[BDPalabres] Re : QUEL GABON POUR NOS ENFANTS DE DEMAIN?

Sarkozy Nikolas protected at yahoo.com
Ven 22 Juin 11:31:17 EDT 2007


mon frère, il est temps qu'un gabonais soit arrogant. j'appelle pas ça arrogance mais franc parler. j'appécie beaucoup le franc parler du dr. mengara. c'est un homme direct qui ne mache pas ses mots. il me rappelle un peu sarkozy des français là. je crois qu'en politique chaque leader doit se démarquer des autre pour éviter les confusion. cette arrogance est bien placée. et puis je ne crois pas que c'est le simple fait d'être à côté du crocodile qui compte. comme le dit le Dr. les ba Mba absesolo et les bas Mamboundou sont au gabon depuis 20 ans à côté du crocodile, mais c'est le crocodile qui les a mangé. je crois que chaque homme politique est libre de poursuivre sa voix. les ba Mba Abessole et les bas Mamboundou ont utilisé des méthodes conviviales. ça fait 20 ans qu'ils essaient. laissons au dr. le temps de nous montrer si c'est sa méthode qui va marcher. il a encore dix ans pour nous montrer ça. on le retrouvera d'ici là pour lui dire, dr., toi aussi tu as été mangé par le crocodile ou quoi. donc tu ne faisais que gueuler toi aussi. A ce moment, on jugera. donc, bon courage, dr.



Franÿffffe7ois BINET a écrit:

> Dr Daniel Mangara,
> Je m'arrête un instant au regard de ce que j'ai pu lire quand vous parlez de la politique au Gabon!!! Je me rends compte que vous même vous faite preuve d'arrogance, et beaucoup de publicité sur votre personne c'est vrai être professeur dans une université au USA n'est pas une mince affaire et ça prouve certainement vos capacités intellectuelles mais en quoi êtes vous bénéfique au peuple gabonais qui sous l'emprise d'un système qui décider véritablement de passer "aux actes" c'est à dire détruire définitivement le pays??? je ne vois absolument rien car vous vous êtes à l'aise aux états unis et demain nous ne serons pas surpris que vous passiez faire des civilité à M. Albert Bernard BONGO, Mr Le professeur. La critique quand on loin du crocodile est aisée..... continuez la suite. Alors venez si vous êtes vraiment de l'alternance ou de la providence et sortez le gabon de la gabegie au lieu de mettre tout le monde dans le panier à crabe.
> en bon attendeur salut Doc
>
> GALLANT HOMME <protected at yahoo.fr> a écrit :
>
>     pourquoi s'agiter alors que le depart de Bongo est
>     proche?Posez les criteres quant a l'homme ideal qui le
>     succedera si peu. Tous les vieux caciques et autres
>     doivent etre elimines d'apres moi car difficile pour
>     eux de se blanchir et l'age aussi est un facteur. La
>     question a debattre aujourd'hui est :QUEL GABON POUR
>     NOS ENFANTS DE DEMAIN? repondez a cette question sans
>     tendance politique et alors vous pourriez mieux
>     definir le leader ideal car la politique peut aussi
>     s'identifier a un ensemble de mensonges et nous tous
>     nous savons qu'un bon macon se juge au pied du mur et
>     non sur des paroles et autres.
>     BONGO NE RESTERA PAS ETERNEL ET IL LE SAIT AUSSI,
>     COMME IL SAIT SON DEPART IMMINENT.
>     QUEL GABON POUR NOS ENFANTS DE DEMAIN?
>     QUEL GABON POUR NOS ENFANTS DE DEMAIN?
>
>
>     --- "Dr. Daniel Mengara" a
>     écrit :
>
>     > > Cher Monsieur Ndong,
>     > >
>     > > Je me chargerai moi-même de vous répondre, car il me
>     > > semble que vous me confondez avec Pierre Mamboundou,
>     > > votre leader. Soit vous n'avez pas pris le temps de
>     > > respirer un bon coup, pour permettre à vos neurones
>     > > de s'oxygéner, soit il y a en vous un problème plus
>     > > grave encore que ne le laissent supposer les
>     > > apparences. Mais je mettrai votre égarement sur le
>     > > compte de la jeunesse, chez qui la fougue sortie des
>     > > viscères a tendance à devancer de mille lieues
>     > > l'activité cérébrale.
>     > >
>     > > Il me semble que vous feignez de manière assez
>     > > théâtrale, et maladroite, une indignation que vous
>     > > basez sur les élucubrations de votre compère
>     > > Malékou. On décèle, dans cette fausse indignation,
>     > > un fantasme qui trahit votre désir de découvrir, un
>     > > beau jour, en Daniel Mengara les mêmes vices et
>     > > tares que ceux que nous critiquons chez votre Pierre
>     > > Mamboundou. Ceci vous permettrait de pouvoir enfin
>     > > vous consacrer à votre sport favori : servir de
>     > > chantre justificateur des égarements de Pierre
>     > > Mamboundou auprès de la diaspora gabonaise. Et
>     > > quelle meilleure manière de le faire que de
>     > > découvrir en Daniel Mengara, ce moraliste, cette
>     > > grande gueule, cet arrogant donneur de leçon, les
>     > > mêmes tares que celles qui ont émaillé le destin
>     > > politique de Pierre Mamboundou. Et voilà :
>     > > Mamboundou serait lavé des critiques de Mengara
>     > > puisque Mengara lui-même est coupable des mêmes
>     > > errements.
>     > >
>     > > Je peux déjà vous rassurer, et je le dis avec la
>     > > plus ferme conviction, vous ne trouverez JAMAIS
>     > > nulle part preuve d'une compromission quelconque de
>     > > Daniel Mengara, ni en termes pécuniaires, ni en
>     > > termes personnels, ni en termes idéologiques. Votre
>     > > quête restera donc inutile car, encore une fois,
>     > > Daniel Mengara n'est ni Mba Abessole, ni Pierre
>     > > Mamboundou.
>     > >
>     > > D'abord parce que vous vous méprenez sur ma
>     > > personne. Contrairement à votre patron, je ne fais
>     > > pas de la politique parce que j'en attends quelque
>     > > chose de personnel. Je suis déjà un homme accompli
>     > > dans le cadre de ce que je fais. Simple professeur
>     > > d'université aux Etats-Unis, je porte avec fierté ma
>     > > liberté et mes modestes accomplissements. Et je me
>     > > réjouis de vivre de l'unique fruit de mon labeur
>     > > mental. Ensuite parce que votre intellectualisme
>     > > semble avoir de sérieuses limites, comme celles qui
>     > > vous font prendre des rumeurs colportées sur
>     > > Internet pour des vérités sur lesquelles construire
>     > > votre savoir. Voilà pourquoi, sur la base de rumeurs
>     > > colportées par votre compère Malékou, vous confondez
>     > > Daniel Mengara avec Pierre Mamboundou.
>     > >
>     > > Mais au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, je
>     > > m'appelle Daniel Mengara. Et parce que je le suis,
>     > > je me distingue des parasites politiques qui, au
>     > > Gabon, ont vendu leurs mères, leurs grands-mères, et
>     > > donc, leur Gabon, pour des profits politiques et
>     > > personnels. Mon ambition est, à ce titre, très
>     > > différente de celle des autres. Laissez-moi, si vous
>     > > le permettrez, vous expliquer ce qui me motive :
>     > >
>     > > 1) Je n'ai pas la grosse tête au point de croire que
>     > > le changement au Gabon ne peut venir que par moi. Il
>     > > n'est écrit nulle part sur mon visage que ce sera
>     > > forcément moi qui chasserai Bongo du pouvoir. Je ne
>     > > me vois donc pas comme un messie, même si certains
>     > > veulent m'attribuer cette qualité. Ce que je suis,
>     > > c'est un simple Gabonais qui croit au changement,
>     > > d'où qu'il vienne, et qui contribue par ses efforts
>     > > à cet objectif.
>     > >
>     > > 2) Mais ce que je suis aussi, c'est un Gabonais qui
>     > > n'attend pas passivement que le changement vienne
>     > > d'un messie ou de quelqu'un d'autre. Voilà pourquoi
>     > > je m'active pour être moi-même un acteur du
>     > > changement que je souhaite. Je ne laisse pas à
>     > > d'autres la tache de me libérer ; je me bats pour me
