From protected at bdpgabon.org Wed Feb 13 14:04:56 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Wed, 13 Feb 2008 14:04:56 -0500 Subject: Conférence de presse du BDP-Gabon Nouveau à Libreville ce samedi 16 février 2008 à 10h00 Message-ID: Communiqué : Conférence de presse du BDP-Gabon Nouveau à Libreville ce samedi 16 février 2008 à 10h00 http://www.bdpgabon.org/content/view/5957/39/ Le BDP-Gabon Nouveau, mouvement politique d'opposition radicale au régime Bongo tiendra une conférence de presse " déjeuner de presse " avec les journalistes à Libreville ce samedi 16 février 2008 à 10h00 du matin. La conférence de presse sera animée au Gabon par le bureau de la Coordination nationale du BDP-Gabon Nouveau, avec la participation exceptionnelle par lien téléphonique depuis les Etats-Unis du Président du mouvement, le Dr. Daniel Mengara. Le président du mouvement répondra en direct aux questions des journalistes. Le Bureau du Porte Parole BDP-Gabon Nouveau P.O. Box 3216 TCB West Orange, New Jersey, 07052, USA Tel: 973-447-9763 Fax: 973-447-9763 Site: http://www.bdpgabon.org --------------------------------------- Le BDP-Gabon Nouveau ("Bongo Doit Partir, pour la Construction d'un Gabon Nouveau") est un mouvement politique gabonais de libération nationale en exil dont le siège se trouve dans le New Jersey aux Etats-Unis. Le BDP-Gabon Nouveau (http://www.bdpgabon.org) recherche la suppression du régime Bongo et le départ d'Omar Bongo du pouvoir par tous les moyens possibles. Le Mamba (http://www.lemamba.org) en est la branche armée. From protected at bdpgabon.org Fri Feb 22 11:43:35 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Fri, 22 Feb 2008 11:43:35 -0500 Subject: Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville Message-ID: Communiqué: Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville http://www.bdpgabon.org/content/view/6031/39/ (BDP-Gabon Nouveau, 19 février 2008) - Le BDP-Gabon Nouveau, mouvement politique d'opposition radicale au régime Bongo a tenu sa deuxième conférence de presse "déjeuner de presse" avec les journalistes à Libreville samedi 16 février 2008 à 10h00 du matin au restaurant Le Calypso. BDP-Gabon Nouveau: Discours du Dr. Daniel Mengara lors de la Conférence de presse du samedi 16 février 2008 à Libreville http://www.bdpgabon.org/content/view/6029/39/ (BDP-Gabon Nouveau, 19 février 2008) - Le BDP-Gabon Nouveau, mouvement politique d'opposition radicale au régime Bongo a tenu sa deuxième conférence de presse "déjeuner de presse" avec les journalistes à Libreville samedi 16 février 2008 à 10h00 du matin au restaurant Le Calypso. Voici la version texte du discours audio du Dr. Daniel Mengara passé devant les journalistes. BDP-Gabon Nouveau: Discours de Monsieur Paskhal Nkoulou lors de la Conférence de presse du samedi 16 février 2008 à Libreville http://www.bdpgabon.org/content/view/6030/39/ (BDP-Gabon Nouveau, 19 février 2008) - Le BDP-Gabon Nouveau, mouvement politique d'opposition radicale au régime Bongo a tenu sa deuxième conférence de presse "déjeuner de presse" avec les journalistes à Libreville samedi 16 février 2008 à 10h00 du matin au restaurant Le Calypso. Voici le texte du discours lu par Monsieur Paskhal Nkoulou, Coordonnateur National. Gabon: Omar Bongo, Mba Obame et le bongoïsme : jusqu’où ira la politique de liberté d'expression mesurée au pourcentage? http://www.bdpgabon.org/content/view/5744/39/ (BDP-Gabon Nouveau, 16 janvier 2008) - En décrétant, ce 9 janvier, la suspension des ONG gabonaises pour ce qu’il a appelé des pourcentages exagérés de « propos politiques » qui vont au-delà de ce qui leur est autorisé de par leur statut d’associations à caractère non politique, Mba Obame a, encore une fois, révélé au monde la nature foncièrement animalière du régime Bongo, et confirmé ce qu’il est désormais aujourd’hui convenu d’appeler la dictature bongoïste au Gabon. From protected at bdpgabon.org Fri Feb 22 12:21:19 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Fri, 22 Feb 2008 12:21:19 -0500 Subject: Une gabonaise expulsée de France Message-ID: Communiqué de Presse - Une gabonaise expulsée de France http://www.bdpgabon.org/content/view/6028/9/ La Maison du Gabon condamne l'expulsion grandissante des Gabonais de France. Une étudiante gabonaise, boursière de l’Etat Gabonais, expulsée de France ce mardi 19 février 2008 à 10 heures, la communauté gabonaise de Toulouse est amère. L’association de défense des droits des gabonais en Midi-Pyrénées, la Maison du Gabon de Toulouse