From protected at yahoo.fr Wed Aug 6 00:17:45 2008 From: protected at yahoo.fr (rizogo-rousselot steve) Date: Wed, 06 Aug 2008 00:17:45 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : reponse a votre message je ne suis pas une gabonaise je suis une algerienne Message-ID: merci a voud maidemoiselle je prendrais pas, la peine de repondre a vos propos vous devais juste savoir que l'embleme du gabon est t'une femme qui donne le sein a son bebbe sur ceux salut a vous et a vos mamans camerounaise algerienne pour moi vous resté des futur mere steve RR ----- Message d'origine ---- De : Paul Armand Mombey Indaki À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Vendredi, 13 Juin 2008, 15h42mn 25s Objet : [BDPalabres] Re : [palabres] reponse a votre message je ne suis pas une gabonaise je suis une algerienne ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ VRAIMENT VOUS COMPRENEZ VITE , MAIS IL FAUT VOUS EXPLIQUER LONGTEMPS. A CETTE ALLURE ,L'UNION AFRICAINE , C'EST PAS DEMAIN LA VEILLE ! CE SONT CES QUERELLES XENOPHOBES , QUI AFFAIBLISSENT L'AFRIQUE TOUT ENTIERE , NE LE VOYEZ- VOUS DONC PAS ? FAUT ARRETER CA , VOUS NE VOUS RENDEZ PAS SERVICE . ----- Message d'origine ---- De : HOUICHI Fatiha À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Jeudi, 12 Juin 2008, 23h39mn 17s Objet : [BDPalabres] [palabres] reponse a votre message je ne suis pas une gabonaise je suis une algerienne ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ bonjour Monsieur vous parlez de cesser de vous envoyer les message vous faite erreur monsieur, moi je ne vous ai jamais envoyer ce message car je ne suis pas gabonaise je suis algerienne et je deteste les gabonais car sont tous des batars et leur president qui laisse meme pas leur peuple de choisir un president je ne sais pas quesqui cherche et quesqu'il attend il a bouffet beaucoup donc il faut qu'il laisse la place pour d'autre ou bien il donne de la satisfaction a son peuple et aussi ça ne me redarde pas ok merci. C'est qui vous aller etres au diable pas moi. > > vous plait cessez de m'envoyez vos mail , je suis > > camerounais et je me fou de ce qui peut arriver a un > > peuple primitif comme les gabonais mourrez disparaissez > > tous faite comme vous voulez mais laissez moi en > > dehors de tout cela je ne vous aimes pas et ce > > n'est pas demain la veille que cela changera vous > > être tous des cons un méprisable peuple de nains > > toujours prêts à geindre . > > alors allez au diable. From protected at yahoo.fr Wed Aug 6 00:19:40 2008 From: protected at yahoo.fr (mich ella mve) Date: Wed, 06 Aug 2008 00:19:40 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: je partage votre avis mai c ki est deploirable ce k olieu de debattre sur l avnir du gabon les gens passe tout leur temps a s'envoyer des mms de bongo par ci bongo par là ----- Message d'origine ---- De : tsir.ella À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Lundi, 26 Mai 2008, 23h32mn 17s Objet : Re: [palabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ Monsieur Moussavou, Si vous pensez que bongo est aimé de tous les gabonais, pourquoi vous débattez-vous donc à le défendre ? Pourquoi votre bongo dépense-t-il autant d'argent pour apprivoiser des consciences comme les vôtres qui continuent à brayer pour une cause dont l'issue est bel et bien connue à condition de bien lire à travers les lignes. bongo est fini, son incompétence et sa névrose obsessionnelle au pouvoir sont exposées sur toutes les toiles. Il me semble que ces phases rappellent les prodromes du glas de tous les dictateurs africains. Il est plutôt temps de vous repentir, très cher compatriote et frère Moussavou............ c'est un conseil ! Le 26 mai 08 à 17:45, Jean-Michel Moussavou a écrit : > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages > ___________________________________________________________ > > Alors comme ça, le Président Bongo Ondimba est maintenant un crapaud, hein? Vous les gens du BDP vous ne comprenez pas encore que c'est pas parce que vous gueulez que Bongo partira. Nous n'aurons jamais pas de meilleur président que Bongo. Le pays est dans la paix et les gabonais sont fiers de leur pays. Vous voulez nous faire croire que les Gabonais n'aiment pas Bongo. C'est faux. > > Si vous n'avez rien à dire, arrêtez de raconter du n'importe quoi. > > JM. > From protected at yahoo.fr Wed Aug 6 00:20:43 2008 From: protected at yahoo.fr (mich ella mve) Date: Wed, 06 Aug 2008 00:20:43 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: bj je souhait avoir vos avis consernant la cour criminelle speciale svp ----- Message d'origine ---- De : Intellectuel monIntellectuel À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Samedi, 7 Juin 2008, 0h34mn 19s Objet : Re: [palabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ Mr Moudanga guy martial, l'enfant là !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Tu parles de meurtre, d'assassinat et même si tu avais raison ne sais tu pas que ce genre de réseau est infecté de traites !!! Mon petit frère attention dans ta fougue, Ali n'est pas un idiot !!! Dans tes réactions aussi imprudentes tu as montré que tu manquais de....De deux choses l'une, soit tu es un traite voulant sortir les vers du nez des gens ou chose plus grave tu es sincère et dans ce cas extrême je dirai que tu es un fou !!!! Seul un fou suivra un autre fou comme toi !!! Va vite demander pardon, ton nom est déjà est bien loin et celui de tes parents, amis et autres...Tu viens sur la place publique parler de ta volonté d'assassiner Ali Ben Bongo futur président du Gabon !!!!!!!!!!! Va vite demander pardon, j'espère que tu as un oeil derrière la tête !!!!!!!!!!!! A bon entendeur salut aux temeraires en folie !!! ----- Message transféré ---- De : moundanga guy martial À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Jeudi, 29 Mai 2008, 3h20mn 20s Objet : Re: [palabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ j'ai bien apprécier toutes les réactions par rapport a la position de mr moussavou mais franchement je crois qu'il est l'heure de moins parlermaisde passer aux actes car la machine concernant la succession de mr bongo est en marche ce crocodile est entrain de préparer son fils biafra a sa succession je crois que je ne suis pas le seul a le voire alors que faire ? moi j'ai des propositions alors passons aux actes oublions les leaders corrompu tout homme est un leader ainsi j'interpelle tous les vivants des années 90 car il faille que ça bouge il n'y a aucune autre solution le sang doit couler ,nous avons une menace qui se presente a l'horizon c'est aliben bongo nous devrions chercher a le supprimer avant 2011 car aujourd'hui bongo bernard ne peresente plus une menace pour moi car meme son propre sommeil peux l'emporter alors qui veux se joindre a moi ? arretons de faire du bruit pour rien le temps est pressant .IL nous fut la tete duministre de la défense il doit plus etre de ce monde dès 2011 c'est une urgence tres chers compatriote il nous le faut ce biafra pédé que vex nous confier le singe de bongo From protected at bdpgabon.org Wed Aug 6 00:25:44 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Wed, 06 Aug 2008 00:25:44 -0400 Subject: [BDPalabres] Affaire ALABA FALL: Le BDP-Gabon Nouveau appelle à la démission des vrais coupables Message-ID: Affaire ALABA FALL: Le BDP-Gabon Nouveau appelle à la démission des vrais coupables digne peuple du Gabon, L’indignation est grande et le crime impardonnable. Notre mouvement, « Bongo Doit Partir, pour la construction d’un Gabon nouveau » (BDP-Gabon Nouveau), ne peut rester insensible face à cette nouvelle forfaiture du régime BONGO contre le peuple gabonais. Et quand nous disons « forfaiture du régime BONGO », nous pesons nos mots. Dans l’affaire Bosco ALABA FALL, il y a bel et bien eu crime, et les responsables de ce crime se doivent tous d’être non seulement démasqués, mais également punis. Nous dirons donc tout haut, pour l’intérêt de notre peuple, ce que certains n’osent dire tout bas par peur des représailles du roi. 329 millions de francs CFA d’origine suspecte et douteuse, voilà la somme faramineuse découverte sur le compte à la BGFIBANK du Procureur de la république, Monsieur Bosco ALABA FALL. 329 millions de francs CFA déposés CASH en quatre versements : un dépôt de 29.740.000 FCFA le 12 mars 2007, trois versements de 100 millions chacun en l’espace de deux jours (deux versements le 31 octobre 2007, et un versement le 1er août 2007). 1. Ceci ne poserait aucun problème si l’on ne savait le modeste salaire mensuel que gagne le Procureur de la république, c’est-à-dire 1.295.252 (un million deux cent quatre-vingt-quinze mille deux cent cinquante-deux) francs CFA. Et, nonobstant la maladroite défense commanditée par le Procureur de la république dans le Nganga No. 178 du 23 juillet 2008, dans lequel il argue qu’il possède non seulement un patrimoine immobilier considérable, mais aussi deux clubs de football et de handball, on ne voit pourtant pas, sur une période de 14 mois (plus d’un an), aucun autre dépôt d’argent dans le compte du Procureur que son modeste salaire et… les 329 millions incriminés. Par ailleurs, l’argument selon lequel ses clubs de foot et de handball recevraient de grosses subventions de 50 millions et 26 millions respectivement tombe à l’eau quand on sait que de telles subventions ne peuvent être versées en espèces par les organismes créditeurs. Et on n’en voit aucune trace sur ce compte personnel du Procureur, qui d’ailleurs ne devrait pas être confondu avec les comptes de ses clubs car la présence de fonds destinés aux clubs sur un compte personnel constituerait automatiquement un crime de détournement. Les clubs étant des associations sportives avec des statuts légaux bien définis, ils se doivent d’avoir des comptes bancaires séparés. C’est dire que Monsieur le procureur s’embrouille dans ses malversations entre les règles de droits et leurs exigences, et la gestion familiale des choses qui semble être l’apanage du régime BONGO. Une plainte contre M. Alaba Fall aurait pu être instruite par le Procureur contre lui-même si ce pays reposait sur des institutions dignes de ce nom. Autrement dit, le Procureur aurait dû se récuser pour permettre à l’état de diligenter une enquête en bonne et due forme. Dans cette affaire, donc, il ne saurait y avoir confusion : dès lors qu’il y a un écart important et non justifié légalement entre les revenus d’un individu, et de surcroît un représentant de l’autorité de l’état, la loi a le devoir de présumer un enrichissement illicite contre ce citoyen et instruire cette situation en justice : il y a tout simplement, dans ce cas, présomption d’enrichissement illicite. Lire la suite: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/06/affaire-alaba-fall-le-bdp-gabon-nouveau-appelle-a-la-demission-des-vrais-coupables/ From protected at yahoo.fr Wed Aug 6 12:03:21 2008 From: protected at yahoo.fr (Bibson DJIEMBI) Date: Wed, 06 Aug 2008 12:03:21 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: A vous entendre parler je me demande si vraiment vous êtesdes intellectuels, Que repproche t-on à Monsieur Ali BONGO? le fait qu'il soit ceci ou celà! s'il vous plait ne faisons pas la politique du rez de chaussée, regardons plus haut et plus loin que le bout du nez; regardezcz qui sepasse aux Etats Unis, un Barack Obama nègre de son état arrivé à ce stade de la politique!! s'il vous plait arrêtons. Tout le monde ne peut pas être au pouvoir, s'il le veut et s'il le peut devant les autres adversaires qu'il passe; ce que nous voulons nous Gabonais c'est l'amélioration de nos conditions de vie c'est à dire le trravail pour tous, la santé,l'instruction et le manger en somme le social. Mes frères changeons de façon de voir les choses. From protected at yahoo.fr Wed Aug 6 12:13:42 2008 From: protected at yahoo.fr (Allison Mengue) Date: Wed, 06 Aug 2008 12:13:42 -0400 Subject: [BDPalabres] Affaire ALABA FALL: Le BDP-Gabon Nouveau appelle à la démission des vrais coupables Message-ID: Libérez Marlène Rapontchombo, bande de dictateurs que vous êtes. Je souhaite voir OMar Bongo et sa bande en prison un jour pour qu'ils sache ce qu'est se retrouver au gnouf. Merci pour ceux qui prennent le temps de se préoccuper des choses du pays. Je partage votre analyse. From cmayandji at yahoo.fr Wed Aug 6 05:42:05 2008 From: cmayandji at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Wed, 6 Aug 2008 09:42:05 +0000 (GMT) Subject: [BDPalabres] =?iso-8859-1?q?Re_=3A__Gabon_=3A_Omar_Bongo_ou_le_cr?= =?iso-8859-1?q?apaud_qui_se_prenait_pour_un_=E9l=E9phant?= In-Reply-To: Message-ID: <752660.27510.qm@web26508.mail.ukl.yahoo.com> Cher monsieur, Je vous prie d'éviter de me transmettre ce type de message et je ne souhaite pas alimenter cette forme de débat au forum BDP. Je vous remercie d'avance. Cordialement.   MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES  ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS  CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE   --- En date de : Mer 6.8.08, mich ella mve a écrit : De: mich ella mve Objet: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Mercredi 6 Août 2008, 6h20 ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ bj je souhait avoir vos avis consernant la cour criminelle speciale svp ----- Message d'origine ---- De : Intellectuel monIntellectuel À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Samedi, 7 Juin 2008, 0h34mn 19s Objet : Re: [palabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ Mr Moudanga guy martial, l'enfant là !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Tu parles de meurtre, d'assassinat et même si tu avais raison ne sais tu pas que ce genre de réseau est infecté de traites !!! Mon petit frère attention dans ta fougue, Ali n'est pas un idiot !!! Dans tes réactions aussi imprudentes tu as montré que tu manquais de....De deux choses l'une, soit tu es un traite voulant sortir les vers du nez des gens ou chose plus grave tu es sincère et dans ce cas extrême je dirai que tu es un fou !!!! Seul un fou suivra un autre fou comme toi !!! Va vite demander pardon, ton nom est déjà est bien loin et celui de tes parents, amis et autres...Tu viens sur la place publique parler de ta volonté d'assassiner Ali Ben Bongo futur président du Gabon !!!!!!!!!!! Va vite demander pardon, j'espère que tu as un oeil derrière la tête !!!!!!!!!!!! A bon entendeur salut aux temeraires en folie !!! ----- Message transféré ---- De : moundanga guy martial À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Jeudi, 29 Mai 2008, 3h20mn 20s Objet : Re: [palabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ j'ai bien apprécier toutes les réactions par rapport a la position de mr moussavou mais franchement je crois qu'il est l'heure de moins parlermaisde passer aux actes car la machine concernant la succession de mr bongo est en marche ce crocodile est entrain de préparer son fils biafra a sa succession je crois que je ne suis pas le seul a le voire alors que faire ? moi j'ai des propositions alors passons aux actes oublions les leaders corrompu tout homme est un leader ainsi j'interpelle tous les vivants des années 90 car il faille que ça bouge il n'y a aucune autre solution le sang doit couler ,nous avons une menace qui se presente a l'horizon c'est aliben bongo nous devrions chercher a le supprimer avant 2011 car aujourd'hui bongo bernard ne peresente plus une menace pour moi car meme son propre sommeil peux l'emporter alors qui veux se joindre a moi ? arretons de faire du bruit pour rien le temps est pressant .IL nous fut la tete duministre de la défense il doit plus etre de ce monde dès 2011 c'est une urgence tres chers compatriote il nous le faut ce biafra pédé que vex nous confier le singe de bongo ___________________________________________________________ Liste de discussion BDPalabres BDP-Gabon Nouveau: Patriotisme - Dignité - Progrès http://www.bdpgabon.org Pour quitter la liste, cliquez le lien ci-dessous: http://bdpgabon.org/mailman/listinfo/bdpalabres_bdpgabon.org _____________________________________________________________________________ Envoyez avec Yahoo! Mail. Une boite mail plus intelligente http://mail.yahoo.fr From protected at yahoo.fr Thu Aug 7 09:10:16 2008 From: protected at yahoo.fr (ndombi malone) Date: Thu, 07 Aug 2008 09:10:16 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: svp vs faites du bruit avec bongo vs etes tous du pareil au meme pourquoi pa venir au gabon et le combattre then to send some stupid message to people up to now that bongo regime has prouved that no one touch him so keep quiet --- En date de : Mer 6.8.08, Bibson DJIEMBI a écrit : De: Bibson DJIEMBI Objet: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Mercredi 6 Août 2008, 19h03 ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ A vous entendre parler je me demande si vraiment vous êtesdes intellectuels, Que repproche t-on à Monsieur Ali BONGO? le fait qu'il soit ceci ou celà! s'il vous plait ne faisons pas la politique du rez de chaussée, regardons plus haut et plus loin que le bout du nez; regardezcz qui sepasse aux Etats Unis, un Barack Obama nègre de son état arrivé à ce stade de la politique!! s'il vous plait arrêtons. Tout le monde ne peut pas être au pouvoir, s'il le veut et s'il le peut devant les autres adversaires qu'il passe; ce que nous voulons nous Gabonais c'est l'amélioration de nos conditions de vie c'est à dire le trravail pour tous, la santé,l'instruction et le manger en somme le social. Mes frères changeons de façon de voir les choses. From protected at bdpgabon.org Thu Aug 7 14:33:03 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Thu, 07 Aug 2008 14:33:03 -0400 Subject: Affaire ALABA FALL: Droit de réponse des ONGs: De la garde à vue de Mlle Marlène Rapotchombo Message-ID: Le droit de réponse ci-dessous nous est parvenu de la part de la Coalition Publiez Ce Que Vous Payez - Gabon (PCQVP-Gabon). Ce droit de réponse est en réaction à l’argument avancé, dans le cadre de l’Affaire ALABA FALL, par le Parquet de Libreville sur l’arrestation arbitraire de Mlle Marlène Rapotchombo, toujours détenue. La Coalition PCQVP attend de voir si L’Union publiera son droit de réponse. En attendant, le BDP-Gabon Nouveau vous livre ici, en avant-première, la réaction de PCQVP-Gabon suite à la mise au point du Parquet. DROIT DE REPONSE --------------- Dans L’Union du lundi 04 août 2008, à la page 03, nous avons pu lire la mise au point du Parquet de la République qui annonçait que la Loi pénale l’habilitait à proroger la garde à vue d’un suspect, dans l’affaire du « Relevé de compte BGFI de Monsieur Alaba fall Bosco » publié dans la presse nationale et sur Internet. De telles déclarations ne peuvent laisser indifférent surtout lorsqu’on sait que plusieurs personnes pourraient prendre pour vraies les allégations du Procureur adjoint Jean-Bedel Moussodou qui va jusqu’à susciter des réactions en disant que « aucun juriste bienséant et honnête ne peut y trouver à redire…. » . Il serait irresponsable de laisser passer une telle aberration et cela d’autant plus qu’elle émane du Parquet, une institution censée dire et appliquer la loi dans sa plus grande rigueur… Notre Code de Procédure Pénale est pourtant clair. C’est l’article 35 A qui encadre la notion de la garde à vue et dispose : « Dans les lieux où réside un représentant du Ministère public ou un Juge d’instance, si pour les nécessités de l’enquête, l’officier de police judiciaire est amené à garder à sa disposition une ou plusieurs personnes soupçonnées d’avoir participé à l’infraction, il ne pourra le faire que pendant 48 heures ». LIRE LA SUITE: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/07/droit-de-reponse-des-ongs-de-la-garde-a-vue-de-mlle-marlene-rapotchombo/ From protected at yahoo.fr Thu Aug 7 15:58:23 2008 From: protected at yahoo.fr (ndombi malone) Date: Thu, 07 Aug 2008 15:58:23 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: salut frere je suis un gabonnais fier de l'etre cmme toi et les autres j'ai parfois honte de me trouver a l'etranger a cause des etudes que je pouvais tranquillement faire dans mon pays c'est un situation social parmis tant d'autre donc ne dis pas qu'on n'a pas une autre vue sur le pays la seule chose est que ns n'avons pas des politique capable c'est dommage pour ns avec un pays benis de DIEU que ns ne pouvons pa gerer massages sur internet ne porte pas des fruits plus de ref;lection et idees --- En date de : Jeu 7.8.08, ndombi malone a écrit : De: ndombi malone Objet: Re: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Jeudi 7 Août 2008, 16h10 ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ svp vs faites du bruit avec bongo vs etes tous du pareil au meme pourquoi pa venir au gabon et le combattre then to send some stupid message to people up to now that bongo regime has prouved that no one touch him so keep quiet --- En date de : Mer 6.8.08, Bibson DJIEMBI a écrit : De: Bibson DJIEMBI Objet: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Mercredi 6 Août 2008, 19h03 ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ A vous entendre parler je me demande si vraiment vous êtesdes intellectuels, Que repproche t-on à Monsieur Ali BONGO? le fait qu'il soit ceci ou celà! s'il vous plait ne faisons pas la politique du rez de chaussée, regardons plus haut et plus loin que le bout du nez; regardezcz qui sepasse aux Etats Unis, un Barack Obama nègre de son état arrivé à ce stade de la politique!! s'il vous plait arrêtons. Tout le monde ne peut pas être au pouvoir, s'il le veut et s'il le peut devant les autres adversaires qu'il passe; ce que nous voulons nous Gabonais c'est l'amélioration de nos conditions de vie c'est à dire le trravail pour tous, la santé,l'instruction et le manger en somme le social. Mes frères changeons de façon de voir les choses. From protected at yahoo.fr Sat Aug 9 12:26:34 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Sat, 09 Aug 2008 12:26:34 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: Cher(s) compatriote(s), Cette complainte "pays béni de dieu,.. pas de politique capable" me semble trop repétitif. Il ressemble à cette méthode que nos instituteurs avaient trouvé pour faire apprendre quelque chose à leurs élèves dans des classes surchargées. Ils les faisaient annoner inlassablement. Certains repetaient par coeur sans rien comprendre, les autres se décourageaient de ne rien comprendre. Il restait une petite frange d'élèves plus ou moins encadrées ou relativement intelligents pour comprendre et franchir les obstacles. C'est à partir de cet écremage que se constituent et renouvellent les élites d'un pays comme le Gabon. Cela dit, ces élites peuvent t-elles se contenter d'anonner les mêmes formules pendant des années? Sommes nous encore en début de primaire? Peuvent -elles continuer à expliquer leur impuissance à prendre les renes et à faire bouger les choses dans leur pays par l'absence de "capacité des politiques"? Mais au fond qui est politique et qui ne l'est pas? Suffit-il de se lever et de crier plus ford que les autres? de tenir des propos outrageants? Je me pose des questions et je me permet de vous inviter à vous poser aussi des questions. Certains gabonais ont proposé des analyses de la situation du Gabon dans des ouvrages particulièrement renseignés. Ils ont proposé des méthodes pour en sortir. Ces propositions ne concernaient pas seulement les "politiques". Ils interpellent l'ensemble des citoyens gabonais. Combien d'entre nous nous sommes mobilisé pour approfondir la reflexion lancée par nos écrivains chercheurs ou non? Combien d'entre nous nous sommes mobilisé pour cerner la méthodes et identifier les moyens de mettre en oeuvre les pistes de reflexion de ces gabonais? Combien d'entre nous paient tout simplement ces ouvrages et permettent à ces écrivains de vivre sans etre obligés de se "prostituer" ou se soumettre à la volonté présidentielle? Parlons même des rares personnes qui se positionnent comme leaders d'opinions politiques. Combien d'entre nous paient des cotisations pour soutenir leurs actions? Combien d'entre nous prennent de leur temps pour participer aux réunions de préparation des actions qu'ils préconisent? Aujourd'hui les rares leaders qui conservent une certaine notoriété sont obligés de se limiter aux solutions d'organisation les moins couteuses : susciter et gérer les débats sur internet. Cela a une incidence sur la qualité de ces débats : nous traitons de l'évenementiel le plus sordide et sensationnel. Il n'est pas possible d'avancer ainsi, en pratiquant uniquement la critique et en délaissant la mise en oeuvre de l'art. Je voudrais demander à ce compatriote de ne pas avoir honte d'etre à l'étranger. On peut y vivre et faire ses études mais ne pas se limiter à cela. A mon sens, l'un des principaux intérêts de vivre à l'étranger est d'observer méthodiquement comment vivent les citoyens de ces pays hotes, d'identifier ce qui peut nous servir et de construire patiemment le système qui permet de mettre en pratique les solutions retenues dans notre pays. Je crois que dans un certain nombre de domaines, nous n'avons pas besoin de(s) "politiques" pour concevoir et mettre en oeuvre un certain nombre de solutions permettant d'améliorer notre situation ainsi que celle de nos compatriotes. Nous avons encore plus besoin de discipline et de solidarité pratique. Je partage mon temps entre le Gabon et la France. Je peux vous assurer que - sans rejetter qui que ce soit - je ne cherche pas systématiquement la compagnie de la famille présidentielle, ni de leur clientèle politique. Au Gabon, je n'hésite pas à résider dans les quartiers les plus insalubres et à fréquenter les personnes les plus en difficulté. En dehors de quelques structures instituionnelles ou informelles (tontines, communauté réligieuse, familiale ou ethnique..), ce n'est pas forcémment dans ces milieux qu'on trouve la vertu qui semble manquer aillleurs. Il m'est arrivé d'assister à des scènes où les membres d'une famille sont incapables de sortir le moindre centime pour soigner l'un de leur membre malade. Par contre, j'ai surpris ces personnes engloutir des sommes faramineuses chez le nganga pour savoir qui est à l'origine de sa maladie ou plus tard pour financer les funérailles des personnes defuntes. J'ai une très forte envie de voir les pratiques du régime politique de mon pays changer. J'ai même envie de voir ce régime s'effondrer et laisser la place à un renouvellement du personnel politique. Toutefois, je crois que les prémisses du changement viendront des modifications du comportement des citoyens que nous sommes. Nous devons nous montrer, entre autres, plus disciplinés et plus solidaires au Gabon ou à l'étranger. A ce moment, je crois "naivement" que nos exigences seront mieux entendues par les fonctionnaires, les hauts fonctionnaires, les membres du gouvernement et le président de la République,..quel(s) qu'en soi(en)t le(s) titulaire(s). S'il vous plait, évitons l'outrage et essayons d'aborder les mêmes problèmes en étant constructif. Je prefère m'arrêter ici et laisser à chacun le soin de nourrir une reflexion dans ce sens. Cordialement. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Jeu 7.8.08, ndombi malone a écrit : De: ndombi malone Objet: Re: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Jeudi 7 Août 2008, 21h58 ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ salut frere je suis un gabonnais fier de l'etre cmme toi et les autres j'ai parfois honte de me trouver a l'etranger a cause des etudes que je pouvais tranquillement faire dans mon pays c'est un situation social parmis tant d'autre donc ne dis pas qu'on n'a pas une autre vue sur le pays la seule chose est que ns n'avons pas des politique capable c'est dommage pour ns avec un pays benis de DIEU que ns ne pouvons pa gerer massages sur internet ne porte pas des fruits plus de ref;lection et idees --- En date de : Jeu 7.8.08, ndombi malone a écrit : De: ndombi malone Objet: Re: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Jeudi 7 Août 2008, 16h10 ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ svp vs faites du bruit avec bongo vs etes tous du pareil au meme pourquoi pa venir au gabon et le combattre then to send some stupid message to people up to now that bongo regime has prouved that no one touch him so keep quiet --- En date de : Mer 6.8.08, Bibson DJIEMBI a écrit : De: Bibson DJIEMBI Objet: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Mercredi 6 Août 2008, 19h03 ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: Pour dialoguer avec les autres abonnés, répondez tout simplement aux messages ___________________________________________________________ A vous entendre parler je me demande si vraiment vous êtesdes intellectuels, Que repproche t-on à Monsieur Ali BONGO? le fait qu'il soit ceci ou celà! s'il vous plait ne faisons pas la politique du rez de chaussée, regardons plus haut et plus loin que le bout du nez; regardezcz qui sepasse aux Etats Unis, un Barack Obama nègre de son état arrivé à ce stade de la politique!! s'il vous plait arrêtons. Tout le monde ne peut pas être au pouvoir, s'il le veut et s'il le peut devant les autres adversaires qu'il passe; ce que nous voulons nous Gabonais c'est l'amélioration de nos conditions de vie c'est à dire le trravail pour tous, la santé,l'instruction et le manger en somme le social. Mes frères changeons de façon de voir les choses. From protected at yahoo.fr Sat Aug 9 12:28:06 2008 From: protected at yahoo.fr (moundanga guy martial) Date: Sat, 09 Aug 2008 12:28:06 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: je suis votre futur president ok et je ne blague pas car je prend bientot le pouvoir ah ah ah ah ah blaguer mais ça arrive From protected at yahoo.fr Sat Aug 9 12:28:54 2008 From: protected at yahoo.fr (moundanga guy martial) Date: Sat, 09 Aug 2008 12:28:54 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: mais que devient notre mengara? est il toujours entrain de lutter ou il brasse a son tour l'argent en tout cas nous avons tous compris il faut faire l'opposition pour arraiver a ses fins au gabon merci From protected at yahoo.fr Sat Aug 9 12:30:49 2008 From: protected at yahoo.fr (loeil) Date: Sat, 09 Aug 2008 12:30:49 -0400 Subject: [BDPalabres] Vidéo : Alaba fall et le balancier de la justice Message-ID: Pour agrandir la vidéo cliquez sur le bouton à côté du volume (à droite au bout de la barre de progression...) La version vidéo vous sera envoyée après compression, donnée de meilleure qualité Cdt , Dossier : Alaba fall et le balancier de la justice http://www.youtube.com/watch?v=LTLP0M-vz0w Reportage RFI : Alaba fall et le balancier de la justice http://www.youtube.com/watch?v=ImwNkX1rJfA L'oeil qui voit tout...seul Dieu est notre limite From protected at yahoo.fr Sat Aug 9 23:59:43 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Sat, 09 Aug 2008 23:59:43 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: Très chers, Voila un compatriote qui refuse de vivre autrement que dans la culture de la délation. Que savons nous de la vie de M. MENGARA? A-il eu besoin de "l'argent" de quelque personne que ce soit pour s'offrir un voyage vers les états-unis? Là où il réside actuellement, at-il besoin de revenus de provenance obscure pour subvenir à ses besoins? L'impression qui se dégage des propos de notre compatriote est qu'il a du mal à accepter qu'un homme - à plus forte raison connaissant l'expérience de la diaspora - qui a la volonté de se fixer une ligne de conduite peut très bien se passer des "gratifications" de l'Etat et de son plus "digne" représentant. Quitte à faire "la manche" dans le pays d'accueil, on peut choisir de vivre sans attendre quoi que ce soit de n'importe qui. Je ne crois pas que M. MENGARA fasse la manche aux USA. Il est parti du Gabon avec une formation initiale qui lui permet de s'en sortir bien mieux. De plus le niveau de formation atteint au USA lui a certainement ouvert la porte à des activités professionnelles plus saines que notre compatriote ne peut soupçonner. Cela dit, parlons de ceux qui passent leur temps à camper dans "l'antichambre" en attendant la distribution paternaliste de quelques subsides ou la signature d'un "décret". Ont - il pour autant reussi à construire quelques usines ou tout simplement des ateliers, des magasins ou tout autre structure permettant d'améliorer leur condition de vie? Tout ceux qui ont observé ceux qui ont fait ce choix ont du se rendre compte qu'on finit par y perdre le peu auquel on tient. Je crois profondément qu'il faut, de part et d'autre, arreter avec le discours de la délation, de la supputation... Il y a bien d'autres choses à faire. Ne soyons pas excessivement ambitieux pour croire que chacun de nous - tous seul - peut changer la face du Gabon. Par contre, il y a des actions ciblées que nous pouvons réaliser au sein de nos collectivités territoriales ou de nos communautés familiales ou sociales ou linguistiques. Ce sont ces actions mises patiemment bout à bout qui finissent par construire la nation. Ces actions ne nécessitent pas de moyens surdimensionnés; en conséquence, il n'est pas nécessaire de l'antichambre d'un autorité politique pour les mobiliser. Il suffirait que celui qui semble suggérer que M. MENGARA est allé "boire à la soupe populaire de l'opposition" puisse payer régulièrement ses cotisations ou d'autres formes de participations à la cause politique qu'il défend pour permettre à ces leaders de ne pas déposer les armes et "se prostituer" politiquement. Je crois que même le leader du parti au pouvoir a besoin de sentir que ses militants -et autres supporters - sont en mesure de lui payer son petit-déjeuner pour qu'il commence à adopter une autre attitude que celle du mépris? Se respecter et se faire confiance ne sont pas compliqués. Cela ne demande pas de mobiliser des moyens matériels ou financiers. C'est le point de départ d'une démarche de construction et de concertation, d'un changement de comportement. Lors de mon dernier voyage au Gabon, j'ai été surpris de voir de noter que l'équipement du génie militaire avait été renouvellé; et surtout que les militaires de cette unité ne passaient plus leur temps à s'enniver dans les bistrots, mais créaient des nouvelles routes dans certains quartiers enclaves de Libreville. J'ai également accompagné quelques personnes à l'hopital militaire de Libreville. La qualité de la prise en charge et des soins y est largement de meilleure qualité que dans certaines cliniques privées ou certains hopitaux publics ou officient des "gabonais consciencieux". Ces observations m'ont amené à penser que la prise de conscience n'apparait ou ne disparait pas selon qu'on se reclament d'une catégorie sociale ou d'un parcours plus que d'un autre. Il n'appartient meme pas à une génération ou à une élite. Elle dépend de la sensibilité qu'on finit par développer et du regard qu'on porte sur soi-même. Mon cher compatriote, nous avons perdu trop de temps avec des allusions et accusations sans fondement. Ayons la volonté d'essayer autre chose, essaie autre chose de plus sain. Cela ne te coutera pas plus, mais peut te rapporter mieux. La politique peut se traduire par la confrontation et la volonté d'anéantissement de l'adversaire. Pourtant nous pouvons nous permettre de conserver des valeurs même dans des moments aussi extremes. Les pays d'Afrique australe ou centrale ont connu des situations violentes, pourtant les "conversations et allusions de bistrot" n'ont jamais été élevés au rang de questions politiques dignes de se présenter comme des citoyens responsables. Je suis persuadé que vous etes un citoyen responsable. Cordialement. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Sam 9.8.08, moundanga guy martial a écrit : De: moundanga guy martial Objet: Re: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Samedi 9 Août 2008, 18h28 ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ mais que devient notre mengara? est il toujours entrain de lutter ou il brasse a son tour l'argent en tout cas nous avons tous compris il faut faire l'opposition pour arraiver a ses fins au gabon merci From protected at yahoo.fr Sun Aug 10 00:46:52 2008 From: protected at yahoo.fr (Oyane Eric) Date: Sun, 10 Aug 2008 00:46:52 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: Frère Mawandji, Tu poses une analyse fondamentale. Tout le monde qui réussit dans la vie, surtout dans la diaspora, a-t-elle besoin de dépendre du roi gabonais pour vivre? j'ai été intrigué par votre analyse, donc j'ai tapé "Mengara Daniel" dans Google. Un peu de curiosité intellectuelle suffit pour trouver tout ce qu'on veut sur Google. ce Mengara n'est pas même caché car on trouve facilement là où il travaille. Ma recherche m'a montré que ce Mengara est actuellement professeur dans une université qui s'appelle Montclair State Université aux USA. ça je ne le savais pas. je sais d'un cousin qui me commentait l'Amérique que les profs y gagnent bien leur vie. Mengara a le rang d'Associate Professeur. C'est le rand qui précède le titre de professeur plein. J'ai cru comprendre qu'aux Etats-Unis, il ya trois rangs: Assistant Professeur quand on commence, Associate Professeur quand on est promu et Professeur qui est le dernier rang. Concrètement ça veut dire que Mengara manque seulement un seul rang avant de devenir Professeur plein comme les grands Pofesseurs français qu'on appelle "Professeur" avec le titre en France. Va-t-on nous dire qu'un homme comme ça qui a réussi sa vie aux USA va dépendre des prébendes de Bongo? Mon cousin qui habite aux USA m'a dit que des universités comme Princeton ou Harvard paient leurs professuers très bien et les saliares des grands professeurs frisent les 100.000 dollars ou même 150.000 dollars par an dans certaines universités US. C'est comme si ces profs gagnaient 4 à 7 millions CFA par mois. C'est presque des saliares de ministres ça, non? Y a des pays où au moins où on respecte la profession d'enseignant.je ne sais pas combien gagne Mengara, mais je pense qu'il doit bien gagner sa vie non? avec un rang comme Associate Profeseur aux USA, ce n'est pas un homme qui vt dans la misère. Donc pourqui poser une question sur Mengara alors qu'on sait où il se trouve, son travail et comment il gagne sa vie. Nous devons apprendre à respecter ceux de nos compatriotes qui ont pu réussir grace à leur cerveau. Je ne pense pas que c'est Bongo qui a mis Mengara là où il est. Les USA c'est pas comme le Gabon avec le système de copinage où Bongo appelle un reteur pour dire, prend Mengara comme prof même sans diplome. Arrêtons d'être limités comme ça. Mengara est un compatriote qui mérite le respect et la fierté de nous tous. tu as raison raison, frère Mawandji de poser la vraie question. La raison pour laquelle nos opposants gabonais se laissent corrompre, c'est parce qu'ils sont déjà des crève la fain au départ qui n'ont même pas de quoi acheter le pain à leurs enfants. Donc, ils sont à la merci de Bongo.Les Gabonais ont tendance à attendre que tout leur tombe du ciel. Ils pensent que être opposant c'est avoir la caisse de l'état comme Bongo. Ils n'ont pas la conscience que les occidendaux ont. Les Blancs comprennent que un chef de parti doit être à l'abri du besoin. Donc quand on devient chef d'un parti en France par exemple, le parti voue paie un salaire et c'est avec ça que vous vivez pour bien traduire en toute sécurité les idéaux du parti. Or, le parti, c'est qui? c'est les citoyens qui sont membres et qui paient les cotisations pour faire vivre le parti et ses leaders. Chez nous, on attend tout du leader du parti, comme si il était crésus. Finalement, pour faire de la politique au Gabon, il faut que le leader fasse tout. Il faut qu'il soit riche et pratiquement puisse corrompre les militants qui ne font que suivre sans rien contribuer. Voilà pourquoi on va de déception en déception, Le jour où le Gabonais comprendra que la vie d'un parti politique commence par ce que chacun peut commencer à faire au niveau individuel, comme les cotisations par exemple, les choses iront mieux. Mais tant qu'on atendra tout des leaders, y compris le miracle de les voir nous libérer seuls sans notre participation, comme s'ils étaient des Martiens ou Jédus Christ avec le pouvoir des miracles, on attandra longtemps et Bongo sera toujours là. Merci pour ton analyase très inspiré, frèe Mawandji. Christian MAYANDJI a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Très chers, > Voila un compatriote qui refuse de vivre autrement que dans la culture de la délation. Que savons nous de la vie de M. MENGARA? > A-il eu besoin de "l'argent" de quelque personne que ce soit pour s'offrir un voyage vers les états-unis? Là où il réside actuellement, at-il besoin de revenus de provenance obscure pour subvenir à ses besoins? > L'impression qui se dégage des propos de notre compatriote est qu'il a du mal à accepter qu'un homme - à plus forte raison connaissant l'expérience de la diaspora - qui a la volonté de se fixer une ligne de conduite peut très bien se passer des "gratifications" de l'Etat et de son plus "digne" représentant. Quitte à faire "la manche" dans le pays d'accueil, on peut choisir de vivre sans attendre quoi que ce soit de n'importe qui. Je ne crois pas que M. MENGARA fasse la manche aux USA. Il est parti du Gabon avec une formation initiale qui lui permet de s'en sortir bien mieux. De plus le niveau de formation atteint au USA lui a certainement ouvert la porte à des activités professionnelles plus saines que notre compatriote ne peut soupçonner. > Cela dit, parlons de ceux qui passent leur temps à camper dans "l'antichambre" en attendant la distribution paternaliste de quelques subsides ou la signature d'un "décret". Ont - il pour autant reussi à construire quelques usines ou tout simplement des ateliers, des magasins ou tout autre structure permettant d'améliorer leur condition de vie? Tout ceux qui ont observé ceux qui ont fait ce choix ont du se rendre compte qu'on finit par y perdre le peu auquel on tient. Je crois profondément qu'il faut, de part et d'autre, arreter avec le discours de la délation, de la supputation... > Il y a bien d'autres choses à faire. Ne soyons pas excessivement ambitieux pour croire que chacun de nous - tous seul - peut changer la face du Gabon. Par contre, il y a des actions ciblées que nous pouvons réaliser au sein de nos collectivités territoriales ou de nos communautés familiales ou sociales ou linguistiques. Ce sont ces actions mises patiemment bout à bout qui finissent par construire la nation. Ces actions ne nécessitent pas de moyens surdimensionnés; en conséquence, il n'est pas nécessaire de l'antichambre d'un autorité politique pour les mobiliser. > Il suffirait que celui qui semble suggérer que M. MENGARA est allé "boire à la soupe populaire de l'opposition" puisse payer régulièrement ses cotisations ou d'autres formes de participations à la cause politique qu'il défend pour permettre à ces leaders de ne pas déposer les armes et "se prostituer" politiquement. > Je crois que même le leader du parti au pouvoir a besoin de sentir que ses militants -et autres supporters - sont en mesure de lui payer son petit-déjeuner pour qu'il commence > à adopter une autre attitude que celle du mépris? > Se respecter et se faire confiance ne sont pas compliqués. Cela ne demande pas de mobiliser des moyens matériels ou financiers. C'est le point de départ d'une démarche de construction et de concertation, d'un changement de comportement. > Lors de mon dernier voyage au Gabon, j'ai été surpris de voir de noter que l'équipement du génie militaire avait été renouvellé; et surtout que les militaires de cette unité ne passaient plus leur temps à s'enniver dans les bistrots, mais créaient des nouvelles routes dans certains quartiers enclaves de Libreville. J'ai également accompagné quelques personnes à l'hopital militaire de Libreville. La qualité de la prise en charge et des soins y est largement de meilleure qualité que dans certaines cliniques privées ou certains hopitaux publics ou officient des "gabonais consciencieux". Ces observations m'ont amené à penser que la prise de conscience n'apparait ou ne disparait pas selon qu'on se reclament d'une catégorie sociale ou d'un parcours plus que d'un autre. Il n'appartient meme pas à une génération ou à une élite. Elle dépend de la sensibilité qu'on finit par développer et du regard qu'on porte sur soi-même. > Mon cher compatriote, nous avons perdu trop de temps avec des allusions et accusations sans fondement. Ayons la volonté d'essayer autre chose, essaie autre chose de plus sain. Cela ne te coutera pas plus, mais peut te rapporter mieux. La politique peut se traduire par la confrontation et la volonté d'anéantissement de l'adversaire. Pourtant nous pouvons nous permettre de conserver des valeurs même dans des moments aussi extremes. > Les pays d'Afrique australe ou centrale ont connu des situations violentes, pourtant les "conversations et allusions de bistrot" n'ont jamais été élevés au rang de questions politiques dignes de se présenter comme des citoyens responsables. > Je suis persuadé que vous etes un citoyen responsable. > Cordialement. > > MANGASS TTC > Christian MAYANDJI > Démarches-Gestion > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > CONVOYAGE EXPLOITATION > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > EUROPE - AFRIQUE > > > > --- En date de : Sam 9.8.08, moundanga guy martial a écrit : > > De: moundanga guy martial > Objet: Re: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant > À: bdpalabres at bdpgabon.org > Date: Samedi 9 Août 2008, 18h28 > > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, > répondez tout simplement aux messages. > POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > mais que devient notre mengara? est il toujours entrain de lutter ou il brasse > a son tour l'argent en tout cas nous avons tous compris il faut faire > l'opposition pour arraiver a ses fins au gabon merci From protected at yahoo.fr Tue Aug 12 00:18:23 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Tue, 12 Aug 2008 00:18:23 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: rès cher, Vous avez raison de blaguer, de rire de ces choses : cela apaise et ramène à des dimensions raisonnables. Vous risquez de vous ennuyer en devenant président de la République du Gabon : voulez vous passer votre vie à signer des contrats pétroliers ou miniers sous pression? à recevoir des aigrefins de toutes sortes? à poser les "premières pierres" de projets qui n'ont pour objet que d'assécher les finances publics au profit de quelques multinationales ou d'aventuriers? Voulez vous devenir celui qui "appauvrit" le Gabon? Rendez vous utile maintenant et là où vous vous situez. Vous verrez qu'il y a des parcours professionnels ou "politique" plus enrichissants pour vous et les gabonais que celui de président de la République du Gabon. Tenez! je vous suggère, par exemple, d'aller suivre les séminaires de sensibilisation de l'IGAD à la gestion des cultures vivrières et maraichères. Puis de les mettre en pratique : il y a tellement d'espaces à cultiver soi-même ou à faire cultiver au Gabon et tellement de marchés de ces différents produits bruts ou transformés à conquérir à l'international. Vous serez impressionné par le potentiel de développement de ce secteur au Gabon. Peut - être est ce vous qui deviendrez le premier président du groupement d'intérêt économique (G.I.E.) des exploitation agricoles du Gabon. Le premier président de Cote d'Ivoire a commencé par là au moment où les "intellectuels" africains n'avaient que mépris pour les activités de la terre. Il a fait de son pays le premier producteur de cacao du monde et aussi un important acteur de la production d'autres fruits et légumes (ananas, ignames agrumes...). Si vous procédez de même avec le Gabon, c'est sera déjàs pas mal et je vous soutiendrai de toute mes forces. Bonne inspiration et cordialement. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Sam 9.8.08, moundanga guy martial a écrit : De: moundanga guy martial Objet: Re : [BDPalabres] Re : Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Samedi 9 Août 2008, 18h28 ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email: POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ je suis votre futur president ok et je ne blague pas car je prend bientot le pouvoir ah ah ah ah ah blaguer mais ça arrive From protected at yahoo.fr Tue Aug 12 00:19:39 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Tue, 12 Aug 2008 00:19:39 -0400 Subject: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: Cher Eric, Je te remercie d'avoir prie le temps d'une recherche que j'avais pas encore faite. Cela prouve certainement ta volonté d'etre dans une démarche constructive. Tu peux, si tu le veux bien, pousser ta recherche plus loin en essayant de retrouver le parcours d'autres leaders "politiques". Tu te rendras compte que nombreux d'entre eux ont reçu des formations initiales plutot aussi enviables que celle de M. MENGARA. Ce sont des bon pères de familles et je suis certains que certains de leurs enfants sont nos collègues ou l'ont été au primaire, collège, dans les établissements universitaires ou professionnels. Quelques uns de ces enfants -"gatés" - ont dérapés et d'autres ont pratiqué la culture du mérite : ils vous diront ou vous ont dit qu'avec leurs défauts, leurs parents sont aussi respectables et admirables que les notres. Certains d'entres eux ont réussi à réaliser des projets personnels avec des moyens propres. Certains ont même été tenté par le secteur privé ou de travailler à leur propre compte. Je crois qu'il faut faire un gros travail sur notre environnement et notre comportement. Ceux ci peuvent s'averer nocives pour tous ceux qui ont tentent des initiatives privés ou alternatives au Gabon. Au lieu d'etre soutenu par le travail et par une mobilisation de divers moyens ou même de réseaux locaux en leur faveur, ils sont progressivement anéanti par le poids des sollicitations qui viennent saper le capital dans la phase de lancement de ces initiatives. Ces gens se retrouvent rapidement ruinés et déconsidérés alors qu'ils arrivent avec des fortes convictions. Parlons de la considération, elle font au Gabon aussi rapidement que les revenus de la personne. Le réseau de relations lui-même évolue en fonction de la qualité du "décret présidentiel". Il me parait difficile de considérer qui que ce soit au Gabon comme un crève-la-faim. il faut faire attention au regard que nous portons sur autrui. Ce regard peut ruiner le parcours d'un homme et le tourner vers "la soupe populaire". Au Gabon, il y a comme un système implacable qui consister à déshabiller méthodiquement tout "donneur de leçon", tout "franc-tireur" pour ensuite avoir la satisfaction de dire : ou est ce qu'on en est maintenant? N'est - il pas comme les autres? Ne doit-il pas désormais "la soupe"? Ce que nous faisons semblant d'oublier c'est que notre absence de solidarité peut conduire un individu vers soit vers la marginalité soit, de manière resigné, vers la "soupe". Ceux qui y arrivent n'ont pas forcemment faim, mais sont animés par un esprit de revanche et de restauration d'une certaine forme de position socio-économique. Notre Prince l'a bien compris et il excelle dans l'art de manipuler ces paramètres : "l'oiseau oublie le piège, mais le piège n'oublie pas l'oiseau". Pour restaurer quelque chose de sain pour tout le monde au Gabon, il faut prendre collectivement le temps de démonter ces pièges. Cordialement. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Dim 10.8.08, Oyane Eric a écrit : De: Oyane Eric Objet: Re: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Dimanche 10 Août 2008, 6h46 ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ Frère Mawandji, Tu poses une analyse fondamentale. Tout le monde qui réussit dans la vie, surtout dans la diaspora, a-t-elle besoin de dépendre du roi gabonais pour vivre? j'ai été intrigué par votre analyse, donc j'ai tapé "Mengara Daniel" dans Google. Un peu de curiosité intellectuelle suffit pour trouver tout ce qu'on veut sur Google. ce Mengara n'est pas même caché car on trouve facilement là où il travaille. Ma recherche m'a montré que ce Mengara est actuellement professeur dans une université qui s'appelle Montclair State Université aux USA. ça je ne le savais pas. je sais d'un cousin qui me commentait l'Amérique que les profs y gagnent bien leur vie. Mengara a le rang d'Associate Professeur. C'est le rand qui précède le titre de professeur plein. J'ai cru comprendre qu'aux Etats-Unis, il ya trois rangs: Assistant Professeur quand on commence, Associate Professeur quand on est promu et Professeur qui est le dernier rang. Concrètement ça veut dire que Mengara manque seulement un seul rang avant de devenir Professeur plein comme les grands Pofesseurs français qu'on appelle "Professeur" avec le titre en France. Va-t-on nous dire qu'un homme comme ça qui a réussi sa vie aux USA va dépendre des prébendes de Bongo? Mon cousin qui habite aux USA m'a dit que des universités comme Princeton ou Harvard paient leurs professuers très bien et les saliares des grands professeurs frisent les 100.000 dollars ou même 150.000 dollars par an dans certaines universités US. C'est comme si ces profs gagnaient 4 à 7 millions CFA par mois. C'est presque des saliares de ministres ça, non? Y a des pays où au moins où on respecte la profession d'enseignant.je ne sais pas combien gagne Mengara, mais je pense qu'il doit bien gagner sa vie non? avec un rang comme Associate Profeseur aux USA, ce n'est pas un homme qui vt dans la misère. Donc pourqui poser une question sur Mengara alors qu'on sait où il se trouve, son travail et comment il gagne sa vie. Nous devons apprendre à respecter ceux de nos compatriotes qui ont pu réussir grace à leur cerveau. Je ne pense pas que c'est Bongo qui a mis Mengara là où il est. Les USA c'est pas comme le Gabon avec le système de copinage où Bongo appelle un reteur pour dire, prend Mengara comme prof même sans diplome. Arrêtons d'être limités comme ça. Mengara est un compatriote qui mérite le respect et la fierté de nous tous. tu as raison raison, frère Mawandji de poser la vraie question. La raison pour laquelle nos opposants gabonais se laissent corrompre, c'est parce qu'ils sont déjà des crève la fain au départ qui n'ont même pas de quoi acheter le pain à leurs enfants. Donc, ils sont à la merci de Bongo.Les Gabonais ont tendance à attendre que tout leur tombe du ciel. Ils pensent que être opposant c'est avoir la caisse de l'état comme Bongo. Ils n'ont pas la conscience que les occidendaux ont. Les Blancs comprennent que un chef de parti doit être à l'abri du besoin. Donc quand on devient chef d'un parti en France par exemple, le parti voue paie un salaire et c'est avec ça que vous vivez pour bien traduire en toute sécurité les idéaux du parti. Or, le parti, c'est qui? c'est les citoyens qui sont membres et qui paient les cotisations pour faire vivre le parti et ses leaders. Chez nous, on attend tout du leader du parti, comme si il était crésus. Finalement, pour faire de la politique au Gabon, il faut que le leader fasse tout. Il faut qu'il soit riche et pratiquement puisse corrompre les militants qui ne font que suivre sans rien contribuer. Voilà pourquoi on va de déception en déception, Le jour où le Gabonais comprendra que la vie d'un parti politique commence par ce que chacun peut commencer à faire au niveau individuel, comme les cotisations par exemple, les choses iront mieux. Mais tant qu'on atendra tout des leaders, y compris le miracle de les voir nous libérer seuls sans notre participation, comme s'ils étaient des Martiens ou Jédus Christ avec le pouvoir des miracles, on attandra longtemps et Bongo sera toujours là. Merci pour ton analyase très inspiré, frèe Mawandji. Christian MAYANDJI a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Très chers, > Voila un compatriote qui refuse de vivre autrement que dans la culture de la délation. Que savons nous de la vie de M. MENGARA? > A-il eu besoin de "l'argent" de quelque personne que ce soit pour s'offrir un voyage vers les états-unis? Là où il réside actuellement, at-il besoin de revenus de provenance obscure pour subvenir à ses besoins? > L'impression qui se dégage des propos de notre compatriote est qu'il a du mal à accepter qu'un homme - à plus forte raison connaissant l'expérience de la diaspora - qui a la volonté de se fixer une ligne de conduite peut très bien se passer des "gratifications" de l'Etat et de son plus "digne" représentant. Quitte à faire "la manche" dans le pays d'accueil, on peut choisir de vivre sans attendre quoi que ce soit de n'importe qui. Je ne crois pas que M. MENGARA fasse la manche aux USA. Il est parti du Gabon avec une formation initiale qui lui permet de s'en sortir bien mieux. De plus le niveau de formation atteint au USA lui a certainement ouvert la porte à des activités professionnelles plus saines que notre compatriote ne peut soupçonner. > Cela dit, parlons de ceux qui passent leur temps à camper dans "l'antichambre" en attendant la distribution paternaliste de quelques subsides ou la signature d'un "décret". Ont - il pour autant reussi à construire quelques usines ou tout simplement des ateliers, des magasins ou tout autre structure permettant d'améliorer leur condition de vie? Tout ceux qui ont observé ceux qui ont fait ce choix ont du se rendre compte qu'on finit par y perdre le peu auquel on tient. Je crois profondément qu'il faut, de part et d'autre, arreter avec le discours de la délation, de la supputation... > Il y a bien d'autres choses à faire. Ne soyons pas excessivement ambitieux pour croire que chacun de nous - tous seul - peut changer la face du Gabon. Par contre, il y a des actions ciblées que nous pouvons réaliser au sein de nos collectivités territoriales ou de nos communautés familiales ou sociales ou linguistiques. Ce sont ces actions mises patiemment bout à bout qui finissent par construire la nation. Ces actions ne nécessitent pas de moyens surdimensionnés; en conséquence, il n'est pas nécessaire de l'antichambre d'un autorité politique pour les mobiliser. > Il suffirait que celui qui semble suggérer que M. MENGARA est allé "boire à la soupe populaire de l'opposition" puisse payer régulièrement ses cotisations ou d'autres formes de participations à la cause politique qu'il défend pour permettre à ces leaders de ne pas déposer les armes et "se prostituer" politiquement. > Je crois que même le leader du parti au pouvoir a besoin de sentir que ses militants -et autres supporters - sont en mesure de lui payer son petit-déjeuner pour qu'il commence > à adopter une autre attitude que celle du mépris? > Se respecter et se faire confiance ne sont pas compliqués. Cela ne demande pas de mobiliser des moyens matériels ou financiers. C'est le point de départ d'une démarche de construction et de concertation, d'un changement de comportement. > Lors de mon dernier voyage au Gabon, j'ai été surpris de voir de noter que l'équipement du génie militaire avait été renouvellé; et surtout que les militaires de cette unité ne passaient plus leur temps à s'enniver dans les bistrots, mais créaient des nouvelles routes dans certains quartiers enclaves de Libreville. J'ai également accompagné quelques personnes à l'hopital militaire de Libreville. La qualité de la prise en charge et des soins y est largement de meilleure qualité que dans certaines cliniques privées ou certains hopitaux publics ou officient des "gabonais consciencieux". Ces observations m'ont amené à penser que la prise de conscience n'apparait ou ne disparait pas selon qu'on se reclament d'une catégorie sociale ou d'un parcours plus que d'un autre. Il n'appartient meme pas à une génération ou à une élite. Elle dépend de la sensibilité qu'on finit par développer et du regard qu'on porte sur soi-même. > Mon cher compatriote, nous avons perdu trop de temps avec des allusions et accusations sans fondement. Ayons la volonté d'essayer autre chose, essaie autre chose de plus sain. Cela ne te coutera pas plus, mais peut te rapporter mieux. La politique peut se traduire par la confrontation et la volonté d'anéantissement de l'adversaire. Pourtant nous pouvons nous permettre de conserver des valeurs même dans des moments aussi extremes. > Les pays d'Afrique australe ou centrale ont connu des situations violentes, pourtant les "conversations et allusions de bistrot" n'ont jamais été élevés au rang de questions politiques dignes de se présenter comme des citoyens responsables. > Je suis persuadé que vous etes un citoyen responsable. > Cordialement. > > MANGASS TTC > Christian MAYANDJI > Démarches-Gestion > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > CONVOYAGE EXPLOITATION > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > EUROPE - AFRIQUE > > > > --- En date de : Sam 9.8.08, moundanga guy martial a écrit : > > De: moundanga guy martial > Objet: Re: [BDPalabres] Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant > À: bdpalabres at bdpgabon.org > Date: Samedi 9 Août 2008, 18h28 > > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, > répondez tout simplement aux messages. > POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > mais que devient notre mengara? est il toujours entrain de lutter ou il brasse > a son tour l'argent en tout cas nous avons tous compris il faut faire > l'opposition pour arraiver a ses fins au gabon merci From protected at yahoo.fr Tue Aug 12 00:24:05 2008 From: protected at yahoo.fr (GaboniK Newsletter) Date: Tue, 12 Aug 2008 00:24:05 -0400 Subject: [BDPalabres] Le blog GaboniK... Message-ID: Bonjour, En attendant le lancement d'ici la fin de l'année de notre site, Vous retrouvez l'ensemble des publications de nos chroniques sur notre blog ouvert pour l'occasion: http://gabonik.blogs.continentalnews.fr/ Gabonik pour un Gabon en marche GaboniK la dynamique économico-financière et sociétale au coeur de nos stratégies.... From protected at bdpgabon.org Tue Aug 12 00:30:54 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Tue, 12 Aug 2008 00:30:54 -0400 Subject: [BDPalabres] La tête du Gabon souffre de son manque de cerveau Message-ID: LA TÊTE : PREMIÈRE MATIÈRE PREMIÈRE D’UN PAYS ! Ce titre aurait pu être celui d’une chanson du temps où notre Makaye ma Mboumb (Mackjoss) ou notre Akendengué croyaient encore à la jeunesse et à l’opposition gabonaise, hélas ! Le Gabon souffre bel et bien de sa tête, peut-être sans cerveau. « Quand on a essayé toutes les formules sans améliorer le résultat, c’est que les formules ne sont pas bonnes ». « Quand on a essayé tous les changements possibles et inimaginables, et que le contexte demeure, voire s’empire, c’est qu’il faut changer celui qui change les autres ». C’est une attitude, réflexe, ou réfléchie, d’instinct de survie, que même les animaux que nous sous-estimons en intelligence auraient adoptée devant une situation qui se dégrade de mal en pire comme celle du Gabon. Alors, Quel est le rang de nos hommes politiques dans la classification du règne animal ? Ils annoncent une grande messe du PDG, prévue pour septembre 2008, bien ! Que va apporter cette grande messe politicarde à la santé du Gabon ? Rien. Rien parce que depuis 40 ans les Gabonais le vivent. Rien parce tout ce que le Gabon a hérité de la nature Albert Bernard Bongo l’a hypothéqué (lire les contrats sur le pétrole Gabonais, l’Uranium, le Manganèse, et récemment le Bois, le Fer de Bélinga, la Pêche). Rien parce que l’exploitation de toutes ces richesses (potentielles) aura été juteuse juste pour son règne au pouvoir. Une fois parti, vous découvrirez les sacrilèges (contrats d’hypothèques). Rien parce que depuis que Albert Bernard Bongo est arrivé aux commandes de ce pays, toutes ses messes et slogans inspirés du néant n’ont jamais rien produit de concret (en bien) pour une et seule raison que nous vous résumons dans ce qui suit : La Tête. LIRE LA SUITE: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/11/analyse-la-tete-du-gabon-souffre-de-son-manque-de-cerveau/ From protected at wanadoo.fr Wed Aug 13 01:41:47 2008 From: protected at wanadoo.fr (tsir.ella) Date: Wed, 13 Aug 2008 01:41:47 -0400 Subject: [BDPalabres] Mettre fin au Bongoïsme est le seul objectif Message-ID: S'affranchir de nos primaires est quelque chose de très difficile et qui nécessite un long processus de maturation mentale et spirituelle. Mes chers frères, Mon cher frère EKOGA, Tu sais quels liens nous unissent et quels interdits culturels nous, africains, nous empêchent de braver l'ordre familial. Mais comme dans tous interdits, il y a toujours une dérogation lorsqu'on ose les braver pour une cause noble, la vérité. Et puisque toi-même tu insistes depuis très longtemps sur ta part de vérité, moi Tsir'Ella, je vous fais, à tous les deux, Mengara et Ekoga, une proposition solennelle qui est celle de vous confronter au fondement de vos engagements respectifs. Si vous êtes tous les deux véritablement motivés pour la même et unique cause, celle de débarrasser le Gabon des métastases d'un régime incompétent tribaliste et responsable de l'hypothèque du Gabon, la vérité voudrait que vous n'y trouviez aucune réticence à vous mettre en accord même de façon tacite. Le fondement de vos motivations respectives, s'il est sain et noble, voudrait que vous mettiez vos attaques réciproques au placard ou chez un huissier garde-meuble pour vous consacrez à ce que vous brandissez au gabonais c à d libérer le Gabon de Bongo. Je vous l'ai souvent dit et répété que dans un contexte comme celui du Gabon, la vérité est linéaire et par conséquent ceux qui prétendent l'honorer ne peuvent pas avoir des trajectoires qui s'inhibent. C'est contradictoire et burlesque. Et j'irai même plus loin en disant que c'est inintelligent. N'oubliez pas que les Gabonais vous regardent, vous lisent, et se posent les mêmes questions que tout individu (un peu critique) se poserait devant une situation comme celle du Gabon c à d un tout petit pays (en population) confisqué mais qui n'arrive pas à se libérer à cause de la dispersion de ses citoyens épris (apparemment) du sentiment national ? N'oubliez pas que les Gabonais sont passés d'un état psychologique d'espoir total au doute sur la crédibilité de leurs compatriotes qui se sont et se servent de leurs espoirs et sont aujourd'hui dans la résignation la plus totale. Savez-vous que les gabonais qui vous suivent se demandent pourquoi, si peu que vous êtes à l'étranger, vous n'arrivez pas à construire un bloc unique pour optimiser vos forces ou alors multiplier des points forts certes différents mais unidirectionnels contre le système qui mit le Gabon à terre ? Mais, ces mêmes gabonais savent pourquoi vous n'arrivez pas à atteindre ce niveau mental, ce niveau de conciliation ô combien difficile dans l'esprit du noir africain, simplement parce que les intérêts personnels priment sur ceux que les gabonais attendent. Ce qui est d'autant plus curieux, ce sont ces accusations à tout va et de part et d'autres, sans qu'aucune preuve ne vienne dissiper le doute dans la tête des gabonais. Cela ressemble à une hallucination collective. Alors qu'il suffit de livrer aux gabonais la preuve tangible du "faux" de l'un ou de l'autre pour que le doute laisse place à la vérité, la vraie. N'oubliez pas que les gabonais qui réfléchissent un peu savent que lorsque le système bongo a des preuves (sérieuses) sur quelqu'un il ne s'en prive pas de les distiller matériellement. Et que tout gabonais qui a prétendu, un temps soit peu, exprimer ses opinions politiques a du être approché par les sbires de bongo pour tenter de le corruption. Et lorsque le contact n'est pas en leur faveur, il n'ont de quoi contredire la pugnacité de celui qui s'oppose à eux sinon ils déballent leurs archives. D'ailleurs les gabonais savent comment ce système fonctionne quand il veut immortaliser la preuve d'une trahison de l'opposition : - une délégation est diligentée pour approcher le prétendu leader ou citoyen engagé, - le leader (intimidé) finit par accepter une audience avec bongo, - bongo fait livrer une récompense en argent et en faveurs, - les photos de suicide politique sont prises montrant le leader et bongo en convivialité, - le leader trouve des arguments atténuants à bongo qu'il fustigeait peu de temps avant, - le leader et son mouvement se démarquent des leaders qui maintiennent leur virulence contre bongo en revendiquant le débat sain, comme si bongo lui-même était sain de corps et d'esprit ! Voilà un peu comment les scénarios sont souvent rythmés entre bongo et son opposition. Donc pour tout gabonais qui subit la pléthore des versions des différents leaders toujours en faveur de soi, il est plus qu'honorable de donner des preuves chaque fois qu'on accuse. Moi-même Tsir'Ella-Nguéma (beau-fils de l'ex-premier ministre le Docteur Obame Nguéma) j'avais été approché par une délégation secrète dirigée par l'ex-Ministre Fabien Owono Essone pour tenter de me corrompre. il (l'ex-ministre Owono Essone) était accompagné d'un des fils bongo et deux autres morpions du système. Ils ont même poussé le vice plus loin en intégrant mon propre grand-frère (même père, même mère) dans la délégation pour m'attendrir certainement par la fibre familiale. Mais c'était sans connaître Tsir'Ella, un citoyen libre, autonome et respecté là où il compose. C'était la désillusion pour Monsieur l'ex-ministre d'Oyem et sa délégation qui sont repartis chez leur gourou incompétent avec un coup de pied au Q. Ils (surtout le fils bongo) m'ont supplié de ne pas publier cette entrevue sur un quelconque site encore moins celui du BDP. Toutes leurs traces ont été déposées à qui de droit. Aussi, Quand nous accusons bongo sur la gestion du Gabon et sa géopolitique qui n'est qu'une forme masquée d'ethnocentrisme, les preuves foisonnent dans les médias nationaux et internationaux. Quand les gabonais accusent Mba Abessole et Mamboundou d'usurpateur du statut d'opposant, les preuves sont plus qu'éloquentes et immortalisées. Quand les gabonais accusent l'ancien DG de Gabon télécom et le Procureur de la république d'enrichissement illicite et blanchiment d'argent, les preuves sont palpées. Alors, Pourquoi vous vous accusez sans donner aux gabonais les preuves de votre propre crédibilité ? Pourquoi vous ne confortez pas votre engagement en prouvant objectivement vos écœurements pour que votre psychique excelle dans ce qui semble vous préoccuper........ la vérité de ce pays le Gabon ? Pourquoi chaque fois qu'une tentative de conciliation de la diaspora (celle qui rejette le bongoïsme) et donc de conjonction des énergies est amorcée il y a, comme par réflexe viscéral, une volonté de certains à ajourner le projet par des pouvoirs qu'ils s'octroient arbitrairement ? Pourquoi, perdez-vous le temps à justifier vos invectives alors que le vrai problème est avant tout et reste le même : le bongoïsme ? Mais sachez que toutes ces interrogations sont rhétoriques et que si elles gênent plus d'un c'est que du fond d'eux-mêmes la vérité et le bien-être national ne sont point le mobile de fondement de leur enthousiasme politique. Autrement dit, c'est dire au PEUPLE GABONAIS qu'il est encore, une fois de plus, mené par une autre dense de nouveaux VAMPIRES. Seul un Vampire autocensurera ce texte qui n'est qu'une réflexion à porter au plus profond de nous-même et non une attaque stérile à qui que ce soit. (à suivre) Tsir'Ella Nguéma d'Asseng-Mâ (pk 32 Oyem et vacciné à Mouil magondo) Le 9 août 08 à 18:28, moundanga guy martial a écrit : > ___________________________________________________________ > Forum BDPalabres par email: POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > je suis votre futur president ok et je ne blague pas car je prend bientot le pouvoir ah ah ah ah ah blaguer mais ça arrive From protected at bdpgabon.org Thu Aug 14 04:41:05 2008 From: protected at bdpgabon.org (Dr. Daniel Mengara) Date: Thu, 14 Aug 2008 04:41:05 -0400 Subject: [BDPalabres] Attention aux faussaires du Net, surtout à la tête de Siméon Ekoga qui souffre de son manque de cervelle Message-ID: Ayant pris connaissance du tas d’immondices publié sur son site par Siméon Ekoga, un avorton attitré du régime Bongo depuis 2003, je me fais ici le plaisir d’y répondre personnellement afin de nettoyer la cervelle de ce bonhomme des termites qui la rongent depuis qu’il s’est vendu à Omar Bongo en 2003 dans une vaine tentative de mettre fin à l’existence du BDP-Gabon Nouveau. L’histoire ne trompe pas et il n’y a que les simples d’esprit qui, à cause de leur paresse mentale et intellectuelle, se laissent berner par de tels malfrats. Il me semble que Siméon Ekoga pense que les Gabonais ont la mémoire courte et qu’il lui suffit de remplir le Net de fumée intoxicante pour faire oublier aux Gabonais l’odeur nauséabonde de qui il est vraiment. Il pense pouvoir faire oublier les forfaits qu’il a, en tant que suppôt de Satan, pardon… suppôt de Bongo, commis à l’encontre du peuple gabonais! Il ne sait pas à qui il a affaire, ce cancrelat. La vérité, au BDP-Gabon Nouveau, a toujours été linéaire et il n’y a que les simples d’esprit aux neurones endormies qui se laisseront tromper par les gesticulations constipées de Siméon Ekoga et de tous ceux qui, payés par le régime Bongo, essaient de détruire le BDP-Gabon Nouveau ou de le décrédibiliser. Cela fait 5 ans qu’ils essaient et ils se sont tous, de Siméon Ekoga avec son BDP-RDPG (mort-né) aux frères Bessacque avec leur BDP-Démocrate (mort-né), cassé les dents. Ils se casseront toujours les dents parce que le BDP-Gabon Nouveau restera une couleuvre pérenne dans la gorge de tous ceux qui, d’Omar Bongo le diable à tous les diablotins à sa solde, contribuent au traumatisme quadragénaire du peuple gabonais. Ils nous trouveront toujours sur leur chemin et nous leur ferons, un jour, cracher tous les vols et viols dont ils se sont rendus coupables à l’encontre de notre peuple. De tels animaux ne méritent rien d’autre que la chicotte sur les fesses, tous nus sur la place publique. Aux simples d’esprit, donc, nous demandons de tout simplement dépasser le stade de la rumeur et d’apprendre à lire. Sur le Net, il y a trop d’esprits simples qui, étant tombés sur un site manioc et affamé comme celui de Siméon Ekoga, pourraient se laisser duper en croyant lire, là, des vérités inaliénables. Ils pourraient même se méprendre à croire que Siméon Ekoga est un opposant au régime Bongo, alors même qu’ils seraient là, en réalité, sur le site d’un avorton du régime payé spécialement depuis 2003 pour déstabiliser l’opposition diasporique. Et comme la plupart de nos compatriotes sont devenus non seulement intellectuellement paresseux mais aussi maladivement avides de rumeurs, ils ne prennent plus ni le temps ni la patience de lire et de s’instruire. D’où la simplicité mentale qui se dégage de ceux qui, se contentant de lire des vomissures sur la supposée duplicité du BDP-Gabaon Nouveau sur des sites comme celui de Siméon Ekoga, les prennent pour argent comptant. Pourtant, rien au BDP-Gabon Nouveau n’est caché. Notre parcours est linéaire, transparent, cohérent, et ce depuis que nous existons. Il n’en demeure pas moins que les gesticulations affamées d’un Siméon Ekoga gigotant sur Internet comme un vers sur un hameçon électrifié ne nous intéressent pas du tout. C’est un simple d’esprit qui n’a jamais rien fait de bon ni de responsable dans sa vie et qui, n’ayant jamais muri dans son mental, joue les enfants sur Internet. Nous le voyons comme du caca, c’est-à-dire, un détritus, donc, rien du tout. Et vu que sa seule chance de se faire remarquer consiste à se frotter au BDP-Gabon Nouveau (pauvre diable!), et non au régime Bongo qu’il dit combattre (mon œil!), mon intervention dans ce texte ne vise qu’une chose: confondre cet ivrogne et le renvoyer dans la boue dans laquelle il nage dans l’éternelle attente du poste de ministre qu’Omar Bongo lui avait promis en 2003, puis en 2005, en échange de la destruction du BDP-Gabon Nouveau. Ayant évidemment raté son coup, notre incapable de bonhomme en est aujourd’hui à s’arracher les cheveux, essayant comme il le peut encore de mériter les 300 millions de FCFA que Bongo lui avait remis en 2003 comme budget de déstabilisation du BDP-Gabon Nouveau. Il lui faut bien rendre des comptes à son patron, non? 300 millions de FCFA sans résultats concrets, c’est impardonnable! La vérité, donc, est que Siméon Ekoga est véritablement malade du cerveau et cette maladie est ce qui en fait un être totalement irrationnel et incohérent. Il faut être malade, irrationnel et incohérent pour présenter, comme preuves de la prétendue duplicité du BDP-Gabon Nouveau, des documents que le BDP-Gabon a lui-même rendus publics dans le cadre de la transparence que le mouvement a toujours démontrée dans le cadre de ses activités. Eh oui, tenez-vous bien, Mesdames et Messieurs, et constatez la légèreté schizophrénique du vers de terre affamé (il espère un poste de ministre en récompense de sa duplicité!) que l’on appelle Siméon Ekoga: Dans un récent article publié sur son site, c’est-à-dire ce 11 août 2008, Siméon Ekoga se frappe la poitrine de fierté comme un gorillon car, annonce-t-il, il détient un scoop. Il aurait en sa possession des documents qui démontrent, de manière indubitable, que le BDP-Gabon Nouveau est la création d’André Mba Obame et du régime Bongo. Et pour le prouver, il balance pêle-mêle des documents qu’il dit détenir de source sûre et confidentielle, documents qui confondraient totalement le BDP-Gabon Nouveau et montreraient que le BDP-Gabon Nouveau est une création du régime Bongo. Et c’est lui, évidemment, le plus opposant des opposants (virtuels!) du Gabon, qui en détiendrait la preuve car, son parti virtuel d’un homme (lui-même), aurait obtenu ces documents de ses réseaux d’informations (lui-même multiplié par dix pseudonymes). Donc, voilà notre Siméon Ekoga fait grand manitou opposant du Net. Oh oui, lui y en a fort, très très fort, comme son papa Bongomar qui lui donne des conseils de père, hein, l’opposant Ekoga! Que diable !? Mais seulement, voilà, les fameux documents présentés par Siméon Ekoga sont une fraude. En réalité, les documents qu’il présente comme scoop furent publiés et rendus publics par le BDP-Gabon Nouveau lui-même dans le cadre de sa politique de transparence. C’est donc de notre propre site qu’il les a obtenus et non d’une autre source. Mais comme Siméon Ekoga souffre de cécité mentale, disons même d’idiotie puérile, et comme depuis 2003 sa schizophrénie doublée de mégalomanie a atteint des proportions inquiétantes, il a oublié de mentionner que ces documents ne sont pas nouveaux puisque nous les avions mis sur notre site depuis 2004 pour certains, et depuis 2007 pour les plus récents, afin d’informer nous-mêmes les Gabonais sur les tentatives faites par le régime Bongo, soit d’obtenir une rencontre entre le Dr. Daniel Mengara et Omar Bongo, soit de détruire le BDP-Gabon Nouveau. Tout cela, ainsi que toute la vie du mouvement, est documentée sur le site du BDP-Gabon Nouveau et accessible à tous ceux qui savent lire ou prennent le temps de lire. LIRE LA SUITE: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/14/attention-aux-faussaires-du-net-surtout-a-la-tete-de-simeon-ekoga-qui-souffre-de-son-manque-de-cervelle/ From protected at yahoo.fr Thu Aug 14 09:40:21 2008 From: protected at yahoo.fr (moundanga guy martial) Date: Thu, 14 Aug 2008 09:40:21 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: trop parler c'est maladie a un moment donné frere la machine PDG est la et sera toujours la que faite vous au lieu de nous fatiguer sur le net en tout cas moi j'ai choisi mon camp m'expatrier et changer de nationalité c'est la solution car je trouve et constate que l'homme fort reste bongo et tout son camp et les autres n'ont que soif de rejoindre le coté assez fort mais au préalable ils Font un peu de bruit pour se faire remarquer après ils se rangent ou est il passé mon pierro ce nouveau bandi et traite le vraie dans tout ce ci reste bongo il n'as jamais trahit les tient aller a plus frere bon courage pour la lutte ah ah ah ah ah ah ah ah eh oui mba abesselo que devient il ah ah ah ah ah ah ah h ah ah ah ah franchement arretons mes freres de nous mentir bongo est fort et le peuple gabonais le soutient que voulez vous alors car je sais que lorsqu'un peuple ne veux plus d'un systeme il s'en débarrasse mais c'est pas le cas du peuple gabonais freres ,c'est pas donc vos grandes théories et vos bonnes phrases sur le net qui changerons quelque chose ,un leader un peuple et vise versa mais rendez vous compte que le notre refuse meme d'accepter la vérité en face sachant qu'un jour un certain RAYMOND AERON a dit que le droit a la vérité est l'essence de la liberté est ce que vous cerner a ce niveau bien le paradoxe .merci From protected at yahoo.fr Thu Aug 14 13:09:12 2008 From: protected at yahoo.fr (devy ngoul) Date: Thu, 14 Aug 2008 13:09:12 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: ohhhhhhhhhh! vous êtes tous malades!! si vous voulez baisez vous où baisez vos petites putes de quartiers, mais ne m'envoyer pas vos petites disputes de bars!!fort, pas fort l'autorité viens de DIEU!!Albert est un enfant du village, qui n'a pas connu l'aisance comme vous! Son combat a été rude pour atteindre les constelations suppérieures et stabiliser cette ora n'est pas chose aisé pour le commun des mortels!!! exiles toi, voyages, fumes, baises, dors mais n'agaces pas des personnes comme moi qui pense qu'un pays c'est le melting pot des hommes et femmes conscients de leurs dessein et destiné.... From protected at yahoo.fr Thu Aug 14 13:10:32 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Thu, 14 Aug 2008 13:10:32 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: Vous êtes lucide et c'est tant mieux. Cordialement MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Jeu 14.8.08, moundanga guy martial a écrit : De: moundanga guy martial Objet: [BDPalabres] Re : Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Jeudi 14 Août 2008, 15h40 ___________________________________________________________ Forum BDPalabres par email. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ trop parler c'est maladie a un moment donné frere la machine PDG est la et sera toujours la que faite vous au lieu de nous fatiguer sur le net en tout cas moi j'ai choisi mon camp m'expatrier et changer de nationalité c'est la solution car je trouve et constate que l'homme fort reste bongo et tout son camp et les autres n'ont que soif de rejoindre le coté assez fort mais au préalable ils Font un peu de bruit pour se faire remarquer après ils se rangent ou est il passé mon pierro ce nouveau bandi et traite le vraie dans tout ce ci reste bongo il n'as jamais trahit les tient aller a plus frere bon courage pour la lutte ah ah ah ah ah ah ah ah eh oui mba abesselo que devient il ah ah ah ah ah ah ah h ah ah ah ah franchement arretons mes freres de nous mentir bongo est fort et le peuple gabonais le soutient que voulez vous alors car je sais que lorsqu'un peuple ne veux plus d'un systeme il s'en débarrasse mais c'est pas le cas du peuple gabonais freres ,c'est pas donc vos grandes théories et vos bonnes phrases sur le net qui changerons quelque chose ,un leader un peuple et vise versa mais rendez vous compte que le notre refuse meme d'accepter la vérité en face sachant qu'un jour un certain RAYMOND AERON a dit que le droit a la vérité est l'essence de la liberté est ce que vous cerner a ce niveau bien le paradoxe .merci From protected at yahoo.fr Fri Aug 15 11:02:25 2008 From: protected at yahoo.fr (moundanga guy martial) Date: Fri, 15 Aug 2008 11:02:25 -0400 Subject: [BDPalabres] Re : Gabon : Omar Bongo ou le crapaud qui se prenait pour un éléphant Message-ID: ah frere pas besoin de te facher mais accepte l'evidence c'est tout simple amicalement compatriote From protected at yahoo.fr Fri Aug 15 11:04:38 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Fri, 15 Aug 2008 11:04:38 -0400 Subject: [BDPalabres] Fw : La première cause de mortalité des entreprises ..... Message-ID: Je me permets d'adresser cet article de GaboniK newsletter aux membres du forum BDP et éventuellement à tous les autres forum qui voudraient le publier et surtout s'en inspirer. Aux administrateurs du forum BDP, je vous prie de bien vouloir le diffuser. Loin de vouloir détourner qui que ce soit de la ligne politique que vous fixez, je crois qu'amener les uns et les autres à réfléchir sur ce type de questions peut amener les participants au forum à mieux comprendre pourquoi le changement de comportement politique est légitime et comment il doit se mettre en oeuvre - du moins - sur le plan économique. Merci d'avance pour votre compréhension et vos commentaires. Cordialement. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE From protected at bdpgabon.org Fri Aug 15 11:26:24 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Fri, 15 Aug 2008 11:26:24 -0400 Subject: [BDPalabres] Fw : La première cause de mortalité des entreprises ..... Message-ID: Monsieur Mayandji, Pour des raisons de sécurité liées aux virus et autres nuisances Internet, notre forum ne fonctionne qu'en texte brut et non en HTML. A cause de cela, il ne peut manipuler des pièces jointes (pages Web, fichiers images, fichiers PDF, Fichiers Word, ou autres). De telles pièces sont automatiquement supprimées. Si vous avez un texte à faire lire aux membres de ce forum, il vous suffit de copier et de coller directement votre texte dans votre message. De cette manière, il sera lisible par tous. Notez que ce forum n'est pas que "politique". Le mot "politique" a tendance à être réduit à ce qu'il n'est pas, en réalité. Faire de la politique, c'est, à nos yeux, être capable d'articuler une vision qui touche à tous les aspects d'une société donnée, c'est-à-dire la culture, l'économie, et bien sûr, le fonctionnement des institutions et leur optimisation. Nous ne ferons pas comme Mba Obame qui demande aux ONG de décider la ligne de séparation entre politique et vocation associative. Il veut créer des distinction là où il n'en a pas, en réalité. Le BDP-Gabon Nouveau encourage donc toute prise de position intelligente et des discussions intelligentes sur tous les aspects qui concernent la vie de notre pays. Nous publions même sur notre site des analyses de compatriotes qui touchent à ces aspects, pourvu que ces articles soient écrits d'une manière un peu plus soutenue et ne soient pas de simples prises de position informelles servies sur un forum. Si c'est intelligent et bien articulé, nous pouvons publier sur notre site. N'hésitez donc jamais à nous soumettre des réflections politiques ou apolitiques bien soutenues pour publication sur le site du BDP-Gabon Nouveau. Merci. Webmaster Forum BDPalabres du BDP-Gabon Nouveau http://www.bdpgabon.org Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Je me permets d'adresser cet article de GaboniK newsletter aux membres du forum BDP et éventuellement à tous les autres forum qui voudraient le publier et surtout s'en inspirer. > Aux administrateurs du forum BDP, je vous prie de bien vouloir le diffuser. Loin de vouloir détourner qui que ce soit de la ligne politique que vous fixez, je crois qu'amener les uns et les autres à réfléchir sur ce type de questions peut amener les participants au forum à mieux comprendre pourquoi le changement de comportement politique est légitime et comment il doit se mettre en oeuvre - du moins - sur le plan économique. Merci d'avance pour votre compréhension et vos commentaires. > Cordialement. > MANGASS TTC > Christian MAYANDJI > Démarches-Gestion > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > CONVOYAGE EXPLOITATION > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > EUROPE - AFRIQUE > > From protected at bdpgabon.org Sat Aug 16 01:35:39 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Sat, 16 Aug 2008 01:35:39 -0400 Subject: [BDPalabres] RETROSPECTIVE: Question à 10.000 ifouras "en grand caractère", description oblige Message-ID: Lundi 30 Avril 2001 Libreville (Le Scribouillard, n° 41, 30 avril 2001) - Qui de Bon Dieu, de Paul Toungui ou de Jean Ping, aurait empochée la coquette somme de 250.000.000 d'ifouras destinée à acheter la conscience des animateurs du "groupe terroriste " (sic) " Bongo doit partir" (BDP) basé, dit-on, aux States; des gars qui n'hésitent pas à saper le moral du Khalife Général, qui ne craignent pas de le diffamer, le calomnier, le critiquer, le saboter bref, des minus qui s'opposent à Allah, publiquement... Et sur "la toile" ( Internet) !? Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2001/04/30/gabon-question-a-10000-ifouras-en-grand-caractere-description-oblige/ From protected at bdpgabon.org Sat Aug 16 01:44:50 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Sat, 16 Aug 2008 01:44:50 -0400 Subject: [BDPalabres] RETROSPECTIVE: Un gouvernement en exil Message-ID: Jeudi 24 Avril 2003 Le Gabon, cette maison de verre qui voit tout de l'intérieur et dont on ne voit rien de l'extérieur, a maille à partir avec sa diaspora disséminé à travers l'occident de Georges Bush. Cette diaspora constituée pour la plupart d'universitaires de haut rang officiant dans les plus grandes universités européennes et américaines vient de signifier à l'homme d'Etat Bongo qu'elle ne le porte plus dans son coeur. De Washington où l'essentiel de ses matières grises se trouvent concentré, un mouvement révolutionnaire a été mis en place sous le nom très" faucon " de BDP, entendez Bongo Doit Partir. Ne pouvant directement agir sur le Gabon, le BDP mène son offensive auprès des pays amis d'Omar Bongo. C'est pour montrer à quel point le divorce d'avec le pouvoir de Libreville est irrévocable qu'ils ont constitué un gouvernement qualifié de salut national en exil. Depuis qu'il a été mis en place, l'action de ce gouvernement, révèle nos sources, est si déterminante que les démarches entreprises actuellement par le Gabon auprès des institutions de Bretton Woods et autres bailleurs internationaux sont acceuillies avec les faveurs minces. Il semble même que le récent séjour de l'arme du présent et du futur au pays de l'oncle Sam aurait rencontré quelques infortunes. Bref, ce gouvernement serait prèsque devenu l'interlocuteur en sous-main du Gabon auprès des grands décideurs mondiaux. Ce n'est pas une invention de votre journal. Avec l'avènement de la toile, l'information n'a plus de frontière. JULES-MARIUS OMVA Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2003/04/24/un-gouvernement-en-exil/ From protected at bdpgabon.org Sat Aug 16 01:50:39 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Sat, 16 Aug 2008 01:50:39 -0400 Subject: [BDPalabres] RETRO: B.D.P et le départ de Bongo: un amour cruel Message-ID: Mardi 06 Mai 2003 Il est un parti gabonais, légalisé sur le net, qui vit de manière virtuelle. Son nom, connu des milieux subversifs internautes, circule partout, car il est emblématique et injonctif: "BDP" (Bongo Doit Partir!). Parti réactionnaire , le BDP appelle au départ inconditionnel du président Bongo de la tête du Gabon. Il reprend les nombreux reproches faits depuis 1981 et égrenés sur la place publique: pillage des ressources du pays, confiscation du pouvoir par un individu, de l'appareil étatique et du patronat par une ethnie, encouragement du désordre et de l'insécurité, bafouement des libertés fondamentales et de la dignité humaine, obstruction au progrès et à la libre entreprise locale, etc. Le parti virtuel de Mengara Minko accuse le président de la République d'avoir donné une part belle au copinage et à la family-affair. Une gestion au pif, à qui mieux-mieux , qui a l'effet pervers d'obliger les dirigeants de demain (différents de ceux d'aujourd'hui) soit à passer par l'étape de la Côte d'Ivoire pour tout restructurer, réorganiser, en un mot pour tout refondre; soit à imposer un nouvel ordre de fer à la Mao Tsé Toung en Chine ou à la Staline en URSS, tout en évitant de plonger dans la rebellion. Au moment où le débat se focalise autour des dernières élections locales (municipales, sénatoriales et législatives), le RNR, parti de jeunes gabonais, en signe de défiance au pouvoir, s'est opposé dernièrement au gouvernement en tenant un point de presse au cours duquel il a demandé le départ des représentants actuels du peuple et la dissolution des institutions de la républiques. En cas de non recevabilité de cette reqête, il se réservait le droit de mettre en place un gouvernement parallèle; ce qu'il fit. Les raisons de cette prise deposition " candide et réactive" sont "évidentes et claires à comprendre", selon les partisans de ce parti. Pour eux, les répresentants actuels du peuple n'ont pas eu l'aval de la majorité de la population nationale. Une grande partie, sinon tous, ont été élus par moins de 10% de la population de leurs localités, quand d'aucuns l'étaient par près de 5%. Ils sont de ce fait illégitimes. Des élus du peuple déniés par le peuple, mais qui le représentent ,de même, un président de la république au pouvoir depuis 1968, changeant de constitution au gré des saisons, décrivent une situation de confiscation des rouages politiques et de l'appareil de l'Etat. Une telle "ironie politique" marque la gabonisation et la tropicalisation de la démocratie. D'abord, un pays avec deux systèmes politiques différents en application: le régime présidentiel et semi-présidentiel. Puis la confusion dans la nature politique, dans son exécution et dans ses hommes, a crée une situation d'amalgame, d'extr êmes dérapages. La mise en place du parti unique, pour ceux instruits de l'histoire des courants politiques, finit par des situations de blocage et d'éclatement. Un parti unique est une structure, une logique ponctuelle. Il a été imposé au Gabon à une certaine époque par le colon pour dit-il, défendre ses intérêts. Aux habitudes, heureusement ou malheureusement, nées de ces gesticulations politicardes, une ethnie s'est appropriée le pouvoir suprême ( présidence de la république) et la gestion de l'Etat (ministère des finances, ministère de la défense nationale, justice, patronat, etc...). Pourtant, elle n'a jamais travaillé pour mériter ces faveurs ou cette connaissance. Le cadeau, elle le tient de M. Bongo. Les privilégiés de cette ethnie n'imaginent pas un seul instant que Bongo puisse partir du pouvoir. Quand il arrive que cette éventualité effleure leur esprit, c'est pour s'assurer que la succession ne leur échappera pas: ils ont la situation en main! Mais un proverbe ne dit-il pas "l'homme propose et Dieu dispose"? ADAN'ZOGH Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2003/05/06/bdp-et-le-depart-de-bongo-un-amour-cruel/ From protected at bdpgabon.org Sat Aug 16 02:40:53 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Sat, 16 Aug 2008 02:40:53 -0400 Subject: [BDPalabres] RETRO: Siméon Ekoga: "[Bongo] Il nous a prodigué beaucoup de conseils, des conseils d'un père" Message-ID: Les dirigeants du BDP décident de réintégrer la République Source: L'Union Vendredi 18 Juillet 2003 à 00:00 Reçus hier par le président Omar Bongo ils ont décidé de reconnaître la légalité constitutionnelle, de regagner le pays, et se joindre à l'effort de développement national. UNE délégation de responsables du Mouvement politique BDP basé en Europe a été reçu hier par le président Omar Bongo. Ces opposants, venus exprimer au président de la République leur regret par rapport à la ligne politique violente prise par leur mouvement, ont décidé de mettre fin à leur combat politique mené contre le chef de l'Etat, en reconnaissant la légalité constitutionnelle. "Nous avons fait des erreurs quant à notre manière de voir les choses. Nous nous sommes trompés. Aujourd'hui nous avons décidé de réintégrer la République et de travailler pour le pays", a lancé M. Ekogha, le nouveau président désigné lors du Congrès tenu à Bordeaux en France en juin dernier. Ce congrès a, selon lui, engagé les nouveaux responsables à rompre avec la "ligne violente" faite de tracts et autres pratiques illégales pour se lancer dans une action politique légale. M. Ekogha a, au sortir de cette audience, indiqué par la suite qu'ils ont été frappés par la grande sagesse et la compréhension dont a fait montre le président Bongo. " Il nous a prodigué beaucoup de conseils, des conseils d'un père". Lire le même article en mode scanné: http://www.bdpgabon.org/images/audiencetraitres.jpg Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2699/39/ From protected at bdpgabon.org Sat Aug 16 02:46:13 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Sat, 16 Aug 2008 02:46:13 -0400 Subject: [BDPalabres] RETRO: Clarifications : Il n'y a eu aucun ralliement du BDP-Gabon Nouveau à Omar Bongo Message-ID: Vendredi 18 Juillet 2003 à 00:00 La Direction du BDP-Gabon Nouveau a appris avec surprise et indignation que des faussaires, cascadeurs et aventuriers politiques répondant aux noms de Siméon Ekoga, Paul Okili-Boyer, Corneille Ollomo, Engone Akoughey et autres auraient été reçus par le dictateur gabonais Omar Bongo, qui le 17 juillet à 20h00 les a honteusement pavanés à la télévision nationale et présentés à la nation gabonaise comme des membres responsables du BDP se ralliant à sa cause. Nous assistons là au plus gros mensonge télévisé de l'histoire du régime Bongo, qui a désormais recours à des subterfuges théâtraux pour espérer confondre le peuple Gabonais. Mais le peuple gabonais n'est plus dupe. Ce peuple que le régime Bongo n'a cessé de torturer dans son être et dans son âme pendant 36 ans ne se laissera pas tromper et abuser par de telles fourberies gesticulatoires. A. CLARIFICATIONS ET MISES AU POINT : LA HONTEUSE IMPOSTURE DU REGIME BONGO. A ce propos, le Dr. Daniel Mengara, Coordonnateur du BDP-Gabon Nouveau, le Comité Directeur, le Gouvernement de Salut National en exil et les membres de notre mouvement tant dans la diaspora qu'au Gabon, affirment avec force et vigueur qu'il n'y a qu'un seul BDP et que le BDP reste le mouvement d'opposition radicale qu'il a toujours été, un et indivisible. La direction tient ainsi à apporter les clarifications suivantes : - Messieurs Paul Okili-Boyer et Siméon Ekoga ont été exclus du BDP-Gabon Nouveau les 10 et 20 juin derniers, respectivement. De par cet acte d'exclusion, et spécifiquement au titre des articles 13, 34, 35, 36, 37 et 38 de la Charte des membres du BDP-Gabon Nouveau, lesdits personnages ont perdu toutes leurs prérogatives au sein de notre mouvement et ne peuvent donc se permettre de parler en son nom en quelque lieu que ce soit. Une plainte pour imposture, tentative de fraude, usurpation, faux et usage de faux fut d'ailleurs déposée par le BDP-Gabon Nouveau auprès du service des renseignements généraux français à Paris le 30 juin dernier. - L'exclusion de Paul Okili-Boyer et Siméon Ekoga du BDP-Gabon Nouveau fut prononcée après un constat ayant établi que Messieurs Ekoga et Okili-Boyer avaient été infiltrés au sein de notre mouvement par le régime Bongo, et qu'ils avaient reçus des sommes considérables (près de 300 millions de F CFA) de la part de Jean Ping et André Mba Obame pour essayer de causer une scission au sein de notre mouvement et se rallier ensuite au régime Bongo comme on le voit aujourd'hui. Les documents relatifs à l'exclusion de ces deux personnages sont disponibles et consultables sur le site du BDP-Gabon Nouveau : http://www.bdpgabon.org. - Des complicités additionnelles furent découvertes entre le duo Siméon Ekoga-Paul Okili-Boyer et Corneille Ollomo, un ancien transfuge du BDP-Gabon Nouveau. A ce trio s'ajouta un quatrième Monsieur du nom de Engone Akoughey, qui était basé à Paris et travaillait de longue date avec Monsieur Siméon Ekoga à Paris dans l'infiltration des partis politiques d'opposition et la vente d'information au régime Bongo. Ces quatre personnages usurpateurs de prérogatives sont actuellement au Gabon en train de se présenter comme des membres responsables du BDP-Gabon Nouveau se ralliant au régime Bongo. Il n'en est heureusement rien. Ces messieurs, comme des mercenaires, se sont tout simplement vendus au régime Bongo en échange d'argent et de postes politiques. - Le Congrès BDP de Bordeaux du 12 au 14 juin 2003 n'était ni une assise, ni un Congrès constitutif. C'était plutôt un meeting de travail du Conseil des cellules du BDP-Gabon Nouveau. Il ne s'agissait nullement, lors de ce Congrès, de discuter de la nomination ou de l'élection de qui que ce soit, vu que les nominations et les élections ne sont pas les prérogatives du Conseil des cellules. Par ailleurs, la Charte des membres du BDP définit le Conseil des cellules comme un organe consultatif dont les décisions sont soumises à l'arbitrage du Comité directeur et du Coordinateur. Il est donc techniquement et juridiquement impossible qu'un vote nominatoire, de défiance ou électoral ait été entrepris vu que de telles prérogatives ne sont pas celles du Conseil des cellules du BDP-Gabon Nouveau. On se demande alors sur quelle loi ou jurisprudence se seront basés Messieurs Ekoga et Okili pour se déclarer leaders d'un mouvement comme le nôtre. Il apparaît plutôt clair que Messieurs Ekoga et Okili-Boyer ont bien copié leur maître Omar Bongo, qui s'autoproclame président dans un pays où personne ne l'a élu à la magistrature suprême. - Pire, pour aller avec ses complices soutirer des sous et des postes politiques à Omar Bongo, Monsieur Siméon Ekoga, avec la complicité d'autres membres exclus et de non-membres, s'est autoproclamé président du BDP-Gabon Nouveau alors qu'une telle fonction n'existe nulle part dans les textes de la Charte des membres de notre mouvement. La plus haute fonction juridiquement reconnue au sein de notre mouvement et clairement définie par la Charte des membres du BDP-Gabon Nouveau est celle de Coordonnateur. Or, le Poste de Coordonnateur est actuellement occupé par le Dr. Daniel Mengara, fondateur du BDP-Gabon Nouveau. - Le siège universellement reconnu de notre mouvement se trouve aux Etats-Unis dans le New Jersey. Il n'y a jamais eu au sein du BDP de direction européenne ou autre. En Europe, le BDP-Gabon Nouveau ne dispose que de cellules, la direction du mouvement ayant toujours été aux Etats-Unis. Ne peuvent donc venir d'Europe que des imposteurs. - Messieurs Siméon Ekoga- Paul Okili-Boyer, Corneille Ollomo, Engone Akoughey et autres ne se sont donc présentés à Omar Bongo qu'en leur nom propre, et non au nom de notre mouvement. Les actes d'ignominie et de trahison qu'ils sont en train de commettre n'engagent en aucune façon notre mouvement. - Nos représentants officiels à Libreville sont : Monsieur Hugues Bessacque, Président du Comité de Coordination Nationale et Ministre BDP du Transport, de l'Urbanisme, des Travaux Publics et de l'Aménagement du Territoire (actuellement en prison dans les géôles d'Omar Bongo) et le Dr. Prosper Edou, Vice-Président du Comité de Coordination Nationale et Ministre BDP de la Justice, du Droit Traditionnel et de l'Egalité devant la Loi). Par ailleurs, plusieurs autres Ministres du gouvernement de salut national en exil du BDP se trouvent actuellement en mission au Gabon, parmi eux le Dr. Bruno Ella, Ministre BDP de l'Education Nationale, chargé de la Fonction Publique, de la Formation et de l'Emploi. L'on se demande alors qui du BDP officiel fait partie de la délégation reçue à toutes pompes et tous frais payés par le régime Bongo. Tout ce que l'on voit dans le fameux groupe Ekoga c'est Siméon Ekoga (exclu), Ollomo (démissionné), Okili (exclu), Engone Engone Akoughey (non membre) et un certain nombre de plaisantins (Ambassadeur du Gabon à Paris, etc.) n'ayant jamais fait partie de notre mouvement. Omar Bongo aura donc été incapable de détruire notre mouvement. - Le régime Bongo détient actuellement dans ses prisons cinq militants du BDP déférés au parquet pour « outrage au chef de l'état » et « trouble à l'ordre public ». Parmi les cinq militants, quatre 'Messieurs Brice Obanda, Gervais Amogo, Abdul Allogo Mintsa et Pascal Nkoulou'furent arrêtés dans la nuit du vendredi 4 juillet sans qu'il ne leur ait été donné l'opportunité d'assurer leur défense ou de contacter un avocat, et le cinquième, Hugues Bessacque (Président de la Coordination Nationale), fut interpellé le 11 juillet. Pourquoi Omar Bongo détient-il toujours les militants bédépistes dans ses prisons s'il est vrai que le BDP s'est rallié à lui' - En dehors de l'exclusion de Messieurs Ekoga et Okili-Boyer, le BDP reste un mouvement intact. Aucun membre responsable connu du BDP-Gabon Nouveau, en dehors de Paul Okili-Boyer et Corneille Ollomo, tous exclus de notre mouvement pour traîtrise, n'a suivi Siméon Ekoga et Okili-Boyer. C'est donc en véritables cascadeurs et mercenaires politiques que Messieurs Siméon Ekoga, Paul Okili-Boyer, Corneille Ollomo, Engone Akoughey et les autres usurpent aujourd'hui des prérogatives de notre mouvement, vu qu'ils ont reçu près de 300 millions de F CFA d'Omar Bongo. - Et mal en prendra à Omar Bongo, car il aura dépensé 300 millions de F CFA pour rien. Ni Siméon Ekoga, ni Paul Okili-Boyer ne pourront lui fournir quelqu'information que ce soit sur le BDP. Le BDP savait depuis un moment que Siméon Ekogo et Paul-Okili-Boyer étaient des taupes inflitrées eu sein de notre mouvement. Ils n'apporteront à Omar Bongo que des bouffonneries télévisées et rien qui puisse détruire ou compromettre les grands secrets ou projets du BDP-Gabon Nouveau. L'échec est donc total pour le régime Bongo puisque le BDP reste intact et continuera sa lutte jusqu'au démantèlement du bongoïsme au Gabon. B. RAPPEL DES GRANDS PRINCIPES DE BASE DU BDP-GABON NOUVEAU Pour éviter les confusions avec les divers aventuriers, opportunistes et cascadeurs politiques qui viennent au Gabon se remplir les poches en usurpant du nom du BDP-Gabon Nouveau, nous rappelons la vigilance à la population gabonaise. A nos compatriotes vivant au Gabon et à l'étranger, nous rappelons les grands principes de base qui définissent et ont toujours défini les actions et pensées du BDP-Gabon Nouveau. Toute personne se présentant à vous qui ne défendra pas ces principes de base ne peut être considérée comme faisant partie du BDP-Gabon Nouveau. Ces principes s'articulent comme suit : - Le BDP-Gabon Nouveau pense que rien de bon ne peut se passer au Gabon tant qu'Omar Bongo sera au pouvoir. Nous posons donc comme préalable à toute solution aux problèmes économiques, politiques, sociaux et culturels du Gabon le départ immédiat et sans conditions d'Omar Bongo et de son régime du pouvoir. - Le crédo du BDP-Gabon Nouveau est : « Bongo Doit Partir, par tous les moyens possibles ». Ceci veut dire que nous laissons à Omar Bongo le choix de la manière dont il veut quitter le pouvoir. S'il se veut démocrate, Omar Bongo pourra immédiatement quitter le pouvoir dans la paix et l'esprit de réconciliation nationale. Cependant, s'il s'entête à rester au pouvoir et à s'imposer au peuple par la force, les manipulations constitutionnelles, les arrestations et les menaces, Omar Bongo s'exposera à la colère destructrice des Gabonais qui n'en peuvent plus d'avoir été pris en otage pendant 36 ans. - Aucune élection ne doit plus se tenir au Gabon tant qu'il n'y a pas eu réforme. Le BDP refusera de participer à toute élection organisée unilatéralement par le régime Bongo et fera tout ce qui est en son pouvoir pour boycotter et empêcher une telle élection par tous les moyens possibles. Au besoin, le BDP-Gabon Nouveau organisera lui-même des élections générales dignes de ce nom sur toute l'étendue du territoire national et appellera les partisans du changement de tous bords politiques à participer à cette élection, qui sera la première élection véritablement démocratique du pays. - Le BDP-Gabon Nouveau ne reconnaît pas du tout la légitimité, ni l'autorité du régime Bongo. Nous pensons qu'Omar Bongo lui-même, qui n'a jamais été élu dans la transparence, est un président illégal dont le régime se doit d'être démantelé si les Gabonais veulent un jour mener des vies décentes sous la direction d'un régime dans lequel ils se reconnaîtront. - Nous considérons le régime Bongo responsable du meurtre de tous les Gabonais qui meurent aujourd'hui de sous développement parce que dans leurs hôpitaux il n'y a pas de médicaments, tout cela parce que le régime Bongo détourne tout l'argent qui aurait pu servir à construire des hôpitaux, soigner et prévenir le SIDA, vacciner les enfants et assurer la santé pour tous au Gabon. Omar Bongo préfère donner 300 millions de F CFA à la clique Ekoga pour les corrompre, plutôt que d'acheter des médicaments pour les hôpitaux du pays. - Nous pensons que le régime Bongo, en 36 ans de pouvoir sans partage, n' a fait qu'apporter la misère à notre pays. Or, le BDP pense qu'il est possible au Gabon de faire en 5 ans ce que le régime Bongo n'a pas pu faire en 36 ans de pouvoir. Et c'est parce que le régime Bongo a détourné tous les biens du pays que le Gabon se retrouve aujourd'hui appauvri, sans espoir de retour. - Le BDP et ses divers représentants s'interdisent de rencontrer ou de négocier avec Omar Bongo ou quelque membre que ce soit de son régime, sauf s'il s'agit de discuter des modalités de leur départ du pouvoir. Tout membre responsable du BDP sait donc qu'il ne peut et ne doit en aucun cas rencontrer Omar Bongo ou un représentant de son régime. Ce sont là, chers compatriotes, les grands principes du BDP. Toutes personnes qui se présenteront à vous et qui ne respecteront pas ces principes de base ne sont pas du BDP et doivent être rejetées comme des imposteurs, des opportunistes et des traîtres ayant trahi la nation gabonaise pour quelques poignées de F CFA. Barrez le chemin à de tels personnages et continuez à soutenir le seul vrai mouvement d'opposition qui reste actuellement au Gabon, c'est-à-dire le BDP-Gabon Nouveau. Apprêtons-nous donc, chers compatriotes, à défendre notre dignité en faisant comprendre à Monsieur Omar Bongo que, à un moment où des dictatures comme celle de Saddam Hussein tombent, le temps est venu pour lui de partir, nous n'accepterons pas de le laisser continuellement garder en prendre en otage notre pays, et nous sommes prêts à le reprendre en main par tous les moyens possibles. Vive le Gabon. Vive la nation gabonaise. Vive la république. Nous vous remercions. Fait le 18 juillet 2003 à Montclair, New Jersey, USA Comité Directeur BDP-Gabon Nouveau Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1276/39/ From protected at bdpgabon.org Sat Aug 16 02:52:12 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Sat, 16 Aug 2008 06:52:12 -0000 Subject: [BDPalabres] RETRO: Le BDP-Gabon Nouveau dément les déclarations publiées dans l'Union du 19-20 juillet 2003 Message-ID: Communiqué: Le BDP-Gabon Nouveau dément les déclarations publiées dans l'Union du 19-20 juillet 2003 Source: BDP Presse Message-Id: Sender: Date: Sat, 16 Aug 2008 02:52:12 -0400 X-Mailman-Approved-At: Sat, 16 Aug 2008 04:35:48 -0400 X-BeenThere: bdpalabres at bdpgabon.org X-Mailman-Version: 2.1.9.cp2 Precedence: list Reply-To: Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau X-List-Received-Date: Sat, 16 Aug 2008 06:52:12 -0000 Samedi 19 Juillet 2003 à 00:00 Dans divers articles du quotidien national bongoïste l'Union du 19-20 juillet 2003, plusieurs mensonges orchestrés par le régime Bongo et les traîtres qui se sont vendus à lui ont été publiés qui n'ont aucun fond de vérité et ne reposent sur aucune logique autre que celle qui consiste à mener une campagne d'intoxication à l'encontre de notre mouvement. Nous mettons d'ailleurs le quotidien national l'Union au défi de publier entièrement ce démenti qui lui a été envoyé par fax aujourd'hui même samedi 19 juillet 2003. La Direction du BDP-Gabon Nouveau, les Présidents de cellules, ainsi que les Ministres du Gouvernement de Salut National en exil tiennent à apporter les démentis suivants : - L'UNION ET BONGO CLAMENT QUE LE BDP-GABON NOUVEAU EST DISSOUT : Omar Bongo rêve ou alors vit ouvertement à la télévision et devant tout le monde son fantasme de voir le BDP disparaître. Il n'y a jamais eu de dissolution du BDP-Gabon Nouveau. A aucun moment ne s'est tenu au sein de notre mouvement un meeting de dissolution du BDP-Gabon Nouveau comme le prétendent l'Union et son commanditaire Omar Bongo. Le Congrès BDP de Bordeaux du 12 au 14 juin 2003 n'était ni une assise du parti, ni un Congrès constitutif. C'était plutôt un meeting de travail du Conseil des cellules du BDP-Gabon Nouveau. La Charte des membres du BDP définit le Conseil des cellules comme un organe consultatif dont les décisions sont soumises à l'arbitrage du Comité directeur et du Coordinateur. Il est donc techniquement et juridiquement impossible qu'un vote nominatoire, de défiance, électoral ou de dissolution ait été entrepris vu que de telles prérogatives ne sont pas celles du Conseil des cellules du BDP-Gabon Nouveau qui s'est réuni à Bordeaux. A ce que nous sachions, toute la structure connue du BDP reste intacte et on se demande où l'Union a été chercher son information sur la dissolution du BDP. Il suffit de se rendre sur le site du BDP (http://www.bdpgabon.org) pour se rendre compte qu'en dehors de Siméon Ekoga (exclu du BDP pour traîtrise le 20 juin 2003), Paul Okili-Boyer (Exclu du BDP pour traîtrise le 10 juin 2003) et Corneille Ollomo (démissionné du BDP pour incompétence en janvier 2003), la structure du BDP est intacte et le BDP continue de fonctionner normalement. Le BDP-Gabon Nouveau reste donc toujours le mouvement qu'il a toujours été, un et indivisible dans sa détermination à travailler au démantèlement du bongoïsme au Gabon. - L'UNION ET BONGO CLAMENT QUE LE BDP EST BASE EN FRANCE. Grossière et ridicule affirmation. Tout le monde sait que la Direction du BDP-Gabon Nouveau se trouve et a toujours été aux Etats-Unis. Les Gabonais savent depuis toujours que le BDP-Gabon Nouveau est un mouvement basé aux Etats-Unis et qui dispose de cellules de réflexion un peu partout dans le monde. Pour des raisons visibles aujourd'hui, le mouvement avait à sa création jugé utile, pour cause de protection et de nécessité de survie du BDP, de centraliser toute la logistique politique, matérielle, stratégique et financière du mouvement à partir des Etats-Unis, pays dans lequel les libertés individuelles et politiques sont mieux garanties et protégées qu'en France ou partout ailleurs, et où le régime Bongo ne jouit d'aucune considération particulière. D'ailleurs, sur le site du département d'état américain, le régime Bongo dans le rapport 2003 est décrit comme un régime dictatorial qui ne laisse pas beaucoup de libertés politiques à son peuple et gère tout d'une main de fer. La France s'étant souvent montrée complice du régime Bongo, l'Amérique devenait donc une terre d'asile naturelle puisque le BDP et tous les groupes politiques persécutés de par le monde y jouissent de protections constitutionnelles considérables. Le BDP-Gabon Nouveau n'a donc qu'une seule direction, et cette direction se trouve dans le New Jersey aux Etats-Unis. Il n'y a jamais eu de Direction européenne ou de Comité européen. Le BDP-Gabon Nouveau est doté de cellules individuelles en France, en Allemagne, en Angleterre, en Côte d'Ivoire, au Canada, aux USA, et au Gabon. Les cellules du BDP en Europe ne sont pas regroupées sous une direction européenne. Elles fonctionnent sur la base d'un modèle individuel décentralisé, mais rendent directement des comptes à la direction américaine du mouvement, dont le Coordonnateur est le Dr. Daniel Mengara. - L'UNION ET BONGO CLAMENT QUE SIMEON EKOGA ETAIT LE NUMERO 2 DU BDP. Cette affirmation n'est vraie que dans les rêves et fantasmes bongoliens. Le BDP-Gabon Nouveau n'a jamais eu de Numéro 2. Justement pour éviter que des aventuriers ne détournent le mouvement des ses idéaux, le BDP-Gabon Nouveau s'est organisé sur la base d'un modèle de cercles concentriques, et non hiérarchiques. La concentricité non hiérarchique du mouvement assurait donc que des opportunistes ne puissent, d'une part, utiliser le poids de leur poste pour casser le mouvement, et d'autre part, permettait de limiter l'accès à l'information stratégique. C'est ainsi que le mouvement a créé des cellules de réflexion qui, même si elles contribuaient à la structuration et consolidation politique et idéologique du mouvement, n'avaient cependant pas accès au type d'information stratégique qui aurait pu compromettre le mouvement. Ceci veut donc dire qu'en tant que chef de la cellule de Paris, Siméon Ekoga ne savait rien du BDP qui aurait pu mener à la révélation de ses structures secrètes. Il n'a donc pas grand-chose à donner à Bongo en dehors du honteux cirque politique auquel il se livre avec celui qui se dit aujourd'hui président du Gabon. Siméon Ekoga, en tant que chef de la cellule de Paris avant son exclusion ne pouvait non plus prétendre à des pouvoirs de numéro 2 puisque la gestion du pouvoir et de l'information au sein du BDP s'opère par cercles concentriques et non par hiérarchie. Par ailleurs, la Charte du BDP-Gabon Nouveau définit la direction du BDP-Gabon Nouveau comme un Comité Directeur dirigé par un Coordonnateur. Il n'y a donc pas au BDP de président ou de vice président, de numéro 1 ou de numéro 2, de direction européenne ou autre. Il y a uniquement un Coordonnateur qui est entouré par les membres du Comité Directeur, dont l'identité reste secrète et protégée. Le seul membre connu du Comité Directeur est le Dr. Daniel Mengara, qui assure la direction du mouvement et en Coordonne les activités. On ne sait donc pas sur quelle base Monsieur Siméon Ekoga se réclamerait président ou vice-président du BDP-Gabon Nouveau, vu que de tels postes n'existent pas. C'est donc là une usurpation de titre et un usage de faux sous la direction théâtrale d'Omar Bongo lui-même, obligé aujourd'hui de se transformer en maître des illusions et de la prestidigitation politique pour espérer détruire le BDP-Gabon Nouveau. L'acte est malheureusement démodé et les Gabonais ne sont plus dupes. - L'UNION ET BONGO ONT PRESENTE AU PAYS DES FAUSSAIRES. Si l'Union avait été un journal sérieux, il aurait au moins été vérifier sur le site du BDP (http://www.bdpgabon.org) pour se rendre compte qu'Omar Bongo et son régime ont présenté au pays des faussaires se réclamant du BDP-Gabon Nouveau. Des journalistes comme Lin-Joël Ndembet ne font donc pas honneur à leur profession en se faisant le relais de ce type de campagne d'intoxication. En effet, ni Siméon Ekoga (exclu du BDP pour traîtrise le 20 juin 2003), ni Corneille Ollomo (démissionné du BDP pour incompétence en janvier 2003) ne faisaient plus partie de notre mouvement et ceci aurait dû sauter aux yeux de n'importe quel journaliste respectable. Pire, les autres personnages présentés par l'Union et la RTG, notamment Engone Akoughey, Roméo Husingha Birinda et Raymond Camille Inwen sont totalement inconnus du BDP et n'ont jamais été membre de notre mouvement. Présenter ainsi Roméo Husingha Birinda comme le représentant du BDP au Canada est hautement surprenant, vu que tous ceux qui visitent le site du BDP savent depuis toujours que le représentant du BDP à Montréal est le Dr. Brice Ongali. - L'UNION ET BONGO ACCUSENT LE BDP DE HAINE TRIBALE ET DE VIOLENCE. Tous ceux qui visitent le site Internet du BDP ou lisent la pensée de notre mouvement savent que le BDP-Gabon Nouveau est tout, sauf un mouvement violent. Au contraire, le BDP-Gabon Nouveau essaie d'éviter à notre pays des violences en faisant comprendre aux acteurs politiques gabonais la nécessité de s'engager, dès maintenant, dans un dialogue national sincère dont le but serait de mettre en place, une bonne fois pour toutes, les bases saines d'une démocratie réelle et non manipulée. Notre site Internet et nos documents sont bourrés de propositions de révision constitutionnelle, de réforme politique et économique, de dialogue et de réconciliation nationale qui auraient pu, si Omar Bongo le désirait, mener à la consolidation de la démocratie au Gabon. Or, le refus répété du régime Bongo de démocratiser le Gabon, les arrestations arbitraires de nos membres encore en prison, les brimades politico-économiques des opposants et les modifications unilatérales de la constitution gabonaise par le régime Bongo, sont autant d'indications que le régime Bongo ne veut pas la paix au Gabon et se transforme de plus en plus en une dictature déclarée qui préfère la guerre à la réconciliation nationale. Le BDP en conclut donc que rien de bon ne peut plus se passer au Gabon tant que Bongo est au pouvoir, vu que cela fait 36 ans que ce régime refuse le changement et la transparence démocratique, préférant s'accrocher au pouvoir sans se soucier aucunement des souffrances quotidiennes des Gabonais. S'attaquer donc à Bongo n'est ni l'expression d'une haine tribale, ni un appel à la violence. Bongo n'est pas l'état gabonais. S'attaquer à Bongo c'est s'attaquer à la source du problème gabonais, vu que c'est Omar Bongo qui refuse de démocratiser le Gabon et qui attise les haines tribales en mettant les Gabonais les uns contre les autres, contredisant ainsi ses déclarations d'unité nationale. Un président démocrate n'arrête pas des Gabonais parce que des Gabonais disent que « Bongo Doit Partir ». « Bongo Doit Partir » est un thème politique comme un autre et tout Gabonais devrait se sentir libre de mener une campagne politique sur un tel thème s'il pense que Bongo ne fait pas le travail que les Gabonais attendent. Un président responsable ne marchande pas les fêtes de l'indépendance alors que son peuple vit dans la misère et meurt de SIDA. Un président responsable ne fait pas du théâtre sur les écrans de la télévision nationale pour présenter à la nation des supposés opposants ralliés à qui il a donné 300 millions de F CFA d'argent du peuple pour aller chanter le Mvett selon Saint Bongo dans les médias d'état à la solde du pouvoir. S'il y a donc violence au Gabon, cette violence se voit dans la dictature de l'arbitraire que le régime Bongo est en train d'instaurer chez nous. Cette violence est celle qui met en prison les Gabonais pour opinion politique ; cette violence c'est celle qui change unilatéralement la constitution du pays sans s'en référer au peuple ; cette violence c'est celle qui donne les 300 millions de francs CFA du peuple à quatre individus pour leur faire chanter le Mvett bongoïste alors que ces 300 millions auraient pu payer les médicaments dont le pays a besoin. Voilà pourquoi le BDP dit : « Bongo Doit Partir », car c'est de cette seule façon que notre peuple retrouvera sa dignité, dans un esprit de paix, de progrès, d'unité et de réconciliation nationale. APPEL A LA NATION Nous appelons donc encore une fois le peuple gabonais à la vigilance. De nombreuses personnes se présenteront à vous au nom du BDP, mais méfiez-vous. Le BDP-Gabon Nouveau ne renoncera jamais à ses idéaux de changement au Gabon. Le BDP-Gabon Nouveau est un mouvement de patriotes gabonais qui pensent aujourd'hui que « trop, c'est trop » et que « Bongo Doit Partir , pour la construction d'un Gabon nouveau ». Ainsi, quand quelqu'un se présentera à vous, posez-lui toujours la question de savoir s'il connaît et défend les 10 grands principes de base de notre mouvement. Ces 10 principes de base sont : 1) Rien de bon ne peut plus arriver au Gabon tant qu'Omar Bongo est au pouvoir. Si Omar Bongo n'a pas pu réformer et développer le Gabon en 36 ans, ce n'est pas dans les 5 ou 10 ans qu'il lui reste à vivre qu'il va le faire. Tout ce que dit Bongo aujourd'hui doit être rejeté comme nul et non avenu. 2) La condition préalable à tout changement positif et réel au Gabon passe avant tout par le départ d'Omar Bongo et de son régime du pouvoir, puisque ce régime est incapable de se démocratiser et a été incapable de développer le Gabon en 36 ans. Le BDP se doit donc de rechercher le départ du régime Bongo du pouvoir par tous les moyens possibles. 3) Omar Bongo n'est pas excusable et la faute du désastre gabonais ne peut être rejetée sur son entourage. Quand votre chien mord l'enfant du voisin, on vous tient responsable de l'acte de votre chien. Or, Omar Bongo laisse les « chiens » de son régime « mordre » les Gabonais en toute impunité. Il se fait donc ainsi le complice de leurs crimes, crimes qui s'ajoutent aux siens propres. Omar Bongo est donc le premier criminel du Gabon et doit être tenu responsable de la débâcle et de la déchéance politique, économique, sociale et culturelle de notre pays. 4) Aucune élection ne doit se tenir au Gabon tant qu'il n'y a pas eu de réelles réformes et aucun Gabonais ne doit plus se rendre aux urnes pour voter dans des élections organisées par le régime Bongo. Mieux, tout gabonais patriote devra, le moment venu, tout faire pour non seulement boycotter, mais aussi empêcher la tenue de toute élection organisée unilatéralement par le régime Bongo et ses complices de la convivialité. Quand le moment sera venu, le BDP et tous les partisans du changement organiseront eux-mêmes des élections dignes de ce nom au Gabon. 5) Les Gabonais doivent rejeter avec force toute idée de refondation proposée par le régime Bongo. Si le régime Bongo n'a pas pu se « refondre » en 36 ans, il ne pourra pas le faire en l'espace d'un meeting politique. On ne doit plus faire confiance à ce régime. La seule idée valable au Gabon aujourd'hui est l'idée d'une véritable réforme décidée par le peuple gabonais au travers d'une conférence nationale souveraine qui, seule et en consultation avec le peuple, pourrait réviser la constitution et réformer le système politique gabonais de manière durable, consensuelle et progressiste. Quand le moment sera venu, le BDP et tous les partisans du changement se chargeront d'organiser une conférence nationale digne de ce nom qui décidera, une bonne fois pour toutes, de l'avenir du pays dans un esprit de réconciliation nationale. 6) Le BDP ne reconnaît pas la légitimité de l'Etat Bongo. Nous considérons qu'Omar Bongo n'a jamais gagné d'élection au Gabon, qu'il est donc un président illégal et illégitime, et que nous sommes au Gabon dirigé par un dictateur qui s'est imposé à notre peuple pendant 36 ans, dictateur qui aujourd'hui fait tout pour devenir le roi du Gabon et mourir au pouvoir tout en s'assurant que ses enfants et complices continueront sa tache de destruction permanente de la nation gabonaise. Omar Bongo est un dictateur féroce pire que Saddam Hussein. Son régime devra donc être démantelé par tous les moyens possibles si le Gabon veut un jour retrouver sa dignité. 7) Aucun membre du BDP n'est autorisé à rencontrer dans un cadre politique ou négocier quoique ce soit avec Omar Bongo ou un représentant de son régime sans l'accord de la direction américaine du BDP-Gabon Nouveau. Toute personne qui rencontrerait ou pactiserait avec Omar Bongo ou son régime ne peut être vue comme un membre du BDP et doit être considérée comme un traître ayant vendu la nation gabonaise à Omar Bongo. 8) Le BDP-Gabon Nouveau est un et indivisible, tout comme est une et indivisible la nation gabonaise. L'idéal du BDP, c'est le bien-être du Gabon et de tous les Gabonais, quelque soit leur appartenance politique, économique, raciale, sexuelle ou ethnique. Le BDP défend avec force l'idée de l'unité nationale dans un cadre qui permette à chacun de nos citoyens de s'épanouir et de rechercher librement et sans entrave le bonheur et le bien-être. 9) Le BDP-Gabon Nouveau soutient que Bongo et son régime sont la cause du sous-développement au Gabon et qu'ils ont intentionnellement maintenu le Gabon dans un état de privation multiforme afin d'assouvir les rêves de puissances et d'enrichissement de quelques familles. Ils ont ainsi transformé l'état gabonais en état mafia et menti aux Gabonais en leur disant que les caisses de l'état sont vides. Le BDP dit que c'est faux. Il y a encore assez d'argent au Gabon pour faire en 5 ans ce que le régime Bongo n'a pas pu faire en 36 ans de pouvoir sans partage. 10) Le BDP-Gabon Nouveau refuse la corruption et la trahison, car la corruption est un crime. Quand un responsable politique abandonne ses idéaux politiques pour prendre les 300 millions que lui donne Bongo pour le faire taire, ce responsable a pris l'argent qui aurait pu servir à sauver la vie des Gabonais. Donc, quand un enfant meurt de paludisme parce qu'il n'y a pas de médicaments à l'hôpital ou de dispensaire dans son village, on doit conclure que c'est Omar Bongo et ses complices corrompus qui l'ont tué. Quand un Gabonais meurt dans un accident de voiture parce que les routes gabonaises sont mauvaises, on doit conclure que c'est Omar Bongo et ses complices corrompus qui l'ont tué. Quand une Gabonaise meurt de stress, parce qu'elle n'arrive pas à trouver du travail à cause de la mauvaise gestion et des détournements de fonds du régime Bongo, on doit conclure que c'est Omar Bongo et son régime de corrompus qui l'ont tuée. Quand une jeune fille de 12 ans est obligée de se prostituer pour survivre dans un pays comme le Gabon où le revenu par habitant est supérieur à celui de la Chine, alors on doit conclure qu'Omar Bongo et ses complices sont responsables de cette déchéance. La corruption est donc un crime car elle détourne l'argent du pays et animalise les Gabonais. Et quand Bongo donne 300 millions aux opposants pour les corrompre, il condamne les Gabonais à mort. Ce sont donc là, chers compatriotes, les grands principes de patriotisme qui doivent toujours guider la démarche des bédépistes. Il ne s'agit plus aujourd'hui de se compromettre, mais de construire. Si Bongo ne veut pas construire, il doit être mis en quarantaine par nous tous, Gabonais. Le travail de libération du pays nous incombe à tous. Ce ne sera pas les étrangers qui viendront nous libérer, mais nous-mêmes. Refusons donc aujourd'hui la corruption, la traîtrise et les compromissions qui condamnent notre pays au calvaire bongoïste. Embrassons la réforme, même si pour cela nous devons faire la révolution. Le BDP restera fidèle à lui-même, c'est-à-dire patriote et incorruptible. Toute personne qui se réclame du BDP en pensée ou en action doit être capable de soutenir et de défendre les 10 principes de base du BDP et défendre notre pays contre l'agression bongoïste. Si, donc, une personne se présente à vous en tenant des discours contraires ou des discours convivialistes, c'est que cette personne n'est pas du BDP ou alors c'est que cette personne s'est faite acheter par le régime Bongo. Il vous faut donc vous méfier de cette personne et de toujours rappeler à tous les 10 principes qui guident notre action patriotique. Pour finir, nous dirons que des journalistes payés par Omar Bongo comme Lin-Joël Ndembet devraient avoir honte de se faire le relais d'un régime aussi bestial que celui d'Omar Bongo. Un régime qui ne recule devant rien pour corrompre, assassiner, emprisonner, voler, brimer et détruire le Gabon dans son âme et dans son corps. En tant que citoyens payés par les impôts du contribuable gabonais, les journalistes de l'Union se doivent à un devoir de neutralité républicaine et de faire des reportages qui tiennent la route de par leur sérieux et leur profondeur. Le théâtre bongoïste dont le quotidien national l'Union, un organe étatique, se fait honteusement le relais intoxicateur aujourd'hui n'honore aucunement le journalisme dans notre pays. Vive le Gabon. Vive le peuple gabonais. Vive la nouvelle république. Fait le samedi 19 juin 2003 à Montclair, New Jersey, USA Pour le Comité Directeur, le Gouvernement de Salut National en exil et l'ensemble des organes et membres du BDP-Gabon Nouveau Dr. Daniel Mengara Coordonnateur Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1277/39/ From protected at bdpgabon.org Sat Aug 16 03:01:54 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Sat, 16 Aug 2008 07:01:54 -0000 Subject: Sans objet Message-ID: Communiqué : Des Membres du BDP rencontrent Bongo: Le BDP-Gabon Nouveau condamne les imposteurs et les opportunistes Source: BDP-Gabon Nouveau Message-Id: Sender: Date: Sat, 16 Aug 2008 03:01:54 -0400 X-Mailman-Approved-At: Sat, 16 Aug 2008 04:35:48 -0400 Subject: [BDPalabres] RETRO: Des Membres du BDP rencontrent Bongo: Le BDP-Gabon Nouveau condamne les imposteurs et les opportunistes X-BeenThere: bdpalabres at bdpgabon.org X-Mailman-Version: 2.1.9.cp2 Precedence: list Reply-To: Forum Palabres - BDP-Gabon Nouveau X-List-Received-Date: Sat, 16 Aug 2008 07:01:54 -0000 Jeudi 10 Juin 2004 à 00:00 Il a été porté à la connaissance de la direction du BDP-Gabon Nouveau qu'un certain nombre d'individus se réclamant du BDP-Gabon Nouveau seraient allés à Washington rencontrer Omar Bongo lors de son dernier voyage dans cette ville du 24 au 29 mai 2004. La direction du BDP-Gabon Nouveau ainsi que son Coordonnateur, le Dr. Daniel Mengara, informent ici le public et le peuple gabonais qu'ils n'ont autorisé aucun membre à aller à Washington rencontrer Omar Bongo. Toute personne s'étant présentée à Omar Bongo en tant que membre du BDP doit être vue comme une personne ayant rencontré Omar Bongo à titre individuel et non comme représentant du BDP-Gabon Nouveau. Toute promesse, parole ou prise de décision ayant pu découler d'un contact entre les prétendus membres du BDP et Omar Bongo est nulle et non avenue, caduque, et ne représente en rien la philosophie ni la personnalité du mouvement, encore moins son idéologie. La direction du BDP-Gabon Nouveau tient à rappeler à tous ses membres et au peuple gabonais les principes fondamentaux qui sont les siens, à savoir : 1) rien de bon ne peut plus arriver au Gabon tant qu'Omar Bongo est au pouvoir et 2) Bongo doit donc partir, par tous les moyens possibles. A ce titre, aucun membre ne doit jamais prendre sur lui de rencontrer Omar Bongo ou les représentants de son régime sans autorisation, ni mandat de la direction. De tels actes sont non seulement inadmissibles, mais exposent leurs auteurs à des sanctions pouvant mener à l'exclusion totale et complète du mouvement. La direction du mouvement mène actuellement son enquête pour déterminer avec certitude si les individus qui ont été rencontrer Omar Bongo sont des membres du BDP-Gabon Nouveau ou non, et quels sont ces individus. S'il est établi que des membres du BDP-Gabon Nouveau sont allés, au nom du mouvement et par usurpation des prérogatives qui sont celles de la direction du mouvement, rencontrer Omar Bongo, ces membres seront soumis à des sanctions disciplinaires conformément à la Charte des membres du BDP-Gabon Nouveau. La direction du BDP-Gabon Nouveau, par la bouche de son Coordonnateur, rappelle aux membres la nécessité de faire montre de dignité et de discipline et de ne pas céder à l'appât de la facilité et du gain facile. La moralité politique et le besoin de moraliser le Gabon passent par le bon exemple et tous ceux qui, par cupidité ou par ambition personnelle, outrepassent les consignes du mouvement pour recevoir du régime des faveurs financières ou professionnelles à titre personnel doivent être vus comme les complices de la criminalité bongoïste, donc bourreaux du peuple gabonais. Le BDP-Gabon Nouveau rappelle à tous le Pacte de salut national qui, au travers de ses dix commandements, interpelle la nation et dicte la conduite à suivre. Ce pacte qui unit les patriotes aspirant à la liberté, à la dignité et au progrès reste le socle sur lequel repose toute l'action du BDP-Gabon Nouveau. Ce pacte se définit comme suit : PACTE DE SALUT NATIONAL: LES DIX COMMANDEMENTS DU BDP Nous, Gabonais de tous bords politiques recherchant activement le changement, la réforme, la transparence politique et la gestion responsable de nos ressources dans un climat de paix et de dialogue national, sans distinction de sexe, d'ethnie, de race, de classe ou d'origine et sans obligation mais avec dévotion, courage, patriotisme et dignité, adhérons volontairement, sans retenue, calcul ou intérêt personnel, au présent pacte de salut national et aux dix commandements du BDP-Gabon Nouveau qui suivent et proclamons que : 1) Rien de bon ne peut plus arriver au Gabon tant qu'Omar Bongo est au pouvoir. Si Omar Bongo n'a pas pu réformer et développer le Gabon en 37 ans, ce n'est pas dans les 5 ou 10 ans qu'il lui reste à vivre qu'il va le faire. Toutes les propositions de refondation et de rénovation refondues du régime Bongo doivent donc être rejetées comme nulles et non avenues. 2) La condition préalable à tout changement positif et réel au Gabon passe avant tout par le départ d'Omar Bongo et de son régime du pouvoir. Puisque le régime Bongo a bloqué le progrès du Gabon pendant 37 ans et continuera à le bloquer dans l'avenir, l'idée du " Bongo Doit Partir " reste la règle d'or qui conditionne tout processus de démocratisation au Gabon. Le BDP-Gabon Nouveau et le peuple gabonais se doivent donc de rechercher le départ du régime Bongo du pouvoir par tous les moyens possibles pour éviter la prise d'otage de notre pays et l'enracinement permanent de la dictature bongoïste au Gabon. 3) Omar Bongo n'est pas excusable en tant que personne et la faute du désastre gabonais ne peut être rejetée uniquement sur son entourage. L'adage selon lequel " Bongo est bon, c'est son entourage qui est mauvais " n'a pas de valeur au sein du BDP. Quand votre chien mord l'enfant du voisin, on vous tient responsable de l'acte de votre chien. Or, Omar Bongo laisse les " chiens " de son régime " mordre " les Gabonais en toute impunité depuis 37 ans. Il se fait donc ainsi le complice de leurs crimes, crimes qui s'ajoutent aux siens propres et qui ne sont jamais punis. Parce qu'Omar Bongo laisse faire ses complices, récompense ceux qui détournent et ne punit pas leurs crimes, Omar Bongo est le premier criminel du Gabon et doit donc être tenu personnellement responsable de la débâcle et de la déchéance politique, économique, sociale et culturelle de notre pays. 4) Aucune élection ne doit se tenir au Gabon tant qu'il n'y a pas eu de réelles réformes et aucun Gabonais ne doit plus se rendre aux urnes pour voter dans des élections organisées par le régime Bongo. Mieux, tout gabonais patriote devra, le moment venu, tout faire pour non seulement boycotter, mais aussi empêcher physiquement la tenue de toute élection organisée unilatéralement par le régime Bongo et ses complices de la convivialité. Quand le moment sera venu, le BDP et tous les partisans du changement organiseront eux-mêmes des élections dignes de ce nom au Gabon. Bongo n'est pas l'état et les Gabonais n'ont pas besoin de Bongo pour organiser des élections libres et démocratiques dans leur pays. 5) Les Gabonais doivent rejeter avec force toute idée de refondation proposée par le régime Bongo. Si le régime Bongo n'a pas pu se " refondre " en 37 ans, il ne pourra pas le faire en l'espace d'un meeting politique ou d'un discours vide de substance. On ne doit plus faire confiance à ce régime, ni lui permettre de continuer à brimer le peuple en toute impunité. La seule idée valable au Gabon aujourd'hui est celle d'une véritable réforme décidée par le peuple gabonais au travers d'une conférence nationale souveraine qui, seule et en consultation référendaire avec le peuple, pourrait réviser la constitution et réformer le système politique gabonais de manière durable, consensuelle et progressiste. Le fait que Bongo et son régime aient unilatéralement changé la constitution sans consulter les Gabonais montre que Bongo n'est pas démocrate et qu'il a peur de la sanction électorale du peuple gabonais à un moment où le bongoïsme ne représente plus que 5% de la population gabonaise. Quand le moment sera venu, le BDP et tous les partisans du changement se chargeront eux-mêmes d'organiser une conférence nationale digne de ce nom qui décidera, une bonne fois pour toutes, de l'avenir du pays dans un esprit de paix, de dialogue et de réconciliation nationale. Le Gabon n'a pas besoin de l'accord de Bongo pour organiser une conférence nationale souveraine. 6) Le BDP ne reconnaît pas la légitimité de l'Etat mafia d'Omar Bongo. Nous considérons qu'Omar Bongo n'a jamais gagné d'élection au Gabon, qu'il est donc un président illégal et illégitime, et que nous sommes au Gabon dirigé par un dictateur imposteur qui s'est imposé à notre peuple pendant 37 ans, dictateur qui aujourd'hui fait tout pour devenir le roi du Gabon et mourir au pouvoir tout en s'assurant que ses enfants et complices continueront sa tache de destruction permanente de la nation gabonaise. Omar Bongo est un dictateur féroce pire que Saddam Hussein. Son régime devra donc être démantelé par tous les moyens possibles si le Gabon veut un jour retrouver sa dignité. Les Gabonais disent donc " non " à l'état " manioc " d'Omar Bongo. 7) Aucun membre du BDP n'est autorisé à rencontrer dans un cadre politique un représentant du régime Bongo ou négocier quoique ce soit avec Omar Bongo sans l'accord de la direction américaine du BDP-Gabon Nouveau. Toute personne qui rencontrerait ou pactiserait ouvertement ou en secret avec Omar Bongo et son régime ne peut être vue comme un membre du BDP et doit être considérée comme un traître ayant vendu la nation gabonaise à Omar Bongo. Le BDP-Gabon Nouveau et les Gabonais n'ont pas besoin de rencontrer Bongo, de négocier avec lui ou de le consulter pour changer le Gabon. Le Gabon se changera et se démocratisera, que Bongo le veuille ou pas. 8) Le BDP-Gabon Nouveau est un et indivisible, tout comme est une et indivisible la nation gabonaise. L'idéal du BDP, c'est le bien-être du Gabon et de tous les Gabonais, quelque soit leur appartenance politique, économique, raciale, sexuelle ou ethnique. Le BDP défend avec force l'idée de l'unité nationale dans un cadre qui permette à chacun de nos citoyens de s'épanouir et de rechercher librement et sans entraves le bonheur et le bien-être auxquels il a droit. Aucun régime ne doit et ne peut les priver de cette liberté de s'épanouir sur la base de leur créativité et de leurs aspirations. Parce que le régime Bongo constitue une entrave à l'épanouissement du Gabon et des Gabonais, tous les Gabonais qui pensent aujourd'hui que Bongo doit partir sont forcément du BDP. 9) Le BDP-Gabon Nouveau soutient que Bongo et son régime sont la principale cause du sous-développement au Gabon et qu'ils ont intentionnellement maintenu le Gabon dans un état de privation multiforme afin d'assouvir les rêves de puissance et d'enrichissement personnel de quelques familles. Ils ont ainsi transformé l'état gabonais en état mafia et menti aux Gabonais en leur disant que les caisses de l'état sont vides. Le BDP dit que c'est faux. L'argent des Gabonais est dans les comptes suisse de la famille Bongo et de leurs complices politiques. Il y a encore assez d'argent au Gabon pour faire en 5 ans ce que le régime Bongo n'a pas pu faire en 37 ans de pouvoir sans partage. Pour que notre peuple puisse vivre dans la décence et la dignité, les Gabonais disent désormais que " Bongo Doit Partir ". 10) Le BDP-Gabon Nouveau refuse la corruption et la trahison, car la corruption est un crime. Quand un responsable politique abandonne ses idéaux politiques pour prendre les 300 millions que lui donne Bongo pour le faire taire, ce responsable a pris l'argent qui aurait pu servir à sauver la vie des Gabonais. Donc, quand un enfant meurt de paludisme parce qu'il n'y a pas de médicaments à l'hôpital ou de dispensaire dans son village, on doit conclure que c'est Omar Bongo et ses complices corrompus qui l'ont tué. Quand un Gabonais meurt dans un accident de voiture parce que les routes gabonaises sont mauvaises, on doit conclure que c'est Omar Bongo et sa mafia gouvernementale qui l'ont tué. Quand une jeune fille de 12 ans est obligée de se prostituer pour survivre dans un pays comme le Gabon où le revenu par habitant est supérieur à celui de la Chine, alors on doit conclure qu'Omar Bongo et ses complices sont responsables de cette déchéance. La corruption est donc un crime car elle détourne l'argent du pays, tue les enfants, animalise le peuple et condamne les Gabonais à mort. En conséquence, et en vertu de l'esprit patriotique qui nous anime, nous Gabonais de toutes origines et appartenances politiques et ethniques nous engageons à protéger les intérêts supérieurs de la nation gabonaise en barrant le chemin du bongoïsme dictatorial et mafieux au Gabon par tous les moyens possibles. Nous déclarons donc, devant la nation et devant l'histoire, que " Bongo Doit Partir, pour la construction d'un Gabon Nouveau ". Fait le 10 juin 2004 à Montclair, New Jersey, USA Pour le Comité Directeur Dr. Daniel Mengara Coordonnateur BDP-Gabon Nouveau P.O. Box 3216 TCB West Orange, New Jersey 07052, USA Tel: 973-655-5143 Fax: 973-655-7909 Site: http://www.bdpgabon.org Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1296/39/ From protected at bdpgabon.org Sat Aug 16 04:29:38 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Sat, 16 Aug 2008 04:29:38 -0400 Subject: [BDPalabres] RETROSPECTIVE BDP - PARTIE 2: ERE DU RADICALISME REVOLUTIONNAIRE Message-ID: MESDAMES, MESSIEURS Les événements et péripéties majeurs de la vie du BDP-Gabon Nouveau depuis sa politisation en 2002. Visitez notre site pour plus encore. Ci-dessous, les principaux développements, de Janvier 2006 à décembre 2007, y compris les principaux articles de médias parlaent des activités du BDP-Gabon Nouveau. Le reste des activités et des articles du mouvement est trop vaste pour être présenté entièrement ici. Vous pouvez cependant visiter la catégorie "NEWS BDP" sur notre site (anciens et nouveau) pour encore plus de détails sur nos activités et nos prises de décision. PARTIE 2: ERE DU RADICALISME REVOLUTIONNAIRE Communiqué : Le BDP-Gabon Nouveau rejette l'invitation de rencontre au sommet d'Omar Bongo Source: BDP-Gabon Nouveau Dimanche 07 Octobre 2007 à 00:00 (BDP-Gabon Nouveau, 25 septembre 2007) - Le Comité Directeur du BDP-Gabon Nouveau, après consultation avec les divers responsables et organes du mouvement, a décidé de rejeter l'invitation faite au Dr. Daniel Mengara, président du BDP-Gabon Nouveau, par Omar Bongo pour une rencontre au sommet dans la semaine du 24 au 29 septembre. C'est en effet le 17 septembre 2007 que le Comité de Coordination nationale qui représente le BDP-Gabon Nouveau au Gabon a reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime demandant au Dr. Daniel Mengara d'aller rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l'occasion de la 62ème session de l'Assemblée générale des Nations Unies qui se déroulera du 25 septembre au 3 octobre 2007. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/5171/39/ Gabon: Le BDP, Mengara et les frères Bessacque Source: Le Peuple Jeudi 23 Août 2007 à 00:00 (Journal Le Peuple du 23 août 2007) Du BDP-Gabon Nouveau (Daniel Mengara) au BDP-Démocrate (Serge Bessacque), le mouvement basé au New Jersey (USA) a connu, de 2003 à 2005, des manoeuvres, tour à tour, déviationnistes, divisionnistes puis bassement mercantilistes. Sur la base d'un document que nous reproduisons in extenso, voici l'analyse livrée par la coordination nationale. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/5577/39/ BDP-Gabon Nouveau: La voie mengaratique Source: La Une Mardi 14 Août 2007 à 00:00 (Journal La Une du 14 août 2007) Réforme constitutionnelle, élections générales chapeautées par l'ONU, désignation d'un PM par le parlement... ainsi se décline la vision du Dr. Mengara depuis les USA. Attitude affectée du politique afro-amerloque des années soixante: strict costume-cravate et binocles d'intello à la Malcom X. Ainsi se présente le Dr. Daniel Mengara.... Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/5575/39/ BDP-Gabon Nouveau: Les Nkoulou à la peine, les Bessacque à la veine Source: La Une Mardi 14 Août 2007 à 00:00 (Journal La Une du 14 août 2007) Trahison, fourberie, militantisme en toc. La pratique d'escroquerie qui a failli engloutir le BDP... En 2003, les activités de la Coordination du parti du Dr. Mengara au Gabon, dénommée BDP-Démocrate [NDLR: Erreur du journal - A l'époque c'était BDP-Gabon Nouveau] débutent par le gnouf. .. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/5576/39/ Conférence de Presse du BDP-Gabon Nouveau à Libreville: Le BDP-Démocrate se dissout et réintègre le BDP-Gabon Nouveau Source: BDP-Gabon Nouveau Mardi 07 Août 2007 à 16:20 Libreville, le 31 juillet 2007 (BDP-Gabon Nouveau) - Le BDP-Gabon Nouveau a tenu, ce mardi 31 juillet 2007, une conférence de presse inédite au cours de laquelle les membres de l'ancien BDP-Démocrate ont décidé de dissoudre le BDP-Démocrate pour réintégrer le BDP-Gabon Nouveau. Le BDP-Démocrate, à l'instar du RDPG de Siméon Ekoga et du " Bongo Doit Présider " de Monsieur Edzidzi N'na, était un mouvement clone du BDP-Gabon Nouveau créé en 2004 par le régime Bongo pour essayer de barrer le chemin au BDP-Gabon Nouveau. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/5037/39/ Déclaration de presse de la Coordination Nationale du BDP-Gabon Nouveau du 31 juillet 2007 portant dissolution du BDP-Démocrate (Libreville, Gabon) Source: BDP-Gabon Nouveau Mardi 07 Août 2007 à 16:19 Libreville, le 31 juillet 2007 (BDP-Gabon Nouveau) - Monsieur Paskhal Nkoulou, nouveau Coordonnateur National a animé mardi 31 juillet 2007 un point presse durant lequel les membres du Comité de Coordination Nationale précédemment exclus ont réintégré le BDP-Gabon Nouveau après avoir prononcé la dissolution immédiate et irrévocable du BDP-Démocrate, un mouvement clone du BDP-Gabon Nouveau créé en 2004 par le régime Bongo pour barrer le chemin à notre mouvement. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/5038/39/ Gabon : Daniel Mengara, président du BDP, préconise de nouvelles réformes pour le Gabon Source: GabonEco Mercredi 01 Août 2007 à 23:51 Daniel Mengara, leader du mouvement politique "Bongo doit partir" (BDP), a fait connaître, à l’occasion d’une téléconférence conduite par M. Pascal Nkoulou, coordonnateur national de cette formation politique en quête de reconnaissance, une batterie de réformes institutionnelles susceptibles, selon lui, de conduire le Gabon à une véritable démocratie. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/5055/39/ RFI: "le cyber opposant Daniel Mengara a addressé au Président Sarkozy une lettre ouverte très critique contre le régime" Source: RFI / BDP-Gabon Nouveau Vendredi 27 Juillet 2007 à 17:02 Dans son journal Afrique de 05h30-06h00 TU, RFI a mentionné dans on reportage la voix discordante du BDP-Gabon Nouveau, dont le leader Daniel Mengara avait, il y a quelques jours, envoyé au lettre ouverte au président Sarkozy en prévision de sa visite au Gabon ce vendredi 27 juillet 2007. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/4990/39/ Censure de sites subversifs au Gabon: Réaction du Dr. Daniel Mengara sur VOA, la Voix de l'Amérique Source: Voix de l'Amérique / BDP-Gabon Nouveau Jeudi 02 Mars 2006 à 23:00 Contacté à chaud au téléphone aujourd'hui dans son bureau du New Jersey par la radio internationale américaine, la Voix de l'Amérique (VOA), le Dr. Daniel Mengara, Président du BDP-Gabon Nouveau, répond aux questions de la journaliste Lamia Gritli. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/3299/39/ Le Gabon interdit l'accès aux sites internet pornographiques et "subversifs" Soumis par: AFP Mardi 28 Février 2006 à 23:59 Le Conseil national de la communication (CNC) du Gabon a décidé d'interdire l'accès "aux sites internet pornographiques et subversifs", citant notamment un site d'opposants en exil accusé de lancer un "appel au terrorisme", a-t-on appris mardi auprès de son président. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/3296/39/ Gabon : Le CNC demande aux fournisseurs d'accès à Internet de bloquer l'accès au site www.lemamba.org et tout site pornographique Soumis par: Gabonews Vendredi 24 Février 2006 à 23:59 Le CNC a, dans un communiqué rendu public vendredi, interdit à tous les fournisseurs d'accès Internet au Gabon, d' « user de tous les moyens » pour interdire aux usagers d'ouvrir les sites Internet subversifs et pornographiques. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/3263/39/ From protected at bdpgabon.org Sat Aug 16 04:30:52 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Sat, 16 Aug 2008 04:30:52 -0400 Subject: [BDPalabres] RETROSPECTIVE BDP - PARTIE 1: ERE DES TRAHISONS Message-ID: MESDAMES, MESSIEURS (PARTIE 1) Les événements et péripéties majeurs de la vie du BDP-Gabon Nouveau depuis sa politisation en 2002. Visitez notre site pour plus encore. Ci-dessous, les principaux développements, de Juin 2003 à décembre 2005, y compris les principaux articles de médias parlaent des activités du BDP-Gabon Nouveau. Le reste des activités du mouvement est trop vaste pour être présenté entièrement ici. Vous pouvez cependant visiter la catégorie "NEWS BDP" sur notre site (anciens et nouveau) pour encore plus de détails sur nos activités et nos prises de décision. PARTIE 1: ERE DES TRAHISONS Le BDP-Gabon Nouveau ne reconnaît pas Omar Bongo comme président du Gabon Source: BDP Lundi 05 Décembre 2005 à 23:01 Les élections présidentielles des 25 et 27 novembre 2005 au Gabon furent frauduleuses et soutenues par un processus truqué, non transparent et corrompu, donc illégales et illégitimes". A ce titre, "Omar Bongo est un imposteur. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2784/39/ Siméon EKOGA,Président du RDPG, félicite Omar BONGO ONDIMBA pour sa brillante réélection… Source: Planète Afrique, 4 décembre 2005 Le Président Rassemblement Démocratique du Peuple Gabonais (RDPG) A la très haute attention de Son Excellence Omar BONGO ONDIMBA, Président de la République Gabonaise Monsieur le Président de la République, Le peuple gabonais vous a renouvelé encore une fois sa confiance lors des élections présidentielles des 25 et 27 novembre 2005. A cette occasion je voudrais, [...] Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/04/simeon-ekogapresident-du-rdpg-felicite-omar-bongo-ondimba-pour-sa-brillante-reelection/ Gabon: Bongo en campagne Source: Survie Mercredi 28 Septembre 2005 à 00:00 Non content d?avoir, selon des méthodes éprouvées, gonflé les listes électorales, verrouillé la nomination des présidents des commissions électorales, suspendu la parution du journal indépendant Le Messager, et imposé un changement d?équipe éditoriale en préalable à la reparution de ce dernier, le doyen des dictateurs françafricains « veut faire taire l?opposition gabonaise à Paris » [Le Monde, 21/09]. Un voeu anticipé par la préfecture de Paris qui a interdit un rassemblement du mouvement d?opposition en exil Bongo doit partir ? Gabon nouveau (BDP), prévu (et préalablement autorisé, selon les organisateurs) pour le 15 septembre. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/3062/39/ et http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/3063/39/ (suite du 2 novembre)) Crise politique au Gabon : Bongo veut refuser le droit de sortie à ses opposants Source: Le Potentiel Mercredi 21 Septembre 2005 à 00:00 Le président gabonais Omar Bongo Ondimba menace d'interdire la sortie des opposants à l'étranger où ils se permettent de le critiquer. Cette sanction concerne implicitement le mouvement «Bongo doit partir». Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2276/39/ Gabon: Vers l'interdiction de sortie du territoire aux politiques Source: PANA Lundi 19 Septembre 2005 à 13:45 Le président gabonais Omar Bongo Ondimba a préconisé dimanche à Libreville l'interdiction de sortie du territoire à tous les leaders politiques jusqu'à l'ouverture officielle de la campagne pour l'élection présidentielle de décembre prochain. On rappelle que la Préfecture de Police de Paris avait interdit jeudi dernier une manifestation prévue par le mouvement Bongo doit partir" (BDP-Gabon Nouveau) pour exiger le report et la transparence des prochaines consultations électorales au Gabon Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2261/39/ Les opposants bientôt interdits de sortie Source: Le Point Lundi 19 Septembre 2005 à 00:00 Le président gabonais Omar Bongo Ondimba a annoncé son intention d'interdire aux représentants de l'opposition de quitter le Gabon, dénonçant ceux qui vont "à l'extérieur pour dénigrer les gens, les insulter".. Selon le BDP, une manifestation programmée en France le 15 septembre a été interdite par la préfecture de police de Paris. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2275/39/ Rapport et photos de la manifestation du BDP-Gabon Nouveau à New York Soumis par: BDP Presse Vendredi 16 Septembre 2005 à 14:51 Les Gabonais et amis du Gabon se sont donc réunis à partir de 7h30 du matin pour manifester leur protestation contre la dictature bongoïste au Gabon, dans une atmosphère pacifique. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2247/39/ Une manifestation de l'opposition gabonaise interdite à Paris Source: PANA Jeudi 15 Septembre 2005 à 00:00 La Préfecture de Police de Paris a interdit une manifestation prévue jeudi par le mouvement politique "Bongo doit partir" (BDP-Gabon Nouveau) pour exiger le report et la transparence des élections au Gabon. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2253/39/ Interview du Dr. Daniel Mengara sur VOA: "Il faut reporter l'élection car les conditions de transparence ne sont tout simplement pas réunies" Source: Voix de l'Amérique / BDP Lundi 12 Septembre 2005 à 16:24 Dans une interview accordée vendredi à la Voix de l'Amérique, le Dr. Daniel Mengara fustige ce qu'il appelle les "listes électorales préfabriquées par le régime" et appelle à un report pur et simple de l'élection. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2241/39/ Rapport public succinct sur la trahison des membres récemment exclus du BDP-Gabon Nouveau Source: BDP-Gabon Nouveau Lundi 16 Août 2004 à 00:00 http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1301/39/ Le BDP-Gabon Nouveau exclue des membres coupables de trahison de sa structure Source: BDP Presse Samedi 14 Août 2004 Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1300/39/ Communiqué : Des Membres du BDP rencontrent Bongo: Le BDP-Gabon Nouveau condamne les imposteurs et les opportunistes Source: BDP-Gabon Nouveau Jeudi 10 Juin 2004 à 00:00 Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1296/39/ Le BDP rejette la sollicitation de rencontre au sommet d'Omar Bongo Source: BDP Presse Samedi 03 Janvier 2004 à 00:00 C'est en effet le 2 décembre 2003 que la direction américaine du BDP-Gabon Nouveau est contactée urgemment de Paris par un membre responsable du BDP au Gabon, Hughes Bessacque, membre dépêché expressément à Paris par le régime Bongo, tous frais payés. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1288/39/ Communiqué : Sortie de prison des membres du BDP-Gabon Nouveau Source: BDP-Presse Jeudi 02 Octobre 2003 à 00:00 Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1286/39/ Communiqué Amnesty International: Prisonniers d'opinion du BDP-Gabon Nouveau au Gabon Source: Amnesty International Mercredi 13 Août 2003 à 00:00 Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1282/39/ Harcèlement Politique : Réponse officielle du BDP à André Mba Obame et Omar Bongo Source: BDP-Gabon Nouveau Samedi 09 Août 2003 à 00:00 Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1281/39/ Communiqué: Le BDP-Gabon Nouveau dément les déclarations publiées dans l'Union du 19-20 juillet 2003 Source: BDP Presse Samedi 19 Juillet 2003 http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1277/39/ Communiqué : Clarifications : Il n'y a eu aucun ralliement du BDP-Gabon Nouveau à Omar Bongo Source: BDP Presse Vendredi 18 Juillet 2003 à 00:00 Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1276/39/ Les dirigeants du BDP décident de réintégrer la République Source: L'Union Vendredi 18 Juillet 2003 à 00:00 Reçus hier par le président Omar Bongo ils ont décidé de reconnaître la légalité constitutionnelle, de regagner le pays, et se joindre à l'effort de développement national. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2699/39/ Interview du Dr. Daniel Mengara sur la Voix de l'Amérique, Emission "Aujourd'hui l'Afrique centrale" Version audio de l'interview Source: Voix de l'Amérique / BDP Jeudi 17 Juillet 2003 à 00:00 Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1592/39/ Interview du Dr. Daniel Mengara sur la Voix de l'Amérique, Emission "Aujourd'hui l'Afrique centrale" Texte de l'interview Source: Voix de l'Amérique / BDP Jeudi 17 Juillet 2003 à 00:00 Au cours de la prochaine demi heure, « aujourd?hui l?Afrique centrale », arrestation à Libreville de militants du parti d?opposition en exil, BDP-Gabon Nouveau, qui avaient affiché des posters hostiles au président Bongo. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2698/39/ Distribution de tracts: cinq Gabonais déférés au Parquet et incarcéré Source: AFP Mercredi 16 Juillet 2003 à 00:00 Cinq Gabonais ont été déférés au Parquet à Libreville et incarcérés pour avoir distribué des tracts critiquant le président Omar Bongo, a-t-on appris mercredi de source judiciaire. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2697/39/ Le BDP décapité à Libreville Source: Le Peuple n° 27 Jeudi 10 Juillet 2003 à 00:00 Trois membres du mouvement d'opposition radicale en exil « Bongo Doit Partir » (BDP) ont été arrêtés le week-end écoulé à Libreville, alors que se tenait le meeting de clôture de la tournée républicaine. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1274/39/ Interpellation de deux militants de l'opposition selon leur parti Source: AFP Lundi 07 Juillet 2003 à 00:00 Le responsable d'un jeune parti de l'opposition gabonaise, Gérard Ella Nguema, et un autre militant ont été interpellés lundi à l'aube, a annoncé leur formation politique, le Rassemblement national des républicains (RNR). Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2694/39/ Journal Afrique RFI: La tournée d'Omar Bongo et le BDP-Gabon Nouveau Source: RFI Vendredi 04 Juillet 2003 « Il faut éviter les divisions, » a d'abord déclaré le chef de l'état en évoquant les slogans apparus récemment sur les murs de Libreville et qui affirment que « Bongo Doit Partir ». Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/429/39/ BDP-Gabon Nouveau: Okili-Boyer se fait Hara-Kiri Source: Le Peuple Mercredi 02 Juillet 2003 C'est le classique du retournement de veste version tropicale. Un opposant classé « pur et dur » du mouvement Bongo Doit Partir (BDP) joue honteusement la partition de Bongo Doit absolument Rester (BDR). Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2693/39/ Communiqué: Exclusion de messieurs Ekoga et Okili-Boyer Source: BDP-Gabon Nouveau Lundi 30 Juin 2003 Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1269/39/ Mise au point et clarifications officielles du BDP-Gabon Nouveau dans le cadre de la crise interne que traverse le mouvement Source: BDP-Gabon Nouveau Samedi 21 Juin 2003 à 00:00 Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1265/39/ Exclusion de Monsieur Siméon Ekoga du BDP-Gabon Nouveau Source: BDP. Tous droits réservés. Vendredi 20 Juin 2003 à 03:00 Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1264/39/ Lettre d'exclusion de Monsieur Siméon Ekoga du BDP-Gabon Nouveau Source: BDP. Tous droits réservés. Vendredi 20 Juin 2003 à 00:00 Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1263/39/ Opposition/BDP-Gabon Nouveau: Paul Okili Boyer se retire du combat politique Source: L'Union Vendredi 13 Juin 2003 à 00:00 NOUS avons reçu hier un communiqué de presse émanant de Paul Okili Boyer, un opposant de 30 ans, vivant en exil depuis 20 ans sur le territoire français et plus précisément à Avignon. Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2692/39/ Exclusion de Monsieur Okili-Boyer du BDP-Gabon Nouveau Le Comité Directeur du BDP-Gabon Nouveau, en vertu des droits et prérogatives qui sont les siennes et conformément au texte de la Charte constitutionnelle provisoire du BDP-Gabon Nouveau, constatant l?acte de haute trahison... Source: BDP Presse. Tous droits réservés. Mardi 10 Juin 2003 Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1261/39/ From protected at bdpgabon.org Sat Aug 16 04:32:30 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Sat, 16 Aug 2008 04:32:30 -0400 Subject: [BDPalabres] RETRO: Le BDP-Gabon Nouveau ne reconnaît pas Omar Bongo comme président du Gabon Message-ID: Lundi 05 Décembre 2005 (BDP Presse) C'est ce qui ressort des résolutions de la réunion du Comité Directeur du BDP-Gabon Nouveau, tenue de toute urgence et à titre extraordinaire le samedi 3 décembre 2005. Le texte des résolutions, publié aujourd'hui même sur le site du BDP-Gabon Nouveau, clarifie la position du BDP-Gabon Nouveau suite à la mascarade électorale qui a vu Omar Bongo frauduleusement reconduit à la tête de l'état Gabonais. Ainsi, note le Comité Directeur, "les élections présidentielles des 25 et 27 novembre 2005 au Gabon furent frauduleuses et soutenues par un processus truqué, non transparent et corrompu, donc illégales et illégitimes". A ce titre, "Omar Bongo est un imposteur et le BDP-Gabon Nouveau ne reconnaît pas Omar Bongo comme président de la république gabonaise". Le Comité Directeur charge ainsi le Dr. Daniel Mengara, nommé par la même occasion Président du BDP-Gabon Nouveau, de créer, dans un délai de deux semaines au maximum, "une structure militaire parallèle à la structure politique existante, c'est-à-dire d'une branche armée autonome du BDP-Gabon Nouveau inspirée de l'Umkhonto we Sizwe (" fer de lance de la nation "), branche armée de l'ANC de Nelson Mandela au moment de l'apartheid en Afrique du Sud ; le but de cette structure sera de rechercher le changement au Gabon par des moyens militaires et paramilitaires pour répondre de manière appropriée à l'agression bongoïste". Vu le fait que le BDP-Gabon Nouveau, depuis sa création en 1998, s'est primordialement activé dans le cadre d'une lutte purement politique avec des moyens pacifiques dans l'espoir d'insuffler à la nation gabonaise, et notamment au régime Bongo, l'idée de la nécessité d'une réforme démocratique et économique immédiate au Gabon pour éviter à notre pays de sombrer dans la guerre civile et vu le refus du régime Bongo de réformer le Gabon dans le sens démocratique souhaité par le BDP-Gabon Nouveau et l'écrasante majorité des Gabonais, le Comité Directeur a conclut que la seule réponse valable aujourd'hui réside dans la poursuite du combat politique par l'insurrection armée. Conclut le document, "fini donc, le temps où Omar Bongo pouvait gifler impunément les opposants et exiger que l'on tende l'autre joue à plus d'humiliation; fini le temps de l'impunité d'un régime qui a fait de la corruption, des brimades et de la répression policière et économique les instruments de sa dictature". Pour lire le texte des résolutions, cliquez ici: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2781/39/ BDP-Gabon Nouveau P.O. Box 3216 TCB West Orange, New Jersey 07052 USA Tel: 973-447-9766 / 973-655-5143 Fax: 973-447-9766 / 973-655-7909 Site: http://www.bdpgabon.org Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2784/39/ From protected at bdpgabon.org Sat Aug 16 04:34:37 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Sat, 16 Aug 2008 04:34:37 -0400 Subject: [BDPalabres] RETRO: Siméon EKOGA,Président du RDPG, félicite Omar BONGO ONDIMBA pour sa brillante réélection… Message-ID: Siméon EKOGA,Président du RDPG, félicite Omar BONGO ONDIMBA pour sa brillante réélection… Source: Planète Afrique, 4 décembre 2005 Le Président Rassemblement Démocratique du Peuple Gabonais (RDPG) A la très haute attention de Son Excellence Omar BONGO ONDIMBA, Président de la République Gabonaise Monsieur le Président de la République, Le peuple gabonais vous a renouvelé encore une fois sa confiance lors des élections présidentielles des 25 et 27 novembre 2005. A cette occasion je voudrais, au nom des militants et des cadres de mon parti, le Rassemblement Démocratique du Peuple Gabonais (RDPG), ainsi qu’à mon nom propre vous présenter mes vives félicitations et vous exprimer mes souhaits sincères de succès dans les actions que vous entreprendrez durant les sept prochaines années de votre nouveau mandat. Monsieur le Président de la République, Les populations gabonaises qui viennent de vous réélire avec panache, ont tenu à simplement vous réaffirmer leur satisfaction pour avoir édifié dans notre pays un Etat stable, structuré, où les droits et libertés sont promus et garantis, où l’amitié et la fraternité entre les différentes composantes de notre société sont chaque jour encouragées, où une politique économique et culturelle rationnelle et avisée a fait du Gabon une Nation respectée et, pourquoi pas, enviée. C’est pourquoi, Monsieur le Président de la République, comme je vous l’avais souligné lors de l’audience que vous m’avez accordée le 17 juillet 2003, je réaffirme que le Rassemblement Démocratique du Peuple Gabonais (RDPG) est certes un parti distinct du Parti Démocratique Gabonais (PDG), votre parti, mais que nous sommes un mouvement républicain, démocratique, patriotique, qui situe son action dans le renforcement de l’ouvre que vous avez accomplie et dans l’élargissement et la pérennisation des voies de développement durable que vous avez initiées et que vous poursuivez. Excellence, Il n’est pas donné à l’homme, être imparfait par essence, d’accomplir des ouvres parfaites ! Il lui est simplement demandé, là où Dieu l’a mis, de consacrer sa vie, son intelligence, toute son énergie à l’épanouissement matériel et moral de ses semblables, et d’abord de ceux que le Tout Puissant a placés sous sa responsabilité, dans la paix. En effet, comme vous l’avez rappelé avec insistance au cours de vos interventions pendant la campagne électorale, la paix est la base, le principe de tout effort de développement ; c’est elle en effet, grâce à l’esprit de tolérance et d’humilité, qui peut rassembler les volontés et les amener à la conception et à la réalisation de stratégies concertées pour l’avènement d’un Gabon à économie émergente, pour lequel nous devons tous travailler à vos cotés. Que Dieu vous accorde une longue vie et une santé solide pour la continuation du travail. Le Rassemblement Démocratique du Peuple Gabonais (RDPG) a décidé, de manière autonome, de converger avec vous dans cette perspective. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma parfaite considération. Fait à Paris le 30 novembre 2005 Siméon J. Francis EKOGA Président du Rassemblement Démocratique du Peuple Gabonais (RDPG) Site Web : www.rdpg.org Courriels : simeon.ekoga at rdpg.org et simekoga at rdpg.org Contacts téléphoniques : +33 6 19 93 28 62 - +33 6 14 97 50 18 - +33 1 74 73 69 60 Source: Planète Afrique Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/04/simeon-ekogapresident-du-rdpg-felicite-omar-bongo-ondimba-pour-sa-brillante-reelection/ From protected at yahoo.fr Sat Aug 16 13:32:39 2008 From: protected at yahoo.fr (Jean de Dieu Ndong) Date: Sat, 16 Aug 2008 13:32:39 -0400 Subject: [BDPalabres] RETRO: Siméon Ekoga: "[Bongo] Il nous a prodigué beaucoup de conseils, des conseils d'un père" Message-ID: Tsoouoooh! Merci, BDP, de nous informer. Depuis que je lis le RDPG de Siméon Ekoga, je ne savais pas tout ça. Ah, les Gabonais, toujours les mêmes. Quelle différence entre l'ancienne génération des Mba Abessolo et Mamboundou, et ces jeunes qui suive le même exemple? le pays est perdu. BDP-Gabon Nouveau a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Les dirigeants du BDP décident de réintégrer la République > > Source: L'Union > Vendredi 18 Juillet 2003 à 00:00 > > Reçus hier par le président Omar Bongo ils ont décidé de reconnaître la légalité constitutionnelle, de regagner le pays, et se joindre à l'effort de développement national. > > UNE délégation de responsables du Mouvement politique BDP basé en Europe a été reçu hier par le président Omar Bongo. Ces opposants, venus exprimer au président de la République leur regret par rapport à la ligne politique violente prise par leur mouvement, ont décidé de mettre fin à leur combat politique mené contre le chef de l'Etat, en reconnaissant la légalité constitutionnelle. "Nous avons fait des erreurs quant à notre manière de voir les choses. Nous nous sommes trompés. Aujourd'hui nous avons décidé de réintégrer la République et de travailler pour le pays", a lancé M. Ekogha, le nouveau président désigné lors du Congrès tenu à Bordeaux en France en juin dernier. Ce congrès a, selon lui, engagé les nouveaux responsables à rompre avec la "ligne violente" faite de tracts et autres pratiques illégales pour se lancer dans une action politique légale. M. Ekogha a, au sortir de cette audience, indiqué par la suite qu'ils ont été frappés par la grande sagesse et la compréhension dont a fait montre le président Bongo. " Il nous a prodigué beaucoup de conseils, des conseils d'un père". > > Lire le même article en mode scanné: http://www.bdpgabon.org/images/audiencetraitres.jpg > > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2699/39/ > > From protected at yahoo.fr Sat Aug 16 13:45:10 2008 From: protected at yahoo.fr (Martin Aboghé) Date: Sat, 16 Aug 2008 13:45:10 -0400 Subject: [BDPalabres] RETRO: Le BDP-Gabon Nouveau dément les déclarations publiées dans l'Union du 19-20 juillet 2003 Message-ID: Après avoir avidement lu certains de ces articles que vous nous offrez en rétrospective, dont certains m'étaient familiers, je reste sidéré devant la quantité d'énergie déployée par le régime Bongo pour défaire ce mouvement. C'est incroyable! Je reste tout autant admiratif du BDP d'avoir pu tenir le coup devant les énergies déployées par tout un état pour le détruire ! C'est à votre crédit, membres du BDP, d'avoir aussi bien maintenu votre ligne idéologique. Vous êtes des braves, il n'y a aucun doute. Cette rétrospective était devenue nécessaire, surtout pour des gens qui n'ont pas connu le BDP à ses débuts (et d'autre comme moi qui se sont un peu relachés dans leur curiosité). Je salue aussi le fait qu'il y a tout un sillage médiatique qui nous rassure sur votre parcours. je ne vois aucune déviation idéologique nulle part dans vos actes ou prises de paroles. Bravo! Martin Aboghé BDP-Gabon Nouveau a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Samedi 19 Juillet 2003 à 00:00 > > Dans divers articles du quotidien national bongoïste l'Union du 19-20 juillet 2003, plusieurs mensonges orchestrés par le régime Bongo et les traîtres qui se sont vendus à lui ont été publiés qui n'ont aucun fond de vérité et ne reposent sur aucune logique autre que celle qui consiste à mener une campagne d'intoxication à l'encontre de notre mouvement. Nous mettons d'ailleurs le quotidien national l'Union au défi de publier entièrement ce démenti qui lui a été envoyé par fax aujourd'hui même samedi 19 juillet 2003. > > La Direction du BDP-Gabon Nouveau, les Présidents de cellules, ainsi que les Ministres du Gouvernement de Salut National en exil tiennent à apporter les démentis suivants : > > - L'UNION ET BONGO CLAMENT QUE LE BDP-GABON NOUVEAU EST DISSOUT : Omar Bongo rêve ou alors vit ouvertement à la télévision et devant tout le monde son fantasme de voir le BDP disparaître. Il n'y a jamais eu de dissolution du BDP-Gabon Nouveau. A aucun moment ne s'est tenu au sein de notre mouvement un meeting de dissolution du BDP-Gabon Nouveau comme le prétendent l'Union et son commanditaire Omar Bongo. Le Congrès BDP de Bordeaux du 12 au 14 juin 2003 n'était ni une assise du parti, ni un Congrès constitutif. C'était plutôt un meeting de travail du Conseil des cellules du BDP-Gabon Nouveau. La Charte des membres du BDP définit le Conseil des cellules comme un organe consultatif dont les décisions sont soumises à l'arbitrage du Comité directeur et du Coordinateur. Il est donc techniquement et juridiquement impossible qu'un vote nominatoire, de défiance, électoral ou de dissolution ait été entrepris vu que de telles prérogatives ne sont pas celles du Conseil des cellules du BDP-Gabon Nouveau qui s'est réuni à Bordeaux. A ce que nous sachions, toute la structure connue du BDP reste intacte et on se demande où l'Union a été chercher son information sur la dissolution du BDP. Il suffit de se rendre sur le site du BDP (http://www.bdpgabon.org) pour se rendre compte qu'en dehors de Siméon Ekoga (exclu du BDP pour traîtrise le 20 juin 2003), Paul Okili-Boyer (Exclu du BDP pour traîtrise le 10 juin 2003) et Corneille Ollomo (démissionné du BDP pour incompétence en janvier 2003), la structure du BDP est intacte et le BDP continue de fonctionner normalement. Le BDP-Gabon Nouveau reste donc toujours le mouvement qu'il a toujours été, un et indivisible dans sa détermination à travailler au démantèlement du bongoïsme au Gabon. > > - L'UNION ET BONGO CLAMENT QUE LE BDP EST BASE EN FRANCE. Grossière et ridicule affirmation. Tout le monde sait que la Direction du BDP-Gabon Nouveau se trouve et a toujours été aux Etats-Unis. Les Gabonais savent depuis toujours que le BDP-Gabon Nouveau est un mouvement basé aux Etats-Unis et qui dispose de cellules de réflexion un peu partout dans le monde. Pour des raisons visibles aujourd'hui, le mouvement avait à sa création jugé utile, pour cause de protection et de nécessité de survie du BDP, de centraliser toute la logistique politique, matérielle, stratégique et financière du mouvement à partir des Etats-Unis, pays dans lequel les libertés individuelles et politiques sont mieux garanties et protégées qu'en France ou partout ailleurs, et où le régime Bongo ne jouit d'aucune considération particulière. D'ailleurs, sur le site du département d'état américain, le régime Bongo dans le rapport 2003 est décrit comme un régime dictatorial qui ne laisse pas beaucoup de libertés politiques à son peuple et gère tout d'une main de fer. La France s'étant souvent montrée complice du régime Bongo, l'Amérique devenait donc une terre d'asile naturelle puisque le BDP et tous les groupes politiques persécutés de par le monde y jouissent de protections constitutionnelles considérables. Le BDP-Gabon Nouveau n'a donc qu'une seule direction, et cette direction se trouve dans le New Jersey aux Etats-Unis. Il n'y a jamais eu de Direction européenne ou de Comité européen. Le BDP-Gabon Nouveau est doté de cellules individuelles en France, en Allemagne, en Angleterre, en Côte d'Ivoire, au Canada, aux USA, et au Gabon. Les cellules du BDP en Europe ne sont pas regroupées sous une direction européenne. Elles fonctionnent sur la base d'un modèle individuel décentralisé, mais rendent directement des comptes à la direction américaine du mouvement, dont le Coordonnateur est le Dr. Daniel Mengara. > > - L'UNION ET BONGO CLAMENT QUE SIMEON EKOGA ETAIT LE NUMERO 2 DU BDP. Cette affirmation n'est vraie que dans les rêves et fantasmes bongoliens. Le BDP-Gabon Nouveau n'a jamais eu de Numéro 2. Justement pour éviter que des aventuriers ne détournent le mouvement des ses idéaux, le BDP-Gabon Nouveau s'est organisé sur la base d'un modèle de cercles concentriques, et non hiérarchiques. La concentricité non hiérarchique du mouvement assurait donc que des opportunistes ne puissent, d'une part, utiliser le poids de leur poste pour casser le mouvement, et d'autre part, permettait de limiter l'accès à l'information stratégique. C'est ainsi que le mouvement a créé des cellules de réflexion qui, même si elles contribuaient à la structuration et consolidation politique et idéologique du mouvement, n'avaient cependant pas accès au type d'information stratégique qui aurait pu compromettre le mouvement. Ceci veut donc dire qu'en tant que chef de la cellule de Paris, Siméon Ekoga ne savait rien du BDP qui aurait pu mener à la révélation de ses structures secrètes. Il n'a donc pas grand-chose à donner à Bongo en dehors du honteux cirque politique auquel il se livre avec celui qui se dit aujourd'hui président du Gabon. Siméon Ekoga, en tant que chef de la cellule de Paris avant son exclusion ne pouvait non plus prétendre à des pouvoirs de numéro 2 puisque la gestion du pouvoir et de l'information au sein du BDP s'opère par cercles concentriques et non par hiérarchie. Par ailleurs, la Charte du BDP-Gabon Nouveau définit la direction du BDP-Gabon Nouveau comme un Comité Directeur dirigé par un Coordonnateur. Il n'y a donc pas au BDP de président ou de vice président, de numéro 1 ou de numéro 2, de direction européenne ou autre. Il y a uniquement un Coordonnateur qui est entouré par les membres du Comité Directeur, dont l'identité reste secrète et protégée. Le seul membre connu du Comité Directeur est le Dr. Daniel Mengara, qui assure la direction du mouvement et en Coordonne les activités. On ne sait donc pas sur quelle base Monsieur Siméon Ekoga se réclamerait président ou vice-président du BDP-Gabon Nouveau, vu que de tels postes n'existent pas. C'est donc là une usurpation de titre et un usage de faux sous la direction théâtrale d'Omar Bongo lui-même, obligé aujourd'hui de se transformer en maître des illusions et de la prestidigitation politique pour espérer détruire le BDP-Gabon Nouveau. L'acte est malheureusement démodé et les Gabonais ne sont plus dupes. > > - L'UNION ET BONGO ONT PRESENTE AU PAYS DES FAUSSAIRES. Si l'Union avait été un journal sérieux, il aurait au moins été vérifier sur le site du BDP (http://www.bdpgabon.org) pour se rendre compte qu'Omar Bongo et son régime ont présenté au pays des faussaires se réclamant du BDP-Gabon Nouveau. Des journalistes comme Lin-Joël Ndembet ne font donc pas honneur à leur profession en se faisant le relais de ce type de campagne d'intoxication. En effet, ni Siméon Ekoga (exclu du BDP pour traîtrise le 20 juin 2003), ni Corneille Ollomo (démissionné du BDP pour incompétence en janvier 2003) ne faisaient plus partie de notre mouvement et ceci aurait dû sauter aux yeux de n'importe quel journaliste respectable. Pire, les autres personnages présentés par l'Union et la RTG, notamment Engone Akoughey, Roméo Husingha Birinda et Raymond Camille Inwen sont totalement inconnus du BDP et n'ont jamais été membre de notre mouvement. Présenter ainsi Roméo Husingha Birinda comme le représentant du BDP au Canada est hautement surprenant, vu que tous ceux qui visitent le site du BDP savent depuis toujours que le représentant du BDP à Montréal est le Dr. Brice Ongali. > > - L'UNION ET BONGO ACCUSENT LE BDP DE HAINE TRIBALE ET DE VIOLENCE. Tous ceux qui visitent le site Internet du BDP ou lisent la pensée de notre mouvement savent que le BDP-Gabon Nouveau est tout, sauf un mouvement violent. Au contraire, le BDP-Gabon Nouveau essaie d'éviter à notre pays des violences en faisant comprendre aux acteurs politiques gabonais la nécessité de s'engager, dès maintenant, dans un dialogue national sincère dont le but serait de mettre en place, une bonne fois pour toutes, les bases saines d'une démocratie réelle et non manipulée. Notre site Internet et nos documents sont bourrés de propositions de révision constitutionnelle, de réforme politique et économique, de dialogue et de réconciliation nationale qui auraient pu, si Omar Bongo le désirait, mener à la consolidation de la démocratie au Gabon. Or, le refus répété du régime Bongo de démocratiser le Gabon, les arrestations arbitraires de nos membres encore en prison, les brimades politico-économiques des opposants et les modifications unilatérales de la constitution gabonaise par le régime Bongo, sont autant d'indications que le régime Bongo ne veut pas la paix au Gabon et se transforme de plus en plus en une dictature déclarée qui préfère la guerre à la réconciliation nationale. Le BDP en conclut donc que rien de bon ne peut plus se passer au Gabon tant que Bongo est au pouvoir, vu que cela fait 36 ans que ce régime refuse le changement et la transparence démocratique, préférant s'accrocher au pouvoir sans se soucier aucunement des souffrances quotidiennes des Gabonais. S'attaquer donc à Bongo n'est ni l'expression d'une haine tribale, ni un appel à la violence. Bongo n'est pas l'état gabonais. S'attaquer à Bongo c'est s'attaquer à la source du problème gabonais, vu que c'est Omar Bongo qui refuse de démocratiser le Gabon et qui attise les haines tribales en mettant les Gabonais les uns contre les autres, contredisant ainsi ses déclarations d'unité nationale. Un président démocrate n'arrête pas des Gabonais parce que des Gabonais disent que « Bongo Doit Partir ». « Bongo Doit Partir » est un thème politique comme un autre et tout Gabonais devrait se sentir libre de mener une campagne politique sur un tel thème s'il pense que Bongo ne fait pas le travail que les Gabonais attendent. Un président responsable ne marchande pas les fêtes de l'indépendance alors que son peuple vit dans la misère et meurt de SIDA. Un président responsable ne fait pas du théâtre sur les écrans de la télévision nationale pour présenter à la nation des supposés opposants ralliés à qui il a donné 300 millions de F CFA d'argent du peuple pour aller chanter le Mvett selon Saint Bongo dans les médias d'état à la solde du pouvoir. S'il y a donc violence au Gabon, cette violence se voit dans la dictature de l'arbitraire que le régime Bongo est en train d'instaurer chez nous. Cette violence est celle qui met en prison les Gabonais pour opinion politique ; cette violence c'est celle qui change unilatéralement la constitution du pays sans s'en référer au peuple ; cette violence c'est celle qui donne les 300 millions de francs CFA du peuple à quatre individus pour leur faire chanter le Mvett bongoïste alors que ces 300 millions auraient pu payer les médicaments dont le pays a besoin. Voilà pourquoi le BDP dit : « Bongo Doit Partir », car c'est de cette seule façon que notre peuple retrouvera sa dignité, dans un esprit de paix, de progrès, d'unité et de réconciliation nationale. > > APPEL A LA NATION > > Nous appelons donc encore une fois le peuple gabonais à la vigilance. De nombreuses personnes se présenteront à vous au nom du BDP, mais méfiez-vous. Le BDP-Gabon Nouveau ne renoncera jamais à ses idéaux de changement au Gabon. Le BDP-Gabon Nouveau est un mouvement de patriotes gabonais qui pensent aujourd'hui que « trop, c'est trop » et que « Bongo Doit Partir , pour la construction d'un Gabon nouveau ». Ainsi, quand quelqu'un se présentera à vous, posez-lui toujours la question de savoir s'il connaît et défend les 10 grands principes de base de notre mouvement. Ces 10 principes de base sont : > > 1) Rien de bon ne peut plus arriver au Gabon tant qu'Omar Bongo est au pouvoir. Si Omar Bongo n'a pas pu réformer et développer le Gabon en 36 ans, ce n'est pas dans les 5 ou 10 ans qu'il lui reste à vivre qu'il va le faire. Tout ce que dit Bongo aujourd'hui doit être rejeté comme nul et non avenu. > > 2) La condition préalable à tout changement positif et réel au Gabon passe avant tout par le départ d'Omar Bongo et de son régime du pouvoir, puisque ce régime est incapable de se démocratiser et a été incapable de développer le Gabon en 36 ans. Le BDP se doit donc de rechercher le départ du régime Bongo du pouvoir par tous les moyens possibles. > > 3) Omar Bongo n'est pas excusable et la faute du désastre gabonais ne peut être rejetée sur son entourage. Quand votre chien mord l'enfant du voisin, on vous tient responsable de l'acte de votre chien. Or, Omar Bongo laisse les « chiens » de son régime « mordre » les Gabonais en toute impunité. Il se fait donc ainsi le complice de leurs crimes, crimes qui s'ajoutent aux siens propres. Omar Bongo est donc le premier criminel du Gabon et doit être tenu responsable de la débâcle et de la déchéance politique, économique, sociale et culturelle de notre pays. > > 4) Aucune élection ne doit se tenir au Gabon tant qu'il n'y a pas eu de réelles réformes et aucun Gabonais ne doit plus se rendre aux urnes pour voter dans des élections organisées par le régime Bongo. Mieux, tout gabonais patriote devra, le moment venu, tout faire pour non seulement boycotter, mais aussi empêcher la tenue de toute élection organisée unilatéralement par le régime Bongo et ses complices de la convivialité. Quand le moment sera venu, le BDP et tous les partisans du changement organiseront eux-mêmes des élections dignes de ce nom au Gabon. > > 5) Les Gabonais doivent rejeter avec force toute idée de refondation proposée par le régime Bongo. Si le régime Bongo n'a pas pu se « refondre » en 36 ans, il ne pourra pas le faire en l'espace d'un meeting politique. On ne doit plus faire confiance à ce régime. La seule idée valable au Gabon aujourd'hui est l'idée d'une véritable réforme décidée par le peuple gabonais au travers d'une conférence nationale souveraine qui, seule et en consultation avec le peuple, pourrait réviser la constitution et réformer le système politique gabonais de manière durable, consensuelle et progressiste. Quand le moment sera venu, le BDP et tous les partisans du changement se chargeront d'organiser une conférence nationale digne de ce nom qui décidera, une bonne fois pour toutes, de l'avenir du pays dans un esprit de réconciliation nationale. > > 6) Le BDP ne reconnaît pas la légitimité de l'Etat Bongo. Nous considérons qu'Omar Bongo n'a jamais gagné d'élection au Gabon, qu'il est donc un président illégal et illégitime, et que nous sommes au Gabon dirigé par un dictateur qui s'est imposé à notre peuple pendant 36 ans, dictateur qui aujourd'hui fait tout pour devenir le roi du Gabon et mourir au pouvoir tout en s'assurant que ses enfants et complices continueront sa tache de destruction permanente de la nation gabonaise. Omar Bongo est un dictateur féroce pire que Saddam Hussein. Son régime devra donc être démantelé par tous les moyens possibles si le Gabon veut un jour retrouver sa dignité. > > 7) Aucun membre du BDP n'est autorisé à rencontrer dans un cadre politique ou négocier quoique ce soit avec Omar Bongo ou un représentant de son régime sans l'accord de la direction américaine du BDP-Gabon Nouveau. Toute personne qui rencontrerait ou pactiserait avec Omar Bongo ou son régime ne peut être vue comme un membre du BDP et doit être considérée comme un traître ayant vendu la nation gabonaise à Omar Bongo. > > 8) Le BDP-Gabon Nouveau est un et indivisible, tout comme est une et indivisible la nation gabonaise. L'idéal du BDP, c'est le bien-être du Gabon et de tous les Gabonais, quelque soit leur appartenance politique, économique, raciale, sexuelle ou ethnique. Le BDP défend avec force l'idée de l'unité nationale dans un cadre qui permette à chacun de nos citoyens de s'épanouir et de rechercher librement et sans entrave le bonheur et le bien-être. > > 9) Le BDP-Gabon Nouveau soutient que Bongo et son régime sont la cause du sous-développement au Gabon et qu'ils ont intentionnellement maintenu le Gabon dans un état de privation multiforme afin d'assouvir les rêves de puissances et d'enrichissement de quelques familles. Ils ont ainsi transformé l'état gabonais en état mafia et menti aux Gabonais en leur disant que les caisses de l'état sont vides. Le BDP dit que c'est faux. Il y a encore assez d'argent au Gabon pour faire en 5 ans ce que le régime Bongo n'a pas pu faire en 36 ans de pouvoir sans partage. > > 10) Le BDP-Gabon Nouveau refuse la corruption et la trahison, car la corruption est un crime. Quand un responsable politique abandonne ses idéaux politiques pour prendre les 300 millions que lui donne Bongo pour le faire taire, ce responsable a pris l'argent qui aurait pu servir à sauver la vie des Gabonais. Donc, quand un enfant meurt de paludisme parce qu'il n'y a pas de médicaments à l'hôpital ou de dispensaire dans son village, on doit conclure que c'est Omar Bongo et ses complices corrompus qui l'ont tué. Quand un Gabonais meurt dans un accident de voiture parce que les routes gabonaises sont mauvaises, on doit conclure que c'est Omar Bongo et ses complices corrompus qui l'ont tué. Quand une Gabonaise meurt de stress, parce qu'elle n'arrive pas à trouver du travail à cause de la mauvaise gestion et des détournements de fonds du régime Bongo, on doit conclure que c'est Omar Bongo et son régime de corrompus qui l'ont tuée. Quand une jeune fille de 12 ans est obligée de se prostituer pour survivre dans un pays comme le Gabon où le revenu par habitant est supérieur à celui de la Chine, alors on doit conclure qu'Omar Bongo et ses complices sont responsables de cette déchéance. La corruption est donc un crime car elle détourne l'argent du pays et animalise les Gabonais. Et quand Bongo donne 300 millions aux opposants pour les corrompre, il condamne les Gabonais à mort. > > Ce sont donc là, chers compatriotes, les grands principes de patriotisme qui doivent toujours guider la démarche des bédépistes. Il ne s'agit plus aujourd'hui de se compromettre, mais de construire. Si Bongo ne veut pas construire, il doit être mis en quarantaine par nous tous, Gabonais. Le travail de libération du pays nous incombe à tous. Ce ne sera pas les étrangers qui viendront nous libérer, mais nous-mêmes. Refusons donc aujourd'hui la corruption, la traîtrise et les compromissions qui condamnent notre pays au calvaire bongoïste. Embrassons la réforme, même si pour cela nous devons faire la révolution. Le BDP restera fidèle à lui-même, c'est-à-dire patriote et incorruptible. Toute personne qui se réclame du BDP en pensée ou en action doit être capable de soutenir et de défendre les 10 principes de base du BDP et défendre notre pays contre l'agression bongoïste. Si, donc, une personne se présente à vous en tenant des discours contraires ou des discours convivialistes, c'est que cette personne n'est pas du BDP ou alors c'est que cette personne s'est faite acheter par le régime Bongo. Il vous faut donc vous méfier de cette personne et de toujours rappeler à tous les 10 principes qui guident notre action patriotique. > > Pour finir, nous dirons que des journalistes payés par Omar Bongo comme Lin-Joël Ndembet devraient avoir honte de se faire le relais d'un régime aussi bestial que celui d'Omar Bongo. Un régime qui ne recule devant rien pour corrompre, assassiner, emprisonner, voler, brimer et détruire le Gabon dans son âme et dans son corps. En tant que citoyens payés par les impôts du contribuable gabonais, les journalistes de l'Union se doivent à un devoir de neutralité républicaine et de faire des reportages qui tiennent la route de par leur sérieux et leur profondeur. Le théâtre bongoïste dont le quotidien national l'Union, un organe étatique, se fait honteusement le relais intoxicateur aujourd'hui n'honore aucunement le journalisme dans notre pays. > > Vive le Gabon. > Vive le peuple gabonais. > Vive la nouvelle république. > > Fait le samedi 19 juin 2003 à Montclair, New Jersey, USA > Pour le Comité Directeur, le Gouvernement de Salut National en exil et l'ensemble des organes et membres du BDP-Gabon Nouveau > > Dr. Daniel Mengara > Coordonnateur > > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1277/39/ From protected at yahoo.com Sun Aug 17 09:40:05 2008 From: protected at yahoo.com (Arnaud Mapangou) Date: Sun, 17 Aug 2008 09:40:05 -0400 Subject: [BDPalabres] RETROSPECTIVE BDP - PARTIE 1: ERE DES TRAHISONS Message-ID: Excellent travail de recentrage. Très informatif. Merci. BDP-Gabon Nouveau wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > MESDAMES, MESSIEURS (PARTIE 1) > > Les événements et péripéties majeurs de la vie du BDP-Gabon Nouveau depuis sa politisation en 2002. Visitez notre site pour plus encore. Ci-dessous, les principaux développements, de Juin 2003 à décembre 2005, y compris les principaux articles de médias parlaent des activités du BDP-Gabon Nouveau. Le reste des activités du mouvement est trop vaste pour être présenté entièrement ici. Vous pouvez cependant visiter la catégorie "NEWS BDP" sur notre site (anciens et nouveau) pour encore plus de détails sur nos activités et nos prises de décision. > > PARTIE 1: ERE DES TRAHISONS > > Le BDP-Gabon Nouveau ne reconnaît pas Omar Bongo comme président du Gabon > Source: BDP > Lundi 05 Décembre 2005 à 23:01 > Les élections présidentielles des 25 et 27 novembre 2005 au Gabon furent frauduleuses et soutenues par un processus truqué, non transparent et corrompu, donc illégales et illégitimes". A ce titre, "Omar Bongo est un imposteur. > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2784/39/ > > Siméon EKOGA,Président du RDPG, félicite Omar BONGO ONDIMBA pour sa brillante réélection… > Source: Planète Afrique, 4 décembre 2005 > Le Président Rassemblement Démocratique du Peuple Gabonais (RDPG) A la très haute attention de Son Excellence Omar BONGO ONDIMBA, Président de la République Gabonaise Monsieur le Président de la République, Le peuple gabonais vous a renouvelé encore une fois sa confiance lors des élections présidentielles des 25 et 27 novembre 2005. A cette occasion je voudrais, [...] > Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2005/12/04/simeon-ekogapresident-du-rdpg-felicite-omar-bongo-ondimba-pour-sa-brillante-reelection/ > > Gabon: Bongo en campagne > Source: Survie > Mercredi 28 Septembre 2005 à 00:00 > Non content d?avoir, selon des méthodes éprouvées, gonflé les listes électorales, verrouillé la nomination des présidents des commissions électorales, suspendu la parution du journal indépendant Le Messager, et imposé un changement d?