pour le peuple gabonais. > Patrotiquement. From protected at bdpgabon.org Wed Jan 16 15:28:21 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Wed, 16 Jan 2008 15:28:21 -0500 Subject: Gabon: Omar Bongo, Mba Obame et le bongoïsme : jusqu’où ira la politique de liberté d'expression mesurée au pourcentage? Message-ID: Gabon: Omar Bongo, Mba Obame et le bongoïsme : jusqu’où ira la politique de liberté d'expression mesurée au pourcentage? Par: Dr. Daniel Mengara, Président, BDP-Gabon Nouveau (BDP-Gabon Nouveau, 16 janvier 2008) - Il y a des logiques au bongoïsme que seuls Omar Bongo et ses sbires attitrés tels André Mba Obame et Ali Bongo maîtrisent comme la paume de leur main. Ces logiques viennent, de par la très bizarre décision que vient de prendre le ministron de l'intérieur qu'est André Mba Obame, de confirmer le caractère tout à fait léger d'un régime qui, au cours des 15 dernières années, a donné plus de signes de maladie mentale collective que de stabilité. En décrétant, ce 9 janvier, la suspension des ONG gabonaises pour ce qu’il a appelé des pourcentages exagérés de « propos politiques » qui vont au-delà de ce qui leur est autorisé de par leur statut d’associations à caractère non politique, Mba Obame a, encore une fois, révélé au monde la nature foncièrement animalière du régime Bongo, et confirmé ce qu’il est désormais aujourd’hui convenu d’appeler la dictature bongoïste au Gabon. L’annonce intempestive de cette mesure le 9 janvier, puis son retrait précipité le 15 janvier, est, pour le moins, étrange. Mais ce qu’elle révèle, en dernier recours, c’est le type de gestion improvisée et, donc, arbitraire, que le régime Bongo fait de l’état au Gabon depuis 40 ans. Comme Omar Bongo lui-même qui, tous les dix ans, sort de son coma pour remarquer avec stupeur la dérive dans laquelle se trouve « son Gabon », chaque ministron de la république se croit, à son tour, imbu du pouvoir de se réveiller lui aussi un beau matin de son coma « manioqueux » pour « maboulement » décréter des mesures n’ayant aucun fondement juridique au regard de la loi gabonaise, même dans sa structure dictatoriale actuelle. A la fin, l’on se prend à se demander si le doctorat en sciences politiques que vante André Mba Obame vaut vraiment quelque chose. Soit il a ramassé ce doctorat dans une poubelle de fac en France, soit le manioc empoisonné par les CFA qu'Omar Bongo fait manger tous les jours à ses sbires a irrémédiablement remplacé, dans le crâne d’André Mba Obame, les neurones qui permettent à un cerveau bien portant de fonctionner de manière optimale. Quand un supposé intellectuel, plutôt que de contribuer par son éducation à l'amélioration de sa société, se prostitue sans retenue morale aucune aux fins de promouvoir la pérennité d'un régime assassin des libertés fondamentales du peuple, il y a crime. Et quand ce même intellectuel fait montre d’une incompétence aussi chronique que celle d’un inculte n’ayant jamais connu les nobles élévations spirituelles qui découlent d’une éducation mise au service du peuple, il y a malaise. Il y a chez Mba Obame un tel manque de moralité citoyenne que ce manque de personnalité et de dignité se reflète de plus en plus dans les nombreuses aberrations politiques commises par le ministron depuis sa trahison de l’idéal républicain dans les années 1980. Et c’est cela qui explique aujourd’hui ses malsaines prestations au sein des gouvernements manioc d'Omar Bongo. André Mba Obame est, sans aucun doute, ce que l’on peut appeler un prostitué intellectuel ou, si l’on veut, un intellectuel prostitué. Les deux qualificatifs lui vont très bien. Peu de Gabonais savent, par exemple, que Mba Obame se serait, en secret, fait formellement adopter par Omar Bongo comme fils adoptif, et qu'il se serait, dans la même foulée, converti à l'Islam pour imiter son "frère" Ali. Mba Obame aurait donc ainsi renoncé à la paternité pourtant connue de son propre père pour, de manière quasi pathétique, se faire fils adoptif d'Omar Bongo. Il est donc aujourd’hui une sorte d’André Mba Ali Bongo Ondimba Obame totalement méconnaissable non seulement en matière de paternité morale, mais également en matière de paternité filiale. Pourquoi? Facile: il s’est prostitué. Son esprit est tellement mal tourné qu’il n’a pas hésité à renoncer à la paternité de son propre père, se faisant fils d’Akiéni alors même que son village de Médouneu existe toujours et qu’il s’y trouve des « pères » et des « grands-pères » pouvant, plus valablement, jouer ce rôle pour lui selon les normes fixées par nos traditions ancestrales. Ce type de renoncements, qui rappellent un peu le renoncement qu'Omar Bongo fit de son propre père Ondimba, dont il ne se rappela la filiation que très tardivement, sont symptomatiques d'une carence mentale aggravée, et d'une totale dépersonnalisation de la part d'individus dont les comportements ressemblent de plus en plus à des comportements d'animaux. Et voilà que, par la mesure intempestive d’André Mba Obame de suspendre la liberté d’expression des ONG, les tares quadragénaires incrustées dans les cervelles des hommes qui dirigent ce pays se révèlent comme étant devenues irrémédiablement pernicieuses. Où donc André Mba Obame est-il allé ramasser son fameux doctorat en sciences politiques? Il nous semble que ce fameux, et bizarre, docteur ès sciences politiques ne sait pas la définition du mot « politique » ! Il semble voir le mot « politique » comme un mot au sens isolé et applicable à la seule existence de « partis politiques ». Il apparaît ainsi qu’il ait réduit le sens de ce mot à sa plus simple expression, le confondant maladroitement avec l’acception dénotée par le syntagme « partis politiques », alors même que ce mot comporte des sens multiples qui en expriment, au contraire, la complexité ! Pour lire la suite, visiter: http://www.bdpgabon.org/content/view/5744/39/