tient à marquer son étonnement et sa désapprobation face à ce qu’elle considère une fois de plus comme une violation grave et manifeste des accords franco-gabonais liés à l’immigration. From protected at yahoo.fr Thu Feb 28 15:17:15 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Thu, 28 Feb 2008 15:17:15 -0500 Subject: [palabres] Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville Message-ID: Je reste encore étonné par la personnalisation du débat politique au Gabon. Par ce type de comportement, nous avons tendance à laisser croire que l'ensemble de nos malheurs provient de la mauvaise inspiration d'un individu. A contrario, on pourait penser que tout ce qui nous arrive de bien est le fait de la bonne volonté d'un homme providentiel, une sorte de taumaturge. Je refuse de ceder à cette forme de schématisation du fonctionnement de la république gabonaise. J'ai tendance à penser que la république gabonaise est un système qui connait des disfonctionnements des dysfonctionnements exploités par un certain nombre de personnes. Je ne crois pas qu'il suffise d'éliminer ou de changer de personnes pour les dysfonctionnements soient résorbés. Il faut réfléchir autrement : Il faut par exemple commencer à dissocier les disfonctionnements d'ordre économique des dysfonctionnements d'ordre politique. Les deux types de disfonctionnement ont des interactions et un impact dans la vie des populations gabonaises, mais elles ne sont pas de même nature, et n'ont ni les mêmes causes, ni la même ampleur : - les dysfonctionnement de type politique ont pour objet le fait d'avoir entravé l'expression du libre exercice du droit de vote; - les disfonctionnements de type économique porte sur la difficulté d'accès des gabonais à la propriété et à toute la plénitude de son exercice. En s'attaquant uniquement aux dysfonctionnement de type politique, on croit pouvoir traiter par la même occasion l'ensemble des problèmes du Gabon. Je crois que c'est tout simplement une erreur de diagnostic : les problèmes des populations gabonaises ne proviennent pas uniquement de l'Etat, et en l'occurence de la présidence de la république. Ils me paraissent être surtout le fait d'un déséquilibre entre les différentes catégories socio-économiques qui se font formées tout au long du processus d'expansion capitaliste au Gabon. Il est aussi le fait d'une économie qui n'a pas encore effectué sa révolution. En effet et au moment où les pays émergents accèdent à l'économie de marché et à la société de consommation, nous avons hérité d'une économie qui reste encore caractérisé par le prélèvement des ressources naturelles et par la mise en place d'un vaste système de distribution de produits par des opérateurs - cas de la CFAO au Gabon - qui s'interdisent de mettre en place un système de production locale de produits primaires ou transformés ayant vocation à alimenter le marché international. Je crois que nous pourrons inverser la tendance lorsque nous aurons nous mêmes envie de reprendre les rênes de notre économie et développer les activités créatrices de richesses à l'international. Je ne peux m'étendre pour cette fois mais je souhaite alimenter un débat avec l'espoir de susciter des initiatives individuelles portant sur des objectifs accessibles. MANGASS MANAGEMENT Christian MAYANDJI Directeur Cabinet Conseils & Ingénierie Economie d'entreprise - Affaires Projets de développement durable ----- Message d'origine ---- De : BDP-Gabon Nouveau À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Vendredi, 22 Février 2008, 17h43mn 35s Objet : Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ Communiqué: Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville http://www.bdpgabon.org/content/view/6031/39/ (BDP-Gabon Nouveau, 19 février 2008) - Le BDP-Gabon Nouveau, mouvement politique d'opposition radicale au régime Bongo a tenu sa deuxième conférence de presse "déjeuner de presse" avec les journalistes à Libreville samedi 16 février 2008 à 10h00 du matin au restaurant Le Calypso. BDP-Gabon Nouveau: Discours du Dr. Daniel Mengara lors de la Conférence de presse du samedi 16 février 2008 à Libreville http://www.bdpgabon.org/content/view/6029/39/ (BDP-Gabon Nouveau, 19 février 2008) - Le BDP-Gabon Nouveau, mouvement politique d'opposition radicale au régime Bongo a tenu sa deuxième conférence de presse "déjeuner de presse" avec les journalistes à Libreville samedi 16 février 2008 à 10h00 du matin au restaurant Le Calypso. Voici la version texte du discours audio du Dr. Daniel Mengara