équipe éditoriale en préalable à la reparution de ce dernier, le doyen des dictateurs françafricains « veut faire taire l?opposition gabonaise à Paris » [Le Monde, 21/09]. > Un voeu anticipé par la préfecture de Paris qui a interdit un rassemblement du mouvement d?opposition en exil Bongo doit partir ? Gabon nouveau (BDP), prévu (et préalablement autorisé, selon les organisateurs) pour le 15 septembre. > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/3062/39/ et http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/3063/39/ (suite du 2 novembre)) > > Crise politique au Gabon : Bongo veut refuser le droit de sortie à ses opposants > Source: Le Potentiel > Mercredi 21 Septembre 2005 à 00:00 > Le président gabonais Omar Bongo Ondimba menace d'interdire la sortie des opposants à l'étranger où ils se permettent de le critiquer. Cette sanction concerne implicitement le mouvement «Bongo doit partir». > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2276/39/ > > Gabon: Vers l'interdiction de sortie du territoire aux politiques > Source: PANA > Lundi 19 Septembre 2005 à 13:45 > Le président gabonais Omar Bongo Ondimba a préconisé dimanche à Libreville l'interdiction de sortie du territoire à tous les leaders politiques jusqu'à l'ouverture officielle de la campagne pour l'élection présidentielle de décembre prochain. On rappelle que la Préfecture de Police de Paris avait interdit jeudi dernier une manifestation prévue par le mouvement Bongo doit partir" (BDP-Gabon Nouveau) pour exiger le report et la transparence des prochaines consultations électorales au Gabon > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2261/39/ > > Les opposants bientôt interdits de sortie > Source: Le Point > Lundi 19 Septembre 2005 à 00:00 > Le président gabonais Omar Bongo Ondimba a annoncé son intention d'interdire aux représentants de l'opposition de quitter le Gabon, dénonçant ceux qui vont "à l'extérieur pour dénigrer les gens, les insulter".. Selon le BDP, une manifestation programmée en France le 15 septembre a été interdite par la préfecture de police de Paris. > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2275/39/ > > Rapport et photos de la manifestation du BDP-Gabon Nouveau à New York > Soumis par: BDP Presse > Vendredi 16 Septembre 2005 à 14:51 > Les Gabonais et amis du Gabon se sont donc réunis à partir de 7h30 du matin pour manifester leur protestation contre la dictature bongoïste au Gabon, dans une atmosphère pacifique. > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2247/39/ > > Une manifestation de l'opposition gabonaise interdite à Paris > Source: PANA > Jeudi 15 Septembre 2005 à 00:00 > La Préfecture de Police de Paris a interdit une manifestation prévue jeudi par le mouvement politique "Bongo doit partir" (BDP-Gabon Nouveau) pour exiger le report et la transparence des élections au Gabon. > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2253/39/ > > Interview du Dr. Daniel Mengara sur VOA: "Il faut reporter l'élection car les conditions de transparence ne sont tout simplement pas réunies" > Source: Voix de l'Amérique / BDP > Lundi 12 Septembre 2005 à 16:24 > Dans une interview accordée vendredi à la Voix de l'Amérique, le Dr. Daniel Mengara fustige ce qu'il appelle les "listes électorales préfabriquées par le régime" et appelle à un report pur et simple de l'élection. > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2241/39/ > > Rapport public succinct sur la trahison des membres récemment exclus du BDP-Gabon Nouveau > Source: BDP-Gabon Nouveau > Lundi 16 Août 2004 à 00:00 > http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1301/39/ > > Le BDP-Gabon Nouveau exclue des membres coupables de trahison de sa structure > Source: BDP Presse > Samedi 14 Août 2004 > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1300/39/ > > Communiqué : Des Membres du BDP rencontrent Bongo: Le BDP-Gabon Nouveau condamne les imposteurs et les opportunistes > Source: BDP-Gabon Nouveau > Jeudi 10 Juin 2004 à 00:00 > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1296/39/ > > Le BDP rejette la sollicitation de rencontre au sommet d'Omar Bongo > Source: BDP Presse > Samedi 03 Janvier 2004 à 00:00 > C'est en effet le 2 décembre 2003 que la direction américaine du BDP-Gabon Nouveau est contactée urgemment de Paris par un membre responsable du BDP au Gabon, Hughes Bessacque, membre dépêché expressément à Paris par le régime Bongo, tous frais payés. > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1288/39/ > > Communiqué : Sortie de prison des membres du BDP-Gabon Nouveau > Source: BDP-Presse > Jeudi 02 Octobre 2003 à 00:00 > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1286/39/ > > Communiqué Amnesty International: Prisonniers d'opinion du BDP-Gabon Nouveau au Gabon > Source: Amnesty International > Mercredi 13 Août 2003 à 00:00 > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1282/39/ > > Harcèlement Politique : Réponse officielle du BDP à André Mba Obame et Omar Bongo > Source: BDP-Gabon Nouveau > Samedi 09 Août 2003 à 00:00 > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1281/39/ > > Communiqué: Le BDP-Gabon Nouveau dément les déclarations publiées dans l'Union du 19-20 juillet 2003 > Source: BDP Presse > Samedi 19 Juillet 2003 > http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1277/39/ > > Communiqué : Clarifications : Il n'y a eu aucun ralliement du BDP-Gabon Nouveau à Omar Bongo > Source: BDP Presse > Vendredi 18 Juillet 2003 à 00:00 > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1276/39/ > > Les dirigeants du BDP décident de réintégrer la République > Source: L'Union > Vendredi 18 Juillet 2003 à 00:00 > Reçus hier par le président Omar Bongo ils ont décidé de reconnaître la légalité constitutionnelle, de regagner le pays, et se joindre à l'effort de développement national. > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2699/39/ > > Interview du Dr. Daniel Mengara sur la Voix de l'Amérique, Emission "Aujourd'hui l'Afrique centrale" > Version audio de l'interview > Source: Voix de l'Amérique / BDP > Jeudi 17 Juillet 2003 à 00:00 > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1592/39/ > > Interview du Dr. Daniel Mengara sur la Voix de l'Amérique, Emission "Aujourd'hui l'Afrique centrale" > Texte de l'interview > Source: Voix de l'Amérique / BDP > Jeudi 17 Juillet 2003 à 00:00 > Au cours de la prochaine demi heure, « aujourd?hui l?Afrique centrale », arrestation à Libreville de militants du parti d?opposition en exil, BDP-Gabon Nouveau, qui avaient affiché des posters hostiles au président Bongo. > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2698/39/ > > Distribution de tracts: cinq Gabonais déférés au Parquet et incarcéré > Source: AFP > Mercredi 16 Juillet 2003 à 00:00 > Cinq Gabonais ont été déférés au Parquet à Libreville et incarcérés pour avoir distribué des tracts critiquant le président Omar Bongo, a-t-on appris mercredi de source judiciaire. > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2697/39/ > > Le BDP décapité à Libreville > Source: Le Peuple n° 27 > Jeudi 10 Juillet 2003 à 00:00 > Trois membres du mouvement d'opposition radicale en exil « Bongo Doit Partir » (BDP) ont été arrêtés le week-end écoulé à Libreville, alors que se tenait le meeting de clôture de la tournée républicaine. > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1274/39/ > > Interpellation de deux militants de l'opposition selon leur parti > Source: AFP > Lundi 07 Juillet 2003 à 00:00 > Le responsable d'un jeune parti de l'opposition gabonaise, Gérard Ella Nguema, et un autre militant ont été interpellés lundi à l'aube, a annoncé leur formation politique, le Rassemblement national des républicains (RNR). > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2694/39/ > > Journal Afrique RFI: La tournée d'Omar Bongo et le BDP-Gabon Nouveau > Source: RFI > Vendredi 04 Juillet 2003 > « Il faut éviter les divisions, » a d'abord déclaré le chef de l'état en évoquant les slogans apparus récemment sur les murs de Libreville et qui affirment que « Bongo Doit Partir ». > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/429/39/ > > BDP-Gabon Nouveau: Okili-Boyer se fait Hara-Kiri > Source: Le Peuple > Mercredi 02 Juillet 2003 > C'est le classique du retournement de veste version tropicale. Un opposant classé « pur et dur » du mouvement Bongo Doit Partir (BDP) joue honteusement la partition de Bongo Doit absolument Rester (BDR). > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2693/39/ > > Communiqué: Exclusion de messieurs Ekoga et Okili-Boyer > Source: BDP-Gabon Nouveau > Lundi 30 Juin 2003 > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1269/39/ > > Mise au point et clarifications officielles du BDP-Gabon Nouveau dans le cadre de la crise interne que traverse le mouvement > Source: BDP-Gabon Nouveau > Samedi 21 Juin 2003 à 00:00 > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1265/39/ > > Exclusion de Monsieur Siméon Ekoga du BDP-Gabon Nouveau > Source: BDP. Tous droits réservés. > Vendredi 20 Juin 2003 à 03:00 > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1264/39/ > > Lettre d'exclusion de Monsieur Siméon Ekoga du BDP-Gabon Nouveau > Source: BDP. Tous droits réservés. > Vendredi 20 Juin 2003 à 00:00 > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1263/39/ > > Opposition/BDP-Gabon Nouveau: Paul Okili Boyer se retire du combat politique > Source: L'Union > Vendredi 13 Juin 2003 à 00:00 > NOUS avons reçu hier un communiqué de presse émanant de Paul Okili Boyer, un opposant de 30 ans, vivant en exil depuis 20 ans sur le territoire français et plus précisément à Avignon. > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/2692/39/ > > Exclusion de Monsieur Okili-Boyer du BDP-Gabon Nouveau > Le Comité Directeur du BDP-Gabon Nouveau, en vertu des droits et prérogatives qui sont les siennes et conformément au texte de la Charte constitutionnelle provisoire du BDP-Gabon Nouveau, constatant l?acte de haute trahison... > Source: BDP Presse. Tous droits réservés. > Mardi 10 Juin 2003 > Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1261/39/ From protected at yahoo.fr Mon Aug 18 15:54:37 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Mon, 18 Aug 2008 15:54:37 -0400 Subject: [BDPalabres] RETRO: Le BDP-Gabon Nouveau dément les déclarations publiées dans l'Union du 19-20 juillet 2003 Message-ID: Cher BDP, J'ai eu toujours du mal à formuler l'idéologie dominante du régime en place au Gabon. C'est un régime qui absorbe tant de personalités hétéroclites. En vous lisant, je me rends compte que la notion de corruption suffit largement à le qualifier et à expliquer les comportements observés à tous les niveaux et dans tous les domaines de la vie publique ou privée ainsi que toutes les composantes de la société gabonaise. Il est curieux qu'au bout de toutes ces années et malgré les efforts des uns et des autres, il ait été si difficile d'identifier ou d'appliquer un antidote. Très curieux!!!... Cela mérite la rédaction d'une thèse d'Histoire économique sur l'impact de la corruption au Gabon. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Sam 16.8.08, BDP-Gabon Nouveau a écrit : De: BDP-Gabon Nouveau Objet: [BDPalabres] RETRO: Le BDP-Gabon Nouveau dément les déclarations publiées dans l'Union du 19-20 juillet 2003 À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Samedi 16 Août 2008, 8h52 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ Samedi 19 Juillet 2003 à 00:00 Dans divers articles du quotidien national bongoïste l'Union du 19-20 juillet 2003, plusieurs mensonges orchestrés par le régime Bongo et les traîtres qui se sont vendus à lui ont été publiés qui n'ont aucun fond de vérité et ne reposent sur aucune logique autre que celle qui consiste à mener une campagne d'intoxication à l'encontre de notre mouvement. Nous mettons d'ailleurs le quotidien national l'Union au défi de publier entièrement ce démenti qui lui a été envoyé par fax aujourd'hui même samedi 19 juillet 2003. La Direction du BDP-Gabon Nouveau, les Présidents de cellules, ainsi que les Ministres du Gouvernement de Salut National en exil tiennent à apporter les démentis suivants : - L'UNION ET BONGO CLAMENT QUE LE BDP-GABON NOUVEAU EST DISSOUT : Omar Bongo rêve ou alors vit ouvertement à la télévision et devant tout le monde son fantasme de voir le BDP disparaître. Il n'y a jamais eu de dissolution du BDP-Gabon Nouveau. A aucun moment ne s'est tenu au sein de notre mouvement un meeting de dissolution du BDP-Gabon Nouveau comme le prétendent l'Union et son commanditaire Omar Bongo. Le Congrès BDP de Bordeaux du 12 au 14 juin 2003 n'était ni une assise du parti, ni un Congrès constitutif. C'était plutôt un meeting de travail du Conseil des cellules du BDP-Gabon Nouveau. La Charte des membres du BDP définit le Conseil des cellules comme un organe consultatif dont les décisions sont soumises à l'arbitrage du Comité directeur et du Coordinateur. Il est donc techniquement et juridiquement impossible qu'un vote nominatoire, de défiance, électoral ou de dissolution ait été entrepris vu que de telles prérogatives ne sont pas celles du Conseil des cellules du BDP-Gabon Nouveau qui s'est réuni à Bordeaux. A ce que nous sachions, toute la structure connue du BDP reste intacte et on se demande où l'Union a été chercher son information sur la dissolution du BDP. Il suffit de se rendre sur le site du BDP (http://www.bdpgabon.org) pour se rendre compte qu'en dehors de Siméon Ekoga (exclu du BDP pour traîtrise le 20 juin 2003), Paul Okili-Boyer (Exclu du BDP pour traîtrise le 10 juin 2003) et Corneille Ollomo (démissionné du BDP pour incompétence en janvier 2003), la structure du BDP est intacte et le BDP continue de fonctionner normalement. Le BDP-Gabon Nouveau reste donc toujours le mouvement qu'il a toujours été, un et indivisible dans sa détermination à travailler au démantèlement du bongoïsme au Gabon. - L'UNION ET BONGO CLAMENT QUE LE BDP EST BASE EN FRANCE. Grossière et ridicule affirmation. Tout le monde sait que la Direction du BDP-Gabon Nouveau se trouve et a toujours été aux Etats-Unis. Les Gabonais savent depuis toujours que le BDP-Gabon Nouveau est un mouvement basé aux Etats-Unis et qui dispose de cellules de réflexion un peu partout dans le monde. Pour des raisons visibles aujourd'hui, le mouvement avait à sa création jugé utile, pour cause de protection et de nécessité de survie du BDP, de centraliser toute la logistique politique, matérielle, stratégique et financière du mouvement à partir des Etats-Unis, pays dans lequel les libertés individuelles et politiques sont mieux garanties et protégées qu'en France ou partout ailleurs, et où le régime Bongo ne jouit d'aucune considération particulière. D'ailleurs, sur le site du département d'état américain, le régime Bongo dans le rapport 2003 est décrit comme un régime dictatorial qui ne laisse pas beaucoup de libertés politiques à son peuple et gère tout d'une main de fer. La France s'étant souvent montrée complice du régime Bongo, l'Amérique devenait donc une terre d'asile naturelle puisque le BDP et tous les groupes politiques persécutés de par le monde y jouissent de protections constitutionnelles considérables. Le BDP-Gabon Nouveau n'a donc qu'une seule direction, et cette direction se trouve dans le New Jersey aux Etats-Unis. Il n'y a jamais eu de Direction européenne ou de Comité européen. Le BDP-Gabon Nouveau est doté de cellules individuelles en France, en Allemagne, en Angleterre, en Côte d'Ivoire, au Canada, aux USA, et au Gabon. Les cellules du BDP en Europe ne sont pas regroupées sous une direction européenne. Elles fonctionnent sur la base d'un modèle individuel décentralisé, mais rendent directement des comptes à la direction américaine du mouvement, dont le Coordonnateur est le Dr. Daniel Mengara. - L'UNION ET BONGO CLAMENT QUE SIMEON EKOGA ETAIT LE NUMERO 2 DU BDP. Cette affirmation n'est vraie que dans les rêves et fantasmes bongoliens. Le BDP-Gabon Nouveau n'a jamais eu de Numéro 2. Justement pour éviter que des aventuriers ne détournent le mouvement des ses idéaux, le BDP-Gabon Nouveau s'est organisé sur la base d'un modèle de cercles concentriques, et non hiérarchiques. La concentricité non hiérarchique du mouvement assurait donc que des opportunistes ne puissent, d'une part, utiliser le poids de leur poste pour casser le mouvement, et d'autre part, permettait de limiter l'accès à l'information stratégique. C'est ainsi que le mouvement a créé des cellules de réflexion qui, même si elles contribuaient à la structuration et consolidation politique et idéologique du mouvement, n'avaient cependant pas accès au type d'information stratégique qui aurait pu compromettre le mouvement. Ceci veut donc dire qu'en tant que chef de la cellule de Paris, Siméon Ekoga ne savait rien du BDP qui aurait pu mener à la révélation de ses structures secrètes. Il n'a donc pas grand-chose à donner à Bongo en dehors du honteux cirque politique auquel il se livre avec celui qui se dit aujourd'hui président du Gabon. Siméon Ekoga, en tant que chef de la cellule de Paris avant son exclusion ne pouvait non plus prétendre à des pouvoirs de numéro 2 puisque la gestion du pouvoir et de l'information au sein du BDP s'opère par cercles concentriques et non par hiérarchie. Par ailleurs, la Charte du BDP-Gabon Nouveau définit la direction du BDP-Gabon Nouveau comme un Comité Directeur dirigé par un Coordonnateur. Il n'y a donc pas au BDP de président ou de vice président, de numéro 1 ou de numéro 2, de direction européenne ou autre. Il y a uniquement un Coordonnateur qui est entouré par les membres du Comité Directeur, dont l'identité reste secrète et protégée. Le seul membre connu du Comité Directeur est le Dr. Daniel Mengara, qui assure la direction du mouvement et en Coordonne les activités. On ne sait donc pas sur quelle base Monsieur Siméon Ekoga se réclamerait président ou vice-président du BDP-Gabon Nouveau, vu que de tels postes n'existent pas. C'est donc là une usurpation de titre et un usage de faux sous la direction théâtrale d'Omar Bongo lui-même, obligé aujourd'hui de se transformer en maître des illusions et de la prestidigitation politique pour espérer détruire le BDP-Gabon Nouveau. L'acte est malheureusement démodé et les Gabonais ne sont plus dupes. - L'UNION ET BONGO ONT PRESENTE AU PAYS DES FAUSSAIRES. Si l'Union avait été un journal sérieux, il aurait au moins été vérifier sur le site du BDP (http://www.bdpgabon.org) pour se rendre compte qu'Omar Bongo et son régime ont présenté au pays des faussaires se réclamant du BDP-Gabon Nouveau. Des journalistes comme Lin-Joël Ndembet ne font donc pas honneur à leur profession en se faisant le relais de ce type de campagne d'intoxication. En effet, ni Siméon Ekoga (exclu du BDP pour traîtrise le 20 juin 2003), ni Corneille Ollomo (démissionné du BDP pour incompétence en janvier 2003) ne faisaient plus partie de notre mouvement et ceci aurait dû sauter aux yeux de n'importe quel journaliste respectable. Pire, les autres personnages présentés par l'Union et la RTG, notamment Engone Akoughey, Roméo Husingha Birinda et Raymond Camille Inwen sont totalement inconnus du BDP et n'ont jamais été membre de notre mouvement. Présenter ainsi Roméo Husingha Birinda comme le représentant du BDP au Canada est hautement surprenant, vu que tous ceux qui visitent le site du BDP savent depuis toujours que le représentant du BDP à Montréal est le Dr. Brice Ongali. - L'UNION ET BONGO ACCUSENT LE BDP DE HAINE TRIBALE ET DE VIOLENCE. Tous ceux qui visitent le site Internet du BDP ou lisent la pensée de notre mouvement savent que le BDP-Gabon Nouveau est tout, sauf un mouvement violent. Au contraire, le BDP-Gabon Nouveau essaie d'éviter à notre pays des violences en faisant comprendre aux acteurs politiques gabonais la nécessité de s'engager, dès maintenant, dans un dialogue national sincère dont le but serait de mettre en place, une bonne fois pour toutes, les bases saines d'une démocratie réelle et non manipulée. Notre site Internet et nos documents sont bourrés de propositions de révision constitutionnelle, de réforme politique et économique, de dialogue et de réconciliation nationale qui auraient pu, si Omar Bongo le désirait, mener à la consolidation de la démocratie au Gabon. Or, le refus répété du régime Bongo de démocratiser le Gabon, les arrestations arbitraires de nos membres encore en prison, les brimades politico-économiques des opposants et les modifications unilatérales de la constitution gabonaise par le régime Bongo, sont autant d'indications que le régime Bongo ne veut pas la paix au Gabon et se transforme de plus en plus en une dictature déclarée qui préfère la guerre à la réconciliation nationale. Le BDP en conclut donc que rien de bon ne peut plus se passer au Gabon tant que Bongo est au pouvoir, vu que cela fait 36 ans que ce régime refuse le changement et la transparence démocratique, préférant s'accrocher au pouvoir sans se soucier aucunement des souffrances quotidiennes des Gabonais. S'attaquer donc à Bongo n'est ni l'expression d'une haine tribale, ni un appel à la violence. Bongo n'est pas l'état gabonais. S'attaquer à Bongo c'est s'attaquer à la source du problème gabonais, vu que c'est Omar Bongo qui refuse de démocratiser le Gabon et qui attise les haines tribales en mettant les Gabonais les uns contre les autres, contredisant ainsi ses déclarations d'unité nationale. Un président démocrate n'arrête pas des Gabonais parce que des Gabonais disent que « Bongo Doit Partir ». « Bongo Doit Partir » est un thème politique comme un autre et tout Gabonais devrait se sentir libre de mener une campagne politique sur un tel thème s'il pense que Bongo ne fait pas le travail que les Gabonais attendent. Un président responsable ne marchande pas les fêtes de l'indépendance alors que son peuple vit dans la misère et meurt de SIDA. Un président responsable ne fait pas du théâtre sur les écrans de la télévision nationale pour présenter à la nation des supposés opposants ralliés à qui il a donné 300 millions de F CFA d'argent du peuple pour aller chanter le Mvett selon Saint Bongo dans les médias d'état à la solde du pouvoir. S'il y a donc violence au Gabon, cette violence se voit dans la dictature de l'arbitraire que le régime Bongo est en train d'instaurer chez nous. Cette violence est celle qui met en prison les Gabonais pour opinion politique ; cette violence c'est celle qui change unilatéralement la constitution du pays sans s'en référer au peuple ; cette violence c'est celle qui donne les 300 millions de francs CFA du peuple à quatre individus pour leur faire chanter le Mvett bongoïste alors que ces 300 millions auraient pu payer les médicaments dont le pays a besoin. Voilà pourquoi le BDP dit : « Bongo Doit Partir », car c'est de cette seule façon que notre peuple retrouvera sa dignité, dans un esprit de paix, de progrès, d'unité et de réconciliation nationale. APPEL A LA NATION Nous appelons donc encore une fois le peuple gabonais à la vigilance. De nombreuses personnes se présenteront à vous au nom du BDP, mais méfiez-vous. Le BDP-Gabon Nouveau ne renoncera jamais à ses idéaux de changement au Gabon. Le BDP-Gabon Nouveau est un mouvement de patriotes gabonais qui pensent aujourd'hui que « trop, c'est trop » et que « Bongo Doit Partir , pour la construction d'un Gabon nouveau ». Ainsi, quand quelqu'un se présentera à vous, posez-lui toujours la question de savoir s'il connaît et défend les 10 grands principes de base de notre mouvement. Ces 10 principes de base sont : 1) Rien de bon ne peut plus arriver au Gabon tant qu'Omar Bongo est au pouvoir. Si Omar Bongo n'a pas pu réformer et développer le Gabon en 36 ans, ce n'est pas dans les 5 ou 10 ans qu'il lui reste à vivre qu'il va le faire. Tout ce que dit Bongo aujourd'hui doit être rejeté comme nul et non avenu. 2) La condition préalable à tout changement positif et réel au Gabon passe avant tout par le départ d'Omar Bongo et de son régime du pouvoir, puisque ce régime est incapable de se démocratiser et a été incapable de développer le Gabon en 36 ans. Le BDP se doit donc de rechercher le départ du régime Bongo du pouvoir par tous les moyens possibles. 3) Omar Bongo n'est pas excusable et la faute du désastre gabonais ne peut être rejetée sur son entourage. Quand votre chien mord l'enfant du voisin, on vous tient responsable de l'acte de votre chien. Or, Omar Bongo laisse les « chiens » de son régime « mordre » les Gabonais en toute impunité. Il se fait donc ainsi le complice de leurs crimes, crimes qui s'ajoutent aux siens propres. Omar Bongo est donc le premier criminel du Gabon et doit être tenu responsable de la débâcle et de la déchéance politique, économique, sociale et culturelle de notre pays. 4) Aucune élection ne doit se tenir au Gabon tant qu'il n'y a pas eu de réelles réformes et aucun Gabonais ne doit plus se rendre aux urnes pour voter dans des élections organisées par le régime Bongo. Mieux, tout gabonais patriote devra, le moment venu, tout faire pour non seulement boycotter, mais aussi empêcher la tenue de toute élection organisée unilatéralement par le régime Bongo et ses complices de la convivialité. Quand le moment sera venu, le BDP et tous les partisans du changement organiseront eux-mêmes des élections dignes de ce nom au Gabon. 5) Les Gabonais doivent rejeter avec force toute idée de refondation proposée par le régime Bongo. Si le régime Bongo n'a pas pu se « refondre » en 36 ans, il ne pourra pas le faire en l'espace d'un meeting politique. On ne doit plus faire confiance à ce régime. La seule idée valable au Gabon aujourd'hui est l'idée d'une véritable réforme décidée par le peuple gabonais au travers d'une conférence nationale souveraine qui, seule et en consultation avec le peuple, pourrait réviser la constitution et réformer le système politique gabonais de manière durable, consensuelle et progressiste. Quand le moment sera venu, le BDP et tous les partisans du changement se chargeront d'organiser une conférence nationale digne de ce nom qui décidera, une bonne fois pour toutes, de l'avenir du pays dans un esprit de réconciliation nationale. 6) Le BDP ne reconnaît pas la légitimité de l'Etat Bongo. Nous considérons qu'Omar Bongo n'a jamais gagné d'élection au Gabon, qu'il est donc un président illégal et illégitime, et que nous sommes au Gabon dirigé par un dictateur qui s'est imposé à notre peuple pendant 36 ans, dictateur qui aujourd'hui fait tout pour devenir le roi du Gabon et mourir au pouvoir tout en s'assurant que ses enfants et complices continueront sa tache de destruction permanente de la nation gabonaise. Omar Bongo est un dictateur féroce pire que Saddam Hussein. Son régime devra donc être démantelé par tous les moyens possibles si le Gabon veut un jour retrouver sa dignité. 7) Aucun membre du BDP n'est autorisé à rencontrer dans un cadre politique ou négocier quoique ce soit avec Omar Bongo ou un représentant de son régime sans l'accord de la direction américaine du BDP-Gabon Nouveau. Toute personne qui rencontrerait ou pactiserait avec Omar Bongo ou son régime ne peut être vue comme un membre du BDP et doit être considérée comme un traître ayant vendu la nation gabonaise à Omar Bongo. 8) Le BDP-Gabon Nouveau est un et indivisible, tout comme est une et indivisible la nation gabonaise. L'idéal du BDP, c'est le bien-être du Gabon et de tous les Gabonais, quelque soit leur appartenance politique, économique, raciale, sexuelle ou ethnique. Le BDP défend avec force l'idée de l'unité nationale dans un cadre qui permette à chacun de nos citoyens de s'épanouir et de rechercher librement et sans entrave le bonheur et le bien-être. 9) Le BDP-Gabon Nouveau soutient que Bongo et son régime sont la cause du sous-développement au Gabon et qu'ils ont intentionnellement maintenu le Gabon dans un état de privation multiforme afin d'assouvir les rêves de puissances et d'enrichissement de quelques familles. Ils ont ainsi transformé l'état gabonais en état mafia et menti aux Gabonais en leur disant que les caisses de l'état sont vides. Le BDP dit que c'est faux. Il y a encore assez d'argent au Gabon pour faire en 5 ans ce que le régime Bongo n'a pas pu faire en 36 ans de pouvoir sans partage. 10) Le BDP-Gabon Nouveau refuse la corruption et la trahison, car la corruption est un crime. Quand un responsable politique abandonne ses idéaux politiques pour prendre les 300 millions que lui donne Bongo pour le faire taire, ce responsable a pris l'argent qui aurait pu servir à sauver la vie des Gabonais. Donc, quand un enfant meurt de paludisme parce qu'il n'y a pas de médicaments à l'hôpital ou de dispensaire dans son village, on doit conclure que c'est Omar Bongo et ses complices corrompus qui l'ont tué. Quand un Gabonais meurt dans un accident de voiture parce que les routes gabonaises sont mauvaises, on doit conclure que c'est Omar Bongo et ses complices corrompus qui l'ont tué. Quand une Gabonaise meurt de stress, parce qu'elle n'arrive pas à trouver du travail à cause de la mauvaise gestion et des détournements de fonds du régime Bongo, on doit conclure que c'est Omar Bongo et son régime de corrompus qui l'ont tuée. Quand une jeune fille de 12 ans est obligée de se prostituer pour survivre dans un pays comme le Gabon où le revenu par habitant est supérieur à celui de la Chine, alors on doit conclure qu'Omar Bongo et ses complices sont responsables de cette déchéance. La corruption est donc un crime car elle détourne l'argent du pays et animalise les Gabonais. Et quand Bongo donne 300 millions aux opposants pour les corrompre, il condamne les Gabonais à mort. Ce sont donc là, chers compatriotes, les grands principes de patriotisme qui doivent toujours guider la démarche des bédépistes. Il ne s'agit plus aujourd'hui de se compromettre, mais de construire. Si Bongo ne veut pas construire, il doit être mis en quarantaine par nous tous, Gabonais. Le travail de libération du pays nous incombe à tous. Ce ne sera pas les étrangers qui viendront nous libérer, mais nous-mêmes. Refusons donc aujourd'hui la corruption, la traîtrise et les compromissions qui condamnent notre pays au calvaire bongoïste. Embrassons la réforme, même si pour cela nous devons faire la révolution. Le BDP restera fidèle à lui-même, c'est-à-dire patriote et incorruptible. Toute personne qui se réclame du BDP en pensée ou en action doit être capable de soutenir et de défendre les 10 principes de base du BDP et défendre notre pays contre l'agression bongoïste. Si, donc, une personne se présente à vous en tenant des discours contraires ou des discours convivialistes, c'est que cette personne n'est pas du BDP ou alors c'est que cette personne s'est faite acheter par le régime Bongo. Il vous faut donc vous méfier de cette personne et de toujours rappeler à tous les 10 principes qui guident notre action patriotique. Pour finir, nous dirons que des journalistes payés par Omar Bongo comme Lin-Joël Ndembet devraient avoir honte de se faire le relais d'un régime aussi bestial que celui d'Omar Bongo. Un régime qui ne recule devant rien pour corrompre, assassiner, emprisonner, voler, brimer et détruire le Gabon dans son âme et dans son corps. En tant que citoyens payés par les impôts du contribuable gabonais, les journalistes de l'Union se doivent à un devoir de neutralité républicaine et de faire des reportages qui tiennent la route de par leur sérieux et leur profondeur. Le théâtre bongoïste dont le quotidien national l'Union, un organe étatique, se fait honteusement le relais intoxicateur aujourd'hui n'honore aucunement le journalisme dans notre pays. Vive le Gabon. Vive le peuple gabonais. Vive la nouvelle république. Fait le samedi 19 juin 2003 à Montclair, New Jersey, USA Pour le Comité Directeur, le Gouvernement de Salut National en exil et l'ensemble des organes et membres du BDP-Gabon Nouveau Dr. Daniel Mengara Coordonnateur Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1277/39/ From protected at yahoo.fr Mon Aug 18 16:45:56 2008 From: protected at yahoo.fr (Joseph Allogho) Date: Mon, 18 Aug 2008 16:45:56 -0400 Subject: [BDPalabres] RETRO: Le BDP-Gabon Nouveau dément les déclarations publiées dans l'Union du 19-20 juillet 2003 Message-ID: J'ai tpujours pensé que les médias gabonais sont irresponsables. Ils se sont vendus au régime Bongo et ne montrent pas le professionalisme requis. Je m'étonne que le BDP ait pu résister à cet assaut médiatique. Joe. BDP-Gabon Nouveau a écrit : De: BDP-Gabon Nouveau Objet: [BDPalabres] RETRO: Le BDP-Gabon Nouveau dément les déclarations publiées dans l'Union du 19-20 juillet 2003 À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Samedi 16 Août 2008, 8h52 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ Samedi 19 Juillet 2003 à 00:00 Dans divers articles du quotidien national bongoïste l'Union du 19-20 juillet 2003, plusieurs mensonges orchestrés par le régime Bongo et les traîtres qui se sont vendus à lui ont été publiés qui n'ont aucun fond de vérité et ne reposent sur aucune logique autre que celle qui consiste à mener une campagne d'intoxication à l'encontre de notre mouvement. Nous mettons d'ailleurs le quotidien national l'Union au défi de publier entièrement ce démenti qui lui a été envoyé par fax aujourd'hui même samedi 19 juillet 2003. La Direction du BDP-Gabon Nouveau, les Présidents de cellules, ainsi que les Ministres du Gouvernement de Salut National en exil tiennent à apporter les démentis suivants : - L'UNION ET BONGO CLAMENT QUE LE BDP-GABON NOUVEAU EST DISSOUT : Omar Bongo rêve ou alors vit ouvertement à la télévision et devant tout le monde son fantasme de voir le BDP disparaître. Il n'y a jamais eu de dissolution du BDP-Gabon Nouveau. A aucun moment ne s'est tenu au sein de notre mouvement un meeting de dissolution du BDP-Gabon Nouveau comme le prétendent l'Union et son commanditaire Omar Bongo. Le Congrès BDP de Bordeaux du 12 au 14 juin 2003 n'était ni une assise du parti, ni un Congrès constitutif. C'était plutôt un meeting de travail du Conseil des cellules du BDP-Gabon Nouveau. La Charte des membres du BDP définit le Conseil des cellules comme un organe consultatif dont les décisions sont soumises à l'arbitrage du Comité directeur et du Coordinateur. Il est donc techniquement et juridiquement impossible qu'un vote nominatoire, de défiance, électoral ou de dissolution ait été entrepris vu que de telles prérogatives ne sont pas celles du Conseil des cellules du BDP-Gabon Nouveau qui s'est réuni à Bordeaux. A ce que nous sachions, toute la structure connue du BDP reste intacte et on se demande où l'Union a été chercher son information sur la dissolution du BDP. Il suffit de se rendre sur le site du BDP (http://www.bdpgabon.org) pour se rendre compte qu'en dehors de Siméon Ekoga (exclu du BDP pour traîtrise le 20 juin 2003), Paul Okili-Boyer (Exclu du BDP pour traîtrise le 10 juin 2003) et Corneille Ollomo (démissionné du BDP pour incompétence en janvier 2003), la structure du BDP est intacte et le BDP continue de fonctionner normalement. Le BDP-Gabon Nouveau reste donc toujours le mouvement qu'il a toujours été, un et indivisible dans sa détermination à travailler au démantèlement du bongoïsme au Gabon. - L'UNION ET BONGO CLAMENT QUE LE BDP EST BASE EN FRANCE. Grossière et ridicule affirmation. Tout le monde sait que la Direction du BDP-Gabon Nouveau se trouve et a toujours été aux Etats-Unis. Les Gabonais savent depuis toujours que le BDP-Gabon Nouveau est un mouvement basé aux Etats-Unis et qui dispose de cellules de réflexion un peu partout dans le monde. Pour des raisons visibles aujourd'hui, le mouvement avait à sa création jugé utile, pour cause de protection et de nécessité de survie du BDP, de centraliser toute la logistique politique, matérielle, stratégique et financière du mouvement à partir des Etats-Unis, pays dans lequel les libertés individuelles et politiques sont mieux garanties et protégées qu'en France ou partout ailleurs, et où le régime Bongo ne jouit d'aucune considération particulière. D'ailleurs, sur le site du département d'état américain, le régime Bongo dans le rapport 2003 est décrit comme un régime dictatorial qui ne laisse pas beaucoup de libertés politiques à son peuple et gère tout d'une main de fer. La France s'étant souvent montrée complice du régime Bongo, l'Amérique devenait donc une terre d'asile naturelle puisque le BDP et tous les groupes politiques persécutés de par le monde y jouissent de protections constitutionnelles considérables. Le BDP-Gabon Nouveau n'a donc qu'une seule direction, et cette direction se trouve dans le New Jersey aux Etats-Unis. Il n'y a jamais eu de Direction européenne ou de Comité européen. Le BDP-Gabon Nouveau est doté de cellules individuelles en France, en Allemagne, en Angleterre, en Côte d'Ivoire, au Canada, aux USA, et au Gabon. Les cellules du BDP en Europe ne sont pas regroupées sous une direction européenne. Elles fonctionnent sur la base d'un modèle individuel décentralisé, mais rendent directement des comptes à la direction américaine du mouvement, dont le Coordonnateur est le Dr. Daniel Mengara. - L'UNION ET BONGO CLAMENT QUE SIMEON EKOGA ETAIT LE NUMERO 2 DU BDP. Cette affirmation n'est vraie que dans les rêves et fantasmes bongoliens. Le BDP-Gabon Nouveau n'a jamais eu de Numéro 2. Justement pour éviter que des aventuriers ne détournent le mouvement des ses idéaux, le BDP-Gabon Nouveau s'est organisé sur la base d'un modèle de cercles concentriques, et non hiérarchiques. La concentricité non hiérarchique du mouvement assurait donc que des opportunistes ne puissent, d'une part, utiliser le poids de leur poste pour casser le mouvement, et d'autre part, permettait de limiter l'accès à l'information stratégique. C'est ainsi que le mouvement a créé des cellules de réflexion qui, même si elles contribuaient à la structuration et consolidation politique et idéologique du mouvement, n'avaient cependant pas accès au type d'information stratégique qui aurait pu compromettre le mouvement. Ceci veut donc dire qu'en tant que chef de la cellule de Paris, Siméon Ekoga ne savait rien du BDP qui aurait pu mener à la révélation de ses structures secrètes. Il n'a donc pas grand-chose à donner à Bongo en dehors du honteux cirque politique auquel il se livre avec celui qui se dit aujourd'hui président du Gabon. Siméon Ekoga, en tant que chef de la cellule de Paris avant son exclusion ne pouvait non plus prétendre à des pouvoirs de numéro 2 puisque la gestion du pouvoir et de l'information au sein du BDP s'opère par cercles concentriques et non par hiérarchie. Par ailleurs, la Charte du BDP-Gabon Nouveau définit la direction du BDP-Gabon Nouveau comme un Comité Directeur dirigé par un Coordonnateur. Il n'y a donc pas au BDP de président ou de vice président, de numéro 1 ou de numéro 2, de direction européenne ou autre. Il y a uniquement un Coordonnateur qui est entouré par les membres du Comité Directeur, dont l'identité reste secrète et protégée. Le seul membre connu du Comité Directeur est le Dr. Daniel Mengara, qui assure la direction du mouvement et en Coordonne les activités. On ne sait donc pas sur quelle base Monsieur Siméon Ekoga se réclamerait président ou vice-président du BDP-Gabon Nouveau, vu que de tels postes n'existent pas. C'est donc là une usurpation de titre et un usage de faux sous la direction théâtrale d'Omar Bongo lui-même, obligé aujourd'hui de se transformer en maître des illusions et de la prestidigitation politique pour espérer détruire le BDP-Gabon Nouveau. L'acte est malheureusement démodé et les Gabonais ne sont plus dupes. - L'UNION ET BONGO ONT PRESENTE AU PAYS DES FAUSSAIRES. Si l'Union avait été un journal sérieux, il aurait au moins été vérifier sur le site du BDP (http://www.bdpgabon.org) pour se rendre compte qu'Omar Bongo et son régime ont présenté au pays des faussaires se réclamant du BDP-Gabon Nouveau. Des journalistes comme Lin-Joël Ndembet ne font donc pas honneur à leur profession en se faisant le relais de ce type de campagne d'intoxication. En effet, ni Siméon Ekoga (exclu du BDP pour traîtrise le 20 juin 2003), ni Corneille Ollomo (démissionné du BDP pour incompétence en janvier 2003) ne faisaient plus partie de notre mouvement et ceci aurait dû sauter aux yeux de n'importe quel journaliste respectable. Pire, les autres personnages présentés par l'Union et la RTG, notamment Engone Akoughey, Roméo Husingha Birinda et Raymond Camille Inwen sont totalement inconnus du BDP et n'ont jamais été membre de notre mouvement. Présenter ainsi Roméo Husingha Birinda comme le représentant du BDP au Canada est hautement surprenant, vu que tous ceux qui visitent le site du BDP savent depuis toujours que le représentant du BDP à Montréal est le Dr. Brice Ongali. - L'UNION ET BONGO ACCUSENT LE BDP DE HAINE TRIBALE ET DE VIOLENCE. Tous ceux qui visitent le site Internet du BDP ou lisent la pensée de notre mouvement savent que le BDP-Gabon Nouveau est tout, sauf un mouvement violent. Au contraire, le BDP-Gabon Nouveau essaie d'éviter à notre pays des violences en faisant comprendre aux acteurs politiques gabonais la nécessité de s'engager, dès maintenant, dans un dialogue national sincère dont le but serait de mettre en place, une bonne fois pour toutes, les bases saines d'une démocratie réelle et non manipulée. Notre site Internet et nos documents sont bourrés de propositions de révision constitutionnelle, de réforme politique et économique, de dialogue et de réconciliation nationale qui auraient pu, si Omar Bongo le désirait, mener à la consolidation de la démocratie au Gabon. Or, le refus répété du régime Bongo de démocratiser le Gabon, les arrestations arbitraires de nos membres encore en prison, les brimades politico-économiques des opposants et les modifications unilatérales de la constitution gabonaise par le régime Bongo, sont autant d'indications que le régime Bongo ne veut pas la paix au Gabon et se transforme de plus en plus en une dictature déclarée qui préfère la guerre à la réconciliation nationale. Le BDP en conclut donc que rien de bon ne peut plus se passer au Gabon tant que Bongo est au pouvoir, vu que cela fait 36 ans que ce régime refuse le changement et la transparence démocratique, préférant s'accrocher au pouvoir sans se soucier aucunement des souffrances quotidiennes des Gabonais. S'attaquer donc à Bongo n'est ni l'expression d'une haine tribale, ni un appel à la violence. Bongo n'est pas l'état gabonais. S'attaquer à Bongo c'est s'attaquer à la source du problème gabonais, vu que c'est Omar Bongo qui refuse de démocratiser le Gabon et qui attise les haines tribales en mettant les Gabonais les uns contre les autres, contredisant ainsi ses déclarations d'unité nationale. Un président démocrate n'arrête pas des Gabonais parce que des Gabonais disent que « Bongo Doit Partir ». « Bongo Doit Partir » est un thème politique comme un autre et tout Gabonais devrait se sentir libre de mener une campagne politique sur un tel thème s'il pense que Bongo ne fait pas le travail que les Gabonais attendent. Un président responsable ne marchande pas les fêtes de l'indépendance alors que son peuple vit dans la misère et meurt de SIDA. Un président responsable ne fait pas du théâtre sur les écrans de la télévision nationale pour présenter à la nation des supposés opposants ralliés à qui il a donné 300 millions de F CFA d'argent du peuple pour aller chanter le Mvett selon Saint Bongo dans les médias d'état à la solde du pouvoir. S'il y a donc violence au Gabon, cette violence se voit dans la dictature de l'arbitraire que le régime Bongo est en train d'instaurer chez nous. Cette violence est celle qui met en prison les Gabonais pour opinion politique ; cette violence c'est celle qui change unilatéralement la constitution du pays sans s'en référer au peuple ; cette violence c'est celle qui donne les 300 millions de francs CFA du peuple à quatre individus pour leur faire chanter le Mvett bongoïste alors que ces 300 millions auraient pu payer les médicaments dont le pays a besoin. Voilà pourquoi le BDP dit : « Bongo Doit Partir », car c'est de cette seule façon que notre peuple retrouvera sa dignité, dans un esprit de paix, de progrès, d'unité et de réconciliation nationale. APPEL A LA NATION Nous appelons donc encore une fois le peuple gabonais à la vigilance. De nombreuses personnes se présenteront à vous au nom du BDP, mais méfiez-vous. Le BDP-Gabon Nouveau ne renoncera jamais à ses idéaux de changement au Gabon. Le BDP-Gabon Nouveau est un mouvement de patriotes gabonais qui pensent aujourd'hui que « trop, c'est trop » et que « Bongo Doit Partir , pour la construction d'un Gabon nouveau ». Ainsi, quand quelqu'un se présentera à vous, posez-lui toujours la question de savoir s'il connaît et défend les 10 grands principes de base de notre mouvement. Ces 10 principes de base sont : 1) Rien de bon ne peut plus arriver au Gabon tant qu'Omar Bongo est au pouvoir. Si Omar Bongo n'a pas pu réformer et développer le Gabon en 36 ans, ce n'est pas dans les 5 ou 10 ans qu'il lui reste à vivre qu'il va le faire. Tout ce que dit Bongo aujourd'hui doit être rejeté comme nul et non avenu. 2) La condition préalable à tout changement positif et réel au Gabon passe avant tout par le départ d'Omar Bongo et de son régime du pouvoir, puisque ce régime est incapable de se démocratiser et a été incapable de développer le Gabon en 36 ans. Le BDP se doit donc de rechercher le départ du régime Bongo du pouvoir par tous les moyens possibles. 3) Omar Bongo n'est pas excusable et la faute du désastre gabonais ne peut être rejetée sur son entourage. Quand votre chien mord l'enfant du voisin, on vous tient responsable de l'acte de votre chien. Or, Omar Bongo laisse les « chiens » de son régime « mordre » les Gabonais en toute impunité. Il se fait donc ainsi le complice de leurs crimes, crimes qui s'ajoutent aux siens propres. Omar Bongo est donc le premier criminel du Gabon et doit être tenu responsable de la débâcle et de la déchéance politique, économique, sociale et culturelle de notre pays. 4) Aucune élection ne doit se tenir au Gabon tant qu'il n'y a pas eu de réelles réformes et aucun Gabonais ne doit plus se rendre aux urnes pour voter dans des élections organisées par le régime Bongo. Mieux, tout gabonais patriote devra, le moment venu, tout faire pour non seulement boycotter, mais aussi empêcher la tenue de toute élection organisée unilatéralement par le régime Bongo et ses complices de la convivialité. Quand le moment sera venu, le BDP et tous les partisans du changement organiseront eux-mêmes des élections dignes de ce nom au Gabon. 5) Les Gabonais doivent rejeter avec force toute idée de refondation proposée par le régime Bongo. Si le régime Bongo n'a pas pu se « refondre » en 36 ans, il ne pourra pas le faire en l'espace d'un meeting politique. On ne doit plus faire confiance à ce régime. La seule idée valable au Gabon aujourd'hui est l'idée d'une véritable réforme décidée par le peuple gabonais au travers d'une conférence nationale souveraine qui, seule et en consultation avec le peuple, pourrait réviser la constitution et réformer le système politique gabonais de manière durable, consensuelle et progressiste. Quand le moment sera venu, le BDP et tous les partisans du changement se chargeront d'organiser une conférence nationale digne de ce nom qui décidera, une bonne fois pour toutes, de l'avenir du pays dans un esprit de réconciliation nationale. 6) Le BDP ne reconnaît pas la légitimité de l'Etat Bongo. Nous considérons qu'Omar Bongo n'a jamais gagné d'élection au Gabon, qu'il est donc un président illégal et illégitime, et que nous sommes au Gabon dirigé par un dictateur qui s'est imposé à notre peuple pendant 36 ans, dictateur qui aujourd'hui fait tout pour devenir le roi du Gabon et mourir au pouvoir tout en s'assurant que ses enfants et complices continueront sa tache de destruction permanente de la nation gabonaise. Omar Bongo est un dictateur féroce pire que Saddam Hussein. Son régime devra donc être démantelé par tous les moyens possibles si le Gabon veut un jour retrouver sa dignité. 7) Aucun membre du BDP n'est autorisé à rencontrer dans un cadre politique ou négocier quoique ce soit avec Omar Bongo ou un représentant de son régime sans l'accord de la direction américaine du BDP-Gabon Nouveau. Toute personne qui rencontrerait ou pactiserait avec Omar Bongo ou son régime ne peut être vue comme un membre du BDP et doit être considérée comme un traître ayant vendu la nation gabonaise à Omar Bongo. 8) Le BDP-Gabon Nouveau est un et indivisible, tout comme est une et indivisible la nation gabonaise. L'idéal du BDP, c'est le bien-être du Gabon et de tous les Gabonais, quelque soit leur appartenance politique, économique, raciale, sexuelle ou ethnique. Le BDP défend avec force l'idée de l'unité nationale dans un cadre qui permette à chacun de nos citoyens de s'épanouir et de rechercher librement et sans entrave le bonheur et le bien-être. 9) Le BDP-Gabon Nouveau soutient que Bongo et son régime sont la cause du sous-développement au Gabon et qu'ils ont intentionnellement maintenu le Gabon dans un état de privation multiforme afin d'assouvir les rêves de puissances et d'enrichissement de quelques familles. Ils ont ainsi transformé l'état gabonais en état mafia et menti aux Gabonais en leur disant que les caisses de l'état sont vides. Le BDP dit que c'est faux. Il y a encore assez d'argent au Gabon pour faire en 5 ans ce que le régime Bongo n'a pas pu faire en 36 ans de pouvoir sans partage. 10) Le BDP-Gabon Nouveau refuse la corruption et la trahison, car la corruption est un crime. Quand un responsable politique abandonne ses idéaux politiques pour prendre les 300 millions que lui donne Bongo pour le faire taire, ce responsable a pris l'argent qui aurait pu servir à sauver la vie des Gabonais. Donc, quand un enfant meurt de paludisme parce qu'il n'y a pas de médicaments à l'hôpital ou de dispensaire dans son village, on doit conclure que c'est Omar Bongo et ses complices corrompus qui l'ont tué. Quand un Gabonais meurt dans un accident de voiture parce que les routes gabonaises sont mauvaises, on doit conclure que c'est Omar Bongo et ses complices corrompus qui l'ont tué. Quand une Gabonaise meurt de stress, parce qu'elle n'arrive pas à trouver du travail à cause de la mauvaise gestion et des détournements de fonds du régime Bongo, on doit conclure que c'est Omar Bongo et son régime de corrompus qui l'ont tuée. Quand une jeune fille de 12 ans est obligée de se prostituer pour survivre dans un pays comme le Gabon où le revenu par habitant est supérieur à celui de la Chine, alors on doit conclure qu'Omar Bongo et ses complices sont responsables de cette déchéance. La corruption est donc un crime car elle détourne l'argent du pays et animalise les Gabonais. Et quand Bongo donne 300 millions aux opposants pour les corrompre, il condamne les Gabonais à mort. Ce sont donc là, chers compatriotes, les grands principes de patriotisme qui doivent toujours guider la démarche des bédépistes. Il ne s'agit plus aujourd'hui de se compromettre, mais de construire. Si Bongo ne veut pas construire, il doit être mis en quarantaine par nous tous, Gabonais. Le travail de libération du pays nous incombe à tous. Ce ne sera pas les étrangers qui viendront nous libérer, mais nous-mêmes. Refusons donc aujourd'hui la corruption, la traîtrise et les compromissions qui condamnent notre pays au calvaire bongoïste. Embrassons la réforme, même si pour cela nous devons faire la révolution. Le BDP restera fidèle à lui-même, c'est-à-dire patriote et incorruptible. Toute personne qui se réclame du BDP en pensée ou en action doit être capable de soutenir et de défendre les 10 principes de base du BDP et défendre notre pays contre l'agression bongoïste. Si, donc, une personne se présente à vous en tenant des discours contraires ou des discours convivialistes, c'est que cette personne n'est pas du BDP ou alors c'est que cette personne s'est faite acheter par le régime Bongo. Il vous faut donc vous méfier de cette personne et de toujours rappeler à tous les 10 principes qui guident notre action patriotique. Pour finir, nous dirons que des journalistes payés par Omar Bongo comme Lin-Joël Ndembet devraient avoir honte de se faire le relais d'un régime aussi bestial que celui d'Omar Bongo. Un régime qui ne recule devant rien pour corrompre, assassiner, emprisonner, voler, brimer et détruire le Gabon dans son âme et dans son corps. En tant que citoyens payés par les impôts du contribuable gabonais, les journalistes de l'Union se doivent à un devoir de neutralité républicaine et de faire des reportages qui tiennent la route de par leur sérieux et leur profondeur. Le théâtre bongoïste dont le quotidien national l'Union, un organe étatique, se fait honteusement le relais intoxicateur aujourd'hui n'honore aucunement le journalisme dans notre pays. Vive le Gabon. Vive le peuple gabonais. Vive la nouvelle république. Fait le samedi 19 juin 2003 à Montclair, New Jersey, USA Pour le Comité Directeur, le Gouvernement de Salut National en exil et l'ensemble des organes et membres du BDP-Gabon Nouveau Dr. Daniel Mengara Coordonnateur Lien: http://www.bdpgabon.org/archives/content/view/1277/39/ From protected at free.fr Fri Aug 22 13:25:51 2008 From: protected at free.fr (Sylvain Ndong) Date: Fri, 22 Aug 2008 13:25:51 -0400 Subject: Le "gang-du-net" de mon frère Ekoga Message-ID: Très cher Siméon Ekoga, Je viens de lire ton message comme tout le petit monde de notre Agora ; et comme tous les autres auxquels tu nous a jusqu’ici habitué, je dois dire qu’il n’a pas brisé la tradition : bien écrit, clair, un peu rébarbatif il faut le dire, mais avec cette fois une petite variance qui me gêne un tout petit peu, et qui a motivé chez moi ce message. Si mes lectures et mes prises de notes sont bonnes, je crois savoir que ce n’est que depuis 2003, date de ta sortie du BDP, que tu t’es réellement engagé dans l’opposition visible, avec comme principale bonne note à ce jour, la création du mouvement RDPG et son formidable forum Agora. Avant cette année 2003, je ne crois pas me souvenir, depuis que j’observe l’évolution politique de mon pays, avoir entendu ou lu quelque part une quelconque prise de position d’un certain mobilisateur répondant au nom de Siméon Ekoga. Pourquoi crois-tu donc, depuis seulement à peine 3 ans, et avec ce bilan, que c’est toi qui a détient seul le monopole de la revendication citoyenne, de la sincérité politique, de l’étique militantiste, de l’amour de la patrie et du peuple gabonais ? Il me semble pourtant que tu as déjà un certain âge ; alors, où étais-tu donc tout ce temps, avant 2003, avant cette date fatidique où grâce au rayonnement du BDP (il faut pouvoir le dire et savoir le reconnaître) de Daniel Mengara (ton ennemi d’aujourd’hui) pour faire don au Gabon et à son peuple de ta justesse et de tes bonnes intentions ? Je trouve ton message un peu téléphoné et insidieusement habile de ta part. Car vouloir passer tous les autres compatriotes, farouches militants pour un Gabon meilleur, qui ne sont pas du même avis que toi (avec tout leur savoir et toutes leurs intelligences déployées et sorties de leurs méninges très souvent diplômées) comme des membres de ton « gang-du-net » imaginaire, me paraît tout simplement machiavélique et assez fasciste. Cela me rappelle les conseils du prince Machiavel et les ordonnances du Führer, pour lequel seules comptaient et étaient de bonnes foi, les orientations et les engagements qu’il énonçait à l’endroit du peuple allemand. Je te le dis clairement, en insinuant que je faisais moi Sylvain Ndong partie aussi de ton fameux « gang-du-net » auquel tu attribues si maladroitement le retard et les difficultés d’organisation des intellectuels de la diaspora gabonaise, tu as montré tes vraies ambitions, qui sont celles de manipuler l’opinion par toute une série de méthodes peu orthodoxes et qui rappellent le fascisme : censures, retard et planification calculée de certaines publications gênantes, republications d’anciens messages dont tu n’es souvent pas l’auteur, etc. Tout ceci dans un seul et unique but : passer pour une victime et te faire une place de seigneur dans l’opinion gabonaise. Mais tu sembles ignorer une chose : « on peut mettre un morceau de bois dans un marigot pendant 100 ans, il ne deviendra jamais un caïman ». En quoi crois-tu que les nombreuses réflexions et analyses, pensées, décortiquées et écrites par des gabonais tels Bruno Ella Nguema, Rodrigue Malékou, Sylvain Ndong, Daniel Mengara, Bruno Vécarte ou encore Poussin Legnegna, pour peu qu’elles n’aillent pas dans le même sens que toi, sont tout simplement de simples torchons d’un groupe de « mercenaires » à la solde de Bongo ? N’est-ce pas là un point de vue et un mélange de genres dangereux, qui illustre un mode de pensée uniforme et quelque peu égocentrique. Relis tous mes écris, comme celui que tu as malicieusement ressortis hier entre Daniel Mangara et moi en 2007. Re-parcoure-les un et un, et Dieu sait combien j’en ai écris, combien j’en ai donné en jus de cerveau pour décortiquer et proposer des solutions pour mon pays. Relis-les et apporte-moi la preuve qui te permet d’oser me mettre dans la liste de ceux que tu penses pactiser avec Bongo. Sylvain Ndong n’a jamais pris l’argent de Bongo ou encore moins le rencontrer Bongo de sa pauvre petite vie de membre du « gang-du-net » de Siméon Ekoga. Sylvain Ndong, de sa pauvre petite vie de membre du « gang-du-net » de Siméon Ekoga, n’a jamais prononcé de discours à l’éloge de Bongo ou encore moins torpiller par opportunisme la vérité historique des élections de notre pays, en félicitant les « brillantes élections » de celui dont tout le monde sait pertinemment l’usurpation récurrente du fauteuil présidentiel. Qui est donc l’opportuniste en fin de compte ? Qui est donc celui qui sème la zizanie dans la conscience des gabonais qui veulent enfin mettre leur compétences au service de leur pays ? Dans le jargon politicien français, les spécialistes usent du terme « traçabilité ». Ma traçabilité en tant qu’acteur politique de mon pays depuis 2003 (date de mon adhésion en tant que militant de l’UPG) ne souffre d’aucune ambigüité, d’aucune fioriture, d’aucune ombre que soient. Et je mets quiconque au défi de m’apporter la moindre preuve du contraire de ce que j’avance. Ceux qui me connaissent comme toi Siméon Ekoga savent bien au fond d’eux que Sylvain Ndong a toujours ½uvré pour l’éclosion de mon pays le Gabon, et pour la mutualisation des compétences et de toutes ces intelligences en vue d’un effort commun. Vouloir me faire passer par petites insinuations à deux balles (« voyage au Gabon en catimini »), comme quelqu’un qui combine avec le système Bongo et ses acolytes, est un acte qui trahit de la part de son auteur, autre chose qu’une volonté d’½uvre pour l’intérêt du Gabon, un classe d’hommes et de femmes au sein desquels moi Sylvain Ndong revendique haut et fort mon appartenance. Et cela, aussi bien mon engagement militant, mes prises de position sur les dérives du pouvoir, ma volonté et mon énergie à vouloir fédérer la diaspora gabonaise, sans parler des nombreux écrits que j’ai consacré à mon pays, sont là pour le témoigner. Avant de faire dans des généralités mal intentionnées et quelques peu irréfléchies, il vaut mieux disposer du CV complet de tout un chacun, et le mien n’a rien à rougir de quoi que ce soit, au propre comme au figuré, et toi cher Ekoga, tu le sais très parfaitement, mise à part les logorrhées verbale de votre congossa parisien, si cher au « nganda-istes » invétérés que certains sont. Je dirais pour finir, sans rancune aucune, que je reste toutefois admiratif devant ce que tu as fais et continues de faire pour ton pays, à savoir, avoir mis à la disposition des gabonais cet outil Agora grâce auquel ils échangent tous les jours. Mais malgré cela, il te faut néanmoins savoir rester modeste, car le plus dur reste à faire, surtout pour le grand responsable politique que tu aspires à devenir dans peu. Et parmi ces choses, il y a ce recul qui devra dès que l’instant s’y prête t’emmener à reconnaître que « même si le lièvre est ton ennemi, il faut savoir admettre qu’il court plus vite que toi ». C’est un proverbe malien. Quand tu auras fais acquisition de cette maigre sagesse, tu verras que de nouveaux univers s’ouvriront à toi. Et avant cela aussi, il te faut sortir de cette réserve et de cette méfiance quasi-maladive qui te fais croire que tous ceux qui sont autour de toi combinent contre toi. Tu n’es quand-même pas le centre du monde ; tu es Siméon Ekoga ; un aîné qui vient de prendre fait et cause de la politique, en officialisant son opinion, et qui se doit pour cela de voir les autres camarades de combat comme des partenaires et non comme des adversaires qui souhaitent l’« abattre » ou ravir sa place de numéro un de la diaspora. Ressaisis-toi, parent. Il n’y a de numéro un qu’un Gabon où tous les enfants travailleront comme un seul homme,… à sa totale libération. Ton ami et frère, Sylvain NDONG From protected at wanadoo.fr Fri Aug 22 13:39:17 2008 From: protected at wanadoo.fr (tsir.ella) Date: Fri, 22 Aug 2008 13:39:17 -0400 Subject: [BDPalabres] je savais que les menaces ne devaient pas tarder : quelles menaces mon frère ? Message-ID: Quand on passe aux choses concrètes c'est le défilement et la superstition qui l'emportent. Beaucoup d'africains noirs et gabonais en particulier souffrent de ce profond court circuit mental. Je m'explique brièvement. Malgré le fait qu'ils évoluent et semblent s'affirmer dans une société où les valeurs et la culture sont inspirées de l'esprit de loi et par delà rationnelles, ils traînent malheureusement encore des tares archaïques dans leurs Têtes lesquelles tares font qu'ils ont du mal à s'intégrer dans les vrais enjeux du monde (exemple : la Démocratie, Promouvoir l'état de droit, promouvoir les intelligences et non le tribalisme, Mettre dehors un vieux dictateur qui a hypothéqué leur ci beau et riche petit pays........). Ils croient malheureusement encore au gri gri dans la bouteille au fond de la cabane alors qu'il est appelé à comprendre la nanotechnologie s'il veut parler le même langage que les autres dans les années à venir, c'est triste. Regardez cet exemple flagrant : un frère nommé Etoughe Loïc qui est tout le temps sur internet auquel il croit donc, mais notre frère croit encore aux fétiches et au gri-gri. C'est un moderne superstitieux. Mon frère Etoughe que t'arrive-t-il ? Tu as peur de qui et de quoi ? Sache que ton frère Tsir'Ella n'a de profession que soigner (redonner et conforter la vie) et non ôter la vie. Mais de quoi parles-tu ? Qui te menace et de quoi ? J'ai l'impression que nous échangeons avec un livre dont plusieurs pages sont censurées. Le ton superstitieux de tes interventions me surprend. Tout le monde te trouvera ridiculement superstitieux alors qu'on te demande de justifier ton statut d'HOMME AUTONOME et donc NON SOUMIS aux tentatives d'achat de conscience qui n'arrête d'affaiblir les volontés de changement dans ce pays. Tu es celui qui alimente et entretient la polémique dans ce forum comme si tu avais pour mandat de semer la confusion, la suspicion, la haine et la paranoïa entre ceux qui investissent leur courage au changement. Quand tout le monde parle disqualifier bongo toi tu t'acharnes sur Mengara. Une fois de plus tu te dérobes en parlant de menace, quelle menace ? Regarde ce que tu écris : "Tout le monde est prêt s'unir mais pour faire quoi au juste? Hein, qu'est ce que vous cachez dans votre dos? Un couteau? Ah, mon frère pas a moi je ne suis pas né d'hier..." J'en ris mon frère parce que c'est triste. Ce passage traduit ce qu'on appelle classiquement les peurs primaires ou archaïques, autrement dit être superstitieux. Ce sont ces mêmes peurs qui vous font dire que "les fétiches protègent bongo" ou que depuis ton village ton oncle t'a mis dans la bouteille alors qu'au même moment tu t'éclates avec le téléphone portable dernier cri. Vas comprendre toi-même dans quel asile psychiatrique on peut ranger les gens qui souffrent de ce drame ? Tu devais certainement accuser ton oncle, ta tante ou un autre membre de ta famille quand tu avais des mauvaises notes à l'école en disant qu'ils te bloquent la Tête, n'est-ce pas ? Mon frère, ne nous fais pas honte. Tu es tellement présent dans la contradiction stérile qu'on aimerait bien savoir ce que tu es capable d'apporter aux gabonais à partir des responsabilités que tu assumes ce jour. Après avoir braillé en occident, c'est pas au Gabon que tu iras directement être compétent et sérieux. Tu dois l'être et l'avoir démontré là où tu composes déjà. Car des diplômés comme toi on en a déjà suffisamment régurgités, d'où l'état du pays aujourd'hui. DIS AUX GENS CE QUE TU FAIS LÀ Où TU VIS, ILS TE DIRONT CE QUE TU PEUX POUR TON PAYS. Il n'y a pas de magie mon frère. Il n'y a pas à avoir peur quand on te demande de te présenter comme un HOMME. Si tu frémis déjà devant une occasion qui te permet de te révéler, à fortiori les intimidations et menaces permanentes des barbouzes de bongo ? On comprend donc que ton discours est fallacieux. Tu es Etoughe Loïc opposant à bongo, mais Etoughe Loïc a peur de confirmer son identité. Aller comprendre. Notre frère Etoughe veut être opposant sans exister nulle part. Il est vraiment superstitieux notre frère Etoughe. Enfin rions ! Tsir'Ella Le 21 août 08 à 15:06, Etoughe Loic a écrit : > Ah Tsir Ella, . > quand tu parlais d'orienter le débat, je ne savais pas que tu parlais de trouver une diversion. Bien essayé, mais hélas raté. Voyez vous chers amis, je ne cherche pas a me faire de la pub, et pourtant j'aurai pu, mais ce qui compte ce sont les idées que j'exprime. Je tiens a mon travail et je ne souhaite pas finir comme Ollomo Corneille a qui vos mentors au Gabon ont fait la peau. Maintenant vous voulez mon CV, po, po, po. Ah Ta, Tu perds ton temps. La guerre de succession ne fera pas de moi une victime collatérale de plus. > Comme d'autres cherchent a entraîner les Gabonais dans une direction, moi je cherche a comprendre, d'où les questions que je vous pose. Vous voulez prendre le pouvoir n'est pas? Alors il faut répondre. C'est tout. > On ne peut pas faire partie d'un mouvement qui promet le chaos, et puis venir sans sourciller nous vendre une unification. Comment les les mengaristes vont s'unir avec les mambutistes si les premiers passent leurs temps a insulter les seconds. Aussi qu'en est-il de l'appel d'unification que tu as adressé dernièrement a Ekoga et Mengara? Pauvre Ekoga a qui on a rien épargné. Mais bon sang Tsir Ella, ou est donc la médisance dans ce que je dis. Essaye de souligner un mensonge daqns ce que je dis. Pointe donc sur un mensonge Tsir Ella. Ce n'est pas le bruit. Il faut que tu montres ou j'ai menti, ou alors ou je t'ai manque de respect. > Tout le monde est prêt s'unir mais pour faire quoi au juste? Hein, qu'est ce que vous cachez dans votre dos? Un couteau? Ah, mon frère pas a moi je ne suis pas né d'hier... > J'avais sincèrement fini par penser que tu voulais vraiment un rassemblement et c'est pourquoi j'ai réapparu dans le débat. Mais tant que tu auras ce double langage, nous irons nulle part. Et pourtant je ne m'exprimais plus depuis deux ans, mais les questions que je te posais déjà a l'époque restent pourtant d'actualités et toujours sans réponse. Vos amis et vous roulez pour qui? A l'arrivée, ce sont les mêmes qui se feront avoir... > Au fait, une info, si vous ne souhaitez que je m'exprime plus dans votre cercle d'initiés, dite le moi et je vous laisse tranquille. Ce n'est pas la peine de me menacer. Je sais vous êtes très fort et que votre machine de guerre guette. Mais d'autre quoi viendront car le mensonge ne peut durer qu'un temps. Aussi sur que Mba Abessole a fini par tomber le masque. Les vôtres tomberont tôt ou tard. Ah la belle démocratie que vous nous préparez... > > Pauvre pays. From protected at bdpgabon.org Mon Aug 25 09:38:20 2008 From: protected at bdpgabon.org (BDP-Gabon Nouveau) Date: Mon, 25 Aug 2008 09:38:20 -0400 Subject: [BDPalabres] La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 Message-ID: La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 Source: BDP, 25 août 2008 Catégorie(s): Activités, Vidéos Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ --- NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y a des hyperliens vers d'autres articles. --- La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le Dr. Daniel Mengara. Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ From protected at yahoo.com Mon Aug 25 14:23:34 2008 From: protected at yahoo.com (Jean Bika) Date: Mon, 25 Aug 2008 14:23:34 -0400 Subject: [BDPalabres] La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 Message-ID: Alors là, chapeau! cette vidéo, que j'ai écouté deux fois de suite depuis qu'elle est apparue, me rassure finalement sur qui est ce Daniel Mengara. Depuis un moment, je doutais de tous les leaders politiques gabonais. cette vidéo me redonne confiance en l'avenir du gabon. Daniel Mengara est un vrai patriote, un vrai. Bon courage à tous. Jean Bika BDP-Gabon Nouveau wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 > > Source: BDP, 25 août 2008 > Catégorie(s): Activités, Vidéos > Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ > > --- > NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y a des hyperliens vers d'autres articles. > --- > > La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le Dr. Daniel Mengara. > > Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ > From protected at yahoo.fr Mon Aug 25 14:30:17 2008 From: protected at yahoo.fr (Théodore Mapangou) Date: Mon, 25 Aug 2008 14:30:17 -0400 Subject: [BDPalabres] La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 Message-ID: VOus les gens du BDP vous êtes des extréminstes. Vous ne ferez jamais partir Bongo Ondimba. NOus avons voté Bongo démocratiquement. Ce n'est pas de la faute de Bongo si vous êtes incapables dans l'opposition. Je soutiendrai Bongo Ondimba toute ma vie. C'est le meilleur président que le Gabon peut avoir, avec la paix qu'il assure depuis 40 ans. Le Gabon est maintenant un pays libre avec la démocratie et la liberté d'expression. Si vous n'avez rien d'autre à faire que médire sur le président Bongo Ondimba, alors que c'est lui a payé vos bourses pour aller faire les gros diplomes que vous avez, alors taisez-vous. Sans Bongo Ondimba, le Gabon serait dans la guerre civile depuis longtemps. Vive Bongo Ondimba, et en avant pour 2012! BDP-Gabon Nouveau a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 > > Source: BDP, 25 août 2008 > Catégorie(s): Activités, Vidéos > Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ > > --- > NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y a des hyperliens vers d'autres articles. > --- > > La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le Dr. Daniel Mengara. > > Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ > From protected at yahoo.fr Mon Aug 25 14:46:30 2008 From: protected at yahoo.fr (Anicet) Date: Mon, 25 Aug 2008 14:46:30 -0400 Subject: [BDPalabres] La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 Message-ID: Qui est même ce Daniel Mengara? Qui le connaît même au Gabon. Vraiment, pourquoi le président perd son temps à vouloir rencontrer des rêveurs? IL croit qu'il est le plus grand opposant du Gabon ou quoi? Comment peut-il se permettre d'insulter le président d'un pays en disant que c'est une "souillure". Viens un peu au Gabon, Mengara, on te montrera qui est la souillure. Imbécile! From protected at yahoo.fr Mon Aug 25 15:31:45 2008 From: protected at yahoo.fr (Arsène Mbana) Date: Mon, 25 Aug 2008 15:31:45 -0400 Subject: [BDPalabres] La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 Message-ID: C'est incroyable de trouver encore des Gabonais qui défendent Bongo. Je suis d'accord avec Daniel Mengara. Bongo est une souillure qui souille les gabonais depuis 40 ans. BDP-Gabon Nouveau a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 > > Source: BDP, 25 août 2008 > Catégorie(s): Activités, Vidéos > Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ > > --- > NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y a des hyperliens vers d'autres articles. > --- > > La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le Dr. Daniel Mengara. > > Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ From protected at yahoo.fr Mon Aug 25 19:08:01 2008 From: protected at yahoo.fr (franck tucker EBANG TOUNGMVE) Date: Mon, 25 Aug 2008 19:08:01 -0400 Subject: [BDPalabres] FW: les etudiants gabonais au texas Message-ID: > > ''Une escroquerie scientifiquement organisée: > cauchemare americain pour les étudiants gabonais à > Grayson County College, Texas''. > > > Les étudiants gabonais sont victimes d'une escroquerie > orquestrée par Dahir, depuis l'Ancienne Sobraga, et > executée avec maestria par Kathy Pearce et Amanda Venn à > Denison. > > Cette escroquerie à ciel ouvert a reçu ses premiers coups > de pelle suite au désir ardent de certains parents très > soucieux de voir leurs enfants recevoir la meilleure > education dans une bonne université, puis que notre très > chere université gabonaise ne repond plus à ses > prérogatives. Alors, ce desir ardent des parents se voit > sublimer par Dahir. Elle sert de conseiller culturelle de > L'Ambassade des Etats-Unis. C'est elle qui a la mission > d'orienter, d'informer et même d'envoyer les > etudiants gabonais aux U.S.A. Mais force est de constater > que cette dernière n'a qu'une seule destination pour > tous les etudiants, malgrés le caractère gigantesque de ce > pays, GraysonCountyCollege. > > Le Gabonest un Eldorado pour quiconque a compris la logique > interne de ce pays, en partant de la présence absente de > ses gouvernants, jusqu'à la naïveté incurable de la > majorité de son people. Et Dahir qui est au Gabondepuis > 1977, maîtrise parfaitement cette logique interne. D'ou > vient l'amour intarissable que Dahir éprouve pour > GraysonCountyCollege? Qu'en est t-il de cet établissement > exactement? GraysonCountyestune université publique qui ne > délivre que l'equivalent du B..T.S (Brevet de Technicien > Superieur, Diplome d'Etude Universitaire Generale). Cette > petite université est située dans une bourgade raciste du > Nord du Texas, appelée Denison, infestee de tuberculose et > de maladie du someille. > > Son campus se trouve au bon milieu de nulpart. Tellement > isolé que pour y vivre il faut avoir renouncé à la > pleinitude existencielle à la manière d'un maître > boudhiste. Car, ce que l'on peut appeler campus, par abus > de language, est une ancienne base militaire qui date de la > Seconde Guere Mondiale. Et le dorme, puisqu'li n'y a > qu'un seul batîment, est une garnison taillée à mésure > des etudiants Africains qui doivent y vivre. En effet, aussi > vrai que: " Saint, Saint, Saint est l'Eternel des > armées!", le dorme Grayson County College c'est de la > conerie, de la conerie, de la conerie. Vivre dans ce genre > d'endroit rend nostalgique des pavillons de l'U.O.B ou > nous visitions nos aînes, ou encore de notre trés chère > école de Dongila. > Les conditions de vie dans ce dorme frisent > l'incarceration. Le chauffage provoque une toux tellement > aigue que certains ont du faire des commandes d'Iboga au > Gabon pour se prevenir de toute maladie. L'assurance > medicale est inexistante, alors que Dahir a fait savoir aux > parents de ces etudiants que celle-ci était comprise dans > les frais de scolarites. Fourberie! Un étudiant a du > dépenser près de $ 8000 pour pouvoir bénéficier des > soins médicaux suite a une fracture de la jambe lors > d'une partie de football. > > Les étudiant africains en général, et gabonais en > particulier ( près de 80) n'ont aucun droit. Ils n'ont > que des devoirs. Kathy Pearce et Amanda Venn, les porte > flambeaux de l'escroquerie impulsée par Dahir y veillent > pour que les choses soient ainsi. Tout dernièrement, Amanda > Venn, sous la très haute impiration de Kathy Pearce, et > après les conseiles sans sesse rearticuliés de Dahir, est > allée ménacer tous les étudiants africains qui sont, soit > disant, illégalement intallés dans des apartements de > regagner le dorme dès la rentrée scolaire du 25 Août. Et > elle ne s'est pas arrêtée par la! Elle a parcouru tout > le nord du Texas afin d'interdir à tous propriétaires > immobiliers de faire louer les appartemnents aux Gabonais, > sous pretext que ces derniers n'ont pas la "social > security" et par conséquent, ne doivent vivre qu'au > dorme. > > La social security est un document que l'on remet à tout > étudiant international dès leur inscription dans une > université américaine pour bénéficier des sèrvices. > Mais cette loi, qui est une loi fédérale a été revisité > à GraysonCountyCollegepour mieux s'arrimer à > l'escroquerie. Selon Kathy Pearce et Amanda Venn, il faut > passer un an aux U.S.A pour l'avoir. Mensonge! > > L'escroquerie va plus loin, jusqu'au rajout des cours > non transferables dans aucune université américaine. En > effet, les Africains se voient imposer le cours de > "Learning Skill", entendu par la, "apprendre les > bonnes manières", comme se brosser les dents se parfumer > tous les matins, ou dire bonjour aux camarades de classe et > aux enseignants. Ce cours coûte 300 Dollars et la présence > de tout Africain est de rigueur. Lors du premier cours, la > séance se termine par une distribution des Déodorants et > des Savonettes a tous les "primates venus d'Afrique", > comme si après avoir payer 3700 Dollars ils ne leur rester > plus 1Dollar pour s'achêter du savon. Marginalisation! > > Nous nous sommes trop exprimes sous le mode affirmative, > pasoons au mode interrogative pour mieux dénouer le noeud > de cette escroquerie afin de l'exposer dans toute sa > nudité. > > Comment comprendre que dans un pays qui compte près de > 2300 universités, Dahir n'envoie les étudiants gabonais > qu'à GraysonCountyCollege? On peut encore comprendre ce > fait pour les étudiants don't les études sont financées > par les parents, mais pas les étudiants boursiers de > l'Etat gabonais qui méritent une formation sérieuse , > dans un envirronement propice a l'épanouissement humain. > Quel contrat Dahir a t'elle signe avec les autorités de > GraysonCountyCollege? Pourquoi les étudiants gabonais sont > condamnés à vivre au dorme alors que les Asiatiques, les > Sud Americains et les Europeens vont dans les Appartements > dès leur arrivée ? Pourquoi Dahir est-elle considérée > comme le sponsor financier de tous les étudiants qui > passent par chez elle, au point de reçevoir un pourcentage > dans les l'argent versé par ces derniers dans les ELS > (English Language Centers)? Comment Dahir peut-elle envoyer > les gabonais dans une université > ou il n'y a pas le moindre travail sur le campus? > > Comme nous le rappellent nos frères du groupe > ''Mauvaizhaleine'', dans leur dernier album, > < choses>>. En effet, entre l'oeil et le Nganga, > l'oeil à la primauté de la vision. > S'il est avéré qu'au Gabon s'il n'y a que Dahir > pour envoyer les étudiants aux USA, qu'elle continu de le > faire mais plus à Grayson Country College. > > > > > > Chères Autorités de la > Republique gabonaise, si nous sommes aller trop vite en > besogne, en parlant de démission étatique, veillez nous > donner l'occasion de nous en excuser, en arretant cette > escroquerie. Car nous étudiants gabonais, gachette du > renouveau libèrtaire de l'Afrique, nous avons trop > dépenser pour satisfaire ce délire d'impérialisme. A > cet effet, tous nous disons "Unis dans la concorde et la > fraternité'', que: TROP C'EST TROP! > > Implications: Présidence de la République > Primature > Ministère > de l`enseignement supérieur > Direction > générale des bourses et stages From protected at wanadoo.fr Mon Aug 25 19:10:27 2008 From: protected at wanadoo.fr (tsir.ella) Date: Mon, 25 Aug 2008 19:10:27 -0400 Subject: [BDPalabres] la vérité s'installe d'elle-même Message-ID: Mes frères et sœurs, Personne n'a le monopole de la vérité. La vérité reste linéaire. Devant une situation qui entretient le doute, deux des sens objectifs que la nature nous confiât nous permettent de dissiper celui qui sème ce doute. Ces sens objectifs sont : nos yeux et nos oreilles. Autrement dit, voir celui qu'on entend est moins douteux que lire celui qu'on entend. Mes frères et sœurs, Pourquoi nous entre-tuer alors que nous sommes tous victimes du cynisme de ce régime (quelque soit la province et quelque soit l'ethnie) ? Espérons qu'un jour nous puissions tous jouir du triomphe de la vérité car elle seule nous dira que nous avions raison de lutter contre l'infamie que subit un peuple innocent à cause d'un régime putride. Tsir'Ella Le 25 août 08 à 20:46, Anicet a écrit : > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > Qui est même ce Daniel Mengara? Qui le connaît même au Gabon. Vraiment, pourquoi le président perd son temps à vouloir rencontrer des rêveurs? IL croit qu'il est le plus grand opposant du Gabon ou quoi? Comment peut-il se permettre d'insulter le président d'un pays en disant que c'est une "souillure". Viens un peu au Gabon, Mengara, on te montrera qui est la souillure. Imbécile! From protected at yahoo.fr Mon Aug 25 19:28:30 2008 From: protected at yahoo.fr (Guy Leyama) Date: Mon, 25 Aug 2008 19:28:30 -0400 Subject: [BDPalabres] Mangara est un ingrat Message-ID: Mangara est un ingrat. Après avoir fait ses etudes avec la bourse que Bongo Ondimba a donné aux gabonais comme lui, il se permet de cracher dans la main qui le nourrit. Si Bongo Ondimba ne t'avait pas donné la bourse, est-ce que tu serait aux USA aujourd'hui à critiquer! BDP-Gabon Nouveau a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 > > Source: BDP, 25 août 2008 > Catégorie(s): Activités, Vidéos > Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ > > --- > NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y a des hyperliens vers d'autres articles. > --- > > La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le Dr. Daniel Mengara. > > Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ > > > > From protected at yahoo.com Tue Aug 26 01:10:27 2008 From: protected at yahoo.com (Modeste Mba Talla) Date: Tue, 26 Aug 2008 01:10:27 -0400 Subject: [BDPalabres] BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat Message-ID: Je m'excuse d'entrer dans ce débat. Je ne connais pas le sieur Mangara. Mais je veux juste souligner un point important. Une grave bévue que les Africais continuent àa commetre.Comme dans tous les pays africains, les bourses ne sont pas octroyées par des chefs d'État mais par le pays. Alors dire que Bongo a donné la bourse à une personne est un pur mensonge! Mais que le Gabon a donné la bourse alors là est la vérité . Bien à vous «Like development, democratisation is not something that one people does for another. People must do it for themselves or it does not happen.» Claude Ake, Journal of Democracy(1991:38) --- En date de : Lun 25.8.08, Guy Leyama a écrit : De: Guy Leyama Objet: [BDPalabres] Mangara est un ingrat À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Lundi 25 Août 2008, 19h28 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ Mangara est un ingrat. Après avoir fait ses etudes avec la bourse que Bongo Ondimba a donné aux gabonais comme lui, il se permet de cracher dans la main qui le nourrit. Si Bongo Ondimba ne t'avait pas donné la bourse, est-ce que tu serait aux USA aujourd'hui à critiquer! BDP-Gabon Nouveau a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 > > Source: BDP, 25 août 2008 > Catégorie(s): Activités, Vidéos > Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ > > --- > NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y a des hyperliens vers d'autres articles. > --- > > La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le Dr. Daniel Mengara. > > Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ > > > > From protected at yahoo.fr Tue Aug 26 02:47:55 2008 From: protected at yahoo.fr (Ondo Ndong) Date: Tue, 26 Aug 2008 02:47:55 -0400 Subject: [BDPalabres] BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat Message-ID: bonne réponse et à bientôt. Modeste Mba Talla wrote: > > Je m'excuse d'entrer dans ce débat. Je ne connais pas le sieur Mangara. > > Mais je veux juste souligner un point important. Une grave bévue que les Africais continuent àa commetre.Comme dans tous les pays africains, les bourses ne sont pas octroyées par des chefs d'État mais par le pays. Alors dire que Bongo a donné la bourse à une personne est un pur mensonge! Mais que le Gabon a donné la bourse alors là est la vérité . > > > > Bien à vous > > «Like development, democratisation is not something that one people does for another. People must do it for themselves or it does not happen.» Claude Ake, Journal of Democracy(1991:38) > > --- En date de : Lun 25.8.08, Guy Leyama a écrit : > > De: Guy Leyama > > Objet: [BDPalabres] Mangara est un ingrat > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > Date: Lundi 25 Août 2008, 19h28 > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > > apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement > > aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > ___________________________________________________________ > > Mangara est un ingrat. Après avoir fait ses etudes avec la bourse que Bongo > > Ondimba a donné aux gabonais comme lui, il se permet de cracher dans la main > > qui le nourrit. Si Bongo Ondimba ne t'avait pas donné la bourse, est-ce que > > tu serait aux USA aujourd'hui à critiquer! > > BDP-Gabon Nouveau a écrit: > > > ___________________________________________________________ > > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > > apparaîtront une fois modérés. > > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout > > simplement aux messages. > > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > > > > > La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux > > Etats-Unis le 27 septembre 2007 > > > > > > Source: BDP, 25 août 2008 > > > Catégorie(s): Activités, Vidéos > > > Lien: > > http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ > > > > > > --- > > > NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y > > a des hyperliens vers d'autres articles. > > > --- > > > > > > La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la > > rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, > > leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se > > souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du > > BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et > > André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer > > Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session > > de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre > > 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. > > Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo > > de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le > > Dr. Daniel Mengara. > > > > > > Lien: > > http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ > > > > > > > > > > > > From protected at yahoo.fr Tue Aug 26 02:49:40 2008 From: protected at yahoo.fr (Ondo Ndong) Date: Tue, 26 Aug 2008 02:49:40 -0400 Subject: BDPalabres] Re: La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 Message-ID: oh là on se calme, si vous êtes en colère contre lui, je vous demande de traduire en quoi il est imbécile. Anicet wrote: > > Qui est même ce Daniel Mengara? Qui le connaît même au Gabon. Vraiment, pourquoi le président perd son temps à vouloir rencontrer des rêveurs? IL croit qu'il est le plus grand opposant du Gabon ou quoi? Comment peut-il se permettre d'insulter le président d'un pays en disant que c'est une "souillure". Viens un peu au Gabon, Mengara, on te montrera qui est la souillure. Imbécile! From protected at yahoo.fr Tue Aug 26 02:50:37 2008 From: protected at yahoo.fr (Ondo Ndong) Date: Tue, 26 Aug 2008 02:50:37 -0400 Subject: BDPalabres] Re: La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 Message-ID: tu es bête comme ton président. Théodore Mapangou wrote: > > VOus les gens du BDP vous êtes des extréminstes. Vous ne ferez jamais partir Bongo Ondimba. NOus avons voté Bongo démocratiquement. Ce n'est pas de la faute de Bongo si vous êtes incapables dans l'opposition. > > Je soutiendrai Bongo Ondimba toute ma vie. C'est le meilleur président que le Gabon peut avoir, avec la paix qu'il assure depuis 40 ans. Le Gabon est maintenant un pays libre avec la démocratie et la liberté d'expression. Si vous n'avez rien d'autre à faire que médire sur le président Bongo Ondimba, alors que c'est lui a payé vos bourses pour aller faire les gros diplomes que vous avez, alors taisez-vous. Sans Bongo Ondimba, le Gabon serait dans la guerre civile depuis longtemps. > > Vive Bongo Ondimba, et en avant pour 2012! > > BDP-Gabon Nouveau a écrit: >> >> ___________________________________________________________ >> >> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >> >> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >> >> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> >> ___________________________________________________________ >> >> >> >> >> >> >> >> La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 >> >> >> >> Source: BDP, 25 août 2008 >> >> Catégorie(s): Activités, Vidéos >> >> Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ >> >> >> >> --- >> >> NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y a des hyperliens vers d'autres articles. >> >> --- >> >> >> >> La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le Dr. Daniel Mengara. >> >> >> >> Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ >> >> From protected at hotmail.com Tue Aug 26 03:01:14 2008 From: protected at hotmail.com (Magloire Olympio) Date: Tue, 26 Aug 2008 03:01:14 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat Message-ID: Rebondissement dans l’affaire AKA : de nouveaux éléments qui confortent la thèse de l’assassinat ; le frère cadet du défunt Maurille membre du régime précipite son enterrement. La tragique disparition du leader du MODENA Joachim Agbobli Atsutsè n’a pas fini de révéler tous ses secrets. Après les résultats farfelus de l’autopsie du professeur Napo-Koura et les conclusions tordues du procureur de la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; de nouveaux éléments viennent d’apparaître dans le dossier et confortent désormais, la thèse d’un assassinat déguisé en suicide. Ces informations, nous les devons à plusieurs amis du politologue (universitaires, hommes politiques, médecins, journalistes) qui se sont mobilisés pour faire triompher la vérité. Le corps du défunt porte des traces d’électrocution La première information qui ressort de ces investigations est liée à des lésions observées autour du coup et des parties génitales de la victime. Les spécialistes en conclurent à une torture par des objets électriques. Pour ces spécialistes, il est incroyable que le médecin légiste ait pu conclure en une mort par suicide en passant sous silence ces différentes lésions que nous venons de signaler. En réalité, AKA a été enlevé depuis la clinique, conduit à un endroit secret et torturé à mort avant que le corps ne soit jeté à la plage 24 h plus tard. C’est d’ailleurs ce scénario qui explique la disparition des vêtements de la victime de même que l’abandon de son portefeuille, et ses verres médicaux. La version du rendez-vous en plus du parcours effectué attribué au chauffeur n’est qu’une pure invention sortie des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA ne s’est jamais rendu à un quelconque rendez-vous, il ne s’est jamais arrêté à l’Hôtel Palm Beach et il ne s’est jamais rendu à l’Hôtel Sarakawa. D’ailleurs le docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa serait sous d’énormes pressions afin qu’il ne s’adresse à aucun média. A la clinique Biasa les visites aux malades sont désormais réglementées. Maurille Agbobli dans le mauvais rôle Il n’est un secret pour personne que la famille Agbobli est partagée entre l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont actuellement dans le cercle du pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, universitaire, conseiller diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite Maurille Edoh Agbobli ancien ministre, membre du bureau politique du RPT. C’est donc ce dernier qui est accusé aujourd’hui de dissuader la famille d’aller plus loin et précipite par la même occasion l’enterrement de son frère. Alors que certains évoquent encore une contre autopsie avec l’assistance des experts venus de l’extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées dans la foulée pour les 29 et 30 août prochain. Faure tapis dans l’ombre manœuvre et joue au chrono La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de l’actualité la récurrente question de l’impunité qui caractérise depuis 40 ans le régime du RPT. Faure qui espérait noyer cette question de l’impunité dans une mascarade de réconciliation après les fameuses consultations nationales se retrouve du coup dans une situation embarrassante. Depuis le palais de la Marina, il tire sur les ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » qui n’a jamais accordé le moindre crédit à la presse togolaise invite subitement par une méthode peu orthodoxe des journalistes des médias publics et privés à une discussion à battons rompus à la présidence de la République. Certains journalistes ( médias d’Etat, radios et presses privées) se sont rendus donc ce jeudi à la présidence de la République pour en ressortir plus tard avec des billets de banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par tête. Tout ceci, après une longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. D’autres journalistes qui ont pu déceler là, le piège de la corruption ont décliné l’invitation présidentielle. Lorsqu’on situe cette discussion avec les journalistes qui ces derniers temps sont très critiques vis à vis du pouvoir de Faure dans le contexte de la disparition tragique de AKA on comprend aisément la manœuvre du pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en prenant habilement soin de se donner le visage d’un président ouvert et préoccupé. Une opposition réduite à de simples communiqués Après la phase des communiqués de compassion certains responsables politiques et associations de la société civile ont exhorté l’ensemble de l’opposition à envisager des manifestions de rue dans le but d’exiger la fin de l’impunité au Togo. Ces organisations ont été confrontées au refus catégorique d’autres partis de l’opposition qui de par leur popularité devraient servir de locomotive à cette initiative. Alors la question qui se pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur de journée des communiqués sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le leader du MODENA comme celui du PSP qu’était Tavio Amorin ne dérangeait pas seulement le parti au pouvoir par son engagement et ses débats mais aussi ses amis de l’opposition qu’il croyait naïvement être ses frères. Aucune raison ne justifie aujourd’hui l’inertie de cette opposition et de cette société civile qui jadis étaient à l’avant garde de toute violation des droits de l’homme. La réalité est que la société togolaise baigne désormais dans une corruption sans précédent où des responsables insoupçonnés de certains partis actuels de l’opposition émargent régulièrement dans le registre de Faure. Faure en parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de morts a réussi un seul coup celui, d’avoir mis l’opposition en lambeaux en enrôlant certains dans son aventure gouvernementale et en renflouant les comptes en banque des autres qui ne se contentent désormais que des communiqués. Voilà donc le drame qui se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font semblant d’être encore opposants mais qui dans la réalité ont changé depuis leurs vestes. AKA n’est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais aussi d’une société togolaise en manque de repères, de principes, où les hommes de valeurs qui devraient servir de guide, de modèle sont crétinisés par un système pervers et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur Fiadjoe et le chauffeur devraient déjà prendre la parole pour libérer leurs consciences et situer les togolais sur les réelles conditions de la mort mystérieuse et tragique de AKA. Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette réalité, les Gnassingbé et leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux jours devant eux. Simon de Fanti, tultogo.com From protected at yahoo.fr Tue Aug 26 03:08:04 2008 From: protected at yahoo.fr (Frank Mayombo) Date: Tue, 26 Aug 2008 03:08:04 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 Message-ID: je suis indigné. C'est totalement indécent pour Mangara de traiter Mike Jocktane, un homme de Dieu avec autant de manque de respect. je connais bien Mike Jocktane. C'est un évêque vraiment digne de ce non que je respecte beaucoup. Le traiter de cette manière est inacceptable avec tout le bien qu'il fait au Gabon dans son sacerdoce. Il se prend pour qui Mangara? Théodore Mapangou wrote: >> > > VOus les gens du BDP vous êtes des extréminstes. Vous ne ferez jamais partir Bongo Ondimba. NOus avons voté Bongo démocratiquement. Ce n'est pas de la faute de Bongo si vous êtes incapables dans l'opposition. >> > > Je soutiendrai Bongo Ondimba toute ma vie. C'est le meilleur président que le Gabon peut avoir, avec la paix qu'il assure depuis 40 ans. Le Gabon est maintenant un pays libre avec la démocratie et la liberté d'expression. Si vous n'avez rien d'autre à faire que médire sur le président Bongo Ondimba, alors que c'est lui a payé vos bourses pour aller faire les gros diplomes que vous avez, alors taisez-vous. Sans Bongo Ondimba, le Gabon serait dans la guerre civile depuis longtemps. >> > > Vive Bongo Ondimba, et en avant pour 2012! >> > > BDP-Gabon Nouveau a écrit: >>>> >> >> ___________________________________________________________ >>>> >> >> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >>>> >> >> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >>>> >> >> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >>>> >> >> ___________________________________________________________ >>>> >> >> >>>> >> >> >>>> >> >> >>>> >> >> La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 >>>> >> >> >>>> >> >> Source: BDP, 25 août 2008 >>>> >> >> Catégorie(s): Activités, Vidéos >>>> >> >> Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ >>>> >> >> >>>> >> >> --- >>>> >> >> NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y a des hyperliens vers d'autres articles. >>>> >> >> --- >>>> >> >> >>>> >> >> La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le Dr. Daniel Mengara. >>>> >> >> >>>> >> >> Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ >>>> >> >> From protected at wanadoo.fr Tue Aug 26 09:00:55 2008 From: protected at wanadoo.fr (tsir.ella) Date: Tue, 26 Aug 2008 09:00:55 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 Message-ID: Débats libres pour libres pensées. Un forum de discussions n'est pas créé pour son auteur ni pour une élite. Un forum de discussions est comme une bibliothèque où l'on peut trouver des écrits les plus atroces et les plus extrêmes aux écrits les plus vertueux et intelligibles. Ex : les règles d'or de la vie ou la bible de Satan qui sont librement accessibles. En sortant d'une bibliothèque ou en y lisant un article qui fait l'antithèse de ses opinions, on ne dit pas que l'auteur de cet article doit être exclu de cette bibliothèque ou pire que cette bibliothèque est nulle ? Qu'est ce qui distinguerait alors un forum démocratique (par définition) d'une dictature que ce forum est présumé combattre ? Il n'y a donc ni "gang du net" ni vendetta. Il y a tout simplement un espace bien pensé, d'ailleurs par vous les auteurs, où les gabonais peuvent enfin venir exprimer leur avis qui, certes, n'est "malheureusement" pas toujours en accord avec le votre. Pourtant prémices (ou prémisses) de la démocratie, la vraie. Un forum n'est donc, ni pour son chef, ni pour une "élite" sinon autant lui retirer ce nom bien inspiré des espaces qui servaient à débattre des affaires publiques à Rome ; Pour tomber dans l'obscurantisme et le culte du nombrilisme. Dans un forum digne de son sens et dans une bibliothèque au sens noble, Tout y est pour l'objectivité du savoir. Votre frère Tsir'Ella Le 25 août 08 à 20:30, Théodore Mapangou a écrit : > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > VOus les gens du BDP vous êtes des extréminstes. Vous ne ferez jamais partir Bongo Ondimba. NOus avons voté Bongo démocratiquement. Ce n'est pas de la faute de Bongo si vous êtes incapables dans l'opposition. > > Je soutiendrai Bongo Ondimba toute ma vie. C'est le meilleur président que le Gabon peut avoir, avec la paix qu'il assure depuis 40 ans. Le Gabon est maintenant un pays libre avec la démocratie et la liberté d'expression. Si vous n'avez rien d'autre à faire que médire sur le président Bongo Ondimba, alors que c'est lui a payé vos bourses pour aller faire les gros diplomes que vous avez, alors taisez-vous. Sans Bongo Ondimba, le Gabon serait dans la guerre civile depuis longtemps. > > Vive Bongo Ondimba, et en avant pour 2012! > > > > > BDP-Gabon Nouveau a écrit: >> ___________________________________________________________ >> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> ___________________________________________________________ >> >> >> >> La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 >> >> Source: BDP, 25 août 2008 >> Catégorie(s): Activités, Vidéos >> Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ >> >> --- >> NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y a des hyperliens vers d'autres articles. >> --- >> >> La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le Dr. Daniel Mengara. >> >> Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ >> From protected at yahoo.fr Tue Aug 26 09:43:21 2008 From: protected at yahoo.fr (Jean-Claude Louembet) Date: Tue, 26 Aug 2008 09:43:21 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 Message-ID: Voilà une vidéo qui rétablit un certain nombre de vérités. A mon humble analyse, toutes les rumeurs récemment colportées sur INternet sur le Dr. Daniel Mengara sont battues en brèche par cette vidéo. Voici mon constat: - D'abaord il faut admirer la transparence du BDP. Ce mouvement est exceptionnel dans l'histoire du Gabon car c'est vraiment le seul mouvement dont on sait tout. C'est aussi le seul mouvement qui arrive à livrer au public des documents qui font généralement le secret des mouvements non transparents qui se prostituent au Gabon et qui cachent leur prostitution. - A l'allégation qui voudrait que Daniel Mengara soit une création d'André Mba Obame, cette vidéo dit FAUX. On aurait du mal à le croire après avoir vu l'heure de vidéo de la rencontre entre Daniel Mengara et Mike Jocktane (une négocitation en direct). - A l'allégation selon laquelle le BDP serait un mouvement comme les autres, visant les postes ou voulant se faire corrompre, cette vidéo dit FAUX. Daniel Mengara est on ne peut plus clair et le meeting avec Jocktane ne laisse rien pressentir qui puisse indiquer cet état d'esprit. Au contraire! - A l'allégation que Daniel Mengara et le BDP racontent des mensonges sur le désir de Bongo de rencontrer Mengara, et que Bongo ne veut pas ou n'a jamais voulu rencontrer Daniel Mengara, cette vidéo montre que cette allégation est fausse. Mike Jocktane décrit clairement l'intérêt de Bongo de rencontrer Daniel Mengara et décrit comment Bongo et les ministres d'Etats André Mba Obame se sont investis dans l;'arrangement de cette rencontre avortée de New York. Mais on voit très bien que c'est Mengara qui refuse ces rencontres. - Bref, cette vidéo montre que Daniel Mengara n'a pas deux faces différentes dans le privé comme dans lepublic. Ce qu'il dit en public dans les affaires du BDP, il dit exactement la même chose en public. C'est un homme sincère. Voici donc les contradicteurs et colporteurs de mensonges confondus dans leurs mensonges. Mais les contradictuers vont maintenant nous sortir quoi? Que la vidéo est une mise en scène entre Jocktane et Mengara pour cacher la vérité sur le fait que Mengara est une créature du régime? Cette vidéo prouve qu'il n'en est rien car si Mengara était une créature du régime, on voit mal pour quoi un régime négocierait avec lui-même. Mais rien dans cette vidéo ne permet d'affirmer une telle chose. Au contraire. Cette vidéo est un document important qui montre comment l'oposition gabonaise aurait toujours dû se comporter avec Bongo Ondimba. C'est-à-dire avec fermeté. Ceux qui ont voulou décrédibiliser le BDP doivent se mordre la langue maintenant. ILs ont tellement contorsionner la vérité que cette vérité a fini par leur péter au visage. J.C. Louembet BDP-Gabon Nouveau a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 > > Source: BDP, 25 août 2008 > Catégorie(s): Activités, Vidéos > Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ > > --- > NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y a des hyperliens vers d'autres articles. > --- > > La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le Dr. Daniel Mengara. > > Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ > From protected at yahoo.fr Tue Aug 26 09:48:00 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Tue, 26 Aug 2008 09:48:00 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat Message-ID: M. Mengara a le droit d'affirmer sa différence, comme tous ceux qui aspirent à un changement légitime au Gabon, au TOGO, dans d'autres pays, sur d'autres continents. Cependant, je crois que nous évoluons vers des dérives qui me font craindre des tensions extrêmes. Je résume la situation : les "opposants" attaquent les représentant s du pouvoir dans ce qu'il y a de plus bas; les partisans du "pouvoir" s'entêtent dans leurs délires de candidats à la corruption, pour ceux qui n'y ont pas encore été initiés. Entre ces extremes, ils y a des hommes et des femmes qui construisent patiemment leur vie, avec leur propre moyens, sans rien demander à personne, pas même à l'Etat. Le seule chose que je me demande, c'est pourquoi l'opposition ne se donne pas une bonne fois pour toutes les moyens d'en découdre avec le pouvoir, ainsi que cela s'est produit dans les autres pays. Il se peut qu'après le sacrifice du sang, chacun trouvera la voie de la raison et comprendra que la politique commence lorsqu'on découvre comment faire la différence entre l'intérêt général et les intérêts particuliers. la politque se fait lorsqu'on respecte l'individu, la personne quelque ses valeurs dans la mesure ou tout le monde respecte la loi républicaine. Elles se poursuit lorsque chacun comprend que l'Etat - en tant que représentant de l'intérêt général - n'est pas la propriété de personne, mais en tant que puissance publique c'est une personne morale avec son fonctionnement propre. Il est inopérant que chacun puisse projeter ses propres asiptations dans l'Etat. l'Etat n'est la vache à lait de personne. C'est tout simplement une organisation dont la fonction est de gérer ce qui constitue le ^patrimoine commun. Je crois que la plupart des conflits actuels proviennent que chacun - conservateurs et partisans du changement - ne percoive l'état que comme une vache à lait que chacun doit traire. En tant qu'historien, je sais que le changement est inéluctable et surtout en marche... MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Mar 26.8.08, Magloire Olympio a écrit : De: Magloire Olympio Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Mardi 26 Août 2008, 9h01 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ Rebondissement dans l’affaire AKA : de nouveaux éléments qui confortent la thèse de l’assassinat ; le frère cadet du défunt Maurille membre du régime précipite son enterrement. La tragique disparition du leader du MODENA Joachim Agbobli Atsutsè n’a pas fini de révéler tous ses secrets. Après les résultats farfelus de l’autopsie du professeur Napo-Koura et les conclusions tordues du procureur de la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; de nouveaux éléments viennent d’apparaître dans le dossier et confortent désormais, la thèse d’un assassinat déguisé en suicide. Ces informations, nous les devons à plusieurs amis du politologue (universitaires, hommes politiques, médecins, journalistes) qui se sont mobilisés pour faire triompher la vérité. Le corps du défunt porte des traces d’électrocution La première information qui ressort de ces investigations est liée à des lésions observées autour du coup et des parties génitales de la victime. Les spécialistes en conclurent à une torture par des objets électriques. Pour ces spécialistes, il est incroyable que le médecin légiste ait pu conclure en une mort par suicide en passant sous silence ces différentes lésions que nous venons de signaler. En réalité, AKA a été enlevé depuis la clinique, conduit à un endroit secret et torturé à mort avant que le corps ne soit jeté à la plage 24 h plus tard. C’est d’ailleurs ce scénario qui explique la disparition des vêtements de la victime de même que l’abandon de son portefeuille, et ses verres médicaux. La version du rendez-vous en plus du parcours effectué attribué au chauffeur n’est qu’une pure invention sortie des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA ne s’est jamais rendu à un quelconque rendez-vous, il ne s’est jamais arrêté à l’Hôtel Palm Beach et il ne s’est jamais rendu à l’Hôtel Sarakawa. D’ailleurs le docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa serait sous d’énormes pressions afin qu’il ne s’adresse à aucun média. A la clinique Biasa les visites aux malades sont désormais réglementées. Maurille Agbobli dans le mauvais rôle Il n’est un secret pour personne que la famille Agbobli est partagée entre l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont actuellement dans le cercle du pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, universitaire, conseiller diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite Maurille Edoh Agbobli ancien ministre, membre du bureau politique du RPT. C’est donc ce dernier qui est accusé aujourd’hui de dissuader la famille d’aller plus loin et précipite par la même occasion l’enterrement de son frère. Alors que certains évoquent encore une contre autopsie avec l’assistance des experts venus de l’extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées dans la foulée pour les 29 et 30 août prochain. Faure tapis dans l’ombre manœuvre et joue au chrono La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de l’actualité la récurrente question de l’impunité qui caractérise depuis 40 ans le régime du RPT. Faure qui espérait noyer cette question de l’impunité dans une mascarade de réconciliation après les fameuses consultations nationales se retrouve du coup dans une situation embarrassante. Depuis le palais de la Marina, il tire sur les ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » qui n’a jamais accordé le moindre crédit à la presse togolaise invite subitement par une méthode peu orthodoxe des journalistes des médias publics et privés à une discussion à battons rompus à la présidence de la République. Certains journalistes ( médias d’Etat, radios et presses privées) se sont rendus donc ce jeudi à la présidence de la République pour en ressortir plus tard avec des billets de banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par tête. Tout ceci, après une longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. D’autres journalistes qui ont pu déceler là, le piège de la corruption ont décliné l’invitation présidentielle. Lorsqu’on situe cette discussion avec les journalistes qui ces derniers temps sont très critiques vis à vis du pouvoir de Faure dans le contexte de la disparition tragique de AKA on comprend aisément la manœuvre du pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en prenant habilement soin de se donner le visage d’un président ouvert et préoccupé. Une opposition réduite à de simples communiqués Après la phase des communiqués de compassion certains responsables politiques et associations de la société civile ont exhorté l’ensemble de l’opposition à envisager des manifestions de rue dans le but d’exiger la fin de l’impunité au Togo. Ces organisations ont été confrontées au refus catégorique d’autres partis de l’opposition qui de par leur popularité devraient servir de locomotive à cette initiative. Alors la question qui se pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur de journée des communiqués sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le leader du MODENA comme celui du PSP qu’était Tavio Amorin ne dérangeait pas seulement le parti au pouvoir par son engagement et ses débats mais aussi ses amis de l’opposition qu’il croyait naïvement être ses frères. Aucune raison ne justifie aujourd’hui l’inertie de cette opposition et de cette société civile qui jadis étaient à l’avant garde de toute violation des droits de l’homme. La réalité est que la société togolaise baigne désormais dans une corruption sans précédent où des responsables insoupçonnés de certains partis actuels de l’opposition émargent régulièrement dans le registre de Faure. Faure en parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de morts a réussi un seul coup celui, d’avoir mis l’opposition en lambeaux en enrôlant certains dans son aventure gouvernementale et en renflouant les comptes en banque des autres qui ne se contentent désormais que des communiqués. Voilà donc le drame qui se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font semblant d’être encore opposants mais qui dans la réalité ont changé depuis leurs vestes. AKA n’est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais aussi d’une société togolaise en manque de repères, de principes, où les hommes de valeurs qui devraient servir de guide, de modèle sont crétinisés par un système pervers et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur Fiadjoe et le chauffeur devraient déjà prendre la parole pour libérer leurs consciences et situer les togolais sur les réelles conditions de la mort mystérieuse et tragique de AKA. Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette réalité, les Gnassingbé et leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux jours devant eux. Simon de Fanti, tultogo.com From protected at bdpgabon.org Tue Aug 26 12:00:29 2008 From: protected at bdpgabon.org (Webmaster - BDP) Date: Tue, 26 Aug 2008 12:00:29 -0400 Subject: [BDPalabres] De la démocratie et de la liberté d'expression Message-ID: Je tiens à attirer l'attention de ceux qui désirent se retirer de ce forum de discussion [BDPalabres] sur la pensée suivante. Comme l'a dit Tsir Ella dans le message ci-dessous, une société est faite de toutes les opinions possibles. A ce titre, il n'y a pas de sous-opinion car la société ne saurait être monolithique dans sa pensée (sauf évidemment au pays de Bongo). Certaines opinions sont bêtes et enfantines, d'autres sont éclairées. Le tout crée un corpus culturel qui avance la société et l'édifie. Se retirer d'une liste juste parce que certaines opinions sont bêtes n'est pas un signe de sagesse. Le citoyen qui donne des opinions bêtes, mais a le courage de les exprimer, est plus utile à la société que le citoyen éclairé qui, sur le prétexte de la petitesse des petits et des niais qu'il ne peut supporter, garde ses opinions pour lui-même. On ne peut être un bon citoyen quand on ne tolère pas les opinions, même bêtes, de ses concitoyens. La vraie valeur d'un citoyen consiste à justement participer aux débats qui, aussi bas soient-ils, lui permettent d'éclairer ses concitoyens de la lumière de son savoir, qui n'est jamais autosuffisant, et qui a besoin de se confronter à la complémentarité qui ressort de la diversité des opinions, c'est-à-dire même des plus petites. Cela rappelle le comportement de ceux qui veulent le changement, mais se cachent en attendant que ce soit d'autres qui obtiennent ce changement pour eux. Ils oublient que sans leur participation individuelle dans la collectivité des aspirations communes, le changement ne viendra jamais. C'est cela qu'on appelle, en fin de compte, DEMOcratie. Je rappelle donc aux uns et aux autres que si vous voulez vous retirer de cette liste de discussion, il vous suffit de lire les instructions au bas de la page de chaque message sur comment enlever votrte email de notre système. Parce que nous ne pouvons pas répondre à toutes les requêtes de désabonnement sur le forum, nous avons mis des outils automatiques en place qui vous permettent de vous enlever automatiquement. De manière générale, nous ne cooptons directement aucun email sans l'accord de son propriétaire. Les emails présents dans notre système y sont soit parce que vous nous avez contacté, soit parce que vous vous êtes inscrits sur notre site, soit parce que quelqu'un a, dans un message, inclu votre adresse email dans la liste des correspondants, auquel cas notre système les aurait capté automatiquement. Cependant, parce que nous respectons la déontologie Internet, et votre droit à accepter ou non de rester sur notre forum, vous avez la liberté de vous enlever de la liste en suivant les instructions en bas de chaque page de message qui vous arrive de notre forum de discussion [BDPalabres]. Bonnes discussions au reste des braves qui bravent le statut quo pour exprimer, en bien ou en mal, leurs opinions et leur libre arbitre. Webmaster. BDP-Gabon Nouveau tsir.ella wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Débats libres pour libres pensées. > > Un forum de discussions n'est pas créé pour son auteur ni pour une élite. > > Un forum de discussions est comme une bibliothèque où l'on peut trouver des écrits les plus atroces et les plus extrêmes aux écrits les plus vertueux et intelligibles. Ex : les règles d'or de la vie ou la bible de Satan qui sont librement accessibles. > > En sortant d'une bibliothèque ou en y lisant un article qui fait l'antithèse de ses opinions, on ne dit pas que l'auteur de cet article doit être exclu de cette bibliothèque ou pire que cette bibliothèque est nulle ? > Qu'est ce qui distinguerait alors un forum démocratique (par définition) d'une dictature que ce forum est présumé combattre ? > > Il n'y a donc ni "gang du net" ni vendetta. Il y a tout simplement un espace bien pensé, d'ailleurs par vous les auteurs, où les gabonais peuvent enfin venir exprimer leur avis qui, certes, n'est "malheureusement" pas toujours en accord avec le votre. Pourtant prémices (ou prémisses) de la démocratie, la vraie. > > Un forum n'est donc, ni pour son chef, ni pour une "élite" sinon autant lui retirer ce nom bien inspiré des espaces qui servaient à débattre des affaires publiques à Rome ; > Pour tomber dans l'obscurantisme et le culte du nombrilisme. > > Dans un forum digne de son sens et dans une bibliothèque au sens noble, Tout y est pour l'objectivité du savoir. > > Votre frère Tsir'Ella > > Le 25 août 08 à 20:30, Théodore Mapangou a écrit : > >> ___________________________________________________________ >> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> ___________________________________________________________ >> >> VOus les gens du BDP vous êtes des extréminstes. Vous ne ferez jamais partir Bongo Ondimba. NOus avons voté Bongo démocratiquement. Ce n'est pas de la faute de Bongo si vous êtes incapables dans l'opposition. >> >> Je soutiendrai Bongo Ondimba toute ma vie. C'est le meilleur président que le Gabon peut avoir, avec la paix qu'il assure depuis 40 ans. Le Gabon est maintenant un pays libre avec la démocratie et la liberté d'expression. Si vous n'avez rien d'autre à faire que médire sur le président Bongo Ondimba, alors que c'est lui a payé vos bourses pour aller faire les gros diplomes que vous avez, alors taisez-vous. Sans Bongo Ondimba, le Gabon serait dans la guerre civile depuis longtemps. >> >> Vive Bongo Ondimba, et en avant pour 2012! >> >> >> >> >> BDP-Gabon Nouveau a écrit: >>> ___________________________________________________________ >>> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >>> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >>> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >>> ___________________________________________________________ >>> >>> >>> >>> La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 >>> >>> Source: BDP, 25 août 2008 >>> Catégorie(s): Activités, Vidéos >>> Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ >>> >>> --- >>> NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y a des hyperliens vers d'autres articles. >>> --- >>> >>> La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le Dr. Daniel Mengara. >>> >>> Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ From protected at yahoo.fr Tue Aug 26 20:15:45 2008 From: protected at yahoo.fr (Jean-Claude Louembet) Date: Tue, 26 Aug 2008 20:15:45 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: De la démocratie et de la liberté d'expression Message-ID: Bien dit Monsieur le Webmaster. Vous avez de manière simple et synthétisée exprimé le mal gabonais d'aujourd'hui, celui de l'intolérance. J.C. Louembet Webmaster - BDP a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Je tiens à attirer l'attention de ceux qui désirent se retirer de ce forum de discussion [BDPalabres] sur la pensée suivante. Comme l'a dit Tsir Ella dans le message ci-dessous, une société est faite de toutes les opinions possibles. A ce titre, il n'y a pas de sous-opinion car la société ne saurait être monolithique dans sa pensée (sauf évidemment au pays de Bongo). Certaines opinions sont bêtes et enfantines, d'autres sont éclairées. Le tout crée un corpus culturel qui avance la société et l'édifie. Se retirer d'une liste juste parce que certaines opinions sont bêtes n'est pas un signe de sagesse. Le citoyen qui donne des opinions bêtes, mais a le courage de les exprimer, est plus utile à la société que le citoyen éclairé qui, sur le prétexte de la petitesse des petits et des niais qu'il ne peut supporter, garde ses opinions pour lui-même. On ne peut être un bon citoyen quand on ne tolère pas les opinions, même bêtes, de ses concitoyens. La vraie valeur d'un citoyen consiste à justement participer aux débats qui, aussi bas soient-ils, lui permettent d'éclairer ses concitoyens de la lumière de son savoir, qui n'est jamais autosuffisant, et qui a besoin de se confronter à la complémentarité qui ressort de la diversité des opinions, c'est-à-dire même des plus petites. Cela rappelle le comportement de ceux qui veulent le changement, mais se cachent en attendant que ce soit d'autres qui obtiennent ce changement pour eux. Ils oublient que sans leur participation individuelle dans la collectivité des aspirations communes, le changement ne viendra jamais. > > C'est cela qu'on appelle, en fin de compte, DEMOcratie. > > Je rappelle donc aux uns et aux autres que si vous voulez vous retirer de cette liste de discussion, il vous suffit de lire les instructions au bas de la page de chaque message sur comment enlever votrte email de notre système. Parce que nous ne pouvons pas répondre à toutes les requêtes de désabonnement sur le forum, nous avons mis des outils automatiques en place qui vous permettent de vous enlever automatiquement. De manière générale, nous ne cooptons directement aucun email sans l'accord de son propriétaire. Les emails présents dans notre système y sont soit parce que vous nous avez contacté, soit parce que vous vous êtes inscrits sur notre site, soit parce que quelqu'un a, dans un message, inclu votre adresse email dans la liste des correspondants, auquel cas notre système les aurait capté automatiquement. > > Cependant, parce que nous respectons la déontologie Internet, et votre droit à accepter ou non de rester sur notre forum, vous avez la liberté de vous enlever de la liste en suivant les instructions en bas de chaque page de message qui vous arrive de notre forum de discussion [BDPalabres]. > > Bonnes discussions au reste des braves qui bravent le statut quo pour exprimer, en bien ou en mal, leurs opinions et leur libre arbitre. > > > Webmaster. > BDP-Gabon Nouveau > > > > tsir.ella wrote: >> ___________________________________________________________ >> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> ___________________________________________________________ >> >> >> >> Débats libres pour libres pensées. >> >> Un forum de discussions n'est pas créé pour son auteur ni pour une élite. >> >> Un forum de discussions est comme une bibliothèque où l'on peut trouver des écrits les plus atroces et les plus extrêmes aux écrits les plus vertueux et intelligibles. Ex : les règles d'or de la vie ou la bible de Satan qui sont librement accessibles. >> >> En sortant d'une bibliothèque ou en y lisant un article qui fait l'antithèse de ses opinions, on ne dit pas que l'auteur de cet article doit être exclu de cette bibliothèque ou pire que cette bibliothèque est nulle ? >> Qu'est ce qui distinguerait alors un forum démocratique (par définition) d'une dictature que ce forum est présumé combattre ? >> >> Il n'y a donc ni "gang du net" ni vendetta. Il y a tout simplement un espace bien pensé, d'ailleurs par vous les auteurs, où les gabonais peuvent enfin venir exprimer leur avis qui, certes, n'est "malheureusement" pas toujours en accord avec le votre. Pourtant prémices (ou prémisses) de la démocratie, la vraie. >> >> Un forum n'est donc, ni pour son chef, ni pour une "élite" sinon autant lui retirer ce nom bien inspiré des espaces qui servaient à débattre des affaires publiques à Rome ; >> Pour tomber dans l'obscurantisme et le culte du nombrilisme. >> >> Dans un forum digne de son sens et dans une bibliothèque au sens noble, Tout y est pour l'objectivité du savoir. >> >> Votre frère Tsir'Ella >> >> Le 25 août 08 à 20:30, Théodore Mapangou a écrit : >> >>> ___________________________________________________________ >>> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >>> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >>> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >>> ___________________________________________________________ >>> >>> VOus les gens du BDP vous êtes des extréminstes. Vous ne ferez jamais partir Bongo Ondimba. NOus avons voté Bongo démocratiquement. Ce n'est pas de la faute de Bongo si vous êtes incapables dans l'opposition. >>> >>> Je soutiendrai Bongo Ondimba toute ma vie. C'est le meilleur président que le Gabon peut avoir, avec la paix qu'il assure depuis 40 ans. Le Gabon est maintenant un pays libre avec la démocratie et la liberté d'expression. Si vous n'avez rien d'autre à faire que médire sur le président Bongo Ondimba, alors que c'est lui a payé vos bourses pour aller faire les gros diplomes que vous avez, alors taisez-vous. Sans Bongo Ondimba, le Gabon serait dans la guerre civile depuis longtemps. >>> >>> Vive Bongo Ondimba, et en avant pour 2012! >>> >>> >>> >>> >>> BDP-Gabon Nouveau a écrit: >>>> ___________________________________________________________ >>>> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >>>> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >>>> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >>>> ___________________________________________________________ >>>> >>>> >>>> >>>> La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 >>>> >>>> Source: BDP, 25 août 2008 >>>> Catégorie(s): Activités, Vidéos >>>> Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ >>>> >>>> --- >>>> NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y a des hyperliens vers d'autres articles. >>>> --- >>>> >>>> La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le Dr. Daniel Mengara. >>>> >>>> Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ From protected at yahoo.com Tue Aug 26 20:22:55 2008 From: protected at yahoo.com (Jean Bika) Date: Tue, 26 Aug 2008 20:22:55 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat Message-ID: Monsieur Mayandji, vous avez tout dit. Les peuples qui ont sacrifié de leur sang et acheté la liberté avec leur sang comprennent mieux la valeur de la paix. le gabon, comme d'autres pays, devra passer par une étape de violence pour le comprendre. Une seule personne en sera la cause: Omar Bongo. Christian MAYANDJI a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > M. Mengara a le droit d'affirmer sa différence, comme tous ceux qui aspirent à un changement légitime au Gabon, au TOGO, dans d'autres pays, sur d'autres continents. > Cependant, je crois que nous évoluons vers des dérives qui me font craindre des tensions extrêmes. > Je résume la situation : les "opposants" attaquent les représentant s du pouvoir dans ce qu'il y a de plus bas; > les partisans du "pouvoir" s'entêtent dans leurs délires de candidats à la corruption, pour ceux qui n'y ont pas encore été initiés. > Entre ces extremes, ils y a des hommes et des femmes qui construisent patiemment leur vie, avec leur propre moyens, sans rien demander à personne, pas même à l'Etat. > Le seule chose que je me demande, c'est pourquoi l'opposition ne se donne pas une bonne fois pour toutes les moyens d'en découdre avec le pouvoir, ainsi que cela s'est produit dans les autres pays. > Il se peut qu'après le sacrifice du sang, chacun trouvera la voie de la raison et comprendra que la politique commence lorsqu'on découvre comment faire la différence entre l'intérêt général et les intérêts particuliers. la politque se fait lorsqu'on respecte l'individu, la personne quelque ses valeurs dans la mesure ou tout le monde respecte la loi républicaine. Elles se poursuit lorsque chacun comprend que l'Etat - en tant que représentant de l'intérêt général - n'est pas la propriété de personne, mais en tant que puissance publique c'est une personne morale avec son fonctionnement propre. > Il est inopérant que chacun puisse projeter ses propres asiptations dans l'Etat. l'Etat n'est la vache à lait de personne. C'est tout simplement une organisation dont la fonction est de gérer ce qui constitue le ^patrimoine commun. > Je crois que la plupart des conflits actuels proviennent que chacun - conservateurs et partisans du changement - ne percoive l'état que comme une vache à lait que chacun doit traire. > En tant qu'historien, je sais que le changement est inéluctable et surtout en marche... > MANGASS TTC > Christian MAYANDJI > Démarches-Gestion > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > CONVOYAGE EXPLOITATION > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > EUROPE - AFRIQUE > > > > --- En date de : Mar 26.8.08, Magloire Olympio a écrit : > > De: Magloire Olympio > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > À: bdpalabres at bdpgabon.org > Date: Mardi 26 Août 2008, 9h01 > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement > aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > Rebondissement dans l’affaire AKA : de nouveaux éléments qui confortent la > thèse de l’assassinat ; le frère cadet du défunt Maurille membre du régime > précipite son enterrement. > > > La tragique disparition du leader du MODENA Joachim Agbobli Atsutsè n’a pas > fini de révéler tous ses secrets. Après les résultats farfelus de > l’autopsie du professeur Napo-Koura et les conclusions tordues du procureur de > la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; de nouveaux éléments > viennent d’apparaître dans le dossier et confortent désormais, la thèse > d’un assassinat déguisé en suicide. Ces informations, nous les devons à > plusieurs amis du politologue (universitaires, hommes politiques, médecins, > journalistes) qui se sont mobilisés pour faire triompher la vérité. > > > > Le corps du défunt porte des traces d’électrocution > > > > La première information qui ressort de ces investigations est liée à des > lésions observées autour du coup et des parties génitales de la victime. Les > spécialistes en conclurent à une torture par des objets électriques. Pour ces > spécialistes, il est incroyable que le médecin légiste ait pu conclure en une > mort par suicide en passant sous silence ces différentes lésions que nous > venons de signaler. En réalité, AKA a été enlevé depuis la clinique, > conduit à un endroit secret et torturé à mort avant que le corps ne soit > jeté à la plage 24 h plus tard. C’est d’ailleurs ce scénario qui explique > la disparition des vêtements de la victime de même que l’abandon de son > portefeuille, et ses verres médicaux. La version du rendez-vous en plus du > parcours effectué attribué au chauffeur n’est qu’une pure invention sortie > des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA ne s’est jamais rendu à > un quelconque rendez-vous, il ne s’est jamais arrêté à l’Hôtel Palm > Beach et il ne s’est jamais rendu à l’Hôtel Sarakawa. D’ailleurs le > docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa serait sous d’énormes > pressions afin qu’il ne s’adresse à aucun média. A la clinique Biasa les > visites aux malades sont désormais réglementées. > > > > Maurille Agbobli dans le mauvais rôle > > > > Il n’est un secret pour personne que la famille Agbobli est partagée entre > l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont actuellement dans le cercle du > pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, universitaire, conseiller > diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite Maurille Edoh Agbobli ancien > ministre, membre du bureau politique du RPT. C’est donc ce dernier qui est > accusé aujourd’hui de dissuader la famille d’aller plus loin et précipite > par la même occasion l’enterrement de son frère. Alors que certains > évoquent encore une contre autopsie avec l’assistance des experts venus de > l’extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées dans la foulée pour les 29 > et 30 août prochain. > > > > Faure tapis dans l’ombre manœuvre et joue au chrono > > > > La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de l’actualité la récurrente > question de l’impunité qui caractérise depuis 40 ans le régime du RPT. > Faure qui espérait noyer cette question de l’impunité dans une mascarade de > réconciliation après les fameuses consultations nationales se retrouve du coup > dans une situation embarrassante. Depuis le palais de la Marina, il tire sur les > ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » qui n’a jamais accordé le > moindre crédit à la presse togolaise invite subitement par une méthode peu > orthodoxe des journalistes des médias publics et privés à une discussion à > battons rompus à la présidence de la République. Certains journalistes ( > médias d’Etat, radios et presses privées) se sont rendus donc ce jeudi à la > présidence de la République pour en ressortir plus tard avec des billets de > banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par tête. Tout ceci, après une > longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. D’autres journalistes qui > ont pu déceler là, le piège de la corruption ont décliné l’invitation > présidentielle. Lorsqu’on situe cette discussion avec les journalistes qui > ces derniers temps sont très critiques vis à vis du pouvoir de Faure dans le > contexte de la disparition tragique de AKA on comprend aisément la manœuvre du > pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en prenant habilement soin de > se donner le visage d’un président ouvert et préoccupé. > > > > Une opposition réduite à de simples communiqués > > > > Après la phase des communiqués de compassion certains responsables politiques > et associations de la société civile ont exhorté l’ensemble de > l’opposition à envisager des manifestions de rue dans le but d’exiger la > fin de l’impunité au Togo. Ces organisations ont été confrontées au refus > catégorique d’autres partis de l’opposition qui de par leur popularité > devraient servir de locomotive à cette initiative. Alors la question qui se > pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur de journée des communiqués > sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le leader du MODENA comme celui > du PSP qu’était Tavio Amorin ne dérangeait pas seulement le parti au pouvoir > par son engagement et ses débats mais aussi ses amis de l’opposition qu’il > croyait naïvement être ses frères. Aucune raison ne justifie aujourd’hui > l’inertie de cette opposition et de cette société civile qui jadis étaient > à l’avant garde de toute violation des droits de l’homme. La réalité est > que la société togolaise baigne désormais dans une corruption sans > précédent où des responsables insoupçonnés de certains partis actuels de > l’opposition émargent régulièrement dans le registre de Faure. Faure en > parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de morts a réussi un seul > coup celui, d’avoir mis l’opposition en lambeaux en enrôlant certains dans > son aventure gouvernementale et en renflouant les comptes en banque des autres > qui ne se contentent désormais que des communiqués. Voilà donc le drame qui > se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font semblant d’être encore > opposants mais qui dans la réalité ont changé depuis leurs vestes. AKA > n’est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais aussi d’une société > togolaise en manque de repères, de principes, où les hommes de valeurs qui > devraient servir de guide, de modèle sont crétinisés par un système pervers > et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur Fiadjoe et le chauffeur > devraient déjà prendre la parole pour libérer leurs consciences et situer les > togolais sur les réelles conditions de la mort mystérieuse et tragique de AKA. > Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette réalité, les Gnassingbé et > leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux jours devant eux. > > > > Simon de Fanti, tultogo.com From protected at hotmail.com Tue Aug 26 20:29:37 2008 From: protected at hotmail.com (Magloire Olympio) Date: Tue, 26 Aug 2008 20:29:37 -0400 Subject: [BDPalabres] Droits de l'homme Message-ID: roits de l'homme Joachim Agbobli Atsutsè a été torturé et assassiné par Tultogo.com le 25 août 2008, publié sur ufctogo.com Rebondissement dans l'affaire AKA : de nouveaux éléments qui confortent la thèse de l'assassinat ; le frère cadet du défunt Maurille membre du régime précipite son enterrement. La tragique disparition du leader du MODENA Joachim Agbobli Atsutsè n'a pas fini de révéler tous ses secrets. Après les résultats farfelus de l'autopsie du professeur Napo-Koura et les conclusions tordues du procureur de la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; de nouveaux éléments viennent d'apparaître dans le dossier et confortent désormais, la thèse d'un assassinat déguisé en suicide. Ces informations, nous les devons à plusieurs amis du politologue (universitaires, hommes politiques, médecins, journalistes) qui se sont mobilisés pour faire triompher la vérité. Le corps du défunt porte des traces d'électrocution La première information qui ressort de ces investigations est liée à des lésions observées autour du coup et des parties génitales de la victime. Les spécialistes en conclurent à une torture par des objets électriques. Pour ces spécialistes, il est incroyable que le médecin légiste ait pu conclure en une mort par suicide en passant sous silence ces différentes lésions que nous venons de signaler. En réalité, AKA a été enlevé depuis la clinique, conduit à un endroit secret et torturé à mort avant que le corps ne soit jeté à la plage 24 h plus tard. C'est d'ailleurs ce scénario qui explique la disparition des vêtements de la victime de même que l'abandon de son portefeuille, et ses verres médicaux. La version du rendez-vous en plus du parcours effectué attribué au chauffeur n'est qu'une pure invention sortie des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA ne s'est jamais rendu à un quelconque rendez-vous, il ne s'est jamais arrêté à l'Hôtel Palm Beach et il ne s'est jamais rendu à l'Hôtel Sarakawa. D'ailleurs le docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa serait sous d'énormes pressions afin qu'il ne s'adresse à aucun média. A la clinique Biasa les visites aux malades sont désormais réglementées. Maurille Agbobli dans le mauvais rôle Il n'est un secret pour personne que la famille Agbobli est partagée entre l'opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont actuellement dans le cercle du pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, universitaire, conseiller diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite Maurille Edoh Agbobli ancien ministre, membre du bureau politique du RPT. C'est donc ce dernier qui est accusé aujourd'hui de dissuader la famille d'aller plus loin et précipite par la même occasion l'enterrement de son frère. Alors que certains évoquent encore une contre autopsie avec l'assistance des experts venus de l'extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées dans la foulée pour les 29 et 30 août prochain. Faure tapis dans l'ombre manouvre et joue au chrono La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de l'actualité la récurrente question de l'impunité qui caractérise depuis 40 ans le régime du RPT. Faure qui espérait noyer cette question de l'impunité dans une mascarade de réconciliation après les fameuses consultations nationales se retrouve du coup dans une situation embarrassante. Depuis le palais de la Marina, il tire sur les ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » qui n'a jamais accordé le moindre crédit à la presse togolaise invite subitement par une méthode peu orthodoxe des journalistes des médias publics et privés à une discussion à battons rompus à la présidence de la République. Certains journalistes ( médias d'Etat, radios et presses privées) se sont rendus donc ce jeudi à la présidence de la République pour en ressortir plus tard avec des billets de banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par tête. Tout ceci, après une longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. D'autres journalistes qui ont pu déceler là, le piège de la corruption ont décliné l'invitation présidentielle. Lorsqu'on situe cette discussion avec les journalistes qui ces derniers temps sont très critiques vis à vis du pouvoir de Faure dans le contexte de la disparition tragique de AKA on comprend aisément la manouvre du pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en prenant habilement soin de se donner le visage d'un président ouvert et préoccupé. Une opposition réduite à de simples communiqués Après la phase des communiqués de compassion certains responsables politiques et associations de la société civile ont exhorté l'ensemble de l'opposition à envisager des manifestions de rue dans le but d'exiger la fin de l'impunité au Togo. Ces organisations ont été confrontées au refus catégorique d'autres partis de l'opposition qui de par leur popularité devraient servir de locomotive à cette initiative. Alors la question qui se pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur de journée des communiqués sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le leader du MODENA comme celui du PSP qu'était Tavio Amorin ne dérangeait pas seulement le parti au pouvoir par son engagement et ses débats mais aussi ses amis de l'opposition qu'il croyait naïvement être ses frères. Aucune raison ne justifie aujourd'hui l'inertie de cette opposition et de cette société civile qui jadis étaient à l'avant garde de toute violation des droits de l'homme. La réalité est que la société togolaise baigne désormais dans une corruption sans précédent où des responsables insoupçonnés de certains partis actuels de l'opposition émargent régulièrement dans le registre de Faure. Faure en parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de morts a réussi un seul coup celui, d'avoir mis l'opposition en lambeaux en enrôlant certains dans son aventure gouvernementale et en renflouant les comptes en banque des autres qui ne se contentent désormais que des communiqués. Voilà donc le drame qui se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font semblant d'être encore opposants mais qui dans la réalité ont changé depuis leurs vestes. AKA n'est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais aussi d'une société togolaise en manque de repères, de principes, où les hommes de valeurs qui devraient servir de guide, de modèle sont crétinisés par un système pervers et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur Fiadjoe et le chauffeur devraient déjà prendre la parole pour libérer leurs consciences et situer les togolais sur les réelles conditions de la mort mystérieuse et tragique de AKA. Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette réalité, les Gnassingbé et leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux jours devant eux. Simon de Fanti, tultogo.com © Copyright Tultogo.com - Visiter le site From protected at wanadoo.fr Wed Aug 27 15:04:20 2008 From: protected at wanadoo.fr (tsir.ella) Date: Wed, 27 Aug 2008 15:04:20 -0400 Subject: [BDPalabres] Vous avez dit violence : en effet ! Message-ID: La violence sous ses multiformes - La déformation de la vérité et la calomnie sont une forme de violence insidieuse. (Feu Eikath Ndame) - Diriger une nation depuis 41 ans sans alternance est une violence, la pire qui soit, dans une société où les générations d'hommes doivent se succéder. (Feu Nguéma Eikath) - Refuser la contradiction devant une situation qui oppose des opinions est une violence contre la pensée objective.(Feu Nguéma Eikath) - Violent est celui qui trompe un peuple, pervertit l'imaginaire de la jeunesse et corrompt les adultes. (Feu Eikath Ndame) - Violent est celui qui, en dirigeant un pays, confisque la liberté d'expression et la contradiction, les institutions et hypothèque les potentiels de son pays. (Feu Nguéma Eikath) - Violent est celui qui, en dirigeant pays, promet de mordre et de couper les doigts de ses contradicteurs politiques (non-conviviaux). (principes de lois constitutionnelles) - Violent est celui qui, en dirigeant un pays, confie tous les postes stratégiques de son pays aux membres de sa famille. (principes de lois constitutionnelles) - Violent est celui qui, en dirigeant un pays, privilégie sa famille au détriment de l'intérêt national. (principes de lois constitutionnelles) - Violent est celui qui, ayant dirigé son pays depuis 41 ans, à changé sans cesse son équipe mais sans résultat, sans se remettre en cause lui-même.(principe de bon sens) - Violent est celui qui, ayant dirigé son pays depuis 41 ans, demande encore aux citoyens de faire des efforts (dans un récent discours) alors que l'IDH de son pays est dégradant. (droits de l'homme) - Violent est celui qui, ayant dirigé son pays depuis 41 ans, est persuadé que son fils est la panacée pour un pays exsangue par sa gestion. (droits de l'homme) - Violent est celui qui, ayant dirigé son pays depuis 41 ans, se projette encore dans l'avenir de ce pays malgré l'échec de son règne. (principe de bon sens) - Violent est celui qui, en dirigeant son pays depuis 41 ans, a tué toute émulation au profit de la complaisance. - Violent est celui qui, en dirigeant son pays depuis 41 ans, s'est insolemment enrichit et les siens avec, pendant que de braves citoyens après 4 à 10 ans d'études supérieures qualifiantes (médecins, ingénieurs, enseignants....) ont des salaires mensuels minables d'environ 400000 CFA (600€). (droits de l'homme) - Violent est celui qui, en dirigeant son pays depuis 41 ans, a réussi à substituer la force universelle du droit à celle de l'arbitraire. (principes de l'état de droit) - Violent est celui qui, en dirigeant son pays depuis 41 ans, a su se servir du slogan "géopolitique" pour promouvoir son clan au détriment de la compétence. (principes de lois constitutionnelles) - Violent est celui qui, en dirigeant, depuis 41 ans, un pays d'à peine un million d'habitants avec un sous-sol et une forêt très riches n'a pu que s'enrichir tout seul sans pouvoir donner une vie décente ne fusse-qu'à 30% de ses concitoyens. (principes républicains) - Violent est celui qui, en dirigeant son pays depuis 41 ans, s'est substitué à tous les pouvoirs d'un état pour décider de tout et à la place de tout, transformant ses collègues en moutons. - La violence n'est pas que physique ni dans les mots, elle se cache aussi dans le culte de la personnalité. - La violence n'est pas que physique ni dans les mots, elle se cache aussi dans l'obstination à rester le dirigeant d'un état qui a échoué. - La violence n'est pas que physique ni dans le verbe, elle se cache aussi dans l'esprit de celui qui veut que tout ce qui existe autour de lui ne puisse pas briller sans s'incliner à lui. Que tout ce qui est beau et florissant soit violé par lui (sa chair et son esprit). (principes de Satan) From protected at yahoo.fr Wed Aug 27 18:00:06 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Wed, 27 Aug 2008 18:00:06 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat Message-ID: Il n'est pas question pour moi d'appeller à la guerre civile. Je suis tout simplement fatigué de voir une opposition qui si mal organisée et qui, contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les partisans du pouvoir défendent leurs privilèges. Je pense qu'à l'instar de la majorité des gabonais, je ne suis pas le partisan des aventures sans lendemain. Je pratique la politique des "petits pas", celle qui consiste à apporter des solutions ciblées aux populations au fur et à mesure que les problèmes sont identifiés et que les moyens sont constitués. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Mer 27.8.08, Jean Bika a écrit : De: Jean Bika Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Mercredi 27 Août 2008, 2h22 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ Monsieur Mayandji, vous avez tout dit. Les peuples qui ont sacrifié de leur sang et acheté la liberté avec leur sang comprennent mieux la valeur de la paix. le gabon, comme d'autres pays, devra passer par une étape de violence pour le comprendre. Une seule personne en sera la cause: Omar Bongo. Christian MAYANDJI a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > M. Mengara a le droit d'affirmer sa différence, comme tous ceux qui aspirent à un changement légitime au Gabon, au TOGO, dans d'autres pays, sur d'autres continents. > Cependant, je crois que nous évoluons vers des dérives qui me font craindre des tensions extrêmes. > Je résume la situation : les "opposants" attaquent les représentant s du pouvoir dans ce qu'il y a de plus bas; > les partisans du "pouvoir" s'entêtent dans leurs délires de candidats à la corruption, pour ceux qui n'y ont pas encore été initiés. > Entre ces extremes, ils y a des hommes et des femmes qui construisent patiemment leur vie, avec leur propre moyens, sans rien demander à personne, pas même à l'Etat. > Le seule chose que je me demande, c'est pourquoi l'opposition ne se donne pas une bonne fois pour toutes les moyens d'en découdre avec le pouvoir, ainsi que cela s'est produit dans les autres pays. > Il se peut qu'après le sacrifice du sang, chacun trouvera la voie de la raison et comprendra que la politique commence lorsqu'on découvre comment faire la différence entre l'intérêt général et les intérêts particuliers. la politque se fait lorsqu'on respecte l'individu, la personne quelque ses valeurs dans la mesure ou tout le monde respecte la loi républicaine. Elles se poursuit lorsque chacun comprend que l'Etat - en tant que représentant de l'intérêt général - n'est pas la propriété de personne, mais en tant que puissance publique c'est une personne morale avec son fonctionnement propre. > Il est inopérant que chacun puisse projeter ses propres asiptations dans l'Etat. l'Etat n'est la vache à lait de personne. C'est tout simplement une organisation dont la fonction est de gérer ce qui constitue le ^patrimoine commun. > Je crois que la plupart des conflits actuels proviennent que chacun - conservateurs et partisans du changement - ne percoive l'état que comme une vache à lait que chacun doit traire. > En tant qu'historien, je sais que le changement est inéluctable et surtout en marche... > MANGASS TTC > Christian MAYANDJI > Démarches-Gestion > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > CONVOYAGE EXPLOITATION > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > EUROPE - AFRIQUE > > > > --- En date de : Mar 26.8.08, Magloire Olympio a écrit : > > De: Magloire Olympio > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > À: bdpalabres at bdpgabon.org > Date: Mardi 26 Août 2008, 9h01 > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement > aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > Rebondissement dans l’affaire AKA : de nouveaux éléments qui confortent la > thèse de l’assassinat ; le frère cadet du défunt Maurille membre du régime > précipite son enterrement. > > > La tragique disparition du leader du MODENA Joachim Agbobli Atsutsè n’a pas > fini de révéler tous ses secrets. Après les résultats farfelus de > l’autopsie du professeur Napo-Koura et les conclusions tordues du procureur de > la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; de nouveaux éléments > viennent d’apparaître dans le dossier et confortent désormais, la thèse > d’un assassinat déguisé en suicide. Ces informations, nous les devons à > plusieurs amis du politologue (universitaires, hommes politiques, médecins, > journalistes) qui se sont mobilisés pour faire triompher la vérité. > > > > Le corps du défunt porte des traces d’électrocution > > > > La première information qui ressort de ces investigations est liée à des > lésions observées autour du coup et des parties génitales de la victime. Les > spécialistes en conclurent à une torture par des objets électriques. Pour ces > spécialistes, il est incroyable que le médecin légiste ait pu conclure en une > mort par suicide en passant sous silence ces différentes lésions que nous > venons de signaler. En réalité, AKA a été enlevé depuis la clinique, > conduit à un endroit secret et torturé à mort avant que le corps ne soit > jeté à la plage 24 h plus tard. C’est d’ailleurs ce scénario qui explique > la disparition des vêtements de la victime de même que l’abandon de son > portefeuille, et ses verres médicaux. La version du rendez-vous en plus du > parcours effectué attribué au chauffeur n’est qu’une pure invention sortie > des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA ne s’est jamais rendu à > un quelconque rendez-vous, il ne s’est jamais arrêté à l’Hôtel Palm > Beach et il ne s’est jamais rendu à l’Hôtel Sarakawa. D’ailleurs le > docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa serait sous d’énormes > pressions afin qu’il ne s’adresse à aucun média. A la clinique Biasa les > visites aux malades sont désormais réglementées. > > > > Maurille Agbobli dans le mauvais rôle > > > > Il n’est un secret pour personne que la famille Agbobli est partagée entre > l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont actuellement dans le cercle du > pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, universitaire, conseiller > diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite Maurille Edoh Agbobli ancien > ministre, membre du bureau politique du RPT. C’est donc ce dernier qui est > accusé aujourd’hui de dissuader la famille d’aller plus loin et précipite > par la même occasion l’enterrement de son frère. Alors que certains > évoquent encore une contre autopsie avec l’assistance des experts venus de > l’extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées dans la foulée pour les 29 > et 30 août prochain. > > > > Faure tapis dans l’ombre manœuvre et joue au chrono > > > > La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de l’actualité la récurrente > question de l’impunité qui caractérise depuis 40 ans le régime du RPT. > Faure qui espérait noyer cette question de l’impunité dans une mascarade de > réconciliation après les fameuses consultations nationales se retrouve du coup > dans une situation embarrassante. Depuis le palais de la Marina, il tire sur les > ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » qui n’a jamais accordé le > moindre crédit à la presse togolaise invite subitement par une méthode peu > orthodoxe des journalistes des médias publics et privés à une discussion à > battons rompus à la présidence de la République. Certains journalistes ( > médias d’Etat, radios et presses privées) se sont rendus donc ce jeudi à la > présidence de la République pour en ressortir plus tard avec des billets de > banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par tête. Tout ceci, après une > longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. D’autres journalistes qui > ont pu déceler là, le piège de la corruption ont décliné l’invitation > présidentielle. Lorsqu’on situe cette discussion avec les journalistes qui > ces derniers temps sont très critiques vis à vis du pouvoir de Faure dans le > contexte de la disparition tragique de AKA on comprend aisément la manœuvre du > pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en prenant habilement soin de > se donner le visage d’un président ouvert et préoccupé. > > > > Une opposition réduite à de simples communiqués > > > > Après la phase des communiqués de compassion certains responsables politiques > et associations de la société civile ont exhorté l’ensemble de > l’opposition à envisager des manifestions de rue dans le but d’exiger la > fin de l’impunité au Togo. Ces organisations ont été confrontées au refus > catégorique d’autres partis de l’opposition qui de par leur popularité > devraient servir de locomotive à cette initiative. Alors la question qui se > pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur de journée des communiqués > sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le leader du MODENA comme celui > du PSP qu’était Tavio Amorin ne dérangeait pas seulement le parti au pouvoir > par son engagement et ses débats mais aussi ses amis de l’opposition qu’il > croyait naïvement être ses frères. Aucune raison ne justifie aujourd’hui > l’inertie de cette opposition et de cette société civile qui jadis étaient > à l’avant garde de toute violation des droits de l’homme. La réalité est > que la société togolaise baigne désormais dans une corruption sans > précédent où des responsables insoupçonnés de certains partis actuels de > l’opposition émargent régulièrement dans le registre de Faure. Faure en > parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de morts a réussi un seul > coup celui, d’avoir mis l’opposition en lambeaux en enrôlant certains dans > son aventure gouvernementale et en renflouant les comptes en banque des autres > qui ne se contentent désormais que des communiqués. Voilà donc le drame qui > se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font semblant d’être encore > opposants mais qui dans la réalité ont changé depuis leurs vestes. AKA > n’est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais aussi d’une société > togolaise en manque de repères, de principes, où les hommes de valeurs qui > devraient servir de guide, de modèle sont crétinisés par un système pervers > et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur Fiadjoe et le chauffeur > devraient déjà prendre la parole pour libérer leurs consciences et situer les > togolais sur les réelles conditions de la mort mystérieuse et tragique de AKA. > Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette réalité, les Gnassingbé et > leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux jours devant eux. > > > > Simon de Fanti, tultogo.com From protected at bdpgabon.org Wed Aug 27 21:19:22 2008 From: protected at bdpgabon.org (Dr. Daniel Mengara) Date: Wed, 27 Aug 2008 21:19:22 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat Message-ID: Monsieur Mayandji, cher frère: Le paradoxe que je constate dans votre argumentaire est exactement celui qui découle des tares que vous reprochez aux autres. Vous vous dites "fatigué" de voir une opposition mal organisée, et qui, je vous cite, "contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les partisans du pouvoir défendent leurs privilèges." Bien! Et vous ajoutez, ensuite, en censeur des méthodes précipitées, que vous êtes partisan des petits pas ciblés, ceux des solutions "au fur et à mesure". Bien aussi ! MAIS, mon frère, en quoi donc cette démarche serait-elle différente de celle de Mba Abessole qui, lui, préfère faire les choses à "petits pas ciblés" de l'intérieur du régime, ou de Mamboundou, qui, lui, pense désormais qu'un raprochement entre lui et Bongo, aussi avare de résultats que ce rapprochement soit, apportera de petis changements progressifs qui lui sont plus acceptables que la guerre ou la violence, même si pour cela le peuple gabonais doit attrendre 100 ans de plus?! Il me semble que vous êtes exactement dans la logique de cette opposition que vous fustigez, non? Il y a une seconde contradiction dans votre argument car, si l'on prend votre critique à la lettre, on voit que si l'opposition dont vous parlez était mieux organisée et devenait comme celle des autres pays, elle contredirait immédiatement votre théorie des "petits pas" puisqu'elle précipiterait TOUT! Ce qui ne serait pas non plus à votre goût des "petits pas ciblés", il me semble, n'est-ce pas, cher ami? Le problème des censeurs invétérés comme vous et moi, cher frère, est que nous croyons souvent détenir la vérité absolue, alors que, en réalité, nous ne brassons que du vide, du vent. Par exemple: vous qui vous dites fatigué de voir une opposition inepte, vous rendez-vous au moins compte que, du haut de votre piédestal de censeur (un peu comme moi), vous êtes en train de dire que vous savez mieux que cette opposition ce qu'il faut faire pour résoudre la problématique gabonaise? Si tel est le cas, bien! Mais, dans ce cas, je me permettrai la remarque suivante: si, donc, comme le laisse supposer votre message, vous avez la solution parce que mieux et plus éclairé, on se demande ce que vous attendez pour créer, VOUS-MEME, cette opposition CAPABLE qui, elle, pourra, à votre convenance (puisque vous en aurez été l'initiateur éclairé), satisfaire à vos exigences de meilleure organisation!! Mieux encore, si vous ne pouvez la créer indépendamment, rien ne vous interdit de vous engager à ses côtés pour lui faire bénéficier de vos hautes inspirations! Là ou d'autres ont failli, vous réussirez peut-être! Pourquoi, dans ce cas, priver le pays de votre infinie sagesse, et surtout du potentiel d'une réussite par VOUS, là où les autres ont échoué!? En fin de compte, frère, je peux affirmer sans méchanceté, mais aussi sans me tromper, que, comme nous tous, vous êtes bel et bien le produit du bongoïsme, non pas parce que vous êtes bongoïstes (je ne crois pas que vous le soyez), mais plutôt parce que vous souffrez des mêmes tares qui nous polluent tous, nous qui, vitupérant de l'ombre (engagés nulle part) ou de derrière nos ordinateurs (comme moi), croyons pouvoir faire avancer la cause gabonaise en critiquant, de loin, ceux qui, eux, ont, au moins, osé s'aventurer sur la voie de l'opposition ouverte et radicale. Dans un de mes récents articles, j'ai souligné le fait que les citoyens que nous sommes ne devons jamais reprocher à l'opposition ses échecs si ces échecs s'expliquent par une conjoncture indépendante de sa volonté. L'échec ou la réussite, en tout combat politique, est une situation qui, en elle-même, est fonction du moment et de la conjoncture sociopolitique et socioculturelle du moment. On peut échouer inexplicablement dans un contxete pourtant très favorable (Mba Abessole, Mamboundou) ou réussir au moment le plus inattendu (Géorgie, Ukraine, Russie, Indonésie, Pakistan, etc.). Mais ce n'est pas l'échec qui est, en lui-même, un problème. Ce que nous devons reprocher à l'opposition, à NOTRE opposition, ce sont les RENONCEMENTS qui causent l'échec, surtout quand ces renoncements bafouent les principes les plus élémentaires de la décence humaine et/ou citoyenne. Autrement dit, qu'elle soit organisée ou désorganisée, rien ne garantit la réussite de l'opposition. Ce qui importe, par contre, est que cette opposition reste déterminée dans son intention et sa conviction, génération par génération, et génération après génération. Personnellement, je ne reproche leur échec ni à Mamboundou, ni à Mba Abessole. Ce que je leur reproche, c'est leur renoncement. Et parce que je sais que l'échec peut être au rendez-vous de tout opposant de bonne volonté, même sans renoncement, j'essaie de m'engager dans l'espoir de non seulement mieux faire, mais aussi de POUVOIR réussir (sans pour autant croire que je suis celui qui réussira forcément; je ne sais de moi que ma conviction. L'avenir, lui, appartient à Dieu). Mais ce que je m'interdis en tant que citoyen responsable, c'est le découragement ou la fatigue qui me met hors-jeu de l'histoire et de la société. Il n'y a pas de renoncement pire que celui qui est fait juste parce que d'autres ont renoncé ou échoué. C'est là une conclusion trop facile qui ne ferait pas de moi un meilleur citoyen que ceux que je critique. Il est bien de critiquer. Mais il est encore mieux de critiquer quand on est, soi-même, engagé dans une tentative de salut national. Quand j'ai créé le BDP-Gabon Nouveau, je l'ai fait sur la base du constat d'échec de Paul Mba Abessole et de Pierre Mamboundou, et ceci dès décembre 1998. Dès 1998, j'avais déjà vu, dans leurs attitudes, les germes non pas de l'échec, mais du renoncement. Et je me suis juré, en m'engageant OUVERTEMENT, d'ESSAYER de mieux faire qu'eux, et surtout, de ne JAMAIS RENONCER, comme eux, aux idéaux qui furent leurs et qui sont aujourd'hui miens. Et j'attends de citoyens responsables la même réaction que moi. En d'autres termes, si aujourd'hui ou dans 10 ans, mes concitoyens constatent mon échec et croient pouvoir mieux faire que moi, je ne trouverai satisfaction que dans un acte d'engagement de leur part qui puisse reprendre le combat là où j'ai échoué, et le mener à finalité, avec ou sans moi. Autrement dit, cher frère, en quoi un citoyen peut-il croire être plus utile à la société que le bébé qui vient de naître et qui suce le lait maternel en toute insouciance s'il ne ponctue pas sa critique par un acte d'engagement concret? En quoi peut-il être meilleur que le chien errant qui, n'ayant d'autre objectif dans la vie que la recherche de l'os dans les poubelles, ne se soucie guère de ce qu'il fera le jour d'après? En quoi peut-il être différent d'Omar Bongo qui, à la tête du Gabon depuis 41 ans, ne se soucie guère des souffrances de son peuple? Du moment que, lui, mange bien et fait son petit truc dans son coin, que lui importe, à Bongo ou à ce citoyen individualiste, que le reste des Gabonais tire le dibale par la queue? Le principe d'une opposition, cher frère, n'est pas de détenir la science infuse ou la solution toute faite. Le principe d'une opposition n'est pas non plus d'être capable de tout accomplir de son vivant ou de tout réussir. Le principe d'une véritable opposition réside dans sa capacité non seulement à assumer le rôle de défense des intérêts citoyens qui est le sien, mais également d'en mobiliser et d'en étendre la conscience aux générations futures. Faire de l'opposition découle d'une culture politique qui, procédant par tâtonnements et par hypothèses, finit un jour par le triomphe des forces du changement dès lors qu'il n'y aurait aucune cassure générationnelle dans la continuité des engagements. Le but n'est donc pas que Mamboundou ou Mengara réussisse de son vivant. Le but est, pour tous ceux qui s'engagent ou épaulent ceux qui s'engagent, de toujours tenter le changement en fonction de leur inspiration, et s'ils échouent malgré leur bonne volonté, il leur est important de pouvoir compter sur ceux qui, dans les générations présentes ou futures, pourront prendre la relève et continuer le combat pour la dignité. Or, pour que les tâtonnements des uns et des autres arrivent à une solution avérée (comprenez, victoire), il faut bien que des hommes comme vous, Monsieur Mayandji, aient le courage de contribuer OUVERTEMENT, et AU SEIN DE CETTE OPPOSITION DEFICIENTE ou en dehors d'elle par une OPPOSITION NOUVELLE, leur éclairage (tout en gardant à l'esprit le simple fait, modeste, que cet éclairage ne sera pas forcément la panacée qui mènerait à la réussite). Tout acte d'opposition est alors vu comme une tentative stratégique qui comporte en elle un espoir de réussite et non une certitude. Faire de l'opposition n'est ni un travail de nanochirurgie ni un travail de nanoscience. Faire de l'opposition, c'est un peu comme un opérateur de mitrailleuse qui tire une centaine de balles en direction d'une cible, avec l'espoir qu'une des balles fera mouche. Bref, l'opposition pour moi se résume ainsi: devant l'incertitude, les hésitations et les tâtonnements, tout ce qui peut être tenté doit être tenté, génération par génération, et génération après génération. Quand Mengara ou Mamboundou tombe, victime de la corruption ou de la fatiguue, il doit toujours se trouver un Mayandji pour, soit prendre la relève pour continuer le combat, soit donner des béquilles à ceux qui, ayant tenté toute leur vie, n'arrivent plus à tenir debout tous seuls. Il ne sert donc à RIEN pour un cotoyen de brayer, DU DEHORS, qu'il est fatigué par l'inorganisation de l'opposition quand, dans le même temps, il se refuse à y entrer, collectivement ou indépendamment, pour aider à son REDRESSEMENT. En d'autres termes, l'inorganisation de l'opposition est autant de VOTRE faute, frère Mayandji, que de la mienne et de celle de tous ceux qui participent de cette opposition inepte que vous critiquez. Imaginez, cher frère, un seul moment le cas de figure suivant: 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le sait). 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. 3) Monsieur Mayandji, au lieu de se déclarer fatigué, entre dans l'opposition ou crée son opposition, pour redresser l'opposition. 4) L'opposition, bénéficiant enfin de la science de Monsieur Mayandji, arrive enfin à s'organiser. 5) 2009, l'opposition chasse Bongo du pouvoir et commence la reconstruction du pays, grâce à la contribution spectaculaire de Monsieur Mayandji. 6) Le Gabon est enfin sauvé et Monsieur Mayandji est fait héros national avec un mausolée lui reconnaissant une contribution historique de patriote. Bien! IMAGINONS maintenant l'autre cas de figure, c'est-à-dire, l'affirmation ou la perennisation de la sitaution de passivité et d'immobilisme (donc de renoncement) dans laquelle vous vous trouvez, cher frère, et ceci malgré vos critiques incantatoires: 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le sait). 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. 3) MAIS Monsieur Mayandji, fatigué par le désastre d'une opposition désorganisée, reste dans l'ombre, refuse de s'engager et garde sa solution pour lui-même. 4) L'opposition, ne bénéficiant pas de la science de MOnsieur Mayandji, sombre encore plus dans la désorganisation et s'étiole. 5) 2012, Bongo est réelu. 2019, Ali Bongo est élu. 2026 Ali Bongo est réélu, jusqu'à perpète. 2030, Le Gabon n'a plus de pétrole. N'ayant jamais préparé l'après pétrole, le Gabon, en 2033, est le pays le plus pauvre du monde. 6) 2034, Monsieur Mayandji meurt de palu au dispensaire de Nkembo, parce qu'au Gabon, la pauvreté est devenue telle que ses petits enfants, sans emploi, n'ont pas assez d'argent pour lui acheter un comprimé de Fansidar, et les économies qu'il avait faites pour sa retraite en 2026 ont fondu comme beurre au soleil devant la vie chère qui est maintenant au Gabon comme celle du Zimbabwé: 1000% Autrement dit, Monsieur Mayandji, ceux qui s'engagent et essaient, même dans la désorganisation et l'échec, valent mieux comme citoyens que ceux qui, de loin, critiquent, se disent plus compétents, mais pourtant, se refusent à montrer, par l'engagement concret, comment ils peuvent mieux réussir que les autres. Et cette leçon, croyez-moi, vaut pour nous tous, moi y compris. La question, en fin de compte, n'est pas de savoir qui a échoué ou qui a réussi. Ce qu'il faut, c'est étudier comment, par la combinaisaon des efforts et des inspirations, nous pourrions, ENSEMBLE ET/OU SEPAREMMENT, contribuer à l'objectif de consolidation d'une opposition engagée qui soit capable de résister aux prostitutions qui enfantent de ce renoncement qui compromet la réussite. L'image à avoir en tête ici est celle de soldats sur un champ de bataille. Quand ils s'avancent, l'ennemi les fauche. Certains tombent, mais d'autres avancent. A la fin, ce sera à qui avancera avec plus de résolution que la victoire appartiendra. PLus proche de nous, cette image marche de la façon suivante. En face de Mamboundou, Mba Abessole, Mayandji et Mengara, il y a Bongo avec un fusil à trois balles. Devant les tirs de Bongo, Mba Abessole tombe. Puis c'est le tour de Mamboundou, et enfin Daniel Mengara. Maintenant, Bongo n'a plus de balles et Mayandji reste debout, vivant, devant un Bongo désemparé. Sous la rage des années de brimades subies, Mayandji étrangle Bongo et le pend à un arbre, pour les vautours. Le Gabon est libéré. Autrement dit, dans tout combat, certains tombent sous les balles ou sous la peur, mais d'autres, surtout ceux qui se font censeurs des autres, doivent être capables de continuer la lutte. Il est impardonnable de renoncer ou de se fatiguer parce qu'on a vu certains tomber, et ensuite se retourner pour critiquer ceux qui sont tombés ou se sont enfuis. Si on a de la conviction, on doit continuer, sinon on ne sert à rien dans la société des hommes. L'opposition, cher ami, ne peut être vue comme une aventure sans lendemain. Le dire de cette manière, c'est voir l'opposition comme une affaire basée sur le court terme de nos courtes vies, et non comme une continuité que chaque génération se doit de pérpétuer, pour elle-même et pour les autres. Autrement dit, chaque citoyen qui se bat ne doit jamais limiter l'idée de l'opposition à ce qu'il peut y gagner de son vivant, mais plutôt la construire sur les principes de participation qui lui permettraient de faire sa part de contributions à l'édifice de redressement national. Autrement dit, la valeur d'un vrai citoyen ne se mesure pas à combien de théories il peut émettre. Tant qu'il n'est pas prêt, de par LUI-MEME, à tester ses propres théories et même à les mettre en pratique au service de la nation, il ne vaut rien pour la société. Et la question que le citoyen modeste posera toujours à ces censeurs invétérés que nous sommes, vous et moi, est la suivante: est-ce que tu peux faire mieux, toi qui parle beaucoup, beaucoup, beaucoup? A cette question, je crois que nous savons déjà la réponse. Daniel Mengara Christian MAYANDJI wrote: ___________________________________________________________ > > > > Il n'est pas question pour moi d'appeller à la guerre civile. Je suis tout simplement fatigué de voir une opposition qui si mal organisée et qui, contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les partisans du pouvoir défendent leurs privilèges. > Je pense qu'à l'instar de la majorité des gabonais, je ne suis pas le partisan des aventures sans lendemain. Je pratique la politique des "petits pas", celle qui consiste à apporter des solutions ciblées aux populations au fur et à mesure que les problèmes sont identifiés et que les moyens sont constitués. > MANGASS TTC > Christian MAYANDJI > Démarches-Gestion > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > CONVOYAGE EXPLOITATION > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > EUROPE - AFRIQUE > > > > --- En date de : Mer 27.8.08, Jean Bika a écrit : > > De: Jean Bika > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > À: bdpalabres at bdpgabon.org > Date: Mercredi 27 Août 2008, 2h22 > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement > aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > Monsieur Mayandji, vous avez tout dit. Les peuples qui ont sacrifié de leur > sang et acheté la liberté avec leur sang comprennent mieux la valeur de la > paix. le gabon, comme d'autres pays, devra passer par une étape de violence > pour le comprendre. Une seule personne en sera la cause: Omar Bongo. > > > Christian MAYANDJI a écrit: > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout > simplement aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > M. Mengara a le droit d'affirmer sa différence, comme tous ceux qui > aspirent à un changement légitime au Gabon, au TOGO, dans d'autres pays, > sur d'autres continents. > > Cependant, je crois que nous évoluons vers des dérives qui me font > craindre des tensions extrêmes. > > Je résume la situation : les "opposants" attaquent les > représentant s du pouvoir dans ce qu'il y a de plus bas; > > les partisans du "pouvoir" s'entêtent dans leurs délires > de candidats à la corruption, pour ceux qui n'y ont pas encore été > initiés. > > Entre ces extremes, ils y a des hommes et des femmes qui construisent > patiemment leur vie, avec leur propre moyens, sans rien demander à personne, > pas même à l'Etat. > > Le seule chose que je me demande, c'est pourquoi l'opposition ne > se donne pas une bonne fois pour toutes les moyens d'en découdre avec le > pouvoir, ainsi que cela s'est produit dans les autres pays. > > Il se peut qu'après le sacrifice du sang, chacun trouvera la voie de > la raison et comprendra que la politique commence lorsqu'on découvre > comment faire la différence entre l'intérêt général et les intérêts > particuliers. la politque se fait lorsqu'on respecte l'individu, la > personne quelque ses valeurs dans la mesure ou tout le monde respecte la loi > républicaine. Elles se poursuit lorsque chacun comprend que l'Etat - en > tant que représentant de l'intérêt général - n'est pas la > propriété de personne, mais en tant que puissance publique c'est une > personne morale avec son fonctionnement propre. > > Il est inopérant que chacun puisse projeter ses propres asiptations dans > l'Etat. l'Etat n'est la vache à lait de personne. C'est tout > simplement une organisation dont la fonction est de gérer ce qui constitue le > ^patrimoine commun. > > Je crois que la plupart des conflits actuels proviennent que chacun - > conservateurs et partisans du changement - ne percoive l'état que comme une > vache à lait que chacun doit traire. > > En tant qu'historien, je sais que le changement est inéluctable et > surtout en marche... > > MANGASS TTC > > Christian MAYANDJI > > Démarches-Gestion > > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > > CONVOYAGE EXPLOITATION > > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > > EUROPE - AFRIQUE > > > > > > > > --- En date de : Mar 26.8.08, Magloire Olympio > a écrit : > > > > De: Magloire Olympio > > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > Date: Mardi 26 Août 2008, 9h01 > > > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos > messages > > apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout > simplement > > aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > ___________________________________________________________ > > > > > > Rebondissement dans l’affaire AKA : de nouveaux éléments qui > confortent la > > thèse de l’assassinat ; le frère cadet du défunt Maurille membre > du régime > > précipite son enterrement. > > > > > > La tragique disparition du leader du MODENA Joachim Agbobli Atsutsè > n’a pas > > fini de révéler tous ses secrets. Après les résultats farfelus de > > l’autopsie du professeur Napo-Koura et les conclusions tordues du > procureur de > > la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; de nouveaux > éléments > > viennent d’apparaître dans le dossier et confortent désormais, la > thèse > > d’un assassinat déguisé en suicide. Ces informations, nous les > devons à > > plusieurs amis du politologue (universitaires, hommes politiques, > médecins, > > journalistes) qui se sont mobilisés pour faire triompher la vérité. > > > > > > > > Le corps du défunt porte des traces d’électrocution > > > > > > > > La première information qui ressort de ces investigations est liée > à des > > lésions observées autour du coup et des parties génitales de la > victime. Les > > spécialistes en conclurent à une torture par des objets > électriques. Pour ces > > spécialistes, il est incroyable que le médecin légiste ait pu > conclure en une > > mort par suicide en passant sous silence ces différentes lésions que > nous > > venons de signaler. En réalité, AKA a été enlevé depuis la > clinique, > > conduit à un endroit secret et torturé à mort avant que le corps ne > soit > > jeté à la plage 24 h plus tard. C’est d’ailleurs ce scénario > qui explique > > la disparition des vêtements de la victime de même que l’abandon > de son > > portefeuille, et ses verres médicaux. La version du rendez-vous en > plus du > > parcours effectué attribué au chauffeur n’est qu’une pure > invention sortie > > des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA ne s’est jamais > rendu à > > un quelconque rendez-vous, il ne s’est jamais arrêté à l’Hôtel > Palm > > Beach et il ne s’est jamais rendu à l’Hôtel Sarakawa. > D’ailleurs le > > docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa serait sous > d’énormes > > pressions afin qu’il ne s’adresse à aucun média. A la clinique > Biasa les > > visites aux malades sont désormais réglementées. > > > > > > > > Maurille Agbobli dans le mauvais rôle > > > > > > > > Il n’est un secret pour personne que la famille Agbobli est > partagée entre > > l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont actuellement dans le > cercle du > > pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, universitaire, conseiller > > diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite Maurille Edoh Agbobli > ancien > > ministre, membre du bureau politique du RPT. C’est donc ce dernier > qui est > > accusé aujourd’hui de dissuader la famille d’aller plus loin et > précipite > > par la même occasion l’enterrement de son frère. Alors que > certains > > évoquent encore une contre autopsie avec l’assistance des experts > venus de > > l’extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées dans la foulée > pour les 29 > > et 30 août prochain. > > > > > > > > Faure tapis dans l’ombre manœuvre et joue au chrono > > > > > > > > La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de l’actualité la > récurrente > > question de l’impunité qui caractérise depuis 40 ans le régime du > RPT. > > Faure qui espérait noyer cette question de l’impunité dans une > mascarade de > > réconciliation après les fameuses consultations nationales se > retrouve du coup > > dans une situation embarrassante. Depuis le palais de la Marina, il > tire sur les > > ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » qui n’a jamais > accordé le > > moindre crédit à la presse togolaise invite subitement par une > méthode peu > > orthodoxe des journalistes des médias publics et privés à une > discussion à > > battons rompus à la présidence de la République. Certains > journalistes ( > > médias d’Etat, radios et presses privées) se sont rendus donc ce > jeudi à la > > présidence de la République pour en ressortir plus tard avec des > billets de > > banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par tête. Tout ceci, > après une > > longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. D’autres > journalistes qui > > ont pu déceler là, le piège de la corruption ont décliné > l’invitation > > présidentielle. Lorsqu’on situe cette discussion avec les > journalistes qui > > ces derniers temps sont très critiques vis à vis du pouvoir de Faure > dans le > > contexte de la disparition tragique de AKA on comprend aisément la > manœuvre du > > pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en prenant > habilement soin de > > se donner le visage d’un président ouvert et préoccupé. > > > > > > > > Une opposition réduite à de simples communiqués > > > > > > > > Après la phase des communiqués de compassion certains responsables > politiques > > et associations de la société civile ont exhorté l’ensemble de > > l’opposition à envisager des manifestions de rue dans le but > d’exiger la > > fin de l’impunité au Togo. Ces organisations ont été confrontées > au refus > > catégorique d’autres partis de l’opposition qui de par leur > popularité > > devraient servir de locomotive à cette initiative. Alors la question > qui se > > pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur de journée des > communiqués > > sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le leader du MODENA > comme celui > > du PSP qu’était Tavio Amorin ne dérangeait pas seulement le parti > au pouvoir > > par son engagement et ses débats mais aussi ses amis de > l’opposition qu’il > > croyait naïvement être ses frères. Aucune raison ne justifie > aujourd’hui > > l’inertie de cette opposition et de cette société civile qui jadis > étaient > > à l’avant garde de toute violation des droits de l’homme. La > réalité est > > que la société togolaise baigne désormais dans une corruption sans > > précédent où des responsables insoupçonnés de certains partis > actuels de > > l’opposition émargent régulièrement dans le registre de Faure. > Faure en > > parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de morts a réussi > un seul > > coup celui, d’avoir mis l’opposition en lambeaux en enrôlant > certains dans > > son aventure gouvernementale et en renflouant les comptes en banque > des autres > > qui ne se contentent désormais que des communiqués. Voilà donc le > drame qui > > se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font semblant d’être > encore > > opposants mais qui dans la réalité ont changé depuis leurs vestes. > AKA > > n’est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais aussi d’une > société > > togolaise en manque de repères, de principes, où les hommes de > valeurs qui > > devraient servir de guide, de modèle sont crétinisés par un > système pervers > > et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur Fiadjoe et le > chauffeur > > devraient déjà prendre la parole pour libérer leurs consciences et > situer les > > togolais sur les réelles conditions de la mort mystérieuse et > tragique de AKA. > > Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette réalité, les > Gnassingbé et > > leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux jours devant eux. > > > > > > > > Simon de Fanti, tultogo.com From protected at yahoo.fr Wed Aug 27 22:11:11 2008 From: protected at yahoo.fr (Alice Vincent) Date: Wed, 27 Aug 2008 22:11:11 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: De la démocratie et de la liberté d'expression Message-ID: Chers compatriotes, L'UNIFANG est un cercle de réflexion de l'avant-garde des Fangs. Une Réflexion de libération et de renaissance nationale du peuple Fang dans sa partie historique, l'unité du peuple fang, n'a jamais cessé d'accompagner les enfants des douzes tribus pendant des siècles. On ne dira jamais assez le lien continu qui pendant cette nuit de vexations, de brimades, de massacres et parfois d'oubli de soi-même. Tout au long des siècles, des Fangs se sont accrochés au sol ancestral et des Fangs doivent s'unir. La civilisation Fang repose sur trois éléments indissociables: la famille, la Terre, et l'unité du peuple Fang. Au long de l'Histoire, ceux qui ont prétendu négliger un seul de ces aspects d'une même réalité vivante se sont détachés de l'arbre et ont sombré dans l'oubli. Nous devons se souvenir du congrès de Mitzic de 1947, d'avoir su formuler cette puissante aspiration millénaire à l'UNION en termes politiques modernes. C'est par l'union du peuple Fang que nous devons d'avoir lancé avec un courage exemplaire le cercle de réflexion UNIFANG. C'est que UNIFANG n'est pas un simple rassemblement de Fangs. Il est le point nodal d'une transformation historique sans précédent, le point où le Peuple Fang redevient Fang en intégrant dans un processus douloureux et libératoire les valeurs que tous les Fangs ont glanés au sein des différents peuples du monde avec lesquels ils ont cohabité. Oui, chers compatriotes, l'eau ne cessera de couler sous le pont. Cette eau vive, celui qui la boira aura la vie, non éternelle, mais heureuse. Et toc ! Félicité Vincent ----- Message d'origine ---- De : Webmaster - BDP À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Mardi, 26 Août 2008, 18h00mn 29s Objet : [BDPalabres] De la démocratie et de la liberté d'expression ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ Je tiens à attirer l'attention de ceux qui désirent se retirer de ce forum de discussion [BDPalabres] sur la pensée suivante. Comme l'a dit Tsir Ella dans le message ci-dessous, une société est faite de toutes les opinions possibles. A ce titre, il n'y a pas de sous-opinion car la société ne saurait être monolithique dans sa pensée (sauf évidemment au pays de Bongo). Certaines opinions sont bêtes et enfantines, d'autres sont éclairées. Le tout crée un corpus culturel qui avance la société et l'édifie. Se retirer d'une liste juste parce que certaines opinions sont bêtes n'est pas un signe de sagesse. Le citoyen qui donne des opinions bêtes, mais a le courage de les exprimer, est plus utile à la société que le citoyen éclairé qui, sur le prétexte de la petitesse des petits et des niais qu'il ne peut supporter, garde ses opinions pour lui-même. On ne peut être un bon citoyen quand on ne tolère pas les opinions, même bêtes, de ses concitoyens. La vraie valeur d'un citoyen consiste à justement participer aux débats qui, aussi bas soient-ils, lui permettent d'éclairer ses concitoyens de la lumière de son savoir, qui n'est jamais autosuffisant, et qui a besoin de se confronter à la complémentarité qui ressort de la diversité des opinions, c'est-à-dire même des plus petites. Cela rappelle le comportement de ceux qui veulent le changement, mais se cachent en attendant que ce soit d'autres qui obtiennent ce changement pour eux. Ils oublient que sans leur participation individuelle dans la collectivité des aspirations communes, le changement ne viendra jamais. C'est cela qu'on appelle, en fin de compte, DEMOcratie. Je rappelle donc aux uns et aux autres que si vous voulez vous retirer de cette liste de discussion, il vous suffit de lire les instructions au bas de la page de chaque message sur comment enlever votrte email de notre système. Parce que nous ne pouvons pas répondre à toutes les requêtes de désabonnement sur le forum, nous avons mis des outils automatiques en place qui vous permettent de vous enlever automatiquement. De manière générale, nous ne cooptons directement aucun email sans l'accord de son propriétaire. Les emails présents dans notre système y sont soit parce que vous nous avez contacté, soit parce que vous vous êtes inscrits sur notre site, soit parce que quelqu'un a, dans un message, inclu votre adresse email dans la liste des correspondants, auquel cas notre système les aurait capté automatiquement. Cependant, parce que nous respectons la déontologie Internet, et votre droit à accepter ou non de rester sur notre forum, vous avez la liberté de vous enlever de la liste en suivant les instructions en bas de chaque page de message qui vous arrive de notre forum de discussion [BDPalabres]. Bonnes discussions au reste des braves qui bravent le statut quo pour exprimer, en bien ou en mal, leurs opinions et leur libre arbitre. Webmaster. BDP-Gabon Nouveau tsir.ella wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Débats libres pour libres pensées. > > Un forum de discussions n'est pas créé pour son auteur ni pour une élite. > > Un forum de discussions est comme une bibliothèque où l'on peut trouver des écrits les plus atroces et les plus extrêmes aux écrits les plus vertueux et intelligibles. Ex : les règles d'or de la vie ou la bible de Satan qui sont librement accessibles. > > En sortant d'une bibliothèque ou en y lisant un article qui fait l'antithèse de ses opinions, on ne dit pas que l'auteur de cet article doit être exclu de cette bibliothèque ou pire que cette bibliothèque est nulle ? > Qu'est ce qui distinguerait alors un forum démocratique (par définition) d'une dictature que ce forum est présumé combattre ? > > Il n'y a donc ni "gang du net" ni vendetta. Il y a tout simplement un espace bien pensé, d'ailleurs par vous les auteurs, où les gabonais peuvent enfin venir exprimer leur avis qui, certes, n'est "malheureusement" pas toujours en accord avec le votre. Pourtant prémices (ou prémisses) de la démocratie, la vraie. > > Un forum n'est donc, ni pour son chef, ni pour une "élite" sinon autant lui retirer ce nom bien inspiré des espaces qui servaient à débattre des affaires publiques à Rome ; > Pour tomber dans l'obscurantisme et le culte du nombrilisme. > > Dans un forum digne de son sens et dans une bibliothèque au sens noble, Tout y est pour l'objectivité du savoir. > > Votre frère Tsir'Ella > > Le 25 août 08 à 20:30, Théodore Mapangou a écrit : > >> ___________________________________________________________ >> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> ___________________________________________________________ >> >> VOus les gens du BDP vous êtes des extréminstes. Vous ne ferez jamais partir Bongo Ondimba. NOus avons voté Bongo démocratiquement. Ce n'est pas de la faute de Bongo si vous êtes incapables dans l'opposition. >> >> Je soutiendrai Bongo Ondimba toute ma vie. C'est le meilleur président que le Gabon peut avoir, avec la paix qu'il assure depuis 40 ans. Le Gabon est maintenant un pays libre avec la démocratie et la liberté d'expression. Si vous n'avez rien d'autre à faire que médire sur le président Bongo Ondimba, alors que c'est lui a payé vos bourses pour aller faire les gros diplomes que vous avez, alors taisez-vous. Sans Bongo Ondimba, le Gabon serait dans la guerre civile depuis longtemps. >> >> Vive Bongo Ondimba, et en avant pour 2012! >> >> >> >> >> BDP-Gabon Nouveau a écrit: >>> ___________________________________________________________ >>> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >>> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >>> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >>> ___________________________________________________________ >>> >>> >>> >>> La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 >>> >>> Source: BDP, 25 août 2008 >>> Catégorie(s): Activités, Vidéos >>> Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ >>> >>> --- >>> NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y a des hyperliens vers d'autres articles. >>> --- >>> >>> La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le Dr. Daniel Mengara. >>> >>> Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ From protected at yahoo.fr Wed Aug 27 22:29:01 2008 From: protected at yahoo.fr (Pierre Abogué Nguéma) Date: Wed, 27 Aug 2008 22:29:01 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: De la démocratie et de la liberté d'expression Message-ID: C'est quoi cette saloperie d'UNIFANG? Pardon, ne faite pas honte aux Fangs avec des choses illogiques comme ça. D'abord c'est quoi un UNIFANG qui se définit comme une Une Réflexion de libération et de renaissance nationale du peuple Fang? Libération et renaissance nationale au sein de quelle nation? il y a des Fangs en Guinée équatoriale, au Cameroun, au Gabon, et même des résidus au Congo, non? Que faites-vous de ceux-là? de quelle nation allez-vous nous libérer, nous les Fangs? Au Cameroun, il y a un Fang dictateur. En guinée équatoriale aussi, il y a un Fang dictateur. A ce rythme, vous allez faire la guerre contre d'autre Fangs, non? Cercle de réflexion culturelle transnational, je veux bien, mais "libération nationale du peuple Fang?!??!! ça veut dire quoi? Pardon, ne polluez pas le site du BDP avec ce genre de choses. Le BDP que je connais n'est pas un parti tribaliste. Pierre Abogué Nguéma. Alice Vincent a écrit: > __________________________________________________________ > > Chers compatriotes, > > L'UNIFANG est un cercle de réflexion de l'avant-garde des Fangs. Une Réflexion de libération et de renaissance nationale du peuple Fang dans sa partie historique, l'unité du peuple fang, n'a jamais cessé d'accompagner les enfants des douzes tribus pendant des siècles. On ne dira jamais assez le lien continu qui pendant cette nuit de vexations, de brimades, de massacres et parfois d'oubli de soi-même. Tout au long des siècles, des Fangs se sont accrochés au sol ancestral et des Fangs doivent s'unir. La civilisation Fang repose sur trois éléments indissociables: la famille, la Terre, et l'unité du peuple Fang. Au long de l'Histoire, ceux qui ont prétendu négliger un seul de ces aspects d'une même réalité vivante se sont détachés de l'arbre et ont sombré dans l'oubli. Nous devons se souvenir du congrès de Mitzic de 1947, d'avoir su formuler cette puissante aspiration millénaire à l'UNION en termes politiques modernes. C'est par l'union du peuple Fang que nous devons d'avoir lancé avec un courage exemplaire le cercle de réflexion UNIFANG. C'est que UNIFANG n'est pas un simple rassemblement de Fangs. Il est le point nodal d'une transformation historique sans précédent, le point où le Peuple Fang redevient Fang en intégrant dans un processus douloureux et libératoire les valeurs que tous les Fangs ont glanés au sein des différents peuples du monde avec lesquels ils ont cohabité. > > Oui, chers compatriotes, l'eau ne cessera de couler sous le pont. Cette eau vive, celui qui la boira aura la vie, non éternelle, mais heureuse. Et toc ! > > Félicité Vincent > > > ----- Message d'origine ---- > De : Webmaster - BDP > À : bdpalabres at bdpgabon.org > Envoyé le : Mardi, 26 Août 2008, 18h00mn 29s > Objet : [BDPalabres] De la démocratie et de la liberté d'expression > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > Je tiens à attirer l'attention de ceux qui désirent se retirer de ce forum de discussion [BDPalabres] sur la pensée suivante. Comme l'a dit Tsir Ella dans le message ci-dessous, une société est faite de toutes les opinions possibles. A ce titre, il n'y a pas de sous-opinion car la société ne saurait être monolithique dans sa pensée (sauf évidemment au pays de Bongo). Certaines opinions sont bêtes et enfantines, d'autres sont éclairées. Le tout crée un corpus culturel qui avance la société et l'édifie. Se retirer d'une liste juste parce que certaines opinions sont bêtes n'est pas un signe de sagesse. Le citoyen qui donne des opinions bêtes, mais a le courage de les exprimer, est plus utile à la société que le citoyen éclairé qui, sur le prétexte de la petitesse des petits et des niais qu'il ne peut supporter, garde ses opinions pour lui-même. On ne peut être un bon citoyen quand on ne tolère pas les opinions, même bêtes, de ses concitoyens. La vraie valeur d'un citoyen consiste à justement participer aux débats qui, aussi bas soient-ils, lui permettent d'éclairer ses concitoyens de la lumière de son savoir, qui n'est jamais autosuffisant, et qui a besoin de se confronter à la complémentarité qui ressort de la diversité des opinions, c'est-à-dire même des plus petites. Cela rappelle le comportement de ceux qui veulent le changement, mais se cachent en attendant que ce soit d'autres qui obtiennent ce changement pour eux. Ils oublient que sans leur participation individuelle dans la collectivité des aspirations communes, le changement ne viendra jamais. > > C'est cela qu'on appelle, en fin de compte, DEMOcratie. > > Je rappelle donc aux uns et aux autres que si vous voulez vous retirer de cette liste de discussion, il vous suffit de lire les instructions au bas de la page de chaque message sur comment enlever votrte email de notre système. Parce que nous ne pouvons pas répondre à toutes les requêtes de désabonnement sur le forum, nous avons mis des outils automatiques en place qui vous permettent de vous enlever automatiquement. De manière générale, nous ne cooptons directement aucun email sans l'accord de son propriétaire. Les emails présents dans notre système y sont soit parce que vous nous avez contacté, soit parce que vous vous êtes inscrits sur notre site, soit parce que quelqu'un a, dans un message, inclu votre adresse email dans la liste des correspondants, auquel cas notre système les aurait capté automatiquement. > > Cependant, parce que nous respectons la déontologie Internet, et votre droit à accepter ou non de rester sur notre forum, vous avez la liberté de vous enlever de la liste en suivant les instructions en bas de chaque page de message qui vous arrive de notre forum de discussion [BDPalabres]. > > Bonnes discussions au reste des braves qui bravent le statut quo pour exprimer, en bien ou en mal, leurs opinions et leur libre arbitre. > > > Webmaster. > BDP-Gabon Nouveau > > > > tsir.ella wrote: >> ___________________________________________________________ >> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> ___________________________________________________________ >> >> >> >> Débats libres pour libres pensées. >> >> Un forum de discussions n'est pas créé pour son auteur ni pour une élite. >> >> Un forum de discussions est comme une bibliothèque où l'on peut trouver des écrits les plus atroces et les plus extrêmes aux écrits les plus vertueux et intelligibles. Ex : les règles d'or de la vie ou la bible de Satan qui sont librement accessibles. >> >> En sortant d'une bibliothèque ou en y lisant un article qui fait l'antithèse de ses opinions, on ne dit pas que l'auteur de cet article doit être exclu de cette bibliothèque ou pire que cette bibliothèque est nulle ? >> Qu'est ce qui distinguerait alors un forum démocratique (par définition) d'une dictature que ce forum est présumé combattre ? >> >> Il n'y a donc ni "gang du net" ni vendetta. Il y a tout simplement un espace bien pensé, d'ailleurs par vous les auteurs, où les gabonais peuvent enfin venir exprimer leur avis qui, certes, n'est "malheureusement" pas toujours en accord avec le votre. Pourtant prémices (ou prémisses) de la démocratie, la vraie. >> >> Un forum n'est donc, ni pour son chef, ni pour une "élite" sinon autant lui retirer ce nom bien inspiré des espaces qui servaient à débattre des affaires publiques à Rome ; >> Pour tomber dans l'obscurantisme et le culte du nombrilisme. >> >> Dans un forum digne de son sens et dans une bibliothèque au sens noble, Tout y est pour l'objectivité du savoir. >> >> Votre frère Tsir'Ella >> >> Le 25 août 08 à 20:30, Théodore Mapangou a écrit : >> >>> ___________________________________________________________ >>> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >>> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >>> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >>> ___________________________________________________________ >>> >>> VOus les gens du BDP vous êtes des extréminstes. Vous ne ferez jamais partir Bongo Ondimba. NOus avons voté Bongo démocratiquement. Ce n'est pas de la faute de Bongo si vous êtes incapables dans l'opposition. >>> >>> Je soutiendrai Bongo Ondimba toute ma vie. C'est le meilleur président que le Gabon peut avoir, avec la paix qu'il assure depuis 40 ans. Le Gabon est maintenant un pays libre avec la démocratie et la liberté d'expression. Si vous n'avez rien d'autre à faire que médire sur le président Bongo Ondimba, alors que c'est lui a payé vos bourses pour aller faire les gros diplomes que vous avez, alors taisez-vous. Sans Bongo Ondimba, le Gabon serait dans la guerre civile depuis longtemps. >>> >>> Vive Bongo Ondimba, et en avant pour 2012! >>> >>> >>> >>> >>> BDP-Gabon Nouveau a écrit: >>>> ___________________________________________________________ >>>> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >>>> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >>>> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >>>> ___________________________________________________________ >>>> >>>> >>>> >>>> La vidéo vérité du meeting Daniel Mengara - Mike Jocktane aux Etats-Unis le 27 septembre 2007 >>>> >>>> Source: BDP, 25 août 2008 >>>> Catégorie(s): Activités, Vidéos >>>> Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ >>>> >>>> --- >>>> NOTE: Pour mieux lire l'article, cliquez le lien ci-dessus, car ils y a des hyperliens vers d'autres articles. >>>> --- >>>> >>>> La présente vidéo fournit la preuve de ce qui s’est passé lors de la rencontre entre Mike Jocktane, évêque gabonais, et le Dr. Daniel Mengara, leader du BDP-Gabon Nouveau, au New Jersey le 27 septembre 2007. L’on se souviendra que c’est le 17 septembre 2007 que la représentation nationale du BDP-Gabon Nouveau au Gabon avait reçu, de la part des ministres Ali Bongo et André Mba Obame, une invitation du régime au Dr. Daniel Mengara à rencontrer Omar Bongo lors de son séjour à New York à l’occasion de la 62ème session de l’Assemblée générale de des Nations Unies du 25 septembre au 3 octobre 2007. Le 25 décembre 2007, le BDP-Gabon Nouveau avait rejeté cette rencontre. Le meeting Jocktane-Mengara avait eu lieu au lendemain du départ d’Omar Bongo de New York, d’où Omar Bongo est finalement parti sans avoir rencontré le Dr. Daniel Mengara. >>>> >>>> Lien: http://www.bdpgabon.org/articles/2008/08/25/bdp-gabon-nouveau-la-video-verite-du-meeting-daniel-mengara-mike-jocktane-aux-etats-unis-le-27-septembre-2007/ From protected at no-log.org Thu Aug 28 11:25:31 2008 From: protected at no-log.org (m2005) Date: Thu, 28 Aug 2008 11:25:31 -0400 Subject: [BDPalabres] Le concept de guerre revolutionnaire ou d'actions psychologiques Message-ID: Bonjour a tous Je suis tombé sur un article très intéressant du journal en ligne Rue89 que je recommande a tous les lecteurs. Je vous encourage aussi a vous documenter autant que faire ce peu sur des personnes comme Charles Lacheroy [http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Lacheroy], pas parce que il faut encourager la lutte armée mais pour comprendre comment l'armée française réfléchie. C'est très intéressant de comprendre le concept qu'ils appellent de "guerre psychologique" qui a été très utilisé pour vaincre la rébellion armée au Cameroun dans les années 60, [ou même encore toutes les velléités de rébellion dans les années 70-80 au Gabon] avec des personnes tristement célèbres comme Conan. Je continue a penser que l'avènement d'une véritable démocratie gabonaise par LES GABONAIS est comme une partie d'échec ou il faut battre l'adversaire a son propre jeu, en faisant preuve d'intelligence plus que de force. La guerre psychologique est un des outils préférés des grandes puissances et dont la France a maintes fois démontrée son expertise [a tel point que les militaires français ont souvent conseillés les armées US ou Israéliennes sur ce domaine - http://www.ldh-toulon.net/spip.php?article338] Cet article de RUE89 donne un meilleur éclairage sur les méthodes utilises au Rwanda et le cheminement de leur [La Grande Muette] réflexion. Quand je vois les methodes des oppositions [gabonaise et autres] ou celles des gouvernements africains [gabonais, en particulier], j'ai vraiment l'impression que les Africains ne boxent pas dans la meme categorie que ceux qui les manipulent. Je vais utiliser une méthode très "gabonaise" et très pédante, terminer par une citation: «Connais l’adversaire et surtout connais toi toi-même et tu seras invincible.» Sun Tzu M2005 ******************** L'article en question********************* La « guerre révolutionnaire » menée par la France au Rwanda Par Rue89 | 27/08/2008 | 18H45 En donnant un point de vue rwandais sur le génocide, le rapport de la commission Mucyo (dont Rue89 a publié et commenté des extraits) nous montre que la France a bien mené une guerre secrète entre 1990 et 1994 sur le mode de la stratégie indirecte. Cette guerre s’inspire d’une doctrine bien connue dans les états-majors : la « guerre révolutionnaire ». Une doctrine inventée en Indochine… Pour comprendre l’histoire militaire du Rwanda, il faut remonter à la période des indépendances. Plus précisément à 1953, en Indochine, où l’armée française découvre la doctrine de la "guerre révolutionnaire" (DGR) grâce à un officier de la coloniale : Charles Lacheroy. Sur le front de la guérilla communiste du Viet Minh, Lacheroy comprend qu’une série de « hiérarchies parallèles » parvient à faire basculer la population en faveur des rebelles communistes, contre l’une des meilleures armées du monde. Le Viet Minh, a remarqué Lacheroy, accompagne chaque individu « du berceau jusqu’à la tombe », par trois hiérarchies distinctes =>>> La suite ICI: http://www.rue89.com/2008/08/27/la-guerre-revolutionnaire-menee-par-la-france-au-rwanda From protected at yahoo.fr Thu Aug 28 11:27:22 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Thu, 28 Aug 2008 11:27:22 -0400 Subject: [BDPalabres] Accusé de reception Message-ID: Au Professeur Daniel MENGARA Coordonateur du Mouvement BDP Cher Professeur, Vous avez pris de votre temps pour me faire part de votre point de vue. Je vous en remercie. Vous comprendrez certainement que je vous reponde méthodiquement. Cela implique un décallage de temps. Je vous prie de croire qu'il n'est pas dans mon intention d'abuser de votre patience, ni de compter parmi vos détracteurs. Je vais m'efforcer de vous apporter une reponse structurée. J'espère que - au contraire d'autres leaders d'opinion noyés par leur célébrité médiatique - vous prendrez la peine de l'étudier avec la plus grande attention et d'en tirer les meilleures enseignements pour votre mouvement. Cordialement. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Jeu 28.8.08, Dr. Daniel Mengara a écrit : De: Dr. Daniel Mengara Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Jeudi 28 Août 2008, 3h19 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ Monsieur Mayandji, cher frère: Le paradoxe que je constate dans votre argumentaire est exactement celui qui découle des tares que vous reprochez aux autres. Vous vous dites "fatigué" de voir une opposition mal organisée, et qui, je vous cite, "contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les partisans du pouvoir défendent leurs privilèges." Bien! Et vous ajoutez, ensuite, en censeur des méthodes précipitées, que vous êtes partisan des petits pas ciblés, ceux des solutions "au fur et à mesure". Bien aussi ! MAIS, mon frère, en quoi donc cette démarche serait-elle différente de celle de Mba Abessole qui, lui, préfère faire les choses à "petits pas ciblés" de l'intérieur du régime, ou de Mamboundou, qui, lui, pense désormais qu'un raprochement entre lui et Bongo, aussi avare de résultats que ce rapprochement soit, apportera de petis changements progressifs qui lui sont plus acceptables que la guerre ou la violence, même si pour cela le peuple gabonais doit attrendre 100 ans de plus?! Il me semble que vous êtes exactement dans la logique de cette opposition que vous fustigez, non? Il y a une seconde contradiction dans votre argument car, si l'on prend votre critique à la lettre, on voit que si l'opposition dont vous parlez était mieux organisée et devenait comme celle des autres pays, elle contredirait immédiatement votre théorie des "petits pas" puisqu'elle précipiterait TOUT! Ce qui ne serait pas non plus à votre goût des "petits pas ciblés", il me semble, n'est-ce pas, cher ami? Le problème des censeurs invétérés comme vous et moi, cher frère, est que nous croyons souvent détenir la vérité absolue, alors que, en réalité, nous ne brassons que du vide, du vent. Par exemple: vous qui vous dites fatigué de voir une opposition inepte, vous rendez-vous au moins compte que, du haut de votre piédestal de censeur (un peu comme moi), vous êtes en train de dire que vous savez mieux que cette opposition ce qu'il faut faire pour résoudre la problématique gabonaise? Si tel est le cas, bien! Mais, dans ce cas, je me permettrai la remarque suivante: si, donc, comme le laisse supposer votre message, vous avez la solution parce que mieux et plus éclairé, on se demande ce que vous attendez pour créer, VOUS-MEME, cette opposition CAPABLE qui, elle, pourra, à votre convenance (puisque vous en aurez été l'initiateur éclairé), satisfaire à vos exigences de meilleure organisation!! Mieux encore, si vous ne pouvez la créer indépendamment, rien ne vous interdit de vous engager à ses côtés pour lui faire bénéficier de vos hautes inspirations! Là ou d'autres ont failli, vous réussirez peut-être! Pourquoi, dans ce cas, priver le pays de votre infinie sagesse, et surtout du potentiel d'une réussite par VOUS, là où les autres ont échoué!? En fin de compte, frère, je peux affirmer sans méchanceté, mais aussi sans me tromper, que, comme nous tous, vous êtes bel et bien le produit du bongoïsme, non pas parce que vous êtes bongoïstes (je ne crois pas que vous le soyez), mais plutôt parce que vous souffrez des mêmes tares qui nous polluent tous, nous qui, vitupérant de l'ombre (engagés nulle part) ou de derrière nos ordinateurs (comme moi), croyons pouvoir faire avancer la cause gabonaise en critiquant, de loin, ceux qui, eux, ont, au moins, osé s'aventurer sur la voie de l'opposition ouverte et radicale. Dans un de mes récents articles, j'ai souligné le fait que les citoyens que nous sommes ne devons jamais reprocher à l'opposition ses échecs si ces échecs s'expliquent par une conjoncture indépendante de sa volonté. L'échec ou la réussite, en tout combat politique, est une situation qui, en elle-même, est fonction du moment et de la conjoncture sociopolitique et socioculturelle du moment. On peut échouer inexplicablement dans un contxete pourtant très favorable (Mba Abessole, Mamboundou) ou réussir au moment le plus inattendu (Géorgie, Ukraine, Russie, Indonésie, Pakistan, etc.). Mais ce n'est pas l'échec qui est, en lui-même, un problème. Ce que nous devons reprocher à l'opposition, à NOTRE opposition, ce sont les RENONCEMENTS qui causent l'échec, surtout quand ces renoncements bafouent les principes les plus élémentaires de la décence humaine et/ou citoyenne. Autrement dit, qu'elle soit organisée ou désorganisée, rien ne garantit la réussite de l'opposition. Ce qui importe, par contre, est que cette opposition reste déterminée dans son intention et sa conviction, génération par génération, et génération après génération. Personnellement, je ne reproche leur échec ni à Mamboundou, ni à Mba Abessole. Ce que je leur reproche, c'est leur renoncement. Et parce que je sais que l'échec peut être au rendez-vous de tout opposant de bonne volonté, même sans renoncement, j'essaie de m'engager dans l'espoir de non seulement mieux faire, mais aussi de POUVOIR réussir (sans pour autant croire que je suis celui qui réussira forcément; je ne sais de moi que ma conviction. L'avenir, lui, appartient à Dieu). Mais ce que je m'interdis en tant que citoyen responsable, c'est le découragement ou la fatigue qui me met hors-jeu de l'histoire et de la société. Il n'y a pas de renoncement pire que celui qui est fait juste parce que d'autres ont renoncé ou échoué. C'est là une conclusion trop facile qui ne ferait pas de moi un meilleur citoyen que ceux que je critique. Il est bien de critiquer. Mais il est encore mieux de critiquer quand on est, soi-même, engagé dans une tentative de salut national. Quand j'ai créé le BDP-Gabon Nouveau, je l'ai fait sur la base du constat d'échec de Paul Mba Abessole et de Pierre Mamboundou, et ceci dès décembre 1998. Dès 1998, j'avais déjà vu, dans leurs attitudes, les germes non pas de l'échec, mais du renoncement. Et je me suis juré, en m'engageant OUVERTEMENT, d'ESSAYER de mieux faire qu'eux, et surtout, de ne JAMAIS RENONCER, comme eux, aux idéaux qui furent leurs et qui sont aujourd'hui miens. Et j'attends de citoyens responsables la même réaction que moi. En d'autres termes, si aujourd'hui ou dans 10 ans, mes concitoyens constatent mon échec et croient pouvoir mieux faire que moi, je ne trouverai satisfaction que dans un acte d'engagement de leur part qui puisse reprendre le combat là où j'ai échoué, et le mener à finalité, avec ou sans moi. Autrement dit, cher frère, en quoi un citoyen peut-il croire être plus utile à la société que le bébé qui vient de naître et qui suce le lait maternel en toute insouciance s'il ne ponctue pas sa critique par un acte d'engagement concret? En quoi peut-il être meilleur que le chien errant qui, n'ayant d'autre objectif dans la vie que la recherche de l'os dans les poubelles, ne se soucie guère de ce qu'il fera le jour d'après? En quoi peut-il être différent d'Omar Bongo qui, à la tête du Gabon depuis 41 ans, ne se soucie guère des souffrances de son peuple? Du moment que, lui, mange bien et fait son petit truc dans son coin, que lui importe, à Bongo ou à ce citoyen individualiste, que le reste des Gabonais tire le dibale par la queue? Le principe d'une opposition, cher frère, n'est pas de détenir la science infuse ou la solution toute faite. Le principe d'une opposition n'est pas non plus d'être capable de tout accomplir de son vivant ou de tout réussir. Le principe d'une véritable opposition réside dans sa capacité non seulement à assumer le rôle de défense des intérêts citoyens qui est le sien, mais également d'en mobiliser et d'en étendre la conscience aux générations futures. Faire de l'opposition découle d'une culture politique qui, procédant par tâtonnements et par hypothèses, finit un jour par le triomphe des forces du changement dès lors qu'il n'y aurait aucune cassure générationnelle dans la continuité des engagements. Le but n'est donc pas que Mamboundou ou Mengara réussisse de son vivant. Le but est, pour tous ceux qui s'engagent ou épaulent ceux qui s'engagent, de toujours tenter le changement en fonction de leur inspiration, et s'ils échouent malgré leur bonne volonté, il leur est important de pouvoir compter sur ceux qui, dans les générations présentes ou futures, pourront prendre la relève et continuer le combat pour la dignité. Or, pour que les tâtonnements des uns et des autres arrivent à une solution avérée (comprenez, victoire), il faut bien que des hommes comme vous, Monsieur Mayandji, aient le courage de contribuer OUVERTEMENT, et AU SEIN DE CETTE OPPOSITION DEFICIENTE ou en dehors d'elle par une OPPOSITION NOUVELLE, leur éclairage (tout en gardant à l'esprit le simple fait, modeste, que cet éclairage ne sera pas forcément la panacée qui mènerait à la réussite). Tout acte d'opposition est alors vu comme une tentative stratégique qui comporte en elle un espoir de réussite et non une certitude. Faire de l'opposition n'est ni un travail de nanochirurgie ni un travail de nanoscience. Faire de l'opposition, c'est un peu comme un opérateur de mitrailleuse qui tire une centaine de balles en direction d'une cible, avec l'espoir qu'une des balles fera mouche. Bref, l'opposition pour moi se résume ainsi: devant l'incertitude, les hésitations et les tâtonnements, tout ce qui peut être tenté doit être tenté, génération par génération, et génération après génération. Quand Mengara ou Mamboundou tombe, victime de la corruption ou de la fatiguue, il doit toujours se trouver un Mayandji pour, soit prendre la relève pour continuer le combat, soit donner des béquilles à ceux qui, ayant tenté toute leur vie, n'arrivent plus à tenir debout tous seuls. Il ne sert donc à RIEN pour un cotoyen de brayer, DU DEHORS, qu'il est fatigué par l'inorganisation de l'opposition quand, dans le même temps, il se refuse à y entrer, collectivement ou indépendamment, pour aider à son REDRESSEMENT. En d'autres termes, l'inorganisation de l'opposition est autant de VOTRE faute, frère Mayandji, que de la mienne et de celle de tous ceux qui participent de cette opposition inepte que vous critiquez. Imaginez, cher frère, un seul moment le cas de figure suivant: 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le sait). 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. 3) Monsieur Mayandji, au lieu de se déclarer fatigué, entre dans l'opposition ou crée son opposition, pour redresser l'opposition. 4) L'opposition, bénéficiant enfin de la science de Monsieur Mayandji, arrive enfin à s'organiser. 5) 2009, l'opposition chasse Bongo du pouvoir et commence la reconstruction du pays, grâce à la contribution spectaculaire de Monsieur Mayandji. 6) Le Gabon est enfin sauvé et Monsieur Mayandji est fait héros national avec un mausolée lui reconnaissant une contribution historique de patriote. Bien! IMAGINONS maintenant l'autre cas de figure, c'est-à-dire, l'affirmation ou la perennisation de la sitaution de passivité et d'immobilisme (donc de renoncement) dans laquelle vous vous trouvez, cher frère, et ceci malgré vos critiques incantatoires: 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le sait). 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. 3) MAIS Monsieur Mayandji, fatigué par le désastre d'une opposition désorganisée, reste dans l'ombre, refuse de s'engager et garde sa solution pour lui-même. 4) L'opposition, ne bénéficiant pas de la science de MOnsieur Mayandji, sombre encore plus dans la désorganisation et s'étiole. 5) 2012, Bongo est réelu. 2019, Ali Bongo est élu. 2026 Ali Bongo est réélu, jusqu'à perpète. 2030, Le Gabon n'a plus de pétrole. N'ayant jamais préparé l'après pétrole, le Gabon, en 2033, est le pays le plus pauvre du monde. 6) 2034, Monsieur Mayandji meurt de palu au dispensaire de Nkembo, parce qu'au Gabon, la pauvreté est devenue telle que ses petits enfants, sans emploi, n'ont pas assez d'argent pour lui acheter un comprimé de Fansidar, et les économies qu'il avait faites pour sa retraite en 2026 ont fondu comme beurre au soleil devant la vie chère qui est maintenant au Gabon comme celle du Zimbabwé: 1000% Autrement dit, Monsieur Mayandji, ceux qui s'engagent et essaient, même dans la désorganisation et l'échec, valent mieux comme citoyens que ceux qui, de loin, critiquent, se disent plus compétents, mais pourtant, se refusent à montrer, par l'engagement concret, comment ils peuvent mieux réussir que les autres. Et cette leçon, croyez-moi, vaut pour nous tous, moi y compris. La question, en fin de compte, n'est pas de savoir qui a échoué ou qui a réussi. Ce qu'il faut, c'est étudier comment, par la combinaisaon des efforts et des inspirations, nous pourrions, ENSEMBLE ET/OU SEPAREMMENT, contribuer à l'objectif de consolidation d'une opposition engagée qui soit capable de résister aux prostitutions qui enfantent de ce renoncement qui compromet la réussite. L'image à avoir en tête ici est celle de soldats sur un champ de bataille. Quand ils s'avancent, l'ennemi les fauche. Certains tombent, mais d'autres avancent. A la fin, ce sera à qui avancera avec plus de résolution que la victoire appartiendra. PLus proche de nous, cette image marche de la façon suivante. En face de Mamboundou, Mba Abessole, Mayandji et Mengara, il y a Bongo avec un fusil à trois balles. Devant les tirs de Bongo, Mba Abessole tombe. Puis c'est le tour de Mamboundou, et enfin Daniel Mengara. Maintenant, Bongo n'a plus de balles et Mayandji reste debout, vivant, devant un Bongo désemparé. Sous la rage des années de brimades subies, Mayandji étrangle Bongo et le pend à un arbre, pour les vautours. Le Gabon est libéré. Autrement dit, dans tout combat, certains tombent sous les balles ou sous la peur, mais d'autres, surtout ceux qui se font censeurs des autres, doivent être capables de continuer la lutte. Il est impardonnable de renoncer ou de se fatiguer parce qu'on a vu certains tomber, et ensuite se retourner pour critiquer ceux qui sont tombés ou se sont enfuis. Si on a de la conviction, on doit continuer, sinon on ne sert à rien dans la société des hommes. L'opposition, cher ami, ne peut être vue comme une aventure sans lendemain. Le dire de cette manière, c'est voir l'opposition comme une affaire basée sur le court terme de nos courtes vies, et non comme une continuité que chaque génération se doit de pérpétuer, pour elle-même et pour les autres. Autrement dit, chaque citoyen qui se bat ne doit jamais limiter l'idée de l'opposition à ce qu'il peut y gagner de son vivant, mais plutôt la construire sur les principes de participation qui lui permettraient de faire sa part de contributions à l'édifice de redressement national. Autrement dit, la valeur d'un vrai citoyen ne se mesure pas à combien de théories il peut émettre. Tant qu'il n'est pas prêt, de par LUI-MEME, à tester ses propres théories et même à les mettre en pratique au service de la nation, il ne vaut rien pour la société. Et la question que le citoyen modeste posera toujours à ces censeurs invétérés que nous sommes, vous et moi, est la suivante: est-ce que tu peux faire mieux, toi qui parle beaucoup, beaucoup, beaucoup? A cette question, je crois que nous savons déjà la réponse. Daniel Mengara Christian MAYANDJI wrote: ___________________________________________________________ > > > > Il n'est pas question pour moi d'appeller à la guerre civile. Je suis tout simplement fatigué de voir une opposition qui si mal organisée et qui, contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les partisans du pouvoir défendent leurs privilèges. > Je pense qu'à l'instar de la majorité des gabonais, je ne suis pas le partisan des aventures sans lendemain. Je pratique la politique des "petits pas", celle qui consiste à apporter des solutions ciblées aux populations au fur et à mesure que les problèmes sont identifiés et que les moyens sont constitués. > MANGASS TTC > Christian MAYANDJI > Démarches-Gestion > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > CONVOYAGE EXPLOITATION > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > EUROPE - AFRIQUE > > > > --- En date de : Mer 27.8.08, Jean Bika a écrit : > > De: Jean Bika > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > À: bdpalabres at bdpgabon.org > Date: Mercredi 27 Août 2008, 2h22 > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement > aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > Monsieur Mayandji, vous avez tout dit. Les peuples qui ont sacrifié de leur > sang et acheté la liberté avec leur sang comprennent mieux la valeur de la > paix. le gabon, comme d'autres pays, devra passer par une étape de violence > pour le comprendre. Une seule personne en sera la cause: Omar Bongo. > > > Christian MAYANDJI a écrit: > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout > simplement aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > M. Mengara a le droit d'affirmer sa différence, comme tous ceux qui > aspirent à un changement légitime au Gabon, au TOGO, dans d'autres pays, > sur d'autres continents. > > Cependant, je crois que nous évoluons vers des dérives qui me font > craindre des tensions extrêmes. > > Je résume la situation : les "opposants" attaquent les > représentant s du pouvoir dans ce qu'il y a de plus bas; > > les partisans du "pouvoir" s'entêtent dans leurs délires > de candidats à la corruption, pour ceux qui n'y ont pas encore été > initiés. > > Entre ces extremes, ils y a des hommes et des femmes qui construisent > patiemment leur vie, avec leur propre moyens, sans rien demander à personne, > pas même à l'Etat. > > Le seule chose que je me demande, c'est pourquoi l'opposition ne > se donne pas une bonne fois pour toutes les moyens d'en découdre avec le > pouvoir, ainsi que cela s'est produit dans les autres pays. > > Il se peut qu'après le sacrifice du sang, chacun trouvera la voie de > la raison et comprendra que la politique commence lorsqu'on découvre > comment faire la différence entre l'intérêt général et les intérêts > particuliers. la politque se fait lorsqu'on respecte l'individu, la > personne quelque ses valeurs dans la mesure ou tout le monde respecte la loi > républicaine. Elles se poursuit lorsque chacun comprend que l'Etat - en > tant que représentant de l'intérêt général - n'est pas la > propriété de personne, mais en tant que puissance publique c'est une > personne morale avec son fonctionnement propre. > > Il est inopérant que chacun puisse projeter ses propres asiptations dans > l'Etat. l'Etat n'est la vache à lait de personne. C'est tout > simplement une organisation dont la fonction est de gérer ce qui constitue le > ^patrimoine commun. > > Je crois que la plupart des conflits actuels proviennent que chacun - > conservateurs et partisans du changement - ne percoive l'état que comme une > vache à lait que chacun doit traire. > > En tant qu'historien, je sais que le changement est inéluctable et > surtout en marche... > > MANGASS TTC > > Christian MAYANDJI > > Démarches-Gestion > > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > > CONVOYAGE EXPLOITATION > > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > > EUROPE - AFRIQUE > > > > > > > > --- En date de : Mar 26.8.08, Magloire Olympio > a écrit : > > > > De: Magloire Olympio > > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > Date: Mardi 26 Août 2008, 9h01 > > > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos > messages > > apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout > simplement > > aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > ___________________________________________________________ > > > > > > Rebondissement dans l’affaire AKA : de nouveaux éléments qui > confortent la > > thèse de l’assassinat ; le frère cadet du défunt Maurille membre > du régime > > précipite son enterrement. > > > > > > La tragique disparition du leader du MODENA Joachim Agbobli Atsutsè > n’a pas > > fini de révéler tous ses secrets. Après les résultats farfelus de > > l’autopsie du professeur Napo-Koura et les conclusions tordues du > procureur de > > la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; de nouveaux > éléments > > viennent d’apparaître dans le dossier et confortent désormais, la > thèse > > d’un assassinat déguisé en suicide. Ces informations, nous les > devons à > > plusieurs amis du politologue (universitaires, hommes politiques, > médecins, > > journalistes) qui se sont mobilisés pour faire triompher la vérité. > > > > > > > > Le corps du défunt porte des traces d’électrocution > > > > > > > > La première information qui ressort de ces investigations est liée > à des > > lésions observées autour du coup et des parties génitales de la > victime. Les > > spécialistes en conclurent à une torture par des objets > électriques. Pour ces > > spécialistes, il est incroyable que le médecin légiste ait pu > conclure en une > > mort par suicide en passant sous silence ces différentes lésions que > nous > > venons de signaler. En réalité, AKA a été enlevé depuis la > clinique, > > conduit à un endroit secret et torturé à mort avant que le corps ne > soit > > jeté à la plage 24 h plus tard. C’est d’ailleurs ce scénario > qui explique > > la disparition des vêtements de la victime de même que l’abandon > de son > > portefeuille, et ses verres médicaux. La version du rendez-vous en > plus du > > parcours effectué attribué au chauffeur n’est qu’une pure > invention sortie > > des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA ne s’est jamais > rendu à > > un quelconque rendez-vous, il ne s’est jamais arrêté à l’Hôtel > Palm > > Beach et il ne s’est jamais rendu à l’Hôtel Sarakawa. > D’ailleurs le > > docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa serait sous > d’énormes > > pressions afin qu’il ne s’adresse à aucun média. A la clinique > Biasa les > > visites aux malades sont désormais réglementées. > > > > > > > > Maurille Agbobli dans le mauvais rôle > > > > > > > > Il n’est un secret pour personne que la famille Agbobli est > partagée entre > > l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont actuellement dans le > cercle du > > pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, universitaire, conseiller > > diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite Maurille Edoh Agbobli > ancien > > ministre, membre du bureau politique du RPT. C’est donc ce dernier > qui est > > accusé aujourd’hui de dissuader la famille d’aller plus loin et > précipite > > par la même occasion l’enterrement de son frère. Alors que > certains > > évoquent encore une contre autopsie avec l’assistance des experts > venus de > > l’extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées dans la foulée > pour les 29 > > et 30 août prochain. > > > > > > > > Faure tapis dans l’ombre manœuvre et joue au chrono > > > > > > > > La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de l’actualité la > récurrente > > question de l’impunité qui caractérise depuis 40 ans le régime du > RPT. > > Faure qui espérait noyer cette question de l’impunité dans une > mascarade de > > réconciliation après les fameuses consultations nationales se > retrouve du coup > > dans une situation embarrassante. Depuis le palais de la Marina, il > tire sur les > > ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » qui n’a jamais > accordé le > > moindre crédit à la presse togolaise invite subitement par une > méthode peu > > orthodoxe des journalistes des médias publics et privés à une > discussion à > > battons rompus à la présidence de la République. Certains > journalistes ( > > médias d’Etat, radios et presses privées) se sont rendus donc ce > jeudi à la > > présidence de la République pour en ressortir plus tard avec des > billets de > > banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par tête. Tout ceci, > après une > > longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. D’autres > journalistes qui > > ont pu déceler là, le piège de la corruption ont décliné > l’invitation > > présidentielle. Lorsqu’on situe cette discussion avec les > journalistes qui > > ces derniers temps sont très critiques vis à vis du pouvoir de Faure > dans le > > contexte de la disparition tragique de AKA on comprend aisément la > manœuvre du > > pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en prenant > habilement soin de > > se donner le visage d’un président ouvert et préoccupé. > > > > > > > > Une opposition réduite à de simples communiqués > > > > > > > > Après la phase des communiqués de compassion certains responsables > politiques > > et associations de la société civile ont exhorté l’ensemble de > > l’opposition à envisager des manifestions de rue dans le but > d’exiger la > > fin de l’impunité au Togo. Ces organisations ont été confrontées > au refus > > catégorique d’autres partis de l’opposition qui de par leur > popularité > > devraient servir de locomotive à cette initiative. Alors la question > qui se > > pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur de journée des > communiqués > > sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le leader du MODENA > comme celui > > du PSP qu’était Tavio Amorin ne dérangeait pas seulement le parti > au pouvoir > > par son engagement et ses débats mais aussi ses amis de > l’opposition qu’il > > croyait naïvement être ses frères. Aucune raison ne justifie > aujourd’hui > > l’inertie de cette opposition et de cette société civile qui jadis > étaient > > à l’avant garde de toute violation des droits de l’homme. La > réalité est > > que la société togolaise baigne désormais dans une corruption sans > > précédent où des responsables insoupçonnés de certains partis > actuels de > > l’opposition émargent régulièrement dans le registre de Faure. > Faure en > > parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de morts a réussi > un seul > > coup celui, d’avoir mis l’opposition en lambeaux en enrôlant > certains dans > > son aventure gouvernementale et en renflouant les comptes en banque > des autres > > qui ne se contentent désormais que des communiqués. Voilà donc le > drame qui > > se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font semblant d’être > encore > > opposants mais qui dans la réalité ont changé depuis leurs vestes. > AKA > > n’est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais aussi d’une > société > > togolaise en manque de repères, de principes, où les hommes de > valeurs qui > > devraient servir de guide, de modèle sont crétinisés par un > système pervers > > et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur Fiadjoe et le > chauffeur > > devraient déjà prendre la parole pour libérer leurs consciences et > situer les > > togolais sur les réelles conditions de la mort mystérieuse et > tragique de AKA. > > Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette réalité, les > Gnassingbé et > > leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux jours devant eux. > > > > > > > > Simon de Fanti, tultogo.com From protected at yahoo.com Thu Aug 28 11:53:06 2008 From: protected at yahoo.com (Justine Mendome) Date: Thu, 28 Aug 2008 11:53:06 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat Message-ID: Merci, dr. Mengara, pour cette réflexion. ce forum commençait à de venir un foutoir. je retrouve dans cette analyse de votre part le Dr. Mengara d'antan qui avait l'habitude de nous éclairer sur notre mentalité en tant que gabonais un peu déçu par la situation de stagnation que connait le pays. je vous remercie, dr. encore une fois. Dr. Daniel Mengara wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Monsieur Mayandji, cher frère: > > Le paradoxe que je constate dans votre argumentaire est exactement celui qui découle des tares que vous reprochez aux autres. Vous vous dites "fatigué" de voir une opposition mal organisée, et qui, je vous cite, "contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les partisans du pouvoir défendent leurs privilèges." > > Bien! > > Et vous ajoutez, ensuite, en censeur des méthodes précipitées, que vous êtes partisan des petits pas ciblés, ceux des solutions "au fur et à mesure". > > Bien aussi ! > > MAIS, mon frère, en quoi donc cette démarche serait-elle différente de celle de Mba Abessole qui, lui, préfère faire les choses à "petits pas ciblés" de l'intérieur du régime, ou de Mamboundou, qui, lui, pense désormais qu'un raprochement entre lui et Bongo, aussi avare de résultats que ce rapprochement soit, apportera de petis changements progressifs qui lui sont plus acceptables que la guerre ou la violence, même si pour cela le peuple gabonais doit attrendre 100 ans de plus?! > > Il me semble que vous êtes exactement dans la logique de cette opposition que vous fustigez, non? > > Il y a une seconde contradiction dans votre argument car, si l'on prend votre critique à la lettre, on voit que si l'opposition dont vous parlez était mieux organisée et devenait comme celle des autres pays, elle contredirait immédiatement votre théorie des "petits pas" puisqu'elle précipiterait TOUT! Ce qui ne serait pas non plus à votre goût des "petits pas ciblés", il me semble, n'est-ce pas, cher ami? > > Le problème des censeurs invétérés comme vous et moi, cher frère, est que nous croyons souvent détenir la vérité absolue, alors que, en réalité, nous ne brassons que du vide, du vent. > > Par exemple: vous qui vous dites fatigué de voir une opposition inepte, vous rendez-vous au moins compte que, du haut de votre piédestal de censeur (un peu comme moi), vous êtes en train de dire que vous savez mieux que cette opposition ce qu'il faut faire pour résoudre la problématique gabonaise? > > Si tel est le cas, bien! > > Mais, dans ce cas, je me permettrai la remarque suivante: si, donc, comme le laisse supposer votre message, vous avez la solution parce que mieux et plus éclairé, on se demande ce que vous attendez pour créer, VOUS-MEME, cette opposition CAPABLE qui, elle, pourra, à votre convenance (puisque vous en aurez été l'initiateur éclairé), satisfaire à vos exigences de meilleure organisation!! Mieux encore, si vous ne pouvez la créer indépendamment, rien ne vous interdit de vous engager à ses côtés pour lui faire bénéficier de vos hautes inspirations! Là ou d'autres ont failli, vous réussirez peut-être! Pourquoi, dans ce cas, priver le pays de votre infinie sagesse, et surtout du potentiel d'une réussite par VOUS, là où les autres ont échoué!? > > En fin de compte, frère, je peux affirmer sans méchanceté, mais aussi sans me tromper, que, comme nous tous, vous êtes bel et bien le produit du bongoïsme, non pas parce que vous êtes bongoïstes (je ne crois pas que vous le soyez), mais plutôt parce que vous souffrez des mêmes tares qui nous polluent tous, nous qui, vitupérant de l'ombre (engagés nulle part) ou de derrière nos ordinateurs (comme moi), croyons pouvoir faire avancer la cause gabonaise en critiquant, de loin, ceux qui, eux, ont, au moins, osé s'aventurer sur la voie de l'opposition ouverte et radicale. > > Dans un de mes récents articles, j'ai souligné le fait que les citoyens que nous sommes ne devons jamais reprocher à l'opposition ses échecs si ces échecs s'expliquent par une conjoncture indépendante de sa volonté. L'échec ou la réussite, en tout combat politique, est une situation qui, en elle-même, est fonction du moment et de la conjoncture sociopolitique et socioculturelle du moment. On peut échouer inexplicablement dans un contxete pourtant très favorable (Mba Abessole, Mamboundou) ou réussir au moment le plus inattendu (Géorgie, Ukraine, Russie, Indonésie, Pakistan, etc.). Mais ce n'est pas l'échec qui est, en lui-même, un problème. Ce que nous devons reprocher à l'opposition, à NOTRE opposition, ce sont les RENONCEMENTS qui causent l'échec, surtout quand ces renoncements bafouent les principes les plus élémentaires de la décence humaine et/ou citoyenne. Autrement dit, qu'elle soit organisée ou désorganisée, rien ne garantit la réussite de l'opposition. Ce qui importe, par contre, est que cette opposition reste déterminée dans son intention et sa conviction, génération par génération, et génération après génération. > > Personnellement, je ne reproche leur échec ni à Mamboundou, ni à Mba Abessole. Ce que je leur reproche, c'est leur renoncement. Et parce que je sais que l'échec peut être au rendez-vous de tout opposant de bonne volonté, même sans renoncement, j'essaie de m'engager dans l'espoir de non seulement mieux faire, mais aussi de POUVOIR réussir (sans pour autant croire que je suis celui qui réussira forcément; je ne sais de moi que ma conviction. L'avenir, lui, appartient à Dieu). Mais ce que je m'interdis en tant que citoyen responsable, c'est le découragement ou la fatigue qui me met hors-jeu de l'histoire et de la société. Il n'y a pas de renoncement pire que celui qui est fait juste parce que d'autres ont renoncé ou échoué. C'est là une conclusion trop facile qui ne ferait pas de moi un meilleur citoyen que ceux que je critique. Il est bien de critiquer. Mais il est encore mieux de critiquer quand on est, soi-même, engagé dans une tentative de salut national. > > Quand j'ai créé le BDP-Gabon Nouveau, je l'ai fait sur la base du constat d'échec de Paul Mba Abessole et de Pierre Mamboundou, et ceci dès décembre 1998. Dès 1998, j'avais déjà vu, dans leurs attitudes, les germes non pas de l'échec, mais du renoncement. Et je me suis juré, en m'engageant OUVERTEMENT, d'ESSAYER de mieux faire qu'eux, et surtout, de ne JAMAIS RENONCER, comme eux, aux idéaux qui furent leurs et qui sont aujourd'hui miens. Et j'attends de citoyens responsables la même réaction que moi. En d'autres termes, si aujourd'hui ou dans 10 ans, mes concitoyens constatent mon échec et croient pouvoir mieux faire que moi, je ne trouverai satisfaction que dans un acte d'engagement de leur part qui puisse reprendre le combat là où j'ai échoué, et le mener à finalité, avec ou sans moi. > > Autrement dit, cher frère, en quoi un citoyen peut-il croire être plus utile à la société que le bébé qui vient de naître et qui suce le lait maternel en toute insouciance s'il ne ponctue pas sa critique par un acte d'engagement concret? En quoi peut-il être meilleur que le chien errant qui, n'ayant d'autre objectif dans la vie que la recherche de l'os dans les poubelles, ne se soucie guère de ce qu'il fera le jour d'après? En quoi peut-il être différent d'Omar Bongo qui, à la tête du Gabon depuis 41 ans, ne se soucie guère des souffrances de son peuple? Du moment que, lui, mange bien et fait son petit truc dans son coin, que lui importe, à Bongo ou à ce citoyen individualiste, que le reste des Gabonais tire le dibale par la queue? > > Le principe d'une opposition, cher frère, n'est pas de détenir la science infuse ou la solution toute faite. Le principe d'une opposition n'est pas non plus d'être capable de tout accomplir de son vivant ou de tout réussir. Le principe d'une véritable opposition réside dans sa capacité non seulement à assumer le rôle de défense des intérêts citoyens qui est le sien, mais également d'en mobiliser et d'en étendre la conscience aux générations futures. Faire de l'opposition découle d'une culture politique qui, procédant par tâtonnements et par hypothèses, finit un jour par le triomphe des forces du changement dès lors qu'il n'y aurait aucune cassure générationnelle dans la continuité des engagements. > > Le but n'est donc pas que Mamboundou ou Mengara réussisse de son vivant. Le but est, pour tous ceux qui s'engagent ou épaulent ceux qui s'engagent, de toujours tenter le changement en fonction de leur inspiration, et s'ils échouent malgré leur bonne volonté, il leur est important de pouvoir compter sur ceux qui, dans les générations présentes ou futures, pourront prendre la relève et continuer le combat pour la dignité. Or, pour que les tâtonnements des uns et des autres arrivent à une solution avérée (comprenez, victoire), il faut bien que des hommes comme vous, Monsieur Mayandji, aient le courage de contribuer OUVERTEMENT, et AU SEIN DE CETTE OPPOSITION DEFICIENTE ou en dehors d'elle par une OPPOSITION NOUVELLE, leur éclairage (tout en gardant à l'esprit le simple fait, modeste, que cet éclairage ne sera pas forcément la panacée qui mènerait à la réussite). Tout acte d'opposition est alors vu comme une tentative stratégique qui comporte en elle un espoir de réussite et non une certitude. Faire de l'opposition n'est ni un travail de nanochirurgie ni un travail de nanoscience. Faire de l'opposition, c'est un peu comme un opérateur de mitrailleuse qui tire une centaine de balles en direction d'une cible, avec l'espoir qu'une des balles fera mouche. > > Bref, l'opposition pour moi se résume ainsi: devant l'incertitude, les hésitations et les tâtonnements, tout ce qui peut être tenté doit être tenté, génération par génération, et génération après génération. Quand Mengara ou Mamboundou tombe, victime de la corruption ou de la fatiguue, il doit toujours se trouver un Mayandji pour, soit prendre la relève pour continuer le combat, soit donner des béquilles à ceux qui, ayant tenté toute leur vie, n'arrivent plus à tenir debout tous seuls. > > Il ne sert donc à RIEN pour un cotoyen de brayer, DU DEHORS, qu'il est fatigué par l'inorganisation de l'opposition quand, dans le même temps, il se refuse à y entrer, collectivement ou indépendamment, pour aider à son REDRESSEMENT. > > En d'autres termes, l'inorganisation de l'opposition est autant de VOTRE faute, frère Mayandji, que de la mienne et de celle de tous ceux qui participent de cette opposition inepte que vous critiquez. Imaginez, cher frère, un seul moment le cas de figure suivant: > > 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le sait). > > 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. > > 3) Monsieur Mayandji, au lieu de se déclarer fatigué, entre dans l'opposition ou crée son opposition, pour redresser l'opposition. > > 4) L'opposition, bénéficiant enfin de la science de Monsieur Mayandji, arrive enfin à s'organiser. > > 5) 2009, l'opposition chasse Bongo du pouvoir et commence la reconstruction du pays, grâce à la contribution spectaculaire de Monsieur Mayandji. > > 6) Le Gabon est enfin sauvé et Monsieur Mayandji est fait héros national avec un mausolée lui reconnaissant une contribution historique de patriote. > > > Bien! > > IMAGINONS maintenant l'autre cas de figure, c'est-à-dire, l'affirmation ou la perennisation de la sitaution de passivité et d'immobilisme (donc de renoncement) dans laquelle vous vous trouvez, cher frère, et ceci malgré vos critiques incantatoires: > > > 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le sait). > > 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. > > 3) MAIS Monsieur Mayandji, fatigué par le désastre d'une opposition désorganisée, reste dans l'ombre, refuse de s'engager et garde sa solution pour lui-même. > > 4) L'opposition, ne bénéficiant pas de la science de MOnsieur Mayandji, sombre encore plus dans la désorganisation et s'étiole. > > 5) 2012, Bongo est réelu. 2019, Ali Bongo est élu. 2026 Ali Bongo est réélu, jusqu'à perpète. 2030, Le Gabon n'a plus de pétrole. N'ayant jamais préparé l'après pétrole, le Gabon, en 2033, est le pays le plus pauvre du monde. > > 6) 2034, Monsieur Mayandji meurt de palu au dispensaire de Nkembo, parce qu'au Gabon, la pauvreté est devenue telle que ses petits enfants, sans emploi, n'ont pas assez d'argent pour lui acheter un comprimé de Fansidar, et les économies qu'il avait faites pour sa retraite en 2026 ont fondu comme beurre au soleil devant la vie chère qui est maintenant au Gabon comme celle du Zimbabwé: 1000% > > Autrement dit, Monsieur Mayandji, ceux qui s'engagent et essaient, même dans la désorganisation et l'échec, valent mieux comme citoyens que ceux qui, de loin, critiquent, se disent plus compétents, mais pourtant, se refusent à montrer, par l'engagement concret, comment ils peuvent mieux réussir que les autres. > > Et cette leçon, croyez-moi, vaut pour nous tous, moi y compris. > > La question, en fin de compte, n'est pas de savoir qui a échoué ou qui a réussi. Ce qu'il faut, c'est étudier comment, par la combinaisaon des efforts et des inspirations, nous pourrions, ENSEMBLE ET/OU SEPAREMMENT, contribuer à l'objectif de consolidation d'une opposition engagée qui soit capable de résister aux prostitutions qui enfantent de ce renoncement qui compromet la réussite. L'image à avoir en tête ici est celle de soldats sur un champ de bataille. Quand ils s'avancent, l'ennemi les fauche. Certains tombent, mais d'autres avancent. A la fin, ce sera à qui avancera avec plus de résolution que la victoire appartiendra. > > PLus proche de nous, cette image marche de la façon suivante. En face de Mamboundou, Mba Abessole, Mayandji et Mengara, il y a Bongo avec un fusil à trois balles. Devant les tirs de Bongo, Mba Abessole tombe. Puis c'est le tour de Mamboundou, et enfin Daniel Mengara. Maintenant, Bongo n'a plus de balles et Mayandji reste debout, vivant, devant un Bongo désemparé. Sous la rage des années de brimades subies, Mayandji étrangle Bongo et le pend à un arbre, pour les vautours. Le Gabon est libéré. > > Autrement dit, dans tout combat, certains tombent sous les balles ou sous la peur, mais d'autres, surtout ceux qui se font censeurs des autres, doivent être capables de continuer la lutte. Il est impardonnable de renoncer ou de se fatiguer parce qu'on a vu certains tomber, et ensuite se retourner pour critiquer ceux qui sont tombés ou se sont enfuis. Si on a de la conviction, on doit continuer, sinon on ne sert à rien dans la société des hommes. > > L'opposition, cher ami, ne peut être vue comme une aventure sans lendemain. Le dire de cette manière, c'est voir l'opposition comme une affaire basée sur le court terme de nos courtes vies, et non comme une continuité que chaque génération se doit de pérpétuer, pour elle-même et pour les autres. Autrement dit, chaque citoyen qui se bat ne doit jamais limiter l'idée de l'opposition à ce qu'il peut y gagner de son vivant, mais plutôt la construire sur les principes de participation qui lui permettraient de faire sa part de contributions à l'édifice de redressement national. > > Autrement dit, la valeur d'un vrai citoyen ne se mesure pas à combien de théories il peut émettre. Tant qu'il n'est pas prêt, de par LUI-MEME, à tester ses propres théories et même à les mettre en pratique au service de la nation, il ne vaut rien pour la société. > > Et la question que le citoyen modeste posera toujours à ces censeurs invétérés que nous sommes, vous et moi, est la suivante: est-ce que tu peux faire mieux, toi qui parle beaucoup, beaucoup, beaucoup? > > A cette question, je crois que nous savons déjà la réponse. > > > Daniel Mengara > > > Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ >> >> >> Il n'est pas question pour moi d'appeller à la guerre civile. Je suis tout simplement fatigué de voir une opposition qui si mal organisée et qui, contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les partisans du pouvoir défendent leurs privilèges. >> Je pense qu'à l'instar de la majorité des gabonais, je ne suis pas le partisan des aventures sans lendemain. Je pratique la politique des "petits pas", celle qui consiste à apporter des solutions ciblées aux populations au fur et à mesure que les problèmes sont identifiés et que les moyens sont constitués. >> MANGASS TTC >> Christian MAYANDJI >> Démarches-Gestion >> FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES >> ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS >> CONVOYAGE EXPLOITATION >> VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES >> EUROPE - AFRIQUE >> >> >> >> --- En date de : Mer 27.8.08, Jean Bika a écrit : >> >> De: Jean Bika >> Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat >> À: bdpalabres at bdpgabon.org >> Date: Mercredi 27 Août 2008, 2h22 >> >> ___________________________________________________________ >> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages >> apparaîtront une fois modérés. >> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement >> aux messages. >> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> ___________________________________________________________ >> >> >> Monsieur Mayandji, vous avez tout dit. Les peuples qui ont sacrifié de leur >> sang et acheté la liberté avec leur sang comprennent mieux la valeur de la >> paix. le gabon, comme d'autres pays, devra passer par une étape de violence >> pour le comprendre. Une seule personne en sera la cause: Omar Bongo. >> >> >> Christian MAYANDJI a écrit: >> > ___________________________________________________________ >> > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages >> apparaîtront une fois modérés. >> > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout >> simplement aux messages. >> > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> > ___________________________________________________________ >> > >> > >> > >> > M. Mengara a le droit d'affirmer sa différence, comme tous ceux qui >> aspirent à un changement légitime au Gabon, au TOGO, dans d'autres pays, >> sur d'autres continents. >> > Cependant, je crois que nous évoluons vers des dérives qui me font >> craindre des tensions extrêmes. >> > Je résume la situation : les "opposants" attaquent les >> représentant s du pouvoir dans ce qu'il y a de plus bas; >> > les partisans du "pouvoir" s'entêtent dans leurs délires >> de candidats à la corruption, pour ceux qui n'y ont pas encore été >> initiés. >> > Entre ces extremes, ils y a des hommes et des femmes qui construisent >> patiemment leur vie, avec leur propre moyens, sans rien demander à personne, >> pas même à l'Etat. >> > Le seule chose que je me demande, c'est pourquoi l'opposition ne >> se donne pas une bonne fois pour toutes les moyens d'en découdre avec le >> pouvoir, ainsi que cela s'est produit dans les autres pays. >> > Il se peut qu'après le sacrifice du sang, chacun trouvera la voie de >> la raison et comprendra que la politique commence lorsqu'on découvre >> comment faire la différence entre l'intérêt général et les intérêts >> particuliers. la politque se fait lorsqu'on respecte l'individu, la >> personne quelque ses valeurs dans la mesure ou tout le monde respecte la loi >> républicaine. Elles se poursuit lorsque chacun comprend que l'Etat - en >> tant que représentant de l'intérêt général - n'est pas la >> propriété de personne, mais en tant que puissance publique c'est une >> personne morale avec son fonctionnement propre. >> > Il est inopérant que chacun puisse projeter ses propres asiptations dans >> l'Etat. l'Etat n'est la vache à lait de personne. C'est tout >> simplement une organisation dont la fonction est de gérer ce qui constitue le >> ^patrimoine commun. >> > Je crois que la plupart des conflits actuels proviennent que chacun - >> conservateurs et partisans du changement - ne percoive l'état que comme une >> vache à lait que chacun doit traire. >> > En tant qu'historien, je sais que le changement est inéluctable et >> surtout en marche... >> > MANGASS TTC >> > Christian MAYANDJI >> > Démarches-Gestion >> > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES >> > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS >> > CONVOYAGE EXPLOITATION >> > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES >> > EUROPE - AFRIQUE >> > >> > >> > >> > --- En date de : Mar 26.8.08, Magloire Olympio >> a écrit : >> > >> > De: Magloire Olympio >> > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat >> > À: bdpalabres at bdpgabon.org >> > Date: Mardi 26 Août 2008, 9h01 >> > >> > ___________________________________________________________ >> > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos >> messages >> > apparaîtront une fois modérés. >> > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout >> simplement >> > aux messages. >> > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> > ___________________________________________________________ >> > >> > >> > Rebondissement dans l’affaire AKA : de nouveaux éléments qui >> confortent la >> > thèse de l’assassinat ; le frère cadet du défunt Maurille membre >> du régime >> > précipite son enterrement. >> > >> > >> > La tragique disparition du leader du MODENA Joachim Agbobli Atsutsè >> n’a pas >> > fini de révéler tous ses secrets. Après les résultats farfelus de >> > l’autopsie du professeur Napo-Koura et les conclusions tordues du >> procureur de >> > la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; de nouveaux >> éléments >> > viennent d’apparaître dans le dossier et confortent désormais, la >> thèse >> > d’un assassinat déguisé en suicide. Ces informations, nous les >> devons à >> > plusieurs amis du politologue (universitaires, hommes politiques, >> médecins, >> > journalistes) qui se sont mobilisés pour faire triompher la vérité. >> > >> > >> > >> > Le corps du défunt porte des traces d’électrocution >> > >> > >> > >> > La première information qui ressort de ces investigations est liée >> à des >> > lésions observées autour du coup et des parties génitales de la >> victime. Les >> > spécialistes en conclurent à une torture par des objets >> électriques. Pour ces >> > spécialistes, il est incroyable que le médecin légiste ait pu >> conclure en une >> > mort par suicide en passant sous silence ces différentes lésions que >> nous >> > venons de signaler. En réalité, AKA a été enlevé depuis la >> clinique, >> > conduit à un endroit secret et torturé à mort avant que le corps ne >> soit >> > jeté à la plage 24 h plus tard. C’est d’ailleurs ce scénario >> qui explique >> > la disparition des vêtements de la victime de même que l’abandon >> de son >> > portefeuille, et ses verres médicaux. La version du rendez-vous en >> plus du >> > parcours effectué attribué au chauffeur n’est qu’une pure >> invention sortie >> > des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA ne s’est jamais >> rendu à >> > un quelconque rendez-vous, il ne s’est jamais arrêté à l’Hôtel >> Palm >> > Beach et il ne s’est jamais rendu à l’Hôtel Sarakawa. >> D’ailleurs le >> > docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa serait sous >> d’énormes >> > pressions afin qu’il ne s’adresse à aucun média. A la clinique >> Biasa les >> > visites aux malades sont désormais réglementées. >> > >> > >> > >> > Maurille Agbobli dans le mauvais rôle >> > >> > >> > >> > Il n’est un secret pour personne que la famille Agbobli est >> partagée entre >> > l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont actuellement dans le >> cercle du >> > pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, universitaire, conseiller >> > diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite Maurille Edoh Agbobli >> ancien >> > ministre, membre du bureau politique du RPT. C’est donc ce dernier >> qui est >> > accusé aujourd’hui de dissuader la famille d’aller plus loin et >> précipite >> > par la même occasion l’enterrement de son frère. Alors que >> certains >> > évoquent encore une contre autopsie avec l’assistance des experts >> venus de >> > l’extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées dans la foulée >> pour les 29 >> > et 30 août prochain. >> > >> > >> > >> > Faure tapis dans l’ombre manœuvre et joue au chrono >> > >> > >> > >> > La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de l’actualité la >> récurrente >> > question de l’impunité qui caractérise depuis 40 ans le régime du >> RPT. >> > Faure qui espérait noyer cette question de l’impunité dans une >> mascarade de >> > réconciliation après les fameuses consultations nationales se >> retrouve du coup >> > dans une situation embarrassante. Depuis le palais de la Marina, il >> tire sur les >> > ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » qui n’a jamais >> accordé le >> > moindre crédit à la presse togolaise invite subitement par une >> méthode peu >> > orthodoxe des journalistes des médias publics et privés à une >> discussion à >> > battons rompus à la présidence de la République. Certains >> journalistes ( >> > médias d’Etat, radios et presses privées) se sont rendus donc ce >> jeudi à la >> > présidence de la République pour en ressortir plus tard avec des >> billets de >> > banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par tête. Tout ceci, >> après une >> > longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. D’autres >> journalistes qui >> > ont pu déceler là, le piège de la corruption ont décliné >> l’invitation >> > présidentielle. Lorsqu’on situe cette discussion avec les >> journalistes qui >> > ces derniers temps sont très critiques vis à vis du pouvoir de Faure >> dans le >> > contexte de la disparition tragique de AKA on comprend aisément la >> manœuvre du >> > pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en prenant >> habilement soin de >> > se donner le visage d’un président ouvert et préoccupé. >> > >> > >> > >> > Une opposition réduite à de simples communiqués >> > >> > >> > >> > Après la phase des communiqués de compassion certains responsables >> politiques >> > et associations de la société civile ont exhorté l’ensemble de >> > l’opposition à envisager des manifestions de rue dans le but >> d’exiger la >> > fin de l’impunité au Togo. Ces organisations ont été confrontées >> au refus >> > catégorique d’autres partis de l’opposition qui de par leur >> popularité >> > devraient servir de locomotive à cette initiative. Alors la question >> qui se >> > pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur de journée des >> communiqués >> > sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le leader du MODENA >> comme celui >> > du PSP qu’était Tavio Amorin ne dérangeait pas seulement le parti >> au pouvoir >> > par son engagement et ses débats mais aussi ses amis de >> l’opposition qu’il >> > croyait naïvement être ses frères. Aucune raison ne justifie >> aujourd’hui >> > l’inertie de cette opposition et de cette société civile qui jadis >> étaient >> > à l’avant garde de toute violation des droits de l’homme. La >> réalité est >> > que la société togolaise baigne désormais dans une corruption sans >> > précédent où des responsables insoupçonnés de certains partis >> actuels de >> > l’opposition émargent régulièrement dans le registre de Faure. >> Faure en >> > parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de morts a réussi >> un seul >> > coup celui, d’avoir mis l’opposition en lambeaux en enrôlant >> certains dans >> > son aventure gouvernementale et en renflouant les comptes en banque >> des autres >> > qui ne se contentent désormais que des communiqués. Voilà donc le >> drame qui >> > se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font semblant d’être >> encore >> > opposants mais qui dans la réalité ont changé depuis leurs vestes. >> AKA >> > n’est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais aussi d’une >> société >> > togolaise en manque de repères, de principes, où les hommes de >> valeurs qui >> > devraient servir de guide, de modèle sont crétinisés par un >> système pervers >> > et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur Fiadjoe et le >> chauffeur >> > devraient déjà prendre la parole pour libérer leurs consciences et >> situer les >> > togolais sur les réelles conditions de la mort mystérieuse et >> tragique de AKA. >> > Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette réalité, les >> Gnassingbé et >> > leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux jours devant eux. >> > >> > >> > >> > Simon de Fanti, tultogo.com From protected at bdpgabon.org Thu Aug 28 12:26:16 2008 From: protected at bdpgabon.org (Dr. Daniel Mengara) Date: Thu, 28 Aug 2008 12:26:16 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Accusé de reception Message-ID: J'attendrai avec grande impatience votre réflexion, cher Monsieur Mayandji. Je vous sais homme de profondeur et j'avoue toujours apprécier vos prises de position qui, se détournant de la polémique stérile, élèvent toujours la conversation sur ce forum. Les solutions aux problèmes gabonais commencent par le type d'exercice mental que, de par vos arguments, vous ne manquez jamais de susciter. D'où l'expression de mes sincères remerciements pour avoir inspiré la "petite" et modeste pensée que j'ai proposée à nos lecteurs. Il y a sur notre site, une pensée d'Edgar Morin, sociologue et écrivain français, qui se pose la question suivante: "Qu'est-ce qu'un intellectuel?". A cette question, il répond: "C'est quelqu'un qui, en dehors de sa propre compétence, porte sur la place publique des problèmes de fond." Autrement dit, le statut d'intellectuel implique une certaine RESPONSABILITE. Cette responsablité, à son tour, découle non seulement de ce POUVOIR qui lui permet d'influencer la pensée et, parfois même, la destinée publique, mais également de ce DEVOIR d'engagement qui lui est dicté par les défis auxquels est confrontée sa société. Le Gabon, dans le contexte d'une telle dynamique, ne peut perdre. Votre dévoué compatriote. Daniel Mengara Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Au Professeur Daniel MENGARA > Coordonateur du Mouvement BDP > > Cher Professeur, > > Vous avez pris de votre temps pour me faire part de votre point de vue. Je vous en remercie. Vous comprendrez certainement que je vous reponde méthodiquement. Cela implique un décallage de temps. Je vous prie de croire qu'il n'est pas dans mon intention d'abuser de votre patience, ni de compter parmi vos détracteurs. Je vais m'efforcer de vous apporter une reponse structurée. J'espère que - au contraire d'autres leaders d'opinion noyés par leur célébrité médiatique - vous prendrez la peine de l'étudier avec la plus grande attention et d'en tirer les meilleures enseignements pour votre mouvement. > > Cordialement. > MANGASS TTC > Christian MAYANDJI > Démarches-Gestion > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > CONVOYAGE EXPLOITATION > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > EUROPE - AFRIQUE > > > > --- En date de : Jeu 28.8.08, Dr. Daniel Mengara a écrit : > > De: Dr. Daniel Mengara > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > À: bdpalabres at bdpgabon.org > Date: Jeudi 28 Août 2008, 3h19 > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement > aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > Monsieur Mayandji, cher frère: > > Le paradoxe que je constate dans votre argumentaire est exactement celui qui > découle des tares que vous reprochez aux autres. Vous vous dites > "fatigué" de voir une opposition mal organisée, et qui, je vous > cite, "contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, > ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les > partisans du pouvoir défendent leurs privilèges." > > Bien! > > Et vous ajoutez, ensuite, en censeur des méthodes précipitées, que vous > êtes partisan des petits pas ciblés, ceux des solutions "au fur et à > mesure". > > Bien aussi ! > > MAIS, mon frère, en quoi donc cette démarche serait-elle différente de celle > de Mba Abessole qui, lui, préfère faire les choses à "petits pas > ciblés" de l'intérieur du régime, ou de Mamboundou, qui, lui, pense > désormais qu'un raprochement entre lui et Bongo, aussi avare de résultats > que ce rapprochement soit, apportera de petis changements progressifs qui lui > sont plus acceptables que la guerre ou la violence, même si pour cela le peuple > gabonais doit attrendre 100 ans de plus?! > > Il me semble que vous êtes exactement dans la logique de cette opposition que > vous fustigez, non? > > Il y a une seconde contradiction dans votre argument car, si l'on prend > votre critique à la lettre, on voit que si l'opposition dont vous parlez > était mieux organisée et devenait comme celle des autres pays, elle > contredirait immédiatement votre théorie des "petits pas" > puisqu'elle précipiterait TOUT! Ce qui ne serait pas non plus à votre > goût des "petits pas ciblés", il me semble, n'est-ce pas, cher > ami? > > Le problème des censeurs invétérés comme vous et moi, cher frère, est que > nous croyons souvent détenir la vérité absolue, alors que, en réalité, nous > ne brassons que du vide, du vent. > > Par exemple: vous qui vous dites fatigué de voir une opposition inepte, vous > rendez-vous au moins compte que, du haut de votre piédestal de censeur (un peu > comme moi), vous êtes en train de dire que vous savez mieux que cette > opposition ce qu'il faut faire pour résoudre la problématique gabonaise? > > Si tel est le cas, bien! > > Mais, dans ce cas, je me permettrai la remarque suivante: si, donc, comme le > laisse supposer votre message, vous avez la solution parce que mieux et plus > éclairé, on se demande ce que vous attendez pour créer, VOUS-MEME, cette > opposition CAPABLE qui, elle, pourra, à votre convenance (puisque vous en aurez > été l'initiateur éclairé), satisfaire à vos exigences de meilleure > organisation!! Mieux encore, si vous ne pouvez la créer indépendamment, rien > ne vous interdit de vous engager à ses côtés pour lui faire bénéficier de > vos hautes inspirations! Là ou d'autres ont failli, vous réussirez > peut-être! Pourquoi, dans ce cas, priver le pays de votre infinie sagesse, et > surtout du potentiel d'une réussite par VOUS, là où les autres ont > échoué!? > > En fin de compte, frère, je peux affirmer sans méchanceté, mais aussi sans > me tromper, que, comme nous tous, vous êtes bel et bien le produit du > bongoïsme, non pas parce que vous êtes bongoïstes (je ne crois pas que vous > le soyez), mais plutôt parce que vous souffrez des mêmes tares qui nous > polluent tous, nous qui, vitupérant de l'ombre (engagés nulle part) ou de > derrière nos ordinateurs (comme moi), croyons pouvoir faire avancer la cause > gabonaise en critiquant, de loin, ceux qui, eux, ont, au moins, osé > s'aventurer sur la voie de l'opposition ouverte et radicale. > > Dans un de mes récents articles, j'ai souligné le fait que les citoyens > que nous sommes ne devons jamais reprocher à l'opposition ses échecs si > ces échecs s'expliquent par une conjoncture indépendante de sa volonté. > L'échec ou la réussite, en tout combat politique, est une situation qui, > en elle-même, est fonction du moment et de la conjoncture sociopolitique et > socioculturelle du moment. On peut échouer inexplicablement dans un contxete > pourtant très favorable (Mba Abessole, Mamboundou) ou réussir au moment le > plus inattendu (Géorgie, Ukraine, Russie, Indonésie, Pakistan, etc.). Mais ce > n'est pas l'échec qui est, en lui-même, un problème. Ce que nous > devons reprocher à l'opposition, à NOTRE opposition, ce sont les > RENONCEMENTS qui causent l'échec, surtout quand ces renoncements bafouent > les principes les plus élémentaires de la décence humaine et/ou citoyenne. > Autrement dit, qu'elle soit organisée ou désorganisée, rien ne garantit > la réussite de l'opposition. Ce qui importe, par contre, est que cette > opposition reste déterminée dans son intention et sa conviction, génération > par génération, et génération après génération. > > Personnellement, je ne reproche leur échec ni à Mamboundou, ni à Mba > Abessole. Ce que je leur reproche, c'est leur renoncement. Et parce que je > sais que l'échec peut être au rendez-vous de tout opposant de bonne > volonté, même sans renoncement, j'essaie de m'engager dans > l'espoir de non seulement mieux faire, mais aussi de POUVOIR réussir (sans > pour autant croire que je suis celui qui réussira forcément; je ne sais de moi > que ma conviction. L'avenir, lui, appartient à Dieu). Mais ce que je > m'interdis en tant que citoyen responsable, c'est le découragement ou > la fatigue qui me met hors-jeu de l'histoire et de la société. Il n'y > a pas de renoncement pire que celui qui est fait juste parce que d'autres > ont renoncé ou échoué. C'est là une conclusion trop facile qui ne ferait > pas de moi un meilleur citoyen que ceux que je critique. Il est bien de > critiquer. Mais il est encore mieux de critiquer quand on est, soi-même, > engagé dans une tentative de salut national. > > Quand j'ai créé le BDP-Gabon Nouveau, je l'ai fait sur la base du > constat d'échec de Paul Mba Abessole et de Pierre Mamboundou, et ceci dès > décembre 1998. Dès 1998, j'avais déjà vu, dans leurs attitudes, les > germes non pas de l'échec, mais du renoncement. Et je me suis juré, en > m'engageant OUVERTEMENT, d'ESSAYER de mieux faire qu'eux, et > surtout, de ne JAMAIS RENONCER, comme eux, aux idéaux qui furent leurs et qui > sont aujourd'hui miens. Et j'attends de citoyens responsables la même > réaction que moi. En d'autres termes, si aujourd'hui ou dans 10 ans, > mes concitoyens constatent mon échec et croient pouvoir mieux faire que moi, je > ne trouverai satisfaction que dans un acte d'engagement de leur part qui > puisse reprendre le combat là où j'ai échoué, et le mener à finalité, > avec ou sans moi. > > Autrement dit, cher frère, en quoi un citoyen peut-il croire être plus utile > à la société que le bébé qui vient de naître et qui suce le lait maternel > en toute insouciance s'il ne ponctue pas sa critique par un acte > d'engagement concret? En quoi peut-il être meilleur que le chien errant > qui, n'ayant d'autre objectif dans la vie que la recherche de l'os > dans les poubelles, ne se soucie guère de ce qu'il fera le jour > d'après? En quoi peut-il être différent d'Omar Bongo qui, à la tête > du Gabon depuis 41 ans, ne se soucie guère des souffrances de son peuple? Du > moment que, lui, mange bien et fait son petit truc dans son coin, que lui > importe, à Bongo ou à ce citoyen individualiste, que le reste des Gabonais > tire le dibale par la queue? > > Le principe d'une opposition, cher frère, n'est pas de détenir la > science infuse ou la solution toute faite. Le principe d'une opposition > n'est pas non plus d'être capable de tout accomplir de son vivant ou de > tout réussir. Le principe d'une véritable opposition réside dans sa > capacité non seulement à assumer le rôle de défense des intérêts citoyens > qui est le sien, mais également d'en mobiliser et d'en étendre la > conscience aux générations futures. Faire de l'opposition découle > d'une culture politique qui, procédant par tâtonnements et par > hypothèses, finit un jour par le triomphe des forces du changement dès lors > qu'il n'y aurait aucune cassure générationnelle dans la continuité > des engagements. > > Le but n'est donc pas que Mamboundou ou Mengara réussisse de son vivant. > Le but est, pour tous ceux qui s'engagent ou épaulent ceux qui > s'engagent, de toujours tenter le changement en fonction de leur > inspiration, et s'ils échouent malgré leur bonne volonté, il leur est > important de pouvoir compter sur ceux qui, dans les générations présentes ou > futures, pourront prendre la relève et continuer le combat pour la dignité. > Or, pour que les tâtonnements des uns et des autres arrivent à une solution > avérée (comprenez, victoire), il faut bien que des hommes comme vous, Monsieur > Mayandji, aient le courage de contribuer OUVERTEMENT, et AU SEIN DE CETTE > OPPOSITION DEFICIENTE ou en dehors d'elle par une OPPOSITION NOUVELLE, leur > éclairage (tout en gardant à l'esprit le simple fait, modeste, que cet > éclairage ne sera pas forcément la panacée qui mènerait à la réussite). > Tout acte d'opposition est alors vu comme une tentative stratégique qui > comporte en elle un espoir de réussite et non une certitude. Faire de > l'opposition n'est ni un travail de nanochirurgie ni un travail de > nanoscience. Faire de l'opposition, c'est un peu comme un opérateur de > mitrailleuse qui tire une centaine de balles en direction d'une cible, avec > l'espoir qu'une des balles fera mouche. > > Bref, l'opposition pour moi se résume ainsi: devant l'incertitude, les > hésitations et les tâtonnements, tout ce qui peut être tenté doit être > tenté, génération par génération, et génération après génération. > Quand Mengara ou Mamboundou tombe, victime de la corruption ou de la fatiguue, > il doit toujours se trouver un Mayandji pour, soit prendre la relève pour > continuer le combat, soit donner des béquilles à ceux qui, ayant tenté toute > leur vie, n'arrivent plus à tenir debout tous seuls. > > Il ne sert donc à RIEN pour un cotoyen de brayer, DU DEHORS, qu'il est > fatigué par l'inorganisation de l'opposition quand, dans le même > temps, il se refuse à y entrer, collectivement ou indépendamment, pour aider > à son REDRESSEMENT. > > En d'autres termes, l'inorganisation de l'opposition est autant de > VOTRE faute, frère Mayandji, que de la mienne et de celle de tous ceux qui > participent de cette opposition inepte que vous critiquez. Imaginez, cher > frère, un seul moment le cas de figure suivant: > > 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le > sait). > > 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. > > 3) Monsieur Mayandji, au lieu de se déclarer fatigué, entre dans > l'opposition ou crée son opposition, pour redresser l'opposition. > > 4) L'opposition, bénéficiant enfin de la science de Monsieur Mayandji, > arrive enfin à s'organiser. > > 5) 2009, l'opposition chasse Bongo du pouvoir et commence la reconstruction > du pays, grâce à la contribution spectaculaire de Monsieur Mayandji. > > 6) Le Gabon est enfin sauvé et Monsieur Mayandji est fait héros national avec > un mausolée lui reconnaissant une contribution historique de patriote. > > > Bien! > > IMAGINONS maintenant l'autre cas de figure, c'est-à-dire, > l'affirmation ou la perennisation de la sitaution de passivité et > d'immobilisme (donc de renoncement) dans laquelle vous vous trouvez, cher > frère, et ceci malgré vos critiques incantatoires: > > > 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le > sait). > > 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. > > 3) MAIS Monsieur Mayandji, fatigué par le désastre d'une opposition > désorganisée, reste dans l'ombre, refuse de s'engager et garde sa > solution pour lui-même. > > 4) L'opposition, ne bénéficiant pas de la science de MOnsieur Mayandji, > sombre encore plus dans la désorganisation et s'étiole. > > 5) 2012, Bongo est réelu. 2019, Ali Bongo est élu. 2026 Ali Bongo est > réélu, jusqu'à perpète. 2030, Le Gabon n'a plus de pétrole. > N'ayant jamais préparé l'après pétrole, le Gabon, en 2033, est le > pays le plus pauvre du monde. > > 6) 2034, Monsieur Mayandji meurt de palu au dispensaire de Nkembo, parce > qu'au Gabon, la pauvreté est devenue telle que ses petits enfants, sans > emploi, n'ont pas assez d'argent pour lui acheter un comprimé de > Fansidar, et les économies qu'il avait faites pour sa retraite en 2026 ont > fondu comme beurre au soleil devant la vie chère qui est maintenant au Gabon > comme celle du Zimbabwé: 1000% > > Autrement dit, Monsieur Mayandji, ceux qui s'engagent et essaient, même > dans la désorganisation et l'échec, valent mieux comme citoyens que ceux > qui, de loin, critiquent, se disent plus compétents, mais pourtant, se refusent > à montrer, par l'engagement concret, comment ils peuvent mieux réussir que > les autres. > > Et cette leçon, croyez-moi, vaut pour nous tous, moi y compris. > > La question, en fin de compte, n'est pas de savoir qui a échoué ou qui a > réussi. Ce qu'il faut, c'est étudier comment, par la combinaisaon des > efforts et des inspirations, nous pourrions, ENSEMBLE ET/OU SEPAREMMENT, > contribuer à l'objectif de consolidation d'une opposition engagée qui > soit capable de résister aux prostitutions qui enfantent de ce renoncement qui > compromet la réussite. L'image à avoir en tête ici est celle de soldats > sur un champ de bataille. Quand ils s'avancent, l'ennemi les fauche. > Certains tombent, mais d'autres avancent. A la fin, ce sera à qui avancera > avec plus de résolution que la victoire appartiendra. > > PLus proche de nous, cette image marche de la façon suivante. En face de > Mamboundou, Mba Abessole, Mayandji et Mengara, il y a Bongo avec un fusil à > trois balles. Devant les tirs de Bongo, Mba Abessole tombe. Puis c'est le > tour de Mamboundou, et enfin Daniel Mengara. Maintenant, Bongo n'a plus de > balles et Mayandji reste debout, vivant, devant un Bongo désemparé. Sous la > rage des années de brimades subies, Mayandji étrangle Bongo et le pend à un > arbre, pour les vautours. Le Gabon est libéré. > > Autrement dit, dans tout combat, certains tombent sous les balles ou sous la > peur, mais d'autres, surtout ceux qui se font censeurs des autres, doivent > être capables de continuer la lutte. Il est impardonnable de renoncer ou de se > fatiguer parce qu'on a vu certains tomber, et ensuite se retourner pour > critiquer ceux qui sont tombés ou se sont enfuis. Si on a de la conviction, on > doit continuer, sinon on ne sert à rien dans la société des hommes. > > L'opposition, cher ami, ne peut être vue comme une aventure sans > lendemain. Le dire de cette manière, c'est voir l'opposition comme une > affaire basée sur le court terme de nos courtes vies, et non comme une > continuité que chaque génération se doit de pérpétuer, pour elle-même et > pour les autres. Autrement dit, chaque citoyen qui se bat ne doit jamais limiter > l'idée de l'opposition à ce qu'il peut y gagner de son vivant, > mais plutôt la construire sur les principes de participation qui lui > permettraient de faire sa part de contributions à l'édifice de > redressement national. > > Autrement dit, la valeur d'un vrai citoyen ne se mesure pas à combien de > théories il peut émettre. Tant qu'il n'est pas prêt, de par LUI-MEME, > à tester ses propres théories et même à les mettre en pratique au service de > la nation, il ne vaut rien pour la société. > > Et la question que le citoyen modeste posera toujours à ces censeurs > invétérés que nous sommes, vous et moi, est la suivante: est-ce que tu peux > faire mieux, toi qui parle beaucoup, beaucoup, beaucoup? > > A cette question, je crois que nous savons déjà la réponse. > > > Daniel Mengara > > > Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ > > > > > > > > Il n'est pas question pour moi d'appeller à la guerre civile. Je > suis tout simplement fatigué de voir une opposition qui si mal organisée et > qui, contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne > semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les > partisans du pouvoir défendent leurs privilèges. > > Je pense qu'à l'instar de la majorité des gabonais, je ne suis > pas le partisan des aventures sans lendemain. Je pratique la politique des > "petits pas", celle qui consiste à apporter des solutions ciblées > aux populations au fur et à mesure que les problèmes sont identifiés et que > les moyens sont constitués. > > MANGASS TTC > > Christian MAYANDJI > > Démarches-Gestion > > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > > CONVOYAGE EXPLOITATION > > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > > EUROPE - AFRIQUE > > > > > > > > --- En date de : Mer 27.8.08, Jean Bika a > écrit : > > > > De: Jean Bika > > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > Date: Mercredi 27 Août 2008, 2h22 > > > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos > messages > > apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout > simplement > > aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > ___________________________________________________________ > > > > > > Monsieur Mayandji, vous avez tout dit. Les peuples qui ont sacrifié > de leur > > sang et acheté la liberté avec leur sang comprennent mieux la valeur > de la > > paix. le gabon, comme d'autres pays, devra passer par une étape > de violence > > pour le comprendre. Une seule personne en sera la cause: Omar Bongo. > > > > > > Christian MAYANDJI a écrit: > > > ___________________________________________________________ > > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos > messages > > apparaîtront une fois modérés. > > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez > tout > > simplement aux messages. > > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > > > > > M. Mengara a le droit d'affirmer sa différence, comme tous > ceux qui > > aspirent à un changement légitime au Gabon, au TOGO, dans > d'autres pays, > > sur d'autres continents. > > > Cependant, je crois que nous évoluons vers des dérives qui me > font > > craindre des tensions extrêmes. > > > Je résume la situation : les "opposants" attaquent les > > représentant s du pouvoir dans ce qu'il y a de plus bas; > > > les partisans du "pouvoir" s'entêtent dans leurs > délires > > de candidats à la corruption, pour ceux qui n'y ont pas encore > été > > initiés. > > > Entre ces extremes, ils y a des hommes et des femmes qui > construisent > > patiemment leur vie, avec leur propre moyens, sans rien demander à > personne, > > pas même à l'Etat. > > > Le seule chose que je me demande, c'est pourquoi > l'opposition ne > > se donne pas une bonne fois pour toutes les moyens d'en découdre > avec le > > pouvoir, ainsi que cela s'est produit dans les autres pays. > > > Il se peut qu'après le sacrifice du sang, chacun trouvera la > voie de > > la raison et comprendra que la politique commence lorsqu'on > découvre > > comment faire la différence entre l'intérêt général et les > intérêts > > particuliers. la politque se fait lorsqu'on respecte > l'individu, la > > personne quelque ses valeurs dans la mesure ou tout le monde respecte > la loi > > républicaine. Elles se poursuit lorsque chacun comprend que > l'Etat - en > > tant que représentant de l'intérêt général - n'est pas la > > propriété de personne, mais en tant que puissance publique c'est > une > > personne morale avec son fonctionnement propre. > > > Il est inopérant que chacun puisse projeter ses propres > asiptations dans > > l'Etat. l'Etat n'est la vache à lait de personne. > C'est tout > > simplement une organisation dont la fonction est de gérer ce qui > constitue le > > ^patrimoine commun. > > > Je crois que la plupart des conflits actuels proviennent que > chacun - > > conservateurs et partisans du changement - ne percoive l'état que > comme une > > vache à lait que chacun doit traire. > > > En tant qu'historien, je sais que le changement est > inéluctable et > > surtout en marche... > > > MANGASS TTC > > > Christian MAYANDJI > > > Démarches-Gestion > > > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > > > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > > > CONVOYAGE EXPLOITATION > > > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > > > EUROPE - AFRIQUE > > > > > > > > > > > > --- En date de : Mar 26.8.08, Magloire Olympio > > a écrit : > > > > > > De: Magloire Olympio > > > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > > Date: Mardi 26 Août 2008, 9h01 > > > > > > ___________________________________________________________ > > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. > Vos > > messages > > > apparaîtront une fois modérés. > > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, > répondez tout > > simplement > > > aux messages. > > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > > Rebondissement dans l’affaire AKA : de nouveaux éléments > qui > > confortent la > > > thèse de l’assassinat ; le frère cadet du défunt > Maurille membre > > du régime > > > précipite son enterrement. > > > > > > > > > La tragique disparition du leader du MODENA Joachim Agbobli > Atsutsè > > n’a pas > > > fini de révéler tous ses secrets. Après les résultats > farfelus de > > > l’autopsie du professeur Napo-Koura et les conclusions > tordues du > > procureur de > > > la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; de > nouveaux > > éléments > > > viennent d’apparaître dans le dossier et confortent > désormais, la > > thèse > > > d’un assassinat déguisé en suicide. Ces informations, > nous les > > devons à > > > plusieurs amis du politologue (universitaires, hommes > politiques, > > médecins, > > > journalistes) qui se sont mobilisés pour faire triompher la > vérité. > > > > > > > > > > > > Le corps du défunt porte des traces d’électrocution > > > > > > > > > > > > La première information qui ressort de ces investigations > est liée > > à des > > > lésions observées autour du coup et des parties génitales > de la > > victime. Les > > > spécialistes en conclurent à une torture par des objets > > électriques. Pour ces > > > spécialistes, il est incroyable que le médecin légiste ait > pu > > conclure en une > > > mort par suicide en passant sous silence ces différentes > lésions que > > nous > > > venons de signaler. En réalité, AKA a été enlevé depuis > la > > clinique, > > > conduit à un endroit secret et torturé à mort avant que le > corps ne > > soit > > > jeté à la plage 24 h plus tard. C’est d’ailleurs ce > scénario > > qui explique > > > la disparition des vêtements de la victime de même que > l’abandon > > de son > > > portefeuille, et ses verres médicaux. La version du > rendez-vous en > > plus du > > > parcours effectué attribué au chauffeur n’est qu’une > pure > > invention sortie > > > des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA ne > s’est jamais > > rendu à > > > un quelconque rendez-vous, il ne s’est jamais arrêté à > l’Hôtel > > Palm > > > Beach et il ne s’est jamais rendu à l’Hôtel Sarakawa. > > D’ailleurs le > > > docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa serait sous > > d’énormes > > > pressions afin qu’il ne s’adresse à aucun média. A la > clinique > > Biasa les > > > visites aux malades sont désormais réglementées. > > > > > > > > > > > > Maurille Agbobli dans le mauvais rôle > > > > > > > > > > > > Il n’est un secret pour personne que la famille Agbobli est > > partagée entre > > > l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont > actuellement dans le > > cercle du > > > pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, universitaire, > conseiller > > > diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite Maurille > Edoh Agbobli > > ancien > > > ministre, membre du bureau politique du RPT. C’est donc ce > dernier > > qui est > > > accusé aujourd’hui de dissuader la famille d’aller plus > loin et > > précipite > > > par la même occasion l’enterrement de son frère. Alors > que > > certains > > > évoquent encore une contre autopsie avec l’assistance des > experts > > venus de > > > l’extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées dans la > foulée > > pour les 29 > > > et 30 août prochain. > > > > > > > > > > > > Faure tapis dans l’ombre manœuvre et joue au chrono > > > > > > > > > > > > La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de > l’actualité la > > récurrente > > > question de l’impunité qui caractérise depuis 40 ans le > régime du > > RPT. > > > Faure qui espérait noyer cette question de l’impunité > dans une > > mascarade de > > > réconciliation après les fameuses consultations nationales > se > > retrouve du coup > > > dans une situation embarrassante. Depuis le palais de la > Marina, il > > tire sur les > > > ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » qui n’a > jamais > > accordé le > > > moindre crédit à la presse togolaise invite subitement par > une > > méthode peu > > > orthodoxe des journalistes des médias publics et privés à > une > > discussion à > > > battons rompus à la présidence de la République. Certains > > journalistes ( > > > médias d’Etat, radios et presses privées) se sont rendus > donc ce > > jeudi à la > > > présidence de la République pour en ressortir plus tard > avec des > > billets de > > > banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par tête. > Tout ceci, > > après une > > > longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. D’autres > > journalistes qui > > > ont pu déceler là, le piège de la corruption ont décliné > > l’invitation > > > présidentielle. Lorsqu’on situe cette discussion avec les > > journalistes qui > > > ces derniers temps sont très critiques vis à vis du pouvoir > de Faure > > dans le > > > contexte de la disparition tragique de AKA on comprend > aisément la > > manœuvre du > > > pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en prenant > > habilement soin de > > > se donner le visage d’un président ouvert et préoccupé. > > > > > > > > > > > > Une opposition réduite à de simples communiqués > > > > > > > > > > > > Après la phase des communiqués de compassion certains > responsables > > politiques > > > et associations de la société civile ont exhorté > l’ensemble de > > > l’opposition à envisager des manifestions de rue dans le > but > > d’exiger la > > > fin de l’impunité au Togo. Ces organisations ont été > confrontées > > au refus > > > catégorique d’autres partis de l’opposition qui de par > leur > > popularité > > > devraient servir de locomotive à cette initiative. Alors la > question > > qui se > > > pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur de > journée des > > communiqués > > > sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le leader du > MODENA > > comme celui > > > du PSP qu’était Tavio Amorin ne dérangeait pas seulement > le parti > > au pouvoir > > > par son engagement et ses débats mais aussi ses amis de > > l’opposition qu’il > > > croyait naïvement être ses frères. Aucune raison ne > justifie > > aujourd’hui > > > l’inertie de cette opposition et de cette société civile > qui jadis > > étaient > > > à l’avant garde de toute violation des droits de > l’homme. La > > réalité est > > > que la société togolaise baigne désormais dans une > corruption sans > > > précédent où des responsables insoupçonnés de certains > partis > > actuels de > > > l’opposition émargent régulièrement dans le registre de > Faure. > > Faure en > > > parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de morts a > réussi > > un seul > > > coup celui, d’avoir mis l’opposition en lambeaux en > enrôlant > > certains dans > > > son aventure gouvernementale et en renflouant les comptes en > banque > > des autres > > > qui ne se contentent désormais que des communiqués. Voilà > donc le > > drame qui > > > se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font semblant > d’être > > encore > > > opposants mais qui dans la réalité ont changé depuis leurs > vestes. > > AKA > > > n’est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais aussi > d’une > > société > > > togolaise en manque de repères, de principes, où les hommes > de > > valeurs qui > > > devraient servir de guide, de modèle sont crétinisés par > un > > système pervers > > > et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur Fiadjoe et > le > > chauffeur > > > devraient déjà prendre la parole pour libérer leurs > consciences et > > situer les > > > togolais sur les réelles conditions de la mort mystérieuse > et > > tragique de AKA. > > > Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette réalité, > les > > Gnassingbé et > > > leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux jours > devant eux. > > > > > > > > > > > > Simon de Fanti, tultogo.com From protected at live.fr Thu Aug 28 16:59:46 2008 From: protected at live.fr (amelie IGALO RIWOGO) Date: Thu, 28 Aug 2008 16:59:46 -0400 Subject: [BDPalabres] FW: NOTRE COMBAT- RIEN QUE LE COMBAT Message-ID: Bonjour mes Cheres compatriotes Notre combat ce n'est ni l'UNIFANG,ni la scission entre EKOGAH ET MENGARA,ni le ralliement supposé de MAMBOUDOU à BONGO...mais la bataille resolue,intrepide au REGIME BONGO que bien des Gabonais-es volontairement ou non cautionnent. S'il est permis qu'un jour que MYBOTO qui a incarné jusqu'à la CARICATURE ce regime se "qualifie d'opposant RADICAL" alors EKOGAH et MENGARA sont opposants... S'il est permis qu'un jour LEMBOUMBA,OGOULIGUENDE,MAYILA,DIVOUNGUI se sont dit "OPPOSANTS" après des années de "GESTION AUX MEME EFFETS POUR NOTRE PAYS" ,alors MENGARA et EKOGAH sont opposants. Et si en depis de leurs actions d'opposition ils jugaient en toute "conscience" de "gerer" une"MUNICIPALITE",un"DEPARTEMENT",un "MINISTERE" ou de se voir confier une "MISSION" par BONGO,un Parti de sa Majorité alors se sera chose dejà"VU, VU, VU, VU, VU...et maintes fois VU...! Le drame,ce que rien ne s'ameliore pour notre pays ! Le drame ce que si MAMBOUDOU et MYBOTO etaientt opposants ,ils gereraient PORT-GENTIL avec NDAOT ! Le drame ce que si MAMBOUDOU et MYBOTO etaient democrates,la majorité à PORT-GENTIL se ferait autour de NDAOT...!!! Le drame ce que si MAMBOUDOU et MYBOTO etaient Citoyens et libres, l'Accord de Gestion de Port-Gentil aurait eu lieu à la Mairie de Port-Gentil et NON au Palais Renovation.....Ah..."AUX CHOSES DU PAYS...." ! Je suis dans l'OPPOSITION,non pas contre BONGO,mais pour mes idées...Tant que j'ai pas la Preuve qu'il gagne democratiquement les elections jele combattrais...! Si demain,son successeur n'etait pas elu democratiquement,quel soit son Parti ou son ethnie je le combatrais...! Alors mes cheres compatriotes...une chanson dit en substance..." C'est mon Pays qui pleure sa liberté en riant..."