>     > > libérer moi-même.
>     > >
>     > > 3) Je ne garantis à personne que le changement
>     > > viendra forcément par moi, mais je m'active pour
>     > > rendre possible le changement que je souhaite. Mais
>     > > si demain, j'échoue, je me satisferai d'avoir au
>     > > moins combattu jusqu'au bout sans me compromettre et
>     > > sans compromettre mes idéaux. Si quelqu'un d'autre
>     > > réussit là où j'ai échoué, tant mieux, mais ce que
>     > > je ne ferai pas, c'est attendre que cette personne
>     > > arrive un beau jour dans 100 ans. Je fais ce que je
>     > > peux là où je peux et comme je peux, mais je
>     > > n'attends pas que Bongo meure ou qu'un miracle
>     > > inespéré vienne sauver le Gabon.
>     > >
>     > > 4) Ce que je ne ferai jamais, c'est compromettre
>     > > l'idéal auquel je crois. Si mon combat n'arrive pas
>     > > à ses fins et si je me retrouve un jour tout seul
>     > > derrière mon ordinateur à vociférer des insultes
>     > > vis-à-vis du régime Bongo, je continuerai à le
>     > > faire. Pour moi, il est préférable de ne jamais
>     > > abandonner ses convictions et rester derrière son
>     > > ordinateur à vociférer des insultes contre un régime
>     > > qu'on déteste, plutôt que d'abandonner les valeurs
>     > > et principes pour lesquels on se bat. Si je dois
>     > > rester le seul opposant du Gabon, même " caché
>     > > derrière mon ordinateur " comme beaucoup le disent,
>     > > alors je préférerai cela.
>     > >
>     > > 5) Je n'irai pas au Gabon pour aller faire de la
>     > > politique " de terrain " comme beaucoup le disent.
>     > > La politique sur le terrain, c'est cette manière
>     > > animalière que nous avons chez nous de croire qu'il
>     > > suffit d'être sur le terrain pour que les choses
>     > > changent. Cela fait 18 ans que Mba Abessole d'abord,
>     > > mamboundou en suite, sont sur le terrain. Or, le
>     > > Gabon n'est pas devenu démocratique pour autant. Au
>     > > contraire, par leurs compromissions, ces bonhommes
>     > > ont aidé Omar Bongo à tuer la démocratie. Cela
>     > > montre qu'il faut plus que le simple fait d'être sur
>     > > le terrain pour changer le Gabon. Il faut d'autre
>     > > méthodes, d'autres stratégies, d'autres types
>     > > d'actions.
>     > >
>     > > 6) En clair, je me bats d'abord pour mes convictions
>     > > et je suis tout simplement heureux, au sein du BDP,
>     > > de retrouver des compagnons de route qui pensent
>     > > comme moi. Ensemble, nous travaillons à rendre
>     > > possible notre idéal. Certains nous quitteront et
>     > > nous ont quitté pour se vendre, mais d'autres
>     > > continueront à vociférer et à chercher. Cela pourra
>     > > prendre un mois, un an, cinq ans ou plus. Là n'est
>     > > pas le problème. La vraie philosophie consiste à ne
>     > > jamais baisser les bras, même quand on est trahi.
>     > >
>     > > 7) Voilà pourquoi je trouve inacceptable, en tant
>     > > que citoyen gabonais, que quelqu'un se dise un jour
>     > > opposant pour ensuite trahir l'idéal après avoir
>     > > entraîné dans le gouffre des compromissions des
>     > > milliers de Gabonais qui ont cru au changement
>     > > véritable. Parce que je suis Gabonais, je porte un
>     > > regard critique sur ceux qui essaient de tuer
>     > > l'idéal et j'accepte que d'autres portent un regard
>     > > critique sur moi si je me mets moi aussi à trahir
>     > > l'idéal. Tant que je reste dans l'idéal, je sais
>     > > être à l'abri des compromissions.
>     > >
>     > > 8) Mon idéal, c'est le suivant: " Rien de bon ne
>     > > peut plus se passer au Gabon tant qu'Omar Bongo est
>     > > encore au pouvoir. Bongo doit donc partir, par tous
>     > > les moyens possibles, pour permettre la construction
>     > > d'un Gabon nouveau ". Tant que cet idéal n'est pas
>     > > atteint, Daniel Mengara ne baissera jamais les bras.
>     > > Et c'est à ce seul idéal que l'on me jugera demain
>     > > car je me suis juré de tout faire pour mettre un
>     > > terme à ce régime, par tous les moyens possibles.
>     > > Echouer fait partie des possibilités qui guettent
>     > > toute entreprise humaine. Mais il y a des échecs
>     > > acceptables et des échecs non acceptables. Echouer
>     > > parce qu'on a trahi l'idéal est un échec
>     > > inacceptable.
>     > >
>     > > 9) Je ne calcule pas mon engagement. Certains
>     > > s'engagent quand ils savent le chemin facile ou
>     > > empli de promesses de postes politiques. Ils se
>     > > montrent donc tonitruants, juste le temps de se
>     > > faire remarquer. Puis, un jour, Omar Bongo les
>     > > cueille comme des fruits mûrs et alors ils se
>     > > mettent à chanter les " Bongo nous a donné des
>     > > conseils, comme un père ". Ce sont ces calculateurs
>     > > qui étaient entrés au BDP et sont ensuite allés se
>     > > vendre à Bongo. Daniel Mengara n'a jamais été de
>     > > ceux-là.
>     > >
>     > > Quand donc vous basez votre indignation sur une
>     > > rumeur colportée par votre compère Malékou, je vois
>     > > tout de suite étalées les faiblesses de votre
>     > > pensée. Car tout ce que vous réussissez à établir,
>     > > en fin de compte, ce sont les limites mêmes de vos
>     > > propres capacités intellectuelles. Ceci n'est point
>     > > une insulte, mais un constat.
>     > >
>     > > Pourquoi parlé-je de limites, cher ami ?
>     > >
>     > > Je m'explique, et j'espère que vous aurez la
>     > > patience de lire le véritable historique du
>     > > BDP-Gabon Nouveau que je vous offre ici pour
>     > > éclairer ce qui, chez vous, aurait dû se faire
>     > > indépendamment par la lecture et non la rumeur.
>     > > L'exposé sera long, mais vu que vous ne savez rien
>     > > du BDP, ni de Daniel Mengara, je me donne le devoir
>     > > de vous éclairer. Notez que tout ce que je vais dire
>     > > ici est sur le site du BDP-Gabon Nouveau dans divers
>     > > articles et analyses
>     > > (http://www.bdpgabon.org/content/blogsection/4/39/).
>     > > Rien de mystérieux, rien de caché. Lisez les plus de
>     > > 200 articles qui, sur ce lien, retracent
>     > > l'historique du BDP-Gabon Nouveau, y compris
>     > > l'évolution
>     === message truncated ===>





Plus d'informations sur la liste de diffusion BDPalabres