passé devant les journalistes. BDP-Gabon Nouveau: Discours de Monsieur Paskhal Nkoulou lors de la Conférence de presse du samedi 16 février 2008 à Libreville http://www.bdpgabon.org/content/view/6030/39/ (BDP-Gabon Nouveau, 19 février 2008) - Le BDP-Gabon Nouveau, mouvement politique d'opposition radicale au régime Bongo a tenu sa deuxième conférence de presse "déjeuner de presse" avec les journalistes à Libreville samedi 16 février 2008 à 10h00 du matin au restaurant Le Calypso. Voici le texte du discours lu par Monsieur Paskhal Nkoulou, Coordonnateur National. Gabon: Omar Bongo, Mba Obame et le bongoïsme : jusqu’où ira la politique de liberté d'expression mesurée au pourcentage? http://www.bdpgabon.org/content/view/5744/39/ (BDP-Gabon Nouveau, 16 janvier 2008) - En décrétant, ce 9 janvier, la suspension des ONG gabonaises pour ce qu’il a appelé des pourcentages exagérés de « propos politiques » qui vont au-delà de ce qui leur est autorisé de par leur statut d’associations à caractère non politique, Mba Obame a, encore une fois, révélé au monde la nature foncièrement animalière du régime Bongo, et confirmé ce qu’il est désormais aujourd’hui convenu d’appeler la dictature bongoïste au Gabon. From protected at bdpgabon.org Thu Feb 28 15:19:51 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Thu, 28 Feb 2008 15:19:51 -0500 Subject: Le BDP-Gabon Nouveau condamne l'expulsion de Raïssa Mengue et apporte son soutien à l'action de la Maison du Gabon de Toulouse Message-ID: Communiqué : Le BDP-Gabon Nouveau condamne l'expulsion de Raïssa Mengue et apporte son soutien à l'action de la Maison du Gabon de Toulouse au profit des Gabonais de France http://www.bdpgabon.org/content/view/6086/39/ De l'affaire de Paul Wem, expulsé le 4 janvier dernier, à celle de Raïssa Mengue Ondo, expulsée ce 19 février, se profile de plus en plus le spectre d'une déshumanisation grandissante des Gabonais en territoire français, déshumanisation qui ne peut laisser insensibles tous ceux qui aspirent au respect des droits humains, droits dans lesquels le droit à la dignité et à la justice se situent au firmament des droits les plus élémentaires dont la garantie se doit de s'affirmer au sein de tout état qui se veut état de droit. Affaire des Expulsions des Gabonais de France: La Maison du Gabon à Toulouse Répond à la Préfecture http://www.bdpgabon.org/content/view/6080/9/ Suite à l'affaire de la violation des droits d'une ressortissante gabonaise boursière de l'Etat gabonais, la préfecture de Haute-Garonne a réagi lundi à travers un communiqué de presse à la suite de la diffusion des articles du journal français la Dépêche du Midi des 23 et 25 février quant à la supposée absence de « cadre juridique » et de « procédure » pour la reconduite à la frontière de Mlle Raïssa Mengue Ondo. Nicolas Sarkozy veut refonder la politique française en Afrique http://www.bdpgabon.org/content/view/6081/45/ Nicolas Sarkozy a l'intention de renégocier tous les accords de défense de la France en Afrique, dans le cadre d'une "refondation" plus générale de la politique française sur ce continent. Sarkozy annonce la renégociation de tous les accords de défense français en Afrique http://www.bdpgabon.org/content/view/6079/45/ La France va renégocier tous ses accords de défense en Afrique, a annoncé jeudi le président Nicolas Sarkozy, en visite en Afrique du Sud. Bongo, doyen des chefs d’état non monarques http://www.bdpgabon.org/content/view/6063/9/ Le président gabonais Omar Bongo détient désormais le record de longévité des chefs d’Etat en exercice, à l’exclusion des monarques, depuis le retrait de Fidel Castro après 49 ans au pouvoir. From protected at yahoo.fr Thu Feb 28 15:33:45 2008 From: protected at yahoo.fr (Zéro Fautes) Date: Thu, 28 Feb 2008 15:33:45 -0500 Subject: [palabres] Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville Message-ID: C'est justememt parce que tu ne comprends rien à l'interaction intime entre économie et politique que tu ne sais pas ce que tu dis. C'est comme Mba Obame qui essaie de limiter l'expression politique des ONG sans comprendre que leur expresion est forcément politique. Comme le démontre le Dr. Mengara, limiter la liberté d'expression à un journaliste c'est tuer l'entreprise qui emploie le journaliste. Un journal est une entreprise privée créée par un citoyen privé pour la survie économique. Ce n'est pas un hobby. Le propriétaire d'un journal est avant tout un chef d'entreprise avec des employés. Quand on imite ou cesure la liberté d'expression, on