-Pierre Claver AKENDEGUE,....Soyez inventif,Faites appel à votre Créativité dans la manière de s'opposer à BONGO....Harceller,denoncer les travers de ces Diplomates defroqués...de ces Fonctionnaires corrompus...Agissez jusqu'aux limites du Politiquement correct...Faites dans la publicité negative, la Derision,le Fanzine,le Theatre,la Chanson,la Musique,...Soyez agressif et surtout n'abandonner pas le combat comme helas notre Peuple qui se meurre dans cette "STUPIDITE qu'on appel l'INDIFFERENCE..." Marchez,Petitionnez,Faites des sittings...investissez tous les Forums...! Et surtout unissez vous...Pythagoriciens,Libres Penseurs ayez le coeur à l'oeuvre...Homme de foi,agissez en conscience...! Vive le Gabon From protected at yahoo.fr Fri Aug 29 09:16:31 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Fri, 29 Aug 2008 09:16:31 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: FW: NOTRE COMBAT- RIEN QUE LE COMBAT Message-ID: Chère Amélie, Pouvez vous nous dire qui devient précisément MAIRE de Port-Gentil, ma ville natale ? Je connais très bien la qualité de travail de Me NDAOT à la tête de la mairie de cette ville. Il serait par ailleurs souhaitable qu'il continue son travail. Si c'est le cas, alors je lui adresse mes félicitations par votre biais. Cela dit et considérant votre discours sur les vertus cardinales que doivent porter les responsables de l'opposition, accepteriez vous qu'un candidat - autre que de culture myéné, avec des compétences au moins équivalentes et la même volonté d'améliorer les conditions d'existence dans cette ville - puisse également assurer la direction de cette mairie? Je vous remercie de repondre avec beaucoup de courtoisie. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Jeu 28.8.08, amelie IGALO RIWOGO a écrit : De: amelie IGALO RIWOGO Objet: [BDPalabres] FW: NOTRE COMBAT- RIEN QUE LE COMBAT À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Jeudi 28 Août 2008, 22h59 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ Bonjour mes Cheres compatriotes Notre combat ce n'est ni l'UNIFANG,ni la scission entre EKOGAH ET MENGARA,ni le ralliement supposé de MAMBOUDOU à BONGO...mais la bataille resolue,intrepide au REGIME BONGO que bien des Gabonais-es volontairement ou non cautionnent. S'il est permis qu'un jour que MYBOTO qui a incarné jusqu'à la CARICATURE ce regime se "qualifie d'opposant RADICAL" alors EKOGAH et MENGARA sont opposants... S'il est permis qu'un jour LEMBOUMBA,OGOULIGUENDE,MAYILA,DIVOUNGUI se sont dit "OPPOSANTS" après des années de "GESTION AUX MEME EFFETS POUR NOTRE PAYS" ,alors MENGARA et EKOGAH sont opposants. Et si en depis de leurs actions d'opposition ils jugaient en toute "conscience" de "gerer" une"MUNICIPALITE",un"DEPARTEMENT",un "MINISTERE" ou de se voir confier une "MISSION" par BONGO,un Parti de sa Majorité alors se sera chose dejà"VU, VU, VU, VU, VU...et maintes fois VU...! Le drame,ce que rien ne s'ameliore pour notre pays ! Le drame ce que si MAMBOUDOU et MYBOTO etaientt opposants ,ils gereraient PORT-GENTIL avec NDAOT ! Le drame ce que si MAMBOUDOU et MYBOTO etaient democrates,la majorité à PORT-GENTIL se ferait autour de NDAOT...!!! Le drame ce que si MAMBOUDOU et MYBOTO etaient Citoyens et libres, l'Accord de Gestion de Port-Gentil aurait eu lieu à la Mairie de Port-Gentil et NON au Palais Renovation.....Ah..."AUX CHOSES DU PAYS...." ! Je suis dans l'OPPOSITION,non pas contre BONGO,mais pour mes idées...Tant que j'ai pas la Preuve qu'il gagne democratiquement les elections jele combattrais...! Si demain,son successeur n'etait pas elu democratiquement,quel soit son Parti ou son ethnie je le combatrais...! Alors mes cheres compatriotes...une chanson dit en substance..." C'est mon Pays qui pleure sa liberté en riant..."-Pierre Claver AKENDEGUE,....Soyez inventif,Faites appel à votre Créativité dans la manière de s'opposer à BONGO....Harceller,denoncer les travers de ces Diplomates defroqués...de ces Fonctionnaires corrompus...Agissez jusqu'aux limites du Politiquement correct...Faites dans la publicité negative, la Derision,le Fanzine,le Theatre,la Chanson,la Musique,...Soyez agressif et surtout n'abandonner pas le combat comme helas notre Peuple qui se meurre dans cette "STUPIDITE qu'on appel l'INDIFFERENCE..." Marchez,Petitionnez,Faites des sittings...investissez tous les Forums...! Et surtout unissez vous...Pythagoriciens,Libres Penseurs ayez le coeur à l'oeuvre...Homme de foi,agissez en conscience...! Vive le Gabon From protected at yahoo.fr Fri Aug 29 09:17:44 2008 From: protected at yahoo.fr (Alice Vincent) Date: Fri, 29 Aug 2008 09:17:44 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: FW: NOTRE COMBAT- RIEN QUE LE COMBAT Message-ID: Ma très chère Amélie, bonjour, Point de vue partagée. Félicité Vincent ----- Message d'origine ---- De : amelie IGALO RIWOGO À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Jeudi, 28 Août 2008, 22h59mn 46s Objet : [BDPalabres] FW: NOTRE COMBAT- RIEN QUE LE COMBAT ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ Bonjour mes Cheres compatriotes Notre combat ce n'est ni l'UNIFANG,ni la scission entre EKOGAH ET MENGARA,ni le ralliement supposé de MAMBOUDOU à BONGO...mais la bataille resolue,intrepide au REGIME BONGO que bien des Gabonais-es volontairement ou non cautionnent. S'il est permis qu'un jour que MYBOTO qui a incarné jusqu'à la CARICATURE ce regime se "qualifie d'opposant RADICAL" alors EKOGAH et MENGARA sont opposants.... S'il est permis qu'un jour LEMBOUMBA,OGOULIGUENDE,MAYILA,DIVOUNGUI se sont dit "OPPOSANTS" après des années de "GESTION AUX MEME EFFETS POUR NOTRE PAYS" ,alors MENGARA et EKOGAH sont opposants. Et si en depis de leurs actions d'opposition ils jugaient en toute "conscience" de "gerer" une"MUNICIPALITE",un"DEPARTEMENT",un "MINISTERE" ou de se voir confier une "MISSION" par BONGO,un Parti de sa Majorité alors se sera chose dejà"VU, VU, VU, VU, VU...et maintes fois VU...! Le drame,ce que rien ne s'ameliore pour notre pays ! Le drame ce que si MAMBOUDOU et MYBOTO etaientt opposants ,ils gereraient PORT-GENTIL avec NDAOT ! Le drame ce que si MAMBOUDOU et MYBOTO etaient democrates,la majorité à PORT-GENTIL se ferait autour de NDAOT...!!! Le drame ce que si MAMBOUDOU et MYBOTO etaient Citoyens et libres, l'Accord de Gestion de Port-Gentil aurait eu lieu à la Mairie de Port-Gentil et NON au Palais Renovation.....Ah...."AUX CHOSES DU PAYS...." ! Je suis dans l'OPPOSITION,non pas contre BONGO,mais pour mes idées...Tant que j'ai pas la Preuve qu'il gagne democratiquement les elections jele combattrais...! Si demain,son successeur n'etait pas elu democratiquement,quel soit son Parti ou son ethnie je le combatrais...! Alors mes cheres compatriotes...une chanson dit en substance..." C'est mon Pays qui pleure sa liberté en riant..."-Pierre Claver AKENDEGUE,....Soyez inventif,Faites appel à votre Créativité dans la manière de s'opposer à BONGO....Harceller,denoncer les travers de ces Diplomates defroqués...de ces Fonctionnaires corrompus...Agissez jusqu'aux limites du Politiquement correct...Faites dans la publicité negative, la Derision,le Fanzine,le Theatre,la Chanson,la Musique,...Soyez agressif et surtout n'abandonner pas le combat comme helas notre Peuple qui se meurre dans cette "STUPIDITE qu'on appel l'INDIFFERENCE..." Marchez,Petitionnez,Faites des sittings...investissez tous les Forums...! Et surtout unissez vous...Pythagoriciens,Libres Penseurs ayez le coeur à l'oeuvre...Homme de foi,agissez en conscience...! Vive le Gabon From protected at aol.com Fri Aug 29 09:19:57 2008 From: protected at aol.com (Patitpierre) Date: Fri, 29 Aug 2008 09:19:57 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: FW: NOTRE COMBAT- RIEN QUE LE COMBAT Message-ID: Bonjour je lis est relis vos commentaires , mais quand je voit a qu oi sa sert ? c est de l utopie pure est simple , rien ne change , tout continus , aucun espoir , rien méme sur place au gabon pas une allusion au bdpg ? les fameux commandos !! qui devait faire un malheur ? au pays , un soulévement gigantesque ? un sumami devait rasé libreville ?? bref des tas d illusions utopiques , parler parler est encore parler sa sert a rien , sa fait bien rire dans les chaumieres gabonaises , ici quelques planquer en françe ou ailleur essaye péniblement délever un peut la voix defoit grossierement , parsque ils sont planquer ici bien payez bien soignez est sa veut jouer au kamikase !!!!! mais kamikase de diarhée mentale des mots encore des mots c est au pays , courageusement qu il faut affronter ceux que vous insulter a longueur dannée sans resultat faire façe , mais voila pour faire façe faut en avoir ? allez va bonne continuation salutations un vieux gabonais ! From protected at yahoo.fr Fri Aug 29 09:22:08 2008 From: protected at yahoo.fr (Isidore Mbina) Date: Fri, 29 Aug 2008 09:22:08 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat Message-ID: Monsieur Mengara, Je me permets de vous adresser ce petit mot, non pour contredire votre excellent argumentaire sur le choix de la stratégie, la meilleure, qui permettrait aux opposants de mener une lutte efficace, en évitant versatitilé, renoncement, collusion avec le pouvoir et compromission. Mon mot tient à ce que j'ai perçu, dans votre réponse à Mayandji, comme un agacement. Mais un agacement parce que vous ne sembleriez pas apprécier qu'un donneur de leçons s'immisce dans vos affaires. Qui plus est, ce donneur de leçons ne serait pas assez courageux pour assumer ses positions, expérimenter ses solutions et, se battre aux côtés de ceux qui veulent changer les choses, à l'opposé d'une posture qui serait plutôt la vôtre, en vaillant gladiateur dans l'arène. A mon avis, tout en évitant d'être présomptueux, nous devrions admettre que l'expression citoyenne est plurielle. Pour appuyer cela, permettez que je fasse une petite digression en citant ce qu'un frère m'a dit un jour. "...Tout le monde ne peut pas être dans l'opposition, pas plus que tout le monde ne peut appartenir au clan du pouvoir parce qu'il n'est pas dans l'opposition...". Le même frère d'ajouter "...de plus, les personnes qui ne peuvent que critiquer, sans être capables, nécessairement, d'apporter la solution idoine à la chose dont l'existence, la nature ou le fonctionnement font l'objet de critiques, loin d'être futiles, contribuent néanmoins à lever, à leur façon, un coin du voile qui entoure une situation complexe et, dans tous les cas, à relever le débat...". J'ajoute à cela que dans toute guerre, il n'y a pas que des gens en armes. Dans les lignes arrières, il y a toujours du monde sans treillis ni bottes pour apporter de l'eau au moulin, afin de produire le blé dont se nourrissent les valeureux soldats à l'autre bout du champs de bataille. Considérons le jus de nos cervaux comme de l'eau et du blé ! Dans le cas où vous ne sauriez pas à quel type de patriote vous avez affaire, parce qu'il ne compte pas dans vos troupes et qu'il peut appartenir à l'adversaire, gardez-vous néamoins de déclencher une attaque tous azimuts, à moins que ce ne soit une riposte. Dans votre réponse à Monsieur Mayandji, vous ripostez par une massive attack! Mais... il n'y a pas eu d'attaque de sa part. Et c'est là que je voulais en venir pour pouvoir proposer ceci: Nous devrions garder une ouverture d'esprit qui nous évite de renvoyer systématiquement dans les cordes les gens que vous pensez "mal placés" pour donner des leçons. Telle est du moins l'impression que je perçois dans votre réponse à Monsieur Mayandji. Nous pourrions peut-être convenir que tous les citoyens d'un pays ne peuvent pas être expérimentateurs talentueux pour se risquer dans l'arène politique au même moment. Par ailleurs, l'expérience de l'arène politique gabonaise nous montre que les gens y vont plus souvent pour un match de catch que pour la boxe. Dans un cas les coups sont simulés et amortis et, dans l'autre, les coups sont réels, saigants jusqu'au ko. De plus, l'habitude de toujours regarder la même caravane passer, non sans avoir récupérer, au passage, de gros molosses qui aboyaient férocement tantôt, conduit nombre de citoyens à faire le point sur les stratégies de lutte, celles préconisées jusqu'à maitenant, demeurant sans effet, dans le contexte gabonais. Nous n'incriminons pas l'efficacité de votre prescription, car ne disposant pas encore de son mode opératoire, nous ne pouvons en juger ni en prédire l'échec. En revanche depuis 1998, que n'avez-vous rien tenter pour nous en faire une lumineuse démonstration? Alors, que ne profitiez-vous point des réflexions de Monsieur Mayandji, afin de creuser davantage, plutôt que de le renvoyer dans les cordes? J'ai donc trouvé en votre réponse une curieuse attitude, que j'essaye cependant de comprendre moyennat une petite incursion sur l'histoire politique récente du Gabon. En effet, celle-ci souffre d'une écriture fragmentaire, voire nulle, et fait que les acteurs politiques de deux ou trois générations, qui se recouvrent pourtant entre elles, s'ignorent cependant et ne reconnaissent pas les actes posés par les uns et les autres, malgré la fraîcheur des événements. Finalement, les jeunes qui arrivent sur le marché de la politique n'en apprennent que très peu de ceux qui les ont précédé dans le constat, la formulation des problématiques, les solutions proposées, les actes posés, les réorientations ou les retournements... Hier, on n'a pas enseigné sur les luttes de Mbombé, Nyonda Mamkite, Emane Tole pas plus que sur l'histoire du congrès fang de Mitzic, comme une continuité du combat des peuples africains contre la servitude. Il n'est pas étonnant qu'aujourd'hui, certains tentent de se réapproprier les bribes de cette histoire discontinue transformée en prêt-à-servir, au risque d'une regression ethnocentrise, dans un contexte où la majorité des citoyens, déboussolés par le blocage politique et économique, reste en attente d'un messie. Pour la petite histoire, j'ai connu dans les années 80 à 90 un certain Monsieur Mayandji, très actif dans l'opposition gabonaise. Je me bornerai à le présenter comme une personne qui, comme vous, recherche des solutions pour le Gabon. Je l'ai connu participant dans les rangs de l'opposition, aux moments les plus forts des crises poltiques gabonaise avant et pendant après conférence nationale; les négociations entre pouvoir et opposition dans le cadre de la COD, du FUAPO etc... quand d'autres pensaient, comme aujourd'hui, que l'opposition au pouvoir ne servait à rien. Je ne pense pas que Monsieur Mayandji ait fondamentalement changé d'opinion quant à notre quête commune de l'idéal démocratique. Je suis persuadé que Monsieur Mayandji se bat de ce côté-ci et n'est point assis dans son coin, en se contantant de servir des leçons. J'ai aussi la certitude que vous ne le connaissez pas. Je vous laisse donc le soin de le questionner vous-même sur son parcours personnel. Mon intervention n'était là que pour vous sensibiliser à moins de défensive et à plus de recul quant au regard porté sur autrui. Isidore MBINA ----- Message d'origine ---- De : Dr. Daniel Mengara À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Jeudi, 28 Août 2008, 2h19mn 22s Objet : [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ Monsieur Mayandji, cher frère: Le paradoxe que je constate dans votre argumentaire est exactement celui qui découle des tares que vous reprochez aux autres. Vous vous dites "fatigué" de voir une opposition mal organisée, et qui, je vous cite, "contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les partisans du pouvoir défendent leurs privilèges." Bien! Et vous ajoutez, ensuite, en censeur des méthodes précipitées, que vous êtes partisan des petits pas ciblés, ceux des solutions "au fur et à mesure". Bien aussi ! MAIS, mon frère, en quoi donc cette démarche serait-elle différente de celle de Mba Abessole qui, lui, préfère faire les choses à "petits pas ciblés" de l'intérieur du régime, ou de Mamboundou, qui, lui, pense désormais qu'un raprochement entre lui et Bongo, aussi avare de résultats que ce rapprochement soit, apportera de petis changements progressifs qui lui sont plus acceptables que la guerre ou la violence, même si pour cela le peuple gabonais doit attrendre 100 ans de plus?! Il me semble que vous êtes exactement dans la logique de cette opposition que vous fustigez, non? Il y a une seconde contradiction dans votre argument car, si l'on prend votre critique à la lettre, on voit que si l'opposition dont vous parlez était mieux organisée et devenait comme celle des autres pays, elle contredirait immédiatement votre théorie des "petits pas" puisqu'elle précipiterait TOUT! Ce qui ne serait pas non plus à votre goût des "petits pas ciblés", il me semble, n'est-ce pas, cher ami? Le problème des censeurs invétérés comme vous et moi, cher frère, est que nous croyons souvent détenir la vérité absolue, alors que, en réalité, nous ne brassons que du vide, du vent. Par exemple: vous qui vous dites fatigué de voir une opposition inepte, vous rendez-vous au moins compte que, du haut de votre piédestal de censeur (un peu comme moi), vous êtes en train de dire que vous savez mieux que cette opposition ce qu'il faut faire pour résoudre la problématique gabonaise? Si tel est le cas, bien! Mais, dans ce cas, je me permettrai la remarque suivante: si, donc, comme le laisse supposer votre message, vous avez la solution parce que mieux et plus éclairé, on se demande ce que vous attendez pour créer, VOUS-MEME, cette opposition CAPABLE qui, elle, pourra, à votre convenance (puisque vous en aurez été l'initiateur éclairé), satisfaire à vos exigences de meilleure organisation!! Mieux encore, si vous ne pouvez la créer indépendamment, rien ne vous interdit de vous engager à ses côtés pour lui faire bénéficier de vos hautes inspirations! Là ou d'autres ont failli, vous réussirez peut-être! Pourquoi, dans ce cas, priver le pays de votre infinie sagesse, et surtout du potentiel d'une réussite par VOUS, là où les autres ont échoué!? En fin de compte, frère, je peux affirmer sans méchanceté, mais aussi sans me tromper, que, comme nous tous, vous êtes bel et bien le produit du bongoïsme, non pas parce que vous êtes bongoïstes (je ne crois pas que vous le soyez), mais plutôt parce que vous souffrez des mêmes tares qui nous polluent tous, nous qui, vitupérant de l'ombre (engagés nulle part) ou de derrière nos ordinateurs (comme moi), croyons pouvoir faire avancer la cause gabonaise en critiquant, de loin, ceux qui, eux, ont, au moins, osé s'aventurer sur la voie de l'opposition ouverte et radicale. Dans un de mes récents articles, j'ai souligné le fait que les citoyens que nous sommes ne devons jamais reprocher à l'opposition ses échecs si ces échecs s'expliquent par une conjoncture indépendante de sa volonté. L'échec ou la réussite, en tout combat politique, est une situation qui, en elle-même, est fonction du moment et de la conjoncture sociopolitique et socioculturelle du moment. On peut échouer inexplicablement dans un contxete pourtant très favorable (Mba Abessole, Mamboundou) ou réussir au moment le plus inattendu (Géorgie, Ukraine, Russie, Indonésie, Pakistan, etc.). Mais ce n'est pas l'échec qui est, en lui-même, un problème. Ce que nous devons reprocher à l'opposition, à NOTRE opposition, ce sont les RENONCEMENTS qui causent l'échec, surtout quand ces renoncements bafouent les principes les plus élémentaires de la décence humaine et/ou citoyenne. Autrement dit, qu'elle soit organisée ou désorganisée, rien ne garantit la réussite de l'opposition. Ce qui importe, par contre, est que cette opposition reste déterminée dans son intention et sa conviction, génération par génération, et génération après génération. Personnellement, je ne reproche leur échec ni à Mamboundou, ni à Mba Abessole. Ce que je leur reproche, c'est leur renoncement. Et parce que je sais que l'échec peut être au rendez-vous de tout opposant de bonne volonté, même sans renoncement, j'essaie de m'engager dans l'espoir de non seulement mieux faire, mais aussi de POUVOIR réussir (sans pour autant croire que je suis celui qui réussira forcément; je ne sais de moi que ma conviction. L'avenir, lui, appartient à Dieu). Mais ce que je m'interdis en tant que citoyen responsable, c'est le découragement ou la fatigue qui me met hors-jeu de l'histoire et de la société. Il n'y a pas de renoncement pire que celui qui est fait juste parce que d'autres ont renoncé ou échoué. C'est là une conclusion trop facile qui ne ferait pas de moi un meilleur citoyen que ceux que je critique. Il est bien de critiquer. Mais il est encore mieux de critiquer quand on est, soi-même, engagé dans une tentative de salut national. Quand j'ai créé le BDP-Gabon Nouveau, je l'ai fait sur la base du constat d'échec de Paul Mba Abessole et de Pierre Mamboundou, et ceci dès décembre 1998. Dès 1998, j'avais déjà vu, dans leurs attitudes, les germes non pas de l'échec, mais du renoncement. Et je me suis juré, en m'engageant OUVERTEMENT, d'ESSAYER de mieux faire qu'eux, et surtout, de ne JAMAIS RENONCER, comme eux, aux idéaux qui furent leurs et qui sont aujourd'hui miens. Et j'attends de citoyens responsables la même réaction que moi. En d'autres termes, si aujourd'hui ou dans 10 ans, mes concitoyens constatent mon échec et croient pouvoir mieux faire que moi, je ne trouverai satisfaction que dans un acte d'engagement de leur part qui puisse reprendre le combat là où j'ai échoué, et le mener à finalité, avec ou sans moi. Autrement dit, cher frère, en quoi un citoyen peut-il croire être plus utile à la société que le bébé qui vient de naître et qui suce le lait maternel en toute insouciance s'il ne ponctue pas sa critique par un acte d'engagement concret? En quoi peut-il être meilleur que le chien errant qui, n'ayant d'autre objectif dans la vie que la recherche de l'os dans les poubelles, ne se soucie guère de ce qu'il fera le jour d'après? En quoi peut-il être différent d'Omar Bongo qui, à la tête du Gabon depuis 41 ans, ne se soucie guère des souffrances de son peuple? Du moment que, lui, mange bien et fait son petit truc dans son coin, que lui importe, à Bongo ou à ce citoyen individualiste, que le reste des Gabonais tire le dibale par la queue? Le principe d'une opposition, cher frère, n'est pas de détenir la science infuse ou la solution toute faite. Le principe d'une opposition n'est pas non plus d'être capable de tout accomplir de son vivant ou de tout réussir. Le principe d'une véritable opposition réside dans sa capacité non seulement à assumer le rôle de défense des intérêts citoyens qui est le sien, mais également d'en mobiliser et d'en étendre la conscience aux générations futures. Faire de l'opposition découle d'une culture politique qui, procédant par tâtonnements et par hypothèses, finit un jour par le triomphe des forces du changement dès lors qu'il n'y aurait aucune cassure générationnelle dans la continuité des engagements. Le but n'est donc pas que Mamboundou ou Mengara réussisse de son vivant. Le but est, pour tous ceux qui s'engagent ou épaulent ceux qui s'engagent, de toujours tenter le changement en fonction de leur inspiration, et s'ils échouent malgré leur bonne volonté, il leur est important de pouvoir compter sur ceux qui, dans les générations présentes ou futures, pourront prendre la relève et continuer le combat pour la dignité. Or, pour que les tâtonnements des uns et des autres arrivent à une solution avérée (comprenez, victoire), il faut bien que des hommes comme vous, Monsieur Mayandji, aient le courage de contribuer OUVERTEMENT, et AU SEIN DE CETTE OPPOSITION DEFICIENTE ou en dehors d'elle par une OPPOSITION NOUVELLE, leur éclairage (tout en gardant à l'esprit le simple fait, modeste, que cet éclairage ne sera pas forcément la panacée qui mènerait à la réussite). Tout acte d'opposition est alors vu comme une tentative stratégique qui comporte en elle un espoir de réussite et non une certitude. Faire de l'opposition n'est ni un travail de nanochirurgie ni un travail de nanoscience. Faire de l'opposition, c'est un peu comme un opérateur de mitrailleuse qui tire une centaine de balles en direction d'une cible, avec l'espoir qu'une des balles fera mouche. Bref, l'opposition pour moi se résume ainsi: devant l'incertitude, les hésitations et les tâtonnements, tout ce qui peut être tenté doit être tenté, génération par génération, et génération après génération. Quand Mengara ou Mamboundou tombe, victime de la corruption ou de la fatiguue, il doit toujours se trouver un Mayandji pour, soit prendre la relève pour continuer le combat, soit donner des béquilles à ceux qui, ayant tenté toute leur vie, n'arrivent plus à tenir debout tous seuls. Il ne sert donc à RIEN pour un cotoyen de brayer, DU DEHORS, qu'il est fatigué par l'inorganisation de l'opposition quand, dans le même temps, il se refuse à y entrer, collectivement ou indépendamment, pour aider à son REDRESSEMENT. En d'autres termes, l'inorganisation de l'opposition est autant de VOTRE faute, frère Mayandji, que de la mienne et de celle de tous ceux qui participent de cette opposition inepte que vous critiquez. Imaginez, cher frère, un seul moment le cas de figure suivant: 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le sait). 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. 3) Monsieur Mayandji, au lieu de se déclarer fatigué, entre dans l'opposition ou crée son opposition, pour redresser l'opposition. 4) L'opposition, bénéficiant enfin de la science de Monsieur Mayandji, arrive enfin à s'organiser. 5) 2009, l'opposition chasse Bongo du pouvoir et commence la reconstruction du pays, grâce à la contribution spectaculaire de Monsieur Mayandji. 6) Le Gabon est enfin sauvé et Monsieur Mayandji est fait héros national avec un mausolée lui reconnaissant une contribution historique de patriote. Bien! IMAGINONS maintenant l'autre cas de figure, c'est-à-dire, l'affirmation ou la perennisation de la sitaution de passivité et d'immobilisme (donc de renoncement) dans laquelle vous vous trouvez, cher frère, et ceci malgré vos critiques incantatoires: 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le sait). 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. 3) MAIS Monsieur Mayandji, fatigué par le désastre d'une opposition désorganisée, reste dans l'ombre, refuse de s'engager et garde sa solution pour lui-même. 4) L'opposition, ne bénéficiant pas de la science de MOnsieur Mayandji, sombre encore plus dans la désorganisation et s'étiole. 5) 2012, Bongo est réelu. 2019, Ali Bongo est élu. 2026 Ali Bongo est réélu, jusqu'à perpète. 2030, Le Gabon n'a plus de pétrole. N'ayant jamais préparé l'après pétrole, le Gabon, en 2033, est le pays le plus pauvre du monde. 6) 2034, Monsieur Mayandji meurt de palu au dispensaire de Nkembo, parce qu'au Gabon, la pauvreté est devenue telle que ses petits enfants, sans emploi, n'ont pas assez d'argent pour lui acheter un comprimé de Fansidar, et les économies qu'il avait faites pour sa retraite en 2026 ont fondu comme beurre au soleil devant la vie chère qui est maintenant au Gabon comme celle du Zimbabwé: 1000% Autrement dit, Monsieur Mayandji, ceux qui s'engagent et essaient, même dans la désorganisation et l'échec, valent mieux comme citoyens que ceux qui, de loin, critiquent, se disent plus compétents, mais pourtant, se refusent à montrer, par l'engagement concret, comment ils peuvent mieux réussir que les autres. Et cette leçon, croyez-moi, vaut pour nous tous, moi y compris. La question, en fin de compte, n'est pas de savoir qui a échoué ou qui a réussi. Ce qu'il faut, c'est étudier comment, par la combinaisaon des efforts et des inspirations, nous pourrions, ENSEMBLE ET/OU SEPAREMMENT, contribuer à l'objectif de consolidation d'une opposition engagée qui soit capable de résister aux prostitutions qui enfantent de ce renoncement qui compromet la réussite. L'image à avoir en tête ici est celle de soldats sur un champ de bataille. Quand ils s'avancent, l'ennemi les fauche. Certains tombent, mais d'autres avancent. A la fin, ce sera à qui avancera avec plus de résolution que la victoire appartiendra. PLus proche de nous, cette image marche de la façon suivante. En face de Mamboundou, Mba Abessole, Mayandji et Mengara, il y a Bongo avec un fusil à trois balles. Devant les tirs de Bongo, Mba Abessole tombe. Puis c'est le tour de Mamboundou, et enfin Daniel Mengara. Maintenant, Bongo n'a plus de balles et Mayandji reste debout, vivant, devant un Bongo désemparé. Sous la rage des années de brimades subies, Mayandji étrangle Bongo et le pend à un arbre, pour les vautours. Le Gabon est libéré. Autrement dit, dans tout combat, certains tombent sous les balles ou sous la peur, mais d'autres, surtout ceux qui se font censeurs des autres, doivent être capables de continuer la lutte. Il est impardonnable de renoncer ou de se fatiguer parce qu'on a vu certains tomber, et ensuite se retourner pour critiquer ceux qui sont tombés ou se sont enfuis. Si on a de la conviction, on doit continuer, sinon on ne sert à rien dans la société des hommes. L'opposition, cher ami, ne peut être vue comme une aventure sans lendemain. Le dire de cette manière, c'est voir l'opposition comme une affaire basée sur le court terme de nos courtes vies, et non comme une continuité que chaque génération se doit de pérpétuer, pour elle-même et pour les autres. Autrement dit, chaque citoyen qui se bat ne doit jamais limiter l'idée de l'opposition à ce qu'il peut y gagner de son vivant, mais plutôt la construire sur les principes de participation qui lui permettraient de faire sa part de contributions à l'édifice de redressement national. Autrement dit, la valeur d'un vrai citoyen ne se mesure pas à combien de théories il peut émettre. Tant qu'il n'est pas prêt, de par LUI-MEME, à tester ses propres théories et même à les mettre en pratique au service de la nation, il ne vaut rien pour la société. Et la question que le citoyen modeste posera toujours à ces censeurs invétérés que nous sommes, vous et moi, est la suivante: est-ce que tu peux faire mieux, toi qui parle beaucoup, beaucoup, beaucoup? A cette question, je crois que nous savons déjà la réponse. Daniel Mengara Christian MAYANDJI wrote: ___________________________________________________________ > > > > Il n'est pas question pour moi d'appeller à la guerre civile. Je suis tout simplement fatigué de voir une opposition qui si mal organisée et qui, contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les partisans du pouvoir défendent leurs privilèges. > Je pense qu'à l'instar de la majorité des gabonais, je ne suis pas le partisan des aventures sans lendemain. Je pratique la politique des "petits pas", celle qui consiste à apporter des solutions ciblées aux populations au fur et à mesure que les problèmes sont identifiés et que les moyens sont constitués. > MANGASS TTC > Christian MAYANDJI > Démarches-Gestion > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > CONVOYAGE EXPLOITATION > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > EUROPE - AFRIQUE > > > > --- En date de : Mer 27.8.08, Jean Bika a écrit : > > De: Jean Bika > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > À: bdpalabres at bdpgabon.org > Date: Mercredi 27 Août 2008, 2h22 > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement > aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > Monsieur Mayandji, vous avez tout dit. Les peuples qui ont sacrifié de leur > sang et acheté la liberté avec leur sang comprennent mieux la valeur de la > paix. le gabon, comme d'autres pays, devra passer par une étape de violence > pour le comprendre. Une seule personne en sera la cause: Omar Bongo. > > > Christian MAYANDJI a écrit: > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout > simplement aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > M. Mengara a le droit d'affirmer sa différence, comme tous ceux qui > aspirent à un changement légitime au Gabon, au TOGO, dans d'autres pays, > sur d'autres continents. > > Cependant, je crois que nous évoluons vers des dérives qui me font > craindre des tensions extrêmes. > > Je résume la situation : les "opposants" attaquent les > représentant s du pouvoir dans ce qu'il y a de plus bas; > > les partisans du "pouvoir" s'entêtent dans leurs délires > de candidats à la corruption, pour ceux qui n'y ont pas encore été > initiés. > > Entre ces extremes, ils y a des hommes et des femmes qui construisent > patiemment leur vie, avec leur propre moyens, sans rien demander à personne, > pas même à l'Etat. > > Le seule chose que je me demande, c'est pourquoi l'opposition ne > se donne pas une bonne fois pour toutes les moyens d'en découdre avec le > pouvoir, ainsi que cela s'est produit dans les autres pays. > > Il se peut qu'après le sacrifice du sang, chacun trouvera la voie de > la raison et comprendra que la politique commence lorsqu'on découvre > comment faire la différence entre l'intérêt général et les intérêts > particuliers. la politque se fait lorsqu'on respecte l'individu, la > personne quelque ses valeurs dans la mesure ou tout le monde respecte la loi > républicaine. Elles se poursuit lorsque chacun comprend que l'Etat - en > tant que représentant de l'intérêt général - n'est pas la > propriété de personne, mais en tant que puissance publique c'est une > personne morale avec son fonctionnement propre. > > Il est inopérant que chacun puisse projeter ses propres asiptations dans > l'Etat. l'Etat n'est la vache à lait de personne. C'est tout > simplement une organisation dont la fonction est de gérer ce qui constitue le > ^patrimoine commun. > > Je crois que la plupart des conflits actuels proviennent que chacun - > conservateurs et partisans du changement - ne percoive l'état que comme une > vache à lait que chacun doit traire. > > En tant qu'historien, je sais que le changement est inéluctable et > surtout en marche... > > MANGASS TTC > > Christian MAYANDJI > > Démarches-Gestion > > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > > CONVOYAGE EXPLOITATION > > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > > EUROPE - AFRIQUE > > > > > > > > --- En date de : Mar 26.8.08, Magloire Olympio > a écrit : > > > > De: Magloire Olympio > > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > Date: Mardi 26 Août 2008, 9h01 > > > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos > messages > > apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout > simplement > > aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > ___________________________________________________________ > > > > > > Rebondissement dans l’affaire AKA : de nouveaux éléments qui > confortent la > > thèse de l’assassinat ; le frère cadet du défunt Maurille membre > du régime > > précipite son enterrement. > > > > > > La tragique disparition du leader du MODENA Joachim Agbobli Atsutsè > n’a pas > > fini de révéler tous ses secrets. Après les résultats farfelus de > > l’autopsie du professeur Napo-Koura et les conclusions tordues du > procureur de > > la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; de nouveaux > éléments > > viennent d’apparaître dans le dossier et confortent désormais, la > thèse > > d’un assassinat déguisé en suicide. Ces informations, nous les > devons à > > plusieurs amis du politologue (universitaires, hommes politiques, > médecins, > > journalistes) qui se sont mobilisés pour faire triompher la vérité. > > > > > > > > Le corps du défunt porte des traces d’électrocution > > > > > > > > La première information qui ressort de ces investigations est liée > à des > > lésions observées autour du coup et des parties génitales de la > victime. Les > > spécialistes en conclurent à une torture par des objets > électriques. Pour ces > > spécialistes, il est incroyable que le médecin légiste ait pu > conclure en une > > mort par suicide en passant sous silence ces différentes lésions que > nous > > venons de signaler. En réalité, AKA a été enlevé depuis la > clinique, > > conduit à un endroit secret et torturé à mort avant que le corps ne > soit > > jeté à la plage 24 h plus tard. C’est d’ailleurs ce scénario > qui explique > > la disparition des vêtements de la victime de même que l’abandon > de son > > portefeuille, et ses verres médicaux. La version du rendez-vous en > plus du > > parcours effectué attribué au chauffeur n’est qu’une pure > invention sortie > > des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA ne s’est jamais > rendu à > > un quelconque rendez-vous, il ne s’est jamais arrêté à l’Hôtel > Palm > > Beach et il ne s’est jamais rendu à l’Hôtel Sarakawa. > D’ailleurs le > > docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa serait sous > d’énormes > > pressions afin qu’il ne s’adresse à aucun média. A la clinique > Biasa les > > visites aux malades sont désormais réglementées. > > > > > > > > Maurille Agbobli dans le mauvais rôle > > > > > > > > Il n’est un secret pour personne que la famille Agbobli est > partagée entre > > l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont actuellement dans le > cercle du > > pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, universitaire, conseiller > > diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite Maurille Edoh Agbobli > ancien > > ministre, membre du bureau politique du RPT. C’est donc ce dernier > qui est > > accusé aujourd’hui de dissuader la famille d’aller plus loin et > précipite > > par la même occasion l’enterrement de son frère. Alors que > certains > > évoquent encore une contre autopsie avec l’assistance des experts > venus de > > l’extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées dans la foulée > pour les 29 > > et 30 août prochain. > > > > > > > > Faure tapis dans l’ombre manœuvre et joue au chrono > > > > > > > > La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de l’actualité la > récurrente > > question de l’impunité qui caractérise depuis 40 ans le régime du > RPT. > > Faure qui espérait noyer cette question de l’impunité dans une > mascarade de > > réconciliation après les fameuses consultations nationales se > retrouve du coup > > dans une situation embarrassante. Depuis le palais de la Marina, il > tire sur les > > ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » qui n’a jamais > accordé le > > moindre crédit à la presse togolaise invite subitement par une > méthode peu > > orthodoxe des journalistes des médias publics et privés à une > discussion à > > battons rompus à la présidence de la République. Certains > journalistes ( > > médias d’Etat, radios et presses privées) se sont rendus donc ce > jeudi à la > > présidence de la République pour en ressortir plus tard avec des > billets de > > banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par tête. Tout ceci, > après une > > longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. D’autres > journalistes qui > > ont pu déceler là, le piège de la corruption ont décliné > l’invitation > > présidentielle. Lorsqu’on situe cette discussion avec les > journalistes qui > > ces derniers temps sont très critiques vis à vis du pouvoir de Faure > dans le > > contexte de la disparition tragique de AKA on comprend aisément la > manœuvre du > > pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en prenant > habilement soin de > > se donner le visage d’un président ouvert et préoccupé. > > > > > > > > Une opposition réduite à de simples communiqués > > > > > > > > Après la phase des communiqués de compassion certains responsables > politiques > > et associations de la société civile ont exhorté l’ensemble de > > l’opposition à envisager des manifestions de rue dans le but > d’exiger la > > fin de l’impunité au Togo. Ces organisations ont été confrontées > au refus > > catégorique d’autres partis de l’opposition qui de par leur > popularité > > devraient servir de locomotive à cette initiative. Alors la question > qui se > > pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur de journée des > communiqués > > sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le leader du MODENA > comme celui > > du PSP qu’était Tavio Amorin ne dérangeait pas seulement le parti > au pouvoir > > par son engagement et ses débats mais aussi ses amis de > l’opposition qu’il > > croyait naïvement être ses frères. Aucune raison ne justifie > aujourd’hui > > l’inertie de cette opposition et de cette société civile qui jadis > étaient > > à l’avant garde de toute violation des droits de l’homme. La > réalité est > > que la société togolaise baigne désormais dans une corruption sans > > précédent où des responsables insoupçonnés de certains partis > actuels de > > l’opposition émargent régulièrement dans le registre de Faure. > Faure en > > parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de morts a réussi > un seul > > coup celui, d’avoir mis l’opposition en lambeaux en enrôlant > certains dans > > son aventure gouvernementale et en renflouant les comptes en banque > des autres > > qui ne se contentent désormais que des communiqués. Voilà donc le > drame qui > > se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font semblant d’être > encore > > opposants mais qui dans la réalité ont changé depuis leurs vestes. > AKA > > n’est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais aussi d’une > société > > togolaise en manque de repères, de principes, où les hommes de > valeurs qui > > devraient servir de guide, de modèle sont crétinisés par un > système pervers > > et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur Fiadjoe et le > chauffeur > > devraient déjà prendre la parole pour libérer leurs consciences et > situer les > > togolais sur les réelles conditions de la mort mystérieuse et > tragique de AKA. > > Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette réalité, les > Gnassingbé et > > leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux jours devant eux. > > > > > > > > Simon de Fanti, tultogo.com From protected at yahoo.fr Fri Aug 29 09:33:35 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Fri, 29 Aug 2008 09:33:35 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Accusé de reception Message-ID: Au Professeur MENGARA Coordonateur du mouvement BDP Cher Professeur, Je me suis promis de ne pas vous prendre en traitre et, surtout, de ne pas nourrir toute polémique nous entrainant vers les dérives que je dénonce depuis que je participe à ce forum. Je me suis permis de reprendre les points que vous avez abordés par thèmes progressifs et je vous propose de vérifier la conformité avec les sujet de préoccupations que vous avez exposés. Merci de bien vouloir me reprendre avant que je ne vous propose mon point de vue. Cordialement. ------------------------------- Préambule : Argumentaire comme témoignage des tares de l’opposition gabonaise I - Contradictions : 1 - Différence de la démarche avec les « petits pas ciblés » de l’intérieur du régime de MBA ABESSOLE ou de MAMBOUNDOU « qui souhaite éviter la guerre ou la violence » ; 2 - Meilleure organisation en contradiction avec la théorie des « petits pas » : précipitation de TOUT II – Vérité absolue 1 - Détention de la vérité absolue ou de la science infuse / brasser du vide, du vent : propos populistes ? 2 - Opposition « inepte » ou déficiente / savoir mieux pour résoudre la problématique gabonaise ? 3 – L’inorganisation de l’opposition : « faute de tout ceux qui critiquent l’ineptie » III – Renforcement de la capacité de l’opposition par création ou adhésion 1- Auto – création d’une opposition nouvelle pour satisfaire aux exigences d’une meilleure organisation : non, car il ne faut pas ajouter la division à la division, gaspiller moins les ressources disponibles y compris humaines, recherche d’une meilleure efficacité. 2- Engagement aux côtés de l’opposition actuelle et partager sagesse et/ou potentiel de réussite 3- Tares du nouvel opposant et « produits du bongoïsme » : croire pouvoir faire avancer la cause gabonaise en critiquant dans l’ombre ceux qui s’aventure dans l’opposition ouverte et radicale 4- Oui à l’échec indépendante de notre volonté, non au renoncement/découragement pour tout citoyen responsable : organisée ou non, rien ne garantit la réussite de l’opposition. IV – Principe de l’Opposition 1 - Principes a – Ne pas détenir la science infuse ou des solution toutes faites. b – Capacité à assumer le rôle de défense des intérêts citoyens. c – Capacité de mobiliser et étendre la conscience des intérêts citoyens aux générations futures/éviter la cassure générationnelle dans la continuité des engagements d – Eviter l’individualisme aussi au sommet de l’Etat qu’au niveau citoyen, encourager l’utilité sociale 2 – Démarches : opposition, produit d’une culture politique (exemple de l’histoire des 4 cibles et du fusil à 3 coups) a – Procéder par tâtonnement ; b – Procéder par hypothèse ; c – S’engager ou épauler ceux qui s’engagent (prendre la relève ou donner les béquilles aux combattants qui ne tiennent plus debout tout seuls) ; d - en cas d’échec, susciter l’engagement des générations présentes ou futures e - Contribuer ouvertement au sein de l’opposition déficiente ou par une opposition nouvelle (brayer dedans et non dehors) V – Buts de l’opposition : tentative stratégique pour un espoir – et non une certitude - de réussite (exemple de l’opérateur de mitrailleuse usant d’une centaine de balles sur une cible) 1 – Tenter le changement : chasser le Chef de l’Etat en titre (fut –il un usurpateur) et commencer la Reconstruction du pays ; 2 – Continuer le combat pour la dignité et le Redressement de l’opposition ; 3 – « La victoire » considérée comme la solution finale : « Sous la rage des années de brimades subies, le citoyen lambda étrangle le chef de l’Etat et le pend à un arbre, pour les vautours. Le pays est libéré » ; 4 – Le mausolée comme récompense de l’héroïsme patriotique pour les acteurs du changement VI – Les risques inhérents au renoncement ( affirmation ou pérennisation de la situation de passivité et d’immobilisme) de l’opposition 1 – Persistance de l’ineptie de l’opposition et des critiques incantatoires 2 - Cercle vicieux de conséquences désastreuses : a – refus de l’engagement des auteurs des critiques ; b – accentuation de la désorganisation et effondrement de l’opposition ; c – défaut de ressources publiques (épuisement des gisements des matières d’extraction/stratégiques) et ressources propres (absence de revenus du travail et de transfert), coût élevé de la vie, d – rupture d’approvisionnement du fait de la déficience du système de santé e – anéantissement inexorable des citoyens par décès prématurés VII – L’essentiel : l’opposition – au Gabon ? - ne peut être vue comme une aventure sans lendemain 1 – Contribution à la consolidation et renforcement de la capacité de l’opposition à résister à la prostitution a - génératrice du renoncement b – mettant en cause la réussite 2 – Conviction - face à la peur - et résolution – face aux balles - au combat comme facteurs de succès/victoire 3 – Opposition : activité qui transcende la vie de chaque citoyen et fédère les contributions à l’édifice de redressement national 4 – Chaque citoyen doit tester ses propres théories et les mettre en pratique au service de la nation. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Jeu 28.8.08, Dr. Daniel Mengara a écrit : De: Dr. Daniel Mengara Objet: [BDPalabres] Re: Accusé de reception À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Jeudi 28 Août 2008, 18h26 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ J'attendrai avec grande impatience votre réflexion, cher Monsieur Mayandji. Je vous sais homme de profondeur et j'avoue toujours apprécier vos prises de position qui, se détournant de la polémique stérile, élèvent toujours la conversation sur ce forum. Les solutions aux problèmes gabonais commencent par le type d'exercice mental que, de par vos arguments, vous ne manquez jamais de susciter. D'où l'expression de mes sincères remerciements pour avoir inspiré la "petite" et modeste pensée que j'ai proposée à nos lecteurs. Il y a sur notre site, une pensée d'Edgar Morin, sociologue et écrivain français, qui se pose la question suivante: "Qu'est-ce qu'un intellectuel?". A cette question, il répond: "C'est quelqu'un qui, en dehors de sa propre compétence, porte sur la place publique des problèmes de fond." Autrement dit, le statut d'intellectuel implique une certaine RESPONSABILITE. Cette responsablité, à son tour, découle non seulement de ce POUVOIR qui lui permet d'influencer la pensée et, parfois même, la destinée publique, mais également de ce DEVOIR d'engagement qui lui est dicté par les défis auxquels est confrontée sa société. Le Gabon, dans le contexte d'une telle dynamique, ne peut perdre. Votre dévoué compatriote. Daniel Mengara Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Au Professeur Daniel MENGARA > Coordonateur du Mouvement BDP > > Cher Professeur, > > Vous avez pris de votre temps pour me faire part de votre point de vue. Je vous en remercie. Vous comprendrez certainement que je vous reponde méthodiquement. Cela implique un décallage de temps. Je vous prie de croire qu'il n'est pas dans mon intention d'abuser de votre patience, ni de compter parmi vos détracteurs. Je vais m'efforcer de vous apporter une reponse structurée. J'espère que - au contraire d'autres leaders d'opinion noyés par leur célébrité médiatique - vous prendrez la peine de l'étudier avec la plus grande attention et d'en tirer les meilleures enseignements pour votre mouvement. > > Cordialement. > MANGASS TTC > Christian MAYANDJI > Démarches-Gestion > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > CONVOYAGE EXPLOITATION > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > EUROPE - AFRIQUE > > > > --- En date de : Jeu 28.8.08, Dr. Daniel Mengara a écrit : > > De: Dr. Daniel Mengara > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > À: bdpalabres at bdpgabon.org > Date: Jeudi 28 Août 2008, 3h19 > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement > aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > Monsieur Mayandji, cher frère: > > Le paradoxe que je constate dans votre argumentaire est exactement celui qui > découle des tares que vous reprochez aux autres. Vous vous dites > "fatigué" de voir une opposition mal organisée, et qui, je vous > cite, "contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, > ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les > partisans du pouvoir défendent leurs privilèges." > > Bien! > > Et vous ajoutez, ensuite, en censeur des méthodes précipitées, que vous > êtes partisan des petits pas ciblés, ceux des solutions "au fur et à > mesure". > > Bien aussi ! > > MAIS, mon frère, en quoi donc cette démarche serait-elle différente de celle > de Mba Abessole qui, lui, préfère faire les choses à "petits pas > ciblés" de l'intérieur du régime, ou de Mamboundou, qui, lui, pense > désormais qu'un raprochement entre lui et Bongo, aussi avare de résultats > que ce rapprochement soit, apportera de petis changements progressifs qui lui > sont plus acceptables que la guerre ou la violence, même si pour cela le peuple > gabonais doit attrendre 100 ans de plus?! > > Il me semble que vous êtes exactement dans la logique de cette opposition que > vous fustigez, non? > > Il y a une seconde contradiction dans votre argument car, si l'on prend > votre critique à la lettre, on voit que si l'opposition dont vous parlez > était mieux organisée et devenait comme celle des autres pays, elle > contredirait immédiatement votre théorie des "petits pas" > puisqu'elle précipiterait TOUT! Ce qui ne serait pas non plus à votre > goût des "petits pas ciblés", il me semble, n'est-ce pas, cher > ami? > > Le problème des censeurs invétérés comme vous et moi, cher frère, est que > nous croyons souvent détenir la vérité absolue, alors que, en réalité, nous > ne brassons que du vide, du vent. > > Par exemple: vous qui vous dites fatigué de voir une opposition inepte, vous > rendez-vous au moins compte que, du haut de votre piédestal de censeur (un peu > comme moi), vous êtes en train de dire que vous savez mieux que cette > opposition ce qu'il faut faire pour résoudre la problématique gabonaise? > > Si tel est le cas, bien! > > Mais, dans ce cas, je me permettrai la remarque suivante: si, donc, comme le > laisse supposer votre message, vous avez la solution parce que mieux et plus > éclairé, on se demande ce que vous attendez pour créer, VOUS-MEME, cette > opposition CAPABLE qui, elle, pourra, à votre convenance (puisque vous en aurez > été l'initiateur éclairé), satisfaire à vos exigences de meilleure > organisation!! Mieux encore, si vous ne pouvez la créer indépendamment, rien > ne vous interdit de vous engager à ses côtés pour lui faire bénéficier de > vos hautes inspirations! Là ou d'autres ont failli, vous réussirez > peut-être! Pourquoi, dans ce cas, priver le pays de votre infinie sagesse, et > surtout du potentiel d'une réussite par VOUS, là où les autres ont > échoué!? > > En fin de compte, frère, je peux affirmer sans méchanceté, mais aussi sans > me tromper, que, comme nous tous, vous êtes bel et bien le produit du > bongoïsme, non pas parce que vous êtes bongoïstes (je ne crois pas que vous > le soyez), mais plutôt parce que vous souffrez des mêmes tares qui nous > polluent tous, nous qui, vitupérant de l'ombre (engagés nulle part) ou de > derrière nos ordinateurs (comme moi), croyons pouvoir faire avancer la cause > gabonaise en critiquant, de loin, ceux qui, eux, ont, au moins, osé > s'aventurer sur la voie de l'opposition ouverte et radicale. > > Dans un de mes récents articles, j'ai souligné le fait que les citoyens > que nous sommes ne devons jamais reprocher à l'opposition ses échecs si > ces échecs s'expliquent par une conjoncture indépendante de sa volonté. > L'échec ou la réussite, en tout combat politique, est une situation qui, > en elle-même, est fonction du moment et de la conjoncture sociopolitique et > socioculturelle du moment. On peut échouer inexplicablement dans un contxete > pourtant très favorable (Mba Abessole, Mamboundou) ou réussir au moment le > plus inattendu (Géorgie, Ukraine, Russie, Indonésie, Pakistan, etc.). Mais ce > n'est pas l'échec qui est, en lui-même, un problème. Ce que nous > devons reprocher à l'opposition, à NOTRE opposition, ce sont les > RENONCEMENTS qui causent l'échec, surtout quand ces renoncements bafouent > les principes les plus élémentaires de la décence humaine et/ou citoyenne. > Autrement dit, qu'elle soit organisée ou désorganisée, rien ne garantit > la réussite de l'opposition. Ce qui importe, par contre, est que cette > opposition reste déterminée dans son intention et sa conviction, génération > par génération, et génération après génération. > > Personnellement, je ne reproche leur échec ni à Mamboundou, ni à Mba > Abessole. Ce que je leur reproche, c'est leur renoncement. Et parce que je > sais que l'échec peut être au rendez-vous de tout opposant de bonne > volonté, même sans renoncement, j'essaie de m'engager dans > l'espoir de non seulement mieux faire, mais aussi de POUVOIR réussir (sans > pour autant croire que je suis celui qui réussira forcément; je ne sais de moi > que ma conviction. L'avenir, lui, appartient à Dieu). Mais ce que je > m'interdis en tant que citoyen responsable, c'est le découragement ou > la fatigue qui me met hors-jeu de l'histoire et de la société. Il n'y > a pas de renoncement pire que celui qui est fait juste parce que d'autres > ont renoncé ou échoué. C'est là une conclusion trop facile qui ne ferait > pas de moi un meilleur citoyen que ceux que je critique. Il est bien de > critiquer. Mais il est encore mieux de critiquer quand on est, soi-même, > engagé dans une tentative de salut national. > > Quand j'ai créé le BDP-Gabon Nouveau, je l'ai fait sur la base du > constat d'échec de Paul Mba Abessole et de Pierre Mamboundou, et ceci dès > décembre 1998. Dès 1998, j'avais déjà vu, dans leurs attitudes, les > germes non pas de l'échec, mais du renoncement. Et je me suis juré, en > m'engageant OUVERTEMENT, d'ESSAYER de mieux faire qu'eux, et > surtout, de ne JAMAIS RENONCER, comme eux, aux idéaux qui furent leurs et qui > sont aujourd'hui miens. Et j'attends de citoyens responsables la même > réaction que moi. En d'autres termes, si aujourd'hui ou dans 10 ans, > mes concitoyens constatent mon échec et croient pouvoir mieux faire que moi, je > ne trouverai satisfaction que dans un acte d'engagement de leur part qui > puisse reprendre le combat là où j'ai échoué, et le mener à finalité, > avec ou sans moi. > > Autrement dit, cher frère, en quoi un citoyen peut-il croire être plus utile > à la société que le bébé qui vient de naître et qui suce le lait maternel > en toute insouciance s'il ne ponctue pas sa critique par un acte > d'engagement concret? En quoi peut-il être meilleur que le chien errant > qui, n'ayant d'autre objectif dans la vie que la recherche de l'os > dans les poubelles, ne se soucie guère de ce qu'il fera le jour > d'après? En quoi peut-il être différent d'Omar Bongo qui, à la tête > du Gabon depuis 41 ans, ne se soucie guère des souffrances de son peuple? Du > moment que, lui, mange bien et fait son petit truc dans son coin, que lui > importe, à Bongo ou à ce citoyen individualiste, que le reste des Gabonais > tire le dibale par la queue? > > Le principe d'une opposition, cher frère, n'est pas de détenir la > science infuse ou la solution toute faite. Le principe d'une opposition > n'est pas non plus d'être capable de tout accomplir de son vivant ou de > tout réussir. Le principe d'une véritable opposition réside dans sa > capacité non seulement à assumer le rôle de défense des intérêts citoyens > qui est le sien, mais également d'en mobiliser et d'en étendre la > conscience aux générations futures. Faire de l'opposition découle > d'une culture politique qui, procédant par tâtonnements et par > hypothèses, finit un jour par le triomphe des forces du changement dès lors > qu'il n'y aurait aucune cassure générationnelle dans la continuité > des engagements. > > Le but n'est donc pas que Mamboundou ou Mengara réussisse de son vivant. > Le but est, pour tous ceux qui s'engagent ou épaulent ceux qui > s'engagent, de toujours tenter le changement en fonction de leur > inspiration, et s'ils échouent malgré leur bonne volonté, il leur est > important de pouvoir compter sur ceux qui, dans les générations présentes ou > futures, pourront prendre la relève et continuer le combat pour la dignité. > Or, pour que les tâtonnements des uns et des autres arrivent à une solution > avérée (comprenez, victoire), il faut bien que des hommes comme vous, Monsieur > Mayandji, aient le courage de contribuer OUVERTEMENT, et AU SEIN DE CETTE > OPPOSITION DEFICIENTE ou en dehors d'elle par une OPPOSITION NOUVELLE, leur > éclairage (tout en gardant à l'esprit le simple fait, modeste, que cet > éclairage ne sera pas forcément la panacée qui mènerait à la réussite). > Tout acte d'opposition est alors vu comme une tentative stratégique qui > comporte en elle un espoir de réussite et non une certitude. Faire de > l'opposition n'est ni un travail de nanochirurgie ni un travail de > nanoscience. Faire de l'opposition, c'est un peu comme un opérateur de > mitrailleuse qui tire une centaine de balles en direction d'une cible, avec > l'espoir qu'une des balles fera mouche. > > Bref, l'opposition pour moi se résume ainsi: devant l'incertitude, les > hésitations et les tâtonnements, tout ce qui peut être tenté doit être > tenté, génération par génération, et génération après génération. > Quand Mengara ou Mamboundou tombe, victime de la corruption ou de la fatiguue, > il doit toujours se trouver un Mayandji pour, soit prendre la relève pour > continuer le combat, soit donner des béquilles à ceux qui, ayant tenté toute > leur vie, n'arrivent plus à tenir debout tous seuls. > > Il ne sert donc à RIEN pour un cotoyen de brayer, DU DEHORS, qu'il est > fatigué par l'inorganisation de l'opposition quand, dans le même > temps, il se refuse à y entrer, collectivement ou indépendamment, pour aider > à son REDRESSEMENT. > > En d'autres termes, l'inorganisation de l'opposition est autant de > VOTRE faute, frère Mayandji, que de la mienne et de celle de tous ceux qui > participent de cette opposition inepte que vous critiquez. Imaginez, cher > frère, un seul moment le cas de figure suivant: > > 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le > sait). > > 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. > > 3) Monsieur Mayandji, au lieu de se déclarer fatigué, entre dans > l'opposition ou crée son opposition, pour redresser l'opposition. > > 4) L'opposition, bénéficiant enfin de la science de Monsieur Mayandji, > arrive enfin à s'organiser. > > 5) 2009, l'opposition chasse Bongo du pouvoir et commence la reconstruction > du pays, grâce à la contribution spectaculaire de Monsieur Mayandji. > > 6) Le Gabon est enfin sauvé et Monsieur Mayandji est fait héros national avec > un mausolée lui reconnaissant une contribution historique de patriote. > > > Bien! > > IMAGINONS maintenant l'autre cas de figure, c'est-à-dire, > l'affirmation ou la perennisation de la sitaution de passivité et > d'immobilisme (donc de renoncement) dans laquelle vous vous trouvez, cher > frère, et ceci malgré vos critiques incantatoires: > > > 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le > sait). > > 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. > > 3) MAIS Monsieur Mayandji, fatigué par le désastre d'une opposition > désorganisée, reste dans l'ombre, refuse de s'engager et garde sa > solution pour lui-même. > > 4) L'opposition, ne bénéficiant pas de la science de MOnsieur Mayandji, > sombre encore plus dans la désorganisation et s'étiole. > > 5) 2012, Bongo est réelu. 2019, Ali Bongo est élu. 2026 Ali Bongo est > réélu, jusqu'à perpète. 2030, Le Gabon n'a plus de pétrole. > N'ayant jamais préparé l'après pétrole, le Gabon, en 2033, est le > pays le plus pauvre du monde. > > 6) 2034, Monsieur Mayandji meurt de palu au dispensaire de Nkembo, parce > qu'au Gabon, la pauvreté est devenue telle que ses petits enfants, sans > emploi, n'ont pas assez d'argent pour lui acheter un comprimé de > Fansidar, et les économies qu'il avait faites pour sa retraite en 2026 ont > fondu comme beurre au soleil devant la vie chère qui est maintenant au Gabon > comme celle du Zimbabwé: 1000% > > Autrement dit, Monsieur Mayandji, ceux qui s'engagent et essaient, même > dans la désorganisation et l'échec, valent mieux comme citoyens que ceux > qui, de loin, critiquent, se disent plus compétents, mais pourtant, se refusent > à montrer, par l'engagement concret, comment ils peuvent mieux réussir que > les autres. > > Et cette leçon, croyez-moi, vaut pour nous tous, moi y compris. > > La question, en fin de compte, n'est pas de savoir qui a échoué ou qui a > réussi. Ce qu'il faut, c'est étudier comment, par la combinaisaon des > efforts et des inspirations, nous pourrions, ENSEMBLE ET/OU SEPAREMMENT, > contribuer à l'objectif de consolidation d'une opposition engagée qui > soit capable de résister aux prostitutions qui enfantent de ce renoncement qui > compromet la réussite. L'image à avoir en tête ici est celle de soldats > sur un champ de bataille. Quand ils s'avancent, l'ennemi les fauche. > Certains tombent, mais d'autres avancent. A la fin, ce sera à qui avancera > avec plus de résolution que la victoire appartiendra. > > PLus proche de nous, cette image marche de la façon suivante. En face de > Mamboundou, Mba Abessole, Mayandji et Mengara, il y a Bongo avec un fusil à > trois balles. Devant les tirs de Bongo, Mba Abessole tombe. Puis c'est le > tour de Mamboundou, et enfin Daniel Mengara. Maintenant, Bongo n'a plus de > balles et Mayandji reste debout, vivant, devant un Bongo désemparé. Sous la > rage des années de brimades subies, Mayandji étrangle Bongo et le pend à un > arbre, pour les vautours. Le Gabon est libéré. > > Autrement dit, dans tout combat, certains tombent sous les balles ou sous la > peur, mais d'autres, surtout ceux qui se font censeurs des autres, doivent > être capables de continuer la lutte. Il est impardonnable de renoncer ou de se > fatiguer parce qu'on a vu certains tomber, et ensuite se retourner pour > critiquer ceux qui sont tombés ou se sont enfuis. Si on a de la conviction, on > doit continuer, sinon on ne sert à rien dans la société des hommes. > > L'opposition, cher ami, ne peut être vue comme une aventure sans > lendemain. Le dire de cette manière, c'est voir l'opposition comme une > affaire basée sur le court terme de nos courtes vies, et non comme une > continuité que chaque génération se doit de pérpétuer, pour elle-même et > pour les autres. Autrement dit, chaque citoyen qui se bat ne doit jamais limiter > l'idée de l'opposition à ce qu'il peut y gagner de son vivant, > mais plutôt la construire sur les principes de participation qui lui > permettraient de faire sa part de contributions à l'édifice de > redressement national. > > Autrement dit, la valeur d'un vrai citoyen ne se mesure pas à combien de > théories il peut émettre. Tant qu'il n'est pas prêt, de par LUI-MEME, > à tester ses propres théories et même à les mettre en pratique au service de > la nation, il ne vaut rien pour la société. > > Et la question que le citoyen modeste posera toujours à ces censeurs > invétérés que nous sommes, vous et moi, est la suivante: est-ce que tu peux > faire mieux, toi qui parle beaucoup, beaucoup, beaucoup? > > A cette question, je crois que nous savons déjà la réponse. > > > Daniel Mengara > > > Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ > > > > > > > > Il n'est pas question pour moi d'appeller à la guerre civile. Je > suis tout simplement fatigué de voir une opposition qui si mal organisée et > qui, contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne > semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les > partisans du pouvoir défendent leurs privilèges. > > Je pense qu'à l'instar de la majorité des gabonais, je ne suis > pas le partisan des aventures sans lendemain. Je pratique la politique des > "petits pas", celle qui consiste à apporter des solutions ciblées > aux populations au fur et à mesure que les problèmes sont identifiés et que > les moyens sont constitués. > > MANGASS TTC > > Christian MAYANDJI > > Démarches-Gestion > > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > > CONVOYAGE EXPLOITATION > > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > > EUROPE - AFRIQUE > > > > > > > > --- En date de : Mer 27.8.08, Jean Bika a > écrit : > > > > De: Jean Bika > > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > Date: Mercredi 27 Août 2008, 2h22 > > > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos > messages > > apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout > simplement > > aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > ___________________________________________________________ > > > > > > Monsieur Mayandji, vous avez tout dit. Les peuples qui ont sacrifié > de leur > > sang et acheté la liberté avec leur sang comprennent mieux la valeur > de la > > paix. le gabon, comme d'autres pays, devra passer par une étape > de violence > > pour le comprendre. Une seule personne en sera la cause: Omar Bongo. > > > > > > Christian MAYANDJI a écrit: > > > ___________________________________________________________ > > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos > messages > > apparaîtront une fois modérés. > > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez > tout > > simplement aux messages. > > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > > > > > M. Mengara a le droit d'affirmer sa différence, comme tous > ceux qui > > aspirent à un changement légitime au Gabon, au TOGO, dans > d'autres pays, > > sur d'autres continents. > > > Cependant, je crois que nous évoluons vers des dérives qui me > font > > craindre des tensions extrêmes. > > > Je résume la situation : les "opposants" attaquent les > > représentant s du pouvoir dans ce qu'il y a de plus bas; > > > les partisans du "pouvoir" s'entêtent dans leurs > délires > > de candidats à la corruption, pour ceux qui n'y ont pas encore > été > > initiés. > > > Entre ces extremes, ils y a des hommes et des femmes qui > construisent > > patiemment leur vie, avec leur propre moyens, sans rien demander à > personne, > > pas même à l'Etat. > > > Le seule chose que je me demande, c'est pourquoi > l'opposition ne > > se donne pas une bonne fois pour toutes les moyens d'en découdre > avec le > > pouvoir, ainsi que cela s'est produit dans les autres pays. > > > Il se peut qu'après le sacrifice du sang, chacun trouvera la > voie de > > la raison et comprendra que la politique commence lorsqu'on > découvre > > comment faire la différence entre l'intérêt général et les > intérêts > > particuliers. la politque se fait lorsqu'on respecte > l'individu, la > > personne quelque ses valeurs dans la mesure ou tout le monde respecte > la loi > > républicaine. Elles se poursuit lorsque chacun comprend que > l'Etat - en > > tant que représentant de l'intérêt général - n'est pas la > > propriété de personne, mais en tant que puissance publique c'est > une > > personne morale avec son fonctionnement propre. > > > Il est inopérant que chacun puisse projeter ses propres > asiptations dans > > l'Etat. l'Etat n'est la vache à lait de personne. > C'est tout > > simplement une organisation dont la fonction est de gérer ce qui > constitue le > > ^patrimoine commun. > > > Je crois que la plupart des conflits actuels proviennent que > chacun - > > conservateurs et partisans du changement - ne percoive l'état que > comme une > > vache à lait que chacun doit traire. > > > En tant qu'historien, je sais que le changement est > inéluctable et > > surtout en marche... > > > MANGASS TTC > > > Christian MAYANDJI > > > Démarches-Gestion > > > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > > > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > > > CONVOYAGE EXPLOITATION > > > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > > > EUROPE - AFRIQUE > > > > > > > > > > > > --- En date de : Mar 26.8.08, Magloire Olympio > > a écrit : > > > > > > De: Magloire Olympio > > > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > > Date: Mardi 26 Août 2008, 9h01 > > > > > > ___________________________________________________________ > > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. > Vos > > messages > > > apparaîtront une fois modérés. > > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, > répondez tout > > simplement > > > aux messages. > > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > > Rebondissement dans l’affaire AKA : de nouveaux éléments > qui > > confortent la > > > thèse de l’assassinat ; le frère cadet du défunt > Maurille membre > > du régime > > > précipite son enterrement. > > > > > > > > > La tragique disparition du leader du MODENA Joachim Agbobli > Atsutsè > > n’a pas > > > fini de révéler tous ses secrets. Après les résultats > farfelus de > > > l’autopsie du professeur Napo-Koura et les conclusions > tordues du > > procureur de > > > la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; de > nouveaux > > éléments > > > viennent d’apparaître dans le dossier et confortent > désormais, la > > thèse > > > d’un assassinat déguisé en suicide. Ces informations, > nous les > > devons à > > > plusieurs amis du politologue (universitaires, hommes > politiques, > > médecins, > > > journalistes) qui se sont mobilisés pour faire triompher la > vérité. > > > > > > > > > > > > Le corps du défunt porte des traces d’électrocution > > > > > > > > > > > > La première information qui ressort de ces investigations > est liée > > à des > > > lésions observées autour du coup et des parties génitales > de la > > victime. Les > > > spécialistes en conclurent à une torture par des objets > > électriques. Pour ces > > > spécialistes, il est incroyable que le médecin légiste ait > pu > > conclure en une > > > mort par suicide en passant sous silence ces différentes > lésions que > > nous > > > venons de signaler. En réalité, AKA a été enlevé depuis > la > > clinique, > > > conduit à un endroit secret et torturé à mort avant que le > corps ne > > soit > > > jeté à la plage 24 h plus tard. C’est d’ailleurs ce > scénario > > qui explique > > > la disparition des vêtements de la victime de même que > l’abandon > > de son > > > portefeuille, et ses verres médicaux. La version du > rendez-vous en > > plus du > > > parcours effectué attribué au chauffeur n’est qu’une > pure > > invention sortie > > > des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA ne > s’est jamais > > rendu à > > > un quelconque rendez-vous, il ne s’est jamais arrêté à > l’Hôtel > > Palm > > > Beach et il ne s’est jamais rendu à l’Hôtel Sarakawa. > > D’ailleurs le > > > docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa serait sous > > d’énormes > > > pressions afin qu’il ne s’adresse à aucun média. A la > clinique > > Biasa les > > > visites aux malades sont désormais réglementées. > > > > > > > > > > > > Maurille Agbobli dans le mauvais rôle > > > > > > > > > > > > Il n’est un secret pour personne que la famille Agbobli est > > partagée entre > > > l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont > actuellement dans le > > cercle du > > > pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, universitaire, > conseiller > > > diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite Maurille > Edoh Agbobli > > ancien > > > ministre, membre du bureau politique du RPT. C’est donc ce > dernier > > qui est > > > accusé aujourd’hui de dissuader la famille d’aller plus > loin et > > précipite > > > par la même occasion l’enterrement de son frère. Alors > que > > certains > > > évoquent encore une contre autopsie avec l’assistance des > experts > > venus de > > > l’extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées dans la > foulée > > pour les 29 > > > et 30 août prochain. > > > > > > > > > > > > Faure tapis dans l’ombre manœuvre et joue au chrono > > > > > > > > > > > > La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de > l’actualité la > > récurrente > > > question de l’impunité qui caractérise depuis 40 ans le > régime du > > RPT. > > > Faure qui espérait noyer cette question de l’impunité > dans une > > mascarade de > > > réconciliation après les fameuses consultations nationales > se > > retrouve du coup > > > dans une situation embarrassante. Depuis le palais de la > Marina, il > > tire sur les > > > ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » qui n’a > jamais > > accordé le > > > moindre crédit à la presse togolaise invite subitement par > une > > méthode peu > > > orthodoxe des journalistes des médias publics et privés à > une > > discussion à > > > battons rompus à la présidence de la République. Certains > > journalistes ( > > > médias d’Etat, radios et presses privées) se sont rendus > donc ce > > jeudi à la > > > présidence de la République pour en ressortir plus tard > avec des > > billets de > > > banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par tête. > Tout ceci, > > après une > > > longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. D’autres > > journalistes qui > > > ont pu déceler là, le piège de la corruption ont décliné > > l’invitation > > > présidentielle. Lorsqu’on situe cette discussion avec les > > journalistes qui > > > ces derniers temps sont très critiques vis à vis du pouvoir > de Faure > > dans le > > > contexte de la disparition tragique de AKA on comprend > aisément la > > manœuvre du > > > pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en prenant > > habilement soin de > > > se donner le visage d’un président ouvert et préoccupé. > > > > > > > > > > > > Une opposition réduite à de simples communiqués > > > > > > > > > > > > Après la phase des communiqués de compassion certains > responsables > > politiques > > > et associations de la société civile ont exhorté > l’ensemble de > > > l’opposition à envisager des manifestions de rue dans le > but > > d’exiger la > > > fin de l’impunité au Togo. Ces organisations ont été > confrontées > > au refus > > > catégorique d’autres partis de l’opposition qui de par > leur > > popularité > > > devraient servir de locomotive à cette initiative. Alors la > question > > qui se > > > pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur de > journée des > > communiqués > > > sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le leader du > MODENA > > comme celui > > > du PSP qu’était Tavio Amorin ne dérangeait pas seulement > le parti > > au pouvoir > > > par son engagement et ses débats mais aussi ses amis de > > l’opposition qu’il > > > croyait naïvement être ses frères. Aucune raison ne > justifie > > aujourd’hui > > > l’inertie de cette opposition et de cette société civile > qui jadis > > étaient > > > à l’avant garde de toute violation des droits de > l’homme. La > > réalité est > > > que la société togolaise baigne désormais dans une > corruption sans > > > précédent où des responsables insoupçonnés de certains > partis > > actuels de > > > l’opposition émargent régulièrement dans le registre de > Faure. > > Faure en > > > parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de morts a > réussi > > un seul > > > coup celui, d’avoir mis l’opposition en lambeaux en > enrôlant > > certains dans > > > son aventure gouvernementale et en renflouant les comptes en > banque > > des autres > > > qui ne se contentent désormais que des communiqués. Voilà > donc le > > drame qui > > > se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font semblant > d’être > > encore > > > opposants mais qui dans la réalité ont changé depuis leurs > vestes. > > AKA > > > n’est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais aussi > d’une > > société > > > togolaise en manque de repères, de principes, où les hommes > de > > valeurs qui > > > devraient servir de guide, de modèle sont crétinisés par > un > > système pervers > > > et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur Fiadjoe et > le > > chauffeur > > > devraient déjà prendre la parole pour libérer leurs > consciences et > > situer les > > > togolais sur les réelles conditions de la mort mystérieuse > et > > tragique de AKA. > > > Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette réalité, > les > > Gnassingbé et > > > leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux jours > devant eux. > > > > > > > > > > > > Simon de Fanti, tultogo.com From protected at bdpgabon.org Fri Aug 29 10:32:45 2008 From: protected at bdpgabon.org (Dr. Daniel Mengara) Date: Fri, 29 Aug 2008 10:32:45 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat Message-ID: Cher ami Mbina. J'accueille avec admiration et respect votre point de vue. J'aurais pu, si j'avais été polémiste, trouver ici et là de petites choses à redire sur ce que vous décrivez comme mon agacement. Pourtant, l'objectivité me commande d'admettre qu'il serait hautement futile, devant un si beau texte de votre part, d'essayer de démontrer ici que mes écrits n'étaient ni une attaque, encore moins un agacement contre ce Monsieur Mayandji que je respecte énormément pour ses opinions, qu'elles soient critiques ou pas; j'aurais pu, si j'avais été polémiste, m'attarder sur le fait qu'au-delà de Monsieur Mayandji, je m'adressais en fait à nous tous, vous, moi et le reste de notre peuple, dans une modeste et imparfaite, et peut-être maladroite, tentative de commencer à positionner nos pensées collectives vers cette reconnection des énergies éparpillées dont vous parlez si brillamment. Oui, Monsieur Mbina, notre histoire, notre culture, notre société souffre de cette fragmentation multiforme que vous décrivez si brillamment, et ce n'est que par la reconnection des fragments éparpillés que vous avez identifiés que commencera le véritable travail de redressement national auquel nous aspirons tous. Cher ami! Je n'attaque point, et je ne me sens point agacé: J'interpelle... massivement! Merci d'avoir réagi à cette interpellation de manière aussi introspective. Je m'interdirai donc de venir polluer votre si belle analyse par un argumentaire sur les points futiles qui me concernent et me concentrerai, plutôt, sur les points qui nous apportent à tous les excellents enseignements que vous proposez. Et je recommande à tous de lire et relire les points que vous soulevez sur la fragmentation, chez nous, des valeurs qui, si présentes dans une société, l'élèvent, et si absentes, la condamnent à la déperdition. Ami, j'ai toujours plus respecté les hommes de libre et claire opinion, même quand ils insultent ou critiquent, que les hommes aux opinions contorsionnées et ambigues, même quand ils n'insultent ou ne critiquent pas. Les premiers m'éclairent, les seconds m'agacent. La vérité ayant plusieurs visages, il est important de la voir dans toutes ses facettes. Ce que vous dites est, donc, PROFOND. C'est à ce titre que je me sens obligé de partager tout ce que vous avez dit, même à mon encontre, dans votre analyse, cher ami. Vous venez vous aussi de rencontrer non sulement mon respect, mais également mon admiration. Votre argumentation, bien soutenue, me ravit pour ce qu'elle nous enseigne à tous. Parce qu'on peut toujours trouver quelque chose à redire sur n'importe quel texte, fût-il bien argumenté, les hommes de bonne foi qui se refusent au débat stérile sur leurs propres personnes se doivent, devant des points de vue bien argumentés et bien servis pour l'intérêt général, de tout simplement montrer l'humilité qui découle du respect des opinions des autres, surtout lorsqu'elles sont valables. Bravo, donc, cher ami, pour cette belle opinion pleine d'enseignements. Daniel Mengara Isidore Mbina wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Monsieur Mengara, > Je me permets de vous adresser ce petit mot, non pour contredire votre excellent argumentaire sur le choix de la stratégie, la meilleure, qui permettrait aux opposants de mener une lutte efficace, en évitant versatitilé, renoncement, collusion avec le pouvoir et compromission. > > Mon mot tient à ce que j'ai perçu, dans votre réponse à Mayandji, comme un agacement. Mais un agacement parce que vous ne sembleriez pas apprécier qu'un donneur de leçons s'immisce dans vos affaires. Qui plus est, ce donneur de leçons ne serait pas assez courageux pour assumer ses positions, expérimenter ses solutions et, se battre aux côtés de ceux qui veulent changer les choses, à l'opposé d'une posture qui serait plutôt la vôtre, en vaillant gladiateur dans l'arène. > > A mon avis, tout en évitant d'être présomptueux, nous devrions admettre que l'expression citoyenne est plurielle. Pour appuyer cela, permettez que je fasse une petite digression en citant ce qu'un frère m'a dit un jour. "...Tout le monde ne peut pas être dans l'opposition, pas plus que tout le monde ne peut appartenir au clan du pouvoir parce qu'il n'est pas dans l'opposition...". Le même frère d'ajouter "...de plus, les personnes qui ne peuvent que critiquer, sans être capables, nécessairement, d'apporter la solution idoine à la chose dont l'existence, la nature ou le fonctionnement font l'objet de critiques, loin d'être futiles, contribuent néanmoins à lever, à leur façon, un coin du voile qui entoure une situation complexe et, dans tous les cas, à relever le débat...". > J'ajoute à cela que dans toute guerre, il n'y a pas que des gens en armes. Dans les lignes arrières, il y a toujours du monde sans treillis ni bottes pour apporter de l'eau au moulin, afin de produire le blé dont se nourrissent les valeureux soldats à l'autre bout du champs de bataille. Considérons le jus de nos cervaux comme de l'eau et du blé ! > Dans le cas où vous ne sauriez pas à quel type de patriote vous avez affaire, parce qu'il ne compte pas dans vos troupes et qu'il peut appartenir à l'adversaire, gardez-vous néamoins de déclencher une attaque tous azimuts, à moins que ce ne soit une riposte. > > Dans votre réponse à Monsieur Mayandji, vous ripostez par une massive attack! > Mais... il n'y a pas eu d'attaque de sa part. > > Et c'est là que je voulais en venir pour pouvoir proposer ceci: > Nous devrions garder une ouverture d'esprit qui nous évite de renvoyer systématiquement dans les cordes les gens que vous pensez "mal placés" pour donner des leçons. Telle est du moins l'impression que je perçois dans votre réponse à Monsieur Mayandji. > > Nous pourrions peut-être convenir que tous les citoyens d'un pays ne peuvent pas être expérimentateurs talentueux pour se risquer dans l'arène politique au même moment. > Par ailleurs, l'expérience de l'arène politique gabonaise nous montre que les gens y vont plus souvent pour un match de catch que pour la boxe. Dans un cas les coups sont simulés et amortis et, dans l'autre, les coups sont réels, saigants jusqu'au ko. > > De plus, l'habitude de toujours regarder la même caravane passer, non sans avoir récupérer, au passage, de gros molosses qui aboyaient férocement tantôt, conduit nombre de citoyens à faire le point sur les stratégies de lutte, celles préconisées jusqu'à maitenant, demeurant sans effet, dans le contexte gabonais. > Nous n'incriminons pas l'efficacité de votre prescription, car ne disposant pas encore de son mode opératoire, nous ne pouvons en juger ni en prédire l'échec. En revanche depuis 1998, que n'avez-vous rien tenter pour nous en faire une lumineuse démonstration? > Alors, que ne profitiez-vous point des réflexions de Monsieur Mayandji, afin de creuser davantage, plutôt que de le renvoyer dans les cordes? > > J'ai donc trouvé en votre réponse une curieuse attitude, que j'essaye cependant de comprendre moyennat une petite incursion sur l'histoire politique récente du Gabon. > En effet, celle-ci souffre d'une écriture fragmentaire, voire nulle, et fait que les acteurs politiques de deux ou trois générations, qui se recouvrent pourtant entre elles, s'ignorent cependant et ne reconnaissent pas les actes posés par les uns et les autres, malgré la fraîcheur des événements. > Finalement, les jeunes qui arrivent sur le marché de la politique n'en apprennent que très peu de ceux qui les ont précédé dans le constat, la formulation des problématiques, les solutions proposées, les actes posés, les réorientations ou les retournements... > > Hier, on n'a pas enseigné sur les luttes de Mbombé, Nyonda Mamkite, Emane Tole pas plus que sur l'histoire du congrès fang de Mitzic, comme une continuité du combat des peuples africains contre la servitude. > Il n'est pas étonnant qu'aujourd'hui, certains tentent de se réapproprier les bribes de cette histoire discontinue transformée en prêt-à-servir, au risque d'une regression ethnocentrise, dans un contexte où la majorité des citoyens, déboussolés par le blocage politique et économique, reste en attente d'un messie. > > Pour la petite histoire, j'ai connu dans les années 80 à 90 un certain Monsieur Mayandji, très actif dans l'opposition gabonaise. Je me bornerai à le présenter comme une personne qui, comme vous, recherche des solutions pour le Gabon. Je l'ai connu participant dans les rangs de l'opposition, aux moments les plus forts des crises poltiques gabonaise avant et pendant après conférence nationale; les négociations entre pouvoir et opposition dans le cadre de la COD, du FUAPO etc... quand d'autres pensaient, comme aujourd'hui, que l'opposition au pouvoir ne servait à rien. > > Je ne pense pas que Monsieur Mayandji ait fondamentalement changé d'opinion quant à notre quête commune de l'idéal démocratique. > Je suis persuadé que Monsieur Mayandji se bat de ce côté-ci et n'est point assis dans son coin, en se contantant de servir des leçons. > J'ai aussi la certitude que vous ne le connaissez pas. Je vous laisse donc le soin de le questionner vous-même sur son parcours personnel. > Mon intervention n'était là que pour vous sensibiliser à moins de défensive et à plus de recul quant au regard porté sur autrui. > > Isidore MBINA > > ----- Message d'origine ---- > De : Dr. Daniel Mengara > À : bdpalabres at bdpgabon.org > Envoyé le : Jeudi, 28 Août 2008, 2h19mn 22s > Objet : [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > Monsieur Mayandji, cher frère: > > Le paradoxe que je constate dans votre argumentaire est exactement celui qui découle des tares que vous reprochez aux autres. Vous vous dites "fatigué" de voir une opposition mal organisée, et qui, je vous cite, "contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les partisans du pouvoir défendent leurs privilèges." > > Bien! > > Et vous ajoutez, ensuite, en censeur des méthodes précipitées, que vous êtes partisan des petits pas ciblés, ceux des solutions "au fur et à mesure". > > Bien aussi ! > > MAIS, mon frère, en quoi donc cette démarche serait-elle différente de celle de Mba Abessole qui, lui, préfère faire les choses à "petits pas ciblés" de l'intérieur du régime, ou de Mamboundou, qui, lui, pense désormais qu'un raprochement entre lui et Bongo, aussi avare de résultats que ce rapprochement soit, apportera de petis changements progressifs qui lui sont plus acceptables que la guerre ou la violence, même si pour cela le peuple gabonais doit attrendre 100 ans de plus?! > > Il me semble que vous êtes exactement dans la logique de cette opposition que vous fustigez, non? > > Il y a une seconde contradiction dans votre argument car, si l'on prend votre critique à la lettre, on voit que si l'opposition dont vous parlez était mieux organisée et devenait comme celle des autres pays, elle contredirait immédiatement votre théorie des "petits pas" puisqu'elle précipiterait TOUT! Ce qui ne serait pas non plus à votre goût des "petits pas ciblés", il me semble, n'est-ce pas, cher ami? > > Le problème des censeurs invétérés comme vous et moi, cher frère, est que nous croyons souvent détenir la vérité absolue, alors que, en réalité, nous ne brassons que du vide, du vent. > > Par exemple: vous qui vous dites fatigué de voir une opposition inepte, vous rendez-vous au moins compte que, du haut de votre piédestal de censeur (un peu comme moi), vous êtes en train de dire que vous savez mieux que cette opposition ce qu'il faut faire pour résoudre la problématique gabonaise? > > Si tel est le cas, bien! > > Mais, dans ce cas, je me permettrai la remarque suivante: si, donc, comme le laisse supposer votre message, vous avez la solution parce que mieux et plus éclairé, on se demande ce que vous attendez pour créer, VOUS-MEME, cette opposition CAPABLE qui, elle, pourra, à votre convenance (puisque vous en aurez été l'initiateur éclairé), satisfaire à vos exigences de meilleure organisation!! Mieux encore, si vous ne pouvez la créer indépendamment, rien ne vous interdit de vous engager à ses côtés pour lui faire bénéficier de vos hautes inspirations! Là ou d'autres ont failli, vous réussirez peut-être! Pourquoi, dans ce cas, priver le pays de votre infinie sagesse, et surtout du potentiel d'une réussite par VOUS, là où les autres ont échoué!? > > En fin de compte, frère, je peux affirmer sans méchanceté, mais aussi sans me tromper, que, comme nous tous, vous êtes bel et bien le produit du bongoïsme, non pas parce que vous êtes bongoïstes (je ne crois pas que vous le soyez), mais plutôt parce que vous souffrez des mêmes tares qui nous polluent tous, nous qui, vitupérant de l'ombre (engagés nulle part) ou de derrière nos ordinateurs (comme moi), croyons pouvoir faire avancer la cause gabonaise en critiquant, de loin, ceux qui, eux, ont, au moins, osé s'aventurer sur la voie de l'opposition ouverte et radicale. > > Dans un de mes récents articles, j'ai souligné le fait que les citoyens que nous sommes ne devons jamais reprocher à l'opposition ses échecs si ces échecs s'expliquent par une conjoncture indépendante de sa volonté. L'échec ou la réussite, en tout combat politique, est une situation qui, en elle-même, est fonction du moment et de la conjoncture sociopolitique et socioculturelle du moment. On peut échouer inexplicablement dans un contxete pourtant très favorable (Mba Abessole, Mamboundou) ou réussir au moment le plus inattendu (Géorgie, Ukraine, Russie, Indonésie, Pakistan, etc.). Mais ce n'est pas l'échec qui est, en lui-même, un problème. Ce que nous devons reprocher à l'opposition, à NOTRE opposition, ce sont les RENONCEMENTS qui causent l'échec, surtout quand ces renoncements bafouent les principes les plus élémentaires de la décence humaine et/ou citoyenne. Autrement dit, qu'elle soit organisée ou désorganisée, rien ne garantit la réussite de l'opposition. Ce qui importe, par contre, est que cette opposition reste déterminée dans son intention et sa conviction, génération par génération, et génération après génération. > > Personnellement, je ne reproche leur échec ni à Mamboundou, ni à Mba Abessole. Ce que je leur reproche, c'est leur renoncement. Et parce que je sais que l'échec peut être au rendez-vous de tout opposant de bonne volonté, même sans renoncement, j'essaie de m'engager dans l'espoir de non seulement mieux faire, mais aussi de POUVOIR réussir (sans pour autant croire que je suis celui qui réussira forcément; je ne sais de moi que ma conviction. L'avenir, lui, appartient à Dieu). Mais ce que je m'interdis en tant que citoyen responsable, c'est le découragement ou la fatigue qui me met hors-jeu de l'histoire et de la société. Il n'y a pas de renoncement pire que celui qui est fait juste parce que d'autres ont renoncé ou échoué. C'est là une conclusion trop facile qui ne ferait pas de moi un meilleur citoyen que ceux que je critique. Il est bien de critiquer. Mais il est encore mieux de critiquer quand on est, soi-même, engagé dans une tentative de salut national. > > Quand j'ai créé le BDP-Gabon Nouveau, je l'ai fait sur la base du constat d'échec de Paul Mba Abessole et de Pierre Mamboundou, et ceci dès décembre 1998. Dès 1998, j'avais déjà vu, dans leurs attitudes, les germes non pas de l'échec, mais du renoncement. Et je me suis juré, en m'engageant OUVERTEMENT, d'ESSAYER de mieux faire qu'eux, et surtout, de ne JAMAIS RENONCER, comme eux, aux idéaux qui furent leurs et qui sont aujourd'hui miens. Et j'attends de citoyens responsables la même réaction que moi. En d'autres termes, si aujourd'hui ou dans 10 ans, mes concitoyens constatent mon échec et croient pouvoir mieux faire que moi, je ne trouverai satisfaction que dans un acte d'engagement de leur part qui puisse reprendre le combat là où j'ai échoué, et le mener à finalité, avec ou sans moi. > > Autrement dit, cher frère, en quoi un citoyen peut-il croire être plus utile à la société que le bébé qui vient de naître et qui suce le lait maternel en toute insouciance s'il ne ponctue pas sa critique par un acte d'engagement concret? En quoi peut-il être meilleur que le chien errant qui, n'ayant d'autre objectif dans la vie que la recherche de l'os dans les poubelles, ne se soucie guère de ce qu'il fera le jour d'après? En quoi peut-il être différent d'Omar Bongo qui, à la tête du Gabon depuis 41 ans, ne se soucie guère des souffrances de son peuple? Du moment que, lui, mange bien et fait son petit truc dans son coin, que lui importe, à Bongo ou à ce citoyen individualiste, que le reste des Gabonais tire le dibale par la queue? > > Le principe d'une opposition, cher frère, n'est pas de détenir la science infuse ou la solution toute faite. Le principe d'une opposition n'est pas non plus d'être capable de tout accomplir de son vivant ou de tout réussir. Le principe d'une véritable opposition réside dans sa capacité non seulement à assumer le rôle de défense des intérêts citoyens qui est le sien, mais également d'en mobiliser et d'en étendre la conscience aux générations futures. Faire de l'opposition découle d'une culture politique qui, procédant par tâtonnements et par hypothèses, finit un jour par le triomphe des forces du changement dès lors qu'il n'y aurait aucune cassure générationnelle dans la continuité des engagements. > > Le but n'est donc pas que Mamboundou ou Mengara réussisse de son vivant. Le but est, pour tous ceux qui s'engagent ou épaulent ceux qui s'engagent, de toujours tenter le changement en fonction de leur inspiration, et s'ils échouent malgré leur bonne volonté, il leur est important de pouvoir compter sur ceux qui, dans les générations présentes ou futures, pourront prendre la relève et continuer le combat pour la dignité. Or, pour que les tâtonnements des uns et des autres arrivent à une solution avérée (comprenez, victoire), il faut bien que des hommes comme vous, Monsieur Mayandji, aient le courage de contribuer OUVERTEMENT, et AU SEIN DE CETTE OPPOSITION DEFICIENTE ou en dehors d'elle par une OPPOSITION NOUVELLE, leur éclairage (tout en gardant à l'esprit le simple fait, modeste, que cet éclairage ne sera pas forcément la panacée qui mènerait à la réussite). Tout acte d'opposition est alors vu comme une tentative stratégique qui comporte en elle un espoir de réussite et non une certitude. Faire de l'opposition n'est ni un travail de nanochirurgie ni un travail de nanoscience. Faire de l'opposition, c'est un peu comme un opérateur de mitrailleuse qui tire une centaine de balles en direction d'une cible, avec l'espoir qu'une des balles fera mouche. > > Bref, l'opposition pour moi se résume ainsi: devant l'incertitude, les hésitations et les tâtonnements, tout ce qui peut être tenté doit être tenté, génération par génération, et génération après génération. Quand Mengara ou Mamboundou tombe, victime de la corruption ou de la fatiguue, il doit toujours se trouver un Mayandji pour, soit prendre la relève pour continuer le combat, soit donner des béquilles à ceux qui, ayant tenté toute leur vie, n'arrivent plus à tenir debout tous seuls. > > Il ne sert donc à RIEN pour un cotoyen de brayer, DU DEHORS, qu'il est fatigué par l'inorganisation de l'opposition quand, dans le même temps, il se refuse à y entrer, collectivement ou indépendamment, pour aider à son REDRESSEMENT. > > En d'autres termes, l'inorganisation de l'opposition est autant de VOTRE faute, frère Mayandji, que de la mienne et de celle de tous ceux qui participent de cette opposition inepte que vous critiquez. Imaginez, cher frère, un seul moment le cas de figure suivant: > > 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le sait). > > 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. > > 3) Monsieur Mayandji, au lieu de se déclarer fatigué, entre dans l'opposition ou crée son opposition, pour redresser l'opposition. > > 4) L'opposition, bénéficiant enfin de la science de Monsieur Mayandji, arrive enfin à s'organiser. > > 5) 2009, l'opposition chasse Bongo du pouvoir et commence la reconstruction du pays, grâce à la contribution spectaculaire de Monsieur Mayandji. > > 6) Le Gabon est enfin sauvé et Monsieur Mayandji est fait héros national avec un mausolée lui reconnaissant une contribution historique de patriote. > > > Bien! > > IMAGINONS maintenant l'autre cas de figure, c'est-à-dire, l'affirmation ou la perennisation de la sitaution de passivité et d'immobilisme (donc de renoncement) dans laquelle vous vous trouvez, cher frère, et ceci malgré vos critiques incantatoires: > > > 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le sait). > > 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. > > 3) MAIS Monsieur Mayandji, fatigué par le désastre d'une opposition désorganisée, reste dans l'ombre, refuse de s'engager et garde sa solution pour lui-même. > > 4) L'opposition, ne bénéficiant pas de la science de MOnsieur Mayandji, sombre encore plus dans la désorganisation et s'étiole. > > 5) 2012, Bongo est réelu. 2019, Ali Bongo est élu. 2026 Ali Bongo est réélu, jusqu'à perpète. 