tue le journal, donc l'entreprise qui fait vivre des familles. Le jour où tu comprendras comment la dictature est foncièrement un système anti-économie, tu pourras revenir nous endormir avec ton approche totalement bongoïste de l'économie. Peut-être comprendras-tu les vertus inaliénables de la démocratie comme facteur de promotion du bien-être et du progrès. Pour toi, on peut avoir une dictature en place et réussir la révolution économique au Gabon, hein? From moundangag at yahoo.fr Fri Feb 29 08:55:25 2008 From: moundangag at yahoo.fr (moundanga guy martial) Date: Fri, 29 Feb 2008 14:55:25 +0100 (CET) Subject: [BDPalabres] =?iso-8859-1?q?RE_=3A_Re=3A_=5Bpalabres=5D_Le_BDP-Ga?= =?iso-8859-1?q?bon_Nouveau_tient_sa_deuxi=E8me_conf=E9rence_de_presse_=E0?= =?iso-8859-1?q?_Libreville?= In-Reply-To: Message-ID: <646274.77994.qm@web25913.mail.ukl.yahoo.com> Après avoir parcourue votre exposé avec beaucoup d'attention car je tiens cameme a vous rappeller que certains points sont bien fondés;mais je m'insurge totalement sur cette vision des choses consistant a faire de la pire et simple diversion et cela aussi peux se comprendre monsieur. Car la constation premiere que j'ai eu a faire c'est que votre position se focalise sur l'économie du gabon c'est vraie une telle réalité économique relate de façon lympide notre gabon. Toutefois,vous deviez comprendre que dans un pays on ne peux pas dissocier le politique de l'économie pour la simple raison que les mesures économiques sont plus ou moins prisent par les politiciens ou je crois l'économiste ferait des propositions aux polititiens qui eux vont soient approuver ou désapprouver car si vous l'aviez compris et bien le politique c'est le pouvoir alors très cher compatriote le jeux sur lequel vous vous etes lancé a vouloir défendre le systeme sur lequel vous appartenez puisque je vois que vous n'hésitiez pas a laisser vos coordonnées très rusé ça monsieur le directeur .Mais soyez en sure que cette diversion n'a plus pour longtemps --------------------------------- Ne gardez plus qu'une seule adresse mail ! Copiez vos mails vers Yahoo! Mail From moundangag at yahoo.fr Fri Feb 29 09:00:57 2008 From: moundangag at yahoo.fr (moundanga guy martial) Date: Fri, 29 Feb 2008 15:00:57 +0100 (CET) Subject: [BDPalabres] =?iso-8859-1?q?RE_=3A_Re=3A_=5Bpalabres=5D_Le_BDP-Ga?= =?iso-8859-1?q?bon_Nouveau_tient_sa_deuxi=E8me_conf=E9rence_de_presse_=E0?= =?iso-8859-1?q?_Libreville?= In-Reply-To: Message-ID: <905843.81855.qm@web25913.mail.ukl.yahoo.com> bonne réaction c'est bien ce type n'est qu'a assoiffé par les postes que proposent le systeme c'est de la politique du vendre et rien d'autres --------------------------------- Ne gardez plus qu'une seule adresse mail ! Copiez vos mails vers Yahoo! Mail From protected at yahoo.fr Fri Feb 29 10:01:16 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Fri, 29 Feb 2008 10:01:16 -0500 Subject: [palabres] Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville Message-ID: Cher compatriote, Le combat contre une dictature ne passe pas nécessairement par de la véhémence verbale ou par le dénigrement de ses interlocuteurs. Je crois effectivement qu'il est possible de faire la révolution économique - ou la REVOLUTION - au sein d'une dictature et je pense même que c'est une condition fondamentale pour obtenir le renversement du rapport de forces aboutissant à la disparition de cette dictature et à la restauration des libertés ou des initiatives individuelles. Le rapport que vous entretenez avec le président de la République gabonaise s'apparente à la relation qu'un enfant entretient avec une figure paternaliste. Vous criez un peu plus fort que les autres dans l'espoir d'attirer l'attention de ce père apparemment inaccessible avec l'espoir, quelque fois vain, d'en obtenir un avantage, une friandise. Quand on veut se libérer, il faut aller un plus loin en commençant par analyser les causes profondes des échecs successifs des actions menées jusqu'à ce jour. Il faut surtout essayer de comprendre pourquoi toutes ses invectives n'interessent plus que leurs auteurs et un parterre de plus en plus réduit d'individus. La REVOLUTION au Gabon, quelqu'en soit sa nature, a besoin de s'appuyer sur des actions mieux réfléchies autour des stratégies plus efficaces que le dénigrement. In fine, QU'EST CE QUE VOUS CHANGEZ? Uniquement remplacer un individu à la place d'un autre autre : vous n'obtiendrez qu'un ravalement de façade et le renouvellement ou le prolongement d'une dictature. Je