2030, Le Gabon n'a plus de pétrole. N'ayant jamais préparé l'après pétrole, le Gabon, en 2033, est le pays le plus pauvre du monde. > > 6) 2034, Monsieur Mayandji meurt de palu au dispensaire de Nkembo, parce qu'au Gabon, la pauvreté est devenue telle que ses petits enfants, sans emploi, n'ont pas assez d'argent pour lui acheter un comprimé de Fansidar, et les économies qu'il avait faites pour sa retraite en 2026 ont fondu comme beurre au soleil devant la vie chère qui est maintenant au Gabon comme celle du Zimbabwé: 1000% > > Autrement dit, Monsieur Mayandji, ceux qui s'engagent et essaient, même dans la désorganisation et l'échec, valent mieux comme citoyens que ceux qui, de loin, critiquent, se disent plus compétents, mais pourtant, se refusent à montrer, par l'engagement concret, comment ils peuvent mieux réussir que les autres. > > Et cette leçon, croyez-moi, vaut pour nous tous, moi y compris. > > La question, en fin de compte, n'est pas de savoir qui a échoué ou qui a réussi. Ce qu'il faut, c'est étudier comment, par la combinaisaon des efforts et des inspirations, nous pourrions, ENSEMBLE ET/OU SEPAREMMENT, contribuer à l'objectif de consolidation d'une opposition engagée qui soit capable de résister aux prostitutions qui enfantent de ce renoncement qui compromet la réussite. L'image à avoir en tête ici est celle de soldats sur un champ de bataille. Quand ils s'avancent, l'ennemi les fauche. Certains tombent, mais d'autres avancent. A la fin, ce sera à qui avancera avec plus de résolution que la victoire appartiendra. > > PLus proche de nous, cette image marche de la façon suivante. En face de Mamboundou, Mba Abessole, Mayandji et Mengara, il y a Bongo avec un fusil à trois balles. Devant les tirs de Bongo, Mba Abessole tombe. Puis c'est le tour de Mamboundou, et enfin Daniel Mengara. Maintenant, Bongo n'a plus de balles et Mayandji reste debout, vivant, devant un Bongo désemparé. Sous la rage des années de brimades subies, Mayandji étrangle Bongo et le pend à un arbre, pour les vautours. Le Gabon est libéré. > > Autrement dit, dans tout combat, certains tombent sous les balles ou sous la peur, mais d'autres, surtout ceux qui se font censeurs des autres, doivent être capables de continuer la lutte. Il est impardonnable de renoncer ou de se fatiguer parce qu'on a vu certains tomber, et ensuite se retourner pour critiquer ceux qui sont tombés ou se sont enfuis. Si on a de la conviction, on doit continuer, sinon on ne sert à rien dans la société des hommes. > > L'opposition, cher ami, ne peut être vue comme une aventure sans lendemain. Le dire de cette manière, c'est voir l'opposition comme une affaire basée sur le court terme de nos courtes vies, et non comme une continuité que chaque génération se doit de pérpétuer, pour elle-même et pour les autres. Autrement dit, chaque citoyen qui se bat ne doit jamais limiter l'idée de l'opposition à ce qu'il peut y gagner de son vivant, mais plutôt la construire sur les principes de participation qui lui permettraient de faire sa part de contributions à l'édifice de redressement national. > > Autrement dit, la valeur d'un vrai citoyen ne se mesure pas à combien de théories il peut émettre. Tant qu'il n'est pas prêt, de par LUI-MEME, à tester ses propres théories et même à les mettre en pratique au service de la nation, il ne vaut rien pour la société. > > Et la question que le citoyen modeste posera toujours à ces censeurs invétérés que nous sommes, vous et moi, est la suivante: est-ce que tu peux faire mieux, toi qui parle beaucoup, beaucoup, beaucoup? > > A cette question, je crois que nous savons déjà la réponse. > > > Daniel Mengara > > > Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ >> >> >> Il n'est pas question pour moi d'appeller à la guerre civile. Je suis tout simplement fatigué de voir une opposition qui si mal organisée et qui, contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les partisans du pouvoir défendent leurs privilèges. >> Je pense qu'à l'instar de la majorité des gabonais, je ne suis pas le partisan des aventures sans lendemain. Je pratique la politique des "petits pas", celle qui consiste à apporter des solutions ciblées aux populations au fur et à mesure que les problèmes sont identifiés et que les moyens sont constitués. >> MANGASS TTC >> Christian MAYANDJI >> Démarches-Gestion >> FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES >> ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS >> CONVOYAGE EXPLOITATION >> VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES >> EUROPE - AFRIQUE >> >> >> >> --- En date de : Mer 27.8.08, Jean Bika a écrit : >> >> De: Jean Bika >> Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat >> À: bdpalabres at bdpgabon.org >> Date: Mercredi 27 Août 2008, 2h22 >> >> ___________________________________________________________ >> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages >> apparaîtront une fois modérés. >> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement >> aux messages. >> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> ___________________________________________________________ >> >> >> Monsieur Mayandji, vous avez tout dit. Les peuples qui ont sacrifié de leur >> sang et acheté la liberté avec leur sang comprennent mieux la valeur de la >> paix. le gabon, comme d'autres pays, devra passer par une étape de violence >> pour le comprendre. Une seule personne en sera la cause: Omar Bongo. >> >> >> Christian MAYANDJI a écrit: >> > ___________________________________________________________ >> > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages >> apparaîtront une fois modérés. >> > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout >> simplement aux messages. >> > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> > ___________________________________________________________ >> > >> > >> > >> > M. Mengara a le droit d'affirmer sa différence, comme tous ceux qui >> aspirent à un changement légitime au Gabon, au TOGO, dans d'autres pays, >> sur d'autres continents. >> > Cependant, je crois que nous évoluons vers des dérives qui me font >> craindre des tensions extrêmes. >> > Je résume la situation : les "opposants" attaquent les >> représentant s du pouvoir dans ce qu'il y a de plus bas; >> > les partisans du "pouvoir" s'entêtent dans leurs délires >> de candidats à la corruption, pour ceux qui n'y ont pas encore été >> initiés. >> > Entre ces extremes, ils y a des hommes et des femmes qui construisent >> patiemment leur vie, avec leur propre moyens, sans rien demander à personne, >> pas même à l'Etat. >> > Le seule chose que je me demande, c'est pourquoi l'opposition ne >> se donne pas une bonne fois pour toutes les moyens d'en découdre avec le >> pouvoir, ainsi que cela s'est produit dans les autres pays. >> > Il se peut qu'après le sacrifice du sang, chacun trouvera la voie de >> la raison et comprendra que la politique commence lorsqu'on découvre >> comment faire la différence entre l'intérêt général et les intérêts >> particuliers. la politque se fait lorsqu'on respecte l'individu, la >> personne quelque ses valeurs dans la mesure ou tout le monde respecte la loi >> républicaine. Elles se poursuit lorsque chacun comprend que l'Etat - en >> tant que représentant de l'intérêt général - n'est pas la >> propriété de personne, mais en tant que puissance publique c'est une >> personne morale avec son fonctionnement propre. >> > Il est inopérant que chacun puisse projeter ses propres asiptations dans >> l'Etat. l'Etat n'est la vache à lait de personne. C'est tout >> simplement une organisation dont la fonction est de gérer ce qui constitue le >> ^patrimoine commun. >> > Je crois que la plupart des conflits actuels proviennent que chacun - >> conservateurs et partisans du changement - ne percoive l'état que comme une >> vache à lait que chacun doit traire. >> > En tant qu'historien, je sais que le changement est inéluctable et >> surtout en marche... >> > MANGASS TTC >> > Christian MAYANDJI >> > Démarches-Gestion >> > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES >> > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS >> > CONVOYAGE EXPLOITATION >> > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES >> > EUROPE - AFRIQUE >> > >> > >> > >> > --- En date de : Mar 26.8.08, Magloire Olympio >> a écrit : >> > >> > De: Magloire Olympio >> > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat >> > À: bdpalabres at bdpgabon.org >> > Date: Mardi 26 Août 2008, 9h01 >> > >> > ___________________________________________________________ >> > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos >> messages >> > apparaîtront une fois modérés. >> > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout >> simplement >> > aux messages. >> > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> > ___________________________________________________________ >> > >> > >> > Rebondissement dans l’affaire AKA : de nouveaux éléments qui >> confortent la >> > thèse de l’assassinat ; le frère cadet du défunt Maurille membre >> du régime >> > précipite son enterrement. >> > >> > >> > La tragique disparition du leader du MODENA Joachim Agbobli Atsutsè >> n’a pas >> > fini de révéler tous ses secrets. Après les résultats farfelus de >> > l’autopsie du professeur Napo-Koura et les conclusions tordues du >> procureur de >> > la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; de nouveaux >> éléments >> > viennent d’apparaître dans le dossier et confortent désormais, la >> thèse >> > d’un assassinat déguisé en suicide. Ces informations, nous les >> devons à >> > plusieurs amis du politologue (universitaires, hommes politiques, >> médecins, >> > journalistes) qui se sont mobilisés pour faire triompher la vérité. >> > >> > >> > >> > Le corps du défunt porte des traces d’électrocution >> > >> > >> > >> > La première information qui ressort de ces investigations est liée >> à des >> > lésions observées autour du coup et des parties génitales de la >> victime. Les >> > spécialistes en conclurent à une torture par des objets >> électriques. Pour ces >> > spécialistes, il est incroyable que le médecin légiste ait pu >> conclure en une >> > mort par suicide en passant sous silence ces différentes lésions que >> nous >> > venons de signaler. En réalité, AKA a été enlevé depuis la >> clinique, >> > conduit à un endroit secret et torturé à mort avant que le corps ne >> soit >> > jeté à la plage 24 h plus tard. C’est d’ailleurs ce scénario >> qui explique >> > la disparition des vêtements de la victime de même que l’abandon >> de son >> > portefeuille, et ses verres médicaux. La version du rendez-vous en >> plus du >> > parcours effectué attribué au chauffeur n’est qu’une pure >> invention sortie >> > des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA ne s’est jamais >> rendu à >> > un quelconque rendez-vous, il ne s’est jamais arrêté à l’Hôtel >> Palm >> > Beach et il ne s’est jamais rendu à l’Hôtel Sarakawa. >> D’ailleurs le >> > docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa serait sous >> d’énormes >> > pressions afin qu’il ne s’adresse à aucun média. A la clinique >> Biasa les >> > visites aux malades sont désormais réglementées. >> > >> > >> > >> > Maurille Agbobli dans le mauvais rôle >> > >> > >> > >> > Il n’est un secret pour personne que la famille Agbobli est >> partagée entre >> > l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont actuellement dans le >> cercle du >> > pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, universitaire, conseiller >> > diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite Maurille Edoh Agbobli >> ancien >> > ministre, membre du bureau politique du RPT. C’est donc ce dernier >> qui est >> > accusé aujourd’hui de dissuader la famille d’aller plus loin et >> précipite >> > par la même occasion l’enterrement de son frère. Alors que >> certains >> > évoquent encore une contre autopsie avec l’assistance des experts >> venus de >> > l’extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées dans la foulée >> pour les 29 >> > et 30 août prochain. >> > >> > >> > >> > Faure tapis dans l’ombre manœuvre et joue au chrono >> > >> > >> > >> > La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de l’actualité la >> récurrente >> > question de l’impunité qui caractérise depuis 40 ans le régime du >> RPT. >> > Faure qui espérait noyer cette question de l’impunité dans une >> mascarade de >> > réconciliation après les fameuses consultations nationales se >> retrouve du coup >> > dans une situation embarrassante. Depuis le palais de la Marina, il >> tire sur les >> > ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » qui n’a jamais >> accordé le >> > moindre crédit à la presse togolaise invite subitement par une >> méthode peu >> > orthodoxe des journalistes des médias publics et privés à une >> discussion à >> > battons rompus à la présidence de la République. Certains >> journalistes ( >> > médias d’Etat, radios et presses privées) se sont rendus donc ce >> jeudi à la >> > présidence de la République pour en ressortir plus tard avec des >> billets de >> > banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par tête. Tout ceci, >> après une >> > longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. D’autres >> journalistes qui >> > ont pu déceler là, le piège de la corruption ont décliné >> l’invitation >> > présidentielle. Lorsqu’on situe cette discussion avec les >> journalistes qui >> > ces derniers temps sont très critiques vis à vis du pouvoir de Faure >> dans le >> > contexte de la disparition tragique de AKA on comprend aisément la >> manœuvre du >> > pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en prenant >> habilement soin de >> > se donner le visage d’un président ouvert et préoccupé. >> > >> > >> > >> > Une opposition réduite à de simples communiqués >> > >> > >> > >> > Après la phase des communiqués de compassion certains responsables >> politiques >> > et associations de la société civile ont exhorté l’ensemble de >> > l’opposition à envisager des manifestions de rue dans le but >> d’exiger la >> > fin de l’impunité au Togo. Ces organisations ont été confrontées >> au refus >> > catégorique d’autres partis de l’opposition qui de par leur >> popularité >> > devraient servir de locomotive à cette initiative. Alors la question >> qui se >> > pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur de journée des >> communiqués >> > sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le leader du MODENA >> comme celui >> > du PSP qu’était Tavio Amorin ne dérangeait pas seulement le parti >> au pouvoir >> > par son engagement et ses débats mais aussi ses amis de >> l’opposition qu’il >> > croyait naïvement être ses frères. Aucune raison ne justifie >> aujourd’hui >> > l’inertie de cette opposition et de cette société civile qui jadis >> étaient >> > à l’avant garde de toute violation des droits de l’homme. La >> réalité est >> > que la société togolaise baigne désormais dans une corruption sans >> > précédent où des responsables insoupçonnés de certains partis >> actuels de >> > l’opposition émargent régulièrement dans le registre de Faure. >> Faure en >> > parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de morts a réussi >> un seul >> > coup celui, d’avoir mis l’opposition en lambeaux en enrôlant >> certains dans >> > son aventure gouvernementale et en renflouant les comptes en banque >> des autres >> > qui ne se contentent désormais que des communiqués. Voilà donc le >> drame qui >> > se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font semblant d’être >> encore >> > opposants mais qui dans la réalité ont changé depuis leurs vestes. >> AKA >> > n’est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais aussi d’une >> société >> > togolaise en manque de repères, de principes, où les hommes de >> valeurs qui >> > devraient servir de guide, de modèle sont crétinisés par un >> système pervers >> > et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur Fiadjoe et le >> chauffeur >> > devraient déjà prendre la parole pour libérer leurs consciences et >> situer les >> > togolais sur les réelles conditions de la mort mystérieuse et >> tragique de AKA. >> > Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette réalité, les >> Gnassingbé et >> > leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux jours devant eux. >> > >> > >> > >> > Simon de Fanti, tultogo.com From protected at bdpgabon.org Fri Aug 29 11:01:51 2008 From: protected at bdpgabon.org (Dr. Daniel Mengara) Date: Fri, 29 Aug 2008 11:01:51 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Accusé de reception Message-ID: Monsieur Mawandji, cher ami Il me serait difficile ici de juger de votre proposition, et encore moins de la commanditer. Personnellement, je n'aurais pas procédé par cette manière quelque peu fragmentée de résumer un texte sur la base de sa linéarité. J'aurais plutôt essayé de résumer ce texte en ces 5 grands points les plus saillants, ce qui aurait beaucoup plus fortement réflété les grandes lignes de ma pensée. J'aurais exclu de ma charpente les élements discrets et métaphoriques (étrangler Bongo, par exemple), qui ne sont pas la substance d'un texte qui, au-delà de ses métaphores, ne peut se résumer par une emphase disproportionnée sur ses points discrets, qui auraient tendance à déformer l'intention, puisque dénués à la fois de contexte et de connectivité (un texte est un ensemble). Je me contenterai donc d'attendre de voir les arguments avec lesquels vous habillerez cette charpente. Je vous dirai cependant, d'avance, que quelle que soit la nature de ce que vous livrerez à nos attentions, vous ne trouverez point en moi un homme fermé au bon sens. Tout ce que je puis affirmer c'est que grâce à vous, nous commençons peut-être enfin ici une réflexion sur notre pays qui, en bien ou en mal, ne peut constituer un point négatif dans l'évolution de nos pensées collectives. Ce que nous visons, après tout, c'est l'intrônisation des valeurs qui élèvent et libèrent, d'où qu'elles viennent. A bientôt, donc. Daniel Mengara Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Au Professeur MENGARA > Coordonateur du mouvement BDP > > Cher Professeur, > > Je me suis promis de ne pas vous prendre en traitre et, surtout, de ne pas nourrir toute polémique nous entrainant vers les dérives que je dénonce depuis que je participe à ce forum. > Je me suis permis de reprendre les points que vous avez abordés par thèmes progressifs et je vous propose de vérifier la conformité avec les sujet de préoccupations que vous avez exposés. > Merci de bien vouloir me reprendre avant que je ne vous propose mon point de vue. > > Cordialement. > > ------------------------------- > > > > Préambule : Argumentaire comme témoignage des tares de l’opposition gabonaise > > > > I - Contradictions : > > > > 1 - Différence de la démarche avec les « petits pas ciblés » de l’intérieur du régime de MBA ABESSOLE ou de MAMBOUNDOU « qui souhaite éviter la guerre ou la violence » ; > > > > 2 - Meilleure organisation en contradiction avec la théorie des « petits pas » : précipitation de TOUT > > > > > > II – Vérité absolue > > > > 1 - Détention de la vérité absolue ou de la science infuse / brasser du vide, du vent : propos populistes ? > > 2 - Opposition « inepte » ou déficiente / savoir mieux pour résoudre la problématique gabonaise ? > > 3 – L’inorganisation de l’opposition : « faute de tout ceux qui critiquent l’ineptie » > > > > III – Renforcement de la capacité de l’opposition par création ou adhésion > > > > 1- Auto – création d’une opposition nouvelle pour satisfaire aux exigences d’une meilleure organisation : non, car il ne faut pas ajouter la division à la division, gaspiller moins les ressources disponibles y compris humaines, recherche d’une meilleure efficacité. > > 2- Engagement aux côtés de l’opposition actuelle et partager sagesse et/ou potentiel de réussite > > 3- Tares du nouvel opposant et « produits du bongoïsme » : croire pouvoir faire avancer la cause gabonaise en critiquant dans l’ombre ceux qui s’aventure dans l’opposition ouverte et radicale > > 4- Oui à l’échec indépendante de notre volonté, non au renoncement/découragement pour tout citoyen responsable : organisée ou non, rien ne garantit la réussite de l’opposition. > > > > IV – Principe de l’Opposition > > > > 1 - Principes > > a – Ne pas détenir la science infuse ou des solution toutes faites. > > b – Capacité à assumer le rôle de défense des intérêts citoyens. > > c – Capacité de mobiliser et étendre la conscience des intérêts citoyens aux générations futures/éviter la cassure générationnelle dans la continuité des engagements > > d – Eviter l’individualisme aussi au sommet de l’Etat qu’au niveau citoyen, encourager l’utilité sociale > > > > 2 – Démarches : opposition, produit d’une culture politique (exemple de l’histoire des 4 cibles et du fusil à 3 coups) > > a – Procéder par tâtonnement ; > > b – Procéder par hypothèse ; > > c – S’engager ou épauler ceux qui s’engagent (prendre la relève ou donner les béquilles aux combattants qui ne tiennent plus debout tout seuls) ; > > d - en cas d’échec, susciter l’engagement des générations présentes ou futures > > e - Contribuer ouvertement au sein de l’opposition déficiente ou par une opposition nouvelle (brayer dedans et non dehors) > > > > V – Buts de l’opposition : tentative stratégique pour un espoir – et non une certitude - de réussite (exemple de l’opérateur de mitrailleuse usant d’une centaine de balles sur une cible) > > > > 1 – Tenter le changement : chasser le Chef de l’Etat en titre (fut –il un usurpateur) et commencer la Reconstruction du pays ; > > 2 – Continuer le combat pour la dignité et le Redressement de l’opposition ; > > 3 – « La victoire » considérée comme la solution finale : « Sous la rage des années de brimades subies, le citoyen lambda étrangle le chef de l’Etat et le pend à un arbre, pour les vautours. Le pays est libéré » ; > > 4 – Le mausolée comme récompense de l’héroïsme patriotique pour les acteurs du changement > > > > VI – Les risques inhérents au renoncement ( affirmation ou pérennisation de la situation de passivité et d’immobilisme) de l’opposition > > > > 1 – Persistance de l’ineptie de l’opposition et des critiques incantatoires > > > > 2 - Cercle vicieux de conséquences désastreuses : > > a – refus de l’engagement des auteurs des critiques ; > > b – accentuation de la désorganisation et effondrement de l’opposition ; > > c – défaut de ressources publiques (épuisement des gisements des matières d’extraction/stratégiques) et ressources propres (absence de revenus du travail et de transfert), coût élevé de la vie, > > d – rupture d’approvisionnement du fait de la déficience du système de santé > > e – anéantissement inexorable des citoyens par décès prématurés > > > > VII – L’essentiel : l’opposition – au Gabon ? - ne peut être vue comme une aventure sans lendemain > > > > 1 – Contribution à la consolidation et renforcement de la capacité de l’opposition à résister à la prostitution > > a - génératrice du renoncement > > b – mettant en cause la réussite > > > > 2 – Conviction - face à la peur - et résolution – face aux balles - au combat comme facteurs de succès/victoire > > 3 – Opposition : activité qui transcende la vie de chaque citoyen et fédère les contributions à l’édifice de redressement national > > 4 – Chaque citoyen doit tester ses propres théories et les mettre en pratique au service de la nation. > > > > MANGASS TTC > Christian MAYANDJI > Démarches-Gestion > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > CONVOYAGE EXPLOITATION > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > EUROPE - AFRIQUE > > > > --- En date de : Jeu 28.8.08, Dr. Daniel Mengara a écrit : > > De: Dr. Daniel Mengara > Objet: [BDPalabres] Re: Accusé de reception > À: bdpalabres at bdpgabon.org > Date: Jeudi 28 Août 2008, 18h26 > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement > aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > J'attendrai avec grande impatience votre réflexion, cher Monsieur Mayandji. > > Je vous sais homme de profondeur et j'avoue toujours apprécier vos prises > de position qui, se détournant de la polémique stérile, élèvent toujours la > conversation sur ce forum. Les solutions aux problèmes gabonais commencent par > le type d'exercice mental que, de par vos arguments, vous ne manquez jamais > de susciter. D'où l'expression de mes sincères remerciements pour > avoir inspiré la "petite" et modeste pensée que j'ai proposée > à nos lecteurs. > > Il y a sur notre site, une pensée d'Edgar Morin, sociologue et écrivain > français, qui se pose la question suivante: "Qu'est-ce qu'un > intellectuel?". A cette question, il répond: "C'est quelqu'un > qui, en dehors de sa propre compétence, porte sur la place publique des > problèmes de fond." > > Autrement dit, le statut d'intellectuel implique une certaine > RESPONSABILITE. Cette responsablité, à son tour, découle non seulement de ce > POUVOIR qui lui permet d'influencer la pensée et, parfois même, la > destinée publique, mais également de ce DEVOIR d'engagement qui lui est > dicté par les défis auxquels est confrontée sa société. > > Le Gabon, dans le contexte d'une telle dynamique, ne peut perdre. > > Votre dévoué compatriote. > > Daniel Mengara > > Christian MAYANDJI wrote: > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout > simplement aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > Au Professeur Daniel MENGARA > > Coordonateur du Mouvement BDP > > > > Cher Professeur, > > > > Vous avez pris de votre temps pour me faire part de votre point de vue. Je > vous en remercie. Vous comprendrez certainement que je vous reponde > méthodiquement. Cela implique un décallage de temps. Je vous prie de croire > qu'il n'est pas dans mon intention d'abuser de votre patience, ni de > compter parmi vos détracteurs. Je vais m'efforcer de vous apporter une > reponse structurée. J'espère que - au contraire d'autres leaders > d'opinion noyés par leur célébrité médiatique - vous prendrez la peine > de l'étudier avec la plus grande attention et d'en tirer les meilleures > enseignements pour votre mouvement. > > > > Cordialement. > > MANGASS TTC > > Christian MAYANDJI > > Démarches-Gestion > > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > > CONVOYAGE EXPLOITATION > > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > > EUROPE - AFRIQUE > > > > > > > > --- En date de : Jeu 28.8.08, Dr. Daniel Mengara > a écrit : > > > > De: Dr. Daniel Mengara > > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > Date: Jeudi 28 Août 2008, 3h19 > > > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos > messages > > apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout > simplement > > aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > ___________________________________________________________ > > > > > > Monsieur Mayandji, cher frère: > > > > Le paradoxe que je constate dans votre argumentaire est exactement > celui qui > > découle des tares que vous reprochez aux autres. Vous vous dites > > "fatigué" de voir une opposition mal organisée, et qui, je > vous > > cite, "contrairement aux mouvements d'opposition dans les > autres pays, > > ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination > que les > > partisans du pouvoir défendent leurs privilèges." > > > > Bien! > > > > Et vous ajoutez, ensuite, en censeur des méthodes précipitées, que > vous > > êtes partisan des petits pas ciblés, ceux des solutions "au fur > et à > > mesure". > > > > Bien aussi ! > > > > MAIS, mon frère, en quoi donc cette démarche serait-elle différente > de celle > > de Mba Abessole qui, lui, préfère faire les choses à "petits > pas > > ciblés" de l'intérieur du régime, ou de Mamboundou, qui, > lui, pense > > désormais qu'un raprochement entre lui et Bongo, aussi avare de > résultats > > que ce rapprochement soit, apportera de petis changements progressifs > qui lui > > sont plus acceptables que la guerre ou la violence, même si pour cela > le peuple > > gabonais doit attrendre 100 ans de plus?! > > > > Il me semble que vous êtes exactement dans la logique de cette > opposition que > > vous fustigez, non? > > > > Il y a une seconde contradiction dans votre argument car, si l'on > prend > > votre critique à la lettre, on voit que si l'opposition dont vous > parlez > > était mieux organisée et devenait comme celle des autres pays, elle > > contredirait immédiatement votre théorie des "petits pas" > > puisqu'elle précipiterait TOUT! Ce qui ne serait pas non plus à > votre > > goût des "petits pas ciblés", il me semble, n'est-ce > pas, cher > > ami? > > > > Le problème des censeurs invétérés comme vous et moi, cher frère, > est que > > nous croyons souvent détenir la vérité absolue, alors que, en > réalité, nous > > ne brassons que du vide, du vent. > > > > Par exemple: vous qui vous dites fatigué de voir une opposition > inepte, vous > > rendez-vous au moins compte que, du haut de votre piédestal de > censeur (un peu > > comme moi), vous êtes en train de dire que vous savez mieux que cette > > opposition ce qu'il faut faire pour résoudre la problématique > gabonaise? > > > > Si tel est le cas, bien! > > > > Mais, dans ce cas, je me permettrai la remarque suivante: si, donc, > comme le > > laisse supposer votre message, vous avez la solution parce que mieux > et plus > > éclairé, on se demande ce que vous attendez pour créer, VOUS-MEME, > cette > > opposition CAPABLE qui, elle, pourra, à votre convenance (puisque > vous en aurez > > été l'initiateur éclairé), satisfaire à vos exigences de > meilleure > > organisation!! Mieux encore, si vous ne pouvez la créer > indépendamment, rien > > ne vous interdit de vous engager à ses côtés pour lui faire > bénéficier de > > vos hautes inspirations! Là ou d'autres ont failli, vous > réussirez > > peut-être! Pourquoi, dans ce cas, priver le pays de votre infinie > sagesse, et > > surtout du potentiel d'une réussite par VOUS, là où les autres > ont > > échoué!? > > > > En fin de compte, frère, je peux affirmer sans méchanceté, mais > aussi sans > > me tromper, que, comme nous tous, vous êtes bel et bien le produit du > > bongoïsme, non pas parce que vous êtes bongoïstes (je ne crois pas > que vous > > le soyez), mais plutôt parce que vous souffrez des mêmes tares qui > nous > > polluent tous, nous qui, vitupérant de l'ombre (engagés nulle > part) ou de > > derrière nos ordinateurs (comme moi), croyons pouvoir faire avancer > la cause > > gabonaise en critiquant, de loin, ceux qui, eux, ont, au moins, osé > > s'aventurer sur la voie de l'opposition ouverte et radicale. > > > > Dans un de mes récents articles, j'ai souligné le fait que les > citoyens > > que nous sommes ne devons jamais reprocher à l'opposition ses > échecs si > > ces échecs s'expliquent par une conjoncture indépendante de sa > volonté. > > L'échec ou la réussite, en tout combat politique, est une > situation qui, > > en elle-même, est fonction du moment et de la conjoncture > sociopolitique et > > socioculturelle du moment. On peut échouer inexplicablement dans un > contxete > > pourtant très favorable (Mba Abessole, Mamboundou) ou réussir au > moment le > > plus inattendu (Géorgie, Ukraine, Russie, Indonésie, Pakistan, > etc.). Mais ce > > n'est pas l'échec qui est, en lui-même, un problème. Ce que > nous > > devons reprocher à l'opposition, à NOTRE opposition, ce sont les > > RENONCEMENTS qui causent l'échec, surtout quand ces renoncements > bafouent > > les principes les plus élémentaires de la décence humaine et/ou > citoyenne. > > Autrement dit, qu'elle soit organisée ou désorganisée, rien ne > garantit > > la réussite de l'opposition. Ce qui importe, par contre, est que > cette > > opposition reste déterminée dans son intention et sa conviction, > génération > > par génération, et génération après génération. > > > > Personnellement, je ne reproche leur échec ni à Mamboundou, ni à > Mba > > Abessole. Ce que je leur reproche, c'est leur renoncement. Et > parce que je > > sais que l'échec peut être au rendez-vous de tout opposant de > bonne > > volonté, même sans renoncement, j'essaie de m'engager dans > > l'espoir de non seulement mieux faire, mais aussi de POUVOIR > réussir (sans > > pour autant croire que je suis celui qui réussira forcément; je ne > sais de moi > > que ma conviction. L'avenir, lui, appartient à Dieu). Mais ce que > je > > m'interdis en tant que citoyen responsable, c'est le > découragement ou > > la fatigue qui me met hors-jeu de l'histoire et de la société. > Il n'y > > a pas de renoncement pire que celui qui est fait juste parce que > d'autres > > ont renoncé ou échoué. C'est là une conclusion trop facile qui > ne ferait > > pas de moi un meilleur citoyen que ceux que je critique. Il est bien > de > > critiquer. Mais il est encore mieux de critiquer quand on est, > soi-même, > > engagé dans une tentative de salut national. > > > > Quand j'ai créé le BDP-Gabon Nouveau, je l'ai fait sur la > base du > > constat d'échec de Paul Mba Abessole et de Pierre Mamboundou, et > ceci dès > > décembre 1998. Dès 1998, j'avais déjà vu, dans leurs > attitudes, les > > germes non pas de l'échec, mais du renoncement. Et je me suis > juré, en > > m'engageant OUVERTEMENT, d'ESSAYER de mieux faire qu'eux, > et > > surtout, de ne JAMAIS RENONCER, comme eux, aux idéaux qui furent > leurs et qui > > sont aujourd'hui miens. Et j'attends de citoyens responsables > la même > > réaction que moi. En d'autres termes, si aujourd'hui ou dans > 10 ans, > > mes concitoyens constatent mon échec et croient pouvoir mieux faire > que moi, je > > ne trouverai satisfaction que dans un acte d'engagement de leur > part qui > > puisse reprendre le combat là où j'ai échoué, et le mener à > finalité, > > avec ou sans moi. > > > > Autrement dit, cher frère, en quoi un citoyen peut-il croire être > plus utile > > à la société que le bébé qui vient de naître et qui suce le lait > maternel > > en toute insouciance s'il ne ponctue pas sa critique par un acte > > d'engagement concret? En quoi peut-il être meilleur que le chien > errant > > qui, n'ayant d'autre objectif dans la vie que la recherche de > l'os > > dans les poubelles, ne se soucie guère de ce qu'il fera le jour > > d'après? En quoi peut-il être différent d'Omar Bongo qui, > à la tête > > du Gabon depuis 41 ans, ne se soucie guère des souffrances de son > peuple? Du > > moment que, lui, mange bien et fait son petit truc dans son coin, que > lui > > importe, à Bongo ou à ce citoyen individualiste, que le reste des > Gabonais > > tire le dibale par la queue? > > > > Le principe d'une opposition, cher frère, n'est pas de > détenir la > > science infuse ou la solution toute faite. Le principe d'une > opposition > > n'est pas non plus d'être capable de tout accomplir de son > vivant ou de > > tout réussir. Le principe d'une véritable opposition réside > dans sa > > capacité non seulement à assumer le rôle de défense des intérêts > citoyens > > qui est le sien, mais également d'en mobiliser et d'en > étendre la > > conscience aux générations futures. Faire de l'opposition > découle > > d'une culture politique qui, procédant par tâtonnements et par > > hypothèses, finit un jour par le triomphe des forces du changement > dès lors > > qu'il n'y aurait aucune cassure générationnelle dans la > continuité > > des engagements. > > > > Le but n'est donc pas que Mamboundou ou Mengara réussisse de son > vivant. > > Le but est, pour tous ceux qui s'engagent ou épaulent ceux qui > > s'engagent, de toujours tenter le changement en fonction de leur > > inspiration, et s'ils échouent malgré leur bonne volonté, il > leur est > > important de pouvoir compter sur ceux qui, dans les générations > présentes ou > > futures, pourront prendre la relève et continuer le combat pour la > dignité. > > Or, pour que les tâtonnements des uns et des autres arrivent à une > solution > > avérée (comprenez, victoire), il faut bien que des hommes comme > vous, Monsieur > > Mayandji, aient le courage de contribuer OUVERTEMENT, et AU SEIN DE > CETTE > > OPPOSITION DEFICIENTE ou en dehors d'elle par une OPPOSITION > NOUVELLE, leur > > éclairage (tout en gardant à l'esprit le simple fait, modeste, > que cet > > éclairage ne sera pas forcément la panacée qui mènerait à la > réussite). > > Tout acte d'opposition est alors vu comme une tentative > stratégique qui > > comporte en elle un espoir de réussite et non une certitude. Faire de > > l'opposition n'est ni un travail de nanochirurgie ni un > travail de > > nanoscience. Faire de l'opposition, c'est un peu comme un > opérateur de > > mitrailleuse qui tire une centaine de balles en direction d'une > cible, avec > > l'espoir qu'une des balles fera mouche. > > > > Bref, l'opposition pour moi se résume ainsi: devant > l'incertitude, les > > hésitations et les tâtonnements, tout ce qui peut être tenté doit > être > > tenté, génération par génération, et génération après > génération. > > Quand Mengara ou Mamboundou tombe, victime de la corruption ou de la > fatiguue, > > il doit toujours se trouver un Mayandji pour, soit prendre la relève > pour > > continuer le combat, soit donner des béquilles à ceux qui, ayant > tenté toute > > leur vie, n'arrivent plus à tenir debout tous seuls. > > > > Il ne sert donc à RIEN pour un cotoyen de brayer, DU DEHORS, > qu'il est > > fatigué par l'inorganisation de l'opposition quand, dans le > même > > temps, il se refuse à y entrer, collectivement ou indépendamment, > pour aider > > à son REDRESSEMENT. > > > > En d'autres termes, l'inorganisation de l'opposition est > autant de > > VOTRE faute, frère Mayandji, que de la mienne et de celle de tous > ceux qui > > participent de cette opposition inepte que vous critiquez. Imaginez, > cher > > frère, un seul moment le cas de figure suivant: > > > > 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde > le > > sait). > > > > 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. > > > > 3) Monsieur Mayandji, au lieu de se déclarer fatigué, entre dans > > l'opposition ou crée son opposition, pour redresser > l'opposition. > > > > 4) L'opposition, bénéficiant enfin de la science de Monsieur > Mayandji, > > arrive enfin à s'organiser. > > > > 5) 2009, l'opposition chasse Bongo du pouvoir et commence la > reconstruction > > du pays, grâce à la contribution spectaculaire de Monsieur Mayandji. > > > > 6) Le Gabon est enfin sauvé et Monsieur Mayandji est fait héros > national avec > > un mausolée lui reconnaissant une contribution historique de > patriote. > > > > > > Bien! > > > > IMAGINONS maintenant l'autre cas de figure, c'est-à-dire, > > l'affirmation ou la perennisation de la sitaution de passivité et > > d'immobilisme (donc de renoncement) dans laquelle vous vous > trouvez, cher > > frère, et ceci malgré vos critiques incantatoires: > > > > > > 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde > le > > sait). > > > > 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. > > > > 3) MAIS Monsieur Mayandji, fatigué par le désastre d'une > opposition > > désorganisée, reste dans l'ombre, refuse de s'engager et > garde sa > > solution pour lui-même. > > > > 4) L'opposition, ne bénéficiant pas de la science de MOnsieur > Mayandji, > > sombre encore plus dans la désorganisation et s'étiole. > > > > 5) 2012, Bongo est réelu. 2019, Ali Bongo est élu. 2026 Ali Bongo > est > > réélu, jusqu'à perpète. 2030, Le Gabon n'a plus de > pétrole. > > N'ayant jamais préparé l'après pétrole, le Gabon, en 2033, > est le > > pays le plus pauvre du monde. > > > > 6) 2034, Monsieur Mayandji meurt de palu au dispensaire de Nkembo, > parce > > qu'au Gabon, la pauvreté est devenue telle que ses petits > enfants, sans > > emploi, n'ont pas assez d'argent pour lui acheter un > comprimé de > > Fansidar, et les économies qu'il avait faites pour sa retraite en > 2026 ont > > fondu comme beurre au soleil devant la vie chère qui est maintenant > au Gabon > > comme celle du Zimbabwé: 1000% > > > > Autrement dit, Monsieur Mayandji, ceux qui s'engagent et essaient, > même > > dans la désorganisation et l'échec, valent mieux comme citoyens > que ceux > > qui, de loin, critiquent, se disent plus compétents, mais pourtant, > se refusent > > à montrer, par l'engagement concret, comment ils peuvent mieux > réussir que > > les autres. > > > > Et cette leçon, croyez-moi, vaut pour nous tous, moi y compris. > > > > La question, en fin de compte, n'est pas de savoir qui a échoué > ou qui a > > réussi. Ce qu'il faut, c'est étudier comment, par la > combinaisaon des > > efforts et des inspirations, nous pourrions, ENSEMBLE ET/OU > SEPAREMMENT, > > contribuer à l'objectif de consolidation d'une opposition > engagée qui > > soit capable de résister aux prostitutions qui enfantent de ce > renoncement qui > > compromet la réussite. L'image à avoir en tête ici est celle de > soldats > > sur un champ de bataille. Quand ils s'avancent, l'ennemi les > fauche. > > Certains tombent, mais d'autres avancent. A la fin, ce sera à qui > avancera > > avec plus de résolution que la victoire appartiendra. > > > > PLus proche de nous, cette image marche de la façon suivante. En face > de > > Mamboundou, Mba Abessole, Mayandji et Mengara, il y a Bongo avec un > fusil à > > trois balles. Devant les tirs de Bongo, Mba Abessole tombe. Puis > c'est le > > tour de Mamboundou, et enfin Daniel Mengara. Maintenant, Bongo n'a > plus de > > balles et Mayandji reste debout, vivant, devant un Bongo désemparé. > Sous la > > rage des années de brimades subies, Mayandji étrangle Bongo et le > pend à un > > arbre, pour les vautours. Le Gabon est libéré. > > > > Autrement dit, dans tout combat, certains tombent sous les balles ou > sous la > > peur, mais d'autres, surtout ceux qui se font censeurs des autres, > doivent > > être capables de continuer la lutte. Il est impardonnable de renoncer > ou de se > > fatiguer parce qu'on a vu certains tomber, et ensuite se retourner > pour > > critiquer ceux qui sont tombés ou se sont enfuis. Si on a de la > conviction, on > > doit continuer, sinon on ne sert à rien dans la société des hommes. > > > > L'opposition, cher ami, ne peut être vue comme une aventure sans > > lendemain. Le dire de cette manière, c'est voir l'opposition > comme une > > affaire basée sur le court terme de nos courtes vies, et non comme > une > > continuité que chaque génération se doit de pérpétuer, pour > elle-même et > > pour les autres. Autrement dit, chaque citoyen qui se bat ne doit > jamais limiter > > l'idée de l'opposition à ce qu'il peut y gagner de son > vivant, > > mais plutôt la construire sur les principes de participation qui lui > > permettraient de faire sa part de contributions à l'édifice de > > redressement national. > > > > Autrement dit, la valeur d'un vrai citoyen ne se mesure pas à > combien de > > théories il peut émettre. Tant qu'il n'est pas prêt, de par > LUI-MEME, > > à tester ses propres théories et même à les mettre en pratique au > service de > > la nation, il ne vaut rien pour la société. > > > > Et la question que le citoyen modeste posera toujours à ces censeurs > > invétérés que nous sommes, vous et moi, est la suivante: est-ce que > tu peux > > faire mieux, toi qui parle beaucoup, beaucoup, beaucoup? > > > > A cette question, je crois que nous savons déjà la réponse. > > > > > > Daniel Mengara > > > > > > Christian MAYANDJI wrote: > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > > > > > Il n'est pas question pour moi d'appeller à la guerre > civile. Je > > suis tout simplement fatigué de voir une opposition qui si mal > organisée et > > qui, contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres > pays, ne > > semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination > que les > > partisans du pouvoir défendent leurs privilèges. > > > Je pense qu'à l'instar de la majorité des gabonais, je > ne suis > > pas le partisan des aventures sans lendemain. Je pratique la politique > des > > "petits pas", celle qui consiste à apporter des solutions > ciblées > > aux populations au fur et à mesure que les problèmes sont > identifiés et que > > les moyens sont constitués. > > > MANGASS TTC > > > Christian MAYANDJI > > > Démarches-Gestion > > > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > > > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > > > CONVOYAGE EXPLOITATION > > > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > > > EUROPE - AFRIQUE > > > > > > > > > > > > --- En date de : Mer 27.8.08, Jean Bika > a > > écrit : > > > > > > De: Jean Bika > > > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > > Date: Mercredi 27 Août 2008, 2h22 > > > > > > ___________________________________________________________ > > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. > Vos > > messages > > > apparaîtront une fois modérés. > > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, > répondez tout > > simplement > > > aux messages. > > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > > Monsieur Mayandji, vous avez tout dit. Les peuples qui ont > sacrifié > > de leur > > > sang et acheté la liberté avec leur sang comprennent mieux > la valeur > > de la > > > paix. le gabon, comme d'autres pays, devra passer par une > étape > > de violence > > > pour le comprendre. Une seule personne en sera la cause: Omar > Bongo. > > > > > > > > > Christian MAYANDJI a écrit: > > > > > ___________________________________________________________ > > > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon > Nouveau. Vos > > messages > > > apparaîtront une fois modérés. > > > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, > répondez > > tout > > > simplement aux messages. > > > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > > > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > > > > > > > > > M. Mengara a le droit d'affirmer sa différence, > comme tous > > ceux qui > > > aspirent à un changement légitime au Gabon, au TOGO, dans > > d'autres pays, > > > sur d'autres continents. > > > > Cependant, je crois que nous évoluons vers des dérives > qui me > > font > > > craindre des tensions extrêmes. > > > > Je résume la situation : les "opposants" > attaquent les > > > représentant s du pouvoir dans ce qu'il y a de plus bas; > > > > les partisans du "pouvoir" s'entêtent > dans leurs > > délires > > > de candidats à la corruption, pour ceux qui n'y ont pas > encore > > été > > > initiés. > > > > Entre ces extremes, ils y a des hommes et des femmes qui > > construisent > > > patiemment leur vie, avec leur propre moyens, sans rien > demander à > > personne, > > > pas même à l'Etat. > > > > Le seule chose que je me demande, c'est pourquoi > > l'opposition ne > > > se donne pas une bonne fois pour toutes les moyens d'en > découdre > > avec le > > > pouvoir, ainsi que cela s'est produit dans les autres > pays. > > > > Il se peut qu'après le sacrifice du sang, chacun > trouvera la > > voie de > > > la raison et comprendra que la politique commence > lorsqu'on > > découvre > > > comment faire la différence entre l'intérêt général > et les > > intérêts > > > particuliers. la politque se fait lorsqu'on respecte > > l'individu, la > > > personne quelque ses valeurs dans la mesure ou tout le monde > respecte > > la loi > > > républicaine. Elles se poursuit lorsque chacun comprend que > > l'Etat - en > > > tant que représentant de l'intérêt général - > n'est pas la > > > propriété de personne, mais en tant que puissance publique > c'est > > une > > > personne morale avec son fonctionnement propre. > > > > Il est inopérant que chacun puisse projeter ses propres > > asiptations dans > > > l'Etat. l'Etat n'est la vache à lait de > personne. > > C'est tout > > > simplement une organisation dont la fonction est de gérer ce > qui > > constitue le > > > ^patrimoine commun. > > > > Je crois que la plupart des conflits actuels proviennent > que > > chacun - > > > conservateurs et partisans du changement - ne percoive > l'état que > > comme une > > > vache à lait que chacun doit traire. > > > > En tant qu'historien, je sais que le changement est > > inéluctable et > > > surtout en marche... > > > > MANGASS TTC > > > > Christian MAYANDJI > > > > Démarches-Gestion > > > > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > > > > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > > > > CONVOYAGE EXPLOITATION > > > > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > > > > EUROPE - AFRIQUE > > > > > > > > > > > > > > > > --- En date de : Mar 26.8.08, Magloire Olympio > > > a écrit : > > > > > > > > De: Magloire Olympio > > > > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > > > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > > > Date: Mardi 26 Août 2008, 9h01 > > > > > > > > > ___________________________________________________________ > > > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon > Nouveau. > > Vos > > > messages > > > > apparaîtront une fois modérés. > > > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, > > répondez tout > > > simplement > > > > aux messages. > > > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de > page. > > > > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > > > > > Rebondissement dans l’affaire AKA : de nouveaux > éléments > > qui > > > confortent la > > > > thèse de l’assassinat ; le frère cadet du > défunt > > Maurille membre > > > du régime > > > > précipite son enterrement. > > > > > > > > > > > > La tragique disparition du leader du MODENA Joachim > Agbobli > > Atsutsè > > > n’a pas > > > > fini de révéler tous ses secrets. Après les > résultats > > farfelus de > > > > l’autopsie du professeur Napo-Koura et les > conclusions > > tordues du > > > procureur de > > > > la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; > de > > nouveaux > > > éléments > > > > viennent d’apparaître dans le dossier et > confortent > > désormais, la > > > thèse > > > > d’un assassinat déguisé en suicide. Ces > informations, > > nous les > > > devons à > > > > plusieurs amis du politologue (universitaires, > hommes > > politiques, > > > médecins, > > > > journalistes) qui se sont mobilisés pour faire > triompher la > > vérité. > > > > > > > > > > > > > > > > Le corps du défunt porte des traces > d’électrocution > > > > > > > > > > > > > > > > La première information qui ressort de ces > investigations > > est liée > > > à des > > > > lésions observées autour du coup et des parties > génitales > > de la > > > victime. Les > > > > spécialistes en conclurent à une torture par des > objets > > > électriques. Pour ces > > > > spécialistes, il est incroyable que le médecin > légiste ait > > pu > > > conclure en une > > > > mort par suicide en passant sous silence ces > différentes > > lésions que > > > nous > > > > venons de signaler. En réalité, AKA a été > enlevé depuis > > la > > > clinique, > > > > conduit à un endroit secret et torturé à mort > avant que le > > corps ne > > > soit > > > > jeté à la plage 24 h plus tard. C’est > d’ailleurs ce > > scénario > > > qui explique > > > > la disparition des vêtements de la victime de même > que > > l’abandon > > > de son > > > > portefeuille, et ses verres médicaux. La version du > > rendez-vous en > > > plus du > > > > parcours effectué attribué au chauffeur n’est > qu’une > > pure > > > invention sortie > > > > des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA > ne > > s’est jamais > > > rendu à > > > > un quelconque rendez-vous, il ne s’est jamais > arrêté à > > l’Hôtel > > > Palm > > > > Beach et il ne s’est jamais rendu à l’Hôtel > Sarakawa. > > > D’ailleurs le > > > > docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa > serait sous > > > d’énormes > > > > pressions afin qu’il ne s’adresse à aucun > média. A la > > clinique > > > Biasa les > > > > visites aux malades sont désormais réglementées. > > > > > > > > > > > > > > > > Maurille Agbobli dans le mauvais rôle > > > > > > > > > > > > > > > > Il n’est un secret pour personne que la famille > Agbobli est > > > partagée entre > > > > l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont > > actuellement dans le > > > cercle du > > > > pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, > universitaire, > > conseiller > > > > diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite > Maurille > > Edoh Agbobli > > > ancien > > > > ministre, membre du bureau politique du RPT. C’est > donc ce > > dernier > > > qui est > > > > accusé aujourd’hui de dissuader la famille > d’aller plus > > loin et > > > précipite > > > > par la même occasion l’enterrement de son frère. > Alors > > que > > > certains > > > > évoquent encore une contre autopsie avec > l’assistance des > > experts > > > venus de > > > > l’extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées > dans la > > foulée > > > pour les 29 > > > > et 30 août prochain. > > > > > > > > > > > > > > > > Faure tapis dans l’ombre manœuvre et joue au > chrono > > > > > > > > > > > > > > > > La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de > > l’actualité la > > > récurrente > > > > question de l’impunité qui caractérise depuis 40 > ans le > > régime du > > > RPT. > > > > Faure qui espérait noyer cette question de > l’impunité > > dans une > > > mascarade de > > > > réconciliation après les fameuses consultations > nationales > > se > > > retrouve du coup > > > > dans une situation embarrassante. Depuis le palais > de la > > Marina, il > > > tire sur les > > > > ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » > qui n’a > > jamais > > > accordé le > > > > moindre crédit à la presse togolaise invite > subitement par > > une > > > méthode peu > > > > orthodoxe des journalistes des médias publics et > privés à > > une > > > discussion à > > > > battons rompus à la présidence de la République. > Certains > > > journalistes ( > > > > médias d’Etat, radios et presses privées) se > sont rendus > > donc ce > > > jeudi à la > > > > présidence de la République pour en ressortir plus > tard > > avec des > > > billets de > > > > banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par > tête. > > Tout ceci, > > > après une > > > > longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. > D’autres > > > journalistes qui > > > > ont pu déceler là, le piège de la corruption ont > décliné > > > l’invitation > > > > présidentielle. Lorsqu’on situe cette discussion > avec les > > > journalistes qui > > > > ces derniers temps sont très critiques vis à vis > du pouvoir > > de Faure > > > dans le > > > > contexte de la disparition tragique de AKA on > comprend > > aisément la > > > manœuvre du > > > > pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en > prenant > > > habilement soin de > > > > se donner le visage d’un président ouvert et > préoccupé. > > > > > > > > > > > > > > > > Une opposition réduite à de simples communiqués > > > > > > > > > > > > > > > > Après la phase des communiqués de compassion > certains > > responsables > > > politiques > > > > et associations de la société civile ont exhorté > > l’ensemble de > > > > l’opposition à envisager des manifestions de rue > dans le > > but > > > d’exiger la > > > > fin de l’impunité au Togo. Ces organisations ont > été > > confrontées > > > au refus > > > > catégorique d’autres partis de l’opposition qui > de par > > leur > > > popularité > > > > devraient servir de locomotive à cette initiative. > Alors la > > question > > > qui se > > > > pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur > de > > journée des > > > communiqués > > > > sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le > leader du > > MODENA > > > comme celui > > > > du PSP qu’était Tavio Amorin ne dérangeait pas > seulement > > le parti > > > au pouvoir > > > > par son engagement et ses débats mais aussi ses > amis de > > > l’opposition qu’il > > > > croyait naïvement être ses frères. Aucune raison > ne > > justifie > > > aujourd’hui > > > > l’inertie de cette opposition et de cette > société civile > > qui jadis > > > étaient > > > > à l’avant garde de toute violation des droits de > > l’homme. La > > > réalité est > > > > que la société togolaise baigne désormais dans > une > > corruption sans > > > > précédent où des responsables insoupçonnés de > certains > > partis > > > actuels de > > > > l’opposition émargent régulièrement dans le > registre de > > Faure. > > > Faure en > > > > parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de > morts a > > réussi > > > un seul > > > > coup celui, d’avoir mis l’opposition en lambeaux > en > > enrôlant > > > certains dans > > > > son aventure gouvernementale et en renflouant les > comptes en > > banque > > > des autres > > > > qui ne se contentent désormais que des > communiqués. Voilà > > donc le > > > drame qui > > > > se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font > semblant > > d’être > > > encore > > > > opposants mais qui dans la réalité ont changé > depuis leurs > > vestes. > > > AKA > > > > n’est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais > aussi > > d’une > > > société > > > > togolaise en manque de repères, de principes, où > les hommes > > de > > > valeurs qui > > > > devraient servir de guide, de modèle sont > crétinisés par > > un > > > système pervers > > > > et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur > Fiadjoe et > > le > > > chauffeur > > > > devraient déjà prendre la parole pour libérer > leurs > > consciences et > > > situer les > > > > togolais sur les réelles conditions de la mort > mystérieuse > > et > > > tragique de AKA. > > > > Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette > réalité, > > les > > > Gnassingbé et > > > > leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux > jours > > devant eux. > > > > > > > > > > > > > > > > Simon de Fanti, tultogo.com From protected at yahoo.fr Fri Aug 29 11:08:12 2008 From: protected at yahoo.fr (Isidore Mbina) Date: Fri, 29 Aug 2008 11:08:12 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Accusé de reception Message-ID: Bonjour Monsieur Mengara, si j'avais su que vous répondriez comme ci-dessous à Monsieur Mayandji, je me serais dispensé de vous adresser un mot, de surcroît envoyé par erreur au moment où je n'en avais pas encore terminer la correction. Loin de contester votre approche sur l'efficacité d'une forme de lutte politique ou l'autre, selon qu'on est dans une démarche dl'opposition radicale ou non, ce mot vous reprenais sur ce que j'ai cru être une méprise de votre part; méprise accompagnée d'un rejet massif des réflexions de Mr Mayandji au seul fait qu'il n'est pas des vôtres (opposants) dans ce j'ai appelé l'arène politique gabonaise. Aussi j'ai pris quelque liberté en essayant de rendre justice à ce Monsieur dont je connais les engagements et les batailles, par lui livrées et, surtout, de sa quête actuelle des stratégies de lutte qui'il voudrait aussi, efficaces. Pour avoir discuté avec lui, je le sais convaincu que les Gabonais n'ont toujours pas encore éprouvé toutes les méthodes et n'en essayent trop souvent que deux, à chaque fois les mêmes: d'une part l'entrisme et d'autre part, l'opposition radicale. L'un se convertissant tour à tour en l'autre selon les intérêts du moment. La récurrence de ces deux approches dans l'histoire politique gabonaise, leur confère une apparente exclusivité et génére le sentiment du déjà vu et la perception d'une sorte d'imcompétence des gabonais à pouvoir reformuler leur vision du développement, la stratégie de lutte politique et les tactiques appropriées. D'où l'incompétence à réaliser l'alternance. Mais cette responsabilité ne tient pas qu'au personnel de l'opposition politique. Elle incombe à toutes les composantes de la nation (partis politiques du pouvoir et de l'opposition, associations, entreprises, syndicats, militants politiques, simple citoyens, de différentes générations etc...). Certains gabonais pensent qu'il faut essayer autre chose. Mais au paravant, il faut travailler en laboratoire. Pour mettre au point des idées, des modèles, des expériences et des pratiques socioéconomiques nouvelles. Afin de bouger des choses qui ne le sont que rarement, compte tenu de la prééminence excessive accordée à l'action politique. Dans un système composé d'une sphère politicoadministrative qui gère tout dans l'absolu et enserre de ses nombreuses tentacules une sphère socioéconomique pour une part forte et organisée (composées des administrations publiques contrôlée, des entreprises régulièrement installées elles aussi contrôlées, des citoyens qui y travaillent et craignent sans ouverture vers l'action privée et ne permettant pas de ce fait l'indépendance des esprits, du pouvoir d'achat des individus, Etat/Administration Partis Politiques Je crois, en espérant ne pas dénaturer, ni dépasser ses propres convictions, que Monsieur Mayandji fait partie de ces expérmimentateurs là. Nous convenons, néanmoins, qu'un coup de pied dans une fourmilière qui a la peau dure mettrait tout le monde d'accord et permettrait de changer radicalement les choses. Le temps que ça prendra nous inconnu à tous. Ce qui est essentiel pour les lutteurs, c'est qu'ils doivent maintenant veiller à ce que les stratégies de luttes mises en oeuvre séparément, en différents lieux, ne s'annullent pas mutuellement, mais qu'au contraire, elles s'aditionnent. Comme vous revenez, d'une certaine façon, sur l'opinion que vous aviez initialement de Monsieur Mayandji et sur le rôle, par lui assumé, sur le Forum AGORA, alors, sans vous demander d'oublier certain passages qui pourront vous décevoir, par avance, je reconnais la justesse de votre message et la hauteur d'esprit que nous attendons des intellectuels, en accord avec la définition qu'en donne Egdgard Morin et que vous citez. Votre référence à cet intellectuel français va dans le sens du premier message que je vous ai adressé et auquel j'ai ajouter des informations sur l'histoire personnelle de Monsieur Mayandji. Pour ma part, je souhaiterais rétablir une certain équilibre et vous décharger par la même occasion, en rappelant que le rôle de l'intellectuel peut également consister à se positionner clairement sur l'actualité, s'il estime, comme Jean Paul Sartres dénonçant la colonisation, que son existance est consubstantielle de celle de la société qui l'environne et que sa prise de position est nécessaire au débat. Alors bon débat démocratique. Bien fraternellement. Isidore MBINA ----- Message d'origine ---- De : Dr. Daniel Mengara À : bdpalabres at bdpgabon.org Envoyé le : Jeudi, 28 Août 2008, 17h26mn 16s Objet : [BDPalabres] Re: Accusé de reception ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ J'attendrai avec grande impatience votre réflexion, cher Monsieur Mayandji. Je vous sais homme de profondeur et j'avoue toujours apprécier vos prises de position qui, se détournant de la polémique stérile, élèvent toujours la conversation sur ce forum. Les solutions aux problèmes gabonais commencent par le type d'exercice mental que, de par vos arguments, vous ne manquez jamais de susciter. D'où l'expression de mes sincères remerciements pour avoir inspiré la "petite" et modeste pensée que j'ai proposée à nos lecteurs. Il y a sur notre site, une pensée d'Edgar Morin, sociologue et écrivain français, qui se pose la question suivante: "Qu'est-ce qu'un intellectuel?". A cette question, il répond: "C'est quelqu'un qui, en dehors de sa propre compétence, porte sur la place publique des problèmes de fond." Autrement dit, le statut d'intellectuel implique une certaine RESPONSABILITE. Cette responsablité, à son tour, découle non seulement de ce POUVOIR qui lui permet d'influencer la pensée et, parfois même, la destinée publique, mais également de ce DEVOIR d'engagement qui lui est dicté par les défis auxquels est confrontée sa société. Le Gabon, dans le contexte d'une telle dynamique, ne peut perdre. Votre dévoué compatriote. Daniel Mengara Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Au Professeur Daniel MENGARA > Coordonateur du Mouvement BDP > > Cher Professeur, > > Vous avez pris de votre temps pour me faire part de votre point de vue. Je vous en remercie. Vous comprendrez certainement que je vous reponde méthodiquement. Cela implique un décallage de temps. Je vous prie de croire qu'il n'est pas dans mon intention d'abuser de votre patience, ni de compter parmi vos détracteurs. Je vais m'efforcer de vous apporter une reponse structurée. J'espère que - au contraire d'autres leaders d'opinion noyés par leur célébrité médiatique - vous prendrez la peine de l'étudier avec la plus grande attention et d'en tirer les meilleures enseignements pour votre mouvement. > > Cordialement. > MANGASS TTC > Christian MAYANDJI > Démarches-Gestion > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > CONVOYAGE EXPLOITATION > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > EUROPE - AFRIQUE > > > > --- En date de : Jeu 28.8.08, Dr. Daniel Mengara a écrit : > > De: Dr. Daniel Mengara > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > À: bdpalabres at bdpgabon.org > Date: Jeudi 28 Août 2008, 3h19 > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement > aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > Monsieur Mayandji, cher frère: > > Le paradoxe que je constate dans votre argumentaire est exactement celui qui > découle des tares que vous reprochez aux autres. Vous vous dites > "fatigué" de voir une opposition mal organisée, et qui, je vous > cite, "contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, > ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les > partisans du pouvoir défendent leurs privilèges." > > Bien! > > Et vous ajoutez, ensuite, en censeur des méthodes précipitées, que vous > êtes partisan des petits pas ciblés, ceux des solutions "au fur et à > mesure". > > Bien aussi ! > > MAIS, mon frère, en quoi donc cette démarche serait-elle différente de celle > de Mba Abessole qui, lui, préfère faire les choses à "petits pas > ciblés" de l'intérieur du régime, ou de Mamboundou, qui, lui, pense > désormais qu'un raprochement entre lui et Bongo, aussi avare de résultats > que ce rapprochement soit, apportera de petis changements progressifs qui lui > sont plus acceptables que la guerre ou la violence, même si pour cela le peuple > gabonais doit attrendre 100 ans de plus?! > > Il me semble que vous êtes exactement dans la logique de cette opposition que > vous fustigez, non? > > Il y a une seconde contradiction dans votre argument car, si l'on prend > votre critique à la lettre, on voit que si l'opposition dont vous parlez > était mieux organisée et devenait comme celle des autres pays, elle > contredirait immédiatement votre théorie des "petits pas" > puisqu'elle précipiterait TOUT! Ce qui ne serait pas non plus à votre > goût des "petits pas ciblés", il me semble, n'est-ce pas, cher > ami? > > Le problème des censeurs invétérés comme vous et moi, cher frère, est que > nous croyons souvent détenir la vérité absolue, alors que, en réalité, nous > ne brassons que du vide, du vent. > > Par exemple: vous qui vous dites fatigué de voir une opposition inepte, vous > rendez-vous au moins compte que, du haut de votre piédestal de censeur (un peu > comme moi), vous êtes en train de dire que vous savez mieux que cette > opposition ce qu'il faut faire pour résoudre la problématique gabonaise? > > Si tel est le cas, bien! > > Mais, dans ce cas, je me permettrai la remarque suivante: si, donc, comme le > laisse supposer votre message, vous avez la solution parce que mieux et plus > éclairé, on se demande ce que vous attendez pour créer, VOUS-MEME, cette > opposition CAPABLE qui, elle, pourra, à votre convenance (puisque vous en aurez > été l'initiateur éclairé), satisfaire à vos exigences de meilleure > organisation!! Mieux encore, si vous ne pouvez la créer indépendamment, rien > ne vous interdit de vous engager à ses côtés pour lui faire bénéficier de > vos hautes inspirations! Là ou d'autres ont failli, vous réussirez > peut-être! Pourquoi, dans ce cas, priver le pays de votre infinie sagesse, et > surtout du potentiel d'une réussite par VOUS, là où les autres ont > échoué!? > > En fin de compte, frère, je peux affirmer sans méchanceté, mais aussi sans > me tromper, que, comme nous tous, vous êtes bel et bien le produit du > bongoïsme, non pas parce que vous êtes bongoïstes (je ne crois pas que vous > le soyez), mais plutôt parce que vous souffrez des mêmes tares qui nous > polluent tous, nous qui, vitupérant de l'ombre (engagés nulle part) ou de > derrière nos ordinateurs (comme moi), croyons pouvoir faire avancer la cause > gabonaise en critiquant, de loin, ceux qui, eux, ont, au moins, osé > s'aventurer sur la voie de l'opposition ouverte et radicale. > > Dans un de mes récents articles, j'ai souligné le fait que les citoyens > que nous sommes ne devons jamais reprocher à l'opposition ses échecs si > ces échecs s'expliquent par une conjoncture indépendante de sa volonté. > L'échec ou la réussite, en tout combat politique, est une situation qui, > en elle-même, est fonction du moment et de la conjoncture sociopolitique et > socioculturelle du moment. On peut échouer inexplicablement dans un contxete > pourtant très favorable (Mba Abessole, Mamboundou) ou réussir au moment le > plus inattendu (Géorgie, Ukraine, Russie, Indonésie, Pakistan, etc.). Mais ce > n'est pas l'échec qui est, en lui-même, un problème. Ce que nous > devons reprocher à l'opposition, à NOTRE opposition, ce sont les > RENONCEMENTS qui causent l'échec, surtout quand ces renoncements bafouent > les principes les plus élémentaires de la décence humaine et/ou citoyenne. > Autrement dit, qu'elle soit organisée ou désorganisée, rien ne garantit > la réussite de l'opposition. Ce qui importe, par contre, est que cette > opposition reste déterminée dans son intention et sa conviction, génération > par génération, et génération après génération. > > Personnellement, je ne reproche leur échec ni à Mamboundou, ni à Mba > Abessole. Ce que je leur reproche, c'est leur renoncement. Et parce que je > sais que l'échec peut être au rendez-vous de tout opposant de bonne > volonté, même sans renoncement, j'essaie de m'engager dans > l'espoir de non seulement mieux faire, mais aussi de POUVOIR réussir (sans > pour autant croire que je suis celui qui réussira forcément; je ne sais de moi > que ma conviction. L'avenir, lui, appartient à Dieu). Mais ce que je > m'interdis en tant que citoyen responsable, c'est le découragement ou > la fatigue qui me met hors-jeu de l'histoire et de la société. Il n'y > a pas de renoncement pire que celui qui est fait juste parce que d'autres > ont renoncé ou échoué. C'est là une conclusion trop facile qui ne ferait > pas de moi un meilleur citoyen que ceux que je critique. Il est bien de > critiquer. Mais il est encore mieux de critiquer quand on est, soi-même, > engagé dans une tentative de salut national. > > Quand j'ai créé le BDP-Gabon Nouveau, je l'ai fait sur la base du > constat d'échec de Paul Mba Abessole et de Pierre Mamboundou, et ceci dès > décembre 1998. Dès 1998, j'avais déjà vu, dans leurs attitudes, les > germes non pas de l'échec, mais du renoncement. Et je me suis juré, en > m'engageant OUVERTEMENT, d'ESSAYER de mieux faire qu'eux, et > surtout, de ne JAMAIS RENONCER, comme eux, aux idéaux qui furent leurs et qui > sont aujourd'hui miens. Et j'attends de citoyens responsables la même > réaction que moi. En d'autres termes, si aujourd'hui ou dans 10 ans, > mes concitoyens constatent mon échec et croient pouvoir mieux faire que moi, je > ne trouverai satisfaction que dans un acte d'engagement de leur part qui > puisse reprendre le combat là où j'ai échoué, et le mener à finalité, > avec ou sans moi. > > Autrement dit, cher frère, en quoi un citoyen peut-il croire être plus utile > à la société que le bébé qui vient de naître et qui suce le lait maternel > en toute insouciance s'il ne ponctue pas sa critique par un acte > d'engagement concret? En quoi peut-il être meilleur que le chien errant > qui, n'ayant d'autre objectif dans la vie que la recherche de l'os > dans les poubelles, ne se soucie guère de ce qu'il fera le jour > d'après? En quoi peut-il être différent d'Omar Bongo qui, à la tête > du Gabon depuis 41 ans, ne se soucie guère des souffrances de son peuple? Du > moment que, lui, mange bien et fait son petit truc dans son coin, que lui > importe, à Bongo ou à ce citoyen individualiste, que le reste des Gabonais > tire le dibale par la queue? > > Le principe d'une opposition, cher frère, n'est pas de détenir la > science infuse ou la solution toute faite. Le principe d'une opposition > n'est pas non plus d'être capable de tout accomplir de son vivant ou de > tout réussir. Le principe d'une véritable opposition réside dans sa > capacité non seulement à assumer le rôle de défense des intérêts citoyens > qui est le sien, mais également d'en mobiliser et d'en étendre la > conscience aux générations futures. Faire de l'opposition découle > d'une culture politique qui, procédant par tâtonnements et par > hypothèses, finit un jour par le triomphe des forces du changement dès lors > qu'il n'y aurait aucune cassure générationnelle dans la continuité > des engagements. > > Le but n'est donc pas que Mamboundou ou Mengara réussisse de son vivant. > Le but est, pour tous ceux qui s'engagent ou épaulent ceux qui > s'engagent, de toujours tenter le changement en fonction de leur > inspiration, et s'ils échouent malgré leur bonne volonté, il leur est > important de pouvoir compter sur ceux qui, dans les générations présentes ou > futures, pourront prendre la relève et continuer le combat pour la dignité. > Or, pour que les tâtonnements des uns et des autres arrivent à une solution > avérée (comprenez, victoire), il faut bien que des hommes comme vous, Monsieur > Mayandji, aient le courage de contribuer OUVERTEMENT, et AU SEIN DE CETTE > OPPOSITION DEFICIENTE ou en dehors d'elle par une OPPOSITION NOUVELLE, leur > éclairage (tout en gardant à l'esprit le simple fait, modeste, que cet > éclairage ne sera pas forcément la panacée qui mènerait à la réussite). > Tout acte d'opposition est alors vu comme une tentative stratégique qui > comporte en elle un espoir de réussite et non une certitude. Faire de > l'opposition n'est ni un travail de nanochirurgie ni un travail de > nanoscience. Faire de l'opposition, c'est un peu comme un opérateur de > mitrailleuse qui tire une centaine de balles en direction d'une cible, avec > l'espoir qu'une des balles fera mouche. > > Bref, l'opposition pour moi se résume ainsi: devant l'incertitude, les > hésitations et les tâtonnements, tout ce qui peut être tenté doit être > tenté, génération par génération, et génération après génération. > Quand Mengara ou Mamboundou tombe, victime de la corruption ou de la fatiguue, > il doit toujours se trouver un Mayandji pour, soit prendre la relève pour > continuer le combat, soit donner des béquilles à ceux qui, ayant tenté toute > leur vie, n'arrivent plus à tenir debout tous seuls. > > Il ne sert donc à RIEN pour un cotoyen de brayer, DU DEHORS, qu'il est > fatigué par l'inorganisation de l'opposition quand, dans le même > temps, il se refuse à y entrer, collectivement ou indépendamment, pour aider > à son REDRESSEMENT. > > En d'autres termes, l'inorganisation de l'opposition est autant de > VOTRE faute, frère Mayandji, que de la mienne et de celle de tous ceux qui > participent de cette opposition inepte que vous critiquez. Imaginez, cher > frère, un seul moment le cas de figure suivant: > > 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le > sait). > > 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. > > 3) Monsieur Mayandji, au lieu de se déclarer fatigué, entre dans > l'opposition ou crée son opposition, pour redresser l'opposition. > > 4) L'opposition, bénéficiant enfin de la science de Monsieur Mayandji, > arrive enfin à s'organiser. > > 5) 2009, l'opposition chasse Bongo du pouvoir et commence la reconstruction > du pays, grâce à la contribution spectaculaire de Monsieur Mayandji. > > 6) Le Gabon est enfin sauvé et Monsieur Mayandji est fait héros national avec > un mausolée lui reconnaissant une contribution historique de patriote. > > > Bien! > > IMAGINONS maintenant l'autre cas de figure, c'est-à-dire, > l'affirmation ou la perennisation de la sitaution de passivité et > d'immobilisme (donc de renoncement) dans laquelle vous vous trouvez, cher > frère, et ceci malgré vos critiques incantatoires: > > > 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le > sait). > > 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. > > 3) MAIS Monsieur Mayandji, fatigué par le désastre d'une opposition > désorganisée, reste dans l'ombre, refuse de s'engager et garde sa > solution pour lui-même. > > 4) L'opposition, ne bénéficiant pas de la science de MOnsieur Mayandji, > sombre encore plus dans la désorganisation et s'étiole. > > 5) 2012, Bongo est réelu. 2019, Ali Bongo est élu. 2026 Ali Bongo est > réélu, jusqu'à perpète. 2030, Le Gabon n'a plus de pétrole. > N'ayant jamais préparé l'après pétrole, le Gabon, en 2033, est le > pays le plus pauvre du monde. > > 6) 2034, Monsieur Mayandji meurt de palu au dispensaire de Nkembo, parce > qu'au Gabon, la pauvreté est devenue telle que ses petits enfants, sans > emploi, n'ont pas assez d'argent pour lui acheter un comprimé de > Fansidar, et les économies qu'il avait faites pour sa retraite en 2026 ont > fondu comme beurre au soleil devant la vie chère qui est maintenant au Gabon > comme celle du Zimbabwé: 1000% > > Autrement dit, Monsieur Mayandji, ceux qui s'engagent et essaient, même > dans la désorganisation et l'échec, valent mieux comme citoyens que ceux > qui, de loin, critiquent, se disent plus compétents, mais pourtant, se refusent > à montrer, par l'engagement concret, comment ils peuvent mieux réussir que > les autres. > > Et cette leçon, croyez-moi, vaut pour nous tous, moi y compris. > > La question, en fin de compte, n'est pas de savoir qui a échoué ou qui a > réussi. Ce qu'il faut, c'est étudier comment, par la combinaisaon des > efforts et des inspirations, nous pourrions, ENSEMBLE ET/OU SEPAREMMENT, > contribuer à l'objectif de consolidation d'une opposition engagée qui > soit capable de résister aux prostitutions qui enfantent de ce renoncement qui > compromet la réussite. L'image à avoir en tête ici est celle de soldats > sur un champ de bataille. Quand ils s'avancent, l'ennemi les fauche. > Certains tombent, mais d'autres avancent. A la fin, ce sera à qui avancera > avec plus de résolution que la victoire appartiendra. > > PLus proche de nous, cette image marche de la façon suivante. En face de > Mamboundou, Mba Abessole, Mayandji et Mengara, il y a Bongo avec un fusil à > trois balles. Devant les tirs de Bongo, Mba Abessole tombe. Puis c'est le > tour de Mamboundou, et enfin Daniel Mengara. Maintenant, Bongo n'a plus de > balles et Mayandji reste debout, vivant, devant un Bongo désemparé. Sous la > rage des années de brimades subies, Mayandji étrangle Bongo et le pend à un > arbre, pour les vautours. Le Gabon est libéré. > > Autrement dit, dans tout combat, certains tombent sous les balles ou sous la > peur, mais d'autres, surtout ceux qui se font censeurs des autres, doivent > être capables de continuer la lutte. Il est impardonnable de renoncer ou de se > fatiguer parce qu'on a vu certains tomber, et ensuite se retourner pour > critiquer ceux qui sont tombés ou se sont enfuis. Si on a de la conviction, on > doit continuer, sinon on ne sert à rien dans la société des hommes. > > L'opposition, cher ami, ne peut être vue comme une aventure sans > lendemain. Le dire de cette manière, c'est voir l'opposition comme une > affaire basée sur le court terme de nos courtes vies, et non comme une > continuité que chaque génération se doit de pérpétuer, pour elle-même et > pour les autres. Autrement dit, chaque citoyen qui se bat ne doit jamais limiter > l'idée de l'opposition à ce qu'il peut y gagner de son vivant, > mais plutôt la construire sur les principes de participation qui lui > permettraient de faire sa part de contributions à l'édifice de > redressement national. > > Autrement dit, la valeur d'un vrai citoyen ne se mesure pas à combien de > théories il peut émettre. Tant qu'il n'est pas prêt, de par LUI-MEME, > à tester ses propres théories et même à les mettre en pratique au service de > la nation, il ne vaut rien pour la société. > > Et la question que le citoyen modeste posera toujours à ces censeurs > invétérés que nous sommes, vous et moi, est la suivante: est-ce que tu peux > faire mieux, toi qui parle beaucoup, beaucoup, beaucoup? > > A cette question, je crois que nous savons déjà la réponse. > > > Daniel Mengara > > > Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ > > > > > > > > Il n'est pas question pour moi d'appeller à la guerre civile. Je > suis tout simplement fatigué de voir une opposition qui si mal organisée et > qui, contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne > semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les > partisans du pouvoir défendent leurs privilèges. > > Je pense qu'à l'instar de la majorité des gabonais, je ne suis > pas le partisan des aventures sans lendemain. Je pratique la politique des > "petits pas", celle qui consiste à apporter des solutions ciblées > aux populations au fur et à mesure que les problèmes sont identifiés et que > les moyens sont constitués. > > MANGASS TTC > > Christian MAYANDJI > > Démarches-Gestion > > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > > CONVOYAGE EXPLOITATION > > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > > EUROPE - AFRIQUE > > > > > > > > --- En date de : Mer 27.8.08, Jean Bika a > écrit : > > > > De: Jean Bika > > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > Date: Mercredi 27 Août 2008, 2h22 > > > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos > messages > > apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout > simplement > > aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > ___________________________________________________________ > > > > > > Monsieur Mayandji, vous avez tout dit. Les peuples qui ont sacrifié > de leur > > sang et acheté la liberté avec leur sang comprennent mieux la valeur > de la > > paix. le gabon, comme d'autres pays, devra passer par une étape > de violence > > pour le comprendre. Une seule personne en sera la cause: Omar Bongo. > > > > > > Christian MAYANDJI a écrit: > > > ___________________________________________________________ > > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos > messages > > apparaîtront une fois modérés. > > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez > tout > > simplement aux messages. > > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > > > > > M. Mengara a le droit d'affirmer sa différence, comme tous > ceux qui > > aspirent à un changement légitime au Gabon, au TOGO, dans > d'autres pays, > > sur d'autres continents. > > > Cependant, je crois que nous évoluons vers des dérives qui me > font > > craindre des tensions extrêmes. > > > Je résume la situation : les "opposants" attaquent les > > représentant s du pouvoir dans ce qu'il y a de plus bas; > > > les partisans du "pouvoir" s'entêtent dans leurs > délires > > de candidats à la corruption, pour ceux qui n'y ont pas encore > été > > initiés. > > > Entre ces extremes, ils y a des hommes et des femmes qui > construisent > > patiemment leur vie, avec leur propre moyens, sans rien demander à > personne, > > pas même à l'Etat. > > > Le seule chose que je me demande, c'est pourquoi > l'opposition ne > > se donne pas une bonne fois pour toutes les moyens d'en découdre > avec le > > pouvoir, ainsi que cela s'est produit dans les autres pays. > > > Il se peut qu'après le sacrifice du sang, chacun trouvera la > voie de > > la raison et comprendra que la politique commence lorsqu'on > découvre > > comment faire la différence entre l'intérêt général et les > intérêts > > particuliers. la politque se fait lorsqu'on respecte > l'individu, la > > personne quelque ses valeurs dans la mesure ou tout le monde respecte > la loi > > républicaine. Elles se poursuit lorsque chacun comprend que > l'Etat - en > > tant que représentant de l'intérêt général - n'est pas la > > propriété de personne, mais en tant que puissance publique c'est > une > > personne morale avec son fonctionnement propre. > > > Il est inopérant que chacun puisse projeter ses propres > asiptations dans > > l'Etat. l'Etat n'est la vache à lait de personne. > C'est tout > > simplement une organisation dont la fonction est de gérer ce qui > constitue le > > ^patrimoine commun. > > > Je crois que la plupart des conflits actuels proviennent que > chacun - > > conservateurs et partisans du changement - ne percoive l'état que > comme une > > vache à lait que chacun doit traire. > > > En tant qu'historien, je sais que le changement est > inéluctable et > > surtout en marche... > > > MANGASS TTC > > > Christian MAYANDJI > > > Démarches-Gestion > > > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > > > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > > > CONVOYAGE EXPLOITATION > > > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > > > EUROPE - AFRIQUE > > > > > > > > > > > > --- En date de : Mar 26.8.08, Magloire Olympio > > a écrit : > > > > > > De: Magloire Olympio > > > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat > > > À: bdpalabres at bdpgabon.org > > > Date: Mardi 26 Août 2008, 9h01 > > > > > > ___________________________________________________________ > > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. > Vos > > messages > > > apparaîtront une fois modérés. > > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, > répondez tout > > simplement > > > aux messages. > > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > > Rebondissement dans l’affaire AKA : de nouveaux éléments > qui > > confortent la > > > thèse de l’assassinat ; le frère cadet du défunt > Maurille membre > > du régime > > > précipite son enterrement. > > > > > > > > > La tragique disparition du leader du MODENA Joachim Agbobli > Atsutsè > > n’a pas > > > fini de révéler tous ses secrets. Après les résultats > farfelus de > > > l’autopsie du professeur Napo-Koura et les conclusions > tordues du > > procureur de > > > la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; de > nouveaux > > éléments > > > viennent d’apparaître dans le dossier et confortent > désormais, la > > thèse > > > d’un assassinat déguisé en suicide. Ces informations, > nous les > > devons à > > > plusieurs amis du politologue (universitaires, hommes > politiques, > > médecins, > > > journalistes) qui se sont mobilisés pour faire triompher la > vérité. > > > > > > > > > > > > Le corps du défunt porte des traces d’électrocution > > > > > > > > > > > > La première information qui ressort de ces investigations > est liée > > à des > > > lésions observées autour du coup et des parties génitales > de la > > victime. Les > > > spécialistes en conclurent à une torture par des objets > > électriques. Pour ces > > > spécialistes, il est incroyable que le médecin légiste ait > pu > > conclure en une > > > mort par suicide en passant sous silence ces différentes > lésions que > > nous > > > venons de signaler. En réalité, AKA a été enlevé depuis > la > > clinique, > > > conduit à un endroit secret et torturé à mort avant que le > corps ne > > soit > > > jeté à la plage 24 h plus tard. C’est d’ailleurs ce > scénario > > qui explique > > > la disparition des vêtements de la victime de même que > l’abandon > > de son > > > portefeuille, et ses verres médicaux. La version du > rendez-vous en > > plus du > > > parcours effectué attribué au chauffeur n’est qu’une > pure > > invention sortie > > > des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA ne > s’est jamais > > rendu à > > > un quelconque rendez-vous, il ne s’est jamais arrêté à > l’Hôtel > > Palm > > > Beach et il ne s’est jamais rendu à l’Hôtel Sarakawa. > > D’ailleurs le > > > docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa serait sous > > d’énormes > > > pressions afin qu’il ne s’adresse à aucun média. A la > clinique > > Biasa les > > > visites aux malades sont désormais réglementées. > > > > > > > > > > > > Maurille Agbobli dans le mauvais rôle > > > > > > > > > > > > Il n’est un secret pour personne que la famille Agbobli est > > partagée entre > > > l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont > actuellement dans le > > cercle du > > > pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, universitaire, > conseiller > > > diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite Maurille > Edoh Agbobli > > ancien > > > ministre, membre du bureau politique du RPT. C’est donc ce > dernier > > qui est > > > accusé aujourd’hui de dissuader la famille d’aller plus > loin et > > précipite > > > par la même occasion l’enterrement de son frère. Alors > que > > certains > > > évoquent encore une contre autopsie avec l’assistance des > experts > > venus de > > > l’extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées dans la > foulée > > pour les 29 > > > et 30 août prochain. > > > > > > > > > > > > Faure tapis dans l’ombre manœuvre et joue au chrono > > > > > > > > > > > > La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de > l’actualité la > > récurrente > > > question de l’impunité qui caractérise depuis 40 ans le > régime du > > RPT. > > > Faure qui espérait noyer cette question de l’impunité > dans une > > mascarade de > > > réconciliation après les fameuses consultations nationales > se > > retrouve du coup > > > dans une situation embarrassante. Depuis le palais de la > Marina, il > > tire sur les > > > ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » qui n’a > jamais > > accordé le > > > moindre crédit à la presse togolaise invite subitement par > une > > méthode peu > > > orthodoxe des journalistes des médias publics et privés à > une > > discussion à > > > battons rompus à la présidence de la République. Certains > > journalistes ( > > > médias d’Etat, radios et presses privées) se sont rendus > donc ce > > jeudi à la > > > présidence de la République pour en ressortir plus tard > avec des > > billets de > > > banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par tête. > Tout ceci, > > après une > > > longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. D’autres > > journalistes qui > > > ont pu déceler là, le piège de la corruption ont décliné > > l’invitation > > > présidentielle. Lorsqu’on situe cette discussion avec les > > journalistes qui > > > ces derniers temps sont très critiques vis à vis du pouvoir > de Faure > > dans le > > > contexte de la disparition tragique de AKA on comprend > aisément la > > manœuvre du > > > pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en prenant > > habilement soin de > > > se donner le visage d’un président ouvert et préoccupé. > > > > > > > > > > > > Une opposition réduite à de simples communiqués > > > > > > > > > > > > Après la phase des communiqués de compassion certains > responsables > > politiques > > > et associations de la société civile ont exhorté > l’ensemble de > > > l’opposition à envisager des manifestions de rue dans le > but > > d’exiger la > > > fin de l’impunité au Togo. Ces organisations ont été > confrontées > > au refus > > > catégorique d’autres partis de l’opposition qui de par > leur > > popularité > > > devraient servir de locomotive à cette initiative. Alors la > question > > qui se > > > pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur de > journée des > > communiqués > > > sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le leader du > MODENA > > comme celui > > > du PSP qu’était Tavio Amorin ne dérangeait pas seulement > le parti > > au pouvoir > > > par son engagement et ses débats mais aussi ses amis de > > l’opposition qu’il > > > croyait naïvement être ses frères. Aucune raison ne > justifie > > aujourd’hui > > > l’inertie de cette opposition et de cette société civile > qui jadis > > étaient > > > à l’avant garde de toute violation des droits de > l’homme. La > > réalité est > > > que la société togolaise baigne désormais dans une > corruption sans > > > précédent où des responsables insoupçonnés de certains > partis > > actuels de > > > l’opposition émargent régulièrement dans le registre de > Faure. > > Faure en > > > parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de morts a > réussi > > un seul > > > coup celui, d’avoir mis l’opposition en lambeaux en > enrôlant > > certains dans > > > son aventure gouvernementale et en renflouant les comptes en > banque > > des autres > > > qui ne se contentent désormais que des communiqués. Voilà > donc le > > drame qui > > > se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font semblant > d’être > > encore > > > opposants mais qui dans la réalité ont changé depuis leurs > vestes. > > AKA > > > n’est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais aussi > d’une > > société > > > togolaise en manque de repères, de principes, où les hommes > de > > valeurs qui > > > devraient servir de guide, de modèle sont crétinisés par > un > > système pervers > > > et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur Fiadjoe et > le > > chauffeur > > > devraient déjà prendre la parole pour libérer leurs > consciences et > > situer les > > > togolais sur les réelles conditions de la mort mystérieuse > et > > tragique de AKA. > > > Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette réalité, > les > > Gnassingbé et > > > leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux jours > devant eux. > > > > > > > > > > > > Simon de Fanti, tultogo.com From protected at bdpgabon.org Fri Aug 29 13:39:37 2008 From: protected at bdpgabon.org (Dr. Daniel Mengara) Date: Fri, 29 Aug 2008 13:39:37 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Accusé de reception Message-ID: Cher ami Mbina, Tout ce que vous dites dans votre message ci-dessous est juste. La seule chose qui m'interpelle, et qui me pousse à exprimer quelque peu des réserves sur ce seul point, est la suivante. Quand vous dites: "...les Gabonais n'ont toujours pas encore éprouvé toutes les méthodes et n'en essayent trop souvent que deux, à chaque fois les mêmes: d'une part l'entrisme et d'autre part, l'opposition radicale. L'un se convertissant tour à tour en l'autre selon les intérêts du moment." ... je puis, affirmer, sans risque de me tromper, que cette analyse est imcomplète. Elle est incomplète parce que vous avez oublié, comme les Gabonais le font très souvent, de définir ce que vous entendez par "opposition radicale". Je me permettrai donc de vous contredire ici en disant que, de mon point de vue, l'opposition radicale n'a jamais été tentée au Gabon et aucune des méthodes qu'une telle opposition implique n'a jamais été tentée. Ces méthodes, qui vont pourtant du plus simple au plus compliqué, je ne les vois nulle par appliquées, ni affirmées, dans l'histoire politique du Gabon sous Omar Bongo. Il y a des années qu'Omar Bongo ne serait plus là si notre opposition n'avait utilisé que 50% des capacités idéologiques d'une opposition de type radical. Je reformulerais donc plutôt votre phrase en disant que "les Gabonais n'ont toujours pas encore éprouvé toutes les méthodes et n'en essayent trop souvent que deux, à chaque fois les mêmes: d'une part l'entrisme et d'autre part, l'opposition FRAUDULEUSEMENT radicale (qui se mue presque systématiquement, une fois bien connue, en opposition conviale ou appaisée). L'un se convertissant tour à tour en l'autre selon les intérêts PERSONNELS ET PARTICULIERS du moment." Vous me permettrez donc, une fois cet ajustement opéré, de vous dire ce que, moi, j'entends par "opposition radicale", du moins dans le conteste du BDP-Gabon Nouveau, pour que les uns et les autres comprennent bien dans quel type de radicalisme le BDP-Gabon Nouveau se situe. - L'opposition radicale, ce n'est pas, par exemple, le simple fait de refuser de rencontrer Omar Bongo; - L'opposition radicale, ce n'est pas le simple fait de se lever un beau matin et de dire: "je suis de l'opposition radicale"; - L'opposition radicale, ce n'est pas le simple fait de refuser d'entrer au gouvernement ou de refuser le dialogue avec les forces du mal; - L'opposition radicale, ce n'est pas le simple fait de dire, "Bongo Doit Partir, par tous les moyens possibles" et donc, de soulever des armées pour livrer une guerre contre Omar Bongo. Non, cher ami, l'opposition radicale, même quand elle contient les points cités plus haut, n'est pas forcément une opposition radicale si un certain nombre d'autres conditions, plus importantes celles-là, ne sont pas remplies. Cette opposition dite radicale, cher ami, se trouve ailleurs. Elle se trouve dans les principes d'opposition (comprenez d'idéologie) qui, en mettant l'intérêt du Gabon en avant, se refuse aux COMPROMISSIONS qui étiolent et annihilent cet intérêt national, et donc, se refuse aux RENONCEMENTS qui tuent l'espoir et la dignité des peuples. Laissez-moi donc vous surprendre: au-delà d'Omar Bongo, notre combat est, avant tout, contre ce que nous appelons, le bongoïsme, c'est-à-dire cette attitude anti-Gabon construite 41 ans durant par Omar Bongo, attitude qui mène depuis 41 ans à l'intronisation de l'animalité et de toutes ces choses que nous déplorons tous parce que nous les savons mauvaises pour le pays, donc mauvaises à la fois pour l'intérêt général et pour l'intérêt national. A ce titre, je voudrais, encore une fois, vous surprendre: le BDP-Gabon Nouveau, par exemple, pourait-il travailler avec Bongo si Bongo s'asceptisait de son animalité (donc de son propre bongoïsme) pour dire, comme nous le voulons tous, "Gabon d'abord"? Croyez-moi que oui car, dans l'intérêt du Gabon, je déposerais les "armes" tout de suite car il n'y aurait plus de raison de combattre Bongo dès lors que Bongo accomplirait tout ce que nous voulons tous qu'il accomplisse pour le Gabon. Gérer un pays n'est pas fonction de qui est là. Ce qui importe c'est que celui qui est là, que ce soit Bongo ou quelqu'un d'autre, fasse le travail selon une dynamique qui place l'intérêt de la nation au devant de l'intérêt personnel, familial, provincial, ethnique. Par contre, ce que le BDP-Gabon Nouveau ne ferait jamais, c'est cette chose qui, selon nos traditions politiques, veut que, parce que Mengara a rencontré Bongo pendant une heure, et récolté de Bongo les mêmes vieilles promesses vides vieilles de 41 ans, Mengara oublie comme par enchantement les 41 années d'offense contre le peuple gabonais, et se mette à affirmer, contre toute attente, que l'entrevue que le mouvement a eue avec Bongo nous a montré que Bongo était un "honne sincère" et que "nous regrettions nos erreurs passées que le guru du net nommé Mengara nous avait forcé à commettre". La sincérité ne se trouvant jamais dans les "mots" que l'on prononce, mais dans les actes, je me vois mal oublier 41 ans d'exactions bongoïstes sur la base du simple fait d'avoir entendu des "mots sincères" de la bouche de Bongo. Une heure de "sincérité" creuse n'efface la blessure quadragénaire du Gabon que chez les imbéciles et les niais. Ce que le BDP-Gabon Nouveau ne ferait pas, non