crois qu'il faut (re) analyser le fonction de notre Etat et de nos structures socio-économiques pour être en mesure de construire un système ou chacun trouve sa place dans le respect de sa liberté d'initiative. Les gabonais ont besoins de leaders un peu plus conséquents et surtout pragmatiques : Ils ont besoin d'être entrainés par des personnes qui se donnent les moyens de leurs actions et qui vont ouvertement jusqu'au bout de leurs objectifs. Nous avons besoin de leaders qui gagnent le respect de leurs idées sur le terrain et non d'intellectuels en mal de public captif. Qu'est ce qu'être "docteur" de nos jours si on n'est pas capable d'apporter les solutions les plus élémentaires aux problèmes courants que se posent nos concitoyens. Je ne suis pas un fanatique des débats idéologiques. Je prefère travailler sur des programmes-projets avec des objectifs précis en terme de performance, délais et (économies) de coûts. Ne soyez pas étonné si je ne vous suis pas sur la voie des débats stériles. Cordialement. MANGASS MANAGEMENT Christian MAYANDJI Directeur Cabinet Conseils & Ingénierie Economie d'entreprise - Affaires Projets de développement durable Zéro Fautes wrote: > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages > ___________________________________________________________ > > > > C'est justememt parce que tu ne comprends rien à l'interaction intime entre économie et politique que tu ne sais pas ce que tu dis. C'est comme Mba Obame qui essaie de limiter l'expression politique des ONG sans comprendre que leur expresion est forcément politique. Comme le démontre le Dr. Mengara, limiter la liberté d'expression à un journaliste c'est tuer l'entreprise qui emploie le journaliste. Un journal est une entreprise privée créée par un citoyen privé pour la survie économique. Ce n'est pas un hobby. Le propriétaire d'un journal est avant tout un chef d'entreprise avec des employés. Quand on imite ou cesure la liberté d'expression, on tue le journal, donc l'entreprise qui fait vivre des familles. Le jour où tu comprendras comment la dictature est foncièrement un système anti-économie, tu pourras revenir nous endormir avec ton approche totalement bongoïste de l'économie. Peut-être comprendras-tu les vertus inaliénables de la démocratie comme facteur de promotion du bien-être et du progrès. Pour toi, on peut avoir une dictature en place et réussir la révolution économique au Gabon, hein? From protected at yahoo.fr Fri Feb 29 10:02:58 2008 From: protected at yahoo.fr (moundanga guy martial) Date: Fri, 29 Feb 2008 10:02:58 -0500 Subject: [palabres] Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville Message-ID: Après avoir parcourue votre exposé avec beaucoup d'attention car je tiens cameme a vous rappeller que certains points sont bien fondés;mais je m'insurge totalement sur cette vision des choses consistant a faire de la pire et simple diversion et cela aussi peux se comprendre monsieur. Car la constation premiere que j'ai eu a faire c'est que votre position se focalise sur l'économie du gabon c'est vraie une telle réalité économique relate de façon lympide notre gabon. Toutefois,vous deviez comprendre que dans un pays on ne peux pas dissocier le politique de l'économie pour la simple raison que les mesures économiques sont plus ou moins prisent par les politiciens ou je crois l'économiste ferait des propositions aux polititiens qui eux vont soient approuver ou désapprouver car si vous l'aviez compris et bien le politique c'est le pouvoir alors très cher compatriote le jeux sur lequel vous vous etes lancé a vouloir défendre le systeme sur lequel vous appartenez puisque je vois que vous n'hésitiez pas a laisser vos coordonnées très rusé ça monsieur le directeur .Mais soyez en sure que cette diversion n'a plus pour longtemps Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages > ___________________________________________________________ > > > > Je reste encore étonné par la personnalisation du débat politique au Gabon. Par ce type de comportement, nous avons tendance à laisser croire que l'ensemble de nos malheurs provient de la mauvaise inspiration d'un individu. A contrario, on pourait penser que tout ce qui nous arrive de bien est le fait de la bonne volonté d'un homme providentiel, une sorte de taumaturge. > Je refuse de ceder à cette forme de schématisation du fonctionnement de la république gabonaise. J'ai tendance à penser que la république gabonaise est un système qui connait des disfonctionnements des dysfonctionnements