plus, c'est cette chose qui veut que, après avoir rencontré Bongo pendant une heure, le mouvement change tout d'un coup d'appréciation sur l'inpetie et l'incompétence d'Omar Bongo, et se mette à dire que "Bongo nous a donné de bons conseils, comme un père". Avant qu'un père ne puisse donner de bons conseils de père à ses enfants, il faut qu'il ait déjà, au préalable, fait montre du type de sagesse qui génère, chez ses enfants et chez ceux qui le regardent, le respect. Ce que le BDP-Gabon Nouveau, ne ferait pas non plus, c'est, par exemple, condamner les journalistes de France 2 qui aident les Gabonais à voir clair dans les crimes et les réseaux de corruption bongoïstes, et appeler "cabale contre Bongo" la condamnation des crimes qui animalisent notre pays. Nous ne demanderons jamais aux journalistes de laisser les Gabonais laver tranquillement le linge sale de Bongo dans notre famille Gabon alors que le patrimoine du Gabon se trouve exilé dans les comptes bancaires et les biens immobiliers de Bongo en France, en Suisse et dans les paradis pour criminels qui permettent aux dictatuers africains d'y exiler illégalement les biens de leurs pays. Ce que le BDP-Gabon Nouveau ne ferait pas, c'est appeler le Gabon une démocratie et saluer "les brillantes réellections" frauduleuses d'Omar Bongo, alors même que tout le monde sait que ces élections sont tout, sauf brillantes. Elles sont criminelles et constituent le bafouement en bonne et due forme de la dignité humaine. Ce que le BDP-Gabon Nouveau ne fera jamais, c'est appeler Omar Bongo "président du Gabon" tant qu'Omar Bongo n'aura fait, dans un contexte d'élections transparentes, la démonstration de sa légitimité. J'ai beau scruter l'histoire du Gabon, je ne trouve nulle part d'élection qui puisse affirmer cette légitimité. Du coup, sur la base même de notre constitution bafouée, le BDP-Gabon Nouveau s'est donné pour principe de ne jamais reconnaître la légitimité d'Omar Bongo, préférant les termes d'imposture et de présidence autoproclamée. Ce que le BDP-Gabon Nouveau ne ferait jamais, enfin, c'est céder à ce bizarre sens de la "responsabilité" qui veut que, pour qu'un homme politique ou un mouvement politique puisse prouver qu'il est responsable, il ne cède pas à la "facilité" de l'insulte, l'insulte étant ainsi comprise comme cette autocensure politique qui veut qu'on ne dise pas de Bongo qu'il est criminel quand bien même ses actes, qui sont de nature criminelle, l'auraient depuis belle lurette jeté en prison si le Gabon avait été un état de droit. Je pourrai allonger cette liste ad infinitum. Par ces quelques vitupérations, cher frère, ce que j'essaie de vous démontrer est qu'une opposition radicale ne se définit ni comme une opposition extrémiste, ni comme une opposition de convenance lancée uniquement pour le positionnement qui lui permettrait par la suite, par une acrobatie spectaculaire, de se "rapprocher du président de la république", que pourtant quelques jours auparavant, elle fustigeait de tous les noms d'insecte possibles. Une opposition radicale, du moins telle que nous l'entendons dans le cadre de notre idéologie au BDP-Gabon Nouveau, est une opposition de PRINCIPES. Ces principes sont ceux qui nous interdisent tout rapprochement avec Bongo et les forces du mal qui l'entourent TANT QUE n'est pas faite la démonstration, par l'ACTE, de leur engagement irréversible dans le procesus de redressement national qui conduirait à l'élevation du Gabon. Une opposition radicale se doit donc de se distinguer des autres formes d'opposition par deux principes fondamentaux: le premier est le sens de l'intérêt national et général, le second est la clarté d'une idéologie qui s'articule autour de la promotion et de la promotion de cet intérêt national. A partir de ce moment, tant que les principes ainsi clairement élucidés ne sont pas avérés et concrétisés dans la pratique politique, les compromissions et les rapprochements avec le pouvoir lui sont interdits. Ceci veut dire, ainsi, qu'il n'y a pas de "rapprochement" possible entre le BDP-Gabon Nouveau et le régime Bongo TANT QUE ne seront affirmés, dans les actes, les principes qui vont dans le sens de la promotion SANS CONDITION, de l'intérêt national. Et pour cela, il faut plus que les "mots" et les "sincérités" exprimés le temps d'une heure d'entrevue par le "père" du bord de mer. La question à se poser est alors la suivante: quand l'opposition "radicale" d'aujourd'hui, contre toute attente, se rapproche du régime Bongo, peut-elle nous citer ce qu'elle a obtenu de Bongo qui soit de nature à promouvoir, par l'acte concret, l'intérêt national? Est-ce le fait de se retrouver avec 7 députés noyés dans l'océan bongoïste à l'Assemblée nationale et quelques moutons broutant l'herbe bongoïste dans les municipalités qui doit nous conforter dans la croyance que le Gabon est une démocratie, ou devons-nous être plus exigeants envers nous-mêmes pour demander toujours un peu plus que les miettes que le régime Bongo nous jette comme à des chiens, et avec lesquelles il arrive à toujours calmer les ardeurs des loups qui sont à l'affût des os jetés à leurs pieds? Une fois les loups repus, que reste-t-il au peuple? Pendant que les loups mangent, le peuple tire le diable par la queue. Nous sommes alors dans le contexte d'une opposition alimentaire qui, une fois avec un os dans le muffle, s'en contente. On se demande alors si cette opposition a jamais eu, dans ses motivations, des principes d'opposition basés sur la recherche de l'intérêt général? Or, Bongo sait que pour calmer TOUTE son opposition, il lui suffit de donner quelques 7 députés par ci (pour voir extasié le fameux CHEF de l'opposition qui se met aussitôt à bégayer) et quelques conseillers municipaux par là (pour enlever le virus de la revendication à tous ceux-là qui, devenus maires ou conseillers, y réflichiront à deux fois avant que de se risquer à perdre leur salaire de maire ou de conseiller municipal par des revendications démocratiques absurdes). Silence, on mange! Et c'est comme cela que, sujette à corruption à tous les niveaux et dépourvue d'idéologie, cette opposition "façon façon" comme dit Mba Abessole a fini là où elle est aujourd'hui: c'est-à-dire exsangue, inepte et, donc, inexistante. Les principes qui mettent le Gabon en avant sont pourtant clairs: - Ils commencent par l'exigence inébranlable d'une réforme immédiate, et avant toute nouvelle élection au Gabon, des institutions dans un sens qui rétablirait ces institutions dans leurs prérogatives constitutionnelles et les protègeraient des risques de phagocitation par un dictateur sans âme humaine. C'est par une telle réforme que naîtront les principes d'état de droit qui garantiront la transparence des élections, puniront la corruption et les détournements, encouragera la compétence et le sens du service désintéressé pour le bien du pays, et j'en passe. - Ils continuent ensuite par un engagement ferme des citoyens au service du développement du pays afin de ramener, dans la vie de nos concitoyens, non seulement la prospérité et le développement tant attendus, mais aussi la dignité des peuples qui font notre Gabon. Bref, au-delà des intérêts partisans, le seul intérêt qui soit objectif, et donc susceptible d'accorder les Gabonais, toutes tendances confondues, est celui qui passe par l'intrônisation des valeurs qui promeuvent les points soulignés lplus haut. Si nous ne pouvons pas nous entre sur qui commande qui ou qui fait quoi dans quel parti, nous pouvons au moins nous entre sur l'objectif de l'élevation du Gabon pour le bien de tous. La question, encore une fois, est la suivante: qu'est-ce qui a changé dans les actes de Bongo depuis son arrivée au pouvoir en 1967 qui justifierait, aujourd'hui, un rapprochement entre l'opposition et le pouvoir? A mon avis, RIEN. Au contraire, malgré le hiatus de 1990, la dictature bongoïste se porte plutôt bien et s'implante un peu plus chaque jour, malgré le fallacieux paravent de multipartisme dans lequel le régime se drape depuis la conférence nationale de 1990. Et la question se pose encore: une opposition dite radicale peut-elle, par exemple, commettre le crime d'entrer dans un gouvernement d'union nationale alors même que le contexte et les tares qu'elle combat (élections truquées, constitution galvaudée, institutions corrompues et exsangues, etc.) restent les mêmes? Pour notre part, au BDP-Gabon Nouveau, nous disons NON. Un gouvernement d'union nationale n'aurait de sens au Gabon que si, AU PREALABLE, la réforme est faite d'une manière qui soit conforme aux idéaix de démocratie, de nouvelles élections indépendamment organisées par un tiers (L'ONU) se tenaient, et de là sortait le premier gouvernement légitime d'un Gabon démocratisé. Si, dans ce contexte asceptisé, des rapprochements se sont, personne ne s'y opposerait. On ne se rapporche pas AVANT que les idéologies ne se soient accordées, on se rapproche APRES. Et ce n'est qu'après qu'on peut voir des alliances, jadis contre-nature, se faire sur le socle d'un Gabon nouveau, et dans ce cas, il n'importerait plus que l'on soit du BDP ou du PDG, de l'UPG ou du MORENA. Ce qui importerait serait que les alliances ainsi faites ne soient plus capables de nuire à un intérêt général et national protégé par des institutions équilibrées et neutres qui s'affirment dans toute leur capacité et dans toute leur impartialité. Voilà pourquoi, cher ami, pour être sûr de nous comprendre, il nous faudra au prélabale toujours définir les mots que nous utilisons, pour toujours être sûrs que nous en comprenions, de par et d'autre, la portée. Au Gabon, la tendance est d'utiliser les mots "opposition radicale" et "idéologie", sans les définir. Or, ce n'est qu'en défissant clairement ce que l'on entend par idéologie que l'on pourra, avec certitude, placer les uns dans ce qu'on appelle "opposition radicale", et les autres, dans ce que l'on appelle "opposition conviviale" ou "opposition apaisée". Du coup, l'idée même d'une possible unité de l'opposition s'éclaire et se simplifie, et la question se fait plus simple: une opposition s'unit-elle uniquement parce que chacune de ses composantes se dit de l'opposition, ou une telle unité est-elle, plutôt, fonction d'un accord sur les idéologies et les méthodes de cette idéologie? S'il ne peut, dans un cas, y avoir aucun raprochement entre le régime Bongo et une opposition dite radicale du fait de la contradition non seulement des intérêts, mais aussi des finalités idéologiques (les uns mettent le Gabon en avant,les autres non), est-il possible, dans l'autre, d'envisager une unité de l'opposition dans un contexte où leurs idéologies, et partant, les méthodes de réalisation de cette idéologie, ne s'accordent pas? C'est là, à mon avis, l'une des questions fondamentales que je voudrais nous voir débattre sur ce forum, au moment même où nous discutons de la nécessité de recoller les framents de notre société meurtrie par 41 ans de bongoïsme. Si nous arrivons à élucider cette question, nous aurons fait un grand pas dans le bon sens. Je vous remercie. Daniel Mengara Isidore Mbina wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Bonjour Monsieur Mengara, > > si j'avais su que vous répondriez comme ci-dessous à Monsieur Mayandji, je me serais dispensé de vous adresser un mot, de surcroît envoyé par erreur au moment où je n'en avais pas encore terminer la correction. > > Loin de contester votre approche sur l'efficacité d'une forme de lutte politique ou l'autre, selon qu'on est dans une démarche dl'opposition radicale ou non, ce mot vous reprenais sur ce que j'ai cru être une méprise de votre part; méprise accompagnée d'un rejet massif des réflexions de Mr Mayandji au seul fait qu'il n'est pas des vôtres (opposants) dans ce j'ai appelé l'arène politique gabonaise. > Aussi j'ai pris quelque liberté en essayant de rendre justice à ce Monsieur dont je connais les engagements et les batailles, par lui livrées et, surtout, de sa quête actuelle des stratégies de lutte qui'il voudrait aussi, efficaces. > Pour avoir discuté avec lui, je le sais convaincu que les Gabonais n'ont toujours pas encore éprouvé toutes les méthodes et n'en essayent trop souvent que deux, à chaque fois les mêmes: d'une part l'entrisme et d'autre part, l'opposition radicale. L'un se convertissant tour à tour en l'autre selon les intérêts du moment. > > La récurrence de ces deux approches dans l'histoire politique gabonaise, leur confère une apparente exclusivité et génére le sentiment du déjà vu et la perception d'une sorte d'imcompétence des gabonais à pouvoir reformuler leur vision du développement, la stratégie de lutte politique et les tactiques appropriées. D'où l'incompétence à réaliser l'alternance. > Mais cette responsabilité ne tient pas qu'au personnel de l'opposition politique. Elle incombe à toutes les composantes de la nation (partis politiques du pouvoir et de l'opposition, associations, entreprises, syndicats, militants politiques, simple citoyens, de différentes générations etc...). > Certains gabonais pensent qu'il faut essayer autre chose. Mais au paravant, il faut travailler en laboratoire. Pour mettre au point des idées, des modèles, des expériences et des pratiques socioéconomiques nouvelles. Afin de bouger des choses qui ne le sont que rarement, compte tenu de la prééminence excessive accordée à l'action politique. > > Dans un système composé d'une sphère politicoadministrative qui gère tout dans l'absolu et enserre de ses nombreuses tentacules une sphère socioéconomique pour une part forte et organisée (composées des administrations publiques contrôlée, des entreprises régulièrement installées elles aussi contrôlées, des citoyens qui y travaillent et craignent sans ouverture vers l'action privée et ne permettant pas de ce fait l'indépendance des esprits, du pouvoir d'achat des individus, > > Etat/Administration > Partis Politiques > > Je crois, en espérant ne pas dénaturer, ni dépasser ses propres convictions, que Monsieur Mayandji fait partie de ces expérmimentateurs là. Nous convenons, néanmoins, qu'un coup de pied dans une fourmilière qui a la peau dure mettrait tout le monde d'accord et permettrait de changer radicalement les choses. Le temps que ça prendra nous inconnu à tous. > Ce qui est essentiel pour les lutteurs, c'est qu'ils doivent maintenant veiller à ce que les stratégies de luttes mises en oeuvre séparément, en différents lieux, ne s'annullent pas mutuellement, mais qu'au contraire, elles s'aditionnent. > > Comme vous revenez, d'une certaine façon, sur l'opinion que vous aviez initialement de Monsieur Mayandji et sur le rôle, par lui assumé, sur le Forum AGORA, alors, sans vous demander d'oublier certain passages qui pourront vous décevoir, par avance, je reconnais la justesse de votre message et la hauteur d'esprit que nous attendons des intellectuels, en accord avec la définition qu'en donne Egdgard Morin et que vous citez. Votre référence à cet intellectuel français va dans le sens du premier message que je vous ai adressé et auquel j'ai ajouter des informations sur l'histoire personnelle de Monsieur Mayandji. > > Pour ma part, je souhaiterais rétablir une certain équilibre et vous décharger par la même occasion, en rappelant que le rôle de l'intellectuel peut également consister à se positionner clairement sur l'actualité, s'il estime, comme Jean Paul Sartres dénonçant la colonisation, que son existance est consubstantielle de celle de la société qui l'environne et que sa prise de position est nécessaire au débat. > > Alors bon débat démocratique. > > Bien fraternellement. > > Isidore MBINA > > ----- Message d'origine ---- > De : Dr. Daniel Mengara > À : bdpalabres at bdpgabon.org > Envoyé le : Jeudi, 28 Août 2008, 17h26mn 16s > Objet : [BDPalabres] Re: Accusé de reception > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > J'attendrai avec grande impatience votre réflexion, cher Monsieur Mayandji. > > Je vous sais homme de profondeur et j'avoue toujours apprécier vos prises de position qui, se détournant de la polémique stérile, élèvent toujours la conversation sur ce forum. Les solutions aux problèmes gabonais commencent par le type d'exercice mental que, de par vos arguments, vous ne manquez jamais de susciter. D'où l'expression de mes sincères remerciements pour avoir inspiré la "petite" et modeste pensée que j'ai proposée à nos lecteurs. > > Il y a sur notre site, une pensée d'Edgar Morin, sociologue et écrivain français, qui se pose la question suivante: "Qu'est-ce qu'un intellectuel?". A cette question, il répond: "C'est quelqu'un qui, en dehors de sa propre compétence, porte sur la place publique des problèmes de fond." > > Autrement dit, le statut d'intellectuel implique une certaine RESPONSABILITE. Cette responsablité, à son tour, découle non seulement de ce POUVOIR qui lui permet d'influencer la pensée et, parfois même, la destinée publique, mais également de ce DEVOIR d'engagement qui lui est dicté par les défis auxquels est confrontée sa société. > > Le Gabon, dans le contexte d'une telle dynamique, ne peut perdre. > > Votre dévoué compatriote. > > Daniel Mengara > > Christian MAYANDJI wrote: >> ___________________________________________________________ >> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> ___________________________________________________________ >> >> >> >> Au Professeur Daniel MENGARA >> Coordonateur du Mouvement BDP >> >> Cher Professeur, >> >> Vous avez pris de votre temps pour me faire part de votre point de vue. Je vous en remercie. Vous comprendrez certainement que je vous reponde méthodiquement. Cela implique un décallage de temps. Je vous prie de croire qu'il n'est pas dans mon intention d'abuser de votre patience, ni de compter parmi vos détracteurs. Je vais m'efforcer de vous apporter une reponse structurée. J'espère que - au contraire d'autres leaders d'opinion noyés par leur célébrité médiatique - vous prendrez la peine de l'étudier avec la plus grande attention et d'en tirer les meilleures enseignements pour votre mouvement. >> >> Cordialement. >> MANGASS TTC >> Christian MAYANDJI >> Démarches-Gestion >> FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES >> ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS >> CONVOYAGE EXPLOITATION >> VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES >> EUROPE - AFRIQUE >> >> >> >> --- En date de : Jeu 28.8.08, Dr. Daniel Mengara a écrit : >> >> De: Dr. Daniel Mengara >> Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat >> À: bdpalabres at bdpgabon.org >> Date: Jeudi 28 Août 2008, 3h19 >> >> ___________________________________________________________ >> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages >> apparaîtront une fois modérés. >> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement >> aux messages. >> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> ___________________________________________________________ >> >> >> Monsieur Mayandji, cher frère: >> >> Le paradoxe que je constate dans votre argumentaire est exactement celui qui >> découle des tares que vous reprochez aux autres. Vous vous dites >> "fatigué" de voir une opposition mal organisée, et qui, je vous >> cite, "contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, >> ne semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les >> partisans du pouvoir défendent leurs privilèges." >> >> Bien! >> >> Et vous ajoutez, ensuite, en censeur des méthodes précipitées, que vous >> êtes partisan des petits pas ciblés, ceux des solutions "au fur et à >> mesure". >> >> Bien aussi ! >> >> MAIS, mon frère, en quoi donc cette démarche serait-elle différente de celle >> de Mba Abessole qui, lui, préfère faire les choses à "petits pas >> ciblés" de l'intérieur du régime, ou de Mamboundou, qui, lui, pense >> désormais qu'un raprochement entre lui et Bongo, aussi avare de résultats >> que ce rapprochement soit, apportera de petis changements progressifs qui lui >> sont plus acceptables que la guerre ou la violence, même si pour cela le peuple >> gabonais doit attrendre 100 ans de plus?! >> >> Il me semble que vous êtes exactement dans la logique de cette opposition que >> vous fustigez, non? >> >> Il y a une seconde contradiction dans votre argument car, si l'on prend >> votre critique à la lettre, on voit que si l'opposition dont vous parlez >> était mieux organisée et devenait comme celle des autres pays, elle >> contredirait immédiatement votre théorie des "petits pas" >> puisqu'elle précipiterait TOUT! Ce qui ne serait pas non plus à votre >> goût des "petits pas ciblés", il me semble, n'est-ce pas, cher >> ami? >> >> Le problème des censeurs invétérés comme vous et moi, cher frère, est que >> nous croyons souvent détenir la vérité absolue, alors que, en réalité, nous >> ne brassons que du vide, du vent. >> >> Par exemple: vous qui vous dites fatigué de voir une opposition inepte, vous >> rendez-vous au moins compte que, du haut de votre piédestal de censeur (un peu >> comme moi), vous êtes en train de dire que vous savez mieux que cette >> opposition ce qu'il faut faire pour résoudre la problématique gabonaise? >> >> Si tel est le cas, bien! >> >> Mais, dans ce cas, je me permettrai la remarque suivante: si, donc, comme le >> laisse supposer votre message, vous avez la solution parce que mieux et plus >> éclairé, on se demande ce que vous attendez pour créer, VOUS-MEME, cette >> opposition CAPABLE qui, elle, pourra, à votre convenance (puisque vous en aurez >> été l'initiateur éclairé), satisfaire à vos exigences de meilleure >> organisation!! Mieux encore, si vous ne pouvez la créer indépendamment, rien >> ne vous interdit de vous engager à ses côtés pour lui faire bénéficier de >> vos hautes inspirations! Là ou d'autres ont failli, vous réussirez >> peut-être! Pourquoi, dans ce cas, priver le pays de votre infinie sagesse, et >> surtout du potentiel d'une réussite par VOUS, là où les autres ont >> échoué!? >> >> En fin de compte, frère, je peux affirmer sans méchanceté, mais aussi sans >> me tromper, que, comme nous tous, vous êtes bel et bien le produit du >> bongoïsme, non pas parce que vous êtes bongoïstes (je ne crois pas que vous >> le soyez), mais plutôt parce que vous souffrez des mêmes tares qui nous >> polluent tous, nous qui, vitupérant de l'ombre (engagés nulle part) ou de >> derrière nos ordinateurs (comme moi), croyons pouvoir faire avancer la cause >> gabonaise en critiquant, de loin, ceux qui, eux, ont, au moins, osé >> s'aventurer sur la voie de l'opposition ouverte et radicale. >> >> Dans un de mes récents articles, j'ai souligné le fait que les citoyens >> que nous sommes ne devons jamais reprocher à l'opposition ses échecs si >> ces échecs s'expliquent par une conjoncture indépendante de sa volonté. >> L'échec ou la réussite, en tout combat politique, est une situation qui, >> en elle-même, est fonction du moment et de la conjoncture sociopolitique et >> socioculturelle du moment. On peut échouer inexplicablement dans un contxete >> pourtant très favorable (Mba Abessole, Mamboundou) ou réussir au moment le >> plus inattendu (Géorgie, Ukraine, Russie, Indonésie, Pakistan, etc.). Mais ce >> n'est pas l'échec qui est, en lui-même, un problème. Ce que nous >> devons reprocher à l'opposition, à NOTRE opposition, ce sont les >> RENONCEMENTS qui causent l'échec, surtout quand ces renoncements bafouent >> les principes les plus élémentaires de la décence humaine et/ou citoyenne. >> Autrement dit, qu'elle soit organisée ou désorganisée, rien ne garantit >> la réussite de l'opposition. Ce qui importe, par contre, est que cette >> opposition reste déterminée dans son intention et sa conviction, génération >> par génération, et génération après génération. >> >> Personnellement, je ne reproche leur échec ni à Mamboundou, ni à Mba >> Abessole. Ce que je leur reproche, c'est leur renoncement. Et parce que je >> sais que l'échec peut être au rendez-vous de tout opposant de bonne >> volonté, même sans renoncement, j'essaie de m'engager dans >> l'espoir de non seulement mieux faire, mais aussi de POUVOIR réussir (sans >> pour autant croire que je suis celui qui réussira forcément; je ne sais de moi >> que ma conviction. L'avenir, lui, appartient à Dieu). Mais ce que je >> m'interdis en tant que citoyen responsable, c'est le découragement ou >> la fatigue qui me met hors-jeu de l'histoire et de la société. Il n'y >> a pas de renoncement pire que celui qui est fait juste parce que d'autres >> ont renoncé ou échoué. C'est là une conclusion trop facile qui ne ferait >> pas de moi un meilleur citoyen que ceux que je critique. Il est bien de >> critiquer. Mais il est encore mieux de critiquer quand on est, soi-même, >> engagé dans une tentative de salut national. >> >> Quand j'ai créé le BDP-Gabon Nouveau, je l'ai fait sur la base du >> constat d'échec de Paul Mba Abessole et de Pierre Mamboundou, et ceci dès >> décembre 1998. Dès 1998, j'avais déjà vu, dans leurs attitudes, les >> germes non pas de l'échec, mais du renoncement. Et je me suis juré, en >> m'engageant OUVERTEMENT, d'ESSAYER de mieux faire qu'eux, et >> surtout, de ne JAMAIS RENONCER, comme eux, aux idéaux qui furent leurs et qui >> sont aujourd'hui miens. Et j'attends de citoyens responsables la même >> réaction que moi. En d'autres termes, si aujourd'hui ou dans 10 ans, >> mes concitoyens constatent mon échec et croient pouvoir mieux faire que moi, je >> ne trouverai satisfaction que dans un acte d'engagement de leur part qui >> puisse reprendre le combat là où j'ai échoué, et le mener à finalité, >> avec ou sans moi. >> >> Autrement dit, cher frère, en quoi un citoyen peut-il croire être plus utile >> à la société que le bébé qui vient de naître et qui suce le lait maternel >> en toute insouciance s'il ne ponctue pas sa critique par un acte >> d'engagement concret? En quoi peut-il être meilleur que le chien errant >> qui, n'ayant d'autre objectif dans la vie que la recherche de l'os >> dans les poubelles, ne se soucie guère de ce qu'il fera le jour >> d'après? En quoi peut-il être différent d'Omar Bongo qui, à la tête >> du Gabon depuis 41 ans, ne se soucie guère des souffrances de son peuple? Du >> moment que, lui, mange bien et fait son petit truc dans son coin, que lui >> importe, à Bongo ou à ce citoyen individualiste, que le reste des Gabonais >> tire le dibale par la queue? >> >> Le principe d'une opposition, cher frère, n'est pas de détenir la >> science infuse ou la solution toute faite. Le principe d'une opposition >> n'est pas non plus d'être capable de tout accomplir de son vivant ou de >> tout réussir. Le principe d'une véritable opposition réside dans sa >> capacité non seulement à assumer le rôle de défense des intérêts citoyens >> qui est le sien, mais également d'en mobiliser et d'en étendre la >> conscience aux générations futures. Faire de l'opposition découle >> d'une culture politique qui, procédant par tâtonnements et par >> hypothèses, finit un jour par le triomphe des forces du changement dès lors >> qu'il n'y aurait aucune cassure générationnelle dans la continuité >> des engagements. >> >> Le but n'est donc pas que Mamboundou ou Mengara réussisse de son vivant. >> Le but est, pour tous ceux qui s'engagent ou épaulent ceux qui >> s'engagent, de toujours tenter le changement en fonction de leur >> inspiration, et s'ils échouent malgré leur bonne volonté, il leur est >> important de pouvoir compter sur ceux qui, dans les générations présentes ou >> futures, pourront prendre la relève et continuer le combat pour la dignité. >> Or, pour que les tâtonnements des uns et des autres arrivent à une solution >> avérée (comprenez, victoire), il faut bien que des hommes comme vous, Monsieur >> Mayandji, aient le courage de contribuer OUVERTEMENT, et AU SEIN DE CETTE >> OPPOSITION DEFICIENTE ou en dehors d'elle par une OPPOSITION NOUVELLE, leur >> éclairage (tout en gardant à l'esprit le simple fait, modeste, que cet >> éclairage ne sera pas forcément la panacée qui mènerait à la réussite). >> Tout acte d'opposition est alors vu comme une tentative stratégique qui >> comporte en elle un espoir de réussite et non une certitude. Faire de >> l'opposition n'est ni un travail de nanochirurgie ni un travail de >> nanoscience. Faire de l'opposition, c'est un peu comme un opérateur de >> mitrailleuse qui tire une centaine de balles en direction d'une cible, avec >> l'espoir qu'une des balles fera mouche. >> >> Bref, l'opposition pour moi se résume ainsi: devant l'incertitude, les >> hésitations et les tâtonnements, tout ce qui peut être tenté doit être >> tenté, génération par génération, et génération après génération. >> Quand Mengara ou Mamboundou tombe, victime de la corruption ou de la fatiguue, >> il doit toujours se trouver un Mayandji pour, soit prendre la relève pour >> continuer le combat, soit donner des béquilles à ceux qui, ayant tenté toute >> leur vie, n'arrivent plus à tenir debout tous seuls. >> >> Il ne sert donc à RIEN pour un cotoyen de brayer, DU DEHORS, qu'il est >> fatigué par l'inorganisation de l'opposition quand, dans le même >> temps, il se refuse à y entrer, collectivement ou indépendamment, pour aider >> à son REDRESSEMENT. >> >> En d'autres termes, l'inorganisation de l'opposition est autant de >> VOTRE faute, frère Mayandji, que de la mienne et de celle de tous ceux qui >> participent de cette opposition inepte que vous critiquez. Imaginez, cher >> frère, un seul moment le cas de figure suivant: >> >> 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le >> sait). >> >> 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. >> >> 3) Monsieur Mayandji, au lieu de se déclarer fatigué, entre dans >> l'opposition ou crée son opposition, pour redresser l'opposition. >> >> 4) L'opposition, bénéficiant enfin de la science de Monsieur Mayandji, >> arrive enfin à s'organiser. >> >> 5) 2009, l'opposition chasse Bongo du pouvoir et commence la reconstruction >> du pays, grâce à la contribution spectaculaire de Monsieur Mayandji. >> >> 6) Le Gabon est enfin sauvé et Monsieur Mayandji est fait héros national avec >> un mausolée lui reconnaissant une contribution historique de patriote. >> >> >> Bien! >> >> IMAGINONS maintenant l'autre cas de figure, c'est-à-dire, >> l'affirmation ou la perennisation de la sitaution de passivité et >> d'immobilisme (donc de renoncement) dans laquelle vous vous trouvez, cher >> frère, et ceci malgré vos critiques incantatoires: >> >> >> 1) L'opposition gabonaise est reconnue inepte (Cela, tout le monde le >> sait). >> >> 2) Monsieur Mayandji, en homme éclairé, a la solution. >> >> 3) MAIS Monsieur Mayandji, fatigué par le désastre d'une opposition >> désorganisée, reste dans l'ombre, refuse de s'engager et garde sa >> solution pour lui-même. >> >> 4) L'opposition, ne bénéficiant pas de la science de MOnsieur Mayandji, >> sombre encore plus dans la désorganisation et s'étiole. >> >> 5) 2012, Bongo est réelu. 2019, Ali Bongo est élu. 2026 Ali Bongo est >> réélu, jusqu'à perpète. 2030, Le Gabon n'a plus de pétrole. >> N'ayant jamais préparé l'après pétrole, le Gabon, en 2033, est le >> pays le plus pauvre du monde. >> >> 6) 2034, Monsieur Mayandji meurt de palu au dispensaire de Nkembo, parce >> qu'au Gabon, la pauvreté est devenue telle que ses petits enfants, sans >> emploi, n'ont pas assez d'argent pour lui acheter un comprimé de >> Fansidar, et les économies qu'il avait faites pour sa retraite en 2026 ont >> fondu comme beurre au soleil devant la vie chère qui est maintenant au Gabon >> comme celle du Zimbabwé: 1000% >> >> Autrement dit, Monsieur Mayandji, ceux qui s'engagent et essaient, même >> dans la désorganisation et l'échec, valent mieux comme citoyens que ceux >> qui, de loin, critiquent, se disent plus compétents, mais pourtant, se refusent >> à montrer, par l'engagement concret, comment ils peuvent mieux réussir que >> les autres. >> >> Et cette leçon, croyez-moi, vaut pour nous tous, moi y compris. >> >> La question, en fin de compte, n'est pas de savoir qui a échoué ou qui a >> réussi. Ce qu'il faut, c'est étudier comment, par la combinaisaon des >> efforts et des inspirations, nous pourrions, ENSEMBLE ET/OU SEPAREMMENT, >> contribuer à l'objectif de consolidation d'une opposition engagée qui >> soit capable de résister aux prostitutions qui enfantent de ce renoncement qui >> compromet la réussite. L'image à avoir en tête ici est celle de soldats >> sur un champ de bataille. Quand ils s'avancent, l'ennemi les fauche. >> Certains tombent, mais d'autres avancent. A la fin, ce sera à qui avancera >> avec plus de résolution que la victoire appartiendra. >> >> PLus proche de nous, cette image marche de la façon suivante. En face de >> Mamboundou, Mba Abessole, Mayandji et Mengara, il y a Bongo avec un fusil à >> trois balles. Devant les tirs de Bongo, Mba Abessole tombe. Puis c'est le >> tour de Mamboundou, et enfin Daniel Mengara. Maintenant, Bongo n'a plus de >> balles et Mayandji reste debout, vivant, devant un Bongo désemparé. Sous la >> rage des années de brimades subies, Mayandji étrangle Bongo et le pend à un >> arbre, pour les vautours. Le Gabon est libéré. >> >> Autrement dit, dans tout combat, certains tombent sous les balles ou sous la >> peur, mais d'autres, surtout ceux qui se font censeurs des autres, doivent >> être capables de continuer la lutte. Il est impardonnable de renoncer ou de se >> fatiguer parce qu'on a vu certains tomber, et ensuite se retourner pour >> critiquer ceux qui sont tombés ou se sont enfuis. Si on a de la conviction, on >> doit continuer, sinon on ne sert à rien dans la société des hommes. >> >> L'opposition, cher ami, ne peut être vue comme une aventure sans >> lendemain. Le dire de cette manière, c'est voir l'opposition comme une >> affaire basée sur le court terme de nos courtes vies, et non comme une >> continuité que chaque génération se doit de pérpétuer, pour elle-même et >> pour les autres. Autrement dit, chaque citoyen qui se bat ne doit jamais limiter >> l'idée de l'opposition à ce qu'il peut y gagner de son vivant, >> mais plutôt la construire sur les principes de participation qui lui >> permettraient de faire sa part de contributions à l'édifice de >> redressement national. >> >> Autrement dit, la valeur d'un vrai citoyen ne se mesure pas à combien de >> théories il peut émettre. Tant qu'il n'est pas prêt, de par LUI-MEME, >> à tester ses propres théories et même à les mettre en pratique au service de >> la nation, il ne vaut rien pour la société. >> >> Et la question que le citoyen modeste posera toujours à ces censeurs >> invétérés que nous sommes, vous et moi, est la suivante: est-ce que tu peux >> faire mieux, toi qui parle beaucoup, beaucoup, beaucoup? >> >> A cette question, je crois que nous savons déjà la réponse. >> >> >> Daniel Mengara >> >> >> Christian MAYANDJI wrote: >> ___________________________________________________________ >> > >> > >> > >> > Il n'est pas question pour moi d'appeller à la guerre civile. Je >> suis tout simplement fatigué de voir une opposition qui si mal organisée et >> qui, contrairement aux mouvements d'opposition dans les autres pays, ne >> semble pas se donner les moyens de se battre avec la détermination que les >> partisans du pouvoir défendent leurs privilèges. >> > Je pense qu'à l'instar de la majorité des gabonais, je ne suis >> pas le partisan des aventures sans lendemain. Je pratique la politique des >> "petits pas", celle qui consiste à apporter des solutions ciblées >> aux populations au fur et à mesure que les problèmes sont identifiés et que >> les moyens sont constitués. >> > MANGASS TTC >> > Christian MAYANDJI >> > Démarches-Gestion >> > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES >> > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS >> > CONVOYAGE EXPLOITATION >> > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES >> > EUROPE - AFRIQUE >> > >> > >> > >> > --- En date de : Mer 27.8.08, Jean Bika a >> écrit : >> > >> > De: Jean Bika >> > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat >> > À: bdpalabres at bdpgabon.org >> > Date: Mercredi 27 Août 2008, 2h22 >> > >> > ___________________________________________________________ >> > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos >> messages >> > apparaîtront une fois modérés. >> > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout >> simplement >> > aux messages. >> > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> > ___________________________________________________________ >> > >> > >> > Monsieur Mayandji, vous avez tout dit. Les peuples qui ont sacrifié >> de leur >> > sang et acheté la liberté avec leur sang comprennent mieux la valeur >> de la >> > paix. le gabon, comme d'autres pays, devra passer par une étape >> de violence >> > pour le comprendre. Une seule personne en sera la cause: Omar Bongo. >> > >> > >> > Christian MAYANDJI a écrit: >> > > ___________________________________________________________ >> > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos >> messages >> > apparaîtront une fois modérés. >> > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez >> tout >> > simplement aux messages. >> > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> > > ___________________________________________________________ >> > > >> > > >> > > >> > > M. Mengara a le droit d'affirmer sa différence, comme tous >> ceux qui >> > aspirent à un changement légitime au Gabon, au TOGO, dans >> d'autres pays, >> > sur d'autres continents. >> > > Cependant, je crois que nous évoluons vers des dérives qui me >> font >> > craindre des tensions extrêmes. >> > > Je résume la situation : les "opposants" attaquent les >> > représentant s du pouvoir dans ce qu'il y a de plus bas; >> > > les partisans du "pouvoir" s'entêtent dans leurs >> délires >> > de candidats à la corruption, pour ceux qui n'y ont pas encore >> été >> > initiés. >> > > Entre ces extremes, ils y a des hommes et des femmes qui >> construisent >> > patiemment leur vie, avec leur propre moyens, sans rien demander à >> personne, >> > pas même à l'Etat. >> > > Le seule chose que je me demande, c'est pourquoi >> l'opposition ne >> > se donne pas une bonne fois pour toutes les moyens d'en découdre >> avec le >> > pouvoir, ainsi que cela s'est produit dans les autres pays. >> > > Il se peut qu'après le sacrifice du sang, chacun trouvera la >> voie de >> > la raison et comprendra que la politique commence lorsqu'on >> découvre >> > comment faire la différence entre l'intérêt général et les >> intérêts >> > particuliers. la politque se fait lorsqu'on respecte >> l'individu, la >> > personne quelque ses valeurs dans la mesure ou tout le monde respecte >> la loi >> > républicaine. Elles se poursuit lorsque chacun comprend que >> l'Etat - en >> > tant que représentant de l'intérêt général - n'est pas la >> > propriété de personne, mais en tant que puissance publique c'est >> une >> > personne morale avec son fonctionnement propre. >> > > Il est inopérant que chacun puisse projeter ses propres >> asiptations dans >> > l'Etat. l'Etat n'est la vache à lait de personne. >> C'est tout >> > simplement une organisation dont la fonction est de gérer ce qui >> constitue le >> > ^patrimoine commun. >> > > Je crois que la plupart des conflits actuels proviennent que >> chacun - >> > conservateurs et partisans du changement - ne percoive l'état que >> comme une >> > vache à lait que chacun doit traire. >> > > En tant qu'historien, je sais que le changement est >> inéluctable et >> > surtout en marche... >> > > MANGASS TTC >> > > Christian MAYANDJI >> > > Démarches-Gestion >> > > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES >> > > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS >> > > CONVOYAGE EXPLOITATION >> > > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES >> > > EUROPE - AFRIQUE >> > > >> > > >> > > >> > > --- En date de : Mar 26.8.08, Magloire Olympio >> > a écrit : >> > > >> > > De: Magloire Olympio >> > > Objet: [BDPalabres] Re: Mangara est un ingrat >> > > À: bdpalabres at bdpgabon.org >> > > Date: Mardi 26 Août 2008, 9h01 >> > > >> > > ___________________________________________________________ >> > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. >> Vos >> > messages >> > > apparaîtront une fois modérés. >> > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, >> répondez tout >> > simplement >> > > aux messages. >> > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> > > ___________________________________________________________ >> > > >> > > >> > > Rebondissement dans l’affaire AKA : de nouveaux éléments >> qui >> > confortent la >> > > thèse de l’assassinat ; le frère cadet du défunt >> Maurille membre >> > du régime >> > > précipite son enterrement. >> > > >> > > >> > > La tragique disparition du leader du MODENA Joachim Agbobli >> Atsutsè >> > n’a pas >> > > fini de révéler tous ses secrets. Après les résultats >> farfelus de >> > > l’autopsie du professeur Napo-Koura et les conclusions >> tordues du >> > procureur de >> > > la République Robert Bakaï le 18 aôut dernier ; de >> nouveaux >> > éléments >> > > viennent d’apparaître dans le dossier et confortent >> désormais, la >> > thèse >> > > d’un assassinat déguisé en suicide. Ces informations, >> nous les >> > devons à >> > > plusieurs amis du politologue (universitaires, hommes >> politiques, >> > médecins, >> > > journalistes) qui se sont mobilisés pour faire triompher la >> vérité. >> > > >> > > >> > > >> > > Le corps du défunt porte des traces d’électrocution >> > > >> > > >> > > >> > > La première information qui ressort de ces investigations >> est liée >> > à des >> > > lésions observées autour du coup et des parties génitales >> de la >> > victime. Les >> > > spécialistes en conclurent à une torture par des objets >> > électriques. Pour ces >> > > spécialistes, il est incroyable que le médecin légiste ait >> pu >> > conclure en une >> > > mort par suicide en passant sous silence ces différentes >> lésions que >> > nous >> > > venons de signaler. En réalité, AKA a été enlevé depuis >> la >> > clinique, >> > > conduit à un endroit secret et torturé à mort avant que le >> corps ne >> > soit >> > > jeté à la plage 24 h plus tard. C’est d’ailleurs ce >> scénario >> > qui explique >> > > la disparition des vêtements de la victime de même que >> l’abandon >> > de son >> > > portefeuille, et ses verres médicaux. La version du >> rendez-vous en >> > plus du >> > > parcours effectué attribué au chauffeur n’est qu’une >> pure >> > invention sortie >> > > des laboratoires lugubres pour faire diversion. AKA ne >> s’est jamais >> > rendu à >> > > un quelconque rendez-vous, il ne s’est jamais arrêté à >> l’Hôtel >> > Palm >> > > Beach et il ne s’est jamais rendu à l’Hôtel Sarakawa. >> > D’ailleurs le >> > > docteur Fiadjoe responsable de la clinique Biasa serait sous >> > d’énormes >> > > pressions afin qu’il ne s’adresse à aucun média. A la >> clinique >> > Biasa les >> > > visites aux malades sont désormais réglementées. >> > > >> > > >> > > >> > > Maurille Agbobli dans le mauvais rôle >> > > >> > > >> > > >> > > Il n’est un secret pour personne que la famille Agbobli est >> > partagée entre >> > > l’opposition et le pouvoir. Parmi ceux qui sont >> actuellement dans le >> > cercle du >> > > pouvoir, nous pouvons citer Robert Dusseh, universitaire, >> conseiller >> > > diplomatique de Faure et neveu de AKA et ensuite Maurille >> Edoh Agbobli >> > ancien >> > > ministre, membre du bureau politique du RPT. C’est donc ce >> dernier >> > qui est >> > > accusé aujourd’hui de dissuader la famille d’aller plus >> loin et >> > précipite >> > > par la même occasion l’enterrement de son frère. Alors >> que >> > certains >> > > évoquent encore une contre autopsie avec l’assistance des >> experts >> > venus de >> > > l’extérieur, les obsèques de AKA sont annoncées dans la >> foulée >> > pour les 29 >> > > et 30 août prochain. >> > > >> > > >> > > >> > > Faure tapis dans l’ombre manœuvre et joue au chrono >> > > >> > > >> > > >> > > La mystérieuse mort de AKA ramène au devant de >> l’actualité la >> > récurrente >> > > question de l’impunité qui caractérise depuis 40 ans le >> régime du >> > RPT. >> > > Faure qui espérait noyer cette question de l’impunité >> dans une >> > mascarade de >> > > réconciliation après les fameuses consultations nationales >> se >> > retrouve du coup >> > > dans une situation embarrassante. Depuis le palais de la >> Marina, il >> > tire sur les >> > > ficelles. Comme par hasard le « leader nouveau » qui n’a >> jamais >> > accordé le >> > > moindre crédit à la presse togolaise invite subitement par >> une >> > méthode peu >> > > orthodoxe des journalistes des médias publics et privés à >> une >> > discussion à >> > > battons rompus à la présidence de la République. Certains >> > journalistes ( >> > > médias d’Etat, radios et presses privées) se sont rendus >> donc ce >> > jeudi à la >> > > présidence de la République pour en ressortir plus tard >> avec des >> > billets de >> > > banque évalués en 200 000fcfa et 300 000fcfa par tête. >> Tout ceci, >> > après une >> > > longue discussion ennuyeuse arrosée de champagne. D’autres >> > journalistes qui >> > > ont pu déceler là, le piège de la corruption ont décliné >> > l’invitation >> > > présidentielle. Lorsqu’on situe cette discussion avec les >> > journalistes qui >> > > ces derniers temps sont très critiques vis à vis du pouvoir >> de Faure >> > dans le >> > > contexte de la disparition tragique de AKA on comprend >> aisément la >> > manœuvre du >> > > pouvoir qui consiste à clouer le bec aux médias en prenant >> > habilement soin de >> > > se donner le visage d’un président ouvert et préoccupé. >> > > >> > > >> > > >> > > Une opposition réduite à de simples communiqués >> > > >> > > >> > > >> > > Après la phase des communiqués de compassion certains >> responsables >> > politiques >> > > et associations de la société civile ont exhorté >> l’ensemble de >> > > l’opposition à envisager des manifestions de rue dans le >> but >> > d’exiger la >> > > fin de l’impunité au Togo. Ces organisations ont été >> confrontées >> > au refus >> > > catégorique d’autres partis de l’opposition qui de par >> leur >> > popularité >> > > devraient servir de locomotive à cette initiative. Alors la >> question >> > qui se >> > > pose est de savoir si ceux qui pondent à longueur de >> journée des >> > communiqués >> > > sont sincères dans leurs propos ? Visiblement le leader du >> MODENA >> > comme celui >> > > du PSP qu’était Tavio Amorin ne dérangeait pas seulement >> le parti >> > au pouvoir >> > > par son engagement et ses débats mais aussi ses amis de >> > l’opposition qu’il >> > > croyait naïvement être ses frères. Aucune raison ne >> justifie >> > aujourd’hui >> > > l’inertie de cette opposition et de cette société civile >> qui jadis >> > étaient >> > > à l’avant garde de toute violation des droits de >> l’homme. La >> > réalité est >> > > que la société togolaise baigne désormais dans une >> corruption sans >> > > précédent où des responsables insoupçonnés de certains >> partis >> > actuels de >> > > l’opposition émargent régulièrement dans le registre de >> Faure. >> > Faure en >> > > parvenant au pouvoir en 2005 au prix des milliers de morts a >> réussi >> > un seul >> > > coup celui, d’avoir mis l’opposition en lambeaux en >> enrôlant >> > certains dans >> > > son aventure gouvernementale et en renflouant les comptes en >> banque >> > des autres >> > > qui ne se contentent désormais que des communiqués. Voilà >> donc le >> > drame qui >> > > se joue devant nos yeux avec des acteurs qui font semblant >> d’être >> > encore >> > > opposants mais qui dans la réalité ont changé depuis leurs >> vestes. >> > AKA >> > > n’est pas seulement la victime du pouvoir RPT mais aussi >> d’une >> > société >> > > togolaise en manque de repères, de principes, où les hommes >> de >> > valeurs qui >> > > devraient servir de guide, de modèle sont crétinisés par >> un >> > système pervers >> > > et vicieux autrement, monsieur Djondo, le docteur Fiadjoe et >> le >> > chauffeur >> > > devraient déjà prendre la parole pour libérer leurs >> consciences et >> > situer les >> > > togolais sur les réelles conditions de la mort mystérieuse >> et >> > tragique de AKA. >> > > Tant que nous ne prendrons pas conscience de cette réalité, >> les >> > Gnassingbé et >> > > leurs suppôts de meurtriers auront encore de beaux jours >> devant eux. >> > > >> > > >> > > >> > > Simon de Fanti, tultogo.com From protected at yahoo.fr Fri Aug 29 23:34:13 2008 From: protected at yahoo.fr (Alice Vincent) Date: Fri, 29 Aug 2008 23:34:13 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Accusé de reception Message-ID: Chers compatriotes, Monsieur Mbina, Je m'appelle Félicité Vincent, nous nous connaissons en France, quand vous habitiez le 9-3 à Noissy le Sec,vous êtes pro-OGOULIGUENDE n'est ce pas ? Avec ton association qui nous envoie les newsletters, commme quoi vous êtes chercheur à LBV; tant mieux d'être casé ! -------------- si j'avais su que vous répondriez comme ci-dessous à Monsieur Mayandji, je me serais dispensé de vous adresser un mot, de surcroît envoyé par erreur au moment où je n'en avais pas encore terminer la correction. ----------- Eh ben ! le Gabon est mal parti, avec vos erreurs. Voilà quelqu'un dans un simple processus commet des erreurs. Pathétique n'est-ce pas ! Monsieur Christian MAYANDJI, notre pasteur de Rueil Malmaison en France 9-2, devient le moralisateur de Monsieur Daniel Mengara. Vraiment quel guide aveugle, que de titre pour à rien. L'opposition a échoué, ok ! Christian MAYANDJI aussi a échoué comme pasteur en France, maintenant il nous bombarde avec des titres. Daniel Mengara a raison de vous demandé qu'aviez fait pour le Gabon ? Pourquoi avoir laissé Dieu ? pour devenir le marchand du temple. Alors vous avez échoué, comme Satan a échoué, et vous croyez donner les conseils au peuple. Vraiment ! Bien à vous From protected at hotmail.com Sat Aug 30 07:19:39 2008 From: protected at hotmail.com (hans leromantyk koumbadinga) Date: Sat, 30 Aug 2008 07:19:39 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Accusé de reception Message-ID: Bonjour! J'accuse fort bien reception de votre msge et je réafime mon engagement en votre soutien. Coordialement.... > To: bdpalabres at bdpgabon.org > From: protected at bdpgabon.org > Subject: [BDPalabres] Re: Accusé de reception > Date: Fri, 29 Aug 2008 13:39:37 -0400 > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > From protected at yahoo.com Sat Aug 30 07:39:32 2008 From: protected at yahoo.com (Marcel Mabongo) Date: Sat, 30 Aug 2008 07:39:32 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Accusé de reception Message-ID: Félicité, vous aussi! pourquoi tant d'intolérance même pour les gens qui ne vous ont rien fait? En tant que sympathisant du BDP comme vous, je réprouve cette attitude que vous avez d'insulter n'importe qui n'importe comment et pour n'importe quelle raison. Je ne vois pas en quoi le message de Mayandji était une attaque contre le Dr. Et le Dr. n'a certainement pas besoin de vous pour le défendre. non, ça je ne crois pas car vous tombez trop bas là. cette manière de toujours se livrer à l'insulte gratuite et personnelle n'est pas bonne. et ce n'est même pas justifié. Qu'est-ce que ça a à voir que Mayandji soit pasteur qui habite on ne sait pas où ou un pasteur qui a raté ceci ou cela? Vraiment! Prenez exemple sur le Dr. lui-même qui est engagé dans un débat d'idées constructifs avec Mayandji. Nous avons en le Dr. Mengara quelqu'un de très noble. Ne spolions pas son oeuvre avec des attitudes qui divisent inutilement les Gabonais. Allez faire ça sur Agora où ça vole bas si vous voulez, mais ici sur les forums du BDP. il y a de vrai sujets de discussion qui nous éclairent et que nous voulons suivre. VOus agissez comme une bongoïste dont le but est de ramener à un débat terre à terre les tentatives que votre propre leader fait pour pousser les Gabonais à élever le débat national et à mieux comprendre le BDP. N'avez vous pas lu le texte que le dr. a écrit hier? Le BDP n'est pas un mouvement extrémiste ou un mouvement de division ni de tribalisme ni de polémique stérile. IL n'est pas un mouvement d'insultes gratuite non plus. Essayons de nous comporter mieux que les bomgoïstes, sinon on ne vaut pas mieux que Bongo. Changeons de mentalité et changeons les mentalités. MM Alice Vincent wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Chers compatriotes, > > Monsieur Mbina, > > > > Je m'appelle Félicité Vincent, nous nous connaissons en France, quand vous habitiez le 9-3 à Noissy le Sec,vous êtes pro-OGOULIGUENDE n'est ce pas ? Avec ton association qui nous envoie les newsletters, commme quoi vous êtes chercheur à LBV; tant mieux d'être casé ! > > -------------- > si j'avais su que vous répondriez comme ci-dessous à Monsieur Mayandji, je me serais dispensé de vous adresser un mot, de surcroît envoyé par erreur au moment où je n'en avais pas encore terminer la correction. > ----------- > > Eh ben ! le Gabon est mal parti, avec vos erreurs. Voilà quelqu'un dans un simple processus commet des erreurs. Pathétique n'est-ce pas ! > > Monsieur Christian MAYANDJI, notre pasteur de Rueil Malmaison en France 9-2, devient le moralisateur de Monsieur Daniel Mengara. Vraiment quel guide aveugle, que de titre pour à rien. > > L'opposition a échoué, ok ! Christian MAYANDJI aussi a échoué comme pasteur en France, maintenant il nous bombarde avec des titres. Daniel Mengara a raison de vous demandé qu'aviez fait pour le Gabon ? > > Pourquoi avoir laissé Dieu ? pour devenir le marchand du temple. Alors vous avez échoué, comme Satan a échoué, et vous croyez donner les conseils au peuple. > > Vraiment ! > > Bien à vous From protected at yahoo.fr Sat Aug 30 11:18:12 2008 From: protected at yahoo.fr (Christian MAYANDJI) Date: Sat, 30 Aug 2008 11:18:12 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Accusé de reception Message-ID: Au Professeur MENGARA, Aux internautes du forum BDP, Permettez moi de préciser que je n'ai jamais été Pasteur comme Mme Félicité VINCENT le prétend. Mais en tant que chrétien laïc et bénévole, j'ai été responsable communal du Secours Catholique de Rueil Malmaison. A ce titre, j'ai soutenu des familles en difficulté pendant la durée de mon mandat. Aujourd'hui encore je n'hésite pas à repondre à ces différentes sollicitations aussi bien de la part des gabonais que des membres d'autres communautés en France ou, lorsque l'occasion se présente, dans mon pays d'origine. Les titres, que j'affiche, correspondent aux compétences acquises dans le cadre de mes formations professionnelles et aux prestations que j'ai fourni dans le cadre de certaines missions au près certaines institutions financières en France. Je précise que j'ai également effectué une mission au Conseil Général des Hauts de Seine (92) durant la transition entre M. Pasqua et M. Nikolas Sarkozi. J'ai une Maîtrise (UOB - 1990) et un DEA (Paris VII - 1992) en Histoire économique. mes recherches ont porté sur les industries extractives au Gabon : dynamique des structures économiques et de la population entre 1949 et 1986. Grace à ces travaux, j'ai pu découvrir des nouveaux horizons de reflexion et cela m'a amené à m'orienter vers des formations en économie d'entreprise (logistique internationale, management de projets internationaux, marketing industriel, management de la qualité, finance d'entreprise..) au conservatoire national des arts et métiers de Paris. Toutes ces informations peuvent être vérifiés soit sur internet, soit au près de ces établissements. J'ai une activité plutot riche sur le plan associatif d'autant qu'elle transcende les catégories sociales en France. Pour être tout à fait franc, Mme Alice Vincent est une personne que je trouve mal élevée. C'est l'une des raisons pour laquelle j'ai sollicité l'interruption de mes interventions sur le forum agora. la loyauté que je peux attendre du public est que celui-ci me demande de me présenter plutôt que d'aller fouiner et de rapporter des choses en croyant détenir un scoop. Je crois qu'il appartient aux administrateurs du Forum de prévenir ce type de comportement délateur. Mme Alice Vincent, je ne vous connais pas et je ne le regrette pas. Je vous demande de cesser votre comportement. je crois que vous êtes une adulte et vous devez être une mère de famille. Par votre comportement, vous donnez le sentiment de manquer de maturité et du sens des responsabilités. La liberté d'expression doit s'arrêter lorsqu'elle commence à nuire à la liberté d'autrui. Je crois que l'exemple du comportement de cette dame - multiplié par celui de quelques milliers d'irresponsables au Gabon - montre à suffisance pourquoi il est difficile de fédérer les bonnes volontés et de progresser dans l'intérêt de notre pays et de ses habitants. Je prefère m'arrêter là et je ne souhaite plus revenir sur ce type de comportement. Cordialement. MANGASS TTC Christian MAYANDJI Démarches-Gestion FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS CONVOYAGE EXPLOITATION VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES EUROPE - AFRIQUE --- En date de : Sam 30.8.08, Marcel Mabongo a écrit : De: Marcel Mabongo Objet: [BDPalabres] Re: Accusé de reception À: bdpalabres at bdpgabon.org Date: Samedi 30 Août 2008, 13h39 ___________________________________________________________ Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. ___________________________________________________________ Félicité, vous aussi! pourquoi tant d'intolérance même pour les gens qui ne vous ont rien fait? En tant que sympathisant du BDP comme vous, je réprouve cette attitude que vous avez d'insulter n'importe qui n'importe comment et pour n'importe quelle raison. Je ne vois pas en quoi le message de Mayandji était une attaque contre le Dr. Et le Dr. n'a certainement pas besoin de vous pour le défendre. non, ça je ne crois pas car vous tombez trop bas là. cette manière de toujours se livrer à l'insulte gratuite et personnelle n'est pas bonne. et ce n'est même pas justifié. Qu'est-ce que ça a à voir que Mayandji soit pasteur qui habite on ne sait pas où ou un pasteur qui a raté ceci ou cela? Vraiment! Prenez exemple sur le Dr. lui-même qui est engagé dans un débat d'idées constructifs avec Mayandji. Nous avons en le Dr. Mengara quelqu'un de très noble. Ne spolions pas son oeuvre avec des attitudes qui divisent inutilement les Gabonais. Allez faire ça sur Agora où ça vole bas si vous voulez, mais ici sur les forums du BDP. il y a de vrai sujets de discussion qui nous éclairent et que nous voulons suivre. VOus agissez comme une bongoïste dont le but est de ramener à un débat terre à terre les tentatives que votre propre leader fait pour pousser les Gabonais à élever le débat national et à mieux comprendre le BDP. N'avez vous pas lu le texte que le dr. a écrit hier? Le BDP n'est pas un mouvement extrémiste ou un mouvement de division ni de tribalisme ni de polémique stérile. IL n'est pas un mouvement d'insultes gratuite non plus. Essayons de nous comporter mieux que les bomgoïstes, sinon on ne vaut pas mieux que Bongo. Changeons de mentalité et changeons les mentalités. MM Alice Vincent wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Chers compatriotes, > > Monsieur Mbina, > > > > Je m'appelle Félicité Vincent, nous nous connaissons en France, quand vous habitiez le 9-3 à Noissy le Sec,vous êtes pro-OGOULIGUENDE n'est ce pas ? Avec ton association qui nous envoie les newsletters, commme quoi vous êtes chercheur à LBV; tant mieux d'être casé ! > > -------------- > si j'avais su que vous répondriez comme ci-dessous à Monsieur Mayandji, je me serais dispensé de vous adresser un mot, de surcroît envoyé par erreur au moment où je n'en avais pas encore terminer la correction. > ----------- > > Eh ben ! le Gabon est mal parti, avec vos erreurs. Voilà quelqu'un dans un simple processus commet des erreurs. Pathétique n'est-ce pas ! > > Monsieur Christian MAYANDJI, notre pasteur de Rueil Malmaison en France 9-2, devient le moralisateur de Monsieur Daniel Mengara. Vraiment quel guide aveugle, que de titre pour à rien. > > L'opposition a échoué, ok ! Christian MAYANDJI aussi a échoué comme pasteur en France, maintenant il nous bombarde avec des titres. Daniel Mengara a raison de vous demandé qu'aviez fait pour le Gabon ? > > Pourquoi avoir laissé Dieu ? pour devenir le marchand du temple. Alors vous avez échoué, comme Satan a échoué, et vous croyez donner les conseils au peuple. > > Vraiment ! > > Bien à vous From protected at bdpgabon.org Sat Aug 30 11:44:13 2008 From: protected at bdpgabon.org (Dr. Daniel Mengara) Date: Sat, 30 Aug 2008 11:44:13 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Accusé de reception Message-ID: Je soutiens avec la plus grosse énergie le respect et la préservation de la dignité de Monsieur Mayandji, et j'enjoins tous ceux qui se réclament de l'esprit BDP à se prévenir du type d'attaques gratuites qui, trop personnelles et trop personnalisées, n'ont rien à contribuer au débat d'idées que nous voulons promouvoir ici. Un débat d'idées, même vigoureux et contradictoire, se peut faire sans compromettre la force des arguments qui permettent d'éclairer la cité des hommes. Toute personne dérogeant à ce principe, surtout quand elle n'a pas elle-même été attaquée dans sa dignité pour justifier une riposte visant à la rétablir, ne peut manifestement se réclamer ni de l'ESPRIT ni des MOTIVATIONS patriotiques qui sont ceux du BDP-Gabon Nouveau. Une telle personne, en définitive, ne peut être du BDP-Gabon Nouveau. Je vous remercie. Dr. Daniel Mengara Président, BDP-Gabon Nouveau Christian MAYANDJI wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Au Professeur MENGARA, > Aux internautes du forum BDP, > > Permettez moi de préciser que je n'ai jamais été Pasteur comme Mme Félicité VINCENT le prétend. Mais en tant que chrétien laïc et bénévole, j'ai été responsable communal du Secours Catholique de Rueil Malmaison. A ce titre, j'ai soutenu des familles en difficulté pendant la durée de mon mandat. Aujourd'hui encore je n'hésite pas à repondre à ces différentes sollicitations aussi bien de la part des gabonais que des membres d'autres communautés en France ou, lorsque l'occasion se présente, dans mon pays d'origine. > Les titres, que j'affiche, correspondent aux compétences acquises dans le cadre de mes formations professionnelles et aux prestations que j'ai fourni dans le cadre de certaines missions au près certaines institutions financières en France. Je précise que j'ai également effectué une mission au Conseil Général des Hauts de Seine (92) durant la transition entre M. Pasqua et M. Nikolas Sarkozi. > J'ai une Maîtrise (UOB - 1990) et un DEA (Paris VII - 1992) en Histoire économique. mes recherches ont porté sur les industries extractives au Gabon : dynamique des structures économiques et de la population entre 1949 et 1986. Grace à ces travaux, j'ai pu découvrir des nouveaux horizons de reflexion et cela m'a amené à m'orienter vers des formations en économie d'entreprise (logistique internationale, management de projets internationaux, marketing industriel, management de la qualité, finance d'entreprise..) au conservatoire national des arts et métiers de Paris. Toutes ces informations peuvent être vérifiés soit sur internet, soit au près de ces établissements. J'ai une activité plutot riche sur le plan associatif d'autant qu'elle transcende les catégories sociales en France. > Pour être tout à fait franc, Mme Alice Vincent est une personne que je trouve mal élevée. C'est l'une des raisons pour laquelle j'ai sollicité l'interruption de mes interventions sur le forum agora. la loyauté que je peux attendre du public est que celui-ci me demande de me présenter plutôt que d'aller fouiner et de rapporter des choses en croyant détenir un scoop. Je crois qu'il appartient aux administrateurs du Forum de prévenir ce type de comportement délateur. > Mme Alice Vincent, je ne vous connais pas et je ne le regrette pas. Je vous demande de cesser votre comportement. je crois que vous êtes une adulte et vous devez être une mère de famille. Par votre comportement, vous donnez le sentiment de manquer de maturité et du sens des responsabilités. > La liberté d'expression doit s'arrêter lorsqu'elle commence à nuire à la liberté d'autrui. Je crois que l'exemple du comportement de cette dame - multiplié par celui de quelques milliers d'irresponsables au Gabon - montre à suffisance pourquoi il est difficile de fédérer les bonnes volontés et de progresser dans l'intérêt de notre pays et de ses habitants. Je prefère m'arrêter là et je ne souhaite plus revenir sur ce type de comportement. > Cordialement. > > MANGASS TTC > Christian MAYANDJI > Démarches-Gestion > FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES > ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS > CONVOYAGE EXPLOITATION > VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES > EUROPE - AFRIQUE > > > > --- En date de : Sam 30.8.08, Marcel Mabongo a écrit : > > De: Marcel Mabongo > Objet: [BDPalabres] Re: Accusé de reception > À: bdpalabres at bdpgabon.org > Date: Samedi 30 Août 2008, 13h39 > > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement > aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > Félicité, vous aussi! pourquoi tant d'intolérance même pour les gens qui > ne vous ont rien fait? En tant que sympathisant du BDP comme vous, je réprouve > cette attitude que vous avez d'insulter n'importe qui n'importe > comment et pour n'importe quelle raison. Je ne vois pas en quoi le message > de Mayandji était une attaque contre le Dr. Et le Dr. n'a certainement pas > besoin de vous pour le défendre. non, ça je ne crois pas car vous tombez trop > bas là. cette manière de toujours se livrer à l'insulte gratuite et > personnelle n'est pas bonne. et ce n'est même pas justifié. > Qu'est-ce que ça a à voir que Mayandji soit pasteur qui habite on ne sait > pas où ou un pasteur qui a raté ceci ou cela? Vraiment! Prenez exemple sur le > Dr. lui-même qui est engagé dans un débat d'idées constructifs avec > Mayandji. Nous avons en le Dr. Mengara quelqu'un de très noble. Ne spolions > pas son oeuvre avec des attitudes qui divisent inutilement les Gabonais. Allez > faire ça sur Agora où ça vole bas si vous voulez, mais ici sur les forums du > BDP. il y a de vrai sujets de discussion qui nous éclairent et que nous voulons > suivre. VOus agissez comme une bongoïste dont le but est de ramener à un > débat terre à terre les tentatives que votre propre leader fait pour pousser > les Gabonais à élever le débat national et à mieux comprendre le BDP. > N'avez vous pas lu le texte que le dr. a écrit hier? Le BDP n'est pas > un mouvement extrémiste ou un mouvement de division ni de tribalisme ni de > polémique stérile. IL n'est pas un mouvement d'insultes gratuite non > plus. Essayons de nous comporter mieux que les bomgoïstes, sinon on ne vaut pas > mieux que Bongo. Changeons de mentalité et changeons les mentalités. > > MM > > > Alice Vincent wrote: > > ___________________________________________________________ > > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages > apparaîtront une fois modérés. > > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout > simplement aux messages. > > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > > ___________________________________________________________ > > > > > > > > Chers compatriotes, > > > > Monsieur Mbina, > > > > > > > > Je m'appelle Félicité Vincent, nous nous connaissons en France, > quand vous habitiez le 9-3 à Noissy le Sec,vous êtes pro-OGOULIGUENDE > n'est ce pas ? Avec ton association qui nous envoie les newsletters, commme > quoi vous êtes chercheur à LBV; tant mieux d'être casé ! > > > > -------------- > > si j'avais su que vous répondriez comme ci-dessous à Monsieur > Mayandji, je me serais dispensé de vous adresser un mot, de surcroît envoyé > par erreur au moment où je n'en avais pas encore terminer la correction. > > ----------- > > > > Eh ben ! le Gabon est mal parti, avec vos erreurs. Voilà quelqu'un > dans un simple processus commet des erreurs. Pathétique n'est-ce pas ! > > > > Monsieur Christian MAYANDJI, notre pasteur de Rueil Malmaison en France > 9-2, devient le moralisateur de Monsieur Daniel Mengara. Vraiment quel guide > aveugle, que de titre pour à rien. > > > > L'opposition a échoué, ok ! Christian MAYANDJI aussi a échoué > comme pasteur en France, maintenant il nous bombarde avec des titres. Daniel > Mengara a raison de vous demandé qu'aviez fait pour le Gabon ? > > > > Pourquoi avoir laissé Dieu ? pour devenir le marchand du temple. Alors > vous avez échoué, comme Satan a échoué, et vous croyez donner les conseils > au peuple. > > > > Vraiment ! > > > > Bien à vous From protected at live.fr Sun Aug 31 10:34:50 2008 From: protected at live.fr (diane lucrece AGNAMBOUE REKEWA) Date: Sun, 31 Aug 2008 10:34:50 -0400 Subject: [BDPalabres] JEAN MARIE ADZE, SA CHUTE ET SES LIAISONS DANGEREUSES AVEC LA "RACAILLE" Message-ID: La dernière blague que Vivien Pea raconte à son auditoire:"Madame l'AMBASSADRICE vient en France pour garder les enfants de Pascaline..."-SIC-Dans leur premiere version c'etait "Elle vient en France et ne connais pas Paris...entender:il faut l'encadrer par un commité d'accueil fait de Vivien,Muriel,Josiane..."...! Ainsi ,lui parti...PAR SES AFFIDES LIGES?IL POURRA TOUJOURS AVOIR UN OEIL sur Paris,allez faire la "Medisance" auprès de Bongo ! Mais le "Manège" à pris du Plomb dans l'aile ! Son "Neveu" trop bavard ne sais pas se tenir...Voilà maitenant le "Nihilisme":il est l'Ami de Jean SARKOZY,protegé de CHALOGNEAU...n'a pas besoin d'etre Conseiller...UNE QUESTION APPARTIENT-IL AUX AFFIRES ETRANGERES OU A QUEL CORPS D'ETAT...Et C'est qui au juste ces deux là dans la Diplomtie Gabonaise...DES RELATIONS...TOUJOURS DES RELATIONS...! Quand l'INFORTUNE de la vie ,ne vous les donne pas il faut les inventer:MON ONCLE,AMI DE J.SARKOZY,AMI DE CHALOGNEAU...Grande lumière de l'UMP...Bref BLUFFER...TOUJOURS BLUFFER POUR ETRE A LA HAUTEUR...! Ce garçon ,il a grandi ainsi...à LBV on est ds le mm quartier ! inconrigible ! Son ONCLE? il est ainsi...toujours entourer de bandits et d'escroc notoire...IL eu Firmin NGUEMA,qui racontait dejà à la mm ecole de CHALOGNEAU etre le Dircab de S.E,Haut Representant du Gabon à Paris...Depuis Dakar et NZENG AYONG s'etait un voyou de haut vol...une franche canaille en tous genre...IL eu Baltazar,son cousin et Eric "PAJERO"...ESCROC INTERNATIONAL ET FIER DE L'ETRE... Bref la franche Canaille, ADZE L'AIME...C'est son Choix,seul la Police,la Repression des Bonnes moeurs,les cenceurs-ces moralisateurs qu'il deteste par dessus tout,trouvent encore à redire...mais de là a les melangés avec la Diplomatie...il ya un pas qu'il ne faut pas franchir... Son probleme,il n'a jamais su les contenir à sa sphère privé tous les voyou qu'il frequente pour boire,draguer,mediser...AUSSI ON LES RETROUVENT toujours à l'Ambassade entrain de Gronder d'honnetes Diplomates et autres employés... Alors si un compatriote vient vers vous et dit:"MEFIEZ VOUS D'UN TEL...",faites le contraire allez discuter avec ce dernier...VOUS APPRENDREZ LA VERITE QU'ON VOUS CACHE...ses turpitudes qui sont leurs appanage ! FAIRE L'INTOX...DISCRETER L'AUTRE...SE VENTER DES RELATIONS...BLUFFER...voilà l'Hommage que le vice rend à la vertu...! Ces methodes ecculés sont l'appanage des faibles...! Quand ADZE s'est retrouver sans compagnie après les episodes Firmin,Baltazar,NGAMPOUSSA,Arsène...il a fallu combler ce vide...par qui Vivien PEA...avec quel "TITRE S'IL VOUS PLAIT...Son Neveu"-Et TOC pour ce faire ce dernier à créer la Federation des Associations Altogovéennes-Tout aussi Bidon -que celà n'à jamais vu le jours;mais c'etait le meilleur moyen pour lui d'arriver auprès d'ADZE...Qu'est ce qu'il connaissait du Haut-Ogooué? que dalle ! A partir de ce premier Bluff qui a réussi...il ne s'est plus arreter...TONTON lui confie l'UJPDG ?pour Chanter,Vanter,Touner en derision les Diplomates,...Car Tonton aussi reve eveillé à son entré au Gouvernement...Mais BONGO à un "destin" pour tout ce qu'il nomme...ET LES CAMARADES de Vivien attendent de lui faire le SCAPEL...Comment à ses yeux ? des jaloux à qui il à empecher de piquer l'ARGENT de son Oncle,quleques un à qui il à piquer des Copines ,pour lui ,pour Tonton ...on ne sais plus et on s'enffiche...FOUTTEZ LA PAIX...FOUTTEZ LE CAMP...VOTRE TEMPS EST REVOLU...VOUS PARTEZ QUAND...?Les Camarades de l'UJPDG viendront faire la "HAIE D'HONNEUR " à Tonton...qui viendra Toujours en retard...on l'attendra...mon oeil...! Mes Cheres compatriotes NE VOUS TAISEZ PLUS...NE VOUS TAISEZ PLUS...NE VOUS TAISEZ PLUS... Par votre silence vous cautionnez ces agissements...Par votre silence vous etes les complisses involontaires du delabrement de notre Pays à l'Exterieur...! Un Conseil,si la CANAILLE mais le "GRAPPIN" dans l'entourage de nos AUTORITES ,c'est parceque les bons,les serieux imbus dont on ne sais quoi...laisse faire ...LEURS DIPLOMES...LEURS IDEOLOGIES à LA CON... Ayez l'AMOUR du Pays... Quant à nos autorités ils(elles) aussi savoir s'entourer...on empechera jamais quelqu'un d'avoir des affinités...mais toujours faire la par des choses...avoir du dissernement...! Esperons qu'AKIENI ADZE suara s'entouer et PEA qui ne sais pas taire nous enverra de leur nouvelles ! Je vous aime tous ,comme j'aime mon Gabon Cheri... From protected at yahoo.com Sun Aug 31 10:51:14 2008 From: protected at yahoo.com (Jean Bika) Date: Sun, 31 Aug 2008 10:51:14 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Accusé de reception Message-ID: Merci, Dr. de calmer le jeu. Nous devons sortir des débats de quartier. Je viens de finir de lire votre mot sur la confusion qu'on fait souvent sur le termet "opposition radicale". Je crois que vous avez bien éclairé ce débat. Moi-même je n'y avais jamais pensé de manière aussi claire. Ce que je retiens, pour ma part, est que grâce à cette nouvele clarté, nous pouvons clairement classer chaque parti politique qui existe au Gabon aujourd'hui dans l'opposition radicale ou dans l'opposition conviviale. ça nous donne une bonne piste de discussion sur comment construire cette opposition radicale dont votre mouvement est désormais la tête de proue au Gabon, c'est-à-dire la toute première tentative d'opposition radicale au Gabon. Je pense que maintenant que vous avez bien clarifié la position qui doit être celle des mouvements radicaux, nous devons maintenant nous pencher sur les outils à utiliser pour rendre possible la fin du régime et comment, vous, Dr. Daniel Mengara, vous pouvez réunir autour de vous les gens qui pensent comme vous. Dr. Daniel Mengara wrote: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Je soutiens avec la plus grosse énergie le respect et la préservation de la dignité de Monsieur Mayandji, et j'enjoins tous ceux qui se réclament de l'esprit BDP à se prévenir du type d'attaques gratuites qui, trop personnelles et trop personnalisées, n'ont rien à contribuer au débat d'idées que nous voulons promouvoir ici. Un débat d'idées, même vigoureux et contradictoire, se peut faire sans compromettre la force des arguments qui permettent d'éclairer la cité des hommes. > > Toute personne dérogeant à ce principe, surtout quand elle n'a pas elle-même été attaquée dans sa dignité pour justifier une riposte visant à la rétablir, ne peut manifestement se réclamer ni de l'ESPRIT ni des MOTIVATIONS patriotiques qui sont ceux du BDP-Gabon Nouveau. Une telle personne, en définitive, ne peut être du BDP-Gabon Nouveau. > > Je vous remercie. > > Dr. Daniel Mengara > Président, BDP-Gabon Nouveau > > Christian MAYANDJI wrote: >> ___________________________________________________________ >> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> ___________________________________________________________ >> >> >> >> Au Professeur MENGARA, >> Aux internautes du forum BDP, >> >> Permettez moi de préciser que je n'ai jamais été Pasteur comme Mme Félicité VINCENT le prétend. Mais en tant que chrétien laïc et bénévole, j'ai été responsable communal du Secours Catholique de Rueil Malmaison. A ce titre, j'ai soutenu des familles en difficulté pendant la durée de mon mandat. Aujourd'hui encore je n'hésite pas à repondre à ces différentes sollicitations aussi bien de la part des gabonais que des membres d'autres communautés en France ou, lorsque l'occasion se présente, dans mon pays d'origine. >> Les titres, que j'affiche, correspondent aux compétences acquises dans le cadre de mes formations professionnelles et aux prestations que j'ai fourni dans le cadre de certaines missions au près certaines institutions financières en France. Je précise que j'ai également effectué une mission au Conseil Général des Hauts de Seine (92) durant la transition entre M. Pasqua et M. Nikolas Sarkozi. >> J'ai une Maîtrise (UOB - 1990) et un DEA (Paris VII - 1992) en Histoire économique. mes recherches ont porté sur les industries extractives au Gabon : dynamique des structures économiques et de la population entre 1949 et 1986. Grace à ces travaux, j'ai pu découvrir des nouveaux horizons de reflexion et cela m'a amené à m'orienter vers des formations en économie d'entreprise (logistique internationale, management de projets internationaux, marketing industriel, management de la qualité, finance d'entreprise..) au conservatoire national des arts et métiers de Paris. Toutes ces informations peuvent être vérifiés soit sur internet, soit au près de ces établissements. J'ai une activité plutot riche sur le plan associatif d'autant qu'elle transcende les catégories sociales en France. >> Pour être tout à fait franc, Mme Alice Vincent est une personne que je trouve mal élevée. C'est l'une des raisons pour laquelle j'ai sollicité l'interruption de mes interventions sur le forum agora. la loyauté que je peux attendre du public est que celui-ci me demande de me présenter plutôt que d'aller fouiner et de rapporter des choses en croyant détenir un scoop. Je crois qu'il appartient aux administrateurs du Forum de prévenir ce type de comportement délateur. >> Mme Alice Vincent, je ne vous connais pas et je ne le regrette pas. Je vous demande de cesser votre comportement. je crois que vous êtes une adulte et vous devez être une mère de famille. Par votre comportement, vous donnez le sentiment de manquer de maturité et du sens des responsabilités. >> La liberté d'expression doit s'arrêter lorsqu'elle commence à nuire à la liberté d'autrui. Je crois que l'exemple du comportement de cette dame - multiplié par celui de quelques milliers d'irresponsables au Gabon - montre à suffisance pourquoi il est difficile de fédérer les bonnes volontés et de progresser dans l'intérêt de notre pays et de ses habitants. Je prefère m'arrêter là et je ne souhaite plus revenir sur ce type de comportement. >> Cordialement. >> >> MANGASS TTC >> Christian MAYANDJI >> Démarches-Gestion >> FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES >> ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS >> CONVOYAGE EXPLOITATION >> VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES >> EUROPE - AFRIQUE >> >> >> >> --- En date de : Sam 30.8.08, Marcel Mabongo a écrit : >> >> De: Marcel Mabongo >> Objet: [BDPalabres] Re: Accusé de reception >> À: bdpalabres at bdpgabon.org >> Date: Samedi 30 Août 2008, 13h39 >> >> ___________________________________________________________ >> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages >> apparaîtront une fois modérés. >> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement >> aux messages. >> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> ___________________________________________________________ >> >> >> Félicité, vous aussi! pourquoi tant d'intolérance même pour les gens qui >> ne vous ont rien fait? En tant que sympathisant du BDP comme vous, je réprouve >> cette attitude que vous avez d'insulter n'importe qui n'importe >> comment et pour n'importe quelle raison. Je ne vois pas en quoi le message >> de Mayandji était une attaque contre le Dr. Et le Dr. n'a certainement pas >> besoin de vous pour le défendre. non, ça je ne crois pas car vous tombez trop >> bas là. cette manière de toujours se livrer à l'insulte gratuite et >> personnelle n'est pas bonne. et ce n'est même pas justifié. >> Qu'est-ce que ça a à voir que Mayandji soit pasteur qui habite on ne sait >> pas où ou un pasteur qui a raté ceci ou cela? Vraiment! Prenez exemple sur le >> Dr. lui-même qui est engagé dans un débat d'idées constructifs avec >> Mayandji. Nous avons en le Dr. Mengara quelqu'un de très noble. Ne spolions >> pas son oeuvre avec des attitudes qui divisent inutilement les Gabonais. Allez >> faire ça sur Agora où ça vole bas si vous voulez, mais ici sur les forums du >> BDP. il y a de vrai sujets de discussion qui nous éclairent et que nous voulons >> suivre. VOus agissez comme une bongoïste dont le but est de ramener à un >> débat terre à terre les tentatives que votre propre leader fait pour pousser >> les Gabonais à élever le débat national et à mieux comprendre le BDP. >> N'avez vous pas lu le texte que le dr. a écrit hier? Le BDP n'est pas >> un mouvement extrémiste ou un mouvement de division ni de tribalisme ni de >> polémique stérile. IL n'est pas un mouvement d'insultes gratuite non >> plus. Essayons de nous comporter mieux que les bomgoïstes, sinon on ne vaut pas >> mieux que Bongo. Changeons de mentalité et changeons les mentalités. >> >> MM >> >> >> Alice Vincent wrote: >> > ___________________________________________________________ >> > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages >> apparaîtront une fois modérés. >> > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout >> simplement aux messages. >> > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> > ___________________________________________________________ >> > >> > >> > >> > Chers compatriotes, >> > >> > Monsieur Mbina, >> > >> > >> > >> > Je m'appelle Félicité Vincent, nous nous connaissons en France, >> quand vous habitiez le 9-3 à Noissy le Sec,vous êtes pro-OGOULIGUENDE >> n'est ce pas ? Avec ton association qui nous envoie les newsletters, commme >> quoi vous êtes chercheur à LBV; tant mieux d'être casé ! >> > >> > -------------- >> > si j'avais su que vous répondriez comme ci-dessous à Monsieur >> Mayandji, je me serais dispensé de vous adresser un mot, de surcroît envoyé >> par erreur au moment où je n'en avais pas encore terminer la correction. >> > ----------- >> > >> > Eh ben ! le Gabon est mal parti, avec vos erreurs. Voilà quelqu'un >> dans un simple processus commet des erreurs. Pathétique n'est-ce pas ! >> > >> > Monsieur Christian MAYANDJI, notre pasteur de Rueil Malmaison en France >> 9-2, devient le moralisateur de Monsieur Daniel Mengara. Vraiment quel guide >> aveugle, que de titre pour à rien. >> > >> > L'opposition a échoué, ok ! Christian MAYANDJI aussi a échoué >> comme pasteur en France, maintenant il nous bombarde avec des titres. Daniel >> Mengara a raison de vous demandé qu'aviez fait pour le Gabon ? >> > >> > Pourquoi avoir laissé Dieu ? pour devenir le marchand du temple. Alors >> vous avez échoué, comme Satan a échoué, et vous croyez donner les conseils >> au peuple. >> > >> > Vraiment ! >> > >> > Bien à vous From protected at yahoo.fr Sun Aug 31 11:07:37 2008 From: protected at yahoo.fr (Joseph Allogho) Date: Sun, 31 Aug 2008 11:07:37 -0400 Subject: [BDPalabres] Re: Accusé de reception Message-ID: Je te parie que personne n'interviendra pour faire avancer ce débat sur l'opposition gabonaise. La plupart des participants dans ces forums sont soit de vrais froussards qui hésitent à s'engager ouvertement (ils ont peur de leur propre ombre) soit des polémisateurs qui ne brillent que dans l'art d'insulter et d'invectiver et de tourner en rond comme des rats en cage. Dès que la réfléxion devient profonde ou sérieuse, ils se terrent dans leur caves (le silence). Mais quand il faut s'insulter et dire des choses bêtes, ils accourent. Ils aiment les discussions terre à terre, les Gabonais. On a perdu le sens du sérieux dans notre pays. Il n'y a qu'à suivre le de dernier discours de Bongo. il a fait un discours creux sans rien à offrir de neuf aux Gabonais. Maintenant c'est la bière et les femmes qui priment, et les choses légère. Quand quelqu'un essaie de construire quelque chose de sérieux, nous sommes les premiers à vouloir détruire ça. Jean Bika a écrit: > ___________________________________________________________ > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. > ___________________________________________________________ > > > > Merci, Dr. de calmer le jeu. Nous devons sortir des débats de quartier. Je viens de finir de lire votre mot sur la confusion qu'on fait souvent sur le termet "opposition radicale". Je crois que vous avez bien éclairé ce débat. Moi-même je n'y avais jamais pensé de manière aussi claire. > Ce que je retiens, pour ma part, est que grâce à cette nouvele clarté, nous pouvons clairement classer chaque parti politique qui existe au Gabon aujourd'hui dans l'opposition radicale ou dans l'opposition conviviale. ça nous donne une bonne piste de discussion sur comment construire cette opposition radicale dont votre mouvement est désormais la tête de proue au Gabon, c'est-à-dire la toute première tentative d'opposition radicale au Gabon. > Je pense que maintenant que vous avez bien clarifié la position qui doit être celle des mouvements radicaux, nous devons maintenant nous pencher sur les outils à utiliser pour rendre possible la fin du régime et comment, vous, Dr. Daniel Mengara, vous pouvez réunir autour de vous les gens qui pensent comme vous. > > > Dr. Daniel Mengara wrote: >> ___________________________________________________________ >> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >> ___________________________________________________________ >> >> >> >> Je soutiens avec la plus grosse énergie le respect et la préservation de la dignité de Monsieur Mayandji, et j'enjoins tous ceux qui se réclament de l'esprit BDP à se prévenir du type d'attaques gratuites qui, trop personnelles et trop personnalisées, n'ont rien à contribuer au débat d'idées que nous voulons promouvoir ici. Un débat d'idées, même vigoureux et contradictoire, se peut faire sans compromettre la force des arguments qui permettent d'éclairer la cité des hommes. >> >> Toute personne dérogeant à ce principe, surtout quand elle n'a pas elle-même été attaquée dans sa dignité pour justifier une riposte visant à la rétablir, ne peut manifestement se réclamer ni de l'ESPRIT ni des MOTIVATIONS patriotiques qui sont ceux du BDP-Gabon Nouveau. Une telle personne, en définitive, ne peut être du BDP-Gabon Nouveau. >> >> Je vous remercie. >> >> Dr. Daniel Mengara >> Président, BDP-Gabon Nouveau >> >> Christian MAYANDJI wrote: >>> ___________________________________________________________ >>> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages apparaîtront une fois modérés. >>> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement aux messages. >>> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >>> ___________________________________________________________ >>> >>> >>> >>> Au Professeur MENGARA, >>> Aux internautes du forum BDP, >>> >>> Permettez moi de préciser que je n'ai jamais été Pasteur comme Mme Félicité VINCENT le prétend. Mais en tant que chrétien laïc et bénévole, j'ai été responsable communal du Secours Catholique de Rueil Malmaison. A ce titre, j'ai soutenu des familles en difficulté pendant la durée de mon mandat. Aujourd'hui encore je n'hésite pas à repondre à ces différentes sollicitations aussi bien de la part des gabonais que des membres d'autres communautés en France ou, lorsque l'occasion se présente, dans mon pays d'origine. >>> Les titres, que j'affiche, correspondent aux compétences acquises dans le cadre de mes formations professionnelles et aux prestations que j'ai fourni dans le cadre de certaines missions au près certaines institutions financières en France. Je précise que j'ai également effectué une mission au Conseil Général des Hauts de Seine (92) durant la transition entre M. Pasqua et M. Nikolas Sarkozi. >>> J'ai une Maîtrise (UOB - 1990) et un DEA (Paris VII - 1992) en Histoire économique. mes recherches ont porté sur les industries extractives au Gabon : dynamique des structures économiques et de la population entre 1949 et 1986. Grace à ces travaux, j'ai pu découvrir des nouveaux horizons de reflexion et cela m'a amené à m'orienter vers des formations en économie d'entreprise (logistique internationale, management de projets internationaux, marketing industriel, management de la qualité, finance d'entreprise..) au conservatoire national des arts et métiers de Paris. Toutes ces informations peuvent être vérifiés soit sur internet, soit au près de ces établissements. J'ai une activité plutot riche sur le plan associatif d'autant qu'elle transcende les catégories sociales en France. >>> Pour être tout à fait franc, Mme Alice Vincent est une personne que je trouve mal élevée. C'est l'une des raisons pour laquelle j'ai sollicité l'interruption de mes interventions sur le forum agora. la loyauté que je peux attendre du public est que celui-ci me demande de me présenter plutôt que d'aller fouiner et de rapporter des choses en croyant détenir un scoop. Je crois qu'il appartient aux administrateurs du Forum de prévenir ce type de comportement délateur. >>> Mme Alice Vincent, je ne vous connais pas et je ne le regrette pas. Je vous demande de cesser votre comportement. je crois que vous êtes une adulte et vous devez être une mère de famille. Par votre comportement, vous donnez le sentiment de manquer de maturité et du sens des responsabilités. >>> La liberté d'expression doit s'arrêter lorsqu'elle commence à nuire à la liberté d'autrui. Je crois que l'exemple du comportement de cette dame - multiplié par celui de quelques milliers d'irresponsables au Gabon - montre à suffisance pourquoi il est difficile de fédérer les bonnes volontés et de progresser dans l'intérêt de notre pays et de ses habitants. Je prefère m'arrêter là et je ne souhaite plus revenir sur ce type de comportement. >>> Cordialement. >>> >>> MANGASS TTC >>> Christian MAYANDJI >>> Démarches-Gestion >>> FINANCEMENTS INVESTISSEMENTS PRIVES >>> ACHATS (SEMI-) INDUSTRIELS >>> CONVOYAGE EXPLOITATION >>> VEHICULES EQUIPEMENTS CONSOMMABLES >>> EUROPE - AFRIQUE >>> >>> >>> >>> --- En date de : Sam 30.8.08, Marcel Mabongo a écrit : >>> >>> De: Marcel Mabongo >>> Objet: [BDPalabres] Re: Accusé de reception >>> À: bdpalabres at bdpgabon.org >>> Date: Samedi 30 Août 2008, 13h39 >>> >>> ___________________________________________________________ >>> Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages >>> apparaîtront une fois modérés. >>> - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout simplement >>> aux messages. >>> - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >>> ___________________________________________________________ >>> >>> >>> Félicité, vous aussi! pourquoi tant d'intolérance même pour les gens qui >>> ne vous ont rien fait? En tant que sympathisant du BDP comme vous, je réprouve >>> cette attitude que vous avez d'insulter n'importe qui n'importe >>> comment et pour n'importe quelle raison. Je ne vois pas en quoi le message >>> de Mayandji était une attaque contre le Dr. Et le Dr. n'a certainement pas >>> besoin de vous pour le défendre. non, ça je ne crois pas car vous tombez trop >>> bas là. cette manière de toujours se livrer à l'insulte gratuite et >>> personnelle n'est pas bonne. et ce n'est même pas justifié. >>> Qu'est-ce que ça a à voir que Mayandji soit pasteur qui habite on ne sait >>> pas où ou un pasteur qui a raté ceci ou cela? Vraiment! Prenez exemple sur le >>> Dr. lui-même qui est engagé dans un débat d'idées constructifs avec >>> Mayandji. Nous avons en le Dr. Mengara quelqu'un de très noble. Ne spolions >>> pas son oeuvre avec des attitudes qui divisent inutilement les Gabonais. Allez >>> faire ça sur Agora où ça vole bas si vous voulez, mais ici sur les forums du >>> BDP. il y a de vrai sujets de discussion qui nous éclairent et que nous voulons >>> suivre. VOus agissez comme une bongoïste dont le but est de ramener à un >>> débat terre à terre les tentatives que votre propre leader fait pour pousser >>> les Gabonais à élever le débat national et à mieux comprendre le BDP. >>> N'avez vous pas lu le texte que le dr. a écrit hier? Le BDP n'est pas >>> un mouvement extrémiste ou un mouvement de division ni de tribalisme ni de >>> polémique stérile. IL n'est pas un mouvement d'insultes gratuite non >>> plus. Essayons de nous comporter mieux que les bomgoïstes, sinon on ne vaut pas >>> mieux que Bongo. Changeons de mentalité et changeons les mentalités. >>> >>> MM >>> >>> >>> Alice Vincent wrote: >>> > ___________________________________________________________ >>> > Forum (Modéré) BDPalabres par email du BDP-Gabon Nouveau. Vos messages >>> apparaîtront une fois modérés. >>> > - POUR DIALOGUER avec les autres abonnés par email, répondez tout >>> simplement aux messages. >>> > - POUR QUITTER la Liste, voir procédure en bas de page. >>> > ___________________________________________________________ >>> > >>> > >>> > >>> > Chers compatriotes, >>> > >>> > Monsieur Mbina, >>> > >>> > >>> > >>> > Je m'appelle Félicité Vincent, nous nous connaissons en France, >>> quand vous habitiez le 9-3 à Noissy le Sec,vous êtes pro-OGOULIGUENDE >>> n'est ce pas ? Avec ton association qui nous envoie les newsletters, commme >>> quoi vous êtes chercheur à LBV; tant mieux d'être casé ! >>> > >>> > -------------- >>> > si j'avais su que vous répondriez comme ci-dessous à Monsieur >>> Mayandji, je me serais dispensé de vous adresser un mot, de surcroît envoyé >>> par erreur au moment où je n'en avais pas encore terminer la correction. >>> > ----------- >>> > >>> > Eh ben ! le Gabon est mal parti, avec vos erreurs. Voilà quelqu'un >>> dans un simple processus commet des erreurs. Pathétique n'est-ce pas ! >>> > >>> > Monsieur Christian MAYANDJI, notre pasteur de Rueil Malmaison en France >>> 9-2, devient le moralisateur de Monsieur Daniel Mengara. Vraiment quel guide >>> aveugle, que de titre pour à rien. >>> > >>> > L'opposition a échoué, ok ! Christian MAYANDJI aussi a échoué >>> comme pasteur en France, maintenant il nous bombarde avec des titres. Daniel >>> Mengara a raison de vous demandé qu'aviez fait pour le Gabon ? >>> > >>> > Pourquoi avoir laissé Dieu ? pour devenir le marchand du temple. Alors >>> vous avez échoué, comme Satan a échoué, et vous croyez donner les conseils >>> au peuple. >>> > >>> > Vraiment ! >>> > >>> > Bien à vous From protected at live.fr Sun Aug 31 12:58:18 2008 From: protected at live.fr (diane lucrece AGNAMBOUE REKEWA) Date: Sun, 31 Aug 2008 12:58:18 -0400 Subject: [BDPalabres] ADZE:VOICI MON NOUVEAU NEVEU(OYEMBO OTIMBO Sothene) Message-ID: Je connais ma Hache... Adresse à Sosthene OYEMBO OTIMBO -çi devant Neveu d'ADZE-A noter que les "NEVEUX Façons-Façons d'ADZE son MYENES comme les terrains ANCESTRAUX de son Parent ASSELE chez les MPONGWE) Le neveu d'ADZE,veut qu'on elève le debat- chiche...Malheureusement la Seule elevation du debat qu'ils connaissent ADZEPEAOYEMBOOTIMBOMLO & CO ,c'set la"TURGESCENCE DE LEURS SLIPS"... Et oui,dans les slips,aux chiottes,dans les egouts,les canivaux,en raz campagne,par dessus tete,sans desous /dessus,ça va se savoir car à toujours pousser l'indecence on a un retour de BOOMRANG ! De la Hauteur...ce sont eux qui ont mis le feu et appel aux POMPIERS ! Du debat...ce sont eux qui ont etouffés le dialogue entre Gabonais en France meme dans les instances Pro-BONGO en mettant içi un neveu,là une belle soeur,par là un frater;plus loin un chien...pour au final ne rien proposer,qui deviennent des chantres du debat,des echanges alors que ce sont qu'une BANDE de CANCRES imbus et contents d'eux-memes ...! De la d'interet à qui l'accorder...à ceux qui ont rabaissés la Diplomatie Gabonaise en une FOIRE D'EMPOIGNE entre Fonctionnaires,une VALSE CONTINU d'emploiyés comme aucun autre Ambassadeur ne l'a fait ! Etre dine d'interet un Ambassadeur qui croit que les Annales de la Diplomatie sont dans "20 MINUTES"...ALLEZ SOYONS SERIEUX...AU REVOIR...! Pietre Personnage...Piètre Ambassadeur...Piètre Gestionnaire riche en Pittreries et vaudevilles! Voilà que la Canaille veut s'enhardir pour mieux s'encanailler... Qui d'ADZE ou de ces NEVEUX presenter le MIROIR à l'AUTRE...? What is the question...? Je connais ma Hache... Elle aime son Pays de COCAGNE...! From protected at yahoo.fr Sun Aug 31 13:03:27 2008 From: protected at yahoo.fr (Noël DUBOIS) Date: Sun, 31 Aug 2008 13:03:27 -0400 Subject: [BDPalabres] Bongo: un parasite qui fait dans l'illusion... Message-ID: Bonjour, Malgré les images que l'on véhicule sur Omar Bongo Ondimba, soit disant grand homme, grand sage et grand tout ce qui se fait de mieux sur la planète Terre, je pense et je suis persuadé que Omar Bongo Ondimba est un parasite, qui fait dans l'illusion et maintient le Peuple dans l'arrièration culturelle pour mieux les abrutir, dès fois que la pauvreté ne suffise pas à assujettir entièrement les gabonais. C'est vrai que face à OBO, Machiavel fait figure de petit ange... En effet, le docteur en tout et chef suprème de tout, ne fait rien d'autre que de pomper ce qui se fait ailleurs. Par exemple, l'amélioration de la condition des femmes... Comme si cela n'était pas une politique mise en oeuvre dans le monde entier. Pour des problèmes typiquement gabonais, le parasite n'ayant rien à copier, il ne fait rien! Un exemple de sujet typiquement gabonais??? Voici: vous avez déjà entendu parler de ce grand homme d'Etat qu'était Napoléon? Omar aurait pu s'inspirer de ce "dictateur" qui oeuvrait à la grandeur de son pays plutôt que d'oeuvrer à se remplir les poches. Au passage, je lui pardonne ses ambitions démesurées de conquêtes et je ne retiendrai que l'essentiel: LE CODE CIVIL. Venons en à l'exemple... Savez-vous pourquoi les lois sont si mal respectées au Gabon? Et bien, c'est parce que la plupart des lois gabonaises sont importées de l'étranger et ne tiennent pas compte des moeurs des gabonais... Napoléon le vrai SAGE, lui, a fait la synthèse des coutumes des français du Nord jusqu'au Sud et de l'Ouest jusqu'à l'Est pour rédiger le Code civil dans le but d'unir la France. Pas comme l'autre usurpateur qui au contraire encourage le tribalisme et les séparatismes culturels, qui divise pour mieux régner et piller tranquillement le Gabon. Donc, l'illusionniste, s'il avait été vraiment sage, au lieu de faire bosser l'Assemblée Nationale sur des projets de lois constistant à autoriser l'Etat à emprunter du pognon à l'étranger, il aurait demandé la création d'une commission chargée de faire une étude et de mettre au point un projet de loi pour la création d'un Code civil conforme aux moeurs des gabonais. Et ce, pour le plus grand bonheur du principe d'unité du Peuple. Une prochaine fois je vous expliquerai pourquoi la France ne bouge pas trop pour lutter contre les enrichissements occultes des chefs d'état des républiques dites "bananières"...