exploités par un certain nombre de personnes. Je ne crois pas qu'il suffise d'éliminer ou de changer de personnes pour les dysfonctionnements soient résorbés. Il faut réfléchir autrement : Il faut par exemple commencer à dissocier les disfonctionnements d'ordre économique des dysfonctionnements d'ordre politique. Les deux types de disfonctionnement ont des interactions et un impact dans la vie des populations gabonaises, mais elles ne sont pas de même nature, et n'ont ni les mêmes causes, ni la même ampleur : > - les dysfonctionnement de type politique ont pour objet le fait d'avoir entravé l'expression du libre exercice du droit de vote; > - les disfonctionnements de type économique porte sur la difficulté d'accès des gabonais à la propriété et à toute la plénitude de son exercice. > En s'attaquant uniquement aux dysfonctionnement de type politique, on croit pouvoir traiter par la même occasion l'ensemble des problèmes du Gabon. Je crois que c'est tout simplement une erreur de diagnostic : les problèmes des populations gabonaises ne proviennent pas uniquement de l'Etat, et en l'occurence de la présidence de la république. Ils me paraissent être surtout le fait d'un déséquilibre entre les différentes catégories socio-économiques qui se font formées tout au long du processus d'expansion capitaliste au Gabon. > Il est aussi le fait d'une économie qui n'a pas encore effectué sa révolution. En effet et au moment où les pays émergents accèdent à l'économie de marché et à la société de consommation, nous avons hérité d'une économie qui reste encore caractérisé par le prélèvement des ressources naturelles et par la mise en place d'un vaste système de distribution de produits par des opérateurs - cas de la CFAO au Gabon - qui s'interdisent de mettre en place un système de production locale de produits primaires ou transformés ayant vocation à alimenter le marché international. > Je crois que nous pourrons inverser la tendance lorsque nous aurons nous mêmes envie de reprendre les rênes de notre économie et développer les activités créatrices de richesses à l'international. > Je ne peux m'étendre pour cette fois mais je souhaite alimenter un débat avec l'espoir de susciter des initiatives individuelles portant sur des objectifs accessibles. > > MANGASS MANAGEMENT > Christian MAYANDJI > Directeur > Cabinet Conseils & Ingénierie > Economie d'entreprise - Affaires > Projets de développement durable > > > ----- Message d'origine ---- > De : BDP-Gabon Nouveau > À : bdpalabres at bdpgabon.org > Envoyé le : Vendredi, 22 Février 2008, 17h43mn 35s > Objet : Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville > > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages > ___________________________________________________________ > > Communiqué: Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville > http://www.bdpgabon.org/content/view/6031/39/ > (BDP-Gabon Nouveau, 19 février 2008) - Le BDP-Gabon Nouveau, mouvement politique d'opposition radicale au régime Bongo a tenu sa deuxième conférence de presse "déjeuner de presse" avec les journalistes à Libreville samedi 16 février 2008 à 10h00 du matin au restaurant Le Calypso. > > > BDP-Gabon Nouveau: Discours du Dr. Daniel Mengara lors de la Conférence de presse du samedi 16 février 2008 à Libreville > http://www.bdpgabon.org/content/view/6029/39/ > (BDP-Gabon Nouveau, 19 février 2008) - Le BDP-Gabon Nouveau, mouvement politique d'opposition radicale au régime Bongo a tenu sa deuxième conférence de presse "déjeuner de presse" avec les journalistes à Libreville samedi 16 février 2008 à 10h00 du matin au restaurant Le Calypso. Voici la version texte du discours audio du Dr. Daniel Mengara passé devant les journalistes. > > > BDP-Gabon Nouveau: Discours de Monsieur Paskhal Nkoulou lors de la Conférence de presse du samedi 16 février 2008 à Libreville > http://www.bdpgabon.org/content/view/6030/39/ > (BDP-Gabon Nouveau, 19 février 2008) - Le BDP-Gabon Nouveau, mouvement politique d'opposition radicale au régime Bongo a tenu sa deuxième conférence de presse "déjeuner de presse" avec les journalistes à Libreville samedi 16 février 2008 à 10h00 du matin au restaurant Le Calypso. Voici le texte du discours lu par Monsieur Paskhal Nkoulou, Coordonnateur National. > > > Gabon: Omar Bongo, Mba Obame et le bongoïsme : jusqu’où ira la politique de liberté d'expression mesurée au pourcentage? > http://www.bdpgabon.org/content/view/5744/39/ > (BDP-Gabon Nouveau, 16 janvier 2008) - En décrétant, ce 9 janvier, la suspension des ONG gabonaises pour ce qu’il a appelé des pourcentages exagérés de « propos politiques » qui vont au-delà de ce qui leur est autorisé de par leur statut d’associations à caractère non politique, Mba Obame a, encore une fois, révélé au monde la nature foncièrement animalière du régime Bongo, et confirmé ce qu’il est désormais aujourd’hui convenu d’appeler la dictature bongoïste au Gabon. From protected at yahoo.fr Fri Feb 29 10:12:48 2008 From: protected at yahoo.fr (moundanga guy martial) Date: Fri, 29 Feb 2008 10:12:48 -0500 Subject: [palabres] Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville Message-ID: bonne réaction c'est bien ce type n'est qu'a assoiffé par les postes que proposent le systeme c'est de la politique du vendre et rien d'autres Zéro Fautes wrote: > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages > ___________________________________________________________ > > > > C'est justememt parce que tu ne comprends rien à l'interaction intime entre économie et politique que tu ne sais pas ce que tu dis. C'est comme Mba Obame qui essaie de limiter l'expression politique des ONG sans comprendre que leur expresion est forcément politique. Comme le démontre le Dr. Mengara, limiter la liberté d'expression à un journaliste c'est tuer l'entreprise qui emploie le journaliste. Un journal est une entreprise privée créée par un citoyen privé pour la survie économique. Ce n'est pas un hobby. Le propriétaire d'un journal est avant tout un chef d'entreprise avec des employés. Quand on imite ou cesure la liberté d'expression, on tue le journal, donc l'entreprise qui fait vivre des familles. Le jour où tu comprendras comment la dictature est foncièrement un système anti-économie, tu pourras revenir nous endormir avec ton approche totalement bongoïste de l'économie. Peut-être comprendras-tu les vertus inaliénables de la démocratie comme facteur de promotion du bien-être et du progrès. Pour toi, on peut avoir une dictature en place et réussir la révolution économique au Gabon, hein? From protected at yahoo.fr Fri Feb 29 10:31:55 2008 From: protected at yahoo.fr (Zéro Fautes) Date: Fri, 29 Feb 2008 10:31:55 -0500 Subject: [palabres] Le BDP-Gabon Nouveau tient sa deuxième conférence de presse à Libreville Message-ID: Oui, mais on voit que ton travail sur tes programmes souffre de limitations. Si tu analyses tes projets comme tu analyses le Gabon, je plains tes clients. le problème avec toi c'est que tu crois être le premier à avoir élaboré toutes les théories politiques et économiques du monde. Tu n'arrives même pas à voir la contradiction fondamentale dans ta propre démarche. 1) Tu accuses l'analyse du Dr. Mengara d'être partielle car elle met trop l'accent sur les personnes et la politique. 2) Tu recommandes donc d'abandonner le politique pour s'occuper d'économie. Seulement, par ton approche partielle du problème, tu retombes dans les travers que tu reproches au Dr., c'est à dire que tu abandonnes totalement la mpolitique pour axer ton argument sur l'économie, sans tenir compte de la responsabilité que les hommes ont sur l'économie, surtout dans un pays comme le Gabon avec des pilleurs comme Bongo. Tu te berces de l'illusion que les changements viendront tous seuls même si la dictature est en place Frère, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, ta diuctature est en place depuis 40 ans. Combien de preuve te faut-il encore pour te montrer que dictature et progrès économique ne vont pas ensemble? Si c'était possible, ton Gabao serait déjà un Koweit. malheureusement pour toi, les hommes politiques que tu veux laisser de côté boivent toute la richesse du gabon aux dépends de tout le monde. Là où ta théorie meurt est que tu oublies que ce n'est pas l'économie qui fait les hommes mais les hommes l'économie. Pour qu'une économie soit fonctionnelle, elle dépend entièrement des actes des hommes. Démocratiser, rejeter la dictature, donc les hommes, est une meilleure garantie de succès économique que laisser les pilleurs en place alors même que ce sont ces pilleurs qui tuent l'économie. Encore une fois, le jour où tu le comprendras, on pourra mieux discuter. Pour le moment, ton statut de grand directeur que tu affiches souffre de bongoïsme. Tu sembles être un défenseur du statut quo bongoiste. je t'aurais mieux compris si tu arguais que pour changer le pays, il faut le faire à deux niveaux parallèles: changer les hommes et changer les mentalités polluées par ces hommes pour responsabiliser les Gabonais. Malheureusement, ton approche consiste à dire: Ce n'est pas la faute de Bongo si le Gabon est comme ça. Laissez-le continuer à piller et débrouillez-vous avec des illusions. Mais je te dis déjà, avec l'exemple précédemment cité, que la dictature tue même les initiatives que tu crois pouvoir appliquer indépendamment du changement politique. Voilà. Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages > ___________________________________________________________ > > > > Cher compatriote, > > Le combat contre une dictature ne passe pas nécessairement par de la véhémence verbale ou par le dénigrement de ses interlocuteurs. Je crois effectivement qu'il est possible de faire la révolution économique - ou la REVOLUTION - au sein d'une dictature et je pense même que c'est une condition fondamentale pour obtenir le renversement du rapport de forces aboutissant à la disparition de cette dictature et à la restauration des libertés ou des initiatives individuelles. > > Le rapport que vous entretenez avec le président de la République gabonaise s'apparente à la relation qu'un enfant entretient avec une figure paternaliste. Vous criez un peu plus fort que les autres dans l'espoir d'attirer l'attention de ce père apparemment inaccessible avec l'espoir, quelque fois vain, d'en obtenir un avantage, une friandise. > > Quand on veut se libérer, il faut aller un plus loin en commençant par analyser les causes profondes des échecs successifs des actions menées jusqu'à ce jour. Il faut surtout essayer de comprendre pourquoi toutes ses invectives n'interessent plus que leurs auteurs et un parterre de plus en plus réduit d'individus. La REVOLUTION au Gabon, quelqu'en soit sa nature, a besoin de s'appuyer sur des actions mieux réfléchies autour des stratégies plus efficaces que le dénigrement. In fine, QU'EST CE QUE VOUS CHANGEZ? Uniquement remplacer un individu à la place d'un autre autre : vous n'obtiendrez qu'un ravalement de façade et le renouvellement ou le prolongement d'une dictature. Je crois qu'il faut (re) analyser le fonction de notre Etat et de nos structures socio-économiques pour être en mesure de construire un système ou chacun trouve sa place dans le respect de sa liberté d'initiative. > > Les gabonais ont besoins de leaders un peu plus conséquents et surtout pragmatiques : Ils ont besoin d'être entrainés par des personnes qui se donnent les moyens de leurs actions et qui vont ouvertement jusqu'au bout de leurs objectifs. Nous avons besoin de leaders qui gagnent le respect de leurs idées sur le terrain et non d'intellectuels en mal de public captif. Qu'est ce qu'être "docteur" de nos jours si on n'est pas capable d'apporter les solutions les plus élémentaires aux problèmes courants que se posent nos concitoyens. > > Je ne suis pas un fanatique des débats idéologiques. Je prefère travailler sur des programmes-projets avec des objectifs précis en terme de performance, délais et (économies) de coûts. Ne soyez pas étonné si je ne vous suis pas sur la voie des débats stériles. > Cordialement. > MANGASS MANAGEMENT > Christian MAYANDJI > Directeur > Cabinet Conseils & Ingénierie > Economie d'entreprise - Affaires > Projets de développement durable > > > Zéro Fautes wrote: >> ___________________________________________________________ >> Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages >> ___________________________________________________________ >> >> >> >> C'est justememt parce que tu ne comprends rien à l'interaction intime entre économie et politique que tu ne sais pas ce que tu dis. C'est comme Mba Obame qui essaie de limiter l'expression politique des ONG sans comprendre que leur expresion est forcément politique. Comme le démontre le Dr. Mengara, limiter la liberté d'expression à un journaliste c'est tuer l'entreprise qui emploie le journaliste. Un journal est une entreprise privée créée par un citoyen privé pour la survie économique. Ce n'est pas un hobby. Le propriétaire d'un journal est avant tout un chef d'entreprise avec des employés. Quand on imite ou cesure la liberté d'expression, on tue le journal, donc l'entreprise qui fait vivre des familles. Le jour où tu comprendras comment la dictature est foncièrement un système anti-économie, tu pourras revenir nous endormir avec ton approche totalement bongoïste de l'économie. Peut-être comprendras-tu les vertus inaliénables de la démocratie comme facteur de promotion du bien-être et du progrès. Pour toi, on peut avoir une dictature en place et réussir la révolution économique au Gabon, hein?